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محتجون على السكن يغلقون طريق سيدي مبروك طباعة إرسال إلى صديق
السبت, 27 سبتمبر 2014
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قام صباح أول أمس، العشرات من سكان الأحياء العلوية لمدينة قسنطينة، بغلق الطريق المحاذي للمندوبية البلدية سيدي مبروك، احتجاجا على تأخر السكن الاجتماعي حسب ما أفادوا به، بعد أن تحصلوا على وصولات استفادة مطلع هذه السنة. وأوضح المحتجون، الذين قالوا بأنهم يقطنون بكل من حي الإخوة عباس وعمارات حي منتوري “البوسكي” وحي الأمير عبد القادر “الفوبور” والدقسي، بأنهم تحصلوا على مقررات استفادة من السكن الاجتماعي منذ حوالي 8 أشهر، مشيرين إلى أنهم تلقوا معلومات، بأنه سيتم الاتصال بهم في 25 من هذا الشهر من أجل الحصول على مقررات استفادة، إلا أن ذلك لم يتحقق.
وبعد عدم تمكنهم من مقابلة رئيس مصلحة السكن الاجتماعي المتواجدة بمبنى المندوبية البلدية سيدي مبروك، حسب قولهم، قامت بعض النسوة بالجلوس وسط الطريق المحاذي للمصلحة، ومنع حركة السيارات، ما أدى إلى عرقلة المرور لأكثر من ساعة من الزمن.
و قد تخلل الاحتجاج مناوشات كلامية بين السائقين والمحتجات، اللواتي رفضن مغادرة المكان حتى تلبى طلباتهن بالحصول على السكن الاجتماعي وتسوية وضعيتهن، قبل أن يتفرقن .
وقد قال المحتجون بأن ممثلين عنهم قد اجتمعوا برئيس دائرة قسنطينة، وطرحوا عليه انشغالاتهم، موضحين بأنه أطلعهم أن مصالحه تقوم في الوقت الحالي بالاتصال بالمواطنين الذين ألغيت إستفاداتهم من السكن الاجتماعي، لتبليغهم عن أسباب رفض طلباتهم، و أضافوا بأنه كشف بأن معالجة ملفات المتحصلين على وصولات الاستفادة، ستنطلق خلال شهر أكتوبر المقبل، وستستمر إلى غاية شهر ديسمبر ، حيث ستكون البداية بالحالات الأكثر استعجالا.
للإشارة، فإن سكان الأحياء المذكورة قد سبق لهم الاحتجاج على السكن الاجتماعي، حيث طالبوا السلطات المحلية بتسوية وضعيتهم في أقرب وقت.
سامي ح

Contes et légendes entourant certains bains et sources en Algérie

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le 25.09.14 | 10h00 Réagissez
| © D. R.

Pour l’esprit populaire fertile, les sources minérales sont toutes entourées de légendes mystérieuses. Dans ces récits, souvent fantastiques, interviennent toujours des djinns et des marabouts. Nous vous proposons, ici, une série de ces légendes qui entourent la création de certains hammams et sources en Algérie. Elles font partie du patrimoine national et de la mémoire collective.

