La vie nocturne de Tel-Aviv
Située sur la côte méditerranéenne d’Israël, Tel-Aviv est internationalement reconnue pour sa vie nocturne florissante, c’est d’ailleurs la raison pour laquelle elle est souvent surnommée “sin city”. En effet la température, déjà naturellement élevée, bat des record pendant la période estivale. Si on ajoute à cela la tradition de la population locale à accueillir chaleureusement les visiteurs et leurs goûts prononcé pour faire la fête, on commence à percevoir ce qui fait de cette ville un rendez vous incontournable des noceurs de tous pays. Et si le climat extrême poussent locaux et touristes à profiter de la climatisation durant la journée, il rend la nuit excessivement animée.
Pour bien commencer la soirée, rien de tel qu’un bon repas. Les traditions culinaires de la région régaleront les papilles des routards amateurs de bonne chair. Bien sur la proximité de la grande bleue et de ses produits raviront les amateurs de poissons et de fruits de mer, mais on y trouve également de nombreux restaurants, servant une cuisine internationale de mets des plus simples aux plus raffinés. Les fins gourmets n’auront que l’embarras du choix au moment de choisir un établissement pour se ravitailler.
Une fois l’estomac bien remplis, il est temps d’aller dépenser l’énergie accumulée sur la piste de danse et la encore Tel-Aviv fourmille de clubs et de salles de concert avec un nombre affriolant d’artistes locaux et cosmopolites. Quelque soit le style de musique de prédilection du visiteur il ne pourra qu’être comblé par l’offre pléthorique qui s’offre à lui.
Pour ceux qui par contre préféreront une atmosphère posée à l’avalanche de décibels, les bars qui parsèment le front de mer leur permettront de savourer leurs cocktails préférés en profitant de la plage, et bien sûr on ne peut pas occulter les bars situés sur les toits des bâtiments, avec une vue imprenable sur le reste de la ville, et dont la renommée a depuis longtemps dépassé ses frontières.
Une autre spécialité de la ville sont les fameuses »beach party ». Durant le long été de Tel-Aviv les plages sont souvent prises d’assaut par les noctambules qui y organisent des soirées mémorables, plusieurs »dancefloors », ambiance de folie, et souvent un peu de cannabis pour épicer la soirée. En effet, même si le cannabis en Israël reste illégal il n’est pas rare de voir des joints tournés en public, souvent lors de ces soirées en plein air.
Jouissant d’une vie culturel riche et variée, Tel-Aviv permettra également de rassasier les esprits curieux qui voudront ponctuer leurs séjours de visite aux musées, galeries d’art ou se rendre dans l’un des multiples festivals qui sont organisés dans la ville tout au long de l’été.
Des kilomètres de plage, un climat idéal tout au long de l’année, une vie nocturne riche et un sens chaleureux de l’accueil, Tel-Aviv fera vivre à ses visiteurs une expérience unique. Sa tradition de tolérance et son ouverture d’esprit on déjà charmé les nombreux vacanciers qui ont arpentés ses rues et continuera à le faire sans nul doute dans le futur.
http://www.actuj.com/2016-09/monde-juif/4012-joel-mergui-aucune-tombe-juive-en-algerie-ne-sera-deplacee-si-elle-n-est-pas-en-peril
http://www.actuj.com/2016-09/monde-juif/4004-quel-avenir-pour-les-cimetieres-juifs
http://jssnews.com/2010/05/09/le-footballeur-juif-algerien-lavocat-du-diable-et-5-autres-breves-inedites/
http://www.actuj.com/moyen-orient-monde
http://www.lemondejuif.info/
http://www1.alliancefr.com/
http://www.desinfos.com/
http://www.massorti.com/IMG/pdf/les_femmes_du_mur.pdf
http://alger-roi.fr/Alger/enseignement/PDF/11_enseignement_algerianiste111.pdf
http://www.kassaman.com/2014/05/madame-la-ministre-de-l-education-nationale-la-juive-nos-enfants-vont-tres-mal-source-le-soir-d-algerie.html
https://fr.wikipedia.org/wiki/Nouria_Benghabrit-Remaoun
Nouria Benghabrit-Remaoun
| Nouria Benghabrit-Remaoun | |
 La ministre Nouria Benghabrit-Remaoun à Blida | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Ministre algérienne de l'Éducation nationale | |
| En fonction depuis le (2 ans 4 mois et 11 jours) | |
| Prédécesseur | Abdelatif Baba Ahmed |
| Gouvernement | Sellal III, IV et V |
| Biographie | |
| Nom de naissance | Nouria Benghabrit |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Oujda (Maroc) |
| Nationalité |  Algérienne |
| Enfants | 21 |
| Diplômé de | Université d'Oran |
| Profession | Enseignante-chercheuse |
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Nouria Benghabrit-Remaoun (en arabe نورية بن غبريط-رمعون), née le 5 mars1952 à Oujda (Maroc), est une sociologue et chercheuse algérienne. Elle est l'actuelle ministre de l'Éducation nationale2. Sa rigueur et sa fermeté dans la mise en œuvre de ses décisions, notamment face aux syndicats, lui ont valu le surnom de « Dame de fer »3.
