الأحد، سبتمبر 18



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x à Constantine

Pas de relogement avant fin décembre 2016

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le 18.09.16 | 10h00 Réagissez

Depuis l’arrêt brusque de l’opération de relogement des familles habitant les zones rouges, particulièrement ceux du centre-ville de Constantine, les citoyens n’ont de cesse de s’interroger sur les causes de la suspension de cette opération et la date de leur relogement.

Il y a eu même un long silence inexplicable des autorités locales, après l’affichage de la liste des bénéficiaires des logements sociaux dernièrement.
En réponse aux journalistes à propos de ce sujet, Hocine Ouadah, wali de Constantine a déclaré, hier lors de sa visite effectuée au niveau des chantiers des projets de logements, que la distribution des appartements  aura lieu à partir de la fin de l’année en cours. Il a lié ce retard dans l’attribution au manque de financements pour les travaux de viabilisation qui ont connu un retard considérable, voire un arrêt temporaire. «Nous avons rencontré des problèmes de financement pour les travaux de viabilisation. Mais étant donné que l’habitat est le secteur qui ne sera jamais touché par l’austérité, nous avons pu obtenir les financements nécessaires, ils sont disponibles et les travaux ont repris leur cadence», a-t-il expliqué. Et de poursuivre qu’une fois les travaux achevés, ils seront en mesure, d’ici la fin de l’année et à travers l’ensemble des sites, de réceptionner entre 5 000 et 10 000 logements tous programmes confondus (LPL, LPA, LPP, AADL).
À propos de la distribution, le même responsable a affirmé qu’un quota de plus de 3 000 logements sociaux sera attribué aux bénéficiaires. Essayant d’être plus explicite, M. Ouadah a précisé : «3000 logements au moins seront attribués à la fin de cette année. A El Khroub nous avons 1400, dont la liste des bénéficiaires sera affichée dans trois jours. À Constantine nous en avons 1500, sans oublier les autres communes  comme Didouche Mourad et autres.» En dépit de ses assurances, la situation s’avère plus inquiétante. Le secteur de l’habitat semble atteint par la crise économique et les mesures d’austérité. Car lors de sa tournée, le premier responsable de la wilaya a demandé aux sociétés chargées de la réalisation de ces programmes (turque, chinoise et algérienne) à rendre l’ascenseur à l’Etat Algérien en lui apportant leur aide.
Cette aide se manifeste dans la réalisation des équipements publics à leur charge, à l’instar des groupements scolaires, des salles omnisports et des espaces de loisirs. Il a conclu qu’il y aura encore 20 000 logements de tous les programmes qui seront réceptionnés à la fin de 2017. D’ailleurs, selon lui, les services de la wilaya ont commencé à étudier les dossiers des demandeurs. «Pour la tranche qui sera réceptionnée l’année prochaine, nous allons saisir les responsables du ministère de l’habitat pour dégager les financements pour mettre en symbiose les travaux de logements et ceux des viabilisations à temps», a-t-il souligné.
Yousra S.
http://catholiquedunet.fr/basecatho/2012/CoranLectureJuive.pdf
http://www.genealoj.org/fr/regions-et-pays/afrique-nord/algerie/annuaire-gouillon-pour-lalgerie

http://fama2.us.es/fde/ocr/2007/histoireDeLaFeodaliteFinanciereT1.pdf
https://eplume.wordpress.com/2011/03/11/pourquoi-les-juifs-sont-si-puissants-et-les-musulmans-si-impuissants/

https://www.erudit.org/revue/vi/1992/v18/n1/201002ar.pdf



Pourquoi les juifs sont si puissants et les musulmans si impuissants ?

12.01.2009 | Dr Farrukh Saleem

L’auteur est le directeur exécutif pakistanais du Centre pour la recherche et les Etudes sur la sécurité centre crée en 2007. Il est aussi un chroniqueur indépendant à Islamabad.
Il y a seulement 14 millions de Juifs dans le monde, dont sept millions aux Etats-Unis d’Amérique, cinq millions en Asie, deux millions en Europe et 100.000 en Afrique.
Pour chaque Juif dans le monde, il y a 100 musulmans.
Pourtant, les Juifs sont cent fois plus puissants que tous les musulmans réunis.
Vous êtes vous demandé pourquoi ?
Jésus était juif. Albert Einstein, le savant le plus influent de tous les temps et le magazine TIME a désigné « personne du siècle », Sigmund Freud – Moi, Surmoi – le père de la psychanalyse qui était un Juif. C’était aussi le cas de Karl Marx, Samuelson Paul et Milton Friedman.
Voici d’autres Juifs, dont la production intellectuelle a enrichi l’ensemble de l’humanité :
  • Benjamin Rubin a donné à l’humanité l’aiguille pour la vaccination.
  • Jonas Salk a mis au point le premier vaccin antipoliomyélitique.
  • Alerte Sabin a développé et améliorée le vaccin antipoliomyélitique.
  • Gertrude Elion nous a donné un médicament contre la leucémie.
  • Baruch Blumberg a développé le vaccin contre l’hépatite B.
  • Paul Ehrlich découvre un traitement de la syphilis (une maladie sexuellement transmissible).
  • Elie Metchnikoff a remporté un prix Nobel pour les maladies infectieuses.
  • Bernard Katz a remporté un prix Nobel pour ses travaux sur la transmission neuromusculaire.
  • Andrew Schally a remporté un prix Nobel en endocrinologie (troubles du système endocrinien, diabète, hyperthyroïdie).
  • Aaron Beck a fondé la thérapie Cognitive (psychothérapie pour traiter les troubles mentaux, la dépression et les phobies).
  • Gregory Pincus a développé la première pilule contraceptive.
  • George Wald a remporté un prix Nobel pour son travail sur la compréhension de l’œil humain.
  • Stanley Cohen a remporté un prix Nobel en embryologie (Étude des embryons et leur développement).
  • Willem Kolff a crée la machine pour la dialyse rénale.
  • Au cours des 105 dernières années, 14 millions de Juifs ont remporté 180 prix Nobel tandis que seulement 3 prix Nobel ont été remportés par 1,4 milliard de musulmans (autre que le Prix pour la paix).
  • Stanley Mezor a inventé la première puce micro-informatique.
  • Leo Szilard mis au point le réacteur nucléaire de première génération.
  • Peter Schultz, le câble à fibres optiques.
  • Charles Adler les feux de circulation.
  • Benno Strauss l’acier inoxydable.
  • Isador Kisee les films sonores.
  • Emile Berliner le téléphone et le microphone.
  • Charles Ginsburg le magnétoscope.
Les financiers célèbres dans le monde des affaires appartiennent à la religion juive.
Sans compter Ralph Lauren (Polo), Levi Strauss (Levi’s), Howard Schultz (Starbuck’s), Sergey Brin (Google), Michael Dell (Dell Computers), Larry Ellison (Oracle), Donna Karan (DKNY), Robbins Irv (Baskins & Robbins) et Rosenberg projet de loi (Dunkin Donuts). Richard Levin, président de l’Université de Yale, est un Juif.
  • Il en est de même pour Henry Kissinger (secrétaire d’État américain),
  • Alan Greenspan (Président de la Banque fédérale sous Reagan, Bush, Clinton et Bush, Jr.),
  • Joseph Lieberman, Le sénateur,
  • Madeleine Albright (ancienne Secrétaire d’État),
  • Maxim Litvinov (ministre des Affaires étrangères de l’URSS),
  • David Maréchal (le premier ministre de Singapour),
  • Isaacs Issac (gouverneur général d’Australie),
  • Benjamin Disraeli (Homme d’État et auteur),
  • Yevgeny Primakov (Premier ministre russe),
  • Jorge Sampaio (Président du Portugal),
  • Herb Gray (plusieurs fois ministre et Vice premier Ministre du Canada),
  • Pierre Mendes (Premier ministre français),
  • Michael Howard (British Home Secretary),
  • Bruno Kreisky (Chancelier d’Autriche) et Robert Rubin (ancien Secrétaire au Trésor).
Dans les médias, les Juifs célèbres incluent Wolf Blitzer (CNN),
  • Barbara Walters (ABC Nouvelles),
  • Eugene Meyer (Washington Post),
  • Henry Grunwald (rédacteur en chef du Time Magazine),
  • Katherine Graham (éditeur du Washington Post),
  • Joseph Lelyyeld (rédacteur en chef, The New York Times), et Max Frankel (New York Times).
Pouvez-vous donner le nom du philanthrope le plus généreux dans l’histoire du monde ?
  • Le nom est George Soros, un Juif, qui a jusqu’à présent a fait des dons colossaux à hauteur de 4 milliards de dollars ;dont la majeure partie en aide à des scientifiques et des universités de par le monde.
  • Le deuxième après George Soros est Walter Annenberg, un autre Juif, qui a construit une centaine de bibliothèques en donnant un montant estimé à 2 milliards.
Aux Jeux olympiques, Mark Spitz a établi un record du genre en remportant sept médailles d’or. Lenny Krayzelburg est médaillée d’or olympique à trois reprises. Spitz, Krayzelburg et Boris Becker (tennis) sont tous juifs.
Saviez-vous que Harrison Ford, George Burns, Tony Curtis, Charles Bronson, Sandra Bullock, Barbra Streisand, Billy Crystal, Woody Allen, Paul Newman, Peter Sellers, Dustin Hoffman, Michael Douglas, Ben Kingsley, Kirk Douglas, William Shatner, Jerry Lewis et Peter Falk sont tous juifs ?