La légende de Hammam Melouane Hammam Melouane se trouve à moins de dix kilomètres, vers le sud, de Bougara (ex-Rovigo), dans la wilaya de Blida. Ses eaux chlorées et sodées sont toutes désignées pour traiter les rhumatismes, les algies articulaires, les anciens ulcères, les métrites et… la stérilité. Mais laissons le côté scientifique et curatif du site et interrogeons la mémoire collective sur l’origine de ce hammam. C’était pendant l’époque ottomane ; le bey, qui régnait sur la région, était riche et puissant.
En ces temps-là, la richesse et la puissance étaient deux sœurs jumelles inséparables. Celui qui accédait à l’une avait automatiquement les faveurs de l’autre. Notre bey, en plus de ces deux qualités, avait su acquérir et mériter l’estime de ses administrés. Mais la perfection n’étant pas de ce monde, il avait une fille d’une beauté rare, d’une grâce inégalable qui faisait la fierté de son père et... son malheur à la fois. Elle était clouée au lit par des rhumatismes aigus. Le bey promit une forte récompense à celui qui guérirait son enfant chérie. Les médecins les plus éminents du pays essayèrent de remettre la fillette sur pied, en vain.
La médecine connaissait à cette époque-là quelques carences et les maladies, qui nous paraissent aujourd’hui faciles à traiter, causaient des ravages dans les villages, aidées par la misère et l’ignorance. Les guérisseurs et les charlatans tentèrent leur chance eux aussi. La jeune fille ne ressentait aucune amélioration et son rhumatisme, comme contrarié par tant d’entêtement, se faisait de plus en plus insupportable.
Le bey, affligé, était au bord du désespoir. Dans la région, il y avait une source naturelle, plutôt une sorte de puits fangeux où s’accumulaient les eaux minérales. Les gens venaient s’y baigner et on avait constaté, à plusieurs reprises, que certaines maladies disparaissaient après ces bains. La rumeur arriva jusqu’aux oreilles de ce père désespéré. Il accompagna en personne sa fille malade et lui fit prendre une série de bains dans cette source miraculeuse. La guérison fut immédiate. Les rhumatismes disparurent, et l’enfant, débarrassée de sa maladie entravante, se mit à courir, à jouer et à remplir de joie, de bonheur et de fierté le cœur de son père.
Reconnaissant, l’homme construisit une «kobba» près du puits, à l’endroit où était enterré Sidi Slimane, fondateur et protecteur de la source. Près de la source, il y avait des dépôts rouge-ocre. Pour les habitants de la région, ces dépôts avaient certainement une origine et une signification magiques, mais la légende ne retint que les miracles réalisés par cette eau aux vertus curatives. Pourquoi avoir alors cité ces dépôts multicolores ? Si la légende ne s’est pas trop attardée sur ce point, elle ne l’a pas tout à fait ignoré non plus, puisque ce site porte aujourd’hui le nom, ô combien évocateur, de Hammam Melouane (bain coloré).
La légende Hammam Bou Hanifia  
La création de ce bain remonterait au temps des «foutouhate». L’armée arabe, qui avait pour mission de répandre la religion musulmane en Afrique et en Europe, venait de sillonner presque la totalité du sol de l’actuelle Algérie et devait se diriger après l’Afrique du Nord vers l’Espagne. Près de Mascara, elle se vit dans l’obligation de livrer une bataille sans merci aux autochtones. Les pertes furent importantes dans les deux camps. Dans l’armée musulmane, il y avait un guerrier, un saint homme nommé Bou Hanifia. Il voyait ses camarades tomber comme des mouches autour de lui. Il y avait partout, sur le champ de bataille, des blessés et des morts.
Les gémissements s’élevaient des corps encore en vie. Bou Hanifia, lui-même, était gravement atteint. Il leva les mains vers le ciel et, s’adressant au Créateur, dit : «O Dieu ! Le Miséricordieux! O Toi, Le Plus Clément parmi les cléments ! Aie pitié de ceux qui n’aspirent qu’à te servir ! Ecoute les souffrances de ces hommes qui, pour faire entendre Ta parole, n’ont pas hésité à affronter un ennemi plus important en nombre et un pays dont l’accès leur est difficile !» Bou Hanifia était encore à genoux, les paumes ouvertes et tournées vers le ciel, le regard enflammé et le corps tendu et offert à Dieu dans une sincère adoration, quand un événement inattendu, un miracle, eut lieu.
Le Seigneur et Maître du monde accéda aux prières pleines d’ardeur de cet homme pieux. Le cheval du général en chef frappa le sol de ses sabots à plusieurs reprises. Et l’on vit, avec stupeur, jaillir à cet endroit des sources chaudes. Bou Hanifia se prosterna à deux reprises, le front contre le sol, en signe de remerciement, puis, s’adressant à ses compagnons, il leur demanda d’appliquer cette eau chaude sur leurs blessures. Ils s’exécutèrent. L’effet fut instantané. Les hommes se relevèrent. Ils étaient tous guéris, seul le saint Bou Hanifia rendit l’âme, le sourire aux lèvres. Il fut rappelé à Dieu parmi les bienheureux.
