- التفاصيل
- نشر بتاريخ: الأربعاء، 11 فيفري 2015 01:19
محتجون من بني حميدان يغلقون طريق قسنطينة - جيجل
قام أمس عشرات المواطنين من بلدية بني حميدان بغلق الطريق الوطني الرابط بين قسنطينة و جيجل، احتجاجا على السكن، و طالبوا بالإفراج عن قائمة 62 مستفيدا.
الاحتجاج و حسب ما صرح به المحتجون جاء على خلفية ما أسموه بتلاعبات مصالح الدائرة في ما يتعلق بتوزيع 62 سكنا من إجمالي 102 وحدة، وزعت منها 40 سكنا خلال زيارة الوزير الأول للولاية منذ أكثر من 06 أشهر، فيما تماطلت الدائرة في توزيع العدد المتبقي لأسباب يرونها غامضة حسبهم، مضيفين أن المصالح المعنية أعلنت عن تنظيم قرعة لتوزيع 35 وحدة بالمركز الثقافي للبلدية، في حين تقرر تأجيل الفصل في قائمة 27 استفادة أخرى إلى أجل لاحق، و هو ما أدى إلى غضب و استياء شديدين في أوساط المعنيين الذين رفضوا رفضا قاطعا إجراء العملية، و قاموا بغلق الطريق الوطني في المكان المسمى «واد نية»، و هو ما أدى إلى توقف حركة السير بين الولايتين في وجه مئات السيارات و الشاحنات و حافلات النقل على هذا المحور الذي يعرف حركة كثيفة للمركبات يوميا.
كما أكد المعنيون الإصرار على الاحتجاج إلى غاية حل الإشكال من طرف السلطات الولائية، مطالبين بالإفراج عن القائمة الأولية المعدة من طرف البلدية و التي مست كل المستحقين حسبهم، متهمين مصالح الدائرة بمحاولة تمرير بعض الأشخاص الغرباء عن المنطقة في قائمة السكن، و ذلك على حساب عائلات تقطن بالبلدية في أمس الحاجة إلى السكن.رئيس دائرة زيغود يوسف أكد أن قائمة 27 مستفيدا قدمت في حق أصحابها طعون مؤسسة، مضيفا أن هناك أشخاصا تحصلوا على بناءات ريفية و لم يتم تسجيلهم في البطاقية الوطنية، كما أضاف أنه تم الاتفاق مع المعنيين على ضرورة فتح الطريق على أساس أنه سيتم إعادة التحقيق في القائمة بكل شفافية قبل توزيعها .
خالد ضرباني
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Ahcene Yahiouche. Cadre gestionnaire à l’Entreprise Métro d’Alger (EMA) « Il faut bien être l’APC de Constantine pour avoir une telle attitude »
le 05.02.15 | 10h00
5 réactions
Ahcene Yahiouche est directeur juridique et marchés, au niveau de l’Entreprise Metro
d’Alger (EMA).Il a conduit le projet de réalisation du tramway de Constantine.
Dans cet entretien, il répond, preuves à l’appui, aux accusations de la
commune de Constantine concernant la responsabilité de l’EMA dans le
retard de mise en service du stade Benabdelmalek.Il faut savoir que le
stade Benabdelmalek est fermé à ce jour, alors que les travaux ont été
achevés en juillet 2012.
La commune de Constantine a imputé ce retard d’ouverture à l’EMA (voir notre édition du jeudi 15 janvier 2015).
L’APC impute à l’EMA la responsabilité du retard d’ouverture du stade….
Nous prenons acte de ce que vous venez de dire, maintenant cette réponse mérite des explications et avant tout un historique pour fonder nos arguments et apporter les éclaircissements nécessaires que ce soit à l’APC de Constantine, qui peut être ignore certains faits, du moins les gestionnaires de cette époque, ou à l’opinion publique pour qu’elle sache exactement quel a été le rôle et la responsabilité de tout un chacun.
D’abord, en 2006 lorsqu’on a commencé les études d’insertion du tramway de Constantine, il s’est avéré que pour insérer le tramway, il fallait passer par la rue Kaddour Boumeddous et les dimensions qu’avait cette rue à l’époque ne permettaient pas une intégration du tramway avec le respect des normes de sécurité, de circulation et de signalisation. L’étude d’impact a déterminé deux solutions : déporter la ligne vers la droite, dans le sens Benabdelmalek-Zouaghi touchant ainsi les résidences de la rue Boumeddous, ou bien épargner les résidents et leurs biens et réaménager le stade pour permettre une insertion du tramway dans cette rue.Le comité de pilotage du projet, présidé par le wali, a retenu cette deuxième option.- En date du 7 juillet 2008, nous avons sollicité un permis de démolir auprès de la commune.
Et avant même de passer à l’exécution du projet de réaménagement du stade, en respect de la règlementation et des procédures inhérentes, nous avons demandé le permis de démolir en envoyant aussi un dossier technique, avec bordereau d’envoi bien sûr, comprenant tous les plans d’aménagement qui consistait en 4 tribunes couvertes, pour permettre aux responsables de la commune d’avoir une vision de ce qu’allait devenir leur propriété après la démolition et le réaménagement.
Donc l’APC était au courant que le réaménagement ne concernait que les tribunes existantes et celles que nous avons ajoutées. Ils ont reçu les plans, mais nous n’avons reçu aucun écho en retour. Maintenant, si l’APC nous a envoyé un document en réponse et peut se prévaloir d’un accusé de réception de notre part, j’aimerai bien le savoir.
Nous avons reçu le permis de démolir signé ; par contre nous n’avons reçu aucun avis critique. Cela veut dire qu’il y a acceptation sans réserves formulées.
Mais des demandes ont été formulées pour inclure d’autres services, non ?
Le réaménagement, une fois réalisé, nous avons été sollicités pour prendre en charge, en plus, la pelouse, la clôture, l’éclairage et la piste d’athlétisme. Notre attitude a été le respect des instructions hiérarchiques de nous tenir strictement à ce qui était prévu contractuellement et qu’aucun cout supplémentaire ne sera toléré.
Le 16 février 2012, il y a eu une réunion au siège de la DJS, en présence de 4 cadres de la commune et on nous a demandé, encore une fois, de porter la capacité à 10 000 places pour permettre l’homologation du stade, se basant sur des souhaits émis par le wali, en 2008. Mais là aussi nous avons pris en charge de transmettre la demande à la tutelle qui a répondu par la négative.
Donc je crois qu’il y a un défaut chronique en tout ce qui concerne la communication au sein de l’APC, sinon il n’y aurait pas eu cette divergence de points de vue entre les différents acteurs majeurs au sein de l’APC.
De ce fait nous considérons que toutes allégations contraires, concernant les sujets que je viens d’évoquer, ne sont que simple diatribe et nous ne voulons pas nous inscrire dans cette polémique, parce que les autorités en charge de la wilaya de Constantine ont de tous temps été informées des résultats et réponses à leurs sollicitations.
Ceci dit, cette histoire d’homologation dont on entend parler depuis 2012 n’est pas liée au terrain de jeu, et la clôture existante auparavant a été enlevée par les services de la commune, c’est-à-dire le propriétaire, et ceci ne nous regarde pas.
Je rappelle qu’à la veille de la démolition du stade, nous avons soumis les plans aux administrations concernées, et aucun avis critique ne nous a été signifié. Ce ne sont pas des allégations, ce sont des faits confirmés par la traçabilité à travers les écrits. Ceux qui disent que l’EMA a failli sur un point n’ont qu’à apporter des preuves.
N’y a-t-il pas eu de réserves au moment de la réception ?
Non. En fait, venu le moment de remettre l’ouvrage à ses propriétaires, et en date du 28 mars 2012, nous avons écrit comme à l’habitude, et à travers la direction du transport, à la commune de Constantine et à la DJS, l’une propriétaire et l’autre exploitante, les informant que nous tenons à leur disposition l’assiette de terrain, et nous n’avons reçu aucune réponse officielle de qui que ce soit. En juin nous avons de nouveau saisi officiellement ces entités pour l’organisation d’une cérémonie protocolaire de remise des clés du stade, là aussi nous n’avons pas eu de retour.
Par contre, la commune de Constantine nous a sollicités pour permettre l’organisation de festivités à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie et l’EMA a eu l’obligeance de répondre par oui. Ils ont utilisé le stade, avec toute la population qu’il y a eu à l’intérieur, et ils ont laissé un terrain totalement pollué sans daigner le nettoyer. Nous n’étions pas couverts, mais Dieu merci, il n’y a pas eu de problème, sinon l’EMA aurait été responsable. Ils ont profité du stade pour assurer leur programme, par contre quand il s’agit de prendre ses responsabilités, là il n’y a personne, il n’y a que l’EMA.
Le 1er aout, après les festivités, nous avons envoyé à la commune une demande de finaliser les formalités de prise de possession pour la clôture administrative de cette opération. Mais nous n’avons pas eu de réponse. Ce n’est que le 10 juin 2014, presque une année après la mise en service du tramway de Constantine, que la commune a signé le PV de remise des clés, alors que le stade était prêt deux ans auparavant. Imaginez deux ans de gardiennage, deux ans de responsabilité assurée par l’EMA, sans aucun écho de quiconque. Il faut bien être l’APC de Constantine pour avoir une telle attitude.
L’APC impute à l’EMA la responsabilité du retard d’ouverture du stade….
Nous prenons acte de ce que vous venez de dire, maintenant cette réponse mérite des explications et avant tout un historique pour fonder nos arguments et apporter les éclaircissements nécessaires que ce soit à l’APC de Constantine, qui peut être ignore certains faits, du moins les gestionnaires de cette époque, ou à l’opinion publique pour qu’elle sache exactement quel a été le rôle et la responsabilité de tout un chacun.
D’abord, en 2006 lorsqu’on a commencé les études d’insertion du tramway de Constantine, il s’est avéré que pour insérer le tramway, il fallait passer par la rue Kaddour Boumeddous et les dimensions qu’avait cette rue à l’époque ne permettaient pas une intégration du tramway avec le respect des normes de sécurité, de circulation et de signalisation. L’étude d’impact a déterminé deux solutions : déporter la ligne vers la droite, dans le sens Benabdelmalek-Zouaghi touchant ainsi les résidences de la rue Boumeddous, ou bien épargner les résidents et leurs biens et réaménager le stade pour permettre une insertion du tramway dans cette rue.Le comité de pilotage du projet, présidé par le wali, a retenu cette deuxième option.- En date du 7 juillet 2008, nous avons sollicité un permis de démolir auprès de la commune.
Et avant même de passer à l’exécution du projet de réaménagement du stade, en respect de la règlementation et des procédures inhérentes, nous avons demandé le permis de démolir en envoyant aussi un dossier technique, avec bordereau d’envoi bien sûr, comprenant tous les plans d’aménagement qui consistait en 4 tribunes couvertes, pour permettre aux responsables de la commune d’avoir une vision de ce qu’allait devenir leur propriété après la démolition et le réaménagement.
Donc l’APC était au courant que le réaménagement ne concernait que les tribunes existantes et celles que nous avons ajoutées. Ils ont reçu les plans, mais nous n’avons reçu aucun écho en retour. Maintenant, si l’APC nous a envoyé un document en réponse et peut se prévaloir d’un accusé de réception de notre part, j’aimerai bien le savoir.
Nous avons reçu le permis de démolir signé ; par contre nous n’avons reçu aucun avis critique. Cela veut dire qu’il y a acceptation sans réserves formulées.
Mais des demandes ont été formulées pour inclure d’autres services, non ?
Le réaménagement, une fois réalisé, nous avons été sollicités pour prendre en charge, en plus, la pelouse, la clôture, l’éclairage et la piste d’athlétisme. Notre attitude a été le respect des instructions hiérarchiques de nous tenir strictement à ce qui était prévu contractuellement et qu’aucun cout supplémentaire ne sera toléré.
Le 16 février 2012, il y a eu une réunion au siège de la DJS, en présence de 4 cadres de la commune et on nous a demandé, encore une fois, de porter la capacité à 10 000 places pour permettre l’homologation du stade, se basant sur des souhaits émis par le wali, en 2008. Mais là aussi nous avons pris en charge de transmettre la demande à la tutelle qui a répondu par la négative.
Donc je crois qu’il y a un défaut chronique en tout ce qui concerne la communication au sein de l’APC, sinon il n’y aurait pas eu cette divergence de points de vue entre les différents acteurs majeurs au sein de l’APC.
De ce fait nous considérons que toutes allégations contraires, concernant les sujets que je viens d’évoquer, ne sont que simple diatribe et nous ne voulons pas nous inscrire dans cette polémique, parce que les autorités en charge de la wilaya de Constantine ont de tous temps été informées des résultats et réponses à leurs sollicitations.
Ceci dit, cette histoire d’homologation dont on entend parler depuis 2012 n’est pas liée au terrain de jeu, et la clôture existante auparavant a été enlevée par les services de la commune, c’est-à-dire le propriétaire, et ceci ne nous regarde pas.
Je rappelle qu’à la veille de la démolition du stade, nous avons soumis les plans aux administrations concernées, et aucun avis critique ne nous a été signifié. Ce ne sont pas des allégations, ce sont des faits confirmés par la traçabilité à travers les écrits. Ceux qui disent que l’EMA a failli sur un point n’ont qu’à apporter des preuves.
N’y a-t-il pas eu de réserves au moment de la réception ?
Non. En fait, venu le moment de remettre l’ouvrage à ses propriétaires, et en date du 28 mars 2012, nous avons écrit comme à l’habitude, et à travers la direction du transport, à la commune de Constantine et à la DJS, l’une propriétaire et l’autre exploitante, les informant que nous tenons à leur disposition l’assiette de terrain, et nous n’avons reçu aucune réponse officielle de qui que ce soit. En juin nous avons de nouveau saisi officiellement ces entités pour l’organisation d’une cérémonie protocolaire de remise des clés du stade, là aussi nous n’avons pas eu de retour.
Par contre, la commune de Constantine nous a sollicités pour permettre l’organisation de festivités à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie et l’EMA a eu l’obligeance de répondre par oui. Ils ont utilisé le stade, avec toute la population qu’il y a eu à l’intérieur, et ils ont laissé un terrain totalement pollué sans daigner le nettoyer. Nous n’étions pas couverts, mais Dieu merci, il n’y a pas eu de problème, sinon l’EMA aurait été responsable. Ils ont profité du stade pour assurer leur programme, par contre quand il s’agit de prendre ses responsabilités, là il n’y a personne, il n’y a que l’EMA.
Le 1er aout, après les festivités, nous avons envoyé à la commune une demande de finaliser les formalités de prise de possession pour la clôture administrative de cette opération. Mais nous n’avons pas eu de réponse. Ce n’est que le 10 juin 2014, presque une année après la mise en service du tramway de Constantine, que la commune a signé le PV de remise des clés, alors que le stade était prêt deux ans auparavant. Imaginez deux ans de gardiennage, deux ans de responsabilité assurée par l’EMA, sans aucun écho de quiconque. Il faut bien être l’APC de Constantine pour avoir une telle attitude.
Nouri Nesrouche
Vos réactions 5
huron
le 07.02.15 | 21h51
EMA, a été maître d’ouvrage délégué.
A ce titre, il était tenu de rendre compte à l’APC de
l’exécution des missions qu’il a reçues d’elle pour le stade
Benabdelmelek.
« Maître d’œuvre » a été un lapsus. Tout le reste ne change pas.
« Maître d’œuvre » a été un lapsus. Tout le reste ne change pas.
Oui, opération très complexe.
D’autant que la transformation de ce stade était liée au
prolongement de la ligne du tramway : renvoi au début des opérations, en
août 2008.
Il reste que le maître d’ouvrage de cet illustre stade, rénové et impatiemment attendu, est
l’APC.
D’où sa nécessaire implication tout au long de l’évolution du dossier, de l’avancement des travaux et, bien entendu, lors de la réception.
A défaut, la relation entre le maître de l’ouvrage et son maître d’œuvre,ici l'EMA, devient absolument indispensable, et plus déterminante.
Évidemment, tout est bien qui finit bien : les péripéties deviennent secondaires... Ce qui n'exclut pas d'en tirer les enseignements.
Cordialement
Il reste que le maître d’ouvrage de cet illustre stade, rénové et impatiemment attendu, est
l’APC.
D’où sa nécessaire implication tout au long de l’évolution du dossier, de l’avancement des travaux et, bien entendu, lors de la réception.
A défaut, la relation entre le maître de l’ouvrage et son maître d’œuvre,ici l'EMA, devient absolument indispensable, et plus déterminante.
Évidemment, tout est bien qui finit bien : les péripéties deviennent secondaires... Ce qui n'exclut pas d'en tirer les enseignements.
Cordialement
L'APC EST POUR TRES PEU
Enfin on sait très bien qu'une telle opération(réalisation du
métro)ne s'inscrit pas dans le PCD ,mais comme projet sectoriel dirigé
techniquement par un cadre nommé par le ministère des transport.
Dans ces cas les prérogatives des administrations locales (APC et Wilaya) ne devraient concerner que le respect de la réglementation et les arbitrages administratifs.
Aussi de pareilles polémiques existent et se multiplient partout en raison:
-d'insertion précipitée et insuffisamment concertée avec la représentation locale de tels projets.
-l'ignorance des charges de fonctionnement communal induites et leur financement .
-l'insuffisance de l'encadrement technique communal
-la prépondérance de l'administration wilayale et dairale sur toutes les APC de chefs-lieux.
L'intervention de monsieur le Chef de Projet sous-entend bien ces dysfonctionnements structurels de l'état.
Dans ces cas les prérogatives des administrations locales (APC et Wilaya) ne devraient concerner que le respect de la réglementation et les arbitrages administratifs.
Aussi de pareilles polémiques existent et se multiplient partout en raison:
-d'insertion précipitée et insuffisamment concertée avec la représentation locale de tels projets.
-l'ignorance des charges de fonctionnement communal induites et leur financement .
-l'insuffisance de l'encadrement technique communal
-la prépondérance de l'administration wilayale et dairale sur toutes les APC de chefs-lieux.
L'intervention de monsieur le Chef de Projet sous-entend bien ces dysfonctionnements structurels de l'état.
Constantine
KAFKAÏEN
Imaginez la présence d'une entreprise étrangère et un arbitrage international.
Imaginez la présence d'une entreprise étrangère et un arbitrage international.
Réconfortant et alarmant : quid CCCA ...
Pour qui connaît la chose publique et les règles qui en
assurent le bon fonctionnement, et donc garantissent l’intérêt
général, l’exposé du directeur juridique et marchés de l’Entreprise
Metro est clair, compétent, complet, par conséquent convaincant.
Par contre, il conduit à nous interroger sur le fonctionnement de l’APC.
Cette affaire, en effet, nous renvoie explicitement à l’organisation et à la coordination des services, par suite à la compétence et à l’efficience de la gestion de la ville de Constantine, tous domaines confondus et, présentement, à la préparation de Constantine Capitale de la Culture Arabe, largement évoquée ces temps ci.
Les incidents s’ajoutant aux incidents, le dernier, celui de la saisie par la commune du matériel utilisé dans les travaux d’installation du poste transformateur de l’hôtel Panoramic (El Watan d’hier : "un responsable à l’APC renvoyé par le wali") montre une administration totalement étrangère à l’intérêt général… Démonstration : plutôt que de se mettre en rapport avec EGT pour régler l’affaire au mieux des circonstances, elle a agi comme au temps des razzias : elle s’est emparée du matériel !
Ce n’est pas tout.
On apprend ce jour, par une autre voie de presse, que le P/APC « fait état du lancement d’un grand nombre d’opérations à réaliser dans le cadre du programme de développement relatif à la tant attendue manifestation culturelle… : la réhabilitation des trottoirs des principales rues du centre ville… Un délai de deux mois a été fixé pour l’exécution des travaux dont le montant s’élève à 30 milliards de centimes. »
Mais qu’en est-il du MONUMENT AUX MORTS, vandalisé début février 2013,
- l’un des 30 sites du projet « lumières », récemment dénoncé et donc en panne
- encore présenté par une autre voie de presse, avant-hier, comme « UN SITE UNIQUE A AMÉNAGER ».
On se souvient que le 28/02/2013, la presse en témoigne, le P/APC avait promis de restaurer ce monument et, pour cela, « de faire appel à des experts et à des historiens pour qu’ils nous fournissent les noms exacts de tous les soldats qui figuraient sur la plaque manquante. »
Cette démarche a possiblement été faite. Possiblement, il y a eu contact entre personnes qualifiées et APC… Soyons bons princes, tout de même.
A ce jour, aucune mesure pratique !
De fait, cet aménagement du site, monument et abords, était déjà en projet il y a cinq ans !
La renommée de Constantine et les attentes de ses habitants sont étrangères aux édiles de cette Ville ! CQFD.
Par contre, il conduit à nous interroger sur le fonctionnement de l’APC.
Cette affaire, en effet, nous renvoie explicitement à l’organisation et à la coordination des services, par suite à la compétence et à l’efficience de la gestion de la ville de Constantine, tous domaines confondus et, présentement, à la préparation de Constantine Capitale de la Culture Arabe, largement évoquée ces temps ci.
Les incidents s’ajoutant aux incidents, le dernier, celui de la saisie par la commune du matériel utilisé dans les travaux d’installation du poste transformateur de l’hôtel Panoramic (El Watan d’hier : "un responsable à l’APC renvoyé par le wali") montre une administration totalement étrangère à l’intérêt général… Démonstration : plutôt que de se mettre en rapport avec EGT pour régler l’affaire au mieux des circonstances, elle a agi comme au temps des razzias : elle s’est emparée du matériel !
Ce n’est pas tout.
On apprend ce jour, par une autre voie de presse, que le P/APC « fait état du lancement d’un grand nombre d’opérations à réaliser dans le cadre du programme de développement relatif à la tant attendue manifestation culturelle… : la réhabilitation des trottoirs des principales rues du centre ville… Un délai de deux mois a été fixé pour l’exécution des travaux dont le montant s’élève à 30 milliards de centimes. »
Mais qu’en est-il du MONUMENT AUX MORTS, vandalisé début février 2013,
- l’un des 30 sites du projet « lumières », récemment dénoncé et donc en panne
- encore présenté par une autre voie de presse, avant-hier, comme « UN SITE UNIQUE A AMÉNAGER ».
On se souvient que le 28/02/2013, la presse en témoigne, le P/APC avait promis de restaurer ce monument et, pour cela, « de faire appel à des experts et à des historiens pour qu’ils nous fournissent les noms exacts de tous les soldats qui figuraient sur la plaque manquante. »
Cette démarche a possiblement été faite. Possiblement, il y a eu contact entre personnes qualifiées et APC… Soyons bons princes, tout de même.
A ce jour, aucune mesure pratique !
De fait, cet aménagement du site, monument et abords, était déjà en projet il y a cinq ans !
La renommée de Constantine et les attentes de ses habitants sont étrangères aux édiles de cette Ville ! CQFD.
Nourredine Khelfi. Architecte- expert judiciaire, président de l’association Architectes 25
On a mis en danger des quartiers entiers
le 06.02.15 | 10h00
1 réaction
- Constantine est un chantier grandeur nature. Comment définir ce qui s’y fait actuellement ?
Ce n’est pas de la réhabilitation et ce n’est pas non plus une remise en état. Une réhabilitation implique des travaux visant à la fois à conforter un bâtiment et à le remettre en état en le dotant d’éléments de confort modernes. Or, le sablage ou le gommage non contrôlé sur de nombreuses façades peut produire un effet désastreux. Il élimine les salissures et les mousses incrustées, mais il n’est guère indiqué pour les façades, à l’image de l’ancienne cathédrale protestante faite de briques, sur le boulevard Belouizdad.
Quant aux travaux de réaménagement dans les rues Aouati Mustapha, du 19 Juin et Didouche Mourad, ils menacent les habitants et commerçants de ces quartiers. La suppression du réseau d’assainissement est inconcevable et très dangereuse, car par cette décision on a mis en danger des quartiers entiers. Ces décisions irréfléchies auront des conséquences désastreuses.
Le récent effondrement du mur de soutènement face au lycée Réda Houhou est l’une des conséquences des dizaines d’erreurs commises et qui donnent à réfléchir. Il faut s’attendre à des effondrements (j’espère me tromper) plus importants après chaque précipitation si des mesures ne sont pas prises dans les jours qui suivent. Une enquête et une information judiciaire s’imposent.
- Pensez-vous que l’âme urbanistique du cœur de Constantine sera préservée ?
Je dirais que la consommation de l’espace a beaucoup été chamboulée. L’âme de la ville c’est la quotidienneté, c’est un environnement, une activité urbaine, ce sont aussi les rapports humains sociaux et d’échanges. J’estime que plusieurs de ces dimensions commencent à prendre d’autres formes souvent néfastes dues essentiellement à l’irrespect des règles d’activités urbaines.
- L’affaire de la démolition des escaliers en pierre bleue a suscité la polémique. Pour quelle raison, à votre avis ?
Ces escaliers font partie de notre environnement, de notre patrimoine, c’est l’une des caractéristiques de la ville. Tous les escaliers publics ont été réalisés en pierre bleue, un matériau noble qui s’inscrit tout à fait dans la logique de développement durable. Nombreux sont ceux qui — pouvoirs publics compris — ignorent que ces escaliers ont un rôle de soutien et de consolidation du monticule dit «Coudiat Aty». Un risque de déstabilisation du Coudiat existe si des mesures urgentes ne sont pas prises.
Sachant que cette destruction coûte 58 000 DA le mètre linéaire et la pose des marches importées, 100 000 DA, ces escaliers, en bon état, auraient pu être bouchardés à l’aide d’un marteau boucharde (outil équipé de pointes de diamant) pour rendre les marches antidérapantes. Cela se passe au moment même où on restaure une passerelle de chemin de fer abandonnée à l’époque coloniale. Quel rapport avec l’événement, si ce n’est le besoin de justifier des dépenses ?
- L’événement de 2015 pourra-t-il servir de point de départ à une véritable culture de préservation du patrimoine ancestral de Constantine ?
Tout dépendra de la volonté des décideurs. Le laxisme a failli coûter un déclassement à La Casbah d’Alger, pourtant inscrite depuis 1992 sur la liste du patrimoine mondial. Alors que peut-on dire d’un patrimoine non classé ? Et dire qu’on avait ordonné la destruction de 29 maisons à Souika, n’était l’intervention du ministère de la Culture et l’alerte donnée par certaines associations.
Le paradoxe, c’est de voir que des travaux sont opérés pour reconstruire des maisons complètement détruites avec des décombres. Des travaux de restauration sont lancés de front et beaucoup sont à l’arrêt. Des chantiers à ciel ouvert en plein hiver, alors que la réhabilitation des salles de cinéma est complètement évincée du programme de l’événement. Toute cette énergie et ces dépenses juste pour une salle de 3000 places et un hôtel. L’année 2015 révélera certainement beaucoup de choses.
Ce n’est pas de la réhabilitation et ce n’est pas non plus une remise en état. Une réhabilitation implique des travaux visant à la fois à conforter un bâtiment et à le remettre en état en le dotant d’éléments de confort modernes. Or, le sablage ou le gommage non contrôlé sur de nombreuses façades peut produire un effet désastreux. Il élimine les salissures et les mousses incrustées, mais il n’est guère indiqué pour les façades, à l’image de l’ancienne cathédrale protestante faite de briques, sur le boulevard Belouizdad.
Quant aux travaux de réaménagement dans les rues Aouati Mustapha, du 19 Juin et Didouche Mourad, ils menacent les habitants et commerçants de ces quartiers. La suppression du réseau d’assainissement est inconcevable et très dangereuse, car par cette décision on a mis en danger des quartiers entiers. Ces décisions irréfléchies auront des conséquences désastreuses.
Le récent effondrement du mur de soutènement face au lycée Réda Houhou est l’une des conséquences des dizaines d’erreurs commises et qui donnent à réfléchir. Il faut s’attendre à des effondrements (j’espère me tromper) plus importants après chaque précipitation si des mesures ne sont pas prises dans les jours qui suivent. Une enquête et une information judiciaire s’imposent.
- Pensez-vous que l’âme urbanistique du cœur de Constantine sera préservée ?
Je dirais que la consommation de l’espace a beaucoup été chamboulée. L’âme de la ville c’est la quotidienneté, c’est un environnement, une activité urbaine, ce sont aussi les rapports humains sociaux et d’échanges. J’estime que plusieurs de ces dimensions commencent à prendre d’autres formes souvent néfastes dues essentiellement à l’irrespect des règles d’activités urbaines.
- L’affaire de la démolition des escaliers en pierre bleue a suscité la polémique. Pour quelle raison, à votre avis ?
Ces escaliers font partie de notre environnement, de notre patrimoine, c’est l’une des caractéristiques de la ville. Tous les escaliers publics ont été réalisés en pierre bleue, un matériau noble qui s’inscrit tout à fait dans la logique de développement durable. Nombreux sont ceux qui — pouvoirs publics compris — ignorent que ces escaliers ont un rôle de soutien et de consolidation du monticule dit «Coudiat Aty». Un risque de déstabilisation du Coudiat existe si des mesures urgentes ne sont pas prises.
Sachant que cette destruction coûte 58 000 DA le mètre linéaire et la pose des marches importées, 100 000 DA, ces escaliers, en bon état, auraient pu être bouchardés à l’aide d’un marteau boucharde (outil équipé de pointes de diamant) pour rendre les marches antidérapantes. Cela se passe au moment même où on restaure une passerelle de chemin de fer abandonnée à l’époque coloniale. Quel rapport avec l’événement, si ce n’est le besoin de justifier des dépenses ?
- L’événement de 2015 pourra-t-il servir de point de départ à une véritable culture de préservation du patrimoine ancestral de Constantine ?
Tout dépendra de la volonté des décideurs. Le laxisme a failli coûter un déclassement à La Casbah d’Alger, pourtant inscrite depuis 1992 sur la liste du patrimoine mondial. Alors que peut-on dire d’un patrimoine non classé ? Et dire qu’on avait ordonné la destruction de 29 maisons à Souika, n’était l’intervention du ministère de la Culture et l’alerte donnée par certaines associations.
Le paradoxe, c’est de voir que des travaux sont opérés pour reconstruire des maisons complètement détruites avec des décombres. Des travaux de restauration sont lancés de front et beaucoup sont à l’arrêt. Des chantiers à ciel ouvert en plein hiver, alors que la réhabilitation des salles de cinéma est complètement évincée du programme de l’événement. Toute cette énergie et ces dépenses juste pour une salle de 3000 places et un hôtel. L’année 2015 révélera certainement beaucoup de choses.
Lydia Rahmani
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anti khoroto
le 07.02.15 | 14h05
oubli
j'ai oublié qu'il fallait user de la langue de bois pour dire
sa pensée. oui je pleure des larmes de sang de voir la descente aux
enfers de mon pays.
Sami Bencheikh El Hocine. Commissaire de l’événement
Sur près de 83 projets inscrits, seuls dix seront prêts
le 06.02.15 | 10h00
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- «Constantine, capitale de la culture arabe», en quelques mots de quoi s’agit-il ?
Constantine, capitale de la culture arabe est un très grand événement que la wilaya de Constantine va accueillir au mois d’avril, et ce, pendant un an. Il s’agit d’une manifestation grandiose, à la fois arabe et internationale. On vient d’ailleurs de recevoir la demande de participation du 22e pays non arabe.
- Des retards ont été accumulés ; quels sont les projets qui ne vont pas aboutir ou qui ne seront pas remis dans les temps fixés ?
Sur près de 83 projets inscrits, seuls dix seront prêts. A titre d’exemple, et suite à quelques problèmes contractuels, il faudra attendre peut-être septembre pour voir un très grand pavillon de plus de 20 000 m², situé dans le plateau de Aïn El Bey, à une dizaine de mètres de la grande salle du Zenith. Même chose pour le musée des arts modernes qui ne sera livré qu’à partir d’octobre, et la grande bibliothèque de Constantine qui ne sera pas prête non plus.
Pour cette dernière, je ne peux même pas avancer une date exacte pour sa remise, car quand le travail de fouille a commencé, des traces de civilisation romaine ont été découvertes, ce qui a empêché le projet de démarrer. Ajoutez à cela les projets de réhabilitation du vieux bâti qui seront aussi en retard. Prenez l’hôtel Cirta : à la base, il était prévu que l’hôtel ne subisse qu’une opération de restauration, mais les professionnels se sont rendu compte que cet hôtel nécessite un confortement, car les fondations sont ébranlées. Il sera donc sûrement remis vers septembre ou octobre.
Par ailleurs, il faut savoir que les espaces à restaurer sont occupés par des familles, des commerçants ou des artisans qui ne se sont pas montrés très coopératifs lors du lancement des travaux, malgré la proposition de compensations financières. Je ne vous cache pas que les travaux se font dans une certaine hostilité, car les gens ne participent pas. A titre d’exemple, quand il a fallu repeindre les façades de bâtiments, certains locataires ont refusé que les peintres passent par leurs balcons et ont donc enlevé l’échafaudage.
Mais nous continuerons les travaux et les invités pourront aller visiter ces chantiers pour comprendre l’opération de rénovation qui nécessite une certaine technicité. Certains chantiers feront donc partie de l’itinéraire des visites que nous offrirons aux délégations conviées.
- Et quels sont les projets qui seront livrés à temps ?
Le centre des arts, situé en plein centre-ville. Ce très grand bâtiment, qui abritait à l’époque les services de la wilaya de Constantine, sera transformé en Centre des arts où se trouvera un institut régional de formation en musique. Il y aura aussi le siège de l’orchestre régional de Constantine, la Maison des arts et la Maison de l’astronomie.
