الثلاثاء، يناير 15

الاخبار العاجلة لاكتشاف الجزئاريين ان المهدئات السياسية والاقتصادجية التي وضعنها الدولة الجزئارية لارضاء الشعب الجزائري العظيم انتهت صلاحياتها بعد انخفاض اسعار البترول الاسود وانخفاض قيمة الدينار الجزائري وتدحرج الاحتياطي النقدي الجزائري في البنوك العالمية والاسباب مجهولة

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الاخبار  العاجلة  لاكتشاف  الجزئاريين ان  المهدئات السياسية والاقتصادجية التي وضعنها  الدولة الجزئارية لارضاء الشعب الجزائري  العظيم انتهت صلاحياتها   بعد انخفاض اسعار البترول الاسود وانخفاض قيمة الدينار الجزائري وتدحرج الاحتياطي النقدي الجزائري في البنوك العالمية والاسباب   مجهولة

Cité des 1569 logements à Tébessa

Des immeubles submergés par les eaux usées

15 janvier 2019 à 10 h 03 min

La défectuosité du réseau d’assainissement de ladite cité est un problème récurrent bien connu des services techniques de la mairie.
Les habitants de la cité 1569 Logements, ex-Coopemad, l’une des plus anciennes cités de la ville de Tébessa, endurent un véritable calvaire à cause des débordements des eaux usées, notamment à l’entrée de l’immeuble Y n° 69 dans la même cité, obligeant les habitants  à installer des structures en bois pour accéder à leurs appartements sans patauger dans l’eau sale ou la boue.
La défectuosité du réseau d’assainissement de ladite cité est devenue un problème récurrent bien connu des services techniques de la mairie ou encore de l’Office national d’assainissement, et cela depuis quelques semaines, mais jusqu’à présent, aucune action n’a été entreprise pour régler le problème.
La fuite principale de ces eaux usées, due  vraisemblablement à une cassure au niveau de la conduite, demeure introuvable. La semaine écoulée, les habitants eux-mêmes ont entamé désespérément des travaux, à la recherche de la fuite, en éventrant l’égout en plusieurs points, mais en vain.
De guerre lasse, les habitants ont signé une pétition adressée au wali pour solliciter son intervention. Ils appréhendent un chevauchement de cette canalisation avec la conduite d’eau potable, qui pourrait générer une cross connexion.
Les conséquences fâcheuses qui pourront en découler, dont des maladies à transmission hydrique (MTH), seront une réelle menace pour leur santé.

l y a un plan visant à casser le pays»

11 mars 2018 à 12 h 00 min
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Le septième anniversaire du parti Jil Jadid, célébré hier à Alger, a été l’occasion pour des acteurs de divers horizons de faire un diagnostic sans concession de la situation générale du pays. Mais pas seulement.
Les invités de Jil Jadid, dont Me Mustapha Bouchachi, ancien chef de gouvernement ; Ahmed Benbitour, ancien ministre ; Abdelaziz Rahabi, la constitutionnaliste Fatiha Benabou, le sociologue Nacer Djabi, l’avocat Abdelghani Badi et le journaliste Akram Khreif se sont succédé pour esquisser un tableau de la situation dans laquelle se trouve le pays à une année de la présidentielle de 2019. Dans des interventions complémentaires, ces acteurs chargent d’abord le régime, avant d’inviter toutes les forces vives du pays à faire leur autocritique et à agir ensemble pour le changement.
Car, estime Mustapha Bouchachi, ce n’est pas seulement le régime qui assume la responsabilité de la situation actuelle. «Le pouvoir veut se maintenir. C’est de bonne guerre», lance-t-il, en paraphrasant Fatiha Benabou.
Et d’ajouter : «Nous sommes contraints de réfléchir à une méthode qui nous permettra d’éviter la chute de l’Algérie. Malheureusement, nous avons régressé à tous les niveaux (…). Cette régression n’est pas seulement le résultat d’une mauvaise gestion, mais il y a un plan visant à casser le pays.» Quelle est la solution ? Pour Mustapha Bouchachi, la responsabilité «n’incombe pas seulement au régime et ses officines». «Nous aussi, en tant que société civile et classe politique, nous n’avons pas milité suffisamment. Nous devons lutter avec le peuple. Le régime utilise tous ses moyens pour se maintenir, mais s’il y a une communication directe avec le peuple, nous pourrons le contraindre à aller vers des réformes sérieuses.
Seul un mouvement social fort et coordonné peut contraindre le régime à accepter une transition politique pacifique», explique-t-il, précisant qu'«il y a même des frères à l’intérieur du système qui souffrent de cette situation».
Intervenant avant Me Bouchachi, Ahmed Benbitour et Abdelaziz Rahabi reviennent, respectivement, sur la perte de toutes les valeurs dans le pays et la crise de confiance qui s’est installée entre le pouvoir et la société. Les questions des libertés syndicales, les mouvements sociaux enregistrés en début de cette année ont été également au centre des interventions des invités de Jil Jadid.
La question du 5e mandat du président Bouteflika est également évoquée à cette occasion par Fatiha Benabou qui a souligné «la problématique constitutionnelle qui suscite ce débat», d’autant plus que sur le plan de la loi, la prorogation du règne du chef de l’Etat «est illégale».
A ce sujet, le président de Jil Jadid réitère son engagement à s’opposer au 5e mandat. «Si les tenants du pouvoir décident d’imposer un 5e mandat, je contesterai dans la rue, même si serai seul», déclare-t-il, en revenant longuement sur les propositions de son parti.