Sommaire
[masquer]Origines et études[modifier | modifier le code]
Elle est issue d'une famille musulmane tlemcénienne d'origine andalouse4. Quant à son mari, sa famille est d'origine morisque, dont le patronymeRemaoun provient de l'arabisation du nom espagnol Ramón5.
Elle est la fille de feu Djilali Benghabrit, ancien moudjahid décédé en 2007, et la petite-fille du frère de Si Kaddour Benghabrit, fondateur de la Grande Mosquée de Paris6.
Elle obtient en 1973 une licence en sociologie, puis en 1977, soutient sondiplôme d'études approfondies (DEA) en sociologie de l'éducation à l'université d'Oran sur la problématique de l'orientation scolaire et professionnelle. Elle était une étudiante studieuse, en phase avec les données politiques de l’époque qui mettaient la majorité dans le giron des «progressistes» luttant contre l’impérialisme et le capitalisme exploiteur. Elle était alors très active dans le Comité Universitaire de Volontariat (CUV) qui mobilisait les étudiants dans la campagne d’explication de la Révolution Agraire aux paysans7.
En 1982, elle décroche son doctorat, dans le même domaine d'études que son DEA, délivré par l'université Paris V . Elle est habilitée à diriger des recherches et spécialiste des sujets relatifs à l'éducation, la jeunesse, les femmes dans la société et la famille.
Carrière professionnelle[modifier | modifier le code]
Tout en enseignant depuis 1973 à l'Université d'Oran, elle est nommée en 1976 chef du département de Sociologie à la même université8. Elle rejoint plus tard, à sa création en 1985, l'Unité de Recherche en Anthropologie Sociale et Culturelle (URASC), d'abord en tant que chercheuse et responsable du laboratoire de recherche sur l'éducation et les systèmes de formation qu'elle a monté, puis en tant que directrice de l'URASC de 1989 à 1992, année au cours de laquelle l'unité se transforme en centre de recherche. Elle a ainsi dirigé 9,10 le Centre national de recherche en anthropologie sociale et culturelle (CRASC)11,12, de sa création en 1992 à sa nomination en 2014 à la tête du ministère de l'Éducation nationale. N'ayant pas d'appartenance politique particulière, elle est considérée comme étant une ministre technocrate.
Elle a fait partie de la commission dite Benzaghou, chargée en 2001 de proposer un rapport visant à réformer le secteur de l'éducation en Algérie.
Elle a été élue en 2002 et en 2005, pour deux mandats successifs de trois années, membre représentant l'Afrique du Nord au Comité exécutif du Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique (CODESRIA).
De 2003 à 2006, elle fut la présidente du comité arabe de l'Unescopour l'enseignement supérieur13 et, à ce titre, membre du Comité mondial du forum de l’Unesco pour l’enseignement supérieur, la recherche et la connaissance.
Elle a été, de 2007 à 2010, vice-présidente du conseil d’administrationde l'Institut Africain de la Gouvernance (IAG)14.
En 2012, à la suite de sa désignation par le secrétaire général des Nations unies, elle rejoint le Comité des politiques de développement pour un mandat de trois ans. Ce comité devant présenter au Conseil économique et social des Nations unies des analyses et avis indépendants15, elle a dû en démissionner à sa nomination en tant que ministre dans un gouvernement.