Ce sera un véritable centre qui va constituer un espace de rayonnement culturel et scientifique, puisque nous avons même associé des clubs scientifiques avec nous. Par ailleurs, et étant donné qu’ils n’ont pas fait l’objet de grands travaux mais seulement de travaux de rénovation, de restauration et d’équipement, trois espaces seront au rendez-vous : les deux centres culturels Al Khalifa et Malek Haddad, ainsi que le théâtre régional. L’hôtel Panoramic, qui fait l’objet de travaux de réhabilitation, devrait aussi être prêt dans les délais fixés.
- Concrètement, Constantine est-elle prête pour cet événement ?
Je peux vous dire oui. Notre mission est de mobiliser la société civile autour de cet événement qui ne sera rien sans les Constantinois et je peux vous dire que nous avons déjà commencé à travailler avec la population. Le commissariat a d’ailleurs organisé un certain nombre d’activités pour établir un contact avec le mouvement associatif, les associations de jeunes et des associations sociales. Nous avons aussi plusieurs partenaires à nos côtés qui commencent à se mobiliser autour de l’événement.
Je peux citer l’université et la direction de l’éducation et la direction de la jeunesse et des sports. Il y a aussi les scouts et les pompiers avec qui nous sommes liés avec des conventions. Tous ces partenaires sont engagés avec nous pour faire de Constantine l’endroit où il faut être durant une année. Et je crois que leur travail commence déjà à aboutir car si cela a été difficile au début, les Constantinois adhèrent maintenant à cet événement. Pour preuve, ces derniers temps il y a même des civils qui viennent de manière spontanée nous offrir leur aide.
- Selon le wali de Constantine, cet événement ne se limitera pas uniquement à la wilaya de Constantine, mais concernera aussi d’autres wilayas de l’Est algérien. Lesquelles ?
Sellal a insisté pour que l’on fasse bénéficier les wilayas environnantes de cette manifestation. Nous comptons faire transiter la plupart des groupes et artistes par plusieurs wilayas, à savoir Skikda, Mila, Batna, Oum El Boughi, Sétif, Jijel, Annaba... Si on reçoit de grands chanteurs comme Ragheb Allama ou Najwa Karam pour chanter à Constantine, on ne les reçoit pas pour une seule soirée, on les fait passer par au moins deux wilayas avant leur départ. Cette décision concerne aussi les pièces théâtrales, les films et les spectacles folkloriques. Nous ferons bénéficier le public algérois de certaines grandes visites et prestations exceptionnelles.
- Quels sont les pays arabes et étrangers conviés ?
Tous les membres de la Ligue arabe seront présents ! Le président du Haut-Conseil de la langue arabe est en ce moment en tournée dans les pays arabes pour remettre officiellement les invitations. A côté de cela, nous avons la confirmation de 22 pays non arabes qui vont participer, comme les Etats-Unis, l’Inde, la Russie, la Bulgarie, le Venezuela, l’Indonésie ainsi que tous les pays de l’Union européenne.
L’UE sera présente aussi en tant qu’organisation à travers «Regards croisés», une exposition photographique de 22 artistes photographes dont la moitié sont des Algériens. Chaque pays a fait ses propositions de concerts, spectacles, orchestre symphonique…
- Suite à la polémique qu’a suscitée le logo, la ministre de la Culture a ordonné de le refaire. Le nouveau est-il prêt ?
Ce sont juste des rumeurs, car le logo n’a pas changé et ne va pas changer. Ce qui me désole le plus, c’est qu’on ait accusé l’agence de plagiat. Il faut savoir que le logo a été vérifié par une commission d’experts et des enseignants d’arts visuels et personne n’a vu un plagiat dessus. Le «k» est une lettre de l’alphabet et l’alphabet n’appartient à personne.
Cette lettre a été utilisée par cinq pays dont la Tunisie et le Qatar. Après avoir lancé un appel à participation, on a reçu plus de 120 propositions, dont 69 de Constantinois. Sans oublier qu’il y a eu un jury composé de six personnes dont des enseignants et le directeur de l’Ecole des beaux-arts, Khoudja M. Allalouche, un des précurseurs de l’art plastique à Constantine et le directeur du MAMA, M. Djehiche. Tous les membres se sont mis d’accord sur ce choix, car c’est le plus beau et le plus différent des projets proposés. La première fois que je l’ai vu, j’ai demandé : «C’est tout ce que vous avez trouvé ?» Mais quand j’ai vu les propositions, j’ai compris le choix, et personnellement je commence à l’aimer.
Quelles sont les six régions d’Algérie qui vont participer à la parade du lancement ?
Il y aura Tlemcen, Alger, la grande Kabylie, le Sud, l’Oranie (Oran, Mostaganem jusqu’à Béchar et la Saoura) et bien évidemment Constantine. Votre coup de cœur... Mon coup de cœur, c’est la cérémonie d’ouverture où il va y avoir de la très bonne musique constantinoise et où l’histoire de la ville sera racontée à travers ses couleurs, ses odeurs, ses mosquées, ses intrigues…
Constantine, capitale de la culture arabe est un très grand événement que la wilaya de Constantine va accueillir au mois d’avril, et ce, pendant un an. Il s’agit d’une manifestation grandiose, à la fois arabe et internationale. On vient d’ailleurs de recevoir la demande de participation du 22e pays non arabe.
- Des retards ont été accumulés ; quels sont les projets qui ne vont pas aboutir ou qui ne seront pas remis dans les temps fixés ?
Sur près de 83 projets inscrits, seuls dix seront prêts. A titre d’exemple, et suite à quelques problèmes contractuels, il faudra attendre peut-être septembre pour voir un très grand pavillon de plus de 20 000 m², situé dans le plateau de Aïn El Bey, à une dizaine de mètres de la grande salle du Zenith. Même chose pour le musée des arts modernes qui ne sera livré qu’à partir d’octobre, et la grande bibliothèque de Constantine qui ne sera pas prête non plus.
Pour cette dernière, je ne peux même pas avancer une date exacte pour sa remise, car quand le travail de fouille a commencé, des traces de civilisation romaine ont été découvertes, ce qui a empêché le projet de démarrer. Ajoutez à cela les projets de réhabilitation du vieux bâti qui seront aussi en retard. Prenez l’hôtel Cirta : à la base, il était prévu que l’hôtel ne subisse qu’une opération de restauration, mais les professionnels se sont rendu compte que cet hôtel nécessite un confortement, car les fondations sont ébranlées. Il sera donc sûrement remis vers septembre ou octobre.
Par ailleurs, il faut savoir que les espaces à restaurer sont occupés par des familles, des commerçants ou des artisans qui ne se sont pas montrés très coopératifs lors du lancement des travaux, malgré la proposition de compensations financières. Je ne vous cache pas que les travaux se font dans une certaine hostilité, car les gens ne participent pas. A titre d’exemple, quand il a fallu repeindre les façades de bâtiments, certains locataires ont refusé que les peintres passent par leurs balcons et ont donc enlevé l’échafaudage.
Mais nous continuerons les travaux et les invités pourront aller visiter ces chantiers pour comprendre l’opération de rénovation qui nécessite une certaine technicité. Certains chantiers feront donc partie de l’itinéraire des visites que nous offrirons aux délégations conviées.
- Et quels sont les projets qui seront livrés à temps ?
Le centre des arts, situé en plein centre-ville. Ce très grand bâtiment, qui abritait à l’époque les services de la wilaya de Constantine, sera transformé en Centre des arts où se trouvera un institut régional de formation en musique. Il y aura aussi le siège de l’orchestre régional de Constantine, la Maison des arts et la Maison de l’astronomie.
Ce sera un véritable centre qui va constituer un espace de rayonnement culturel et scientifique, puisque nous avons même associé des clubs scientifiques avec nous. Par ailleurs, et étant donné qu’ils n’ont pas fait l’objet de grands travaux mais seulement de travaux de rénovation, de restauration et d’équipement, trois espaces seront au rendez-vous : les deux centres culturels Al Khalifa et Malek Haddad, ainsi que le théâtre régional. L’hôtel Panoramic, qui fait l’objet de travaux de réhabilitation, devrait aussi être prêt dans les délais fixés.
- Concrètement, Constantine est-elle prête pour cet événement ?
Je peux vous dire oui. Notre mission est de mobiliser la société civile autour de cet événement qui ne sera rien sans les Constantinois et je peux vous dire que nous avons déjà commencé à travailler avec la population. Le commissariat a d’ailleurs organisé un certain nombre d’activités pour établir un contact avec le mouvement associatif, les associations de jeunes et des associations sociales. Nous avons aussi plusieurs partenaires à nos côtés qui commencent à se mobiliser autour de l’événement.
Je peux citer l’université et la direction de l’éducation et la direction de la jeunesse et des sports. Il y a aussi les scouts et les pompiers avec qui nous sommes liés avec des conventions. Tous ces partenaires sont engagés avec nous pour faire de Constantine l’endroit où il faut être durant une année. Et je crois que leur travail commence déjà à aboutir car si cela a été difficile au début, les Constantinois adhèrent maintenant à cet événement. Pour preuve, ces derniers temps il y a même des civils qui viennent de manière spontanée nous offrir leur aide.
- Selon le wali de Constantine, cet événement ne se limitera pas uniquement à la wilaya de Constantine, mais concernera aussi d’autres wilayas de l’Est algérien. Lesquelles ?
Sellal a insisté pour que l’on fasse bénéficier les wilayas environnantes de cette manifestation. Nous comptons faire transiter la plupart des groupes et artistes par plusieurs wilayas, à savoir Skikda, Mila, Batna, Oum El Boughi, Sétif, Jijel, Annaba... Si on reçoit de grands chanteurs comme Ragheb Allama ou Najwa Karam pour chanter à Constantine, on ne les reçoit pas pour une seule soirée, on les fait passer par au moins deux wilayas avant leur départ. Cette décision concerne aussi les pièces théâtrales, les films et les spectacles folkloriques. Nous ferons bénéficier le public algérois de certaines grandes visites et prestations exceptionnelles.
- Quels sont les pays arabes et étrangers conviés ?
Tous les membres de la Ligue arabe seront présents ! Le président du Haut-Conseil de la langue arabe est en ce moment en tournée dans les pays arabes pour remettre officiellement les invitations. A côté de cela, nous avons la confirmation de 22 pays non arabes qui vont participer, comme les Etats-Unis, l’Inde, la Russie, la Bulgarie, le Venezuela, l’Indonésie ainsi que tous les pays de l’Union européenne.
L’UE sera présente aussi en tant qu’organisation à travers «Regards croisés», une exposition photographique de 22 artistes photographes dont la moitié sont des Algériens. Chaque pays a fait ses propositions de concerts, spectacles, orchestre symphonique…
- Suite à la polémique qu’a suscitée le logo, la ministre de la Culture a ordonné de le refaire. Le nouveau est-il prêt ?
Ce sont juste des rumeurs, car le logo n’a pas changé et ne va pas changer. Ce qui me désole le plus, c’est qu’on ait accusé l’agence de plagiat. Il faut savoir que le logo a été vérifié par une commission d’experts et des enseignants d’arts visuels et personne n’a vu un plagiat dessus. Le «k» est une lettre de l’alphabet et l’alphabet n’appartient à personne.
Cette lettre a été utilisée par cinq pays dont la Tunisie et le Qatar. Après avoir lancé un appel à participation, on a reçu plus de 120 propositions, dont 69 de Constantinois. Sans oublier qu’il y a eu un jury composé de six personnes dont des enseignants et le directeur de l’Ecole des beaux-arts, Khoudja M. Allalouche, un des précurseurs de l’art plastique à Constantine et le directeur du MAMA, M. Djehiche. Tous les membres se sont mis d’accord sur ce choix, car c’est le plus beau et le plus différent des projets proposés. La première fois que je l’ai vu, j’ai demandé : «C’est tout ce que vous avez trouvé ?» Mais quand j’ai vu les propositions, j’ai compris le choix, et personnellement je commence à l’aimer.
Quelles sont les six régions d’Algérie qui vont participer à la parade du lancement ?
Il y aura Tlemcen, Alger, la grande Kabylie, le Sud, l’Oranie (Oran, Mostaganem jusqu’à Béchar et la Saoura) et bien évidemment Constantine. Votre coup de cœur... Mon coup de cœur, c’est la cérémonie d’ouverture où il va y avoir de la très bonne musique constantinoise et où l’histoire de la ville sera racontée à travers ses couleurs, ses odeurs, ses mosquées, ses intrigues…
Ouahib Sofia et Ryma Maria Benyakoub
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huron
le 08.02.15 | 13h09
Adieu Constantine ?!
Bien que l’événement 2015 ait été décidé pour honorer cette
Ville, et pour la satisfaction générale de ses Habitants, de leurs
invités et de leurs visiteurs, on finirait par penser que l’enchaînement
des contretemps et autres déconvenues a fini par tuer dans l’œuf toutes
ces bonnes intentions. S’ajoute à cela le sentiment qu’il n’y a rien à
faire pour inverser cette regrettable et inconfortable tendance. Même
tirer le signal d’alarme s’avère inopérant !
Adieu Constantine !?
Déjà on a du recourir à la main d’œuvre étrangère pour tenter de mener à terme dans les délais quelques projets. C’est appréciable. D’autres n’ont-ils pas disparu en cours de gestation ? Quant à la main d’œuvre étrangère, elle était déjà sollicitée, précisément dans le domaine de la construction. Mais jusqu’où s’en remettre à elle ?
Adieu Constantine !?
Bien entendu, selon les errements en cours dans tout pays, le discours continue de prêcher l’optimisme. Ah, s’il suffisait à redresser la situation ! Sur les chantiers, néanmoins, le verbe se fait incisif, et il arrive que des entreprises soient renvoyées. On ne peut qu’apprécier. Non sans regretter l’incurie qui se rencontre ici. « Incurie », quel gros mot : las, c’est la triste réalité !
Adieu Constantine !?
Car toute cette agitation, que ni la Ville ni ses Habitants n’avaient suscitée, cache une autre « incurie » : la gestion municipale. Las, mille fois hélas : cette Cité deux fois millénaire est également deux fois victime. Et de cette fête qu’on veut lui faire et qu’on est incapable d’organiser correctement, même en recourant à la main d’œuvre étrangère. Et de sa municipalité, de son APC, qu’on ne saurait cette fois suppléer en recourant à un prestataire étranger !!!
Adieu Constantine !?
Il ne servira à rien d’énumérer toutes les conséquences de cette gestion calamiteuse. La Ville, ses rues, ses équipements, ses monuments, témoignent de l’abandon où elle a été laissée. Ses Habitants en subissent les effets dans l’espace public et jusque dans l’espace privé, à croire qu’un mauvais sort leur a été jeté. Un mauvais sort inexorable. Un mauvais sort inéluctable, puisque personne ne réagit, occupé que l’on est à vouloir les fêter, Eux et leur Ville !
Voilà pourquoi Adieu Constantine !
A qui te vouer : à la grâce de Dieu ou à l’intelligence des hommes ?!
Adieu Constantine !?
Déjà on a du recourir à la main d’œuvre étrangère pour tenter de mener à terme dans les délais quelques projets. C’est appréciable. D’autres n’ont-ils pas disparu en cours de gestation ? Quant à la main d’œuvre étrangère, elle était déjà sollicitée, précisément dans le domaine de la construction. Mais jusqu’où s’en remettre à elle ?
Adieu Constantine !?
Bien entendu, selon les errements en cours dans tout pays, le discours continue de prêcher l’optimisme. Ah, s’il suffisait à redresser la situation ! Sur les chantiers, néanmoins, le verbe se fait incisif, et il arrive que des entreprises soient renvoyées. On ne peut qu’apprécier. Non sans regretter l’incurie qui se rencontre ici. « Incurie », quel gros mot : las, c’est la triste réalité !
Adieu Constantine !?
Car toute cette agitation, que ni la Ville ni ses Habitants n’avaient suscitée, cache une autre « incurie » : la gestion municipale. Las, mille fois hélas : cette Cité deux fois millénaire est également deux fois victime. Et de cette fête qu’on veut lui faire et qu’on est incapable d’organiser correctement, même en recourant à la main d’œuvre étrangère. Et de sa municipalité, de son APC, qu’on ne saurait cette fois suppléer en recourant à un prestataire étranger !!!
Adieu Constantine !?
Il ne servira à rien d’énumérer toutes les conséquences de cette gestion calamiteuse. La Ville, ses rues, ses équipements, ses monuments, témoignent de l’abandon où elle a été laissée. Ses Habitants en subissent les effets dans l’espace public et jusque dans l’espace privé, à croire qu’un mauvais sort leur a été jeté. Un mauvais sort inexorable. Un mauvais sort inéluctable, puisque personne ne réagit, occupé que l’on est à vouloir les fêter, Eux et leur Ville !
Voilà pourquoi Adieu Constantine !
A qui te vouer : à la grâce de Dieu ou à l’intelligence des hommes ?!
Pour l’instant, Constantine est surtout la capitale de la polémique
le 06.02.15 | 10h00
6 réactions
Comme Tlemcen en 2011, Constantine bruisse de critiques sur les
retards, la mauvaise gestion et les atteintes au patrimoine pour ses
préparatifs de Capitale de la culture arabe. A moins de trois mois de
l’événement, El Watan Week-end fait le point en coulisses.
«Les travaux ont commencé en août.
En décembre, on pensait que ce serait terminé. Mais là, les gens sont
exaspérés par les travaux, les embouteillages, les échafaudages ! On
voit bien que ce ne sera jamais fini à temps.» A Constantine, qui se
prépare à devenir, à partir du 16 avril, la capitale de la culture
arabe, les témoignages de ras-le-bol s’accumulent. Comme les retards
dans les travaux de construction et de rénovation.
A l’origine : des problèmes de fouilles, de mauvaise gestion (dixit des membres de l’organisation), de l’opacité dans l’attribution des marchés aux entreprises sélectionnées, notamment dans l’octroi des fameux ordres de service (ODS), impactant considérablement le calendrier d’exécution des travaux, et de procédures administratives. Un architecte raconte : «La réhabilitation des maisons de Souika (la vieille ville) est bloquée. Le cahier des charges de l’Office national de gestion des biens culturels protégés exige que le groupe d’architectes algériens associés à des experts étrangers ait un statut d’Eurl ou de Sarl.
Or, ces statuts sont interdits par l’Ordre des architectes car l’architecte est une personne physique et pas morale ! Alors ils ont voulu se constituer en groupement d’architectes, mais pour cela il fallait au moins un expert étranger installé en Algérie. Or, ils ne le sont pas. Du coup, le comité de marché n’a pas passé les conventions.» Un reportage diffusé avant-hier à l’ENTV évoque même parmi les raisons des retards le non-paiement de plusieurs entrepreneurs.
Un photographe de Constantine accuse aussi : «Le commissariat a fait appel aux photographes de la ville pour qu’ils lui donnent leurs photos afin de fabriquer un calendrier. Il était prévu que cette transaction fasse l’objet d’un contrat. En fin de compte, nous n’avons pas été payés sous prétexte que le commissariat ne pouvait pas nous donner de liquide. En compensation, il leur a proposé un studio avec du matériel dans le futur centre culturel». D’après une source proche du ministère, «le problème, c’est qu’on ne sait pas qui doit payer : le commissariat mis en place pour l’occacion ou la direction de la Culture de la wilaya ?»
Englué
Des assurances de l’ex-ministre de la Culture, Khalida Toumi, qui annonçait en octobre 2013, avec solennité, la réception de 50% des projets engagés avant le coup d’envoi de la manifestation, il ne reste pas grand-chose. Alors que le commissaire de l’événement certifie que 10 projets seront livrés dans les délais, en ville les personnes les plus proches de l’événement, y compris des officiels, estiment que sur «plus de 25 nouvelles réalisations et 75 projets de restauration de patrimoine initialement prévus, seulement 5 seront réellement réceptionnés pour l’occasion». La salle Zénith, le palais de la culture Malek Haddad et la maison de la culture Mohamed Laïd Al Khalifa. Mieux, à l’exception de la salle de spectacles Zénith, réalisée en une année, les deux autres structures ont fait l’objet d’une simple reconfiguration.
Quant au pavillon des expositions, il ne sera pas prêt. En toile de fond, la résiliation du contrat des Chinois, ensuite d’un bureau d’études algérois ramené par Khalida Toumi, et enfin des Espagnols pour revenir de nouveau aux Chinois ! La réhabilitation de 10 mosquées et de 7 zaouias de la Médina traîne également pour cause d’indisponibilité de main-d’œuvre qualifiée, alors que le parc urbain du Bardo est englué dans le cercle infernal des glissements de terrain. Il en est de même de la Médersa et de l’hôtel Cirta.
Pourtant, l’organisation pour l’éducation, la science et la culture de la Ligue arabe (Alesco) avait désigné la ville de Constantine pour accueillir cette manifestation culturelle fin décembre 2012... Et ce n’est que maintenant qu’une partie du budget consacré au programme de la manifestation vient d’être débloqué. Ainsi, l’argent aura lui aussi largement contribué à perturber des projections déjà brouillonnes. Au Commissariat de la manifestation notamment, les ambitions ont été revues à la baisse.
L’indicible chantier dans lequel se trouve la ville (relooking des immeubles inachevé et trottoirs non refaits) a contraint le Commissariat de surseoir à l’organisation préalable de certaines activités, comme par exemple un marathon, une foire de la brocante ou encore une exposition de peintures à ciel ouvert avec la participation des étudiants de l’Ecole des beaux-arts. Le Premier ministre a demandé que les 7 milliards de DA alloués à la manifestation (4 milliards de DA au titre de l’exercice 2014, 2 autres milliards de DA pour l’exercice 2015 et un milliard pour 2016), soient dépensés avec «parcimonie et vigilance».
Panique
Il faut dire que le prodigieux montant de 60 milliards de DA consacrés à la manifestation de 2015 attise toutes les convoitises. Lors d’une conférence de presse organisée le 17 janvier dernier, Sami Bencheikh El Hocine, commissaire de la manifestation, n’a pas caché l’existence de «prédateurs» et de «pressions» exercées sur lui «par des patrons de boîtes privées domiciliées à l’étranger et qui aspirent à participer à l’événement moyennant un cachet en devises». Un consultant témoigne encore : «L’opération de pavage du centre-ville qui doit se faire dans un périmètre de 2 km va coûter au minimum 24 000 DA le mètre carré.
Alors qu’une réfection classique avec du marbre revient à 10 000 Da le mètre carré.» Et alors même que les travaux ne sont pas terminés, le spécialiste promet «que ce qui a été fait va causer beaucoup de problèmes, notamment en cas d’intempéries car les avaloirs n’ont pas encore été installés.»
Sur place, la panique gagne les responsables. Les visites de chantier par le wali, programmées le mardi, ont pris désormais un rythme bi-hebdomadaire. Hocine Ouadah a carrément retiré le projet de réhabilitation des infrastructures culturelles d’El Khalifa et Malek Haddad aux entreprises algériennes, jugées non qualifiées, pour les confier à des sociétés chinoises, détentrices déjà de la majorité des projets en cours.
A l’origine : des problèmes de fouilles, de mauvaise gestion (dixit des membres de l’organisation), de l’opacité dans l’attribution des marchés aux entreprises sélectionnées, notamment dans l’octroi des fameux ordres de service (ODS), impactant considérablement le calendrier d’exécution des travaux, et de procédures administratives. Un architecte raconte : «La réhabilitation des maisons de Souika (la vieille ville) est bloquée. Le cahier des charges de l’Office national de gestion des biens culturels protégés exige que le groupe d’architectes algériens associés à des experts étrangers ait un statut d’Eurl ou de Sarl.
Or, ces statuts sont interdits par l’Ordre des architectes car l’architecte est une personne physique et pas morale ! Alors ils ont voulu se constituer en groupement d’architectes, mais pour cela il fallait au moins un expert étranger installé en Algérie. Or, ils ne le sont pas. Du coup, le comité de marché n’a pas passé les conventions.» Un reportage diffusé avant-hier à l’ENTV évoque même parmi les raisons des retards le non-paiement de plusieurs entrepreneurs.
Un photographe de Constantine accuse aussi : «Le commissariat a fait appel aux photographes de la ville pour qu’ils lui donnent leurs photos afin de fabriquer un calendrier. Il était prévu que cette transaction fasse l’objet d’un contrat. En fin de compte, nous n’avons pas été payés sous prétexte que le commissariat ne pouvait pas nous donner de liquide. En compensation, il leur a proposé un studio avec du matériel dans le futur centre culturel». D’après une source proche du ministère, «le problème, c’est qu’on ne sait pas qui doit payer : le commissariat mis en place pour l’occacion ou la direction de la Culture de la wilaya ?»
Englué
Des assurances de l’ex-ministre de la Culture, Khalida Toumi, qui annonçait en octobre 2013, avec solennité, la réception de 50% des projets engagés avant le coup d’envoi de la manifestation, il ne reste pas grand-chose. Alors que le commissaire de l’événement certifie que 10 projets seront livrés dans les délais, en ville les personnes les plus proches de l’événement, y compris des officiels, estiment que sur «plus de 25 nouvelles réalisations et 75 projets de restauration de patrimoine initialement prévus, seulement 5 seront réellement réceptionnés pour l’occasion». La salle Zénith, le palais de la culture Malek Haddad et la maison de la culture Mohamed Laïd Al Khalifa. Mieux, à l’exception de la salle de spectacles Zénith, réalisée en une année, les deux autres structures ont fait l’objet d’une simple reconfiguration.
Quant au pavillon des expositions, il ne sera pas prêt. En toile de fond, la résiliation du contrat des Chinois, ensuite d’un bureau d’études algérois ramené par Khalida Toumi, et enfin des Espagnols pour revenir de nouveau aux Chinois ! La réhabilitation de 10 mosquées et de 7 zaouias de la Médina traîne également pour cause d’indisponibilité de main-d’œuvre qualifiée, alors que le parc urbain du Bardo est englué dans le cercle infernal des glissements de terrain. Il en est de même de la Médersa et de l’hôtel Cirta.
Pourtant, l’organisation pour l’éducation, la science et la culture de la Ligue arabe (Alesco) avait désigné la ville de Constantine pour accueillir cette manifestation culturelle fin décembre 2012... Et ce n’est que maintenant qu’une partie du budget consacré au programme de la manifestation vient d’être débloqué. Ainsi, l’argent aura lui aussi largement contribué à perturber des projections déjà brouillonnes. Au Commissariat de la manifestation notamment, les ambitions ont été revues à la baisse.
L’indicible chantier dans lequel se trouve la ville (relooking des immeubles inachevé et trottoirs non refaits) a contraint le Commissariat de surseoir à l’organisation préalable de certaines activités, comme par exemple un marathon, une foire de la brocante ou encore une exposition de peintures à ciel ouvert avec la participation des étudiants de l’Ecole des beaux-arts. Le Premier ministre a demandé que les 7 milliards de DA alloués à la manifestation (4 milliards de DA au titre de l’exercice 2014, 2 autres milliards de DA pour l’exercice 2015 et un milliard pour 2016), soient dépensés avec «parcimonie et vigilance».
Panique
Il faut dire que le prodigieux montant de 60 milliards de DA consacrés à la manifestation de 2015 attise toutes les convoitises. Lors d’une conférence de presse organisée le 17 janvier dernier, Sami Bencheikh El Hocine, commissaire de la manifestation, n’a pas caché l’existence de «prédateurs» et de «pressions» exercées sur lui «par des patrons de boîtes privées domiciliées à l’étranger et qui aspirent à participer à l’événement moyennant un cachet en devises». Un consultant témoigne encore : «L’opération de pavage du centre-ville qui doit se faire dans un périmètre de 2 km va coûter au minimum 24 000 DA le mètre carré.
Alors qu’une réfection classique avec du marbre revient à 10 000 Da le mètre carré.» Et alors même que les travaux ne sont pas terminés, le spécialiste promet «que ce qui a été fait va causer beaucoup de problèmes, notamment en cas d’intempéries car les avaloirs n’ont pas encore été installés.»
Sur place, la panique gagne les responsables. Les visites de chantier par le wali, programmées le mardi, ont pris désormais un rythme bi-hebdomadaire. Hocine Ouadah a carrément retiré le projet de réhabilitation des infrastructures culturelles d’El Khalifa et Malek Haddad aux entreprises algériennes, jugées non qualifiées, pour les confier à des sociétés chinoises, détentrices déjà de la majorité des projets en cours.
L. Rahmani et S. Ouahib
Vos réactions 6
Saad Zahouani
le 07.02.15 | 15h33
De quelle culture vous parlez ?
Tous les moyens sont bons pour détourner l'argent du
peuple.On aurait souhaité investir ces 60 milliards de DA dans la
construction de grands hôpitaux ou investir dans de grands projets
d'agricultures. Si vraiment vous aimez votre pays cessez de nous prendre
pour des cons. Actuellement on a plus besoin d'agriculture que
d'activités culturelles...
QU’AU MOINS CONSTANTINE SE REDRESSE !
Pour la comparaison il est possible d’aller voir dès
maintenant, au 24-04-2012 : Mme Khalida Toumi, ministre de la Culture au
Temps d'Algérie : «Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011, une
édition remarquable et remarquée».
Rien n’exclut que le bilan soit moins satisfaisant à Constantine.
C’est tellement mal parti qu’on peut déjà le regretter.
Mais, déjà, il y a un enseignement à exploiter : l’adhésion de la population n’y est pas, et la ville ne se présente pas dans un état agréable et accueillant… Même si les travaux étaient plus avancés, cela resterait un lourd handicap.
Pourquoi, à Constantine, cette part d’ombre particulière et si manifeste ?
Parce que ses gestionnaires semblent indifférents à LA CULTURE DE LA VILLE !
S’ils l’avaient eue, CETTE CULTURE LÀ, ils en auraient donné la démonstration dans la bonne tenue de la cité et de ses monuments.
S’ils l’avaient eue, CETTE CULTURE LÀ, ils auraient autant de fois que nécessaire relancé les organisateurs de l’événement pour éviter que les retards ne perdurent, et veillé à la bonne réalisation des opérations.
S’ils l’avaient eue, CETTE CULTURE LÀ, ils auraient milité pour l’amélioration de la ville dans tous les domaines de la culture et de l’architecture, de l’agrément et de la convivialité.
Si donc ils avaient eu CETTE CULTURE LÀ, les Constantinois auraient prouvé leur enthousiasme et leur disponibilité pour la réussite de « Constantine Capitale de la Culture Arabe 2015 », car il en va de leur honneur et de leur satisfaction !
Puisse Constantine retrouver cette CULTURE DE LA VILLE qui lui a permis de traverser deux millénaires d’histoire sans cesser d’être reconnue et appréciée, si bien qu’on l’honore en 2015 !
CETTE CULTURE LÀ est immortelle !
L’autre, qui sert d’argument à des festivités, ne durera qu’un an.
Rien n’exclut que le bilan soit moins satisfaisant à Constantine.
C’est tellement mal parti qu’on peut déjà le regretter.
Mais, déjà, il y a un enseignement à exploiter : l’adhésion de la population n’y est pas, et la ville ne se présente pas dans un état agréable et accueillant… Même si les travaux étaient plus avancés, cela resterait un lourd handicap.
Pourquoi, à Constantine, cette part d’ombre particulière et si manifeste ?
Parce que ses gestionnaires semblent indifférents à LA CULTURE DE LA VILLE !
S’ils l’avaient eue, CETTE CULTURE LÀ, ils en auraient donné la démonstration dans la bonne tenue de la cité et de ses monuments.
S’ils l’avaient eue, CETTE CULTURE LÀ, ils auraient autant de fois que nécessaire relancé les organisateurs de l’événement pour éviter que les retards ne perdurent, et veillé à la bonne réalisation des opérations.
S’ils l’avaient eue, CETTE CULTURE LÀ, ils auraient milité pour l’amélioration de la ville dans tous les domaines de la culture et de l’architecture, de l’agrément et de la convivialité.
Si donc ils avaient eu CETTE CULTURE LÀ, les Constantinois auraient prouvé leur enthousiasme et leur disponibilité pour la réussite de « Constantine Capitale de la Culture Arabe 2015 », car il en va de leur honneur et de leur satisfaction !
Puisse Constantine retrouver cette CULTURE DE LA VILLE qui lui a permis de traverser deux millénaires d’histoire sans cesser d’être reconnue et appréciée, si bien qu’on l’honore en 2015 !
CETTE CULTURE LÀ est immortelle !
L’autre, qui sert d’argument à des festivités, ne durera qu’un an.
gachis & destruction
La Belle Tlemcen a été détruite par Bouteflika et sa Bande
Bouteflika n'aime ni Tlemcen ni la culture ni l'Histoire ni la patriotisme
Allah yarham Colonel Lotfi
l'Année islamique de Tlemcen a permis a des gros voyous de gagner énormément d'argent
résultat , une ville jadis verte et belle , est devenue que du béton et du gris
aucun civisme aucun respect !
ce pouvoir déteste tout ce qui est Beau, esthétique, et ancien
la Circulation et les milliers de Voitures étouffent la Ville, pollution, bruits, embouteillages, stress, pompes a essences submergés etc ??
sans parler de Birouana sur les hauteurs de Tlemcen, un magnifique paysage de verdure detruit, arbres abattus, pour construire une résidence a fakamatouhou, projet égyptien abandonné
resultat , laideurs, béton, parpaing, du gris partout
bref, il faut un procés nuremberg
Bouteflika n'aime ni Tlemcen ni la culture ni l'Histoire ni la patriotisme
Allah yarham Colonel Lotfi
l'Année islamique de Tlemcen a permis a des gros voyous de gagner énormément d'argent
résultat , une ville jadis verte et belle , est devenue que du béton et du gris
aucun civisme aucun respect !
ce pouvoir déteste tout ce qui est Beau, esthétique, et ancien
la Circulation et les milliers de Voitures étouffent la Ville, pollution, bruits, embouteillages, stress, pompes a essences submergés etc ??
sans parler de Birouana sur les hauteurs de Tlemcen, un magnifique paysage de verdure detruit, arbres abattus, pour construire une résidence a fakamatouhou, projet égyptien abandonné
resultat , laideurs, béton, parpaing, du gris partout
bref, il faut un procés nuremberg
Des Sous-traitants Algériens ???