Alors, pourquoi les Juifs sont si puissants ?
Réponse : l’Education.
Hollywood elle-même a été fondée par un Juif. Parmi les réalisateurs et producteurs, Steven Spielberg, Mel Brooks, Oliver Stone, Aaron Spelling (Beverly Hills 90210), Neil Simon (The Odd Couple), Vaina Andrew (Rambo 1, 2 et 3), Michael Mann (Starsky et Hutch), Milos Forman (Vol au-dessus d’un nid de coucou), Douglas Fairbanks (Le Voleur de Bagdad) et Ivan Reitman (Ghostbusters) sont tous Juifs.
Pour être certain, Washington est la capitale qui compte et à Washington, le lobby qui compte, c’est l’American Israel Public Affairs Committee, ou AIPAC.
William James Sidis, avec un QI de 250-300, est le plus brillant homme qui ait jamais existé. Devinez à quelle religion il appartient ?
Alors, pourquoi les Juifs sont si puissants ?
Réponse : l’éducation.

Pourquoi les musulmans si impuissants ?
On estime à 1,476,233,470 musulmans sur la surface du globe : un milliard en Asie, 400 millions en Afrique, 44 millions en Europe et six millions en Amérique.
Un cinquième du genre humain est musulman. Pour chaque hindou, il ya deux musulmans, pour chaque bouddhiste il ya deux musulmans, et pour chaque Juif il y a cent musulmans.
Jamais on ne s’est demandé pourquoi les musulmans sont si impuissants ?
Voici pourquoi :
Il ya 57 pays membres de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI), et tous ont mis en place près 500 universités ; une université pour trois millions de musulmans.
Les États-Unis ont 5758 universités (1 pour 57 000 Américains).
En 2004, Shanghai Jiao Tong University a comparé les performances des universités dans le monde, et curieusement, pas une université d’un pays musulman ne se trouve dans le top 500.
Selon les données recueillies par le PNUD, l’alphabétisation dans le monde chrétien se situe à près de 90 pour cent et les 15 Etats à majorité chrétienne ont un taux d’alphabétisation de 100 pour cent.
Un état à majorité musulmane, a en moyenne un taux d’alphabétisation d’environ 40 pour cent et il n’y a pas un seul état à majorité musulmane avec un taux d’alphabétisation de 100 pour cent.
Quelque 98 pour cent des « alphabètes » dans le monde chrétien terminent l’école primaire, tandis que moins de 50 p. cent des « alphabètes » dans le monde musulman font la même chose.
Environ 40 pour cent des « lettrés » dans le monde chrétien fréquentent l’université soit plus de deux pour cent des « lettrés » qui dans le monde musulman font la même chose.
Pourquoi les musulmans sont impuissants ?
Parce que nous ne savons pas produire et mettre en application un savoir musulman. Les pays à majorité musulmane ont 230 scientifiques par million Musulmans. Les États-Unis ont 4.000 scientifiques par million et le Japon à 5.000 par million d’habitants. Dans le monde arabe tout entier, le nombre total de chercheurs à plein temps est de 35.000 et il n’y a que 50 techniciens par un million d’Arabes (dans le monde chrétien, il ya jusqu’à 1.000 techniciens par million). En outre, le monde musulman dépense 0,2 pour cent de son PIB à la recherche et développement, tout le monde chrétien consacre environ cinq pour cent de ses PIB.
Conclusion : Le monde musulman n’a pas la capacité de produire des connaissances.
Les quotidiens pour 1000 habitants et le nombre de titres de livres par million sont deux indicateurs pour savoir si la connaissance est diffusée dans une société. Au Pakistan, il existe 23 quotidiens pour 1.000 Pakistanais tandis que le même ratio est de 360 à Singapour. Au Royaume-Uni, le nombre de titres de livres par million d’habitants s’élève à 2.000 alors qu’il est de 20 en Egypte.

Conclusion : Le monde musulman ne parvient pas à la diffusion du savoir.
Les exportations de produits de haute technologie en pourcentage du total des exportations sont un indicateur important pour l’application des connaissances.
Les exportations de produits de haute technologie du Pakistan s’élèvent à un pour cent du total de ses exportations. C’est pire pour l’Arabie saoudite, le Koweït, le Maroc et l’Algérie (tous à 0,3 p. cent) alors que Singapour est à 58 pour cent.

Conclusion : Le monde musulman ne parvient pas à mettre en application son savoir.
Pourquoi les musulmans sont impuissants ?
Parce que nous ne sommes pas capables de produire des connaissances.
Pourquoi les musulmans sont impuissants ?
Parce que nous ne sommes pas capables de diffuser le savoir.
Pourquoi les musulmans sont impuissants ?
Parce que nous ne sommes pas capables de trouver des applications à nos connaissances.
Et, l’avenir appartient aux sociétés du savoir.
Fait intéressant, le PIB combiné annuel de 57 pays de l’OCI-est de moins de 2 mille milliards de dollars. L’Amérique, juste à elle-seule, produit des biens et services pour une valeur de 12 mille milliards de $, la Chine 8 mille milliards de dollars, le Japon 3,8 mille milliards de $ et l’Allemagne 2,4 mille de milliards de dollars (en parité de pouvoir d’achat).
Les pays riche en pétrole à savoir l’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, le Koweït et le Qatar collectivement produisent des biens et services (surtout en pétrole) pour une valeur de 500 milliards de dollars, alors que l’Espagne seule produit des biens et services d’une valeur de plus de 1000 milliards de $, la Pologne catholique de 489 milliards de $ et la bouddhiste Thaïlande 545 milliards de dollars.
La part musulmane du PIB, en pourcentage du PIB mondial, est baisse rapide.

Alors, pourquoi les musulmans sont si impuissants ?
Réponse : Le manque d’éducation.

Tout ce que nous faisons c’est prier Dieu toute la journée et blâmer tout le monde pour nos défaillances multiples.

http://www.ordiecole.com/gen/html/noms_juifs.pdf



http://jesusmarie.free.fr/vigouroux_dictionnaire_de_la_bible_tome_9.pdf

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http://www.genami.org/pays-de-vos-origines/recherches/Lorraine.php