Le chef militaire, très affligé par la mort de ce valeureux guerrier et cet homme hors du commun, ordonna qu’on l’enterrât à l’endroit-même où le miracle eut lieu. On construisit, ensuite, un village autour de ce tombeau et on lui donna le nom de Sidi Bou Hanifia. Les eaux chaudes de ce qui est aujourd’hui Hammam Bou Hanifia ont gardé leur réputation curative. Les gens viennent des quatre coins de l’Algérie pour puiser dans ces sources sacrées, la guérison et le repos. Et, après une série de bains dans ces ondes curatives, ils repartent, tel le chef militaire, en pleine forme.
La légende de Hammam Ksennah
Situé à El Hachimia, dans la wilaya de Bouira, Hammam Ksennah est connu pour ses eaux sulfureuses. Comme tous les autres bains de chez nous, il a sa légende. Dans la région vivait un saint homme aimé de tous, un marabout, nommé Sidi Aïssa. Sa foi était immense et son savoir infini. Il avait aussi une fille unique, la prunelle de ses yeux, nommée Heulwa. Elle portait bien son nom. Elle était plus douce que la douceur elle-même, plus tendre que la tendresse et plus belle et plus précieuse que tous les joyaux de la terre réunis. Heulwa causait le malheur des jeunes gens de la contrée et la fierté de ses parents. Qui avait dit que la perfection n’était pas de ce monde ?
Sa beauté n’avait d’égal que ses qualités. La jeune fille réunissait en elle une véritable richesse physique et morale pétrie d’une joie de vivre inégalable. Heulwa avait tous les atouts… tous, sauf la santé ! Elle était malade. Une grave maladie inconnue altérait sa beauté. Et la pauvre enfant, comme une jolie fleur, se fanait de jour en jour. Sidi Aïssa consulta tous les médecins de la région, tous les guérisseurs, tous les talebs… en vain. La curieuse maladie gagnait toujours du terrain et les médicaments et les talismans n’arrivaient pas à la stopper. Les forces abandonnaient petit à petit le corps de la jeune fille.
Le saint homme malgré sa foi inébranlable et son savoir immense commençait à désespérer. Heulwa se mit à délirer. Etait-ce l’ultime étape ? C’était la désolation générale. Hommes, femmes, enfants, tout le monde pleurait la belle Heulwa, la fille de Sidi Aïssa, saint parmi les saints. Un soir, dans un accès de fièvre et de délire, la jeune fille demanda à son père de lui donner du lait de chamelle. Sidi Aïssa regretta ce jour-là de ne pas avoir élu domicile au Sahara. Il aurait satisfait facilement le caprice de la pauvre malade. Comment lui procurer ce liquide si ardemment désiré ?
Il savait que, dans ces cas de fièvre et de grave maladie, c’était le corps qui demandait et non la raison. Et le corps avait ses raisons que la raison ignorait. Le lait de chamelle la soulagerait certainement, puisqu’elle l’avait demandé, avec insistance, dans un état de quasi-inconscience. Sidi Aïssa sortit dans la fraîcheur de la nuit et commença à marcher dans le noir, la tête bouillonnant de questions. Ses pas le guidèrent jusqu’aux abords de Oued El Hammam. Il regarda l’eau couler furtivement dans le silence nocturne et les étoiles scintiller dans le manteau céleste et, dans un accès de foi et d’accablement, il tomba à genoux, dans l’immensité de la nuit et commença à prier. Il resta, un long moment, prostré dans sa solitude, le cœur, l’âme et les sens unis dans une prière profonde et muette.
Le Seigneur dans Sa miséricorde et Sa grandeur l’entendit. Sidi Aïssa, dont le bras mû par la volonté divine frappa le sol avec son bâton, vit jaillir des entrailles de la terre un liquide blanchâtre. Il se pencha et le goûta. Il avait, en plus de l’aspect, la saveur du lait de chamelle. Le saint homme remercia Dieu chaleureusement et remplit une outre qu’il portait constamment sur lui, en grand voyageur qu’il était. Heulwa but quelques gorgées du mystérieux liquide et… retrouva la santé. Les gens de la région qui gardent jalousement en mémoire cette légende attribuent à Sidi Aïssa un deuxième miracle : il aurait transformé le lait de chamelle en cette eau sulfureuse qui guérit de nombreuses maladies et dont les visiteurs de tous les coins du pays viennent rechercher les qualités curatives.
La légende d’Aïn Tinzar  
Cette fois-ci, il ne va pas s’agir d’un djinn ou d’un marabout (c’est trop peu !), mais d’un… demi-dieu (de la mythologie). Il y a des siècles, des eaux curatives ont jailli au pied du Djudjura. La source, ayant la forme de deux narines, et le nez, dans cette région, se disant «tinzar», fut appelée Aïn Tinzar. Après sa fuite d’Arabie, Atlas, cette colossale figure de la mythologie, tomba, un jour, las, près du gracieux mont du Djurdjura. Fatigué et persécuté, il choisit, au sein de cette montagne, comme refuge, une caverne merveilleuse, loin des regards indiscrets. Hélas !