Constantine Capitale du détournement de l'Argent Public ???
Des Bureaux d'études étrangers,qui n'ont rien à voir avec la culture et l'Habitat de Constantine ??? ,
ont emportés plusieurs milliards en devise.
les marchés sont donnés à des Français, des Italiens ,portugais,espagnols,...,
Ces derniers ont empochés plusieurs milliards en devise et puis ils ont sous-traités des Algériens.
En finalité la sous-traitance revient aux petits entrepreneurs Algériens
(un maçon,un main-d'oeuvre,une brouette,une pelle et un pioche,sac de ciment ,un bidon de peinture,...),
bonjour les dégâts ???
Qui ont saccagés les façades des immeubles de la ville de Constantine,
les trottoirs ,les espaces verts ,..
Surtout pour être au Rendez-vous ,tout est permis,feu vert des Autorités de la ville??
le seul perdant dans tout ça:
1-le citoyen Constantine
2-La ville de Constantine et sa culture
Allah la teraberkoum inchallah
Que dieu vous brûle avec tout cet Argent
que vous avez détourné.
Des Bureaux d'études étrangers,qui n'ont rien à voir avec la culture et l'Habitat de Constantine ??? ,
ont emportés plusieurs milliards en devise.
les marchés sont donnés à des Français, des Italiens ,portugais,espagnols,...,
Ces derniers ont empochés plusieurs milliards en devise et puis ils ont sous-traités des Algériens.
En finalité la sous-traitance revient aux petits entrepreneurs Algériens
(un maçon,un main-d'oeuvre,une brouette,une pelle et un pioche,sac de ciment ,un bidon de peinture,...),
bonjour les dégâts ???
Qui ont saccagés les façades des immeubles de la ville de Constantine,
les trottoirs ,les espaces verts ,..
Surtout pour être au Rendez-vous ,tout est permis,feu vert des Autorités de la ville??
le seul perdant dans tout ça:
1-le citoyen Constantine
2-La ville de Constantine et sa culture
Allah la teraberkoum inchallah
Que dieu vous brûle avec tout cet Argent
que vous avez détourné.
Capitale de la magouille!
Constantine ou toute autre ville dans notre pays qui devient
soudainement 'capitale de la culture arabe' devient en fait capitale de
la magouille en tout genre, l'enrichissement rapide et illicite si
facile a constater est le vrai moteur de motivation. En plus, vue les
charges gigantesque que cela coute au pays pourquoi l'organiser toute 1
année, une quinzaine est largement suffisante. Je dis cela tout en étant
moi-même Constantinois mais je ne défends pas mes principes sur le
régionalisme qui a tant fait souffrir notre pays, je défends des
principes justes au Sud, Nord, à l’Ouest ou à l'Est.
la catastrophe annoncée
le bricolage et le non sens couplé à la gabegie,des milliards
engloutis pour des prunes quel effet sur l' aménagement la
reconfiguration des espaces et du territoire sur le caractère
métropolitain de Constantine?sur l' économie locale, sur l' attractivité
du territoire?parcimonie et vigilance dites vous!!!!!!!!!!!!embusqués
dans tous les coins même dans les égouts pour siphonner ce qui reste de
la manne financière,les prédateurs et leurs sponsors officiel et autres
commissionnaires se frottent les mains ,rendez vous fin 2016 quand le
rideau sera tombé.la cour des comptes devraient envoyer ces experts.
70 écoles primaires à réhabiliter
le 07.02.15 | 10h00
Réagissez
Un programme de réhabilitation de 70 écoles primaires au niveau de la
commune de Constantine sera lancé prochainement pour un budget de près
de 30 millions de dinars, selon la cellule de communication de l’APC de
Constantine.
La même source précise qu’un cahier des charges a été établi et il ne reste qu’entamer les procédures administratives pour lancer les travaux. «Le programme devra toucher 145 écoles primaires, mais ces 70 établissements ont été choisis en raison de leur état de dégradation avancé (problème de fissures, d’étanchéité et autres).
Cette opération s’inscrit dans le programme des préparatifs de l’évènement Constantine capitale de la culture arabe et la durée des travaux a été fixée à 3 mois», explique la même source.
La même source précise qu’un cahier des charges a été établi et il ne reste qu’entamer les procédures administratives pour lancer les travaux. «Le programme devra toucher 145 écoles primaires, mais ces 70 établissements ont été choisis en raison de leur état de dégradation avancé (problème de fissures, d’étanchéité et autres).
Cette opération s’inscrit dans le programme des préparatifs de l’évènement Constantine capitale de la culture arabe et la durée des travaux a été fixée à 3 mois», explique la même source.
Yousra Salem
- التفاصيل
- نشر بتاريخ: الأربعاء، 11 فيفري 2015 00:31
بين تحقيق رسمي أن رواتب النساء تفوق رواتب الرجال في الجزائر وارجع القائمون على الدراسة التفاوت بين أجور النساء والرجال، إلى الكفاءة التي تمتع بها المرأة الجزائرية وإلى كون أغلبية النساء الموظفات جامعيات في حين توقف المسار الدراسي لمعظم الرجال العاملين دون هذا المستوى.
وحسب تحقيق أنجز على عشر سنوات حول نفقات الاستهلاك والمستوى
المعيشي للأسرة في سنة 2011 تم نشر الجانب الخاص بالأجور- في 2015 «بلغ
متوسط الأجر الشهري للنساء 33900 دينار بينما يتقاضى الرجال 28 ألف دينار»
ويبقى هذا الفرق ناتج جزئيا عن البنية الاجمالية لعدد الأجراء حسب
الكفاءة».
وأكد المدير التقني المكلف بالاحصائيات الاجتماعية و المداخيل بالديوان يوسف بازيزي لوكالة الأنباء الجزائرية أن «متوسط الأجر الشهري للنساء «كان أعلى نسبيا من أجر الرجال سنة 2011 موضحا أن «النساء كن أكثر كفاءة».
وقد سجل التحقيق أن 4ر44 بالمئة من النساء الأجيرات تتمتعن بمستوى جامعي مقابل 70ر10 بالمئة فقط بالنسبة للرجال الاجراء.
وما يبرر هذه الوضعية هو الفارق في البنية من حيث مستوى التعليم بين الجنسين. وأضاف نفس المصدر أن «مستوى التعليم له اثر كبيرا على الأجور المتوسطة.
فالأجر المتوسط يرتفع بشكل ملحوظ مع مستوى التعليم حيث كان يتراوح ما بين 22568 دج بالنسبة للذين ليس لهم مستوى تعليمي و 42383 دج بالنسبة للمستوى العالي».
هذا وفي سنة 2011 ارتفع الأجر الصافي الشهري الاجمالي الصادر من النشاط الرئيسي الى 29500 دج غير أن هذا المعدل يتغير حسب النشاط والقطاع القانوني بل ايضا حسب بعض الخصوصيات الاجتماعية والديمغرافية لا سيما السن والمستوى التعليمي.
وقد بين التحقيق أن الأجر المتوسط في القطاع العام يبلغ 36084 دج في الشهر بينما يقدر في القطاع الخاص ب22872 دج.
وقد تميز القطاع العام بالعدد الكبير للاطارات التي يوظفها (3ر71 بالمئة) عكس القطاع الخاص الذي يوظف اكثر موظفي التنفيذ (3ر60 بالمئة).
كما كشف التحقيق أن الطبقة المتوسطة توافق فئة 15 ألف دج الى 25 ألف دينار في حين يبلغ الأجر المتوسط في كل القطاعات 24468 دج.
وحسب القطاع القانوني يتقاضى 30 بالمئة من الموظفين في القطاع العمومي أجرا شهريا اقل من 25 الف دج و30 بالمئة من الاجراء يتقاضون أكثر من 40 الف دج في حين يتقاضى 5 المئة من الموظفين في القطاع العام اجرا متوسطا اقل من الأجر الوطني الادنى المضمون.
وفيما يتعلق بالقطاع الخاص 5ر73 بالمئة من الموظفين يتقاضون أقل من 25 الف دج بينما يتقاضى 6 بالمئة فقط من الأجراء أجرا متوسطا اعلى من 40 الف دج و2ر26 بالمئة كانوا يتقاضون اجرا اقل من الأجر الوطني الأدنى المضمون.
وقد أنجز التحقيق حول نفقات الاستهلاك والمستوى المعيشي في سنة 2011 لدى عينة من 12150 أسرة جزائرية عبر التراب الوطني.
ق و/ واج
وأكد المدير التقني المكلف بالاحصائيات الاجتماعية و المداخيل بالديوان يوسف بازيزي لوكالة الأنباء الجزائرية أن «متوسط الأجر الشهري للنساء «كان أعلى نسبيا من أجر الرجال سنة 2011 موضحا أن «النساء كن أكثر كفاءة».
وقد سجل التحقيق أن 4ر44 بالمئة من النساء الأجيرات تتمتعن بمستوى جامعي مقابل 70ر10 بالمئة فقط بالنسبة للرجال الاجراء.
وما يبرر هذه الوضعية هو الفارق في البنية من حيث مستوى التعليم بين الجنسين. وأضاف نفس المصدر أن «مستوى التعليم له اثر كبيرا على الأجور المتوسطة.
فالأجر المتوسط يرتفع بشكل ملحوظ مع مستوى التعليم حيث كان يتراوح ما بين 22568 دج بالنسبة للذين ليس لهم مستوى تعليمي و 42383 دج بالنسبة للمستوى العالي».
هذا وفي سنة 2011 ارتفع الأجر الصافي الشهري الاجمالي الصادر من النشاط الرئيسي الى 29500 دج غير أن هذا المعدل يتغير حسب النشاط والقطاع القانوني بل ايضا حسب بعض الخصوصيات الاجتماعية والديمغرافية لا سيما السن والمستوى التعليمي.
وقد بين التحقيق أن الأجر المتوسط في القطاع العام يبلغ 36084 دج في الشهر بينما يقدر في القطاع الخاص ب22872 دج.
وقد تميز القطاع العام بالعدد الكبير للاطارات التي يوظفها (3ر71 بالمئة) عكس القطاع الخاص الذي يوظف اكثر موظفي التنفيذ (3ر60 بالمئة).
كما كشف التحقيق أن الطبقة المتوسطة توافق فئة 15 ألف دج الى 25 ألف دينار في حين يبلغ الأجر المتوسط في كل القطاعات 24468 دج.
وحسب القطاع القانوني يتقاضى 30 بالمئة من الموظفين في القطاع العمومي أجرا شهريا اقل من 25 الف دج و30 بالمئة من الاجراء يتقاضون أكثر من 40 الف دج في حين يتقاضى 5 المئة من الموظفين في القطاع العام اجرا متوسطا اقل من الأجر الوطني الادنى المضمون.
وفيما يتعلق بالقطاع الخاص 5ر73 بالمئة من الموظفين يتقاضون أقل من 25 الف دج بينما يتقاضى 6 بالمئة فقط من الأجراء أجرا متوسطا اعلى من 40 الف دج و2ر26 بالمئة كانوا يتقاضون اجرا اقل من الأجر الوطني الأدنى المضمون.
وقد أنجز التحقيق حول نفقات الاستهلاك والمستوى المعيشي في سنة 2011 لدى عينة من 12150 أسرة جزائرية عبر التراب الوطني.
ق و/ واج
70 écoles primaires à réhabiliter
le 07.02.15 | 10h00
Réagissez
Un programme de réhabilitation de 70 écoles primaires au niveau de la
commune de Constantine sera lancé prochainement pour un budget de près
de 30 millions de dinars, selon la cellule de communication de l’APC de
Constantine.
La même source précise qu’un cahier des charges a été établi et il ne reste qu’entamer les procédures administratives pour lancer les travaux. «Le programme devra toucher 145 écoles primaires, mais ces 70 établissements ont été choisis en raison de leur état de dégradation avancé (problème de fissures, d’étanchéité et autres).
Cette opération s’inscrit dans le programme des préparatifs de l’évènement Constantine capitale de la culture arabe et la durée des travaux a été fixée à 3 mois», explique la même source.
La même source précise qu’un cahier des charges a été établi et il ne reste qu’entamer les procédures administratives pour lancer les travaux. «Le programme devra toucher 145 écoles primaires, mais ces 70 établissements ont été choisis en raison de leur état de dégradation avancé (problème de fissures, d’étanchéité et autres).
Cette opération s’inscrit dans le programme des préparatifs de l’évènement Constantine capitale de la culture arabe et la durée des travaux a été fixée à 3 mois», explique la même source.
Yousra Salem
Projets de l’événement culturel de Constantine
La compétence chinoise pour sauver la manifestation
le 07.02.15 | 10h00
3 réactions
A J-68 du rendez-vous fatidique, la crainte d’un fiasco hante...
C’est une véritable course contre la montre que livre l’exécutif à Constantine pour inaugurer la manifestation culturelle de l’année dans les temps. Le respect des délais devient dés lors la priorité, virant à la hantise tant l’enjeu est de taille. C’est ainsi que d’une seule visite par semaine effectuée aux différents projets relatifs à l’événement «Constantine, capitale de la culture arabe», que le chef de l’exécutif est passé à trois déplacements hebdomadaires.
A deux mois du lancement de festivités, les multiples chantiers
auraient du atteindre leur vitesse de croisière, mais ce n’est pas le
cas pour bon nombre d’entre eux. Dans le gros comme dans le détail, les
couacs et les retards sont relevés à chaque halte. Même la couleur des
sièges et des moquettes a nourri le «débat» au niveau du palais de la
culture Malek Haddad. Cet édifice phare de la manifestation, objet d’une
grande opération de rénovation, devrait en principe être réceptionné le
28 du mois en cours.
L’entreprise locale en charge de cette mission a auparavant été mise en demeure. La seconde chance qui lui soit accordée l’engage solennellement et officiellement à livrer les lieux en temps et en heure quitte à livrer bataille en activant le système de roulement des trois-huit (3/8), soit trois équipes qui se relayeront H24, aux fins de boucler le chantier dans le respect du calendrier fixé par la direction des équipements. Pour que cela se produise, il a fallu recourir à des renforts, du moins pour exécuter l’aménagement extérieur du palais.
Après les prouesses réalisées dans les projets de la salle de spectacles Zénith et l’hôtel Marriott, la sollicitation de la compétence chinoise devient incontournable.Encore fois, ce sont les ouvriers chinois qui s’y sont collés pour que le palais de la culture Malek Haddad puisse être réceptionné à la fin de ce mois.
La célérité, dont ils ont déjà fait preuve dans la réalisation de projets, est l’atout majeur qui les positionne en meilleur maître d’œuvre, une bouée de sauvetage, le cas échéant. Appeler des entreprises chinoises à la rescousse dans ce vaste chantier dédié à une manifestation qui naîtra aux forceps est loin d’être une mauvaise idée. Mais, n’aurait-il pas été plus simple de procéder de la sorte depuis le début ?
Que d’économie de temps et d’argent, ce choix aurait pu procurer à la trésorerie publique dans une conjoncture difficile, greffée par l’effondrement du marché pétrolier ? A neuf semaines du coup de starter de l’événement «Constantine, capitale de la culture arabe», l’ultime option à même d’éloigner le spectre d’un fiasco est indéniablement celle du recours à la main d’œuvre étrangère, en l’occurrence chinoise. Et il n’est jamais trop tard pour bien faire.
L’entreprise locale en charge de cette mission a auparavant été mise en demeure. La seconde chance qui lui soit accordée l’engage solennellement et officiellement à livrer les lieux en temps et en heure quitte à livrer bataille en activant le système de roulement des trois-huit (3/8), soit trois équipes qui se relayeront H24, aux fins de boucler le chantier dans le respect du calendrier fixé par la direction des équipements. Pour que cela se produise, il a fallu recourir à des renforts, du moins pour exécuter l’aménagement extérieur du palais.
Après les prouesses réalisées dans les projets de la salle de spectacles Zénith et l’hôtel Marriott, la sollicitation de la compétence chinoise devient incontournable.Encore fois, ce sont les ouvriers chinois qui s’y sont collés pour que le palais de la culture Malek Haddad puisse être réceptionné à la fin de ce mois.
La célérité, dont ils ont déjà fait preuve dans la réalisation de projets, est l’atout majeur qui les positionne en meilleur maître d’œuvre, une bouée de sauvetage, le cas échéant. Appeler des entreprises chinoises à la rescousse dans ce vaste chantier dédié à une manifestation qui naîtra aux forceps est loin d’être une mauvaise idée. Mais, n’aurait-il pas été plus simple de procéder de la sorte depuis le début ?
Que d’économie de temps et d’argent, ce choix aurait pu procurer à la trésorerie publique dans une conjoncture difficile, greffée par l’effondrement du marché pétrolier ? A neuf semaines du coup de starter de l’événement «Constantine, capitale de la culture arabe», l’ultime option à même d’éloigner le spectre d’un fiasco est indéniablement celle du recours à la main d’œuvre étrangère, en l’occurrence chinoise. Et il n’est jamais trop tard pour bien faire.
Naïma Djekhar
Vos réactions 3
nadir666
le 10.02.15 | 15h46
L'aveugle qui voit très bien
Le temps du tape à l'oeil 2015 et tout s'écroulera comme un château de carte!
sourde oreille.
Quand on casse les precieux escaliers du coudiat (ils sont au
nombres de quatre)et ce en dépit des protestations de la population.
Quand on remplace la pierre que le bon dieu a créé par du vulgaire béton
mal dosé,on doit comprendre qu'on est à côté de la plaque et qu'on ne
réalisera rien de bon.
ET POUR LE RESTE ?
On n'est pas loin de penser qu'il serait plus efficace ,et
certainement plus économique , de confier "toute l'affaire" ,selon une
formule spectacles en mains, à nos amis chinois .
Le wilaya en serait agréablement débarrassée et pourrait ainsi mieux se réserver aux personnalités et aux médias.
Le wilaya en serait agréablement débarrassée et pourrait ainsi mieux se réserver aux personnalités et aux médias.
Faïrouz en Algérie : les proches de la diva démentent le commissariat de «Constantine capitale de la culture arabe» (Audio)
le 08.02.15 | 13h03
9 réactions
Annoncée officiellement par le commissaire de «Constantine capitale de la culture arabe», Sami Bencheikh El Hocine, à El Watan Week-end dans sa dernière édition, la venue de la diva libanaise Faïrouz a été démentie, vendredi, par son avocat, Fawzi Motrane, et sa fille, Reema Rahbani.
El Watan Week-end avait, jeudi, rappelé plusieurs fois le commissaire et sa chargée de com qui nous ont confirmé que la grande dame de la musique arabe animera trois concerts en Algérie.
Re-contacté, le commissaire refuse de nous répondre pour éclaircir cet imbroglio. Nous publions ici l’enregistrement audio de l’interview qu’a réalisé El Watan Week-end avec le commissaire de l’événement et où il affirme que Faïrouz viendra chanter en Algérie.
Adlène Meddi
Vos réactions 9
Juba 0211
le 09.02.15 | 13h00
A Loukan...
Loin de faire une polémique avec le Sieur Loukan, mais au
lieu de bavé sur de ce qu'il ignore, je l'invite à lire Iben Khaldoun
histoire des Berbère pour comprendre la sienne.
Par conséquent en ce qui concerne l'arabisme, il ne suffit pas seulement d'être soumis=musulman pour être Arabe. Par contre en ce qui concerne les Syriens n'ont jamais était Arabes mais Phéniciens, mais Arabe comme toi.
(Lis IBEN Khaldoun "histoire des Berbères" et fait une Reaction via ELWATAN? que je lis sauvent)
Par conséquent en ce qui concerne l'arabisme, il ne suffit pas seulement d'être soumis=musulman pour être Arabe. Par contre en ce qui concerne les Syriens n'ont jamais était Arabes mais Phéniciens, mais Arabe comme toi.
(Lis IBEN Khaldoun "histoire des Berbères" et fait une Reaction via ELWATAN? que je lis sauvent)
Désolant
d'entendre parler ce prétendu commissaire de la manifestation
Constantine, capitale, etc. J'ai eu le sentiment d'entendre causer un
marchand de zlabia de Rahbet-el-Djmel. Que c'est triste. Cela augure mal
de l'indigence du programme projeté. De plus, ce Bencheik est doublé
d'un menteur...Un imposteur de plus dans l'immense océan des parvenus..
benchickh
On croirait entendre un marchand de merguez parlant de choses autre à ce qu'il touche habituellement...
@Juba 0211
Votre écrit est Jubi ... lant. Il fait sourire de naïveté.
Sans revenir sur le fait que les égyptiens se disent aussi arabes (même les coptes). On ne peut pas dire que leurs ancêtres les pharaons soient arabes ... pareil pour les syriens, libanais, irakiens ...
Comme on devine que vous êtes kabyle il faudrait me dire pourquoi en berbère kabyle on dit tighrifine (vient directement de l'arabe reghif, pourquoi on dit akhim (vient de kheima) pourquoi on dit aquel (voir) qui vient de mouqulati (mot arabe) ... et je peux citer des centaines de mots.
Rassurez-vous Fairouz est libanaise et pas syrienne ... mais la Syrie vous apparait comme la source de "l'arabisme" alors tout est dit. Taos Amrouche n'a pas été interdite seulement parce qu'elle est d'origine kabyle mais parce qu'à l'époque on ne pouvait laisser une chanteuse qui avait choisi la nationalité française et qui plus est s'était convertie au christianisme allant à l'encontre de la croyance de ses parents. Il aurait fallu qu'elle chante en France ... moi ses disques me suffisent. Roi Juba, vous parlez de police de Constantine ... mais je vous rassure que les commissaires dont on parle ne sont pas des commissaires de police au même titre qu'il y a un commissariat à l'amazighité (il est vrai que son commissaire est peut-être tenu à l'oeil par des vrais policiers).
Sans revenir sur le fait que les égyptiens se disent aussi arabes (même les coptes). On ne peut pas dire que leurs ancêtres les pharaons soient arabes ... pareil pour les syriens, libanais, irakiens ...
Comme on devine que vous êtes kabyle il faudrait me dire pourquoi en berbère kabyle on dit tighrifine (vient directement de l'arabe reghif, pourquoi on dit akhim (vient de kheima) pourquoi on dit aquel (voir) qui vient de mouqulati (mot arabe) ... et je peux citer des centaines de mots.
Rassurez-vous Fairouz est libanaise et pas syrienne ... mais la Syrie vous apparait comme la source de "l'arabisme" alors tout est dit. Taos Amrouche n'a pas été interdite seulement parce qu'elle est d'origine kabyle mais parce qu'à l'époque on ne pouvait laisser une chanteuse qui avait choisi la nationalité française et qui plus est s'était convertie au christianisme allant à l'encontre de la croyance de ses parents. Il aurait fallu qu'elle chante en France ... moi ses disques me suffisent. Roi Juba, vous parlez de police de Constantine ... mais je vous rassure que les commissaires dont on parle ne sont pas des commissaires de police au même titre qu'il y a un commissariat à l'amazighité (il est vrai que son commissaire est peut-être tenu à l'oeil par des vrais policiers).
Culture a rab!
Il faut d'abord commencer par vous eduquer ,par vous cultiver
avant de tonitruer .Mme Fairuz que j'admire et salut n'est pas a la
portee de ces escrocs qui veulent l'enfariner avant de l'oublier ,une
fois la zetla terminee'. Soyez au moins honnetes > vos declarations
mensongeres vous reviennent en pleine figure et vous invitent a
remettre le tablier pour la tache qui vous est confiee.Non ,cela vous
semble un peu trop. Mesquins vous etes ,mesquins vous resterez .Entre
temps ,l'important est ailleurs. Invitez Rabah Driassa, ,remiti si elle
est en vie pour vous egayer toutes les nuits .Plutot que de faire appel
aux artistes Algeriens ,vous quemandez des sommites a coup de devises
eleves pour tirer profit de leurs cachets .Des escrocs de votre espece
il n'y a que ca en Algerie .Alors de grace ne vous frottez pas a l'art
,a la culture ,a la musique ,vous etes loin tres loin pour en comprendre
quoi que ce soit .
Gaspillage dans les temps durs
Faut savoir gérer les finances du Pays. Faireouz n'est pas une priorité
Constantine capitale de culture Ar...
Franchement on manque pas d'air de qualifier Constantine de
culture arabes, comme c'est Massinissa est descendant des Bnou-Hillals.
Enfin on reste mue de cette ignorance qui prend ses vicies pour des lanternes. Maintenant que les constantinnois-se se prennent pour des arabes c'est leur affaire, mais le contraire c'est une hérésie.
Qu'on parle tant de cette chanteuse Syrienne soit, mais il ne faut faire un plat! Pourquoi à l'époque de Taos Amrouche Diva Érudite, c'est à dire des années 50, 60 et début 70 avait été interdite de se produire en Algérie par la volonté des gouvernants de l'époque, portant c'était une des nôtres surtout qui avait participé à sa manière à la révolution Algérienne. Tout ça à cause qu'elle état d'origine de petite Kabylie. N'est ce pas deux poids deux mesures pour les ignorants de leurs passés historiques .Par conséquent en ce qui concerne la police de Constantine, d'Alger ou d'ailleurs, ils occupent des fonctions à leurs mesures, le faite qu'ils ne peuvent faire autres choses.
Enfin on reste mue de cette ignorance qui prend ses vicies pour des lanternes. Maintenant que les constantinnois-se se prennent pour des arabes c'est leur affaire, mais le contraire c'est une hérésie.
Qu'on parle tant de cette chanteuse Syrienne soit, mais il ne faut faire un plat! Pourquoi à l'époque de Taos Amrouche Diva Érudite, c'est à dire des années 50, 60 et début 70 avait été interdite de se produire en Algérie par la volonté des gouvernants de l'époque, portant c'était une des nôtres surtout qui avait participé à sa manière à la révolution Algérienne. Tout ça à cause qu'elle état d'origine de petite Kabylie. N'est ce pas deux poids deux mesures pour les ignorants de leurs passés historiques .Par conséquent en ce qui concerne la police de Constantine, d'Alger ou d'ailleurs, ils occupent des fonctions à leurs mesures, le faite qu'ils ne peuvent faire autres choses.
culturel 12
Voilà,ça aurait été trop beau.Comme ça,maintenant, ils vont
se calmer ceux qui ont crié au gaspillage.J'espère qu'entre temps ils
ont fait un tour sur les merveilles de FAIROUZ toutes celles qu'ils ont
ratées durant leur existence et qu'ils iront chercher leur malheur
ailleurs.je parie qu'il ne sauraient même pas estimer les grands Hadj
Taher Fergueni ou alors le défunt Hachemi GUEROUABI.
un ballon vient de s'éclater ...
Tout homme à tendance à s'élever à son niveau d'incompétence.
Quand on s'approche trop des cercles des faiseurs de la pluie et du beau temps en Algérie, on est systématiquement atteint du syndrome "Amar Saadani".
Un coup dur pour une personne qui défendait les droits d'auteur et droits voisins . . .
Quand on s'approche trop des cercles des faiseurs de la pluie et du beau temps en Algérie, on est systématiquement atteint du syndrome "Amar Saadani".
Un coup dur pour une personne qui défendait les droits d'auteur et droits voisins . . .
Esplanade de la mosquée Emir Abdelkader : «Opération de démolition et non de réhabilitation»
le 11.02.15 | 10h00
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Dès le début des travaux de réhabilitation de l’esplanade de la mosquée Emir Abdelkader nous avons constaté qu’il s’agissait beaucoup plus d’une opération de démolition et non de réhabilitation», nous a déclaré, hier, Ahmed Ben Abderrahmane, président du comité de la mosquée EAK.
Celui-ci- monte pour, ainsi dire, au créneau pour dénoncer les retards
et autres malfaçons constatés dans l’opération réhabilitation et
consolidation de l’esplanade de la mosquée engagés en mars 2014. Il nous
dira à ce propos: «le retard accumulé est dû en grande partie à
l’absence d’une étude préalable sérieuse. Le bureau d’études choisi en
novembre 2013 n’a pas fait un état des lieux exact ni de relevés
topographiques fiables en dépit du fait que pas moins d’une trentaine de
plans de l’esplanade lui on été confiés.
L’entreprise chargée de l’opération a donc «navigué à vue» pour réaliser les travaux en l’absence de suivi ou de réunion de coordination entre les différents intervenants sur cette opération». Notre interlocuteur parle ainsi de saccage de tout ce qui existait sur terre et sous terre sur ce site et dont les conséquences n’ont pas tardé à se faire savoir notamment en ce qui concerne les murets qui dépassent leur hauteur initiale, des murs de soutènement mal réalisés, l’absence de caniveaux et de conduites pour le réseau AEP, des câbles cisaillés de manière anarchique et bien d’autres malfaçons qui ont conduit à ce qu’il a qualifié de véritable gâchis.
Il précisera d’autre part que des correspondances et des lettres de rappels ont été adressées au ministre des Affaires religieuses ainsi qu’au DEP de Constantine dans lesquelles il leur a fait part de ses préoccupations quant à la livraison de ce projet dans les délais impartis à savoir avant le 16 avril 2015 correspondant au début de la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe».
Hadj Ben Abderrahmane a tenu à souligner que le wali de Constantine avait pris la décision de changer de bureau d’études il y a près de deux mois mais, selon lui, le mal est déjà fait et le projet ne pourra être livré dans les délais notamment pour ce qui concerne les travaux de drainage et de consolidation des murs de soutènement et de reprise des jets d’eau à leur état initial.
L’entreprise chargée de l’opération a donc «navigué à vue» pour réaliser les travaux en l’absence de suivi ou de réunion de coordination entre les différents intervenants sur cette opération». Notre interlocuteur parle ainsi de saccage de tout ce qui existait sur terre et sous terre sur ce site et dont les conséquences n’ont pas tardé à se faire savoir notamment en ce qui concerne les murets qui dépassent leur hauteur initiale, des murs de soutènement mal réalisés, l’absence de caniveaux et de conduites pour le réseau AEP, des câbles cisaillés de manière anarchique et bien d’autres malfaçons qui ont conduit à ce qu’il a qualifié de véritable gâchis.
Il précisera d’autre part que des correspondances et des lettres de rappels ont été adressées au ministre des Affaires religieuses ainsi qu’au DEP de Constantine dans lesquelles il leur a fait part de ses préoccupations quant à la livraison de ce projet dans les délais impartis à savoir avant le 16 avril 2015 correspondant au début de la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe».
Hadj Ben Abderrahmane a tenu à souligner que le wali de Constantine avait pris la décision de changer de bureau d’études il y a près de deux mois mais, selon lui, le mal est déjà fait et le projet ne pourra être livré dans les délais notamment pour ce qui concerne les travaux de drainage et de consolidation des murs de soutènement et de reprise des jets d’eau à leur état initial.
11 FÉVRIER 1955 : L’arrestation de Mostefa Benboulaïd
le 11.02.15 | 10h00
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La nouvelle parvenue samedi 12 février 1955 aux autorités préfectorales de Constantine était d’une importance capitale. Il s’agit de l’arrestation la plus importante jamais réalisée depuis le déclenchement de la lutte armée en Algérie, le 1er novembre 1954, plus connuechez les Français par les évènements de la Toussaint. Le chef de la wilaya I (les Aurès), Mostefa Benboulaïd, venait d’être arrêté à Bengardane au sud de la Tunisie.
Benboulaïd qui avait quitté les Aurès quelques semaines plutôt, était
de retour d’une mission pour ramener des armes acheminés de la Libye à
partir de l’Egypte. Selon les détails rapportés par la Dépêche de
Constantine du dimanche 13 février 1955, tout a commencé le jeudi 10
février à Bengardane, dans le sud de la Tunisie. A l’arrivée de
l’autocar de Gabes, Mostefa Benboulaïd et son compagnon Amar Ben Mohamed
Ferchichi, suspectés par un agent au poste de contrôle, furent
interpellés pour vérification de leurs identités.
Sentant qu’ils allaient être débusqués, et peu avant l’arrivée au bureau des affaires indigènes, l’un d’eux, qui est probablement Benboulaïd, selon certaines sources, abattit le soldat d’un coup de pistolet et prit la fuite avec son acolyte. L’alerte fut donnée, et une patrouille sortit à leur poursuite.
Les deux fugitifs seront arrêtés dans la matinée de vendredi 11 février près de la frontière libyenne. C’est le commissaire de surveillance du territoire de Gabes, en possession de renseignement des services français, qui réussit à identifier Benboulaid.
Une fois la nouvelle connue, les autorités judiciaires du département de Constantine ont chargé le commissaire Courrieu de la police judiciaire de Batna de partir aussitôt pour Tunis pour les procédures d’identification. L’information, officiellement confirmée, a fait le tour des rédactions où elle avait fait la Une des journaux de l’époque. Transféré à Constantine, Mostefa Benboulaïd avait comparu devant le tribunal permanent des forces armées où il avait été condamné à la peine de mort.
Il sera incarcéré à la prison du Coudiat où il ne restera que quelques mois. Après une longue et minutieuse préparation, Benboulaïd réussira le jeudi 10 novembre 1955, avec 10 autres condamnés à mort. Comme son arrestation en Tunisie, son évasion de la prison du Coudiat restera l’une des plus spectaculaires dans l’histoire de la guerre d’Algérie.