Recherches généalogiques juives en Lorraine

Moselle (57), Meurthe-et-Moselle (54), Meuse (55)
Par Annie et Gérard Lévy
Rappel historique
Afin d'effectuer efficacement des recherches généalogiques juives en Lorraine, il est indispensable de posséder quelques notions sur l'histoire de cette région, ainsi que sur celle de l'implantation des Juifs à partir du milieu du XVIe siècle.
 genami-généalogie juive - Lorraine
La Lorraine à la veille de la Révolution
Pour voir cette carte agrandie, cliquez dessus
Jusqu'à la Révolution, la presque totalité de la Lorraine actuelle était divisée en deux entités, souvent très imbriquées géographiquement : les Trois Evêchés et le Duché de Lorraine. Ce qu'on appelle le "Duché de Lorraine" comportait en fait d'autres territoires, dont le Duché de Bar, qui étaient sous l'autorité du duc de Lorraine. Ces deux entités sont devenues respectivement, lors du rattachement officiel à la France (en 1648 pour la première et en 1766, à la mort de Stanislas, pour la seconde), les Généralités de Metz et de Nancy. Les Trois Evêchés étaient cependant déjà passés "sous protection française" dès 1552.
Il est à noter l'existence d'une troisième entité, très petite, le Comté de Créhange, qui faisait partie des "Terres d'Empire" et comprenait notamment, outre la commune éponyme, celles de Pontpierre, Denting et Niedervisse (en partie).
Après la Révolution, la Lorraine est divisée en 4 départements, la Moselle, la Meurthe, la Meuse et les Vosges, (seuls les trois premiers seront pris ici en compte). En 1871, sont annexés à l'Allemagne : la Moselle à l'exception de l'arrondissement de Briey, ainsi que certains arrondissements de la Meurthe (Château-Salins et Sarrebourg). La partie restante de ce dernier département (arrondissements de Nancy, Toul et Lunéville), complétée par l'arrondissement de Briey, constitue alors et encore maintenant le département de la Meurthe-et-Moselle.
Après la guerre de 1914-1918, l'ensemble de la Lorraine qui avait été annexée (dont faisait partie l'ancien Comté de Créhange) redevient français et forme le nouveau (et actuel) département de la Moselle. Conséquences pour les généalogistes : pendant l'annexion, les actes d'état civil, outre le fait qu'ils sont écrits en allemand (parfois même en gothique, très difficile à déchiffrer), sont constitués d'un imprimé complété manuellement ; ils fournissent nettement moins de renseignements que la plupart des actes français et ne sont signés que par l'officier d'état civil.
Il faut donc retenir que chacun des trois départements actuels comporte à la fois des zones qui étaient situées dans le Duché de Lorraine et d'autres qui faisaient partie des Trois-Evêchés. Comme on le verra, un certain nombre de sources d'information pour les généalogistes concernent seulement l'une ou l'autre de ces deux entités.
 GenAmi genealogie juive synagogue Metz
La synagogue de Metz
La réimplantation de Juifs à Metz, après plusieurs siècles d'absence, date de 1567, elle a lieu grâce à la présence des troupes françaises. Il ne saurait donc être question de trouver des documents généalogiques antérieurs à cette date. A partir de ce moment, se constitue dans cette ville, puis s'y développe jusqu'au milieu du XVIIIe siècle, une grande communauté (plus de 500 ménages en 1740). L'installation des Juifs dans certains villages du plat pays messin date du début du XVIIe siècle, mais elle ne devient vraiment pérenne qu'à partir du milieu de ce même siècle ; on note une vingtaine d'implantations en 1702. Ces implantations se multiplient vers la fin du XVIIIe siècle, elles sont de 49 en 1785.
En ce qui concerne le Duché de Lorraine, après leur expulsion en 1477, un très petit nombre de Juifs s'installe à Nancy à partir de 1636 suite à l'occupation française (provisoire), puis dans d'autres agglomérations, mais ils sont souvent expulsés ultérieurement. D'autres, mais également peu nombreux, s'y installent à partir de la fin du XVIIe siècle. En 1721, 73 ménages seulement (nommément désignés) sont autorisés à résider dans le Duché, dans 24 localités (familles en principe déjà présentes en 1680, les autres étant expulsées), mais il s'agit là du début d'une implantation durable. Dans l'ordonnance de 1753 (élaborée en fait vingt ans plus tôt), ce nombre passera à 180 ménages, dans 52 localités ; cette ordonnance restera théoriquement en vigueur jusqu'à la Révolution.
Pour plus de détails sur l'histoire générale des Juifs en Lorraine, voir dans la bibliographie jointe les références de (1) à(12). Pour des informations sur les Juifs dans différentes communes particulières, voir les références (24) à (49).
Les noms des Juifs
Avant le décret de 1808, les Juifs de France portaient souvent déjà des noms "de famille" (qui étaient, à l'origine, des surnoms) transmissibles de père en fils. En dehors des descendants des anciennes castes sacerdotales, qui se transmettaient le nom de Cahen (ou Cayen, ou…) ou de Lévy, ces noms rappelaient souvent le lieu d'origine de la lignée. C'est ainsi qu'à Metz, la plupart des gens portaient un nom "de famille" héréditaire.
 GenAmi genealogie juive synagogue Insming
La synagogue d'Insming
Cependant, il n'était pas rare que le nom de Cahen ou de Lévy soit omis dans certains actes. Par ailleurs, une même lignée hésite parfois entre deux noms de famille, notamment à Metz (par exemple, pour l'une d'entre elles : Emmerich et Gomperz) ; sans parler des diverses variantes utilisées pour un même nom.
Cette coutume des surnoms héréditaires était moins répandue dans les petites communes de Lorraine, où de nombreux Juifs n'étaient connus que sous leur prénom suivi de celui de leur père. Sans parler du fait que cela crée des difficultés pour remonter la lignée, ce peut être une source de confusion pour les généalogistes. Il n'était ainsi pas rare que deux individus portent le même nom dans une même localité, qu'ils appartiennent à deux familles différentes ou à la même. C'est ainsi que lorsqu'un Juif mourrait, la coutume voulait que son fils donne le prénom de ce père décédé à son premier garçon naissant après ce décès ; par exemple, un nommé Isaac Abraham pouvait être amené à appeler un de ses fils Abraham Isaac ; or, l'officier d'état civil inversait parfois nom et prénom et appelait le nouveau-né Isaac Abraham, exactement comme son père.
En plus du fait que les prénoms féminins varient souvent beaucoup au fil des actes, mais il s'agit là d'un phénomène répandu partout, un autre problème concernant les prénoms était assez répandu en Moselle. Il s'agit de la "traduction" du prénom hébraïque : par exemple, Nephtali pouvait donner Cerf à Metz ou Hirtz, Hertzel... dans la partie germanophone de la Moselle. Mais il arrivait assez souvent que les deux prénoms apparaissent indifféremment dans les actes, ce qui peut constituer également une source de confusion.
Il est à noter que certains de ces phénomènes se sont poursuivis en partie bien après 1808, la prise d'un nom patronymique pouvant même parfois ajouter à la confusion : un individu pouvait être désigné, selon les actes, par son ancien ou son nouveau nom, ou même par un mélange des deux.
On trouvera de nombreux renseignements sur le nom des Juifs lorrains dans les ouvrages (9) et (44).
Les sources pour le généalogiste
La plupart des documents originaux, en général manuscrits, ont été exploités par différents auteurs. Les ouvrages et articles de revues qui en découlent constituent l'instrument de travail de base pour la généalogie juive lorraine (voir plus bas et bibliographie jointe), en plus de l'état civil.
Cependant, pour accéder à beaucoup d'informations fondamentales pour la recherche, comme les nombreuses listes de noms, on devra souvent consulter le document original, généralement manuscrit (ou sa photocopie). Presque tous ces documents sont cités dans l'ouvrage de Gildas Bernard (13) : les sources sont classées par département et un index fournit notamment, par commune, la liste des points à consulter dans le corps de l'ouvrage. On y trouvera mentionné le lieu où chaque document est déposé (archives départementales ou communales, bibliothèques,…) et la référence permettant de le consulter. Mais il est évident que des informations concernant un individu donné, perdues par exemple au milieu d'une liasse d'actes notariés, n'y figurent pas.
En raison de l'histoire passée de la Lorraine, quelques documents intéressant les arrondissements de l'ancien département de la Meurthe actuellement en Moselle se trouvent aux AD 54. Egalement, même si la plus grande partie des archives de l'arrondissement de Briey (M-et-M.) sont déposées aux AD 54, certaines se trouvent aux AD 55 (cet arrondissement appartenait jadis au Duché de Bar), d'autres aux AD 57 (il faisait partie du département de la Moselle avant 1871).
A – Sources pour la période couverte par l'état civil
Comme pour toutes les recherches généalogiques juives en France, la source essentielle pour remonter un arbre jusqu'à la Révolution est constituée par l'état civil, qui existe en principe en deux exemplaires (commune et AD). Dans de nombreux cas, l'exemplaire communal a été déposé aux AD. Aux AD 57, beaucoup de registres sont reproduits sur microfilms, mais il est souvent possible de consulter l'original sur papier. Aux AD 54, cette dernière possibilité n'existe pas, tout est sur microfilms mais, avantage certain, ceux-ci sont en libre accès. Par ailleurs, des listes diverses tirées de l'état civil ont été constituées, dont certaines par GenAmi ; elles peuvent faciliter le travail du généalogiste.
La collection microfilmée de l'état civil de Meurthe-et-Moselle jusqu'en 1882 est maintenant consultable sur le site Internet des AD 54, moyennant une redevance modique. L'état civil de la Meuse (jusqu'en 1902) et des Vosges (jusqu'en 1905) sont également en ligne, leur consultation est gratuite. Pour celui de la Moselle, il faudra en principe attendre jusqu'en 2013 ou 2014.
L'état civil permet souvent de remonter complètement un arbre jusqu'à la Révolution, et même au delà. Mais parfois, ce n'est pas le cas. On peut par exemple ne pas connaître la commune d'origine d'une épouse ni le nom de ses parents. Ou bien ignorer l'endroit, donc la date, où un ancêtre est décédé. Des ouvrages et documents permettent de remédier bien souvent à ces lacunes (les premiers cités ci-dessous n'étant pas spécifiques aux Juifs) :
  • Le Cercle généalogique de Moselle a effectué, à partir de l'état civil et des actes notariés :
    - un relevé des habitants de certaines communes à diverses dates, avec reconstitution des familles,
    - un relevé des mariages dans la plupart des communes du département.
    Ces documents sont consultables aux AD 57 (réf. : respectivement 9SP4 et 9SP5).
  • En outre, l'Union des Cercles Généalogiques Lorrains a débuté en 1990 une saisie informatique (assez schématique) des actes paroissiaux et d'état civil des 4 départements lorrains et propose sur le Minitel (3617 GENLOR) la consultation de sa base de données, qui contient à l'heure actuelle plus de 8 millions d'actes (naissances, mariages, décès). Cette base GENLOR est également consultable sur Internet, après avoir chargé la version informatique du minitel, fournie par Orange. Cette consultation est assez onéreuse.
  • J.L. Calbat est l'auteur d'un relevé des mariages juifs en Moselle de 1792 à 1892, effectué à partir des tables décennales de l'état civil (16). Par commune et pour chaque conjoint est indiquée la date du mariage, ce qui permet de retrouver l'acte dans l'état civil. Un index alphabétique global permet de prendre connaissance si nécessaire de la commune où s'est déroulé le mariage.
  • P. Katz a réalisé un recueil des déclarations de 1808 de prise de nom patronymique des Juifs des départements actuels de la Moselle et de la Meurthe-et-Moselle (20). Cet ouvrage permet de localiser les gens à cette date et de faire le lien entre l'ancien et le nouveau nom d'un individu (quand il a eu changement de nom). Près de 130 communes avaient constitué un registre de ces déclarations, mais, en raison d'un incendie en 1944, une bonne partie des registres mosellans (au moins une cinquantaine) ne sont plus disponibles. Actuellement subsistent, et ont été reproduits dans le document de P. Katz, 57 registres pour la Moselle et 19 pour la Meurthe-et-Moselle. La liste de Metz, détruite, a pu être reconstituée en grande partie ; cette reconstitution a été publiée par GenAmi (19).
    En 1808, 8 communautés juives seulement existaient dans la Meuse, mais le recueil des déclarations de 1808 n'a pas encore été effectué pour ce département ; on pourra cependant sans doute consulter dans les mairies concernées ou aux AD 55 à Bar-le-Duc certaines de ces listes, au moins celles de Bar-le-Duc, Verdun et Vaucouleurs.
  • J.P. Bernard a effectué un relevé des tombes de l'ensemble (plus de 40) des cimetières juifs de Moselle, comportant près de 15 000 noms (14). Un index alphabétique général permet de déterminer l'endroit où la personne est enterrée et, en s'y reportant, d'obtenir les informations inscrites sur la tombe. Même si (sauf exceptions) les tombes ne comportant que des inscriptions hébraïques en sont exclues (mais leur emplacement est indiqué), ce relevé donnera souvent au généalogiste des informations qu'il n'aura pu trouver nulle part ailleurs.
    A noter que l'ouvrage de J.P. Bernard et P. Faustini sur Vantoux (26) comporte, lui, la traduction, par S. Schwarzfuchs, des inscriptions hébraïques du cimetière juif de cette commune ; certaines des tombes concernées datent du XVIIIe siècle.
  • J.P. Bernard a également effectué le relevé des tombes de certains cimetières juifs de Meurthe-et-Moselle (Blâmont, Pont-à-Mousson, Toul) et d'une dizaine de cimetières juifs de la Meuse. Un ouvrage de F. et S. Job (41) concerne le cimetière juif de Lunéville. Quant au cimetière juif de Nancy, un répertoire, classé par ordre alphabétique, peut être consulté sur le site Internet de la communauté juive de cette ville.
    Dans toutes ces publications sur les cimetières se trouvent un certain nombre d'informations relatives à la période d'avant la Révolution (surtout dates ou années de naissance).
  • Les "rôles des israélites pour l'extinction de la dette de l'ancienne communauté juive de Metz". Ces listes ont fait l'objet d'une publication de GenAmi (19). Sur un plan généalogique, elles peuvent éventuellement permettre de rattacher certains individus qui n'habitent pas Metz au XIXe siècle à des membres des communautés de la Généralité de Metz d'avant la Révolution.
  • Un certain nombre de listes concernant les Juifs ont été établies depuis la Révolution. Elles intéressent certaines communes des trois départements. Les agglomérations dont il est question, ainsi que la localisation et la référence du document, se trouvent dans l'ouvrage de Gildas Bernard (13). Il peut aussi être parfois intéressant de consulter les recensements de la population, voire le cadastre.
  • Si on perd la trace d'un individu en Moselle dans le courant du XIXe siècle, on pourra consulter l'ouvrage de M.J. Marchal (7), qui comporte les listes de plus de 10 000 mosellans partis tenter leur chance en Amérique, dont beaucoup de Juifs.
B - Les sources avant la Révolution
Il existe pour Metz un ensemble de sources spécifiques permettant souvent de remonter une lignée jusqu'au début du XVIIIe siècle et même parfois d'un siècle supplémentaire. Les sources dont bénéficient les autres communautés juives lorraines sont beaucoup plus limitées en nombre et, pour certaines, en facilité d'accès et/ou en qualité de renseignements fournis, même si on peut espérer grâce à elles, mais bien moins fréquemment qu'à Metz, approcher les années 1700.
  • La seule communauté juive ayant tenu son état civil au XVIIIe siècle est celle de Metz. Mais les registres originaux sont très peu commodes à consulter, car il n'existe aucune table des actes. P.A. Meyer a heureusement pallié cette lacune en publiant ses "Tables du registre d'état civil de la communauté juive de Metz 1717-1792" (22). Il s'agit d'une source incomparable d'informations pour les généalogistes. Il est à noter cependant qu'un nombre assez important de naissances et de décès de jeunes enfants n'ont pas été enregistrés. De plus, les actes sont loin d'être aussi documentés que ceux des actes des registres paroissiaux ou de l'état civil d'après la Révolution.
  • Toujours à Metz, le "Memorbuch". Il s'agit du mémorial de la "confrérie du dernier devoir" (les fossoyeurs). Il contient les notices nécrologiques (2088) des membres de la communauté (mais tous n'y figurent pas, notamment les enfants), relatant leurs mérites. Mais ces notices contiennent également des renseignements assez comparables à ceux des actes de décès de l'état civil, excepté généralement le nom des conjoints. La partie la plus ancienne, qui va théoriquement de la fin du XVIe siècle (en fait, de 1610) à 1724, a été traduite intégralement par S. Schwarzfuchs(23). La suite, qui va jusqu'en 1849, a été exploitée par J.C. Bouvat-Martin, qui en a tiré les renseignements d'état civil contenus dans les notices individuelles (15).
    Les renseignements fournis par le Memorbuch complètent de manière fort intéressante pour le généalogiste ceux de l'état civil cité plus haut, pour la partie qui leur est commune (1717-1792). Une partie de ce Memorbuch a été exploitée en vue de la réalisation de la source suivante.
  • Autre ouvrage fort important, qui permet de remonter plus loin dans le temps à Metz que le registre d'état civil, parfois même jusqu'à la réimplantation des Juifs dans cette ville : celui de P. Faustini sur les familles juives messines de 1565 à 1700 pour la seconde édition parue en juin 2009 (17).
    Les arbres et l'histoire des principales familles sont reconstitués grâce à différentes sources, notamment : actes notariés (dont les plus importants sont reproduits), Memorbuch, différentes listes successives de Juifs, liste de décès lors de l'épidémie de peste de 1636. L'auteur précise ses sources dans chaque cas et justifie de façon très argumentée les choix qu'il propose entre diverses hypothèses. Cette seconde édition est très sensiblement complétée par rapport à la première, à la fois quant au texte de nombreuses rubriques et quant à la période étudiée.
  • Pour l'ensemble de la Moselle, une source "incontournable" est constituée par l'ouvrage de J. Fleury sur les 2021contrats de mariage juifs en Moselle avant 1792 qu'il a recensés (18).
    Ce livre est le résultat d'un énorme travail de consultation des archives notariales. Il indique notamment, outre le nom des mariés et le lieu où ils habitent, le nom de leurs parents et s'ils sont encore en vie, ainsi que les références de l'acte, permettant ainsi la consultation de celui-ci aux AD 57. Pour Metz, ces contrats permettent de compléter l'état civil de la communauté car, d'une part certains lui sont antérieurs, et d'autre part le contenu filiatif y est bien plus complet.
    Il est cependant à noter que, si la plupart des mariages messins faisaient l'objet d'un contrat notarié, c'était loin d'être le cas dans beaucoup de petites communautés. Pratiquement aucun contrat ne concerne même certaines régions géographiques, par exemple la zone frontalière avec l'Allemagne. Certains contrats passés sous seing privé peuvent ne pas être mentionnés dans l'ouvrage.
  • Les Juifs de la Généralité de Metz (ex Trois Evêchés) étaient soumis depuis 1715 à la "taxe Brancas" (précisions dans la référence (19), p. 101). Cette taxe a donné lieu à la publication de listes des contribuables entre 1742 et 1777, chacune ne concernant qu'une partie des communes intéressées. Ces listes font partie des archives du consistoire israélite de la Moselle lesquelles ont été déposées aux AD 57 (cote 17 J), où elles peuvent donc être consultées. L'ouvrage de Gildas Bernard (13) fournit la référence de ces listes. A noter qu'elles sont incomplètes (du point de vue généalogique), tous les habitants juifs des diverses communes n'y figurant probablement pas.
  • Toujours pour la Généralité de Metz, mais cette dernière ville non comprise, il existe un important document : Etat des Juifs qui sont dans l'étendue du département de Metz sans compter ceux de la ville de Metz, 1702, que P.A. Meyer a structuré et mis en forme facile à consulter (21).
  • En l'an XI (1802-1803) a eu lieu (ou aurait dû avoir lieu) dans chaque commune de Moselle la "déclaration de naissance avant 1793 des non-catholiques", essentiellement des Juifs. Les gens venaient déclarer à la mairie de leur lieu de résidence leurs propres date et lieu de naissance (pas sur toutes les listes), ainsi que ceux de leurs enfants nés avant 1793, et souvent ils signaient leur déclaration. Il s'agit d'une source de renseignements très précieuse, mais qui, malheureusement n'existe que pour un nombre très limité de communes : Boulay, Courcelles-Chaussy, Denting, Ennery, Frauenberg, Guinglange, Longeville-lès-Metz, Marly, Morhange, Moulins-lès-Metz, Thionville, Waldwisse, Welferding. Ces documents sont généralement joints à l'état civil de l'an XI. Certains d'entre eux sont incomplets.
  • Pour les communes de l'ancien Duché de Lorraine, nous disposons de deux listes de Juifs autorisés à y résider (voir plus haut le rappel historique), classés par commune : celles de 1721 et de 1753. A noter que, comme bien souvent sur les listes, seuls les chefs de famille sont cités. A noter également que la liste de 1753 est certainement incomplète ; par la suite elle correspond de moins en moins à la réalité, d'une part car le départ ou l'extinction d'une famille permettait à une autre de la remplacer (11), et d'autre part en raison de tolérances ou de dérogations. Sur les 52 localités concernées par la liste de 1753, 41 sont situées dans les limites actuelles du département de la Moselle et une dans celles de la Meuse (Etain, seule commune de ce département à avoir possédé une communauté juive avant la Révolution). Ces listes, qui se trouvent aux AD 54 et 57, peuvent être consultées à la bibliothèque de GenAmi.
  • D'autres listes nominatives de Juifs ont été publiées à des dates diverses :