Le Djurdjura était souvent enfoui sous les neiges et notre demi-dieu craignait le froid car il souffrait d’une maladie incurable : un coryza chronique très tenace. Le nez d’Atlas commença à émettre une grande quantité de sérosité et le liquide au contact de l’air ambiant se transforma en une eau limpide et fuyante : Aïn Tinzar. Si les visiteurs constatent aujourd’hui que le débit de l’eau de la source varie par moment, qu’ils sachent que cela est dû aux crises sternutatoires dont souffre notre héros malade !
Un guérisseur de la région, après sa mort, devint le médecin de ce malade hors du commun. Son rôle consistait à arrêter l’écoulement de ce liquide. Le guérisseur travailla jour et nuit, sans relâche, et le nez enflammé d’Atlas coulait encore et toujours. Le pauvre médecin n’avait pas un seul instant de répit, et, à bout de forces, il engagea comme assistante une hydre aux puissantes ventouses qui reçut l’honorable mission d’assécher avec ses suçoirs les muqueuses divines. Cette hydre, fatiguée par le travail, se défoulait de temps en temps sur ceux qui venaient visiter la source. Lorsque le débit, par exemple, diminuait, malheur à ceux approchaient de la source !
L’hydre, inoccupée à ce moment, attaquait les téméraires. L’eau magique qui coulait du «pif» divin avait des qualités curatives et n’était réservée qu’aux malades. Les bien-portants qui osaient boire de ce précieux breuvage étaient sévèrement châtiés par la redoutable hydre sur ordre du puissant Atlas. Ce point précis de la légende est illustré par une petite anecdote : la belle Fadhma, une femme kabyle, accompagnait son mari malade à Aïn Tinzar. Il venait se désaltérer dans le flot de la source miraculeuse pour se débarrasser d’une maladie qui le rongeait depuis des mois.
La femme, voyant son mari étancher sa soif à pleines mains voulut l’imiter. Elle ne savait pas, la malheureuse, que l’eau précieuse n’était destinée qu’aux malades ! Elle se pencha et prit dans le creux de ses mains jointes le liquide magique dans le but de l’absorber. A ce moment, l’hideuse hydre qui se cachait au sein de la source étendit ses tentacules meurtriers pour punir l’imprudence de cette femme innocente. A ce moment, Atlas, touché par la grâce et la beauté de Fadhma, intervint et empêcha l’animal de sévir. Pour la légende, Atlas souffre toujours de son coryza chronique, le guérisseur mort-vivant essaie encore d’arrêter le liquide qui coule des muqueuses enflammées de l’illustre malade et l’hydre ne cesse pendant ses moments de repos de nuire aux visiteurs.
La légende des sources de Mouzaïa  
Le  mot «Mouzaïa» est aujourd’hui, dans nos cafés maures, synonyme d’«eau minérale». Il cloue au poteau le sempiternel «Vichy» scandé, jadis, par les garçons de café. On ne crie plus : «Garçon ! Un Vichy !», mais «Ara wahed Mouzaïa, ya ouled !» Comme pour les bains, la légende populaire s’est intéressée aux sources. Et celles de l’eau minérale de Mouzaïa ont, elles aussi, leur légende que la mémoire collective garde jalousement. Tout commence après une bataille sanglante, près de Mouzaïa (Blida), entre les autochtones et un ennemi supérieur en nombre. Le sol était jonché de cadavres. Les gémissements des blessés s’élevaient de partout.
La mort rôdait parmi les arbres de la forêt très dense à cet endroit. Un saint homme prenait part à cette bataille. Il s’appelait Bou Chakour (L’homme à la hache). Dieu, dans sa sagesse, soutint Bou Chakour et ses hommes, car leur cause était juste. L’ennemi, malgré son nombre, voyait ses rangs se défaire et son arrière-garde battre en retraite. Beaucoup de soldats, blessés ou désarmés, firent leur soumission.
La bataille prit une tournure inattendue : les hommes de Mouzaïa eurent le dessus sur leurs ennemis et Bou Chakour put, du haut de son pur-sang arabe, admirer la défaite causée par ses preux cavaliers dans le camp ennemi. Les blessés, partisans et adversaires, avaient soif. Les outres étaient vides et la chaleur torride. On les installa au pied d’un énorme rocher, à l’ombre. Bou Chakour les regardait, impuissant, puis il descendit de cheval et, se tournant vers l’est, il fit une brève prière. Il sortit ensuite son arme légendaire et, d’un coup de hache, fendit l’âpre rocher qui servait à ces malheureux de «rempart».
A cet instant, on vit jaillir de la brèche causée par l’arme du saint homme les eaux d’Aïn Qarça et d’Aïn Baroud. Les blessés se désaltérèrent dans le courant de ces ondes pures et recouvrèrent aussitôt leur santé et leurs forces. Ces deux sources coulèrent à flots. Leur débit était si important qu’elles donnèrent naissance à l’Oued Chiffa (La rivière de la guérison). Ceux qui visitent aujourd’hui ces sources vous diront que les eaux minérales d’Aïn Qarça sont uniques au monde et qu’elles gardent encore et toujours ce pouvoir (curatif) que Bou Chakour, le saint homme, leur avait donné.
Source : «L’Algérie légendaire» de Marie Bougeja, repris par le docteur Fournier dans un article in Informations algériennes, en février 1942.