Sentant qu’ils allaient être débusqués, et peu avant l’arrivée au bureau des affaires indigènes, l’un d’eux, qui est probablement Benboulaïd, selon certaines sources, abattit le soldat d’un coup de pistolet et prit la fuite avec son acolyte. L’alerte fut donnée, et une patrouille sortit à leur poursuite.
Les deux fugitifs seront arrêtés dans la matinée de vendredi 11 février près de la frontière libyenne. C’est le commissaire de surveillance du territoire de Gabes, en possession de renseignement des services français, qui réussit à identifier Benboulaid.
Une fois la nouvelle connue, les autorités judiciaires du département de Constantine ont chargé le commissaire Courrieu de la police judiciaire de Batna de partir aussitôt pour Tunis pour les procédures d’identification. L’information, officiellement confirmée, a fait le tour des rédactions où elle avait fait la Une des journaux de l’époque. Transféré à Constantine, Mostefa Benboulaïd avait comparu devant le tribunal permanent des forces armées où il avait été condamné à la peine de mort.
Il sera incarcéré à la prison du Coudiat où il ne restera que quelques mois. Après une longue et minutieuse préparation, Benboulaïd réussira le jeudi 10 novembre 1955, avec 10 autres condamnés à mort. Comme son arrestation en Tunisie, son évasion de la prison du Coudiat restera l’une des plus spectaculaires dans l’histoire de la guerre d’Algérie.
Nouri Nesrouche
LOGEMENT SOCIAL : Contestation devant le cabinet du wali
le 11.02.15 | 10h00
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Ils sont à leur troisième sit-in hebdomadaire devant le cabinet du wali, sis au boulevard JF Kennedy. Ce sont des bénéficiaires du programme de logement social qui attendent leur relogement depuis des années.
Hier, ils étaient des dizaines d’hommes et de femmes, issus, entre
autres, de Daksi et El Gammas à s’agglutiner sous les fenêtres de
l’immeuble officiel, hurlant leur désarroi devant une situation
incongrue. Plusieurs femmes se sont installées en travers de
l’intersection bloquant de facto la circulation, très dense à cet
endroit.
Toutes les tentatives des agents de l’ordre en faction de les déloger ont été vaines tant l’opposition s’est avérée farouche. Il a fallu user de tact et de patience pour rouvrir le passage au trafic automobile. Il faut rappeler que depuis 2005, les programmes d’attribution de logements sociaux sont gelés.La priorité a été orientée vers la résorption de l’habitat précaire (RHP). Constantine, ceinturée par plus de 11 000 bidonvilles, il ya quelques années, a vu cette tare urbanistique se réduire comme une peau de chagrin depuis l’activation du programme de l’éradication de ce type d’habitat, sous la pulsion d’une instruction présidentielle.
La manifestation «Constantine, capitale de la culture arabe», dans un souci d’effacer toute laideur pouvant entacher le visage de la ville pour ce rendez-vous international, a encore lésé toutes ces familles, venues, hier, rappeler aux autorités leur engagement en scandant «social, social». Sont –elles pour autant au bout de leur peine ? Rien n’est sur car il est réservé le même sort au prochain quota de 4000 logements publics locatifs (LPL) qui sera, selon les déclarations de la direction de l’OPGI distribué au plus tard à la fin du mois de mars prochain.
Une partie importante de ce quota est «prioritairement réservée» au relogement des familles vivant sur des sites affectés par des glissements de terrain et à l’éradication de l’habitat précaire, selon la même source. De quoi nourrir davantage les inquiétudes de ces contestataires, «déterminés à revenir à la charge tant que cela est nécessaire».
Toutes les tentatives des agents de l’ordre en faction de les déloger ont été vaines tant l’opposition s’est avérée farouche. Il a fallu user de tact et de patience pour rouvrir le passage au trafic automobile. Il faut rappeler que depuis 2005, les programmes d’attribution de logements sociaux sont gelés.La priorité a été orientée vers la résorption de l’habitat précaire (RHP). Constantine, ceinturée par plus de 11 000 bidonvilles, il ya quelques années, a vu cette tare urbanistique se réduire comme une peau de chagrin depuis l’activation du programme de l’éradication de ce type d’habitat, sous la pulsion d’une instruction présidentielle.
La manifestation «Constantine, capitale de la culture arabe», dans un souci d’effacer toute laideur pouvant entacher le visage de la ville pour ce rendez-vous international, a encore lésé toutes ces familles, venues, hier, rappeler aux autorités leur engagement en scandant «social, social». Sont –elles pour autant au bout de leur peine ? Rien n’est sur car il est réservé le même sort au prochain quota de 4000 logements publics locatifs (LPL) qui sera, selon les déclarations de la direction de l’OPGI distribué au plus tard à la fin du mois de mars prochain.
Une partie importante de ce quota est «prioritairement réservée» au relogement des familles vivant sur des sites affectés par des glissements de terrain et à l’éradication de l’habitat précaire, selon la même source. De quoi nourrir davantage les inquiétudes de ces contestataires, «déterminés à revenir à la charge tant que cela est nécessaire».
N.D.
طوارئ وسط عائلتها وأزمة عبر 3 ولايات
"إختفاء" والدة آسيا جبار وشهادة ميلادها قبل تشييع جنازتها !
بلال بلغدوش
2015/02/10
الراحلة آسيا جبار
صورة: الأرشيف
- 12321
- 6
رئيس بلدية شرشال الأسبق: "لم نعثر على الشهادة وهي حية لتجديد جواز سفرها"
السلطات الفرنسية وضعت حدا لتضارب التصريحات حول تاريخ ميلادها
يبدو أنه قدر للروائية الراحلة آسيا جبار أن
تعيش غريبة وتموت كذلك، لا سيما وأن مصالح الحالة المدنية الوطنية لم تعثر
بعد على شهادة الميلاد الخاصة بها، من أجل كتابة أول يوم ولدت فيه قرب
تاريخ وفاتها بشاهد قبرها، كما تزامن خبر وفاتها مع اختفاء أمها المريضة
"بالزهايمر" من البيت العائلي، حيث تاهت في شوارع باريس بعد إعلامها
بالخبر، خاصة أنها كانت شديدة التعلق بها.
وأكدت
مصادرموثوقة ومطلعة لـ "الشروق" أن اللجنة المكلفة باستخراج شهادة ميلاد
الراحلة فاطمة الزهراء إملحاين، أو كما اشتهرت "آسيا جبار"، لم تتمكن من
العثور على أثر لنسخة شهادة ميلادها، خاصة أنها قامت بالبحث على مستوى
مصالح الحالة المدنية ببلدية شرشال وبلدية مناصر بولاية تيبازة وكذا
ببلديتي العفرون وموزاية بولاية البليدة ودائرة العزيزية بولاية المدية ولم
يتم العثورعلى أي أثر لشهادة ميلاد فاطمة الزهراء إملحاين، رغم أن اللجنة
حاولت تغيير لقبها حرفيا من إملحاين إلى إملاين حسب الترجمة الحرفية للقبها
باللغة الفرنسية إلا أن جميع الجهود باءت بالفشل.
ويتضح التضارب في تاريخ ومكان ازدياد آسيا
جبار لدى وسائل الإعلام الوطنية والدولية ومواقع التواصل، بتخبط مصالح
الحالة المدنية الوطنية في خلفيات تواريخ متعددة من سنة 1935 إلى سنة 1940،
إلى أن رفع الحرج من طرف السلطات الفرنسية التي أرسلت ببرقية تتمثل في
نسخة لبطاقة التعريف عليها تاريخ ازديادها وهو سنة 1935، بينما أشار أحد
أقدم رؤساء مصلحة الحالةالمدنية ببلدية شرشال وهو متقاعد حاليا أنه لم يعثر
على شهادة ميلادها في حياة آسيا جبار عندما تقدمت بطلب إليه بداية الألفية
الحالية فوجهها إلى مصلحة الحالة المدنية ببلدية مناصر أصل أبيها وأمها،
وهذا من أجل تغيير جواز سفرها.
من جهة ثانية، وقع نبأ آخر كالصاعقة على
عائلة الراحلة، أن أمها خروفة صحراوي الطاهر تاهت في شوارع باريس وهي ذات
101 سنة، بسبب معاناتها من مرض الزهايمر، ولم يثبت لنا العثور على أمها
بسبب شح المعلومات والحال الحزينة التي تعاني منها عائلتها بشرشال.
آسيا جبار أو فاطمة الزهراء إملحاين بنت
خروفة صحراوي الطاهر والطاهر إملحاين من أصول أمازيغية، جد أمها مالك
الصحراوي البركاني قائد مقاومة بني مناصر ضد الاحتلال الفرنسي سنة 1871 ومن
عائلة ثورية ملأت جداريات التخليد بأسماء الشهداء من إملحاين وصحراوي
الطاهر، هاته المرأة التي كتب لها التنقل في صغرها من شرشال التي كانت
تابعة لمقاطعة الشلف آنذاكومدينة موزاية بالبليدة والعزيزية بالمدية كون
أبيها كان مدرسا تنقل إلى العديد من المدارس، وارتحلت في كبرها نحو مدن
العالم جسدا وكتابة نحو كل القارات، تجد نفسها الآن تنتظر آخر محطة لها
وبرغبتها الملحة لتنزل إلى قبرها بمقبرة الأبراج قرب ذويها بأعالي مدينة
شرشال.
التعليقات (6 نشر)
1
souma
alger
2015/02/10
عيب على الشروق في نشر مثل هذه المعلومات
2
algerien
uk
2015/02/10
شهادة ستخرج من نانت لانها ولدت
بالجزائر وهاجرت عاءلتها الى فرنسا عام 1954 عام الثورة ولا ادري لماذا هذا
الهول عليها هى ربي يرحمها هي لم تقدم شىء للجزائر وهي تحمل الجنسية
الفرنسية الت ترع عت ودرسة وكب ت وعملت في فرنسا ولا ادري لماذا كل هذا
الحس لعادة كاتبة معروفة ولانكم تبحثون عاى اي شىء يمت بالجزائر حت مقدار
ذرة لتبييض الجزائر ونضامها
3
الوجع
2015/02/10
هذه حياتنا ضائعة بين الألم
4
جزائري
الجزائر
2015/02/10
هذي دولة هذي.... اصبحنا اضحوكة بهدلتونا الله لا تربحكم
5
salim
bladi
2015/02/10
ما وجه الغرابة في هذا الأمر ؟ نحن في
بلد يعرف بهذا منذ الأزل فلا يعرف من يجب أن نعرفه إلا بالغرابة و بنهاية
غريبة فكيف تشذ من في مقام آسيا جبار عن هذا الأمر ؟ فمن لم يقتل حقيقة
يقتل رمزيا إما بالنسيان إما بالتشويه إما بالإحتقار ولما نتأكد من موته
نهرول للتذكير بخصاله و كأننا نفرح بموته وكيف أنه مات و لم يعد أحدا
بفكره أو بزعامته و كرم خصاله
6
واحد من الناس
الجزائر العميقة
2015/02/10
شرشال التي كانت تابعة لمقاطعة الشلف
بل كانت تابعة لدائرة الجزائر(arrondissement d'Alger) وشرشال كانت بلدية ذات التصرف التام (commune de plein exercice)r) وقد انشئت بمرسوم 17/06/1854 ومرسوم15/06/1865 و تتميز البلدية ذات التصرف العام بانها تخضع لقانون البلديات لسنة 1804 ويراسها فرنسي وشرشال بها جزائريون يقطنون دوار شنوة وكانوا سجلون بالحالة المدنية مع الوروبيين قبل فصل سجلات الحالة المدنية للاوروبيين
اذاكان تاريخ ميلاد المرحومة بباليوم والشهر فمن السهل العثور عليه...يتبع
بل كانت تابعة لدائرة الجزائر(arrondissement d'Alger) وشرشال كانت بلدية ذات التصرف التام (commune de plein exercice)r) وقد انشئت بمرسوم 17/06/1854 ومرسوم15/06/1865 و تتميز البلدية ذات التصرف العام بانها تخضع لقانون البلديات لسنة 1804 ويراسها فرنسي وشرشال بها جزائريون يقطنون دوار شنوة وكانوا سجلون بالحالة المدنية مع الوروبيين قبل فصل سجلات الحالة المدنية للاوروبيين
اذاكان تاريخ ميلاد المرحومة بباليوم والشهر فمن السهل العثور عليه...يتبع
Mila: Ksar El Agha ,Un repère phare dans la mémoire collective
le 10.02.15 | 10h00
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Des vestiges qui témoignent de l’histoire de la...
Ksar El Agha est un palais de l’époque ottomane à Ferdjioua, à quarante kilomètres à l’ouest de Mila. Avec le mur byzantin du Vieux-Milev, Aïn Labled et la Prison rouge, le bâtiment constitue l’un des monuments phares dans la mémoire collective de la région compte tenu de l’importance des événements historiques qui s’y sont déroulés, depuis son édification en 1834, sous le règne de Ahmed Bey.
Les riverains, conscients de sa valeur et de sa portée historique, lui
vouent un véritable culte, ce qui a grandement contribué à sa
préservation.
En effet, 181 ans après sa construction, le bâtiment se trouve encore dans un état de conservation extraordinaire, grâce, justement, au civisme des habitants de la ville et le respect presque religieux qu’ils vouent à leur patrimoine. Construit à l’époque du gouverneur Ahmed Bouaâkaz, que El Hadj Ahmed Bey de Constantine désigna à la tête de Ferdjioua en 1834, Ksar El Agha fut édifié selon les techniques et les styles architecturaux islamiques développés en Andalousie.
Vu de l’extérieur, le bâtiment, qui s’élève au fond d’une allée de palmiers, ressemble à s’y méprendre aux somptueux palais de Grenade et de Séville de l’époque Omeyyade. Composé de deux niveaux (Rez-de-chaussée et premier étage), le bâtiment compte une multitude de salles embellies d’arcades à l’intérieur et à l’extérieur, des balcons à toitures et des fenêtres donnant sur tous les côtés de la ville.
Le palais comprend également un immense patio de 800 mètres carrés et un vaste et somptueux jardin d’une étendue de 2000 mètres carrés, sans parler des innombrables motifs décoratifs, inspirés des arts islamiques, qui agrémentent avantageusement chacun de ses murs. Transformé au début des années 1840, avec l’arrivée des Français dans la région, en hôtel de ville, Ksar El Agha fit les frais du comportement impertinent de l’occupant. Classé actuellement patrimoine national, le magnifique palais ottoman a bénéficié, les années passées, d’une enveloppe financière de 14 milliards de centimes pour la réalisation de l’étude de sa restauration. Placé désormais sous l’autorité du ministère de la culture, le bâtiment sera ouvert aux visiteurs et aux chercheurs dès l’achèvement des travaux de restauration.
En effet, 181 ans après sa construction, le bâtiment se trouve encore dans un état de conservation extraordinaire, grâce, justement, au civisme des habitants de la ville et le respect presque religieux qu’ils vouent à leur patrimoine. Construit à l’époque du gouverneur Ahmed Bouaâkaz, que El Hadj Ahmed Bey de Constantine désigna à la tête de Ferdjioua en 1834, Ksar El Agha fut édifié selon les techniques et les styles architecturaux islamiques développés en Andalousie.
Vu de l’extérieur, le bâtiment, qui s’élève au fond d’une allée de palmiers, ressemble à s’y méprendre aux somptueux palais de Grenade et de Séville de l’époque Omeyyade. Composé de deux niveaux (Rez-de-chaussée et premier étage), le bâtiment compte une multitude de salles embellies d’arcades à l’intérieur et à l’extérieur, des balcons à toitures et des fenêtres donnant sur tous les côtés de la ville.
Le palais comprend également un immense patio de 800 mètres carrés et un vaste et somptueux jardin d’une étendue de 2000 mètres carrés, sans parler des innombrables motifs décoratifs, inspirés des arts islamiques, qui agrémentent avantageusement chacun de ses murs. Transformé au début des années 1840, avec l’arrivée des Français dans la région, en hôtel de ville, Ksar El Agha fit les frais du comportement impertinent de l’occupant. Classé actuellement patrimoine national, le magnifique palais ottoman a bénéficié, les années passées, d’une enveloppe financière de 14 milliards de centimes pour la réalisation de l’étude de sa restauration. Placé désormais sous l’autorité du ministère de la culture, le bâtiment sera ouvert aux visiteurs et aux chercheurs dès l’achèvement des travaux de restauration.
Kamel Bouabdellah
Centre-ville de Sétif : Un lieu emblématique qui tombe en ruine
le 09.02.15 | 10h00
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Construits a partir de 1845, bon nombre d’immeubles du cœur de Sétif, se trouvent dans une situation critique. L’effondrement, il y a quelques jours, d’une vieille bâtisse de l’avenue Mustapha Benboulaïd (une artère située à quelques mètres d’Ain Fouara), donne un petit aperçu sur l’état dans lequel se trouve un patrimoine qui s’effrite.
N’ayant jamais été inscrite dans les feuilles de route des
gestionnaires de la cité, la restauration de ce bien collectif, l’autre
témoin d’un pan de l’histoire contemporaine de la cité, complique les
choses. En dépit des avertissements et cris d’alarme des urbanistes,
architectes, des sociologues et de nombreux amis du patrimoine, rien n’a
été fait. Les responsables concernés qui n’ont toujours pas, jugé utile
et important, d’ouvrir ce dossier, affichent un silence radio.
En perdurant ce «mutisme», il y a risque de faire non seulement mal à la cité mais de générer des malaises pour ne pas dire des troubles car il y va de la vie de personnes menacées plus que jamais par une «secousse». Pour l’esthétique de l’agglomération qui n’est plus belle et propre comme elle le fut jadis, bon nombre d’endroits sont «balafrés» par les vestiges d’anciennes bâtisses à l’abandon. Les autorités locales sont interpellées, une nouvelle fois.
Estimant que la situation est critique, de nombreux initiés appellent les autorités à réagir tant qu’il est temps. Fermée depuis plus de quatre ans, le cas de l’école des frères Berchi est édifiant. La structure qui devait être cédée au secteur de la culture, une fois restaurée tombe dans la décrépitude.
Annoncée par l’ex-P /APC, la rénovation de cette école (un joyau architectural) est tombée dans les oubliettes. L’établissement n’a pas été non plus cédé. L’ancienne école maternelle annexée au CEM, Zerroukhi, se trouve dans la même situation.
La démolition dernièrement de vieilles harat a donné un autre coup de massue au patrimoine de la ville. «On n’a pas le droit de raser d’un trait, cette incommensurable richesse. Nul n’est contre la modernité, mais on ne doit pas non plus, mettre à sac, le vieux bâti jouissant d’un grand intérêt sous des cieux où l’on consacre de gros budgets pour la restauration des anciens édifices», diront non sans colère des urbanistes qui n’ont pas été écoutés.
«le moment est venu pour prendre sérieusement en charge ce volet car il est une partie intégrante de l’histoire de la ville et de ses habitants qui ne veulent pas perdre leurs repères», martèlent nos interlocuteurs qui n’oublient pas de mettre le doigt sur la déplorable situation du village nigro (village nègre), un des plus anciens quartiers de l’antique sitifis qui n’est ni protégé ni préservé, un précieux bien «Que reste-t-il de l’ancienne caserne où des milliers de sétifiens ont été tués et torturés en mai 1945 et durant la guerre de libération nationale», s’interrogent ahuris des anciens.
En perdurant ce «mutisme», il y a risque de faire non seulement mal à la cité mais de générer des malaises pour ne pas dire des troubles car il y va de la vie de personnes menacées plus que jamais par une «secousse». Pour l’esthétique de l’agglomération qui n’est plus belle et propre comme elle le fut jadis, bon nombre d’endroits sont «balafrés» par les vestiges d’anciennes bâtisses à l’abandon. Les autorités locales sont interpellées, une nouvelle fois.
Estimant que la situation est critique, de nombreux initiés appellent les autorités à réagir tant qu’il est temps. Fermée depuis plus de quatre ans, le cas de l’école des frères Berchi est édifiant. La structure qui devait être cédée au secteur de la culture, une fois restaurée tombe dans la décrépitude.
Annoncée par l’ex-P /APC, la rénovation de cette école (un joyau architectural) est tombée dans les oubliettes. L’établissement n’a pas été non plus cédé. L’ancienne école maternelle annexée au CEM, Zerroukhi, se trouve dans la même situation.
La démolition dernièrement de vieilles harat a donné un autre coup de massue au patrimoine de la ville. «On n’a pas le droit de raser d’un trait, cette incommensurable richesse. Nul n’est contre la modernité, mais on ne doit pas non plus, mettre à sac, le vieux bâti jouissant d’un grand intérêt sous des cieux où l’on consacre de gros budgets pour la restauration des anciens édifices», diront non sans colère des urbanistes qui n’ont pas été écoutés.
«le moment est venu pour prendre sérieusement en charge ce volet car il est une partie intégrante de l’histoire de la ville et de ses habitants qui ne veulent pas perdre leurs repères», martèlent nos interlocuteurs qui n’oublient pas de mettre le doigt sur la déplorable situation du village nigro (village nègre), un des plus anciens quartiers de l’antique sitifis qui n’est ni protégé ni préservé, un précieux bien «Que reste-t-il de l’ancienne caserne où des milliers de sétifiens ont été tués et torturés en mai 1945 et durant la guerre de libération nationale», s’interrogent ahuris des anciens.
Kamel Beniaiche
Projets de l’événement culturel de Constantine
La compétence chinoise pour sauver la manifestation
le 07.02.15 | 10h00
3 réactions
A J-68 du rendez-vous fatidique, la crainte d’un fiasco hante...
C’est une véritable course contre la montre que livre l’exécutif à Constantine pour inaugurer la manifestation culturelle de l’année dans les temps. Le respect des délais devient dés lors la priorité, virant à la hantise tant l’enjeu est de taille. C’est ainsi que d’une seule visite par semaine effectuée aux différents projets relatifs à l’événement «Constantine, capitale de la culture arabe», que le chef de l’exécutif est passé à trois déplacements hebdomadaires.
A deux mois du lancement de festivités, les multiples chantiers
auraient du atteindre leur vitesse de croisière, mais ce n’est pas le
cas pour bon nombre d’entre eux. Dans le gros comme dans le détail, les
couacs et les retards sont relevés à chaque halte. Même la couleur des
sièges et des moquettes a nourri le «débat» au niveau du palais de la
culture Malek Haddad. Cet édifice phare de la manifestation, objet d’une
grande opération de rénovation, devrait en principe être réceptionné le
28 du mois en cours.
L’entreprise locale en charge de cette mission a auparavant été mise en demeure. La seconde chance qui lui soit accordée l’engage solennellement et officiellement à livrer les lieux en temps et en heure quitte à livrer bataille en activant le système de roulement des trois-huit (3/8), soit trois équipes qui se relayeront H24, aux fins de boucler le chantier dans le respect du calendrier fixé par la direction des équipements. Pour que cela se produise, il a fallu recourir à des renforts, du moins pour exécuter l’aménagement extérieur du palais.
Après les prouesses réalisées dans les projets de la salle de spectacles Zénith et l’hôtel Marriott, la sollicitation de la compétence chinoise devient incontournable.Encore fois, ce sont les ouvriers chinois qui s’y sont collés pour que le palais de la culture Malek Haddad puisse être réceptionné à la fin de ce mois.
La célérité, dont ils ont déjà fait preuve dans la réalisation de projets, est l’atout majeur qui les positionne en meilleur maître d’œuvre, une bouée de sauvetage, le cas échéant. Appeler des entreprises chinoises à la rescousse dans ce vaste chantier dédié à une manifestation qui naîtra aux forceps est loin d’être une mauvaise idée. Mais, n’aurait-il pas été plus simple de procéder de la sorte depuis le début ?
Que d’économie de temps et d’argent, ce choix aurait pu procurer à la trésorerie publique dans une conjoncture difficile, greffée par l’effondrement du marché pétrolier ? A neuf semaines du coup de starter de l’événement «Constantine, capitale de la culture arabe», l’ultime option à même d’éloigner le spectre d’un fiasco est indéniablement celle du recours à la main d’œuvre étrangère, en l’occurrence chinoise. Et il n’est jamais trop tard pour bien faire.
L’entreprise locale en charge de cette mission a auparavant été mise en demeure. La seconde chance qui lui soit accordée l’engage solennellement et officiellement à livrer les lieux en temps et en heure quitte à livrer bataille en activant le système de roulement des trois-huit (3/8), soit trois équipes qui se relayeront H24, aux fins de boucler le chantier dans le respect du calendrier fixé par la direction des équipements. Pour que cela se produise, il a fallu recourir à des renforts, du moins pour exécuter l’aménagement extérieur du palais.
Après les prouesses réalisées dans les projets de la salle de spectacles Zénith et l’hôtel Marriott, la sollicitation de la compétence chinoise devient incontournable.Encore fois, ce sont les ouvriers chinois qui s’y sont collés pour que le palais de la culture Malek Haddad puisse être réceptionné à la fin de ce mois.
La célérité, dont ils ont déjà fait preuve dans la réalisation de projets, est l’atout majeur qui les positionne en meilleur maître d’œuvre, une bouée de sauvetage, le cas échéant. Appeler des entreprises chinoises à la rescousse dans ce vaste chantier dédié à une manifestation qui naîtra aux forceps est loin d’être une mauvaise idée. Mais, n’aurait-il pas été plus simple de procéder de la sorte depuis le début ?
Que d’économie de temps et d’argent, ce choix aurait pu procurer à la trésorerie publique dans une conjoncture difficile, greffée par l’effondrement du marché pétrolier ? A neuf semaines du coup de starter de l’événement «Constantine, capitale de la culture arabe», l’ultime option à même d’éloigner le spectre d’un fiasco est indéniablement celle du recours à la main d’œuvre étrangère, en l’occurrence chinoise. Et il n’est jamais trop tard pour bien faire.
Naïma Djekhar
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nadir666
le 10.02.15 | 15h46
L'aveugle qui voit très bien
Le temps du tape à l'oeil 2015 et tout s'écroulera comme un château de carte!
sourde oreille.
Quand on casse les precieux escaliers du coudiat (ils sont au
nombres de quatre)et ce en dépit des protestations de la population.
Quand on remplace la pierre que le bon dieu a créé par du vulgaire béton
mal dosé,on doit comprendre qu'on est à côté de la plaque et qu'on ne
réalisera rien de bon.
ET POUR LE RESTE ?
On n'est pas loin de penser qu'il serait plus efficace ,et
certainement plus économique , de confier "toute l'affaire" ,selon une
formule spectacles en mains, à nos amis chinois .
Le wilaya en serait agréablement débarrassée et pourrait ainsi mieux se réserver aux personnalités et aux médias.
Le wilaya en serait agréablement débarrassée et pourrait ainsi mieux se réserver aux personnalités et aux médias.
صورية بوعمامة في حوار مع "الشروق" / الحلقة الأولى
يحاولون دفعي إلى التقاعد المسبق ولن أفعل ذلك
حوار: وردة بوجملين
2015/02/07
الإعلامية القديرة صورية بوعمامة
صورة: جعفر سعادة
- 20967
- 53
كان على الدولة أن تنحت تمثالا لكل صحفي عاش ويلات الإرهاب
كانت النشرة في زمن الحزب الواحد تقدم بخطوط حمراء ولكنها كانت مهنية
قالت الإعلامية القديرة صورية بوعمامة، إنه
كان على الدولة أن تنحت تمثالا لكل صحفي عمل وعايش مرحلة العشرية السوداء،
مشيرة إلى أن غيابها عن شاشة التلفزيون هو أمر طبيعي بالنسبة لأي صحفي، كما
انتقدت سياسة القائمين على قلعة شارع الشهداء التي تحاول دفع عديد
الصحفيين إلى التقاعد المسبق، مطمئنة جمهورها بقوها: "إنها لن تتقاعد حتى
وإن دفع بها إلى ذلك"، ومن جهة أخرى، تحدثت نجمة نشرة الثامنة في
التسعينيات، عن أهم تحقيق أنجزته بعنوان "القواعد الخلفية للإرهاب"، وعن
بداياتها الصحفية، إليكم الحلقة الأولى منه. غبت مؤخرا عن شاشة التلفزيون الجزائري، هل تفكرين في التقاعد أم أنها إحالة مسبقة إليه؟
الحمد لله أنه لا يوجد التقاعد في مهنة الصحفي كما هو الحال بالنسبة للفنان وبإمكاننا أن نبدع في أي وقت، عندما دخلت إلى التلفزيون وجدت شيوخا على رأس مؤسسة التلفزيون ولكنهم لم يتقاعدوا ومازالوا في مناصبهم، واليوم سيدفعوننا إلى التقاعد المسبق، أريد أن أوضح أننا لا نفكر في التقاعد وأبدا لن يدفع بنا إلى التقاعد، لسبب بسيط وهو أن شعلة الصحفي المواظب على عمله والصحفي الذي يتحدى الصعاب مازالت موجودة فيّ، أما غيابي عن شاشة التلفزيون فهذه أمور عادية، فإذا كنت مذيعة فهذا لا يعني أنك ستذيعين طيلة حياتك، فقد يرغب المدير الجديد في إعطاء طابع خاص للتلفزيون ويأتي بوجوه أخرى ليسجل مروره من مؤسسة التلفزيون، فطيلة مساري في الإذاعة لم أظهر في فترة متواصلة وكانت فترات متقطعة، أظهر وأغيب ثم أغيب، كما أن الوقت الذي قضيته خارج الكاميرا أكثر من الوقت الذي قضيته أمام الكاميرا، وهذه النقطة التي اعتز بها في مسيرتي المهنية، لأنني لم أبق أبدا جالسة على الكرسي أنتظر الأخبار وأبحث عن الشاشة، فبالعكس، سافرت عبر كامل التراب الوطني وذهبت إلى أبعد نقطة في بلادنا، فأنجزت عديد "الريبورتاجات" بعيدا عن الأخبار وهذا هو الذي صنع اسم صورية بوعمامة وليست النشرة هي التي صنعت اسم صورية بوعمامة، والكثير منها نال جوائز وطنية ودولية.
لو نأتي إلى أهم عمل صحفي أنجزته وهو القواعد الخلفية للإرهاب، ما الدافع وراء إنجازك لهذا التحقيق، لمن كانت الفكرة ومن كان يدعمك، كيف كانت الردود حول العمل وهل تلقيت تهديدات؟
القواعد الخلفية للإرهاب كانت فكرة مديرية التلفزيون الجزائري، كانت الجزائر في تلك المرحلة تتجرع ويلات الإرهاب وقائمة الضحايا والقتلى مفتوحة دائما، وكانت تأتينا الفتوى من الخارج من أوربا، هذه الأخيرة التي كانت كل يوم تلقننا دروسا في الديمقراطية وتقول إنه يجب أن نفتح المجال لهؤلاء حتى يظهروا، كانت منظمات حقوق الإنسان تندد ضدنا في كل المحافل الدولية، فكانت الجزائر في قفص الاتهام، فبادر التلفزيون الجزائري بهذه الفكرة الجيدة، حتى يرد عليهم ويقول لهم إن الخلل أمام بيوتهم وأنه يجب أن يقوموا بتنظيف أمام بيتهم قبل أن يتحدثوا عن الآخرين، وقام التلفزيون الجزائري بإرسال مجموعة من الصحفيين إلى أوربا، وقبل ذهابي كان قد كلف صحفيين آخرين بنفس المهمة، فكلفت مجموعة بالذهاب إلى بريطانيا ومجموعة إلى فرنسا وأخرى إلى ألمانيا، ولكن عمل تللك المجموعات لم يظهر وفشلت في مهمتها، وذهبت بعدها أنا إلى بلجيكا وأذكر أنني تعبت كثيرا في تلك السفرية وتنقلت في مناطق كثيرة في أوربا وبطريقة ذكية، التقيت بجزائريين وربطت علاقات معهم، وكانت المادة التي أتيت بها مادة دسمة وبها الكثير من المعلومات وأخذت بعدها كل وقتي في تحضير "الجنيريك"، وفي عملية التركيب وعرض الأفكار، وكل هذه الأفكار ساهمت في إحراز "الروبورتاج" الجائزة الذهبية في مهرجان اتحاد الإذاعات العربية بمصر، ومع الوقت أنصفنا التاريخ وأعطانا الحق، فأوربا بدأت الآن تقولها وبصراحة إن القواعد الخلفية للارهاب موجودة عندها، وهذا وقع قبل 11 سبتمبر.
كيف تمكنت من التغلغل في المساجد حيث كانت تجمع الأموال؟
لا أدعي دور البطولة وحدي، فكثيرون هم الأشخاص الذين ساعدوني في ذلك، من بينهم بعض القناصلة الممتازين مقابل بعض السفراء الذين لا يؤدون أدوارهم، فحتى الملاحق العسكري على مستوى السفارات، والسفير الجزائري في بلجيكا لم يقدما لنا أي مساعدة ولكن القنصل قام بمجهودات جبارة لمساعدتنا، وهو الذي وجهنا إلى أماكن تواجد الجالية الجزائرية هناك بالإضافة مراسل وكالة الأنباء الجزائرية الذي يشغل اليوم منصب مدير مؤسسة التلفزيون، فالسيد خلادي قدم لنا المساعدة وكان يعرف الكثير من السياسيين هناك، ووجهنا بدوره للوصول إلى عديد الشخصيات، بالإضافة إلى المصوّر الذي جاء في ذلك الوقت من محطة ورڤلة الجهوية "سي بوعلام" وهو إنسان رائع، فكان لا يرفض لي طلبا خاصة عندما كنت أطلب منه التصوير في الليل رغم المخاطر التي كانت محدقة بنا، بالإضافة إلى شاب جزائري من باش جراح، كان طالبا للجوء السياسي في بلجيكا وكان هو من يدلنا على تلك الأماكن.