    - en ce qui concerne le Comté de Créhange, liste des chefs de famille en 1776, classés par commune (aux AD 57). Des listes existent également pour 1737 à 1739 G, mais elles sont difficiles à déchiffrer,

    liste des chefs de familles juives établies dans le "bailliage d'Allemagne" du Duché de Lorraine depuis avant le traité de Ryswick (1697) jusque vers 1706 (AD 54) (le bailliage d'Allemagne était constitué de la partie N.E. du Duché).
    Ces communes, assez nombreuses, sont pour la plupart situées dans le département actuel de la Moselle,

    - listes (recensements, taxes,..) concernant soit l'une, soit l'autre, des deux entités lorraines. Outre la ville de Metz, pour laquelle existent d'assez nombreuses listes (par exemple, le recensement des Juifs en 1739 (19)), elles concernent une quinzaine de communes. Leur référence se trouve dans l'ouvrage de Gildas Bernard (13) (rechercher déjà dans l'index alphabétique le nom de la commune à laquelle on s'intéresse).
  • Comme partout en France, les archives notariales constituent une source importante d'informations : d'une part pour consulter les contrats de mariage juifs (source exploitée pour la Moselle (18), cf plus haut), mais aussi pour déterminer, grâce à divers types de contrats (vente, prêt, succession…), la présence d'une personne donnée à tel moment à tel endroit ou, en déchiffrant sa signature hébraïque, découvrir le prénom de son père. Les archives notariales de la Moselle ont été entièrement déposées aux AD du département, alors que pour la Meurthe-et-Moselle ce dépôt est loin d'être complet pour la période de l'Ancien Régime.
    Cependant, même si on sélectionne uniquement les notaires auxquels s'adressaient couramment les Juifs, la consultation de ces documents demande beaucoup de patience. Il est souvent possible de raccourcir la recherche en consultant préalablement les registres de contrôle des actes qui rassemblent, en les résumant, les actes de plusieurs notaires ainsi que les actes effectués sous seing privé, ce qui constitue un avantage supplémentaire.
  • Enfin, des informations complémentaires pourront éventuellement être recherchées dans la série "Justice", notamment dans les "plaids annaux" (qui comportent parfois des listes nominatives) ; ou même, surtout pour Metz, dans les archives des établissements hospitaliers. On pourra également parcourir l'ensemble du dépôt du consistoire israélite de la Moselle (cote 17 J), bien que de nombreuses pièces aient été rédigées en judéo-allemand. Certaines des informations intéressantes de ces documents, par exemple des listes de noms, ont été répertoriées dans l'ouvrage de Gildas Bernard (13).