Mohamed Rahmani


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قسنطينة المواطنون بوسط مدينة يطالبون بتفعيل وتسريع عملية تصليحات الهواتف المنزلية
اشتكى عدد من المواطنين عبر جريدة الجمهور من مشكل عدم تصليح هواتفهم المنزلية التي تبقى معطلة طيلة السنة دون ان يجدوا اي صدى لشكاويهم المتكررة عبر مصلحة اتصالات الهاتف ،خاصة بعدد من أحياء وسط مدينة قسنطينة ،حيث يضطر المواطن رغم تسديد الفواتير المترتبة عليه للذهاب لمصلحة الهواتف ورفع شكواه لينتظر بعدها وقتا طويلا ثم تتكرر الشكوى عبر الرقم المجاني للتحول بعدها إلى مصلحة الشكاوى الرئيسية ولكن لا يجدي ذلك أحيانا نفعه ويبقى المواطن بين أذهب إلى هنا وانتظر هناك وسيتم تصليحه غدا وما إلى ذلك من الأمور التي أصبحت تثير استياء المواطن بسبب سوء الخدمة رغم دفع الفاتورة التي تأتي دوما في الوقت ويتزايد سعرها في حال تعطل المواطن عن الدفع ،بل أن المواطن أصبح يبحث عن العمال المسؤولين عن تصليح الهاتف في الشارع لرفع شكواه لهم عسى ان يتكرموا عليه بعملية تصليح ،وهو ما جعل بعض المواطنين يناشدون عبر الجريدة المسئولين عن مصلحة الهواتف بولاية قسنطينة ضرورة الالتفات لهذا الأشكال وتفعيل عملية تصليح الهواتف وتزويد عدد العاملين بما يتناسب مع عدد أحياء المدينة حتى تكون الخدمة سريعة وانية بعيدا عن كل هاته المشاكل التي جعلت المواطنين يعانون بين الشكوى والأخرى دون أي صدى ا ل.