Selon le recteur, la décision est prise sur «injonction des services de sécurité» : Une conférence de Nacer Djabi interdite à l’université de Batna

14 janvier 2019 à 11 h 10 min

Le professeur en sociologie politique et chercheur Nacer Djabi a été empêché d’animer une conférence à l’université El Hadj Lakhdar de Batna. Invité pour présenter son dernier ouvrage réalisé dans le cadre d’un programme de recherche du Cread sous le thème «Les mouvements amazighs en Afrique du Nord», le professeur a été surpris par la décision du recteur de l’université en question. «J’ai été invité par l’association culturelle Tamazgha Aurès Forum (Actaf) qui organisait certaines activités, dont des conférences, sous le patronage du Haut Commissariat à l’amazighité (HCA). Les organisateurs avaient informé au préalable les responsables de l’université.
Mais ce matin (hier, ndlr), à quelques minutes du début de la conférence, le vice-recteur est venu leur dire que Nacer Djabi ne doit pas s’exprimer», nous raconte le chercheur. Et d’ajouter : «Selon le justificatif du recteur, rapporté par son adjoint, la décision a été prise sur injonction des services de sécurité. J’ai dû me retirer.» Mais l’auteur s’interroge sur l’identité de ces services de sécurité qui ont décidé d’interdire une activité liée à la célébration de Yennayer, qui est fêté officiellement et en grande pompe à travers le territoire national. «Pourtant, la veille, j’avais donné une conférence sur le même thème au Théâtre régional de Batna.
J’ai même dédicacé le livre, sans que personne ne s’y oppose», précise-t-il, estimant que cette attitude «relève plutôt de la provocation», d’autant que l’ouvrage n’est pas subversif. L’œuvre en question, rappelons-le, est une étude comparative qui évoque la montée des mouvements revendicatifs amazighs dans les pays d’Afrique du Nord. Dans ce livre, Nacer Djabi souligne, surtout, la capacité de ces mouvements à réaliser ce que les Etats jacobins n’ont pas pu faire 60 ans après l’indépendance : l’unité effective du Maghreb. Selon lui, la langue et la culture amazighes sont des facteurs fédérateurs des peuples dans les différents pays de la région.
Qui est la partie dérangée par le contenu de cet ouvrage ? Nacer Djabi, rappelons-le, a subi le même traitement en décembre 2017 à Alger. Invité aussi pour participer à un colloque organisé à la faculté des sciences politiques, de l’université Alger 3, il a été informé la veille que le recteur de l’université s’oppose à sa présence. «Les organisateurs m’ont contacté pour m’informer que la conférence a été annulée en raison de la situation que traverse actuellement l’université.
J’ai été convaincu de l’argument. Mais voilà que, ce matin, je suis surpris d’apprendre que, finalement, la conférence s’est bel et bien tenue. Des enseignants amis parmi les organisateurs m’ont assuré que l’ordre d’annuler ma participation a été donné par le recteur de l’université Alger 3 parce que je suis un opposant au pouvoir», avait dénoncé Nacer Djabi.

اصمت يرحمك الله؟!