بعد عرض التحقيق، هل تلقيت تهديدات؟
نعم، كانت تهديدات كثيرة كالعادة منها المكتوبة، في الأول كنا نتسلمها من التلفزيون كرسائل مباشرة وبعدها مصلحة الأمن بمؤسسة التلفزيون هي التي كانت تتسلمها لأنها كانت تخلف آثارا سلبية للغاية علينا، وتخلق حالة استنفار قصوى داخل التلفزيون، ولكننا لم نتراجع لأننا ندرك أنه لن يصيبنا إلا ما كتب الله لنا، لقد تضرر كثيرون من الأمر وحتى أولئك الذين كانوا متقاعدين.
نعود قليلا إلى الوراء، من ساعدك للوصول إلى التلفزيون؟
سبحان الله، البارحة فقط وصلتني رسالة في الهاتف من العربي زواق، قال لي فيها إن الهادي السعيد في ذمة الله، كان أستاذي في معهد العلوم والاتصال ويكتب في مجلة المجاهد الأسبوعي، وكان صديقا لصديق آخر لي وكنا نلتقي به في المكتبة عندما كنا في إنجلترا، وفي مرة من المرات قال لي، "صورية أنت.. وجهك تلفزيوني"، فقلت له: "ومن يوصلني إلى التلفزيون"، وفي ذلك الوقت كنت أعمل في الشعب رغم أن الصحافة المكتوبة لم تكن تستهويني، فساعدني للدخول إلى التلفزيون وأصيب للأسف في سنوات التسعينيات بمرض عقلي ومنذ ذلك الوقت كنت دائما أقول للعربي زواق إنني سأرافقه للاطمئنان عليه ولكنني لم أذهب، وهذا ما جعلني أتأثر كثيرا عندما بلغني نبأ وفاته وأدعو له دائما في صلاتي، وكان الرجل -رحمه الله- قد أخبر صديقه وهو مدير أسبوعية المجاهد في ذلك الوقت برغبتي في العمل بالتلفزيون، فأرسلني إلى التلفزيون وكان في ذلك الوقت السيد ملائكة نائبا للمدير وكان كذلك عزالدين بوكردوس في التلفزيون، وتزامن ذلك مع انعقاد مفاوضات "ناقورا" بين تل أبيب ولبنان فطلب مني محمد ملائكة أن أكتب له مقالا حول مفاوضات "ناقورا"، فقلت لهم كيف تطلبون مني كتابة مقال وتعرفون إنه يحتاج إلى مراجع كثيرة لأنه يتطلب الكثير من المعلومات، فقال لي لقد حققت 70 % من نجاحك، فاشتريت ببعض الدراهم التي كنت أملكها مجموعة من الصحف التي تتحدث عن هذه المفاوضات وبحثت عن بعض الكتب في المكتبات حتى أتحصل على كل المعلومات، وأنجزت مقالا وسلمته إياه، فاقتنع بعملي وجاءت بعدها الخطوة الموالية وهي الوقوف أمام الكاميرا، وكان محمد ملائكة هو من اختبرني، فأعطاني جريدة وطلب مني قراءتها وقال لي، هذا الرجل العملاق، "كنت أظن أن الكاميرا ستسيطر عليك فسيطرتي عليها ومازال يقول لي هذا الكلام كلما التقيته وهكذا عملت واجتهدت وثابرت منذ الفرصة التي منحت لي في البداية.
ما هو أول عمل ظهرت من خلاله؟
عندما دخلت إلى التلفزيون كنت ضمن دفعة مجموعة من الإعلاميين على رأسهم جمال نزار بن عودة الذي توفي، رابح خوذري، كان التلفزيون في ذلك الوقت قلعة محمية وفيها أباطرة، كان محمد نجيب، وزهية بن عروس التي كانت تقدم نشرة الأخبار ونورة بن شيخ التي اختفت الآن من الشاشة ونعيمة دريدي اللواتي كن أول من ظهرن على الشاشة، وعندما رأيتهم على الشاشة قلت في نفسي إنه توجد إمكانية للعمل في التلفزيون والحمد لله التحقت بطاقمه ونجحت، لأن العمل والمثابرة وحب العمل الذي نؤديه هي طرق النجاح، ولا شيء غير العمل، فالقرابات والصداقات تزول في العمل الصحفي، كنت أقدم الموجز الإخباري وبعدها بعض التقارير الصحفية، وبحبي للعمل نجحت في صناعة اسمي، فالصحافة هي أسماء تصنع سواء تعلق الأمر بالإعلام السمعي البصري أو بالصحافة المكتوبة.
من هي الشخصية الإعلامية التي تأثرت بها ومازلت إلى غاية اليوم متأثرة بها؟
أنا أتابع القنوات الأجنبية، الصحفي الفرنسي، "بي بيديا"، كنت محظوظة بلقاء هذا الرجل عندما كنت في تربص في فرنسا رفقة كمال علواني وأحمد إبراهيم وشاهدنا كيف يعمل هذا الرجل وكيف يلتقي ضيوفه وكيف يقوم بإدارة الحوار في اجتماع التحرير، ما جعلني أتمنى أن أكون في مكانه. وأحب أن أشير إلى أننا كنا في ذلك الوقت في الحي الجامعي وكنا لا نملك جهاز تلفزيون، كذلك الأستاذ أحمد بجاوي، الذي درسني في الجامعة مادة السينما والسياسة، كنت معجبة جدا بثقافته السينمائية.
كيف كانت تقدم النشرة في زمن الحزب الواحد؟
كانت النشرة تقدم بحذر كبير في زمن الحزب الواحد ووفق خطوط حمراء ولكن كانت تقدم بمهنية كبيرة.
بمعنى؟
بمعنى أن الصحفي كان يعي ما يقول، وليس مثل ما نراه اليوم الصحفي يأتي بورقة ويقرأ منها، كان الصحفي يحرر، وكان يأخذ الوقت ليتحرى ولكن اليوم تحوّلت الصحافة إلى جري نحو السبق الصحفي على حساب التحري، الكثير من الدول مرت على تجربة الحزب الواحد وكان ممرا طبيعيا، ربما الأمر مختلف بالنسبة لنا، لأننا أطلنا البقاء تحت قبة الحزب الواحد، وهذه الحقبة في نظري لها عيوب ولها ايجابيات، كان الصحفي محترما في تلك الفترة ويملك هيبة، كما أن أحسن الأقلام اليوم وزبدة الأقلام الصحفية نشأت في زمن الحزب الواحد، على غرار علي فضيل، بلهوشات وبن شيكو.
وما هي الخطوط الحمراء التي كان يحرم الاقتراب منها؟
الثوابت الوطنية، عندما يتعلق الأمر برئيس الجمهورية، العلم والنشيد الوطنيين، أمن الدولة والكثير من الجوانب، أنا لم أعمل مطولا تحت قبة الحزب الواحد، كنت في بدايتي الصحفية، مرت فترة قصيرة من بداية عملي في التلفزيون وجاء الانفتاح، وكان يضرب المثل بالجزائر في ذلك الوقت في مجال حرية التعبير، وفي الأقلام التي كانت الساحة الإعلامية تزخر بها وكانت فترة ذهبية للصحافة الوطنية وإلى الآن مازالوا يتحدثون عنها بالكثير من الحنين.
هل تستثنين مرحلة الحزب الواحد منها؟
لا، التاريخ فترات ممتدة كما يقول بن خلدون، لكل فترة مميزاتها، في بدايتنا كان الإعلام يعيش عصره الذهبي ثم تدهور لبعض الشيء بسبب الانغلاق الذي حدث في العشرية السوداء، وأعتقد أنه كان واجبا على الدولة أن تنحت تمثالا لكل صحفي عاش ويلات تلك الفترة، لأن الأسرة الإعلامية دفعت ثمنا باهظا جدا، كل الصحف من دون استثناء، كانت مصادر الخبر وكان الجزائري عندما يقرأ الجريدة يتنفس من خلالها ويقول: "الحمد لله"، كان كل شيء مغلقا، خاصة في المدن الداخلية حيث كانت الحياة تنتهي في الساعة الرابعة مساء، ولكن الصحفي الذي كان السيف مسلّطا على عنقه كان يخرج كل يوم وينقل المعلومة، كان يخرج ويتنقل دون أن يخاف من أحد، وأحب أن أشير إلى أن كتابي "أوراق لم تكن للنشر"، هو تكريم لكل الصحفيين الجزائريين، لكل فترة رجالاتها وكان الصحفيون رجالات تلك المرحلة برجالها ونسائها.
التعليقات (53 نشر)
1
الحاج
2015/02/07
صورية بوعمامة غابة لسنين وغابو رجالها اه يدنيا
2
2015/02/07
منين جات هاذي تاني
3
djelloul
algrie
2015/02/07
و نـعيـمـة مــاجـر ، مطلـوبـة كذلـك و لـهـا جمهـورهـا ( ان سمحت بـذكرهـا عبر هـذا الـمنبـر).
4
وناس
فرنسا
2015/02/07
تجربتك مع التلفزة الجزائرية لا يعتد
بها ولا تعتبر عمل اعلامي خاصة قسم الاخبار منذ بداء التلفزيون الجزائري في
السبعينات فالمعالجة وتقديم الاخبار لازالت حتى هذه اللحظة مثل العهد
السابق حيث تبداء الاخبار ببرقيات بوتفليقة لقادة العالم ثم نشاط رئيس
الحكومة ثم الوزراء ثم الولات بعد ذالك دقائق معدودة لمشاكل الشعب عكس
مايحد ث في العالم فيبدؤون باخبار الشعب اولا.وحتى الاخبار المنقولة على
احوال ومشاغل الشعب غير صحيحة..
5
hamid
relizane
2015/02/07
كلامك كله فستي وكذب كألأخبار التي كنت تقدمينها ودخلت التلفزيون بالمعرفة
6
Redha El Djazairi
EL DJAZAIR
2015/02/07
كان على الدولة أن تنحت تمثالا لكل صحفي عاش ويلات الإرهاب !!!!!!!!!!!!!!!!! يا صحافة الهزل قد مضى وقت هبل
7
نصر الجزائري
ارض الاحرار
2015/02/07
صورية بوعمامة ,صابرية دهيليس .امين
دريدي. نذير بوقابس, مريم اوباييش وغيرها من الاسماء نتمنى ا ن تستفيد
الشروق والقنوات الخاصة من تجربتها الطويلة في مؤسسة التلفزيون الجزائري
العريق بدل ان تستغلها قنوات عربية وتتنكربعد ذالك مثلما نراه اليوم على
قنوات الربيع العبري التي صنعت نجاحها بفضل الكفاءات الجزائرية في الميدان
وعبر الضهور وخلف الكاميرات وفي الاخير نجد الجزائر المستهدف الاكبر من
طرفها
8
الوطني
الجزائر
2015/02/07
قوليلي انتية منين انقلك الى تبقي والا
تتقاعدي والا اقعدوك ..... الى انتي من ولاية 16 والا 15 الوبي الي حاكم كل
الصحافة المكتوبة والمرئية والمسموعة والرياضية والاشهار وانتاع الشطيح
والحفلات ..........الخ ....وهل انتي تحبي اللغة العربية او الفرنسية
وفرنسا .. تأكدي يا بوعمامة الريح مايقسكشي اما اذا كنتي من باقي 46 غير
وجدي احوايجك ترجعي لولايتك لا مكان للكفاءة والاقدمية والاخلاص ...
الجهوية والعنصرية وهل انتي عربية والا قبايلية ... هذا هو التعين في جميع
الميادين في جزائر مليون ونصف مليون شهيد ...
9
أبو المعارج
aflou
2015/02/07
لاتخاف ياسيدة الجزائر أنجبت وسوف تنجب الرجال والنساء وما انت الا وريقة سوف سقط لا محال
يبدو من قولك ومن مقال التقاعد تحلين مشاكل الجزائر ...........البارح كان في عمري 20عام
يبدو من قولك ومن مقال التقاعد تحلين مشاكل الجزائر ...........البارح كان في عمري 20عام
10
2015/02/07
لقد ساهمتم بشكل كبير في كل كذبة كان
الحزب الواحد يكذبها على شعب لمدة عقود اليتيمة والأخبار التي كنتم
تقدمونها هي اتي أدة إلى مانحن فيه من إنحطاط وتخلف وفوضة كنتم تساعدون
الإنتخبات المزورة والأشخاص الذين كانو يفزون فيها كنتم تمدحونهم وتمدحون
فوزهم رغم أنكم كنتم تعرفون الحقيقة وفكل الإنتخبات هناك تزوير لاكن لم
أسمع أي صحفي يتجرء ويقول الحقيقة المهم نضرتي لليتيمة لم تتغير فهي قناة
كاذبة وستبقى كذلك وهي تساند النضام والمسؤولين الفاسدين في البقاء في
فسادهم ومناصبهم وجميع من مدح هاؤلاء فهو شريك لهم.
11
amar
algerie
2015/02/07
الشيء اللدى دائما اقوله عليك هو سبحان
الله لم تتغير ملامح وجهك مند ان كنت اشاهدك فى الاخبار اكتر من عشرين سنة
فحقا ان من المعجبين بك اتمن لك مزيدا من التالق...
12
zino
Australia
2015/02/08
j'ai vecu cette periode, tous mes
respects a cette grande journaliste et tous les journalists de cette
époque qui reste grave dans nos memoires . tahiyati.
13
الأستاد الكاتب/ عبد الرحمن سرحان
سطيف / الجزائر
2015/02/08
لاعيب في الصحفي إلا أنه كان يكذب على
الشعب. كان يعلم - والأمثلة كثيرة - أن نسبة الانتخابات المختلفة غير موثقة
غير سليمة غير نزيهة وغير صاقة. كان يملي عليهم المسؤولون حسب ما يُملي
علىهم من المسؤولين الساسة الكبار ليحافظوا على مكانتهم . كانت كفتهم في
جناح النظام ولم يخدموا المواطنين ولم يكونوا عيونهم التي يُبصرون بها.إن
ذلك كله في سجل لا يُهمله ربي ولا ينسى. إقرأ كتابك .. وسوف تقرأه حلوه
ومره في أيام الله الآخرة. الحمد لله على نعمة حرية الرأي ونزاهة الصحافة
كثيرة عناوينها.
14
ابن البلد
Amsterdam
2015/02/08
السيدة صورية بوعمامة سيدة محترمة من
عائلة مثقفة غنية عن التعريف و التي اعرفها كانت تلميذة ممتازة من بداية
دراستها في الابتدائي. اقدم لها كل الشكر و الاحترام.
سلامي الحار من ابن البلد الى السيدة المحترمة صورية بوعمامة.
سلامي الحار من ابن البلد الى السيدة المحترمة صورية بوعمامة.
15
شلفي
الشلف
2015/02/08
صورية بوعمامة ... مجرد شيـــــــاتــــــــة
16
2015/02/08
واحدة من الذين اشعلوا الفتنة بين الشعب الجزائري....... ليس كل صحاافي صحاافي
17
سطيف
الجزائر
2015/02/08
حقيقة كنت نجمة نشرة الثامنة لكن أقول
لك الحقيقة قليل من كان ينتظر الحوارات و النقاشات إلى نهايتها بسبب الملل
الذي يصيبهم كما أن بعض الصحفيين يجعلونك تحس بضيق النفس عندما يتكلمون و
الله صدقيني حتى الآن لم أستطع تحمل سماعهم و ليست لي أي ضغينة أو خلفية
معهم .اللهم أهدينا في من هديت آمين
18
ج52
2015/02/08
قال الله تعالى/ وقرن في بيوتكن ولا
تتبرجن تبرج الجاهلية الاولى ---- اما اقتراحك على الدولة ان تنحت تيمثالا
على كل صحفي عاش ويلات الارهاب اقتراحكي هذا حرام بالكتاب والسنة التماثيل
المجسمة لأي شخص مهما كان وضعه السياسي او الاجتماعي فهو بريء منكم مما
تصنعون صورته ولو بالذهب الخالص - قال الله تعالى/ ان الخمر والميسر
والانصاب والازلام رجس من عمل الشيطان فاجتنبوه لعلكم تفلحون--- الانصاب هي
النصب التذكارية والتماثيل فهي رجس ونجاسة معنوية التي تلطخ بها سمعة كل
شهيد او زعيم او عالم يوضع له نصب او تمثال
19
2015/02/08
votre chitta est devenue périmée
20
محمد
tiaret
2015/02/08
نشكرك السيدة بوعمامة على مجهوداتك ولكن عليك بالتقاعد قليل من القناعة اتركي المجال الى الشباب
21
دزيري
دزاير
2015/02/08
لكل بداية نهاية اخذت فرصتك الان جااء
دور جيل اخر ليرفع التحدي مع تطور اللا علام وظهور القنوات االفضائية
المناففسة للقنااة الوطنية واضن ان المسؤولين يريدون وجوه جديدة لها
مصداقية اكثر لدى الجمهور المتتبع .تريد وجوه نزية تنقل الخبر باحترافية
وبذكاء لاتميل لا لهذا ولا لذاك لا ن الزمن لايرحم فاخذت انت يوما ما فرصتك
بالحصة التي كنت تقدميها لولا المقاال لما تذكرتها فاجزم ان الكل نسيها
مقابل حصص اخرى مازلنا يتذكرها الجمهور سواء سياسية كانت او ثقافية او
اجتماعية لانها مقدمها هذه الحصص كانوا منصفين
22
islam
الجزائر
2015/02/08
مجرد مذيعة وتعتبر نفسها صحفية يا انت
يوجد فرق كبير بين مذيع وصحافى .............الصحافى يكتب مقالات من عنده
والمذيع يقرا ما كتب له على ورقة ..
23
2015/02/08
السلام عليكم ورحمة الله وبركاته
بدء مسلسل جديد الحلقة الأولى !!!!!!!!!!!!!!!متى الحلقة الثانية ؟؟؟؟؟؟
انشر حفظك الله
بدء مسلسل جديد الحلقة الأولى !!!!!!!!!!!!!!!متى الحلقة الثانية ؟؟؟؟؟؟
انشر حفظك الله
24
بابا السعد
غرداية - الجزائر
2015/02/08
الأخت صوريا، بوعمامة اسم شريف و عزيز
على الجزائر الحبيبة، ماذا لو زرت البقاع المقدسة و أدَّيت ركن الحج مع
التوبة النصوح للتواب الرحيم و عدت لنا يحجاب و رميت كل الماضي و تلفزته في
سلة النسيان و إلى الأبد.
استغلي علمك و خبرتك و مؤهلاتك في خدمة الدين و المجتمع بعيدا عن الأضواء و سبل الخير و ميادينه كثيرة و الحمد لله.
إن الله عز و جل من حبه لعبده أن يطيل له في العمر و يوفقه إلى الخير و يصلح له الأمر.
اللهم وفقها لما فيه رضاك يا رب.
استغلي علمك و خبرتك و مؤهلاتك في خدمة الدين و المجتمع بعيدا عن الأضواء و سبل الخير و ميادينه كثيرة و الحمد لله.
إن الله عز و جل من حبه لعبده أن يطيل له في العمر و يوفقه إلى الخير و يصلح له الأمر.
اللهم وفقها لما فيه رضاك يا رب.
25
دزيري
دزاير
2015/02/08
...كانوا يريدون ايصال معلومة تخدم
كافة الجمهور الواسع لا الشهرة لتحصل على شيء وارضاء اطراف وكنت طرف فيها
بل الحكم فيها بدون مرعاة المهنية والاحترافية والحيادية وان تكون الحصة
تشمل اغلبية الجمهور وان الكلمة الاخيرة تعود للجمهور هو الذي يحكم عليها
لا انت لانك خدمت طرف على حساب طرف فاالجزاء من جنس العمل هناك حصص كانت
قبلك نتذكرها لحد الساعة وبجدية مقدميها ومهنيتهم امثال طريق السلامة
ولقاء الصحافة وملاعب العاالم والارض والفلاح كانت موجهة لجمهور واسع من
الشعب الجزائري لا ان تقصي طرف لحساب طرف
26
1-2-3
algerie
2015/02/08
salut, salut, et mes meilleures
salutations CHÈRE SOURIA BOUAMAMA, tu ouvre le droit à tout mon respect
le plus profond, vous étiez un symbole, vous etes toujours un symbole,
et vous resterez pour toujours un grand symbole d'une journaliste
modèle, respectable, professionnalisme. NOUKINOU LAK KOLE EL-IHTIRAM WA
TAKDIR (okhti el-aziza) OK Votre frère de BECHAR extrême sud
27
moh Alger
2015/02/08
Je me rapelle bien de cette pseudo
journaliste qui coupait la parole à ses invités , qui etait excellente
pour blanchir l'image du parti unique .
c'est le symbole de la télévision Algérienne
les meilleurs journalistes sont partis à El Djazeera et compagnie
c'est le symbole de la télévision Algérienne
les meilleurs journalistes sont partis à El Djazeera et compagnie
28
citoyen
2015/02/08
Tu pense qu'il ya des journalistes en Algérie
tu me fait rire toi et les autres
tu me fait rire toi et les autres
29
دزيري
دزاير
2015/02/08
...اخر واقول الجزاء من جنس العمل وهناك
من وفق وهناك مالم يوفق والجمهور لا ينسي بل يتذكر ويعرف ويفرق بين من كان
يعطيه المعلومة الصحيحة والمعلومة الخاطئة وحتي من كان تحت ضغوطاات فالوجه
لايكذب نحس به وهناك من ذهب ضحية مثل المرحوم والشهيد اسماعيل يفصح وهناك
من فضل الهجرة على ان يكون طرف او مستعبد مثل السيدة خديجة بن قنة ومدني
عامر كمال علواني وح.دراجي و مراد شبين .....وغيرهم حصتك اسااءت اكثر مما
عالجت واظهرت الحقيقة خاصة للمغتربين في المهجر وصورتهم اصبحوا في نظرهم
بقصد او بغير قصد محل شك
30
دزيري
دزاير
2015/02/08
واختم قولي ما انزل على الحبيب المصطفى
صلى الله عليه وسلم منذ 14 قرن قال الله تعالى" اذا جاءكم فاسق بنبا
فتبينوا ان تصيبوا قوم بجهالة فتصبحوا على ما فعلتم نادمين"
31
صارة
بلد الزوالى يضيع
2015/02/08
المخلوقة هذه فى التلفزيون الجزائرى منذ
كنت صغيرة و انا نشوف فيها اعطيو الفرصة للشباب مش غير هى بزاف و هذاك
المهدى يخدم فى الاذاعة و التلفزيون و زيد يضحكى او اشفق عليه كيحمل القفة
فى حصة فاملتنا تقول ضايع بالشر اعطيو الفرصة للشباب حقيقة شىء ماسف فى كل
مؤسسة حكومية تلقى المدير وعائلته و الزوالى كول الحجر ...وفى الحديث بقية .
32
2015/02/08
التلفزه تحتاج لوجوه شابه و السيده
صوريه نست ان تنظر في المرآه منذ سنين . اما من يستحق تمثالا خلال العشريه
السوداء فهو المواطن البسيط و ليس انت يا صوريه فهو عانى و قدم دمه و لم
يجد من يقول له حتى جزاك الله خير
33
مروكـــــــــــــــــــــــي
2015/02/08
وقرن فى بيوتكن و لا تبرجن تبرج الجاهلية الاولــــــــــــــــــــــــــى
صدق الله العظيـــــــــــــــــــــم
صدق الله العظيـــــــــــــــــــــم
34
سليمان-باتنة
2015/02/08
كفا كذبا انتهى عهد الهف الجميع يعرف كيف وصلتي الى التليفيزيون و علاقتكم بالسلطة(زوجك و عائلته في باتنة معروفون)
اما الحديث عن المهنية وووو هل تعتقدون ان الشعب ابله كلكم تقرأون من الورقة المحررة لكم بدقة حتى اسئلة الضيوف مكتوبة و اجابتهم موجهة و نشرة اخباركم لا يتابعها احدا لانها عبارة عن اخبار الرئيس منذ نهوضه صباحا و تناوله القهوة حتى ينام
اما الحديث عن المهنية وووو هل تعتقدون ان الشعب ابله كلكم تقرأون من الورقة المحررة لكم بدقة حتى اسئلة الضيوف مكتوبة و اجابتهم موجهة و نشرة اخباركم لا يتابعها احدا لانها عبارة عن اخبار الرئيس منذ نهوضه صباحا و تناوله القهوة حتى ينام
35
hamidou
oran
2015/02/08
ان لا اعتقد بانك قدمت لاعلام جزائرى
شيئا وانما دمرت ووضعت الاعلام فى الحضيض الاسفل و احسن شىء انصحه لك هو
التوجه مباشرة الى التقاعد النسبى وهو خير دليل لراحتك لانك اصبحت عجوزة
كما ان صحفيين الشبان اتبثوا جدارتهم فى ميدان احسن منك بالف مرة لقد اكل
عليك الدهر و شرب يا صورية بوعمامة
36
صالح
algerieبوقدير
2015/02/08
هل أحسنا حرية التعبيرففقدناها؟.
الصحافة مهنة شريفة يتمنى كل واحد أن يكون صحفيا ولعل الحصفية بوعمامة يشدها الحنين إلى تلك الفترةالقصيرة التي ازذهرت فيها حرية التعبيرقبيل العشرية السوداء،لكن ما الذي جعلها تختفي في ظرف وجيز؟هل كانت الصحافة آنذاك على درجة من النضج لمواكبةالمرحلة قبل أن نقع في أتون الهرج والمرج الذي عرفته العشرية السوداء؟من الذي حرض ومهد للانقضاض على إرادة الشعب وجعل البلا تدخل في المجهول؟حرب اللسان سبقت حرب السنان فقدنا بعدهما الكلام والآمان لولى فضل من الله لأصصبحنا في خبركان.
الصحافة مهنة شريفة يتمنى كل واحد أن يكون صحفيا ولعل الحصفية بوعمامة يشدها الحنين إلى تلك الفترةالقصيرة التي ازذهرت فيها حرية التعبيرقبيل العشرية السوداء،لكن ما الذي جعلها تختفي في ظرف وجيز؟هل كانت الصحافة آنذاك على درجة من النضج لمواكبةالمرحلة قبل أن نقع في أتون الهرج والمرج الذي عرفته العشرية السوداء؟من الذي حرض ومهد للانقضاض على إرادة الشعب وجعل البلا تدخل في المجهول؟حرب اللسان سبقت حرب السنان فقدنا بعدهما الكلام والآمان لولى فضل من الله لأصصبحنا في خبركان.
37
الونشريسي
2015/02/08
لكنها إمراة عظيمة.وتبقى عظيمة وشامخة...حرام عليكم يامعلقين اكل اعراض الناس او الحكم على ظاهرهم..
38
moh
algeria
2015/02/08
A CHARI DALA
39
زهرة اللوتس
بسكرة
2015/02/08
اتذكر ان صورية بوعمامة ماكانت ترفع
راسها من على الورقة عند تقديم نشرة الثامنة .بمعنى اذا غابت الورقة فلن
تتمكن من انقاذ نفسها . بطريقتها هذه اي شخص كان بمقدروه تقديم الاخبار .
40
سميرة
جيجل
2015/02/08
في قناة الجزيرق لا يفرقون بين الشاب
واالشيخ الكفاءة هي التي تتكلم انا من المعجبات بصورية بوعمامة واتمنى من
كل قلبي ان التقيها انشاء الله كان حلمي الصحافة وكنت من المتتبعين للصحفي
الحزب الواحد والله هم الأحسن من حيث اللغة الحضور والصوت احن دائما الى
سماع التقارير الاخبارية باصواتهم لماذا تسبون زمن الحزب الواحد انا احب
الطمقراطية لكن عندما ارى ما يحصل في البلدان العربية اقول في نفسي العرب
يجب ان يحكمهم دكتاتور ليس من ناحية كبت الحريات ولكن من اجل وضع حد للخونة
الذين يخونون بلدانهم من اجل الفيزا
41
fouzia
khenchela
2015/02/08
سلام هذه الاعلامية احبها كثيرا ولقد
قلتي جملة -لن يصيبنا إلا ما كتب الله لنا- هو ماشجعني ان اقول لك بعد هذ
التالق الاعلامي الرائع اليس حان الوقت للالتفات لما هو مفروض علينا والذي
لايعيق ابدا مهنتك كلمة اديها من اختك شوية للدنيا وشوية للاخر
42
2015/02/08
والله نقولك يا الاخت لوكن تتقاعدي خيرلك وتمشي تتعلمي وتحفظي كتاب الله هذاك هو التقاعد انتاع الصح ..
43
Rosemary
17
2015/02/08
قلت ما أحسه تماما .خاصة لما يكون
الموضوع ليس مهما لدينا كشعب بسيط منهمك في همومه اليومية ويريد معد
البرنامج ومقدمه جعله مهما قهرا.
44
واقعية
2015/02/08
لا يهمني ما تلبس و ما تفعل لها رب يحاسبها كل ما يحضرني انها مذيعة الزمن الجميل بالنسبة لي و لكل زمان ناسه سنة الحياة
45
algerien mdigouti
algerie profonde
2015/02/08
des khobsistes;quand je la vois ,de meme que nouera du rnd et benarous,je vois le fln et sa langue de bois
46
ميسوم
2015/02/09
نعم يجب تخليد كل شيات بتمثال.....وخسارة لماذا لم يعطولك منصب وزيرة ولى حتى منصب بسيط في الحكومة كيما الصحافيين لخرين.....
47
soltana
alger
2015/02/09
Bravo
48
soltana
alger
2015/02/09
Bravo madame
49
يوسف
الجرائر
2015/02/09
انا احبكي يا صورية
50
فريد
بومرداس
2015/02/09
القدير ربي صبحانه وتعالى ليس صورية بوعماة
51
bachir
alg
2015/02/10
صحيح انا هناك صحافة وهناك صخافة الصحفي هو الذي يتكلم من ضميره والصخافة هي التي تتكلم عن مايكتب لها
52
2015/02/10
و هلا تحدثينا عن هذايا LG ELECTRONICS من النائب محمد جميعي ، وكنت حينها مع ثريا زرفاوي و لخضر مراطلة
هل ننحثها مع تمثالك
تحيا الديمقراطية و الوضوح
هل ننحثها مع تمثالك
تحيا الديمقراطية و الوضوح
53
2015/02/10
Il te faut un régime sec
صورية بوعمامة في حوار مع "الشروق" / الحلقة الثانية
لم أستغل منتدى التلفزيون لمصالحي ومن قال العكس فليواجهني
حوار: وردة بوجملين
2015/02/08
الإعلامية القديرة صورية بوعمامة
صورة: جعفر سعادة
- 5261
- 18
قطاع السمعي البصري بحاجة إلى تقنين ولا يجب أن نترك التلفزيونات في يد رجال المال
اعتذرت عن العمل في الخليج لأنني لا أستطيع العيش في بلد غير بلدي
انتقدت الإعلامية صورية بوعمامة الوضعية
التي يعيشها الصحفي في الجزائر باستثناء بقية دول العالم، مشيرة إلى أن
الصحفي في الجزائر يعيش هشاشة اجتماعية، مشيرة إلى أن الصحفي خرج من لدن
هذا الشعب، عكس الصورة "المشوهة" التي ارتسمت لدى المواطن عنه ويتعلق الأمر
بقربه من صناع القرار في البلاد، ومن جهة أخرى دعت صورية بوعمامة إلى
تقنين قطاع الإعلام السمعي البصري في بلادنا، مشيرة إلى أنه لا يجب أن يترك
القطاع في قبضة رجال المال بعد تحرره من أيادي السياسيين، واقترحت على
الدولة إنشاء صندوق لمساعدة هذه القنوات التي تساهم في تنمية التشغيل في
بلادنا، حتى تتمكن من الاستمرار بهدف مواجهة الغزو الفضائي الثقافي الذي
يأتينا من الخارج.لماذا لم تختر صورية الغربة في تلك الفترة، رغم التهديدات التي تلقيتها؟
تلقيت عديد العروض، ولكنني من النوع الذي لا يستطيع العيش في بلد الآخر، أنا أعشق الجزائر ولا أستطيع أن أعيش في بلد غيرها، وحتى عندما أسافر إلى أي بلد أشعر بالاختناق عندما يمر أسبوع من تواجدي هناك، تمنيت لو كنت غير هذا ولكن هذه أنا، سنة 1993 ذهبت إلى "أبو ظبي" وعرض علي مدير الإذاعة العمل هناك وكانت وزيرة الإعلام امرأة طلب منا مدير ديوانها الاستقرار والعمل فرفضنا، ذهبنا الى البحرين فلقينا ترحابا كبيرا من وزير الإعلام هناك، السفير القطري في الجزائر كذلك، التقيت بطارق ريري مدير "ام بي سي" نفس الشيء، ولكنني لا أستطيع العمل في أي مكان آخر، كثيرون يخلطون بيني وبين الصحفيين الآخرين، على غرار زهية بن عروس، ولكنني قلت لهم زهية بن عروس اختارت السياسة ولكنني اخترت الصحافة، أنا لا أملك أي لون سياسي، أحب حريتي ولا أحب أن أكون مقيدة، عندما تنخرط في أي حزب مؤكد أنهم سيفرضون عليك جملة من الشروط التي ستكون طيلة تواجدك في الحزب ملزما بها، أنا امرأة حرة، قد أكون مخطئة ولكنني مقتنعة بنفسي، أحب بلدي، أعلن وطنيتي بكل فخر أينما ذهبت، كما أنني لا أستطيع أن أترك أهلي، وأمي -في ذلك الوقت- وأذهب إلى الخارج، ولدت لأعيش في بلدي، إذا ظلمت فأنا في بلدي وإذا نجحت ففي بلدي كذلك.