Lettre à Hervé Gourdel
par Brahim Senouci
Ton visage s'affiche sur l'écran, le visage rude d'un montagnard qui se sentait chez lui dans toutes les montagnes du monde, pardessus les frontières. Je ne te connais pas mais je crois que nous aurions pu être amis, parce que, par nature, par goût, nous sommes portés vers l'universel sans cesser d'être enracinés dans nos terroirs respectifs. Je ressens de la douleur, face à ta mort, d'abord, mais aussi parce que c'est dans mon pays que tu as été assassiné. Dans mon pays, on apprenait dès l'enfance que l'étranger (le berrani), dès lors qu'il ne vient pas avec des intentions hostiles, est précieux et qu'il faut faire en sorte qu'il soit en sécurité, qu'il en allait de notre honneur. Pas en tant que musulman, ni en tant qu'arabe ou berbère ou algérien, je te demande pardon, Hervé, en tant que frère en humanité, et demande à tous les Hervé du monde de ne pas mêler dans leur juste colère coupables et innocents. Je leur demande de ne pas s'arrêter aux idées simples, telles celles qui feraient de l'AUTRE un coupable ontologique, attaché à détruire les sociétés vertueuses dans lesquelles ils croient vivre. Qu'ils interrogent l'Histoire, qu'ils interrogent le présent, qu'ils interrogent le champ de ruines qu'est en train de devenir le monde, qu'ils interrogent la fin des idéaux de démocratie, de justice et de liberté, pervertis par l'utilisation mercantile, cynique de leurs dirigeants. Qu'ils recherchent plus loin que dans le confort d'évidences factices les raisons profondes de la montée de la haine...

Il est des évidences bien réelles

La dernière guerre du Golfe a fait, selon un institut étasunien, 500.000 morts. Cette guerre, on s'en souvient, a été déclenchée par le duo Blair-Bush sur la base d'un mensonge avéré, celui de la présence d'armes de destruction massive. Souvenons-nous de la pitoyable comédie de cette fiole, censée contenir une arme dévastatrice aux mains de Saddam Hussein, brandie à l'ONU par Colin Powell. Souvenons-nous de Blair annonçant devant les Communes que Saddam disposait de la bombe atomique et qu'il pouvait l'utiliser dans « les trois-quarts d'heure qui suivent ». L'Onu leur a refusé la résolution que le duo infernal réclamait mais cela ne les a pas empêchés de monter leur expédition qui a débouché, 500.000 morts plus tard, au démantèlement de l'Irak et sa transformation en incubateur de candidats au meurtre et au suicide.

Qu'est-il advenu de ces brillants stratèges, de ces remarquables produits de l'«intelligence» et de la «morale» de l'Occident ? Bush joue au golf et mène une retraite paisible. Quant à Blair, il a été, cela ne s'invente pas, représentant du Quartette (Etats-Unis, Russie, Union Européenne, ONU) pour le Proche-Orient. A ce titre, il est en particulier chargé de suivre et de promouvoir le « processus de paix » censé réunir négociateurs Palestiniens et Israéliens. Quelqu'un s'est-il posé la question de savoir comment cela a été reçu par la « rue » arabe (quelle détestable expression et comme elle en dit long sur le mépris qui habite ceux qui l'ont imposée dans le langage courant !) ?

Le printemps arabe s'est manifesté dans différents pays. Il a épargné, ô surprise, l'Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis, le Qatar. Notons que, dans cette région, il a touché, entre autres, le Bahreïn. Ce pays a la particularité d'être le seul dans le monde arabe à abriter une population à majorité chiite. Il était et il reste gouverné par la minorité sunnite. Des manifestations y ont éclaté pour exiger l'instauration de la démocratie et la fin du déni de droit pour les chiites. Ces manifestations ont été écrasées dans le sang. Le petit Bahreïn n'ayant pas de forces de répression suffisantes, il a demandé et obtenu le soutien des Emirats, du Qatar et de l'Arabie Saoudite qui ont participé à la mise au pas des manifestants.