نقطة نظام
14 يناير 2019 () - سعد بوعقبة
12549 قراءة
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بوشارب، رئيس البرلمان وأمين عام بقايا الأفالان، يضع “الجال” في شعره ويقيّم سلبيا الحوار الجاري بين السلطة الفعلية في الجيش والمعارضة الفعلية في الجيش حول من سيخلف بوتفليقة!
العسكر يحاورون العسكر على صفحات الصحف على غير العادة بخصوص من يرأسهم أولا ويرأس الجزائريين بعد أفريل القادم، فما دخل من يتعلم السياسة في الأفالان وغير الأفالان في تقييم هذا النقاش سواء سلبيا أو إيجابيا؟!
هل يصح لبوشارب أن يناقش ما يدور بين الجنرالات على صفحات الجرائد، وهو الذي وصل إلى النيابة بالتزوير ووصل إلى رئاسة البرلمان بالانقلاب وغلق البرلمان بـ”الكادنات”؟! هل يستطيع من وضعه هذا أن يقنع الناس بأن الحوار الجاري بين المعارضة الحقيقية والسلطة الحقيقية يمكن أن يؤثر فيه كلام بوشارب المتسم بـ”الكلاموشيتاوي”؟! من لم يستطع أن يقنع قيادة حزبه بأهميته فقام بحلها كلية وسمح لغيره أن يعينه على رأس أقدم حزب في البلاد، هل رجل شبه سياسي هذا وضعه يمكن أن يعطي للناس دروسا في احترام المؤسسات؟!
لماذا لا يناقش هذا المخلوق أمور حزبه الممزق إلى أشلاء عوض أن يتدخل في قضايا حوار العسكريين حول قضايا تهمهم وحدهم باعتبارهم هم من يقرر من يكون رئيسا للجزائر؟!
المضحك أكثر أن المعني يتحدث عن ترهات اتهام خصومه في الأرندي بتزوير الانتخابات “السيناتورية”، وهذا الشخص نفسه نسّق أيّما تنسيق مع قيادة الأرندي لإنجاز انقلاب البرلمان وصعود بوشارب من دون انتخابات؟! فلماذا يقبل تزوير الأرندي عندما يكون موجها لتنصيب بوشارب، ولا يقبل هذا التزوير عندما يكون موجها لتنصيب “سيناتور” تلمسان؟ الجواب عندكم!
bouakba2009@yahoo.fr
أحسنت يا سردوك و ختامها مسك
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Mohammedsaid
... لقد رميت بالثقيل و الله .. فالرجل و مواقفه المؤيدة امر طبيعي جدا . و كيف تريده ان يكون غير ذلك و هو الذي يتقلد منصبا هاما يضمن له و لحاشيته و ذويه رغد العيش ما بقي حيا . و موقفه هذا هو نفسه الذي نرى فيه الأحزاب المتعالفة المؤيدة حفاظا على امتيازاتهم المادية و الاجتماعية ...
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vérité
صارت البلد كلها عبثا . و مخلصها هو الله وحده . كل المعطيات تؤدي الى نفق مظلم
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Mahmoud
آه لو تكرمت و أعطيتنا أنت الجواب لأن التوابل المستعملة من طرفكم لها طعم خاص ..

Abderrahmane Benkhalfa. Expert financier : «Le pays doit se doter d’un nouveau modèle de croissance»