Quand la marche de la Gendarmerie Nationale algérienne appelle au massacre des Juifs
Hélène Keller-Lind
mardi 22 décembre 2015
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La vigoureuse chanson de marche de la Gendarmerie Nationale algérienne contient des mots clefs : “martyrs, Prophète Mahomet, Arabes, Allah, Algérie libre, musulmane”, mais aussi curieusement dans une Algérie sans Juifs, “tuer, massacrer, écorcher les Juifs” ! Alors que Bernard Cazeneuve soulignait il y a un an qu’il y a “en Algérie... une formation de très, très haut niveau de cadres de la police et de la gendarmerie...”. Rappelons qu’existe entre l’Algérie et la France une coopération au niveau sécuritaire ou une formation d’imams qui vont prêcher dans des mosquées françaises...
Le 1er novembre 2015, à l’occasion du Jour de la Révolution était postée sur Internet une vidéo mettant en scène des gendarmes de la Gendarmerie Nationale algérienne. MEMRI qui l’a traduite précise qu’on ignore quand elle a été tournée. Défilant d’un air martial ces gendarmes chantent à pleins poumons les martyrs, le Prophète Mahomet, les Arabes, Allah et une Algérie libre et musulmane à jamais. Rien de bien surprenant...Mais, étonnamment car ce pays est pratiquement Judenrein, la plupart des Juifs, devenus français lors de la colonisation, ayant fui lors de la guerre d’indépendance de ce pays, notamment après des assassinats antisémites, d’autres paroles sont entonnées. Enjoignant les troupes de “tuer les Juifs, les massacrer, les écorcher”...
Pourtant, il y a tout juste un an, lors de la rencontre à Alger entre le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve et son homologue algérien étaient évoquées « la coopération entre les services de police et de gendarmerie, la sécurité civile, la formation de cadres de haut niveau de l’administration algérienne, des collectivités locales, de l’encadrement en général », soit « 135 actions de coopération dans ces domaines ». Le ministre français estimant cependant que « nous sommes moins dans la coopération que dans l’échange parce qu’il y a en Algérie des cadres de police et de gendarmerie qui ont acquis une formation de très, très haut niveau ». C’est donc pour lui « un échange d’expériences »...
À la même époque, rapportait le quotidien algérien L’Expression, “Paris et Alger ont signé... une convention pour que des imams algériens envoyés en France puissent être formés « en harmonie avec les exigences de la République » française, a annoncé le ministre français de l’Intérieur Bernard Cazeneuve à Alger.
« Il est important qu’il y ait des imams formés en harmonie avec les exigences de la République, qui permettent de lutter contre (l)e dévoiement, (l’)abaissement » de l’islam, a estimé M. Cazeneuve en conférence de presse, faisant référence à des « actes terroristes abjects et barbares (qui) n’ont rien à voir avec la religion musulmane ».
Autre précision apportée par le quotidien : “En France, pays à forte tradition laïque qui compte quelque 2.000 lieux de culte musulman, une centaine d’imams sont affiliés à la Grande mosquée de Paris (GMP), financée par l’Algérie et une des composantes du Conseil français du culte musulman. La convention porte aussi sur la réhabilitation de la GMP et de l’institut El Ghazali de formation des imams qui en dépend. En Algérie, Mohamed Aïssa - ministre des Affaires religieuses - s’est déjà engagé à revoir la formation des imams pour « immuniser » définitivement son pays, qui compte 17.000 mosquées, contre l’intégrisme religieux qui a conduit à une guerre civile meurtrière dans les années 90”.
Lutter contre l’islamisme, voilà qui est bien, mais chanter la violence antisémite ?
Pourtant, il y a tout juste un an, lors de la rencontre à Alger entre le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve et son homologue algérien étaient évoquées « la coopération entre les services de police et de gendarmerie, la sécurité civile, la formation de cadres de haut niveau de l’administration algérienne, des collectivités locales, de l’encadrement en général », soit « 135 actions de coopération dans ces domaines ». Le ministre français estimant cependant que « nous sommes moins dans la coopération que dans l’échange parce qu’il y a en Algérie des cadres de police et de gendarmerie qui ont acquis une formation de très, très haut niveau ». C’est donc pour lui « un échange d’expériences »...
À la même époque, rapportait le quotidien algérien L’Expression, “Paris et Alger ont signé... une convention pour que des imams algériens envoyés en France puissent être formés « en harmonie avec les exigences de la République » française, a annoncé le ministre français de l’Intérieur Bernard Cazeneuve à Alger.