C – Monographies
Des ouvrages, ainsi que de nombreux articles, traitent de l'histoire des Juifs dans une localité bien précise, souvent aussi bien avant qu'après la Révolution. Certains d'entre eux comportent une importante partie de généalogie et reconstitution des familles ; il s'agit en particulier des ouvrages de J.P. Bernard et P. Faustini sur Vantoux (26) et de celui de P. Faustini sur Hellimer (33). D'autres ne contiennent pas de renseignements bien précis sur le plan généalogique ; le chercheur s'intéressant à la localité concernée les lira cependant avec intérêt, ne serait-ce que pour connaître le cadre de vie dans lequel vivaient ses ancêtres. La liste non exhaustive des plus importants de ces documents apparaît dans la bibliographie ci-dessous (références (24) à (49). Certaines des monographies peuvent être consultées aux AD concernées.
Par ailleurs, de nombreuses monographies sur des familles et lignées juives lorraines ont été publiées. Un grand nombre d'arbres d'ascendance ou de descendance intéressant la Lorraine ont été également publiés, en particulier ceux réalisés par les adhérents de GenAmi (3 tomes).
Bibliographie
(non exhaustive)
Bibliographie générale concernant l'histoire des Juifs en Lorraine
(1) BLUMENKRANZ B., 1967. Les Juifs en Lorraine. Annales de l'Est, 199-215.
(2) CAHEN G., 1972. Les Juifs dans la région Lorraine des origines à nos jours. Le pays lorrain, n° 2, 55-83.
(3) CAHEN G., 1972. La région lorraine. In dir. Blumenkranz B. Histoire des Juifs en France, Toulouse, 77-136.Histoire des Juifs en France
(4) CAHEN G., 1990. Les Juifs lorrains. Du ghetto à la nation (1721-1871). Catalogue de l'exposition (Metz 30/6-24/9). Association mosellane pour la conservation du patrimoine juif, 134 p.
(5) DALTROFF J., 1995. L'histoire des communautés juives rurales de Moselle, 16 p.
(6) JOB F., 2003. Meurthe-et-Moselle, Meuse. In Schumann H. Mémoire des communautés juives Meurthe-et-Moselle, Meuse, Vosges. Editions Serpenoise, 9-38.
(7) MARCHAL M.J., 1993. Viva America. Emigration mosellane vers les Etats-Unis. Chez l’auteur, Corny-sur-Moselle.
(8) MENDEL P., 1950. Les noms des Juifs français modernes. Revue des études juives, CX, 32-63.
(9) MEYER P.A., 1999. Présentation historique. In Schumann H. Mémoire des communautés juives de Moselle. Editions Serpenoise, 9-33.
(10) ROSENFELD C. et LANG J.B., 2001. Histoire des Juifs en Moselle. Editions Serpenoise, 455 p.
(11) VANSON L., 1934-35. Curieuses requêtes de Juifs tendant à faire partie, au fur et à mesure des places disponibles, des cent quatre-vingts familles juives tolérées, en Lorraine, dans l'Ancien Régime. Revue juive de Lorraine, X p. 175, 197, 225, 257, 291, 319, et XI p. 11, 38, 64, 98, 126, 155, 187.
(12) WEILL G., 1966. Les Juifs dans le Barrois et la Meuse du Moyen-Age à nos jours. Revue d'études juives, 125, 287-301.

Bibliographie de base pour la généalogie juive en Lorraine
(13) BERNARD Gildas (sous la dir. de), 1990. Les familles juives en France XVIe siècle-1815. Guide des recherches biographiques et généalogiques, Archives nationales, 281 p.
(14) BERNARD J.P., 2001. Les cimetières israélites de Moselle. Relevé des tombes. Cercle de Généalogie Juive, 2 tomes, 396 et 373 p.
(15) BOUVAT-MARTIN J.C., 2001. Tables du Memorbuch de Metz (1720-1849). Cercle de Généalogie Juive, 114 p.
(16) CALBAT Jean-Louis, 2001. Les mariages juifs en Moselle (1792-1892). Cercle de Généalogie Juive, 217 p.
(17) FAUSTINI P., 2009. La communauté juive de Metz et ses familles (1565-1700). 2e édition. Chez l'auteur, Thionville, 500 p.
(18) FLEURY J., 1999. Contrats de mariage juifs en Moselle avant 1792. Recensement à usage généalogique de 2021 contrats de mariage notariés. Cercle de Généalogie Juive, 3e édition, 254 p.
(19) GENAMI éditeur, 2004. Metz. Recensement de 1739. Les familles juives de Metz en 1808. Recouvrement de la dette de l'ancienne communauté juive, listes de 1811 et de 1853, 189 p.
(20) KATZ Pierre, 1999. Recueil des déclarations de prise de nom patronymique des Juifs de Lorraine en 1808. Cercle de Généalogie Juive, non paginé.
(21) MEYER P.A., 1991. Les Juifs de la Province des Trois Evêchés en 1702. Revue des études juives, janvier-juin, 5- 69
(22) MEYER P.A., 1998. Tables du registre d'état civil de la communauté juive de Metz, 1717-1792. Cercle de Généalogie Juive, 462 p.
(23) SCHWARZFUCHS S. (traduit par), 1971. Un obituaire israélite, le "Memorbuch" de Metz (vers 1575-1724). Société d'histoire et d'archéologie de la Lorraine, 117 p.

Principales monographies sur les Juifs en Lorraine
(24) ANONYME, 1999. La synagogue et la communauté de Phalsbourg. Société d'histoire et d'archéologie de Lorraine, 19 p.
(25) BAJETTI P., 1986. La communauté israélite de Boulay. Les cahiers des pays de la Nied, 5, 24-35.
(26) BERNARD J.P. et FAUSTINI P., 2005. Vantoux, Vallières, Méy et Grimont. Une communauté juive aux portes de Metz du 17e au 20e siècle. Histoire, Généalogie, Cimetière. Cercle de Généalogie Juive, 277 p.
(27) BOUR J. et GAERTNER L., 1999. Les familles juives d'Insming, Nelling, Rening, Grening. Chez J. Bour, 130 p.
(28) CAHEN G., 1959. Les Juifs de Sierck avant la Révolution. Almanach-calendrier des communautés israélites de la Moselle, 88-94 (aux AD 57).
(29) DALTROFF J., 1992. Les juifs de Niedervisse, 215 p.
(30) DALTROFF J., 1999. Les Juifs de Delme aux XVIIIe et XIXe siècles. Entre traditions et mutations. Les cahiers lorrains, 3, 323-353.
(31) DEUTSCH D. Les premières communautés juives de Forbach. Les cahiers forbachois, Société d'histoire et d'archéologie de la Lorraine, chier n° 1, 6-15.
(32) ENGELBREIT R., 1993. La communauté juive de Forbach. 176 p.
(33) FAUSTINI P. 2004. La communauté juive de Hellimer. Documents 1700-1850. chez l'auteur, Thionville, 294 p.
(34) FLAUS P., 1984. Comté et comtes de Créhange du XVIIe au XVIIIe siècle. Mémoire de maîtrise, Université de Metz. Sur les Juifs : p. 85-91)
(35) GEUDEVERT C., 1995. Les Juifs à Bliesbrück (1793- 1917), 76 p.
(36) GINSBURGER E., 1903. Les Juifs de Frauenberg. Revue d'études juives, 47, 87-122.
(37) GINSBURGER M., 1905. Les Juifs de Metz sous l'Ancien Régime. Revue des études juives, L, 112-128 et 238-260.
(38) HEMMERT D., 2000. Les familles juives de la vallée inférieure de la Blies de la fin du XVIIe au début du XVIIIe siècle. Les Cahiers Lorrains, n° 3, 413-428.
(39) JOB F., 1989. Les juifs à Lunéville aux XVIIIe et XIXe siècles. Presses universitaires de Nancy, 324 p.
(40) JOB F., 1991. Les Juifs de Nancy. Presses universitaires de Nancy, 170 p.
(41) JOB F. et S., FREUND C., 1999. Le cimetière israélite régional de Lunéville (1759-1998). Cercle de Généalogie Juive, 2e édition, 80 p.
(42) KERNER S., 1979, 1984. La vie quotidienne de la communauté juive de Metz au XVIIIe siècle (à partir du Pinkas (registre) inédit de cette communauté). Thèse (inédite). Université de Paris VIII 1979, version revue 1984, 258 p. + LXXIV p.
(43) MENDEL P., 1995. Les Juifs de Bionville en pays messin (du XVIIe siècle à nos jours). Association mosellane pour la conservation du patrimoine juif, 62 p.
(44) MEYER P.A., 1993. La communauté juive de Metz au XVIIIe siècle. Histoire et démographie. Presses universitaires de Nancy et Editions Serpenoise, 325 p.
(45) MEYER P.A., 1984. Notables juifs à Nancy : une lignée au XVIIIe siècle. Archives juives, 20, n°1-2, 13-24.
(46) NETTER N., 1995 (réimpression de l'édition de 1938). Metz et son grand passé. Vingt siècles d'histoire d'une communauté juive. Editions Jeanne Laffitte, 534 p.
(47) PERISSE R., 1995. La communauté juive de Fénétrange. Essai historique. 124 p.
(48) ROOS P., 1992-1997. Histoire des Juifs à Thionville. 22 p.
(49) WILLIGSECKER A., 1994. La communauté israélite de Grosbliederstroff aux 18e et 19e siècles, 46 p.
(50) G. CHRIST, M. et M. SCHOUVER, A. WILLIGSECKER. La Communauté israélite de Louperhouse,
     Puttelange-aux-lacs-Rémering-lès-Puttelange, Saint-Jean-Rohrbach Cercle généalogique de Moselle-Est.