15 janvier 2019 à 11 h 08 min

Les projections du gouvernement évoquent une fonte rapide des réserves de change et des déficits budgétaires sans horizon d’équilibre. A défaut de réformes, le pays ne risque-t-il pas de se retrouver face à un mur d’ici 2023, d’autant plus que le mécanisme du financement non conventionnel devrait cesser en 2022 ?
2019 est une année pour laquelle le budget donne encore une chance supplémentaire à l’économie pour poursuivre son niveau de développement, sa politique sociale et sa politique d’investissement public. Mais l’opportunité qu’offre un budget aussi important à l’économie nationale n’est pas garantie pour les années à venir.
Compte tenu de nos réserves, aussi bien nos réserves en devises que nos disponibilités en ressources, nous sommes dans la dernière année ou l’avant-dernière année avant de passer à un autre modèle de financement.
Le niveau de couverture par le financement non conventionnel du déficit budgétaire n’est pas soutenable à terme. Le pays doit renouer avec un nouveau modèle de croissance et avec des trajectoires budgétaires soutenables.
En 2015-2016, on a engagé une batterie de mesures, à travers la diminution du niveau des dépenses publiques, l’inclusion financière et bancaire, l’ouverture du capital des entreprises et surtout l’ouverture du champ à l’investissement à la fois national et étranger.
Ce sont des mesures adoptées dans le nouveau modèle de croissance qui a été acté officiellement en 2016, et qui a déjà fait loger le listing des réformes publiées en 2018.
Nous n’avons plus de marge de manœuvre pour reporter ce nouveau régime de croissance et ce nouveau modèle de financement de l’économie. 2019 est une année durant laquelle nous aurons une aisance budgétaire avec la couverture de nos besoins par le financement non conventionnel.
Cela dit, nous n’avons plus le temps pour reporter la mise en place du nouveau régime de croissance qui a été acté et du nouveau modèle de financement que nous avions commencé en 2016 avec la conformité fiscale, l’emprunt obligataire, l’inclusion bancaire, qui ne s’est pas maintenu au même rythme.
Nous n’avons plus de marge de manœuvre, non pas que nous soyons en crise, mais parce que nos épargnes institutionnelles ne permettent pas de reporter à des échéances plus lointaines une transformation progressive de notre économie.
Ne pensez-vous pas, qu’avec la fin du financement non conventionnel, le pays n’aura pas les moyens pour financer son économie ?
D’une part, il est vivement souhaitable que le rythme de financement non conventionnel régresse au lieu de progresser pour que l’accumulation de la dette vis-à-vis de la Banque d’Algérie n’atteigne pas un niveau insoutenable.
Deuxièmement, pour que le financement non conventionnel soit relayé par des ressources nouvelles, c’est maintenant qu’il faut reprendre le nouveau modèle de financement de l’économie.
C’est maintenant qu’il faut doper la collecte des ressources, et c’est maintenant qu’il faut bancariser l’économie à large échelle. C’est maintenant qu’il faut crédibiliser la confiance dans le dinar. Dans les réformes structurelles, ce n’est pas autour d’un chantier qu’on prend une décision énergique pour que cela produise des effets.
Légalement, la fin du déficit non conventionnel est prévue pour 2022. Mais économiquement et pour un financement sain, il est souhaitable que non seulement les flux de financement diminuent au lieu d’être dans une progression mais dans une régression, et que, dès maintenant, les deux années qui nous restent nous puissions nous préparer à mobiliser d’autres ressources qui viendraient relayer les ressources non conventionnelles injectées. Donc 2022, c’est une date d’arrivée de certaines mesures structurelles.
Ce n’est pas le début de mesures après le financement non conventionnel. C’est à partir de cette année qu’on doit se placer – dans l’esprit et dans la préparation – sur la trajectoire budgétaire qui consiste à relier le financement budgétaire par des ressources de marché qui ne sont pas collectées et des ressources externes pour l’investissement direct.
Quelle est la marge de manœuvre pour le gouvernement, alors que les réserves de change baissent et que les déficits budgétaires demeurent loin des équilibres ?
L’Algérie est un pays qui n’est pas endetté. Nous avons une couverture de nos importations de deux ans. Mais le rythme auquel ces coussins de sécurité sont en train de régresser nous interpelle à une nouvelle vision. L’économie a besoin d’une décision de transformation radicale. Durant l’année 2019, nous avons une échéance présidentielle.
C’est important dans la vie d’une nation. Je fais partie de ceux qui plaident pour dire que les échéances présidentielles anciennes ont permis au pays d’investir fortement dans ses infrastructures, d’assurer sa sécurité et la stabilité de ses institutions.
Le futur mandat présidentiel doit mettre l’économie, sa transformation, son ouverture, le nouveau sentier de croissance et le nouveau modèle de financement parmi les priorités nationales, pour ne pas dire parmi les priorités de la stabilité institutionnelle.
Notre économie vivant sur des ressources hydrocarbures, sur des ressources publiques, s’est bien développée. Nous n’avons pas de fracture sociale, mais nous n’avons pas une soutenabilité à moyen terme de cette tendance.
Alors à la fois pour couvrir le déficit budgétaire, pour renouveler progressivement nos réserves de change, pour dynamiser la profitabilité de notre économie et pour ouvrir notre économie à des flux rentrants et à des exportations, nous devons changer de mode de gouvernance de l’économie et de mode de financement de l’économie, y compris en recourant à des partenariats capitalistes.
Ces décisions sont à caractère économique, mais nécessitent également des décisions politiques énergiques. Si on ne le fait pas maintenant, ce sera trop tard, parce que les réformes nécessitent deux à trois années pour produire des effets.

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