Le printemps arabe s'est manifesté également en Libye. Les professionnels de l'émotion ont donné de la voix pour que les pays occidentaux aident le peuple libyen à se débarrasser de son dictateur. L'appel est entendu. Une coalition est montée. Elle comprend la France, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, qui dépêchent leurs avions et leurs drones. Ils le font au nom de la démocratie, bien sûr. En fait, les bonnes volontés se manifestent de plus en plus et la coalition s'élargit à l'Arabie Saoudite, aux Emirats Arabes Unis et au Qatar. Il a été question de ces trois pays au paragraphe précédent. Ce sont ceux qui ont aidé l'oligarchie du Bahreïn à écraser dans le sang la contestation populaire. Les voici donc, peu de temps après, engagés dans une opération « vertueuse » de défense de la démocratie ! Pour l'anecdote, notons que le brillant résultat de l'expédition est le spectacle d'un pays éclaté, livré à des milices incontrôlées. Apparemment, les sauveurs, qui ont plié bagages aussitôt après le lynchage infâme du dictateur, n'ont pas l'air de s'en émouvoir. Est-ce que quelqu'un s'est posé la question de savoir comment la « rue » arabe avait reçu une telle manifestation de désinvolture et de mépris meurtrier ?

Plus récemment, Israël a perpétré un massacre dans la bande de Gaza, sous le nom de « Bordure protectrice ». Des crimes de guerre y ont été commis. L'organisation HumanRights Watch cite ainsi le bombardement de trois écoles qui se sont soldés par la mort de 47 personnes dont 17 enfants. Au cours de l'opération qui a duré 50 jours, 2131 Palestiniens, dont 501 enfants, ont perdu la vie. Il y a eu 10918 blessés dont 3 312 enfants et 2 120 femmes. 244 écoles ont été bombardées. Plus de 10.000 maisons ont été endommagées ou détruites. 98 écoles, 161 mosquées, 8 hôpitaux, 46 bureaux d'organisations non gouvernementales (ONG), 50 bateaux de pêche et 244 véhicules ont été détruits. Selon John Dugard, professeur de droit international et ancien Rapporteur spécial des Nations Unies sur la situation des droits de l'homme dans les territoires palestiniens occupés : « dans le bombardement de maisons et d'appartements qu'ils pensaient être occupés par des militants du Hamas, l'armée israélienne a fait preuve de mépris flagrant pour ce qu'elle appelle des dommages collatéraux, mais ces dommages collatéraux ont souvent pris la forme de civils tués ou blessés ou de destruction de leur propriété. L'absence de distinction entre cibles militaires et cibles civiles constitue indubitablement un crime de guerre ». Citons enfin le témoignage d'Ivan Karakashian, de l'ONG Defence for Children International-Palestine, sur l'utilisation d'enfants comme boucliers humains par l'armée israélienne, sur les attaques contre les infrastructures et équipes médicales, et contre les zones industrielles et les usines.De plus, Israël maintient la population sous embargo depuis 8 ans. Beaucoup de jeunes Gazaouis ne connaissent ainsi rien d'autre du monde que les murs de leur prison. Ce blocus est illégal. Des militants qui ont tenté de le forcer ont payé leur audace de leur vie.

Pour couronner cette indignité, il faut rappeler que, pratiquement dans son ensemble, le monde occidental a soutenu Israël dans cette agression. Hollande, Obama, Cameron et d'autres ont ainsi donné raison à Israël, au nom de son « droit à la sécurité ». Ils n'ont même pas eu de mots de compassion pour les victimes. 501 enfants, pas une larme, pas une protestation. Evidemment, les médias n'en ont guère parlé. Ils n'ont pas montré ces centaines de petits corps déchiquetés.

Parce qu'ils étaient arabes ?