« Il est important qu’il y ait des imams formés en harmonie avec les exigences de la République, qui permettent de lutter contre (l)e dévoiement, (l’)abaissement » de l’islam, a estimé M. Cazeneuve en conférence de presse, faisant référence à des « actes terroristes abjects et barbares (qui) n’ont rien à voir avec la religion musulmane ».
Autre précision apportée par le quotidien : “En France, pays à forte tradition laïque qui compte quelque 2.000 lieux de culte musulman, une centaine d’imams sont affiliés à la Grande mosquée de Paris (GMP), financée par l’Algérie et une des composantes du Conseil français du culte musulman. La convention porte aussi sur la réhabilitation de la GMP et de l’institut El Ghazali de formation des imams qui en dépend. En Algérie, Mohamed Aïssa - ministre des Affaires religieuses - s’est déjà engagé à revoir la formation des imams pour « immuniser » définitivement son pays, qui compte 17.000 mosquées, contre l’intégrisme religieux qui a conduit à une guerre civile meurtrière dans les années 90”.
Lutter contre l’islamisme, voilà qui est bien, mais chanter la violence antisémite ?
http://www1.alliancefr.com/
http://www.juif.org/info/
http://www.juif.org/societe-israel/214536,haine-de-l-tat-juif-l-algerie-ordonne-le-retrait-immediat-d-un.php
http://www.juif.org/societe-israel/214536,haine-de-l-tat-juif-l-algerie-ordonne-le-retrait-immediat-d-un.php
Haine de l’État juif : l’Algérie ordonne le retrait « immédiat » d’un livre scolaire mentionnant Israël
Top chef : juives et bédouines apprennent ensemble à cuisiner équilibré
Trop d’aliments frits et transformés, de sucre et de graisse sont consommés. Beaucoup de personnes connaissent ces pièges alimentaires, et en particulier les Juifs et bédouins musulmans vivant dans le désert du Néguev d'Israël.
Leket Israël, une organisation de la banque alimentaire a eu l'idée novatrice d'offrir un atelier sur la nutrition aux mères des deux populations, mené en hébreu et en arabe par une diététicienne de chaque culture.
"Nous faisons des ateliers sur une base régulière dans tout Israël pour donner des outils aux populations dans le besoin pour les aider à améliorer leur nutrition et à faire des choix alimentaires plus sains avec un petit budget», a dit une diététicienne de Leket Israël, Smadar Hod Ovadia.
«Cet atelier spécifique est le premier que nous faisons avec un groupe juif et Bédouin. J’ai pensé que ce serait une bonne idée non seulement d'avoir un public de confession différente, mais aussi avec deux diététiciennes, Dana Ivankovsky et Eman Alsane, fournissant des conseils et des idées pour acheter et préparer des plats tout en ayant un budget limité et apporter ainsi des changements positifs dans les habitudes alimentaires de leurs familles ».
Au début, il y a un peu de tension, mais dès qu’il s’agit de parler marmites, casseroles et recettes, toutes les appréhensions s’évanouissent et une réunion animée, chaleureuse se déroule alors. Parfois les femmes ont du mal à se séparer quand l’atelier se termine et qu’il faut rentrer chez soi.
Ovadia dit que la nourriture est un point de connexion. «Les gens ont une opinion sur la nourriture et la cuisine quel que soit leur statut socio-économique. J'ouvre parfois une session en demandant aux personnes ce qu’elles ont mangé au petit déjeuner, et une discussion animée commence immédiatement. "
Ovadia a dit qu’une enquête de suivi est effectuée six mois après que tous les ateliers de nutrition Leket soient terminés pour voir si les nouvelles habitudes ont été adoptées.
«Nous téléphonons aux participants pour évaluer l'impact des ateliers. Nous avons été surpris de constater que près de la moitié des participants a réussi à changer ses habitudes alimentaires, par exemple en ajoutant plus de fruits et légumes, en consommant moins de boissons sucrées, et en prenant un petit déjeuner ", dit-elle.
Une porte-parole de Leket Israël a déclaré que l'organisation "continuera d'explorer et de trouver des moyens pour mener d'autres ateliers sur la nutrition des femmes juives et bédouines. En tant que mères, elles veulent toutes aider à améliorer la vie de leurs enfants et leur fournir des aliments nutritifs pour mener une vie plus saine ».
Source : israel21c
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