ورغم ذلك نجد أنه وإلى الآن لم تنصف الدولة الصحفيين، ما تعليقك على تماطلها وتهاونها في المصادقة على قانون الصحفي؟
الصحفي في الجزائر غارق في الهشاشة الاجتماعية، رأيت صحفيين يقيمون في غرفة، ربما بوسعنا أن نقول إن صحفيي القطاع العمومي، يعيشون في وضعية مقبولة في السنوات الأخيرة، بعد أن أنصفوا من حيث مرتباتهم، ولكن يبقى الصحفي في مؤخرة سلم الأجور مع أن هذا الصحفي هو الواجهة التي تنقل صورة الجزائر، هذا بالإضافة الى المشاكل المادية الكبيرة التي يعيشها، هذا الصحفي الذي لا توفر له الدولة حتى مسكن، وحتى لا نذهب بعيدا، الصحفي في المغرب له هيبته ومكانته، بينما نحن العكس، كنا نكلف بمهمات في الخارج وكنا نضطر لأخذ العملة الصعبة معنا خوفا من البقاء بلا مصاريف، كذلك الصحفي لا يملك شريكا اجتماعيا قويا يدافع عنه في بلادنا، كما هو الحال في النقابات الأخرى، مع أن الكثير من الوزراء كانوا صحفيين وهم على دراية بالوضعية التي يتخبط فيها، كما أن الصحفي في بلادنا غير محمي، وأحب أن أقول إن الصحفي هو الشخص الذي ينبغي أن يخافه المسؤولون لا أن يخاف هو المسؤولين، ووصلنا إلى درجة الزج بالصحفيين في السجن ولكن أتمنى أن يتغير الأمر لأن الصحفي لا تمنحه بطاقة فقط، الصحفي يجب أن توفر له كل متطلبات العيش الكريم وأن تخصص له أجرا يمكنه من توفير كل شيء لنفسه، ومن المشاكل التي يواجهها الصحفي بعده عن مصادر المعلومة، تحفظ السلطات وكأن الصحفي يشحت المعلومة، المسؤولية تكليف وليست تشريفا وهم في مناصبهم لخدمة هذا الشعب.
كيف كنت تتعاملين مع الوزراء الذين كنت تستضيفينهم في منتدى التلفزيون؟
حتى أضعك في الصورة، كنت أتعرف على الضيف مع المشاهد، لم أذهب يوما إلى وزير ولم أكن اتصل به مباشرة، كنت أتعامل مع المكلف بالإعلام، والكثير من الوزراء والضيوف كانوا من شدة خوفهم من الحصة كانوا يرسلون لي باقات الزهور قبل بداية الحصة إلى التلفزيون، وكانت تصلني في كل مرة أشكال وألوان من الزهور لم تصلني في حياتي، كما كانوا يبعثون بمن يحصل لهم على معلومات حول الأسئلة في بعض الأحيان، كان بعض الوزراء يطلبون محاور اللقاء، وأذكر أن وزير الطاقة السابق شكيب خليل كان دائما يطلب الخطوط العريضة، وأذكر في مرة من المرات أنني استقبلت كل أعضاء الحكومة الجزائرية بمؤسسة التلفزيون.
كيف هي علاقتك بالسياسيين، مَن مِن السياسيين والمسؤولين الذين تملكين علاقات وطيدة مهم؟
صدقي أو لا تصدقي، أنا من الإعلاميات اللائي لا يملكن أي علاقة بمسؤول، أحيانا أجد نفسي في وضع لا أحسد عليه عندما يقصدني المواطنون لغرض قضاء مصالحهم، أريد أن أقول إن الصحفي وُجد من هذا الشعب، ولكن الشارع يملك نظرة سيئة جدا عنه، ويقولون إننا مقربون من السلطة، ولهذا فأنا أعتقد أنه يجب أن نصحح هذه النظرة، أنا شخصيا لا أملك أي علاقة مع السياسيين، فدوري ينتهي عندما تنتهي الحصة، وأتحدى أي مسؤول يقول إن صورية بوعمامة قصدتني من أجل خدمة أو شيء من هذا القبيل، لا، لم يحدث هذا طيلة مسيرتي المهنية.
هل حدث وأن تلقيت هدية بعد انتهاء الحصة؟
لا، لا، لم يحدث هذا.
هل حدث وأن اتصل مسؤول للاحتجاج بعد انتهاء الحصة خاصة وأنك كنت تستقبلين شخصيات مهمة ووزراء؟
كثيرا ما كان يحدث هذا، يحتجون كثيرا بسبب الأسئلة ولكن الأمر لم يكن يهمني، لأنني ألتقي هؤلاء فقط في "البلاطو" وباحترام.
هل تنتمين إلى نقابة الصحفيين الخاصة بموظفي التلفزيون؟
لا.
ما تعليقك على تجميدها من طرف سيدي السعيد مؤخرا؟
لم أذهب إلى مؤسسة التلفزيون منذ مدة ولهذا فأنا لا أعلم عن خبر تجميد نقابة موظفيه، ولكنني أنا أحترم العمل النقابي، وسبق وأن تحدثت عن افتقار الصحافة المكتوبة لنقابة تدافع عنها، ولهذا أتمنى أن يكون هذا النوع من النقابات في الجزائر لأننا بحاجة إلى من يدافع عن حقوقنا، وأبارك أي عمل نقابي يدافع عن العمال، ولكني كما سبق وأن ذكرت، العمل النقابي لا يستهويني، كما أنني لا أحسن إلا العمل الصحفي، ولا أفقه في التجارة، فهكذا أنا أحب أن أعيش حرة.
ما تعليقك على قانون الإعلام السمعي البصري الجديد؟
الحمد لله أنه صدر، حتى وإن جاء متأخرا، ولكن يجب أن نأخذ ونطالب.
بمعنى؟
توجد الكثير من الأشياء التي ينبغي مراجعتها، وثانيا، الشريك الاجتماعي مهم في هذه الخطوة، جاء القانون وغاب الشريك الاجتماعي الذي من المفروض أن نستند إليه، ولهذا ستتغير الكثير من الأشياء مع الوقت، كما حدث في 89 مع قانون الإعلام، لأننا بحاجة حتى لا أقول إلى تطهير، إلى تنظيم المشهد الإعلامي، جميل أن تخرج التلفزيونات من قبضة السياسيين ولكن لا يجب أن تذهب إلى قبضة رجال الأعمال والمال.
ما رأيك في القنوات التي ظهرت إلى حد الآن؟
في الأول، يجب أن نرحب بكل القنوات، ثم نقوم بتصفيتها وغربلتها والبقاء للأقوى والأصلح والأكثر احترافية، ففي مصر مثلا توجد الكثير من القنوات وحتى الدولة ليس بإمكانها أن تتحرك أمام هذا الغزو الذي يأتينا من الخارج، لأنها قنوات بقانون أجنبي، ولهذا فنتمنى أن تخضع هذه الأخيرة في أقرب فرصة لسلطة الضبط وتصبح قنوات جزائرية وتسير بقانون جزائري، محكومة بدفتر شروط، فالذي يخطئ يدفع الثمن، نعمل في أطر قانونية شفافة، كما هو الحال في بقية دول العالم، ولأننا مولوعون دائما بتقليد فرنسا فلا بأس أن نقلدها في هذا المجال، وأتمنى أن تكون هذه القنوات في يد أناس مختصين حتى لا يغلب المال على المهنة.
هل عرضت عليك إدارة أي من هذه القنوات؟
نعم، تلقيت عديد العروض ولكن عملي في التلفزيون لا يسمح لي بالتعاقد معها، ربما سأفكر في الأمر بعد التقاعد، ولهذا قلت لك من قبل الحمد لله أن الصحفي لا يتقاعد، لأنه بإمكانه العمل في أي وقت، والحمد لله علاقتي بالجميع طيبة ولا أملك أي خلاف مع أي من هذه القنوات، وبالعكس أشكر لهم تعاونهم معي، حيث عرفوا بي للجمهور على أساس أنني مؤلفة مبتدئة، كما أن الكثير من هؤلاء الصحفيين الجدد تربصوا على يدي في مراكز التدريب، وحتى إذا حدث وأن قبلت عرضا، فمؤكد أنني لن أعمل في الإدارة لأنني لا أفقه غير العمل في مجالي الصحفي، ولا أحسن حتى عد الأموال، أنا أنفع أكثر في مجالي الإعلامي، في تصور حصص، أملك عديد الأفكار فيما يتعلق بالومضات الاشهارية، إعداد الريبورتاجات، أمور التركيب وغيرها، صورية هي كتلة من الأفكار والبقاء في مكتب سيظلمني كثيرا وأنا مستعدة لحمل الكاميرا، والعمل في الميدان سيكون ممتعا بالنسبة لي.
ما رأيك في الكفاءات الصحفية الجزائرية المتواجدة في القنوات الأجنية؟
كنت دائما أقول إنه لا يجب أن تكون لدينا أفكار مسبقة عن الصحفيين الذين ذهبوا وهاجروا، لأنهم اختاروا وهذا يتعلق بحريتهم الشخصية، أنا مازلت أحتفظ بعلاقات جيدة مع هؤلاء وأكن لهم كل الاحترام والتقدير، وهم قيمة مضافة وقد نستفيد من خبرات هؤلاء.
نتهم هؤلاء دائما ونقول إنهم هجروا التلفزيون ولكن الحقيقة غير ذلك، لأن الكثير منهم هُجّروا، ما رأيك؟
تقصدين التهميش، هذا صحيح، ولكن كل شيء مرتبط بشخصية الصحفي، إما أن يكون قويا وإما أن لا يكون، توجد أفواج من الصحفيين الذين ذهبوا إلى الخارج، الفوج الأول ذهب هروبا بجلدته من الموت، بعد تلقيهم لرسائل تهديدات وهذا لا يعني أن الذين بقوا لم يعانوا من تهديدات، والموجة الثانية ذهبت من أجل المال وكثيرون ذهبوا لأنهم همشوا، ولأن التلفزيون الجزائري فشل في إظهار كفاءاتهم في حين نجد أن التلفزيونات الأجنبية نجحت في ذلك، كمال علواني مثلا همش من الناحية المادية، صحفي مقدم أخبار بأجرة مليون ونصف مليون فقط، فهرب من الإرهاب ومن الظروف الاجتماعية السيئة وهذا حال عديد الصحفيين عندما غادروا الجزائر، كانوا لا يملكون بيتا يأوون إليه وتركوا أولادهم وعائلاتهم في حالات سيئة، لا نقول إن الصحفي يجب أن يتمتع بكل الامتيازات ولكن نحن نطالب بالحد المعقول، لأنه لا يعقل أن يعمل الصحفي في إطار تشغيل الشباب، وكما قاموا بوضع صندوق لمساعدة الصحافة يجب استحداث صندوق لمساعدة هذه القنوات، أمواج بشرية تخرج من الجامعات يحلمون بمنصب عمل، ولحسن الحظ أن هذه القنوات ظهرت لاستيعاب هذه الطاقات وبالتالي فعلى الدولة أن توفر قروضا لمساعدة هذه القنوات، على غرار ما تعمل به هذه القنوات.
لو نأتي لميولاتك السياسية إلى أي حزب تنتمين؟
الصحفي يجب أن يعرف الكثير من الأمور السياسية، يجب أن يعرف المحيط السياسي الذي يعمل فيه والمحيط الاجتماعي كذلك، لأنه يلتقي السياسيين والاقتصاديين والإنسان البسيط، يجب أن تكون له دراية بالأحزاب وتوجهاتها، ولهذا فأنا لا أملك أي ميولات سياسية ولا أنتمي إلى أي حزب وليست لي أي طموحات للخوض في هذا المجال.
كثيرات هن الصحفيات اللائي نجحن في بلوغ مناصب وزارية، على غرار نوارة جعفر، زهية بن عروس؟
قلت لا طموحات لي في مجال السياسة، أحترم توجهاتهن وميولاتهن ولكنني صحفية وسأبقى صحفية.
بعيدا عن الصحافة ما هي الأشياء التي تحب صورية ممارستها؟
أطالع كثيرا وكذلك أشاهد القنوات الأجنبية وأزور أصدقائي.
من هم أفضل أصدقائك؟
هم كثيرون دون ذكرهم حتى لا أنسى أحدا، ولكن أحب أن أقول لهم، الحمد الله على وجود مثل هؤلاء الأشخاص في حياتي.
1
algerien
uk
2015/02/08
الدنيا دوارا كنا بالامس الامر النهى في
اليتمة واليوم تاتين وتمثلين دو الضحية وكلنا نعرف دوك القذر في اخفاء
حقاءق على اليتيمة وعلاقتكى المشبوهة مع سياسيين كبار ولا داعى لذكر
الاسماء واليو تاتين لتقدم دروس للغير يقول ليستحو ماتو وان لم تستحي فافعل
ماشىءت يا بوعمامة اسم على غير مسمى
2
2015/02/08
يا صورية انت جميلة لكن بالحجاب ستكونين اجمل
3
alg
ca
2015/02/08
belle femme je l'a trouve tres jolie je laime
4
الونشريسي
3
2015/02/08
moi aussi.je laime.واتمنى لها دوامالصحة والعافية.
5
Hakim
France
2015/02/09
Vous êtes périmée Soraya Bouamama comme votre chaîne ENTV
6
2015/02/09
واش عندك في ولاية البرج/
7
صحافية؟؟؟؟؟
الجزائر العميقة
2015/02/09
كنت و لا زلت بوق من اْبواق النظام،
ينفخ فيك و يوجهك الى اي اتجاه شاء. أنسيت العشرية السوداء و كيف كُنتُم
أنتم الصحفيين تقرؤون على مسامعنا اخبارا تملى لكم من اسيادكم، أين التحقيق
في الأخبار و العمل الصحفي الحر، تحيا الصحافة الحرة، يوجد في الجزائر
صحافي حقيقي واحد هو بن اشنهو و قد عان الويلات.......
اسمحيلي سيدتي هذا رايي.......
اسمحيلي سيدتي هذا رايي.......
8
yacine
alg
2015/02/09
مشاء الله صورية بوعمامة انسانة محترمة وقمدمت بزاف لصحفة الجزائرية الله يوافقك
9
2015/02/09
حري بهؤلاء كبار السن ومنهم هذه السيدة
افساح المجال للشباب وترك الكراسي للخريجين الشباب لمواصلة المشوار...متى
تخجلون من انفسكم وتتركون المكان لغيرم من الشباب..انتهت مهتكم بعدما كبرتم
وصرتم عالة على الشعب والامة والعمل ايضا..احشموا على ارواحكم وشدوا
ادياركم
10
mohamed
algerie
2015/02/09
كنت جميلة مبتسمة دائما متمكنة من وظيفتك والدليل :منتدى التلفزيون
11
سعيد م
الجزائر
2015/02/09
ما قالته صورية بوعمامة صحيح مائة
بالمائة، انا شخصيا تشرفت بالعمل مع وتحت مسؤوليتها، وأشهد لها بالمهنية،
الصدق وعدم النفاق والبساطة ربي يحفظها
12
حوار اليوم
الجزائر
2015/02/09
بعض المقترح لعمل صحفي /
- صحافتنا غير متخصصة احيانا تعرض مواضيع تجهلها.....لدا يكلخولها او يحضرون لها الاسئلة والجواب .
- الصحافة مهنة تقنية وحرية تعبير....لدا لا يمكنها ان تخضع كل مرة لوزير او برنامج حكومي ......بل يقتضي خلق مجلس وطني دائم و مستقل يدير العمل الصحفي بكل انواعه ويمنح اعتماد النشاط.
- يبقى السؤال مطروح ..من هي السلطة 4....هل وزارة ام مجلس وطني دائم و مستقل ؟
- ينبغي اعتماد القنوات حسب دفتر شروط يحدد معايير اخرى - تقنيات - كفائات - حتى لا يحتكر العمل الصحفي من اصحاب المال
- صحافتنا غير متخصصة احيانا تعرض مواضيع تجهلها.....لدا يكلخولها او يحضرون لها الاسئلة والجواب .
- الصحافة مهنة تقنية وحرية تعبير....لدا لا يمكنها ان تخضع كل مرة لوزير او برنامج حكومي ......بل يقتضي خلق مجلس وطني دائم و مستقل يدير العمل الصحفي بكل انواعه ويمنح اعتماد النشاط.
- يبقى السؤال مطروح ..من هي السلطة 4....هل وزارة ام مجلس وطني دائم و مستقل ؟
- ينبغي اعتماد القنوات حسب دفتر شروط يحدد معايير اخرى - تقنيات - كفائات - حتى لا يحتكر العمل الصحفي من اصحاب المال
13
hafid
alger
2015/02/09
walah même tu as fait ton devoir et
encor tu na jamais dénoncé une entrave a la liberte alors pardonné moi
moi je tevois une journaliste khobziste bezaf.alors combien de gens ont
profité du silence alors que des gens meurt pour brise se silence.un
tahar jaout est mort pour la cause,oui un masmar jeha et un boussebesi
et autre....
14
2015/02/09
على غرار زهية بن عروس، ولكن زهية بن
عروس اختارت السياسة !بصراحة كنت أتابع أخبارها عندما كانت مقدمة الأخبار
باليتيمة،وبعد أن تفرعنت وصارت تمارس السياسة غيرت رأيي اتجاهها 395 درجة
لأنني لا أكره النفاق والمنافقين(قات).
15
riadh
2015/02/09
لقد قلت ان الصحافة تحررت من السياسة
لتقع في هيمنة المال"الفاسد"و هذا كل ما هو صحيح في حوارك هذا,اتذكر اسلوبك
في تقديم الاخبار و كاني بك جنرال بالجيش...اخبار على الطريقة السوفييتية
تفتقر لادنى شروط المهنة...اخبار موجهة بtélécommande ,و الحقيقة انك كنت
تثيرين شفقة المثقفين و غيرهم و حتى جدتي المسكينة كانت تتهمك باالكذب خاصة
عند اسهابك في تقديم الجزائر انذاك على انها مدرسة في الديموقراطية و حقوق
الانسان...اسف جدا على ممشوارك الذي ذهب سدى.طبعا ليس من الناحية المالية.
16
فريد
باتنة
2015/02/09
شيتى منتهيت الصلحية تعود من بوابة
الشروق كم مرة ابطرت الحق وتجاهلت صواب ورجحت الباطل واسكتت الحق ومددت
الكلمة لا صحاب الباطل .وفي الا خير عندما تعبت من اجلهم همشو ها .
17
mustang
London
2015/02/10
لى فتو وقت لا يطمع فى وقت أناس و لفاهم يفهم
18
مونية
الجزاءر
2015/02/10
صوري بوعمامة ستبقى داءما السيدة المحترمة و ستبقى داءما رمز من رموز النجاح الصحفي والتيليفيزيوني في الجزاءر .
السيدة الذي كتبت اسمها على الصخور مو على الرمال .
Les chiens aboient et la caravane passe
السيدة الذي كتبت اسمها على الصخور مو على الرمال .
Les chiens aboient et la caravane passe
Projets de l’événement culturel de Constantine
La compétence chinoise pour sauver la manifestation
le 07.02.15 | 10h00
3 réactions
A J-68 du rendez-vous fatidique, la crainte d’un fiasco hante...
C’est une véritable course contre la montre que livre l’exécutif à Constantine pour inaugurer la manifestation culturelle de l’année dans les temps. Le respect des délais devient dés lors la priorité, virant à la hantise tant l’enjeu est de taille. C’est ainsi que d’une seule visite par semaine effectuée aux différents projets relatifs à l’événement «Constantine, capitale de la culture arabe», que le chef de l’exécutif est passé à trois déplacements hebdomadaires.
A deux mois du lancement de festivités, les multiples chantiers
auraient du atteindre leur vitesse de croisière, mais ce n’est pas le
cas pour bon nombre d’entre eux. Dans le gros comme dans le détail, les
couacs et les retards sont relevés à chaque halte. Même la couleur des
sièges et des moquettes a nourri le «débat» au niveau du palais de la
culture Malek Haddad. Cet édifice phare de la manifestation, objet d’une
grande opération de rénovation, devrait en principe être réceptionné le
28 du mois en cours.
L’entreprise locale en charge de cette mission a auparavant été mise en demeure. La seconde chance qui lui soit accordée l’engage solennellement et officiellement à livrer les lieux en temps et en heure quitte à livrer bataille en activant le système de roulement des trois-huit (3/8), soit trois équipes qui se relayeront H24, aux fins de boucler le chantier dans le respect du calendrier fixé par la direction des équipements. Pour que cela se produise, il a fallu recourir à des renforts, du moins pour exécuter l’aménagement extérieur du palais.
Après les prouesses réalisées dans les projets de la salle de spectacles Zénith et l’hôtel Marriott, la sollicitation de la compétence chinoise devient incontournable.Encore fois, ce sont les ouvriers chinois qui s’y sont collés pour que le palais de la culture Malek Haddad puisse être réceptionné à la fin de ce mois.
La célérité, dont ils ont déjà fait preuve dans la réalisation de projets, est l’atout majeur qui les positionne en meilleur maître d’œuvre, une bouée de sauvetage, le cas échéant. Appeler des entreprises chinoises à la rescousse dans ce vaste chantier dédié à une manifestation qui naîtra aux forceps est loin d’être une mauvaise idée. Mais, n’aurait-il pas été plus simple de procéder de la sorte depuis le début ?
Que d’économie de temps et d’argent, ce choix aurait pu procurer à la trésorerie publique dans une conjoncture difficile, greffée par l’effondrement du marché pétrolier ? A neuf semaines du coup de starter de l’événement «Constantine, capitale de la culture arabe», l’ultime option à même d’éloigner le spectre d’un fiasco est indéniablement celle du recours à la main d’œuvre étrangère, en l’occurrence chinoise. Et il n’est jamais trop tard pour bien faire.
L’entreprise locale en charge de cette mission a auparavant été mise en demeure. La seconde chance qui lui soit accordée l’engage solennellement et officiellement à livrer les lieux en temps et en heure quitte à livrer bataille en activant le système de roulement des trois-huit (3/8), soit trois équipes qui se relayeront H24, aux fins de boucler le chantier dans le respect du calendrier fixé par la direction des équipements. Pour que cela se produise, il a fallu recourir à des renforts, du moins pour exécuter l’aménagement extérieur du palais.
Après les prouesses réalisées dans les projets de la salle de spectacles Zénith et l’hôtel Marriott, la sollicitation de la compétence chinoise devient incontournable.Encore fois, ce sont les ouvriers chinois qui s’y sont collés pour que le palais de la culture Malek Haddad puisse être réceptionné à la fin de ce mois.
La célérité, dont ils ont déjà fait preuve dans la réalisation de projets, est l’atout majeur qui les positionne en meilleur maître d’œuvre, une bouée de sauvetage, le cas échéant. Appeler des entreprises chinoises à la rescousse dans ce vaste chantier dédié à une manifestation qui naîtra aux forceps est loin d’être une mauvaise idée. Mais, n’aurait-il pas été plus simple de procéder de la sorte depuis le début ?
Que d’économie de temps et d’argent, ce choix aurait pu procurer à la trésorerie publique dans une conjoncture difficile, greffée par l’effondrement du marché pétrolier ? A neuf semaines du coup de starter de l’événement «Constantine, capitale de la culture arabe», l’ultime option à même d’éloigner le spectre d’un fiasco est indéniablement celle du recours à la main d’œuvre étrangère, en l’occurrence chinoise. Et il n’est jamais trop tard pour bien faire.
Naïma Djekhar
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nadir666
le 10.02.15 | 15h46
L'aveugle qui voit très bien
Le temps du tape à l'oeil 2015 et tout s'écroulera comme un château de carte!
sourde oreille.
Quand on casse les precieux escaliers du coudiat (ils sont au
nombres de quatre)et ce en dépit des protestations de la population.
Quand on remplace la pierre que le bon dieu a créé par du vulgaire béton
mal dosé,on doit comprendre qu'on est à côté de la plaque et qu'on ne
réalisera rien de bon.
ET POUR LE RESTE ?
On n'est pas loin de penser qu'il serait plus efficace ,et
certainement plus économique , de confier "toute l'affaire" ,selon une
formule spectacles en mains, à nos amis chinois .
Le wilaya en serait agréablement débarrassée et pourrait ainsi mieux se réserver aux personnalités et aux médias.
Le wilaya en serait agréablement débarrassée et pourrait ainsi mieux se réserver aux personnalités et aux médias.
Cadre de vie : Les habitants de Sidi M’cid désabusés
le 05.02.15 | 10h00
Réagissez
Routes impraticables, trottoirs défoncés, bouches d’égout absentes et insécurité. C’est ce qui caractérise actuellement le quartier de Sidi M’cid.
Distant d’environ 5 kilomètres de Constantine, flanqué au bord d’une
route secondaire menant au centre-ville, empruntée par les
automobilistes pour contourner le trafic dense surla RN 3, Sidi M’cid
qui abrite près de 8000 habitants est constitué uniquement de logements
évolutifs auxquels sont venus se greffer anarchiquement quelque 400
gourbis donnant ainsi à l’endroit l’aspect d’un ghetto.
Un lieu où n’existent, par ailleurs ni espaces verts, ni espaces de loisirs et encore moins de terrains où les plus jeunes pourraient évacuer leur trop plein d’énergie. Le président du comité de quartier, M. Mohamed Azaza exprime à ce titre le ras-le-bol des habitants. Ces derniers s’indignent parce que rien n’a été fait pour leur quartier et ce malgré les nombreuses démarches entreprises auprès des services de la commune.
Ils sont unanimes à déplorer le laisser-aller dans lequel se trouve leur quartier. M. Azaza explique: «La dernière opération d’amélioration urbaine, dont a bénéficié notre cité, remonte à 1997 ; depuis les choses ne font que se dégrader. Nous avons pourtant déposé plusieurs demandes au niveau de la direction de l’urbanisme, lesquelles sont restées malheureusement lettres mortes en dépit des promesses qui nous ont été formulées à maintes reprises par cette même direction, concernant l’inscription de notre quartier dans le programme de wilaya d’amélioration urbaine».Notre interlocuteurajoutera: «Notre principale préoccupation demeure néanmoins l’insécurité.
Le commissariat dont nous dépendons, à savoir celui du 3ème arrondissement, se trouve à la cité Emir Abdelkader à dix kilomètres d’ici. Les délinquants imposent leur loi dans le quartier et les agressions sont monnaie courante». Désabusés par les innombrables promesses d’un lendemain meilleur, jamais tenues par les autorités locales, les habitants, organisés en association, se démènent comme ils peuvent pour régler leurs problèmes. Et ces derniers sont nombreux notamment en ce qui concerne la sécurité, l’éclairage public et la couverture sanitaire.
L’unique salle de soins de la cité manque de tout, affirme M.Azaza qui déplore d’autre part l’état lamentable dans lequel se trouve le CEM du quartier qui ne dispose même pas d’une salle de sport, alors que cet établissement a bénéficié récemment d’une opération de réhabilitation. Notre interlocuteur évoquera également l’état délabré des routes et voies d’accès au quartier, en plus du chômage qui touche une grande partie de la population, en particulier les jeunes.
Le président de l’association du quartier souligne dans ce sillage que les espoirs entretenus par les jeunes du quartier de pouvoir bénéficier d’emplois après l’annonce de la réouverture des bassins du complexe palmarium de Sidi M’cid se sont vite envolés en raison du retard accumulé dans la réhabilitation de cette structure.
Un lieu où n’existent, par ailleurs ni espaces verts, ni espaces de loisirs et encore moins de terrains où les plus jeunes pourraient évacuer leur trop plein d’énergie. Le président du comité de quartier, M. Mohamed Azaza exprime à ce titre le ras-le-bol des habitants. Ces derniers s’indignent parce que rien n’a été fait pour leur quartier et ce malgré les nombreuses démarches entreprises auprès des services de la commune.
Ils sont unanimes à déplorer le laisser-aller dans lequel se trouve leur quartier. M. Azaza explique: «La dernière opération d’amélioration urbaine, dont a bénéficié notre cité, remonte à 1997 ; depuis les choses ne font que se dégrader. Nous avons pourtant déposé plusieurs demandes au niveau de la direction de l’urbanisme, lesquelles sont restées malheureusement lettres mortes en dépit des promesses qui nous ont été formulées à maintes reprises par cette même direction, concernant l’inscription de notre quartier dans le programme de wilaya d’amélioration urbaine».Notre interlocuteurajoutera: «Notre principale préoccupation demeure néanmoins l’insécurité.
Le commissariat dont nous dépendons, à savoir celui du 3ème arrondissement, se trouve à la cité Emir Abdelkader à dix kilomètres d’ici. Les délinquants imposent leur loi dans le quartier et les agressions sont monnaie courante». Désabusés par les innombrables promesses d’un lendemain meilleur, jamais tenues par les autorités locales, les habitants, organisés en association, se démènent comme ils peuvent pour régler leurs problèmes. Et ces derniers sont nombreux notamment en ce qui concerne la sécurité, l’éclairage public et la couverture sanitaire.
L’unique salle de soins de la cité manque de tout, affirme M.Azaza qui déplore d’autre part l’état lamentable dans lequel se trouve le CEM du quartier qui ne dispose même pas d’une salle de sport, alors que cet établissement a bénéficié récemment d’une opération de réhabilitation. Notre interlocuteur évoquera également l’état délabré des routes et voies d’accès au quartier, en plus du chômage qui touche une grande partie de la population, en particulier les jeunes.
Le président de l’association du quartier souligne dans ce sillage que les espoirs entretenus par les jeunes du quartier de pouvoir bénéficier d’emplois après l’annonce de la réouverture des bassins du complexe palmarium de Sidi M’cid se sont vite envolés en raison du retard accumulé dans la réhabilitation de cette structure.
F. Raoui
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Le calendrier des collectes interrompu
Constantine croule sous les ordures
le 08.02.15 | 10h00
6 réactions
Comme chacun a pu le constater, le ramassage des ordures connaît depuis
quelques semaines à Constantine de sérieuses perturbations. Le nombre
de rotations des camions chargés de la collecte des déchets ménagers a
baissé de manière significative et le ramassage se fait dans certains
quartiers de la ville notamment à Sidi Mabrouk, à la cité Boussouf, à
Bellevue ou sur le boulevard Belouizdad, pour ne citer que ces
quartiers, de façon très aléatoire à telle enseigne que les niches et
les bacs à ordures dans ces quartiers débordent et les contenus sont,
désormais devenus littéralement des détrits.
Une situation qui suscite bien des interrogations d’autant que, comme chacun le sait, pas moins de trois opérateurs sont censés intervenir dans le secteur de la collecte des ordures à Constantine à savoir une entreprise publique autonome à savoir l’EPTPC, un établissement public de wilaya créé juridiquement il y a deux années et qui n’est toujours pas fonctionnel mais aussi des micro entreprises spécialement créées, il y a peu de temps, pour servir d’appoint aux structures précédemment citées.
Quoi qu’il en soit, la situation actuelle serait due, selon les éléments d’informations en notre possession à une accumulation de problèmes mais aussi au laxisme des responsables de la mairie. Un laisser-aller caractérisé qui a conduit au pourrissement d’une situation déjà bien mal engagée depuis la fermeture en août de l’année écoulée du Centre d’enfouissement technique (CET) Bougharb dans la commune de Benbadis après un mouvement de protestation de la population locale qui y avait mis le feu à cause des nuisances subies.
Même si ce dernier a été rouvert partiellement au mois de janvier passé, d’autres difficultés et pas des moindres sont apparues depuis quelques semaines. Notamment celles liées à l’éloignement du CET de Benbadis qui oblige les engins chargés de la collecte à Constantine de parcourir près d’une centaine de kilomètres pour se débarrasser de leur chargement.
Il faudrait également citer le projet de la décharge intermédiaire prévue au treizième kilomètre qui tarde à voir le jour en plus du budget de la mairie de Constantine qui s’est révélé déficitaire et dont les conséquences ont été le non renouvellement à ce jour des contrats des micro entreprises en charge de la collecte des ordures à Constantine. Ces facteurs ajoutés au laisser-aller notoire régnant actuellement au sein de la mairie nous ont conduits à cette situation où les citoyens doivent faire face, en plus des tracas quotidiens liés aux chantiers de la manifestation Constantine capitale de la culture arabe, à la saleté et à une dégradation continue de leur environnement.
Une situation qui suscite bien des interrogations d’autant que, comme chacun le sait, pas moins de trois opérateurs sont censés intervenir dans le secteur de la collecte des ordures à Constantine à savoir une entreprise publique autonome à savoir l’EPTPC, un établissement public de wilaya créé juridiquement il y a deux années et qui n’est toujours pas fonctionnel mais aussi des micro entreprises spécialement créées, il y a peu de temps, pour servir d’appoint aux structures précédemment citées.
Quoi qu’il en soit, la situation actuelle serait due, selon les éléments d’informations en notre possession à une accumulation de problèmes mais aussi au laxisme des responsables de la mairie. Un laisser-aller caractérisé qui a conduit au pourrissement d’une situation déjà bien mal engagée depuis la fermeture en août de l’année écoulée du Centre d’enfouissement technique (CET) Bougharb dans la commune de Benbadis après un mouvement de protestation de la population locale qui y avait mis le feu à cause des nuisances subies.
Même si ce dernier a été rouvert partiellement au mois de janvier passé, d’autres difficultés et pas des moindres sont apparues depuis quelques semaines. Notamment celles liées à l’éloignement du CET de Benbadis qui oblige les engins chargés de la collecte à Constantine de parcourir près d’une centaine de kilomètres pour se débarrasser de leur chargement.