Il existe également d'autres monographies sur certaines des localités citées ci-dessus, ainsi que des monographies pour de nombreuses autres localités de Moselle, qu'il serait fastidieux d'énumérer. Le lecteur pourra éventuellement se reporter à l'ouvrage de J.P. Bernard et M. Créhange : "Les Juifs dans les monographies locales de Moselle" (CGJ, 129 p.). Ces monographies sont beaucoup moins nombreuses pour la Meuse et la Meurthe-et-Moselle. Pour ce dernier département, le chercheur pourra éventuellement consulter aux AD 54 l'"Inventaire de documents sur les Juifs aux Archives Départementales de Meurthe-et-Moselle" (81 p.).

http://www.genami.org/pays-de-vos-origines/recherches/Lorraine.php

http://static.topj.net/assets/628/prenoms_garcon.pdf

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5747866g/f17.image.r=Gouillon.langFR

http://www.sephardicgen.com/prenoms.htm



Le livre des prénoms bibliques et hébraïques

Extrait par Violette Novo Germanaud
du livre:
"Le livre des prénoms bibliques et hébraïques"
Marc Alain Ouaknin / Dory Rotnemer

Quel est le rôle du prénom?
Il a essentiellement trois roles:d'identification,de filiation et de projet.Avant l'émancipation au XIXème siècle,les Juifs portaient surtout des noms spécifiquement Juifs,qu'ils transportaient d'un exil à l'autre.La tendance à donner des prénoms empruntés aux majorités non-Juives,tendance déjà existante au Moyen-Age,a beaucoup augmenté depuis les XVIIIème et XIXème siècles,avec le processus de l'émancipation.En cette fin de Xxème siècle,on peut dire que les Juifs d'Israël portent des prénoms bibliques ou israeliens,tandis que les Juifs d'ailleurs portent des prénoms appartenant à la civilisation de leur terre d'accueil.Mais ces derniers ont aussi,le plus souvent en deuxième ou troisième prénom,un prénom Juif,qui est utilisé surtout dans la vie religieuse.
En effet dans le domaine religieux,et nous abordons là le rôle de la filiation du prénom,ce sont seulement les prénoms qui définissent l'identité et la généalogie.Ainsi lorsqu'un enfant nait,si c'est un garçon,on le désigne pour la première fois durant la cérémonie de la circoncision par son prénom Juif,suivi de "fils de…" et le prénom de son père,par exemple Moché ben Yaacov:Moise fils de Jacob;pour une fille,c'est lors de sa nomination(qui est facultative,contrairement à la circoncision) qu'on lui attribue son prénom suivi de "fille de …" et le prénom de sa mère,par exemple Dvorah bat Rah'el:Deborah fille de Rachel.De même lorsqu'un homme est appelé à "monter à la Torah"(participation à la lecture biblique à la synagogue),ou lorsqu'un couple se marie,ce sont leurs prénoms hébreux qui permettent de les identifier.
Le prénom a aussi un rôle de projet.En effet les prénoms hébreux ont une signification, même les prénoms modernes,dans leur grande majorité,et il semble que l'un des critères pour le choix d'un prénom soit justement son sens.Il existe bien sur un grand nombre d'autres critères,comme la volonté d'honorer ou de prolonger la mémoire familiale,d'une personne vivante chez les Sépharades,d'un défunt chez les Ashkénazes.
Donner et porter un prénom est un art,un art difficile….
En hébreu,le mot "prénom " n'existe pas.On utilise l'expression "nom individuel"(Shem Prati)en opposition au " nom de famille"(Shem Michpah'a),ce dernier étant d'utilisation relativement récente.En effet,pendant des siècles,le nom de famille était réduit au nom du père.On disait "Untel fils d'Untel".
D'après "Le livre des prénoms bibliques et hébraïques"
Marc Alain Ouaknin / Dory Rotnemer

PRENOMS CHOISIS

PRENOMS

PRENOMS
ASSIMILESRACINES HEBRAIQUESGUEMATRIASENS
ABRAHAM
AVRAHAM
AVI / EBBIEAleph , bet ,rech ,he, mem1+2+200+5+40=248Abram ="le père élevé"
Abraham="le père de la multitude"
ADAMADAMOAleph,dalet,mem1+4+40=45En rapport avec la terre
ANNA
H'ANNA
Anne,Annie,Annaelle,Anais,Anita,Anke,
Annette,Anouchka,annick,Annabelle,
Hanna,Ninette,Ninon
Het , noun ,he8+50+5=63Celle qui supplie Et La gracieuse
ARIELArielle,AriellaAleph,Rech,Yod,Lamed1+200+10+30= 241Le lion de Dieu Ou Le grand lion
BENJAMINBen,Benjie, Benny,BennoBet, Noun, Yod, Mem, Yod, Noun2+50+10+40+10+50=162Fils de la droite,c'est à dire Fils de la chance.
DANIELDania,Danielle,Danièla,DannyDalet, Noun ,Yod, Aleph, Lamed4+50+10+1+30= 95Dieu juge
DAVIDDave,Davida,Davidou,Davidka, Davina,Davy, DawieDalet, Vav, Dalet4+6+4=16Chéri,Aimé
DEBORAH
DVORA
Deb,Debbie, DebraDalet, Bet, Vav,Rech4+2+6+200+5= 217Abeille Etymologie Dibour,la parole
ELIEElia,Eliane,Elias Eliette,Elina, Eline,LéliaAleph,Lamed,Yod,He,Vav1+30+10+5+6=52Correspond à un certain déploiement du nom de Dieu et qui équivaut à Fils
ELISABETH
ELISHEVA
Babette,Bess, Bessie,Betsy, Eilis,Elisa,Elise, Elisée,Elsa, Elsbeth,Else, Elsie,Ilsabe,Ilse, Lillah,Lily,Lisa,Lise,Lisbeth, Lisette,LisonAleph, Lamed, Yod, Chin, Bet Ayin1+30+10+300+2+70=413Dieu a fait le serment
EMMANUELImmanouel, Mano,Manoel Manolo,Manu, Manuel,Emma, Emmanuelle, Manolita, Manouchka, ManuelaAyin, Mem, Noun,Vav,Aleph, Lamed70+40+50+6+1+30=197Dieu est avec nous
ESTHEREister,Essa,Estie Ettie,HesterAleph,Samekh, Tav,Rech1+60+400+200=661Ce qui est caché
EVE
H'AVA
Eva,Evie,Evita Evelina,EvelyneHet, Vav,He8+6+5=19Qui donne la vie
GABRIEL GAVRIELGabrielle,Gabel, Gabrel,Gabriella, Gabrielo,Gabry, Gavriouna,GabyGuimel,Bet,Rech Yod,Aleph,Lamed3+2+200+10+1+30=246Homme de Dieu Et Force de Dieu
ISAACIsacco,Ike,Isy IzakYod, Tsade ,H'et, Qof10+90+8+100=208Il rira
JACQUES
JACOB
YAACOV
Cobb,Cobie, Giaccobe, Giacomina, Giacomo,Iago, Iakov,Jack, Jackie,Jacobin, Jacobo,Jacot, Jacotte,Jacqueline,James,Jamie Jayme,Jem,Jim Yacha,ZjackYod, Ayin, Qof, Bet10+70+100+2=182Il talonnera de Equev "le talon"
JEAN
YOH'ANAN
Evan, Gian, Gianina,Gianna Gion, Giovanni Hampe,Hanko, Hannes,Hans, Hansel,Hansi, Haske,Ian,Ivan Ivanka,Jane, Janet,Janine, Janis,Janka,Jeanie,Jeanne,Jehan, Jeahnne,Jeng, Jenneke,Jenny, Joan,Joanne, Johan,Johanna Johannes,John, Jon,Jonet,Juana, Nanette,Nita, Sean,Shane,Shang,Sine,Yann, Yannick,Yohan, YohannaYod, Vav, H'et, Noun, Noun10+6+8+50+50=124Dieu dispense les bienfaits Ou Dieu pardonne
JEREMIE
YIRMIYAHOU
JerryYod, Rech, Mem,Yod, He10+200+40+10+5=265Dieu élèvera
JOEL
YOEL
JoelleYod, Vav, Aleph,Lamed10+6+1+30=47Dieu est Dieu
JONATHAN
YONATHAN
 Yod, Vav, Noun, Tav, Noun10+6+50+400+50=516Dieu a donné
JOSEPH
YOSSEPH
Fiena,Fifine, Fina,Giuseppe Giuseppina, Iosep,Jeff,Jeke, Jo,Joe,Joey,Joos
Jose,Josée,Josy, Josepha,Josephine,Josette, Josiane,Josie, Ossip,Pepita,
Pepito,Peppi, Peppone,Phine, Sebel,Sefa,Seffi, Sepp,Seva,Siene
Youssef, Youssouf
Yod, Vav,SamekhPhé10+6+60+80=156Il ajoutera
JOSUE
YEHOCHOUA
JésusYod,He, Vav,Chin, Ayin10+5+6+300+70=391Dieu sauvera Ou Agrée de Dieu
JUDITH YEHOUDITHIta,Jody,Jud, Judie,Judy,Jutta,
Siobhan,Yehudi
Yod, Vav, Dalet,Yod, Tav10+6+4+10+400=430Je louerai du verbe Lehodoth"faire des louanges", Puis,"Femme de la tribu de Yehouda" puis "La Juive"
LEALiaLamed, Aleph,He30+1+5=36Celle qui donne
MATTATIAS
MATTATIYA-HOU
Mades,Mathieu, Mathias,Mathis, Matt,Matteo, Mattew,Matti, Matvei,Thiess, Tewis  Don ou Cadeau
MIKHAEL MICHAELMicaela,Micarla,Michel,Miche- Line,Michèle, Michou,Mike, Mickey,Miguel, Miguela,Mihaly, Mikal,Mikko, Miklos,Mischa, MitchelMem, Yod, Khaf,Aleph, Lamed40+10+20+1+30=101Qui est comme Dieu
MYRIAM
MARIE
Mae,Mally,Manon,Mara, Maria,Mariam, Mariana,Marianne,Marianha, Marica,Marich-Ka,Marieke,
Marielle,Mariet-Te,Marig,Mari- Nella,Marinette, Mariouchka, Marise,Marita, Marius,Marous-Sia,Maroushka,
Maureen,May, Maya,Mia,Min-Nie,Mitzi,Moira Molly,Myra
Mem,Rech,Yod, Mem40+200+10+40=290Celle qui élève Peut aussi se lire Mi-Ram "la question de l'identité posée à son plus haut niveau"
Ou encore Mar-Yam "mer amère"
Ou encore Mor-Yam "Myrrhe de la mer"
NOEMIE
NAOMIE
 Noun,AyinMem,Yod50+70+40+10=170Le mouvement de la question qui?Nao/Mi
RACHEL RAH'ELRachile,Rae, RaquelRech,H'et,Lamed200+8+30=238Petite brebis
RAPHAELFaila,Falia, Falito,Rafa, Rafaeli,Rafail, Raff,Rafil,Raphaelle,Ralph
Raphy
Rech,Phé,Aleph,Lamed200+80+1+30=311Dieu Guérit
REBECCA
RIVKA
Becky,RebaRech,Bet,Qof,Hé200+2+100+5=307Dieu Guérit
RUTH
ROUTH
 Rech,Vav,Tav200+6+400=606 
SALOME
SHLOMTSIONE
 Chin,Lamed,Mem,He300+30+40+5=375Paix à Sion
SAMUEL
CHMOUEL
Sam, SammyChin,Mem,Vav,Aleph,Lamed300+40+6+1+30=377Son nom est Dieu Selon le texte biblique,ce serait"Car je l'ai demandé à Dieu"
SARAH
SARA
Sadella,Sally, Sarenne,Sari, Sarine,Sarith, Sera,ZaraSin,,Rech,Hé300+200+5=505La princesse
SUZANNE
CHOCHANA
Sanna,Sanne, Siusan,Sosanna, Sue,Sukey,Susan Susanna,Susie, Suzette,Suzon, Zannie,ZueltChin,Vav,Chin,Noun,Hé300+6+300+50+5=661Le lis ou la rose