Il faudrait également citer le projet de la décharge intermédiaire prévue au treizième kilomètre qui tarde à voir le jour en plus du budget de la mairie de Constantine qui s’est révélé déficitaire et dont les conséquences ont été le non renouvellement à ce jour des contrats des micro entreprises en charge de la collecte des ordures à Constantine. Ces facteurs ajoutés au laisser-aller notoire régnant actuellement au sein de la mairie nous ont conduits à cette situation où les citoyens doivent faire face, en plus des tracas quotidiens liés aux chantiers de la manifestation Constantine capitale de la culture arabe, à la saleté et à une dégradation continue de leur environnement.
F. Raoui
Vos réactions 6
huron
le 09.02.15 | 15h09
ORDURES, LE COUP FATAL !
Non seulement en tout pays, sous tous les cieux, la collecte
des déchets est indispensable à la qualité de vie et au bien-être des
populations. Mais voici que les ordures ressortent comme des pustules
sous les couches de fard qu’ils appliquent sur ton visage, ô Constantine
! Auraient-ils perdu la raison ?
Qu’ils aient voulu t’honorer, te fêter, toi la Ville deux fois millénaire, voilà une intention louable. Mais l’ont-ils fait pour ton bonheur et celui de tes habitants, ou pour une autre cause ? Car tout montre qu’il fallait s’inquiéter de ta santé, ô Grande Dame, avant de te pousser sous les projecteurs internationaux. Tu y feras pitié. Eux, les organisateurs de cet événement, vont apparaître comme d’indignes « montreurs de vieilles dames décrépies ». Nul n’en sortira indemne !
C’est insensé. Et il vient de te dire… « Adieu Constantine ! »
C’est désespérant. Et il vient d’implorer la fin de cette déchéance où t’ont mise les édiles… « A qui te vouer : à la grâce de Dieu ou à l’intelligence des hommes ?! »
… Qui peut encore espérer en leur intelligence ?
Qu’ils aient voulu t’honorer, te fêter, toi la Ville deux fois millénaire, voilà une intention louable. Mais l’ont-ils fait pour ton bonheur et celui de tes habitants, ou pour une autre cause ? Car tout montre qu’il fallait s’inquiéter de ta santé, ô Grande Dame, avant de te pousser sous les projecteurs internationaux. Tu y feras pitié. Eux, les organisateurs de cet événement, vont apparaître comme d’indignes « montreurs de vieilles dames décrépies ». Nul n’en sortira indemne !
C’est insensé. Et il vient de te dire… « Adieu Constantine ! »
C’est désespérant. Et il vient d’implorer la fin de cette déchéance où t’ont mise les édiles… « A qui te vouer : à la grâce de Dieu ou à l’intelligence des hommes ?! »
… Qui peut encore espérer en leur intelligence ?
Et on ose
encore parler de cette ville comme capitale de la
culture...arabe. Des montagnes d'ordures poussent comme des fleurs et au
milieu, coule une belle rivière charriant des immondices. Dans ses
ruelles éternelles, beauté d'un autre temps, les gravats, comme des
coquillages, sèment leur poussière. Au coin de ce qui ressemble à une
place, des odeurs improbables de cuisine serpentent dans une atmosphère
fétide. Ah quelle est belle cette capitale et le sieur Rihani, du haut
des tours de l'Hôtel de ville, admire cette implacable paysage du
Moyen-Âge...Vous avez dit capitale???
Qui a dit ordures!
les ordures parmi les Ordures...
Malheureusement qu'il n'y a pas seulement seulement ville jadis propre et fleurée.Toutes les villes d'Algérie de la petite à la plus grande sont couvertes de détritus, mais faute à qui et à quoi? Je suis passé il y a peu de temps par la Forêt d'IKKOREN jadis très propre avec des fontaines le long de cette forêt d'Adekar jusqu’à Azzazga, c'était un plaisir de circuler et de prendre un bol d'air pure.
Aujourd'hui c'est devenue un amant d'ordures de toutes sortes, même les singes ont fuies, je n'en parle même pas des fontaines inexistantes ou polluées.
Hélas ! l'Algérie est devenue la poubelle de l'Europe, des Chinois, et le terrains de chasses des arabes du Golf, c'est à dire un pays en faillite par ses occupants qui manquent de civismes et de gouvernances. (je pie Bacchus et la nature faite le reste)
Malheureusement qu'il n'y a pas seulement seulement ville jadis propre et fleurée.Toutes les villes d'Algérie de la petite à la plus grande sont couvertes de détritus, mais faute à qui et à quoi? Je suis passé il y a peu de temps par la Forêt d'IKKOREN jadis très propre avec des fontaines le long de cette forêt d'Adekar jusqu’à Azzazga, c'était un plaisir de circuler et de prendre un bol d'air pure.
Aujourd'hui c'est devenue un amant d'ordures de toutes sortes, même les singes ont fuies, je n'en parle même pas des fontaines inexistantes ou polluées.
Hélas ! l'Algérie est devenue la poubelle de l'Europe, des Chinois, et le terrains de chasses des arabes du Golf, c'est à dire un pays en faillite par ses occupants qui manquent de civismes et de gouvernances. (je pie Bacchus et la nature faite le reste)
Adieu Constantine ?!
Bien que l’événement 2015 ait été décidé pour honorer cette
Ville, et pour la satisfaction générale de ses Habitants, de leurs
invités et de leurs visiteurs, on finirait par penser que l’enchaînement
des contretemps et autres déconvenues a fini par tuer dans l’œuf toutes
ces bonnes intentions. S’ajoute à cela le sentiment qu’il n’y a rien à
faire pour inverser cette regrettable et inconfortable tendance. Même
tirer le signal d’alarme s’avère inopérant !
Adieu Constantine !?
Déjà on a du recourir à la main d’œuvre étrangère pour tenter de mener à terme dans les délais quelques projets. C’est appréciable. D’autres n’ont-ils pas disparu en cours de gestation ? Quant à la main d’œuvre étrangère, elle était déjà sollicitée, précisément dans le domaine de la construction. Mais jusqu’où s’en remettre à elle ?
Adieu Constantine !?
Bien entendu, selon les errements en cours dans tout pays, le discours continue de prêcher l’optimisme. Ah, s’il suffisait à redresser la situation ! Sur les chantiers, néanmoins, le verbe se fait incisif, et il arrive que des entreprises soient renvoyées. On ne peut qu’apprécier. Non sans regretter l’incurie qui se rencontre ici. « Incurie », quel gros mot : las, c’est la triste réalité !
Adieu Constantine !?
Car toute cette agitation, que ni la Ville ni ses Habitants n’avaient suscitée, cache une autre « incurie » : la gestion municipale. Las, mille fois hélas : cette Cité deux fois millénaire est également deux fois victime. Et de cette fête qu’on veut lui faire et qu’on est incapable d’organiser correctement, même en recourant à la main d’œuvre étrangère. Et de sa municipalité, de son APC, qu’on ne saurait cette fois suppléer en recourant à un prestataire étranger !!!
Adieu Constantine !?
Il ne servira à rien d’énumérer toutes les conséquences de cette gestion calamiteuse. La Ville, ses rues, ses équipements, ses monuments, témoignent de l’abandon où elle a été laissée. Ses Habitants en subissent les effets dans l’espace public et jusque dans l’espace privé, à croire qu’un mauvais sort leur a été jeté. Un mauvais sort inexorable. Un mauvais sort inéluctable, puisque personne ne réagit, occupé que l’on est à vouloir les fêter, Eux et leur Ville !
Voilà pourquoi Adieu Constantine !
A qui te vouer : à la grâce de Dieu ou à l’intelligence des hommes ?!
Adieu Constantine !?
Déjà on a du recourir à la main d’œuvre étrangère pour tenter de mener à terme dans les délais quelques projets. C’est appréciable. D’autres n’ont-ils pas disparu en cours de gestation ? Quant à la main d’œuvre étrangère, elle était déjà sollicitée, précisément dans le domaine de la construction. Mais jusqu’où s’en remettre à elle ?
Adieu Constantine !?
Bien entendu, selon les errements en cours dans tout pays, le discours continue de prêcher l’optimisme. Ah, s’il suffisait à redresser la situation ! Sur les chantiers, néanmoins, le verbe se fait incisif, et il arrive que des entreprises soient renvoyées. On ne peut qu’apprécier. Non sans regretter l’incurie qui se rencontre ici. « Incurie », quel gros mot : las, c’est la triste réalité !
Adieu Constantine !?
Car toute cette agitation, que ni la Ville ni ses Habitants n’avaient suscitée, cache une autre « incurie » : la gestion municipale. Las, mille fois hélas : cette Cité deux fois millénaire est également deux fois victime. Et de cette fête qu’on veut lui faire et qu’on est incapable d’organiser correctement, même en recourant à la main d’œuvre étrangère. Et de sa municipalité, de son APC, qu’on ne saurait cette fois suppléer en recourant à un prestataire étranger !!!
Adieu Constantine !?
Il ne servira à rien d’énumérer toutes les conséquences de cette gestion calamiteuse. La Ville, ses rues, ses équipements, ses monuments, témoignent de l’abandon où elle a été laissée. Ses Habitants en subissent les effets dans l’espace public et jusque dans l’espace privé, à croire qu’un mauvais sort leur a été jeté. Un mauvais sort inexorable. Un mauvais sort inéluctable, puisque personne ne réagit, occupé que l’on est à vouloir les fêter, Eux et leur Ville !
Voilà pourquoi Adieu Constantine !
A qui te vouer : à la grâce de Dieu ou à l’intelligence des hommes ?!
qui est responsable
la mairie de constantine et ses responsables semblent
accepter et vouloir instaurer la pagaille dans cette ville; les
differents qui opposent les elus sont sujets aux blocages et nourrisent
la mediocrité et la salletteé dans la ville. Les affaires et les
interets vont bien et le citoyens n a qu a se débrouiller persoone ne s
inquiette; les équipes du wali sont absentent et mr le wali n en sait
rien ne peut intervenir au sanctionner;
CIVISME
Laisser aller des responsables, incompétence, nous sommes
tous responsbles du fait d'absence de civilisation.Impunité règne en
maitre,dommage pour notre si beau pays que ces irresponsables s'accagent
en toute impunité.
Absence de contrôle sur les avoirs
La Suisse, un paradis fiscal parmi d’autres
le 10.02.15 | 10h00
14 réactions
Soupçons sur plus de 440 Algériens qui cumuleraient 671 millions de dollars dans des comptes à la banque HSBC Genève, touchée par un scandale financier d’évasion fiscale et de blanchiment d’argent. Rois du Maroc et de Jordanie, hommes d’Etat et personnalités politiques et du spectacle sont cités.
La Suisse subit depuis quelques années des pressions de Bruxelles afin
de revoir la «manière de faire» de ses banques. L’affaire SwissLeaks
braque une nouvelle fois les projecteurs sur le système financier
suisse, qui a de tout temps constitué le paradis fiscal par excellence.
Le paradis fiscal qui n’est autre que la désignation d’un pays qui
favorise l’évasion fiscale avec son système d’imposition très faible et
l’absence de contrôle sur les avoirs garanti par le système du secret
bancaire. La Suisse est un des nombreux anciens paradis fiscaux existant
dans le monde.
Elle gagne sa place de plaque tournante de la finance mondiale au début du XXe siècle, notamment grâce aux effets de la Première Guerre mondiale. Durant la crise financière de 1929, la Suisse est épargnée grâce aux dépôts de capitaux étrangers dans ses banques. De même, lors de la Seconde Guerre mondiale, son statut de pays neutre lui permet le rachat de l’or des Allemands qui utilisent les francs suisses pour s’approvisionner en différents matériels de guerre.
Dans les années 1960 et 70, la Suisse est la place financière la plus importante au monde ; les dépôts étrangers s’y multiplient. Le succès des banques helvétiques est dans leur discrétion codifiée par la loi fédérale de 1934, notamment dans son article 47 qui interdit à un représentant d’une banque de divulguer la moindre information sur l’un de ses clients. Des économistes ont estimé à 180 milliards d’euros le total des dépôts étrangers en Suisse. L’ONG Tax Justice Network indique, quant à elle, que le total des avoirs bancaires représente 820% du PIB de la Suisse.
Mais cette situation n’est pas appelée à durer. La Suisse subit depuis quelques années des pressions de Bruxelles afin de revoir la «manière de faire» de ses banques. Ainsi, la Suisse décide «d’abandonner son secret bancaire vis-à-vis de l’étranger dès 2018 avec le passage à l’échange automatique de renseignements entre administrations fiscales».
Dans un entretien accordé au journal Swissinfo, le secrétaire d’Etat chargé de cette réforme bancaire, Jacques de Watteville, déclare que «l’échange automatique devrait s’appliquer à tous les pays, de la même manière, sur la base de la réciprocité, les informations pourront être échangées uniquement à des fins bien définies et seront soumises à la protection des données et, enfin, la transparence s’appliquera également aux trusts et autres entités juridiques».
Les candidats à l’évasion fiscale chercheront alors d’autres destinations pour leur argent, puisque la liste des paradis fiscaux est bien longue. M. Watteville estime que les autres places financières –Luxembourg, Autriche, Singapour, Hong Kong ou Jersey – seront aussi engagées dans l’échange automatique d’informations. Est-ce la fin des paradis fiscaux ? Assurément non, puisque ces exigences de transparence bancaire concernent les Etats membres de l’OCDE. Les Etats du Sud, où même l’argent public est détourné par des représentants des Etats eux-mêmes pour être domiciliés dans des paradis fiscaux, continueront à faire le bonheur de ces derniers.
En l’absence de poursuites et de contrôle judiciaire, les oligarques du Sud rempliront les caisses des places financières. On se rappelle tous des avoirs mirobolants des anciens présidents tunisien Zine El Abidine Ben Ali et libyen Mouammar El Gueddafi, déposés dans les banques suisses et que ces pays peinent à récupérer. Les dictateurs et autres adeptes du blanchiment d’argent sale trouvent leur compte dans les comptes répartis dans les nombreux paradis fiscaux existant dans le monde.
L’ONG Tax Justice Network avait recensé, en 2013, pas moins de 83 pays concernés. Parmi les plus connus figurent la Suisse, le Luxembourg, les Etats-Unis avec l’Etat du Delaware, la City de Londres, l’Irlande, Singapour, les îles Caïmans, les Bermudes, le Costa Rica, le Panama, les Seychelles et Saint Kitts & Nevis. Dans les zones tournées vers la finance offshore, on cite aussi le très «sérieux» Japon ou encore l’Allemagne. Figurent en outre le Liban, le Botswana, le Brunei, le Guatemala, les îles Marshall, les Vierges britanniques, le Montserrat, le Nauru et le Niue.
Elle gagne sa place de plaque tournante de la finance mondiale au début du XXe siècle, notamment grâce aux effets de la Première Guerre mondiale. Durant la crise financière de 1929, la Suisse est épargnée grâce aux dépôts de capitaux étrangers dans ses banques. De même, lors de la Seconde Guerre mondiale, son statut de pays neutre lui permet le rachat de l’or des Allemands qui utilisent les francs suisses pour s’approvisionner en différents matériels de guerre.
Dans les années 1960 et 70, la Suisse est la place financière la plus importante au monde ; les dépôts étrangers s’y multiplient. Le succès des banques helvétiques est dans leur discrétion codifiée par la loi fédérale de 1934, notamment dans son article 47 qui interdit à un représentant d’une banque de divulguer la moindre information sur l’un de ses clients. Des économistes ont estimé à 180 milliards d’euros le total des dépôts étrangers en Suisse. L’ONG Tax Justice Network indique, quant à elle, que le total des avoirs bancaires représente 820% du PIB de la Suisse.
Mais cette situation n’est pas appelée à durer. La Suisse subit depuis quelques années des pressions de Bruxelles afin de revoir la «manière de faire» de ses banques. Ainsi, la Suisse décide «d’abandonner son secret bancaire vis-à-vis de l’étranger dès 2018 avec le passage à l’échange automatique de renseignements entre administrations fiscales».
Dans un entretien accordé au journal Swissinfo, le secrétaire d’Etat chargé de cette réforme bancaire, Jacques de Watteville, déclare que «l’échange automatique devrait s’appliquer à tous les pays, de la même manière, sur la base de la réciprocité, les informations pourront être échangées uniquement à des fins bien définies et seront soumises à la protection des données et, enfin, la transparence s’appliquera également aux trusts et autres entités juridiques».
Les candidats à l’évasion fiscale chercheront alors d’autres destinations pour leur argent, puisque la liste des paradis fiscaux est bien longue. M. Watteville estime que les autres places financières –Luxembourg, Autriche, Singapour, Hong Kong ou Jersey – seront aussi engagées dans l’échange automatique d’informations. Est-ce la fin des paradis fiscaux ? Assurément non, puisque ces exigences de transparence bancaire concernent les Etats membres de l’OCDE. Les Etats du Sud, où même l’argent public est détourné par des représentants des Etats eux-mêmes pour être domiciliés dans des paradis fiscaux, continueront à faire le bonheur de ces derniers.
En l’absence de poursuites et de contrôle judiciaire, les oligarques du Sud rempliront les caisses des places financières. On se rappelle tous des avoirs mirobolants des anciens présidents tunisien Zine El Abidine Ben Ali et libyen Mouammar El Gueddafi, déposés dans les banques suisses et que ces pays peinent à récupérer. Les dictateurs et autres adeptes du blanchiment d’argent sale trouvent leur compte dans les comptes répartis dans les nombreux paradis fiscaux existant dans le monde.
L’ONG Tax Justice Network avait recensé, en 2013, pas moins de 83 pays concernés. Parmi les plus connus figurent la Suisse, le Luxembourg, les Etats-Unis avec l’Etat du Delaware, la City de Londres, l’Irlande, Singapour, les îles Caïmans, les Bermudes, le Costa Rica, le Panama, les Seychelles et Saint Kitts & Nevis. Dans les zones tournées vers la finance offshore, on cite aussi le très «sérieux» Japon ou encore l’Allemagne. Figurent en outre le Liban, le Botswana, le Brunei, le Guatemala, les îles Marshall, les Vierges britanniques, le Montserrat, le Nauru et le Niue.
N. B.
Vos réactions 14
enfoire
le 10.02.15 | 19h16
Bientot les noms de nos Voleurs
L'International Consortium of investigative journalists ,
structure Américaine basée a Washington , qui est chargée de l'enquête
en collaboration avec le journal le Monde va dévoiler la liste de tous
les pays dans un délai de six mois et là nous allons connaitre nos
voleurs , pour ceux qui ont puisés dans les caisses de l'état et ceux
qui ont beneficiés de commissions sur les marchés publics , en même
temps nous allons connaitre nos patrons qui ont transférés illicitement
leurs frics et qui se cachent aujourd’hui dans le FCE de Haddad sous le
parapluie de notre pouvoir .
l'Argent Sale dans un Pays propre ???
Avant ,on ne pouvait pas Imaginer
la Suisse sale,
Après ces révélations maintenant oui ???
juste ne pas confondre deux choses:
1- l'Argent Sale (ce lui volé au peuple ,l'Argent de la drogue ,...)
2-l'Argent gagné légalement ,avec sueur ,mais pas taxés ,Qui est déposé dans des paradis Fiscaux.
le secret Bancaire ,encourage tous les truands de cette planète à blanchir l'Argent sale.
maintenant je suis convaincu:
Qu'un pays propre ,c est un pays ou le droit et la justice règnent,
traquent les voleurs ,tous les trafiquants de par le monde
et non pas un pays qui a les rues ,les jardins et des villes propres.
Encore une fois,Honte au pays du couteau suisse
la Suisse sale,
Après ces révélations maintenant oui ???
juste ne pas confondre deux choses:
1- l'Argent Sale (ce lui volé au peuple ,l'Argent de la drogue ,...)
2-l'Argent gagné légalement ,avec sueur ,mais pas taxés ,Qui est déposé dans des paradis Fiscaux.
le secret Bancaire ,encourage tous les truands de cette planète à blanchir l'Argent sale.
maintenant je suis convaincu:
Qu'un pays propre ,c est un pays ou le droit et la justice règnent,
traquent les voleurs ,tous les trafiquants de par le monde
et non pas un pays qui a les rues ,les jardins et des villes propres.
Encore une fois,Honte au pays du couteau suisse
Témoignage
Au temps de Houari Boumédiène, je vivais en France, quelle
n'avait été ma surprise d'entendre à la radio RTL que Abdelaziz
Bouteflika était, du monde entier, classé comme le plus riche des
ministres, en même temps qu'alors un Giscard D'Estaing voyait en lui,
avec un brin de condescendance, l'un des meilleurs diplomates du "Tiers
Monde". Il est vrai que le Coran nous enseigne que Dieu enrichit qui Il
veut sans mesure, ni limite, mais nous étions encore, globalement, des
miséreux au point que "La richesse" était surprenante. Il est question
de 200 milliards de Dollars !!! Quand on sait que beacoup d'entre nous
n'ont pas de quoi se payer le billet d'avion ou de bateau pour une
visite familiale... Entre autres besoins ! MIN AYNA LAK HADHA : D'où te
vient cette richesse ?
700 milliards de dollars en fumée !
L'argent des générations futures a été dilapidé et évaporé sans qu'on en fasse un bon usage !
C'est la faillite définitive de ce pays !
C'est la faillite définitive de ce pays !
Pourquoi maintenant et pas avant ?
Quand l’incompétente est aux commandes que peut ont espérer ?
la délivrance !! la fin du cauchemar qui a commencé par un 19 mars
1962.
Les différentes révélations qui ne sont pas anodines, qui ont étaient faites ses derniers temps par ses medias de services, concernant les différents scandales que la nation est ses citoyens ont subits de ses oligarques, lobbies, mafieux , ennemis de l’Algérie et de son peuple, ne représentent mêmes pas 1% de ce BIG iceberg (very largeberg), ça ne sera pas une surprise de voir d’autres révélations plus choquantes dans les prochains jours et mois.
Mais quelqu’un avait dit un jour c’est dans les petits détails que ce cache l’arnaque, il a dit aussi qu’ en politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un évènement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi. Quoi qu’il en soit, les comptes à rebours ont commencés et les jeux sont faits, il ne faut attendre que le début du spectacle.
Les lignes bouges, les secrets ne sont plus gardés comme autre fois, avec l’ouverture grâces aux nouvelles technologies, internet, la télévision, l’information, le web etc, maintenant que toutes nos portes, fenêtres sont ouvertes tout peut arriver.
Un jour un étudiant a bien voulu demandé à son père qui était un vrai révolutionnaire de la première heure qui a passé toutes ses années difficiles de 1954 à 1962 ; au maquis de l’intérieur il n’a jamais voulu rejoindre aucun clan qui ont déjà commencé à voir le jour, de l’aider à rédiger une dissertation qui lui a été demandé par son professeur sur l’éphémère et la réalité, après un instant de réflexion le père lui dit, la réalité est la qualité de nos gouvernants actuels et avenir du moment où ils ne seront que des clones des dirigeants actuels, l’éphémère sont la démocratie et la liberté qui demeureront des rêves comme ceux de Socrate de Platon et d’autres
Les différentes révélations qui ne sont pas anodines, qui ont étaient faites ses derniers temps par ses medias de services, concernant les différents scandales que la nation est ses citoyens ont subits de ses oligarques, lobbies, mafieux , ennemis de l’Algérie et de son peuple, ne représentent mêmes pas 1% de ce BIG iceberg (very largeberg), ça ne sera pas une surprise de voir d’autres révélations plus choquantes dans les prochains jours et mois.
Mais quelqu’un avait dit un jour c’est dans les petits détails que ce cache l’arnaque, il a dit aussi qu’ en politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un évènement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi. Quoi qu’il en soit, les comptes à rebours ont commencés et les jeux sont faits, il ne faut attendre que le début du spectacle.
Les lignes bouges, les secrets ne sont plus gardés comme autre fois, avec l’ouverture grâces aux nouvelles technologies, internet, la télévision, l’information, le web etc, maintenant que toutes nos portes, fenêtres sont ouvertes tout peut arriver.
Un jour un étudiant a bien voulu demandé à son père qui était un vrai révolutionnaire de la première heure qui a passé toutes ses années difficiles de 1954 à 1962 ; au maquis de l’intérieur il n’a jamais voulu rejoindre aucun clan qui ont déjà commencé à voir le jour, de l’aider à rédiger une dissertation qui lui a été demandé par son professeur sur l’éphémère et la réalité, après un instant de réflexion le père lui dit, la réalité est la qualité de nos gouvernants actuels et avenir du moment où ils ne seront que des clones des dirigeants actuels, l’éphémère sont la démocratie et la liberté qui demeureront des rêves comme ceux de Socrate de Platon et d’autres
élémentaire
Nul n'est au Dessus de la Loi,
s'enrichir par le bais de sa fonction est interdit, c'est pour cela, que les hauts fonctionnaires d'etat declarent leur patrimoine des leur en entrée en service !
chez Nous, combien de Ministres, de Généraux, de députés, de Walis, de Sénateurs, de directeurs , possedent des fortunes localement et a l'etranger ?
Depuis que j'etais au College, et j'entends, tel general possede une Rue en Suisse, tel Kamqam ( ponte), possede des magazins a Saint Michel Paris, tel Ministre vit dans un luxueux appartement dans le 16eme
comment avec une simple paye de Ministre ils peuvent acheter un appart cash a Paris, Londres, Geneve, Dubai, New York ?
c'est impossible
pourquoi la justice Algérienne, reste silencieuse, sur l'affaire Khellil, l'Affaire Autoroute, l'affaire BNA, l'affaire khalifa, etc ... etc ...
le Pouvoir agit comme si l’Algérie c'est lui même, il ne conçoit pas un seul instant, que le peuple a le droit de choisir ses représentant
c'est le propre des dictateurs,le pouvoir de fakhamatouhou considere les citoyens libres et intelligents, comme des bâtons dans les roues
tant qu'ils ne demandent pas le départ du régime, c'est ok,
mais chaque peuple mérite le sort qu'il subit
s'enrichir par le bais de sa fonction est interdit, c'est pour cela, que les hauts fonctionnaires d'etat declarent leur patrimoine des leur en entrée en service !
chez Nous, combien de Ministres, de Généraux, de députés, de Walis, de Sénateurs, de directeurs , possedent des fortunes localement et a l'etranger ?
Depuis que j'etais au College, et j'entends, tel general possede une Rue en Suisse, tel Kamqam ( ponte), possede des magazins a Saint Michel Paris, tel Ministre vit dans un luxueux appartement dans le 16eme
comment avec une simple paye de Ministre ils peuvent acheter un appart cash a Paris, Londres, Geneve, Dubai, New York ?
c'est impossible
pourquoi la justice Algérienne, reste silencieuse, sur l'affaire Khellil, l'Affaire Autoroute, l'affaire BNA, l'affaire khalifa, etc ... etc ...
le Pouvoir agit comme si l’Algérie c'est lui même, il ne conçoit pas un seul instant, que le peuple a le droit de choisir ses représentant
c'est le propre des dictateurs,le pouvoir de fakhamatouhou considere les citoyens libres et intelligents, comme des bâtons dans les roues
tant qu'ils ne demandent pas le départ du régime, c'est ok,
mais chaque peuple mérite le sort qu'il subit
voilà une désolence.
Pourquoi l'Algérie ne ferait-elle pas une enquête comme les
autres pays européens sur cette fuite illicite de capitaux. Je répète,
ces capitaux font l'objet d'achat de blanchiment d'argent sale, à des
fins de destructions d'un pays et sur tous les points de vue. N'oublions
pas que l'Algérie est parmi ces fraudeurs, donc qu'elle agisse en âme
et conscience envers le peuple afin de l'éclairer sur ces malhonnêtes
personnes. N'est-ce pas ? Ce peuple a besoin de savoir, il a tant
souffert.
L'argent sale
Détourner , piller , voler tous les vocabulaires sont prmet
pour définir un tel acte sa finalité et de l'argent sale pris sans
aucune contre partie donnée , un travail fourni des legs ou autres , il
restera sale eternellement .
Encore HSBC!!!
A peine 2 ans apres avoir écopé d'une amende record de plus
de 2 milliards de dollars US infligé par le gouvernement US pour
blanchiment d'argent provenant du trafic de drogue, voila que HSBC et de
nouveau implique dans un autre scandale financier. Une véritable banque
voyou et dirigé par des voyous. Et dire que cette institution voyou
opère en Algérie en toute légalité. Cette banque doit être chassée le
plus tôt possible y compris les étrangers qui la dirigent!!!
participation
667 millions de dollars , vous nous prenez pour des cons ou quoi ????!!!
Depuis 1999 a 2014, plus de 700 milliards de Dollars sont parti comme un pet dans le vent!!!! 700 milliards de $ vous vous rendez compte. C’est énorme !!! c’est astronomique comme chiffre.
Le plan Marshall était un plan américain pour aider la reconstruction de l'Europe après la Seconde Guerre mondiale, le total de la somme a été de 160 milliards de $.
C’est de la poudre aux yeux ces 667 millions $ !!!
Mois seul j’en dispose près de 6 millions d’euro, ne me dites pas comment je les ai amassés.
Je suis un escrocs comme les autres !!! y’en a plus d’homme en Algérie. Oufffffffffffffffffffffff
Un jour un grand philosophe grecque (Diogène) promenait en ville (Athènes) avec une lanterne en plein jour, on lui posa la question pour quelle utilité?
Il répondit « je cherche un Homme!!! ».
Depuis 1999 a 2014, plus de 700 milliards de Dollars sont parti comme un pet dans le vent!!!! 700 milliards de $ vous vous rendez compte. C’est énorme !!! c’est astronomique comme chiffre.
Le plan Marshall était un plan américain pour aider la reconstruction de l'Europe après la Seconde Guerre mondiale, le total de la somme a été de 160 milliards de $.
C’est de la poudre aux yeux ces 667 millions $ !!!
Mois seul j’en dispose près de 6 millions d’euro, ne me dites pas comment je les ai amassés.
Je suis un escrocs comme les autres !!! y’en a plus d’homme en Algérie. Oufffffffffffffffffffffff
Un jour un grand philosophe grecque (Diogène) promenait en ville (Athènes) avec une lanterne en plein jour, on lui posa la question pour quelle utilité?
Il répondit « je cherche un Homme!!! ».
Vos réactions 14
csad10
le 10.02.15 | 12h59
Trop de bruit et de fumée.
671 millions de dollars pour 440 Algériens,la moyenne est de
671/440=1.525 Million$ par personne, ce n'est pas beaucoup pour un Pays
qui reconnu pour sa corruption .
Que se cache derrière cette soi- disant divulgation?
Est ce que la banque suisse va indemniser les pays qui ont subit cette saignée financière? C'est la question qui est posée par les commissions financières de certains pays
Que se cache derrière cette soi- disant divulgation?
Est ce que la banque suisse va indemniser les pays qui ont subit cette saignée financière? C'est la question qui est posée par les commissions financières de certains pays
LA SUISSE LE COFFRE FORT DES PILLEURS
trés beau pays tranquille avec une population tres
accueillante surtout envers les pilleurs et les blanchisseurs d'argent
sale;le pays préférer de nos chères dirigeants;je leurs souhaites une
tres bonne retraite bien méritée
Les noms
Ne peut-on pas diffuser les noms avec les montants
correspondants. Chich si la presse algérienne pourrait le faire. parler
du general est à la portée de tout le monde!!!!
normal
440 algériens clients de HSBC, ce n'est pas un scoup,dans
toutes sociétés ,ce phenomene existe et meme dans les plus grandes
democraties,le probleme en algerie c'est que les détenteurs de comptes
sont des personnages lies aux politiques, sur les appels d'offres
internationaux et la corruption des fonctionnaires de l'etat,sinon rien
n'est surprenant
AS Khroub : L'APC au secours du club
par A. Mallem
Deux décisions importantes et salutaires ont été prises cette semaine par l'APC d'El-Khroub pour régler les problèmes dans lesquels se débat l'ASK depuis pratiquement sa rétrogradation en Ligue 2, à savoir la création d'un «comité de surveillance et de suivi» pour gérer le club et l'octroi d'une subvention de 4 milliards de centimes. Contacté, le P/APC, en l'occurrence le professeur Aberkane Abdelhamid, nous a expliqué que ces décisions sont motivées après l'appel lancé par le CSA/ASK et la SPA ainsi que les supporters pour venir en aide au club avant que les joueurs ne leur emboîtent le pas en exprimant leur ras-le-bol par un préavis de grève et en déposant leurs maillots sur le bord de touche tout de suite après le match contre le Widad de Tlemcen.
Prenant acte de ces évènements, pour débloquer la situation, le président de l'APC a tenu une série de réunions avec les élus de l'APC en charge du sport, les personnes concernées, des citoyens de la société civile et il a décidé, à la demande des deux clubs amateur et professionnel réunis, que l'APC va prendre en main la gestion directe de l'ASK par le biais d'un «comité de surveillance et de suivi» qui a été créé dans la foulée avec l'accord de la direction de la Jeunesse et des Sports. «Toutes les décisions seront prises par ce comité nouvellement créé qui est présidé par le P/APC lui-même et dont font partie les deux présidents des deux clubs amateur et professionnel, certains élus et des membres de la société civile», précisera le professeur Aberkane. Justifiant cette formule originale de gestion d'un club de football, le maire nous a déclaré hier que cela a été fait: «Pour que les quatre mois qui nous séparent de la fin de la saison soient gérés au mieux des intérêts du club, et ce aussi dans le but de préparer la saison prochaine». La seconde décision qui a été prise dans une session extraordinaire de l'organe délibérant de l'APC est le vote d'une subvention de 4 milliards de centimes, approuvée par le wali qui a été informé. «Cette somme se trouve à présent dans le compte de l'ASK», nous a assuré le P/APC. Et cet argent sera géré par le «comité de surveillance et de suivi», c'est-à-dire qu'il ne sera pas jeté par la fenêtre. Et d'ajouter, «Et comme l'APC est le principal bailleur de fonds, c'est normal qu'elle contrôle l'utilisation de ces fonds». Aussi, avant de nous quitter, le professeur Aberkane a tenu à préciser que c'est à la demande générale que l'APC s'implique dans la gestion du club professionnel. Et, selon lui, elle va régler plusieurs problèmes à la fois: poursuivre le championnat dans de bonnes conditions, assurer les joueurs quant à leur avenir et leurs droits, voir avec la LFP comment régler les dettes du club pour lui éviter d'éventuelles sanctions...