LA GUEMATRIA
C'est une méthode d'interprétation des mots et des noms.Elle est basée sur la correspondance qui existe en hébreu entre les lettres et les chiffres.Cependant,
La Guematria ne se réduit pas seulement à cet aspect des choses.
La Guematria n'a pas la valeur ni la fonction d'une "arithmétique théologique".Son
Rôle est de permettre à un mot de sortir de son sens premier exposé par le rassemblement de ses lettres.Son mouvement est transcendant,il délivre le
Savoir de son enfermement dans l'illusion d'une vérité.
En passant des lettres aux chiffres,puis des chiffres aux lettres,les possibilités de
Sens sont multipliées.Le nombre n'est plus un signe qui articule le signifiant et le signifié,il est au contraire l'éclatement de cette articulation.Par le recours à la
Guematria,on pose l'impossibilité de l'instance d'un seul sens,qui serait une impasse.
La Guematria n'offre pas seulement une grille qui permette une traduction d'un
Langage dans un autre.En usant d'une grille de lecture,d'un grillage,comment
Ne pas faire violence aux mots et aux noms qui ont pour objet de les briser toutes!
Ainsi,c'est le contraire d'une table de correspondance……
La Guematria rompt le rapport du mot à la chose.Elle pratique une entaille dans la langue,qui n'est plus une donnée,mais un mouvement infini de la signifiance.
Le passage aux chiffres est ainsi un "effacement" de la signification habituelle….
Comme différentialité,la Guematria nous fait comprendre qu'un mot n'est pas une unité,ni la coincidence d'un sens.La différentielle dans le mot indique qu'il demeurera
Toujours une différence entre le mot marqué et l'ensemble des termes susceptibles
De l'exprimer:l'unité est disloquée.
Nous entrons dans une "lecture des lettres" qui s'oppose à la "lecture des mots".
La "lecture des lettres",c'est lire lettre après lettre,etre à l'écoute du sens en train de se faire.La langue voyage déjà dans le mot.D'une lettre à l'autre,d'un chiffre à l'autre
Se déroule un voyage du sens qui interdit la mise en place d'un sens pré-fabriqué.
Par un ensemble de procédures d'éclatement,et en particulier par la Guematria,
La langue hébraïque nous offre les chemins d'une rêverie à l'intérieur des mots.