Ain Abid: Un vieux dossier toujours pendant
par A. Mallem
La vingtaine de citoyens de Ain Abid qui ont bloqué, avant-hier, la RN
20, en réclamant l'attribution de lots à bâtir, sur un terrain appartenant à
l'Agence AADL, vont être reçus, encore demain jeudi, au siège de la daïra, en
présence d'une commission communale dans laquelle figurent, également, le chef
de la daira et le président de l'APC. Les autorités locales veulent,
apparemment, mettre fin à la contestation sur la voie publique, en expliquant
aux protestataires que la satisfaction de leurs demandes se situe à un autre
niveau que de leur remettre, sur le tapis, les tenants et les aboutissants d'un
dossier, laissé ouvert, depuis 2002, par les APC qui se sont succédé.
Pour rappel, les contestataires ont été déjà reçus lundi, successivement, par le maire avant la coupure de la route, et par le chef de daïra, après ce mouvement.
Aussi, selon les explications données par le chef de daïra, il s'agit d'un ancien dossier qui date des années 2002, lorsque l'Agence AADL a lancé un projet financé par la Banque mondiale, dans le cadre de la restructuration des quartiers. A cet effet, l'APC de l'époque avait vendu le terrain considéré, à l'Agence AADL et cette dernière a commencé le projet, en lançant des souscriptions individuelles pour les postulants désignés par délibération de l'APC, et ce, pour permettre de régulariser et compenser les gens qui ont construit sur le terrain et dont les demeures allaient être démolies. Mais la délibération n'a jamais eu lieu. En 2008, ce dossier a été rouvert et la question de la délibération a été relancée. Les autorités ont réussi à régler le dossier, dans la proportion de 95%. Restaient, toutefois, des cas litigieux.
L'endroit a bénéficié, ensuite de l'adduction d'eau, de l'électricité et du gaz naturel qui a fait que ce terrain a pris de la valeur et chacun a voulu avoir un lot, à lui, sans passer par les voies réglementaires. Ces personnes qui convoitent des lots sont allées voir, lundi, le P/APC, qui leur a répondu que la question échappe à sa compétence, étant donné que le terrain n'est plus la propriété de la commune.
Il leur a demandé de lui laisser un peu de temps pour désigner une commission d'enquête qui sortira sur le terrain pour voir s'il y a des cas qui peuvent être régularisés, au sein de l'organe délibération de l'APC. Mais, en sortant du bureau du maire, les demandeurs sont allés, directement, couper la route. La police a réussi à les convaincre de libérer la voie, tout en les orientant vers la daira. «Je les ai effectivement reçus, a confirmé M. Kafi, et nous nous sommes mis d'accord pour rouvrir, encore, ce dossier tout en leur faisant comprendre que l'attribution de lots sur ce terrain, appartenant à AADL reste, essentiellement, du ressort de cette agence. Et nous avons convenu, à la fin, de se revoir, jeudi, en présence du P/APC pour réexaminer, ensemble, tous les dossiers, cas par cas, et essayer de trouver des solutions», a conclu le chef de daira.
Des demandeurs de logements sociaux protestent
par A. El Abci
Une cinquantaine de demandeurs de logement social, originaires de
plusieurs quartiers de la ville des ponts, ont organisé, hier, un rassemblement
devant le cabinet du wali pour protester contre les lenteurs dans la
distribution du premier quota en faveur des bénéficiaires de pré-affectations
depuis le mois de janvier 2014, soit plus d'une année maintenant. «C'est le
silence radio sur ce dossier d'où des déclarations contradictoires, qui sont
d'ailleurs vite démenties après», déclarent avec indignation les manifestants.
Ils ajoutent : «Nous les demandeurs, qui ne faisons qu'attendre depuis 10, 15,
20 ans, nous disons halte ! Nous ne pouvons plus supporter ce feuilleton
interminable fait de mauvais épisodes qui n'apportent que déception sur
déception». Et d'indiquer qu'«au début et au lendemain de la remise aux
concernés des décisions de pré-affectation, on nous a parlé de juin 2014, pour
les premières convocations par l'OPGI pour le payement des frais de l'arrêté
d'attribution et une remise des clés juste après. Cependant, au mois de juin,
nous avons appris que l'opération est reportée pour ce mois de janvier 2015,
mais nous sommes en février et l'on nous avance encore une autre date, qui
serait pour le mois de septembre prochain». «Alors là, nous commençons à douter
de l'existence d'un programme de logements du type social à répartir au niveau
de la wilaya», diront-ils. Et de poursuivre : «Ce que nous voulons, c'est du
concret et que l'on soit clair avec nous. S'il y a des appartements à
attribuer, qu'on passe à la phase suivante consistant à nous délivrer des
décisions portant indication de la cité, du bâtiment et de l'appartement et
alors là, nous pouvons encore attendre une année s'il le faut. Mais s'il n'y en
a pas, qu'on nous le dise tout aussi clairement et qu'on arrête de jouer avec
nos nerfs». Un des protestataires s'invitera tout de go dans la discussion, en
brandissant la menace de perturber la manifestation de «Constantine, capitale
de la culture arabe», que la ville se prépare à vivre à partir de ce mois
d'avril qui vient, c'est-à-dire dans un peu plus de deux mois. Et de souligner
que «la majorité des demandeurs du logement social sont d'accord pour
entreprendre quelque chose et troubler la manifestation, ceci bien sûr dans le
cas où les choses continueraient à faire du surplace et être aussi floues pour
nous». En fin d'après-midi, encore plus nombreux, des manifestants faisaient
toujours le pied de grue devant le cabinet du wali.
Mise en conformité des constructions inachevées: Peu d'engouement pour la régularisation
par A. Z.
La loi 08/15 du 15 juillet 2008 portant sur la mise en conformité des
constructions non achevées et demeurées en état de chantier perpétuel, poursuit
son chemin sans avoir un impact considérable sur l'embellissement du décor
ambiant dans les nombreux lotissements concernés. Malgré les régularisations
opérées par les services compétents de la municipalité de Constantine qui
déclare avoir reçu 797 dossiers du genre en 2014 et 94 autres depuis le début
de l'année, presque tous les lotissements sont embourbés dans un chantier
interminable, dont les travaux avancent à pas d'escargots, s'ils ne sont pas
totalement à l'arrêt, laissant un bâti inachevé, livré au cadre froid du béton.
«On construit de belles bâtisses, luxueuses et imposantes avec un intérieur qui
laisse rêveur et on abandonne l'extérieur à une nudité lamentable, hideuse,
sans peinture, ni achèvement des travaux», un constat largement partagé par la
vox populi, et le changement n'est vraisemblablement pas pour demain.
Pour rappel, la loi a accordé aux citoyens concernés cinq ans, soit jusqu'au 20 juillet 2013, pour régulariser la situation des constructions disposant d'un permis de construire et non achevées à la date du 20 juillet 2008, ou les constructions disposant d'un permis de construire mais non conformes aux permis de construire délivrés, celles achevées et réalisées sans permis de construire, ou encore les constructions non achevées réalisées sans permis de construire, qu'elles soient publiques ou privées et à titre individuel ou coopératives immobilières. Hélas, passé ce premier délai de cinq ans, on aura constaté que la régularisation n'a pas touché un nombre significatif, d'où la décision de prolonger ce délai de trois ans, jusqu'au mois de juillet 2016. Les pouvoirs publics ont pris des mesures dans le but d'alléger les procédures administratives en vue de faciliter l'application de la loi de 2008 qui se résume essentiellement en une déclaration de mise en conformité qui doit être faite par les citoyens au président de l'APC territorialement compétent, mais on bute frontalement «sur une mentalité rétrograde qui s'accommode mieux de roues accrochés aux piliers des maisons pour se prémunir du mauvais œil, ainsi que des propriétaires de bâtisses qui évitent soigneusement de sortir du lot en embellissant les devantures de leurs demeures», estime un cadre de la direction de l'urbanisme de la municipalité. Cette dernière vient de lancer un nouvel appel aux concernés pour se rapprocher de ses services et ne pas perdre leur droit au bénéfice d'un certificat de conformité au-delà du mois de juillet 2016. Notons que la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe, 2015» a incité les pouvoirs publics à donner des coups de pinceau sur les murs de constructions inachevées et situés sur des voies de passages de délégations étrangères, mais l'effort ne peut atteindre l'embellissement sans l'engagement des citoyens eux-mêmes.
Deux petits mois pour réhabiliter les routes de la commune
par Abdelkrim Zerzouri
Faut-il s'en réjouir ou s'en inquiéter (?), l'annonce du lancement de la
rénovation du réseau routier, à travers la commune de Constantine, divise
l'opinion publique.
A près de 2 mois de la manifestation «Constantine capitale de la Culture arabe 2015», l'opération de retapage des routes fait craindre le pire pour les Constantinois. «En matière de nuisances et de désagréments, on risque, tout simplement, de frôler l'inouï», se plaignent des habitants du ‘vieux rocher'. Ajoutant que «les nombreux travaux en cours, qui poussent les piétons à se bousculer avec les automobilistes sur la chaussée, provoquent de sourds mécontentements, et tout le monde attend, avec impatience, la fin des chantiers, la libération des trottoirs et l'enlèvement total des échafaudages installés pour les besoins du ravalement des façades des bâtiments surtout, que dire, alors, si on venait à lancer un autre chantier sur la route, ce serait le chaos assuré», préviennent des citoyens.
D'autres feront remarquer que «les travaux de rénovation du réseau routier doivent, impérativement, se faire de nuit et les week-ends, pour éviter les congestions sur le réseau routier». Cependant, aucune divergence sur la nécessaire réhabilitation du réseau routier, dont «la dégradation, après les dernières intempéries, a atteint, par endroits, des degrés catastrophiques», selon l'expression de plusieurs automobilistes. La manifestation débute le 16 avril prochain, et en aucun cas, on doit laisser ces trous béants qui défigurent la chaussée. Enfin, loin de ces considérations, l'APC de Constantine a déjà tracé son programme visant la réhabilitation du réseau routier, lui consacrant une enveloppe financière estimée à 40 milliards de centimes, comme le précise un communiqué transmis à notre rédaction. On souligne dans ce cadre que la municipalité qui a recensé «19 points qui seront touchés par l'opération» en question, a confié les travaux à l'EPTP, et à ses services techniques la mission de veiller au respect du délai de réalisation, soit 2 petits mois.
Hadj: Les voyagistes veulent une plus grande marge de manœuvre
par R. C.
Les 3 agences de voyages choisies au niveau de la wilaya de Constantine,
parmi 43 au niveau national, par l'Office Nationale de Pèlerinage et de l'Omra,
dans l'opération de l'organisation du Hadj de l'année 2015, ont entamé depuis
deux jours leurs contacts avec des hôtels à Mecca et à Médina, dans l'Arabie
Saoudite, afin de proposer 3 offres pour chacune de ces deux villes, au
consulat général algérien à Djedda, qui à son tour, dirigera des négociations
afin de faire baisser les tarifs à partir de la moyenne arithmétique des tarifs
proposés, pour arriver à un prix de référence. «L'ouverture des plis se fera en
présence des partenaires saoudiens, le prix de l'hébergement fixé pourra varier
par la suite et augmenter selon la volonté d'un pèlerin qui peut choisir un
hôtel d'une gamme supérieure, un 5 étoiles par exemple, et qui prendra en
charge, donc, la différence par rapport au prix nominal», nous a précisé
M.Brahimi Faouzi, gérant de l'agence Nouba, qui encadre cette année 250
pèlerins. Et d'ajouter que la restauration est entièrement assurée par les
saoudiens.
Signalons dans le même contexte que la volonté affichée par l'Etat, qui soutient le Hadj à travers l'aide de 40.000 DA, de se retirer progressivement de cette opération et donner plus de prérogatives aux agences, a été bien accueillie par les voyagistes. Toutefois, les grandes agences de voyages financièrement crédibles aspirent à une marge de manœuvre plus large, «On désire que le ministère nous accorde la possibilité de faire du tourisme religieux hors de notre quota habituel, chose qui nous permettrait de proposer plusieurs formules, avec des prix variés au lieu du prix unique, qui atteindra cette année les 40 millions de centimes, selon certaines sources crédibles, avec la possibilité, pourquoi pas, d'un prix inférieur à celui-ci». Et d'ajouter «cela nous donnerait également la possibilité de fixer la durée du séjour et sa localisation, selon la volonté du pèlerin, la même chose pour la restauration et voire de proposer un service VIP pour ceux qui le désirent, et qui en ont les moyens» propose-t-il. Notre interlocuteur nous fait savoir, par ailleurs, que la réservation et la location de l'hôtel se fait pour une durée qui s'étale sur deux mois, alors que réellement l'endroit n'est exploité que pendant 20 jours, et ce à cause de l'impossibilité, vu le flux colossal des 3 millions de pèlerins venus du monde entier, d'établir un programme de vols exhaustif par les saoudiens. «Les agences doivent être prêtes, à tout moment, à la fixation des dates des vols, et on vient de nous informer que nous avons jusqu'au 20 février, c'est-à-dire à peine 10 jours, pour faire nos réservations. C'est pour cela que les hôtels sont réservés constamment pour de longues durées, pour être dans la marge temporelle permise par le programme des vols». «Mon agence répond aux 6 conditions fixées par le cahier de charges établi par l'ONPO pour qu'une agence soit éligible, à savoir bénéficier d'une ancienneté dans l'activité et dans l'organisation de l'Omra, employer un minimum de 3 salariés, un nombre de personnes encadrées lors de la Omra de 2014, être affranchi de toute redevance fiscale, sauf la septième condition, qui est d'avoir une ancienneté dans l'organisation du hadj», nous déclare un chef d'agence, dont la demande a été refusée pour la cinquième fois. Il ajoutera que cette dernière condition freinera automatiquement toute agence n'ayant pas organisé cette opération auparavant.
Ce chef d'agence, qui considère que l'encadrement des voyageurs est un métier qui s'apprend à travers les années et qui n'est nullement un business, estime que le ministère se doit de trouver des solutions aux agences qui se sentent mises à l'écart, ne se serait-ce qu'en leur donnant la possibilité d'être parrainées par une agence ayant de l'expérience, en encadrant 50 sur le quota des 250 pèlerins pris en charge par cette dernière.
Marche contre Charlie Hebdo à Alger : 9 mois de prison avec sursis et 50.000 DA d'amende contre 15 personnes
par R.N.
Le tribunal correctionnel de Sidi M'hamed (Alger) a condamné mardi à neuf
(9) mois de prison avec sursis et 50.000 dinars d'amende 15 personnes arrêtées
à la suite d'actes de dégradation « de biens d'autrui » lors de la marche de
protestation du 16 janvier dernier contre les caricatures blasphématoires de
Charlie Hebdo. Les 15 individus arrêtés par la police durant cette marche qui a
dégénéré en affrontements au niveau de l'hôtel Aletti et le Front de mer, près
du siège de l'Assemblée nationale, étaient poursuivis pour « détérioration
volontaire de biens d'autrui ». Le parquet avait requis mardi dernier contre
les 15 manifestants, dont sept comparaissaient en état de liberté provisoire,
trois (3) ans de prison ferme et 100.000 DA d'amende. Après délibérations, le
tribunal de Sidi M'hamed a rendu son verdict final qui est de neuf (9) mois de
prison avec sursis, 50.000 dinars d'amende pour chacun des 15 prévenus et trois
millions de dinars de dédommagement pour l'agence d'Air Algérie et l'hôtel
Aletti. Ces 15 individus, accusés d'avoir détruit les devantures de l'agence
d'Air Algérie et l'entrée de l'hôtel qui donne sur l'avenue Abane Ramdane,
avaient, lors de leur audition, nié en bloc toutes les accusations qui leur
avaient été imputées, notamment leur participation aux actes de destruction.
Des rassemblements regroupant des milliers de personnes ont été organisés à
Alger et dans plusieurs villes du pays le 16 janvier dernier pour dénoncer les
atteintes répétées contre le prophète Mohammed et l'Islam sous le couvert de la
liberté d'expression, rappelle-t-on. La manifestation du centre d'Alger avait
dégénéré en affrontements avec les forces de l'ordre, déployées pour prévenir
tout débordement. Des individus s'étaient alors attaqués à des magasins,
détruisant leurs devantures. Plusieurs arrestations avaient été opérées par les
forces de l'ordre, rappelle-t-on.
تحقيق للديوان الوطني للاحصائيات يكشف:
المرأة الموظفة تتقاضى أجرا شهريا أكبر من الرجل في الجزائر!
ع. سفيان
2015/02/10
- 4738
- 1
"الكفاءة" و"المستوى العلمي" في تبرير الفارق بين رواتب النساء والرجال
كشف تحقيق للديوان الوطني للاحصائيات،
أن متوسط الأجر الشهري للنساء في الجزائر كان "أعلى نسبيا"
مقارنة بالرجال في سنة 2011 وذلك لأسباب مرتبطة بالكفاءة.وحسب تحقيق استمرّ لمدة عشر سنوات حول نفقات الاستهلاك والمستوى المعيشي للأسرة في سنة2011 تم نشر الجانب الخاص بالأجور - في 2015" بلغ متوسط الأجر الشهري للنساء 33900 دج بينما يتقاضى الرجال 28 ألف دج"، ويبقى هذا الفرق ناتج جزئيا عن البنية الإجمالية لعدد الأجراء حسب الكفاءة".
وأكد المدير التقني المكلف بالاحصائيات الاجتماعية والمداخيل بالديوان يوسف بازيزي لوكالة الأنباء الجزائرية، أن "متوسط الأجر الشهري للنساء "كان أعلى نسبيا من اجر الرجال سنة 2011 موضحا أن "النساء كن أكثر كفاءة".
وقد سجل التحقيق أن 44.4 بالمئة من النساء الأجيرات تتمتعن بمستوى جامعي مقابل10.70 بالمئة فقط بالنسبة للرجال الاجراء. وما يبرر هذه الوضعية هو الفارق في البنية من حيث مستوى التعليم بين الجنسين.
وأضاف نفس المصدر أن "مستوى التعليم له أثرا كبيرا على الأجور المتوسطة، فالأجر المتوسط يرتفع بشكل ملحوظ مع مستوى التعليم حيث كان يتراوح ما بين
22568 دج بالنسبة للذين ليس لهم مستوى تعليمي و42383 دج بالنسبة للمستوى العالي".
وفي سنة 2011 ارتفع الأجر الصافي الشهري الإجمالي الصادر من النشاط الرئيسي إلى 29500 دج غير أن هذا المعدل يتغير حسب النشاط والقطاع القانوني، بل أيضا حسب بعض الخصوصيات الاجتماعية والديمغرافية، لا سيما السن والمستوى التعليمي. وبين التحقيق أن الأجر المتوسط في القطاع العام يبلغ 36084 دج في الشهر بينما يقدر في القطاع الخاص بـ22872 دج.
وقد تميز القطاع العام بالعدد الكبير للإطارات التي يوظفها ( 71.3بالمئة) عكس القطاع الخاص الذي يوظف أكثر موظفي التنفيذ (60.3 بالمئة)، كما كشف التحقيق أن الطبقة المتوسطة توافق فئة 15 ألف دج الى 25 ألف دينار في حين يبلغ الأجر المتوسط في كل القطاعات 24468 دج.
وحسب القطاع القانوني يتقاضى 30 بالمئة من الموظفين في القطاع العمومي أجرا شهريا أقل من 25 الف دج و30 بالمئة من الأجراء يتقاضون أكثر من 40 ألف دج في حين يتقاضى 5 المئة من الموظفين في القطاع العام أجرا متوسطا أقل من الأجر الوطني الأدنى المضمون.
وفيما يتعلق بالقطاع الخاص 73.5 بالمئة من الموظفين يتقاضون أقل من 25 ألف دج بينما يتقاضى 6 بالمئة فقط من الأجراء أجرا متوسطا أعلى من 40 الف دج و26.3 بالمئة كانوا يتقاضون أجرا أقل من الأجر الوطني الأدنى المضمون.
تحقيق للديوان الوطني للاحصائيات يكشف:
المرأة الموظفة تتقاضى أجرا شهريا أكبر من الرجل في الجزائر!
ع. سفيان
2015/02/10
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"الكفاءة" و"المستوى العلمي" في تبرير الفارق بين رواتب النساء والرجال
كشف تحقيق للديوان الوطني للاحصائيات،
أن متوسط الأجر الشهري للنساء في الجزائر كان "أعلى نسبيا"
مقارنة بالرجال في سنة 2011 وذلك لأسباب مرتبطة بالكفاءة.وحسب تحقيق استمرّ لمدة عشر سنوات حول نفقات الاستهلاك والمستوى المعيشي للأسرة في سنة2011 تم نشر الجانب الخاص بالأجور - في 2015" بلغ متوسط الأجر الشهري للنساء 33900 دج بينما يتقاضى الرجال 28 ألف دج"، ويبقى هذا الفرق ناتج جزئيا عن البنية الإجمالية لعدد الأجراء حسب الكفاءة".
وأكد المدير التقني المكلف بالاحصائيات الاجتماعية والمداخيل بالديوان يوسف بازيزي لوكالة الأنباء الجزائرية، أن "متوسط الأجر الشهري للنساء "كان أعلى نسبيا من اجر الرجال سنة 2011 موضحا أن "النساء كن أكثر كفاءة".
وقد سجل التحقيق أن 44.4 بالمئة من النساء الأجيرات تتمتعن بمستوى جامعي مقابل10.70 بالمئة فقط بالنسبة للرجال الاجراء. وما يبرر هذه الوضعية هو الفارق في البنية من حيث مستوى التعليم بين الجنسين.
وأضاف نفس المصدر أن "مستوى التعليم له أثرا كبيرا على الأجور المتوسطة، فالأجر المتوسط يرتفع بشكل ملحوظ مع مستوى التعليم حيث كان يتراوح ما بين
22568 دج بالنسبة للذين ليس لهم مستوى تعليمي و42383 دج بالنسبة للمستوى العالي".
وفي سنة 2011 ارتفع الأجر الصافي الشهري الإجمالي الصادر من النشاط الرئيسي إلى 29500 دج غير أن هذا المعدل يتغير حسب النشاط والقطاع القانوني، بل أيضا حسب بعض الخصوصيات الاجتماعية والديمغرافية، لا سيما السن والمستوى التعليمي. وبين التحقيق أن الأجر المتوسط في القطاع العام يبلغ 36084 دج في الشهر بينما يقدر في القطاع الخاص بـ22872 دج.
وقد تميز القطاع العام بالعدد الكبير للإطارات التي يوظفها ( 71.3بالمئة) عكس القطاع الخاص الذي يوظف أكثر موظفي التنفيذ (60.3 بالمئة)، كما كشف التحقيق أن الطبقة المتوسطة توافق فئة 15 ألف دج الى 25 ألف دينار في حين يبلغ الأجر المتوسط في كل القطاعات 24468 دج.
وحسب القطاع القانوني يتقاضى 30 بالمئة من الموظفين في القطاع العمومي أجرا شهريا أقل من 25 الف دج و30 بالمئة من الأجراء يتقاضون أكثر من 40 ألف دج في حين يتقاضى 5 المئة من الموظفين في القطاع العام أجرا متوسطا أقل من الأجر الوطني الأدنى المضمون.
وفيما يتعلق بالقطاع الخاص 73.5 بالمئة من الموظفين يتقاضون أقل من 25 ألف دج بينما يتقاضى 6 بالمئة فقط من الأجراء أجرا متوسطا أعلى من 40 الف دج و26.3 بالمئة كانوا يتقاضون أجرا أقل من الأجر الوطني الأدنى المضمون.
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2015/02/10
علا هاذيك الرجال يكرهو بوتفليقة في دزاير
وعلا ذيك نسا يحبو بوتفليقة
ربي وكيله
وعلا ذيك نسا يحبو بوتفليقة
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Respecter les valeurs de notre société,
défendre notre pays, servir nos compatriotes.
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Ain Temouchent
Ferme «AQUASOL»
Une production supplémentaire de 420 tonnes
de poissons attendue en 2016
Une production supplémentaire de 420 tonnes de poissons/an est attendue en 2016 avec la concrétisation prochaine du projet d’extension de la ferme aquacole «AQUASOL», située sur la plage de Sbiâat relevant de la commune de M’said (30 km d’Ain Temouchent), a-t-on appris auprès de la direction de la pêche et des ressources halieutiques (DPRH).
Ce projet doté d’une enveloppe financière d’environ six milliards DA prévoit l’acquisition de six cages flottantes d’un diamètre de 25 mètres produisant chacune 70 tonnes/an de poissons, a-t-on indiqué soulignant que les premiers produits sont attendus pour l’exercice 2016.
Les espèces ciblées par cette opération sont le bar, la dorade et le maigre, les mêmes que produit cette ferme aquacole en terre depuis 2013.
Les capacités de production (à terre et en mer) seront de 60 pour cent pour le bar,37 pour cent pour la dorade et 3 pour cent pour le maigre, a-t-on prévu. S’agissant de la durée d’engraissement en mer de ces espèces, le gestionnaire d’AQUASOL précise que, pour atteindre une taille marchande variant entre 300 et 350 gr/poisson, le bar nécessite 13 à 15 mois, la dorade 11 à 13 mois et le maigre 15 à 17 mois (1 kg).
Avec une production de 700 tonnes de poissons en 2014, la ferme AQUASOL, ce fleuron de l’aquaculture nationale, qui constitue un investissement soutenu par le Fonds national de développement de la pêche et de l’aquaculture (Fndpa), envisage d’atteindre une production de 1.200 tonnes en 2015.
Elle atteindra son plein régime en 2016 avec 1.600 tonnes, a-t-on indiqué. Les quatre millions d’alevins, qu’elle pourra produire à plein régime, lui permettront d’assurer son autonomie dans ce domaine et d’approvisionner les autres fermes aquacoles du pays, a-t-on souligné.
Une deuxième ferme aquacole, dénommée «AQUA TAFNA», implantée à Rachegoune, dans la daïra de Oulhaça, entrera en exploitation au courant du premier trimestre 2015, a-t-on annoncé à la DPRH. D’une capacité de 700 tonnes/an de loups de mer et daurades royales, celle-ci appuiera davantage les efforts d’approvisionnement du marché du poisson.
Huit autres projets de développement de l’aquaculture, dont sept par cages flottantes, ont été reçus par la DPRH. Trois de ces projets, à savoir celui de conchyliculture (élevage de moules) à Sbiâat et deux de production de poissons sur le même site, ont été validés par la commission de wilaya chargée de l’étude des dossiers d’investissement.
Ces dossiers ont été transmis aux services des domaines pour l’obtention de contrats de concession.
Les cinq autres dossiers sont à l’étude et portent sur la production conchylicole (un) et de poissons par cages flottantes, à Madagh, Beni Saf et Zouanif, a-t-on précisé.
Sidi Bel Abbès
Le centre anti cancer sera bientôt opérationnel
Une mission médicale oncologique cubaine pour assurer une bonne prise en charge
Le budget du secteur de la santé publique de la wilaya de Sidi Bel Abbès pour l’achat de médicaments a connu une hausse en 2014, évaluée à 135 milliards de centimes, alors qu’en 2013, l’enveloppe était de 60 milliards de centimes. Une déclaration faite par la directrice de wilaya de la santé publique lors du forum qu’elle avait animé dans l’après-midi du lundi au centre de presse, expliquant que la pénurie de médicaments au niveau de la pharmacie du CHU ne doit pas se poser dorénavant sauf rupture du stock au niveau de la pharmacie centrale.
La responsable du secteur de la santé a par contre reconnu que les établissements de la santé publique de la wilaya sont défaillants en matière d’imagerie médicale, et ce à cause d’un déficit de ressources humaines spécialisées dans la manipulation du matériel de radiographie. A ce sujet, elle communique le nombre de 5 spécialistes radiologues, qui sont appelés à assurer le fonctionnement des machines au niveau des deux centres hospitalo-universitaires, et les autres établissements de la santé à travers le territoire de la wilaya, et prendre en charge les malades hospitalisés en premier lieu en plus de ceux venus de l’extérieur. Ces spécialistes comme l’exige le règlement jouissent d’un congé de désintoxication de 21 jours tous les 6 mois et de journées de récupération après les gardes.
Par ailleurs, la priorité est donnée aux malades cancéreux afin de leur réserver les consultations et soins nécessaires, surtout en matière de traitement qui doit être disponible en permanence dans l’objectif de leur éviter les complications, soulignera l’interlocutrice. Actuellement ces malades ont été transférés vers l’établissement public hospitalier du quartier Sidi Djilali attendant l’achèvement du centre anti cancer, dont les travaux ont atteint 70%, et sera doté d’un équipement médical haut de gamme.
Pour le bon fonctionnement du nouvel établissement, la direction de la santé a envoyé en formation au CHU d’Oran des radiothérapeutes, qui seront chargés des séances de radiothérapies. Ces spécialistes travailleront en coopération avec une mission médicale oncologique cubaine, composée de spécialistes en chimiothérapie et en radio-oncologie recrutée dans le cadre d’un accord de coopération avec l’Algérie dans le domaine médicochirurgical pour assurer la prestation médicale. Fatima A
Centre enfûteur 312 de Naftal
15.000 bouteilles de gaz produites par jour
Le centre enfûteur 312 de Naftal, situé au niveau de la zone industrielle et pétrochimique d’Arzew, dont la capacité de production quotidienne maximale est de 20.000 bombonnes de gaz, produit actuellement 15.000 bouteilles (équivalent de 195 tonnes). Selon le responsable de cette unité de production, ce volume de production suffit largement à la consommation locale de la wilaya d’Oran.
Selon notre interlocuteur, un quota journalier de 3.000 unités de gaz de la production locale est livré pour approvisionner quotidiennement le dépôt relais de la wilaya de Mascara. Les 12.000 bouteilles de la capacité de production restante satisfait largement à la demande de la wilaya, tient à préciser le responsable de ce centre enfûteur.
Concernant le prix unitaire officiel de revient d’une bouteille de gaz de 13 kg, il est fixé à 153 DA et est revendu au citoyen à 200 DA tient à affirmer notre source. Il convient de souligner qu’un centre enfûteur privé participe également à la couverture de la région par une production journalière de 9.000 bouteilles par jour. A ce propos, le chef de l’unité d’emplissage des bouteilles de gaz de Naftal d’Arzew souligne qu’il existe au niveau national six centres d’enfûtage répartis comme suit: quatre à l’Ouest du pays (Oued El Kheir près de Mostaganem, Tiaret, Ain Témouchent et Méchria) et deux autres à l’Est du pays à Ain Melila et à Annaba.
Le centre enfûteur 312 d’Arzew qui est alimenté par un pipe à partir de la raffinerie de la zone pétrochimique d’Arzew, et qui emploie 130 travailleurs permanents et 26 contractuels, a participé à plusieurs reprises à des approvisionnements de secours dans certaines régions lorsque la demande locale est trop accrue sur cette source énergétique et que la production ne suffit pas à la couverture, à l’image de Tizi-Ouzou (30 tonnes) et Béchar par un chargement de 120 tonnes. Dix revendeurs distributeurs sont agréés au niveau local pour la revente des bouteilles de gaz dont les camions disposent de toutes les normes de sécurité requises pour les opérations de transport et de livraison, a expliqué notre source.
D.Cherif Le squat du domaine public a de beaux jours devant lui à El Ançor
Une construction illicite érigée à proximité de l’APC
Dans la commune côtière d’El Ançor, les élus locaux ne sont, manifestement, nullement inquiétés par la prolifération des constructions illicites qui ont pris de l’ampleur ces dernières années. En effet, si l’on se fie au silence criard qu’ils observent face à la prolifération des cas de dépassements constatés et dénoncés par les citoyens, il y a leu de croire que ce phénomène a de beaux jours devant lui dans cette partie du littoral oranais. Cela est, notamment, le cas d’une construction érigée tout récemment dans l’illégalité totale à une centaine de mètres du siège de l’APC, jouxtant le centre de santé et de proximité (la polyclinique), précisément juste à côté du bidonville «Le Plastique», de surcroit sur un terrain qui appartient à l’Etat, et ce, au vu et au su de tout le monde. Les riverains n’en reviennent pas sur le mutisme et le silence des élus locaux de la municipalité d’El Ançor, notamment les services de l’urbanisme. «Rien ne semble bouger d’un iota depuis la construction de cette bâtisse de 200 m², tout le monde fait semblant comme si de rien n’était», nous dira un voisin qui se plaint de cette situation. Le maire d’El Ançor avec qui nous avons pris contact concernant cette affaire nous dira : «absolument, il s’agit bel et bien d’une construction illicite, une opération de démolition est en cours de préparation et ce n’est qu’une question de jours.» Malheureusement à ce jour, aucune disposition n’a été prise par l’APC d’El Ançor conformément à la réglementation concernant cette construction illicite et tant d’autres éparpillées à travers le territoire d’El Ançor. Devant une telle complaisance caractérisée, les citoyens, convaincus qu’il y a anguille sous roche, se posent actuellement la question : à qui profite ce silence observé par les élus locaux ? N’est-il pas vrai que les lois de la République sont applicables partout et pour tous ?
Lahmar Cherif M
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