D 'AUTRES PRENOMS
Prénoms theophores
Garçons
Gavriel,Adiel,Adriel,Ariel,Assael,Aviel,Azriel,Beroukhel,Betsalel,Chavtiel
Chealtiel,Chevouel,Gaddiel,Gamliel,H'ananel,H'aziel,Ichmael,Ismael,
Israel,Itiel,Kadmiel,Kaniel,Karel,Malkiel,Nah'liel,Nouriel,Ouriel,Ouziel,
Periel,Raziel,Sariel,Siel,Tsidkiel,Tsviel,Yeh'iel,Yekoutiel,Yerah'miel
Filles
Anael,Batel,Batela,Daniella,Gavriella,Mikhaella,Orel,Orelle,Raphaela,
Elh'ai,Elh'anan,Eliassaf,Eliata,Eliav,Elicha,Elichama,Elichaphat,Elichoua
Elie,Elienai,Eliezer,Eligoel,Elimelekh,Elinathan,Elior,Eliozer,Eliphelet,Eliram,Eliraz,Elitsaphan,Elitsour,Elkana,Elkayam,Elnathan,Elyachiv,Elyachouv,Elyada,Elyakim,Elyakoum.
Ela,Elit,Eliana,Eliezra,Elinoa,Elinoar,Elinora,Elior,Eliora,Elisheva.
Yehoah'az,Yehochaphat,Yehachoua,Yehoh'anan,Yehonadav,Yehonathan,Yehoram,Yehotsadak,Yehoyada,Yehoyakhin,Yehohakim,Yehoyariv,
Yehozavad,Yoah',Yoav,Yoel,Yoezez,Yoh'anan,Yonathan,Yoyada,Yozakhar,Yehoadan,Yehosheva.
Amaria,Amaryahou,Assia,Azaria,Benaia,Benayahou,Chavia,Chearia,Cheh'aria,Chemaia,Chemaria,Chemaryahou,Chephatia,Chephatyahou,
Echia,Guedalia,Guedalyahou,Guemaria,Guemaryahou,H'azaia,H'ilkia,
H'ilkyahou,H'izkia,H'izkyahou,Hitsilyahou,Hochaia,Hodia,Kelaia,Kolaia,
Kouchayahou,Matanyahou,Matitia,Matityahou,Melekhia,Mikhaia,
Mikhayahou,Nathanyahou,Noadia,Ovadia,Palatia,Palatyahou,Patah'ia,
Pedaia,Pedayahou,Perah'ia,Raamia,Ramia,Reaia,Remalyahou,Rephaia
Ronia,Tovia,Tovyahou,Tsefania,Tseh'aria,Tsidkyahou,Yechaia,Yechayahou,Yedaia,Yedidia,Yekamia,Yichmaia,Ychmayahou,Yirmia,Yirmya-
Hou,Zekharia,Zemaria,Zevadia,Zevadyahou.
Adaia,Ahouvia,Amalia,Amyia,Athalia,Atyia,Avia,Avivia,Avtalia,Batia,Berouria,Bitia,Chalvia,Chilguia,Chimria,Einia,Neria,Nessia,Niria,Nitsh'ia, Noadia,Nofia,Nouria,Odelia,Odyia,Oguenia,Ohelia,Orilia,Oryia,Ravia,Rephaia,Rinatia,Roumia,Seraia,Sigalia,Tsivia,Tsouria,Yossifia.
Teh'ia,Touchia,Alyia,Eliah,Eliel,Eliahou,Elitsour,Tsouriel,Tsouria,Tsourichadai,
Prénoms séculiers plus anciens
H'ava,H'aiaHevel,H'anokh,Irad,Ada,Tsila,Yaval,Youval,Naama,Chet,
Noah,Enoch,Elichah,Elam,Loud,Achour,Chalah',Ever,Peleg,Reou,Yoqtan,Chaleph,Cheva,Ophir,Diqlah,Yovav,Yerah',Oval,Eval,Isska,Milka,Malka,Betouel,Sarit,Aytil,Ketoura,Basmat,Bilha,Zilpa,Reouven,Shimeone,
Levi,Issakhar,Zevouloun,Dina,Osnath,Ephraim,Menache,Dan,Naphtali,Gad,Acher.
Dvora,Tamar,Zarah',Perets,Osnath,Cheera,Serah',Chani,H'etsron,Carmi,Palou,Peleth,H'anokh,Ohad,Yakhin,Yemouel,Yamin,Tsoh'ar,Shaoul,
Guerchon,Qehat,Merari,Onan,Er,Chela,Yov,Yachouv,Pouva,Chimron,
Tola,Elon,Yah'leel,Sered,Etsbon,Areeli,Aroudi,H'agui,Eri,Tsiphione,Chouni,Beria,Imnah,Ichvah,Ichvi,Eh'i,Arde,Achbel,Bekher,Bela,Moupim,Naaman,Roch,Guera,H'oupim,H'ouchim,Chouh'am,Gouni,Yah'tseel,Yetser,Chilem.
De Moise à Josué
Sifra,Poua,Yokheved,Amram,Myriam,Aaron,Bitia,Yitro,Tsipora,Guerchom
Eliezer,Reouel,Yeter,H'ovav,H'ever,Qini,Poutiel,Azouva,Ephrath;Yerioth,H'elea,Naara,Tséreth,Tsohar,Etnan,Betsalel,Ouri,Oholiav,Qorah',Pinh'as,
Guershon,Qehat,Merari,Livni,Shimi,Amram,Its'har,H'evron,Ouziel,Mah'li,
Mouchi,Moché,Aaron,Nepheg,Zikhri,Michael,Eltsaphan,Sitri,Elicheva,
Aminadav,Nah'chon,Nadav,Avihou,Eleazar,Itamar,Reouven,Elitsour,
Chimeone,Tsourichadai,Chloumiel,Yehouda,Issakhar,Netanel,Zevouloun
Eliav,Ephraim,Elichama,Amihoud,Menache,Gamliel,Pedahtsour,Binyamin,Avidan,Guideoni,Dan,Ah'iezer,Amichadai,Acher,Paguiel,Akhran,Gad,
Eliassaph,Deouel,Naphtali,Ah'ira,Enan,Reouven,Chamoua,Zacour,
Chimeone,Chaphat,H'ori,,Calev,Yephouné,Yigueal,Yosseph,Ephraim,Hochéa,Noun,Palti,Raphou,Gaddiel,Sodi,Gaddi,Soussi,Amiel,Guemali,Acher,Setour,Nah'bi,Wafsi,Makhi,Datan,Tselofh'ad,Mah'la,Noa,H'ogla,Milka,
Tirtsa.
Du Désert aux Juges
Yehoshoua,Otniel,Quenaz,Akhssa,Ehoud,Shamgar,Anath,Dvorah
(Déborah),Lappidot,Baraq,Avinoam,Yael,H'ever,Guideone(Gédéon),
Yoash,Ophra,Avimelekh,Yotam,Tola,Yair,Yiphtah'(Jephté)Ivtsane,Eilone,Avdone,Shimshon(Samson)Dalila,Mikhayehou,Mikha,Chmouel(Samuel)
Samuel et les Rois,Saul
Elquana,H'anna,Penina,Elie,Shaoul(Saul)Yoel,Aviya,Ah'inoam,
Yehonathan,David,Avinadav,Yishvi,Malkishoua,Eshbaal,Ishbochet,Mérav
Palti,Ritspa,Armoni,Mephibochet,Avner,Ner,Ah'ia,Ah'itouv.
David
Yishai,Boaz,Ruth,Eliav,Avinadav,Shamma,Shimea,Netanel,Raddai,OtsemTserouia,Avishai,Yoav,Assael,Avigail,Amassa,Mikhal,Amnon,Kileav,
Avchalom,H'aguith,Adonia,Chephatia,Egla,Yitream,Chammoua,Chorav,
Nathane,Shlomo,Salomon,Batsheva,Betsabée,Yivh'ar,Elishoua,Nepheg,Yaphia,Elichama,Elyada,Eliphéléth,Tamar,Ah'itophel,Yido,Yishmayahou,
Azareel,Ezri,Rei,Adoniram,Yaziz,Yizrah',Ouria(Ourie)
Salomon Roboam et Jeroboam
Yakhin,Boaz,Taphat,Reh'aveam(Roboam),Yerovam(Jéroboam),Elisée,
Amos,Nadav,Baecha,Ela,Zimri,Omri,Ah'av,Ah'azia,Yoram,Yehou,Yoah'az
Yochiahou,Aviya,Assa,Yehachaphat,Athalia,Yoach,Amatsia,Ouziya,
Yotham,Ah'az,Yeh'izkyahou(Ezekias),Amon,Yochiyahou,Yoah'az,
Yehoyakim,(Joakim),Yehoyakhin,Tsidkiyahou(Sédékias),Chemaya,
H'anani,Isae,H'oulda,Jérémie,Zeroubavel,Néhémie,Ezra.
Petits et grands prophètes
Isae,Jérémie,Ezechiel,Yoel,Amos,Tsefania,H'abakouk,Yechayahou,
Ouzyahou,Yotam,Ah'az,H'izkyahou,Amots,Manassé,H'ilkyahou,Josias,Joakim,Sédékias,Guedalia,Baroukh,Yeh'ezqel(Ezechiel),Hochea(Osée),Yoela
Yoel,Ovadia(Abdias),Yona(Jonas),Amitai,Mikha(Michée),Mikhayehou,
Mickael,(Michel,,Michael,Michèle),Nah'oum,Ha'bakouk(Habacuc),Josias
Tsefania(Sophonie),H'aggai(Aggée),Zeroubavel,Zekharia(Zacharie),
Josué,Malakhi(Malachie),Néh'émia.




http://www.sephardicgen.com/prenoms.htm


http://archives.bas-rhin.fr/eCommunityDocuments/996A4DC5-7B41-4352-A704-F3DF616B220D/491/Fiche%20sur%20les%20registres%20de%20prise%20de%20nom%20des%20juifs.pdf


Nouveaux manuels scolaires : 25 éditeurs publics et privés en lice

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le 18.09.16 | 10h00 Réagissez

Quelque 25 éditeurs publics et privés ont déposé leurs candidatures pour l’avis d’appel d’offres ouvert, jeudi dernier, pour  l’édition de récents manuels de deux nouveaux paliers, apprend-on d’une source au ministère de l’Education nationale.

Ces manuels concernent le palier primaire (3e et 4e AP) et la 2e année moyenne, avec les changements prévus dans le cadre de l’application de la deuxième génération des programmes. Un référencement des illustrations, cartes et autres documents cartographiques sera adopté à la confection des nouveaux manuels. Le référencement implique les services des ministères des Moudjahidine, des Affaires religieuses, de la Culture et de l’Institut national de cartographie, pour l’évaluation des contenus et illustrations portés dans ces ouvrages, précise la même source.  
L’Etat a décidé de supprimer le monopole sur la production du manuel scolaire en 2008, conformément à la loi sur l’orientation de l’Education nationale. Avant, le ministère de l’Education avait l’autorité de la production et de la gestion de tout le processus de la confection et de la réalisation de ces livres, explique-t-on au niveau du ministère de l’Education, «en vue d’impliquer les compétences  nationale», comme objectif fixé par la législation en vigueur. Ainsi, le ministère n’est plus éditeur du manuel qui est un document agréé, mais «pas officiel». Le ministère fixe les grandes lignes du contenu et délivre l’agrément et est chargé de la distribution, selon la même loi.
La ministre de l’Education, Nouria Benghebrit, précise la même source, n’a pas souhaité une «libération sauvage et anarchique» du manuel et a décidé d’appliquer les décisions de cette législation par étape.
C’est ainsi que la production et l’édition des manuels du primaire sont toujours sous le monopole du ministère de l’Education à travers l’Office national des publications scolaires (ONPS), contrairement à ceux du moyen et du secondaire totalement libérés de ce monopole, explique notre source, ajoutant que «le ministère procède à l’homologation de ces ouvrages», à travers l’évaluation du contenu et de sa forme.  Un cahier des charges fixé par l’Institut national de recherche en éducation (INRE), sous la tutelle du ministère de l’Education, définit les caractéristiques de l’ouvrage, les grandes lignes à respecter dans la réalisation du contenu du manuel, à travers la commission d’homologation et d’évaluation composée d’académiciens, d’inspecteurs, de pédagogues, d’universitaires et d’enseignants.
Cette commission a aussi la charge d’évaluer les aspects techniques liés à la confection du manuel, notamment la toxicité des composants, la qualité du papier, des couleurs, le poids du livre... La commission veille également sur le respect des dispositions de la loi sur l’orientation de l’éducation nationale de 2008, notamment en ce qui concerne l’égalité des genres, le respect des religions et l’intégration de 80% de textes et d’auteurs algériens. «Le travail d’évaluation devait se faire en amont et en aval, c’est-à-dire avant et après la publication de l’ouvrage», explique la même source. L’enquête ouverte sur l’erreur contenue dans le livre de géographie permettra  de situer la responsabilité des intervenants sur la chaîne, de la conception à l’impression.

 
Fatima Aït Khaldoun-Arab

http://der-stuermer.org/french/comment-reconnaitre-le-juif.pdf
http://www.genealoj.org/fr/system/files/juifs_tlemcen_liste_alphabetique_des_familles.pdf


http://jewish.kutno.free.fr/docs/Kutno%20surnames%20list-fr.pdf

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