En tout cas, s'ils avaient été Européens ou étasuniens, on n'ose imaginer le déferlement des diatribes et les bruits de bottes. Peut-on penser raisonnablement que cela n'a rien à voir avec le climat de violence et de haine qui est en train de nous submerger ? Est-ce que ces leaders qui rivalisent de servilité pour complaire à Israël croient vraiment que leur conduite n'est pour rien dans l'émergence de ces monstres nouveaux ? Est-ce qu'ils pensent sérieusement qu'ils ne sont pas les comptables ignominieux de la situation actuelle du monde et du danger mortel qu'ils font courir à l'humanité ?

De fait, il y a un processus de simplification, voire de schématisation du monde. Les vieilles lunes du discours occidental sur la démocratie et des droits de l'homme sont totalement désincarnés, irréels. S'ils avaient encore quelque substance, l'opinion publique pourrait à bon droit exiger qu'ils s'appliquent, ici et ailleurs, notamment en Palestine. Ce mouvement existe d'ailleurs. Des citoyens européens se battent pour que prenne fin le déni de justice dont souffrent les Palestiniens. Les dirigeants occidentaux restent sourds à ces demandes. Ils ne peuvent y opposer le droit, la morale ou la justice. Alors, ils utilisent l'arme fatale, celle de l'essentialisme, celle du « eux » et « nous », du « eux » contre « nous ». Malheureusement, force est de constater que cette stratégie donne des résultats. Le racisme se développe dans toute l'Europe. Il transcende les différences politiques. La prophétie de Huntington n'est plus une vue de l'esprit depuis qu'elle est devenue auto réalisatrice.

Voici le monde tel qu'il sera si les apprentis sorciers qui le dirigent persistent dans cette voie. Il faut qu'ils abandonnent leur prétention à faire de la Terre leur propriété exclusive. Il faut que les citoyens du monde occidental comprennent que la démarche de leurs gouvernants mène à des tragédies dont personne ne sortira indemne. Il faut peser sur ces gouvernements pour les contraindre à travailler à la promotion du droit, en tout lieu, à tout moment. Il faut priver de munitions les porteurs de haine et nourrir celles et ceux qui portent l'espoir, celui d'une humanité réconciliée avec elle-même, consciente de ne former qu'un SEUL monde.

Alors, ton sacrifice, Hervé, n'aura pas été vain, pas plus que celui de ces dizaines de soldats libanais, ces dizaines de milliers de civils algériens, irakiens, syriens,…torturés, assassinés, décapités, dans l'indifférence environnante.


L'appel des habitants d'El Gammas
par A. E. A.
Les habitants de la cité d'El Gammas sont dans tous leurs états et ne décolèrent pas. La situation que connaît leur lieu de résidence qui, outre le fait qu'elle est la cité périphérique de la Ville des Ponts la plus peuplée, abritant plus de 3.500 familles dans des chalets de surcroît amiantés, souffre également des routes non bitumées, de chantiers de réseaux d'assainissement interminables et surtout d'étroitesse des accès aux logements, situation, disent-ils, qui ne prête guère à l'optimisme. Selon ces habitants la situation est catastrophique, « la cité d'El Gammas est en train de vivre le calvaire et nous avec », diront-ils. En effet, poursuivront-ils, le cadre de vie qui déjà laisse à désirer, enregistre des insuffisances en matière d'éclairage public, où des pans entier de la cité sont plongés dans la pénombre, avec toutes les incidences sur le plan de la sécurité. Les autres réseaux afférents notamment à l'assainissement, ne sont pas du reste reluisants et constituent actuellement le point qui focalise le plus le mécontentement des habitants. Ils expliquent qu'une première entreprise privée a entamé depuis quelques temps l'aménagement des avaloirs, regards et autres trous d'évacuation des eaux pluviales, et qu'elle vient de terminer ses travaux d'une façon louable, reconnaîtront-ils. Malheureusement la société de l'eau et d'assainissement, la Seaco, n'a pas trouvé mieux que de choisir ce moment pour ouvrir son chantier et ce, à l'effet de refaire les canalisations d'évacuation des eaux usées domestiques. Et alors là, diront-ils, bonjour les dégâts.

« Et ce sont les fuites d'eau qui ont refait apparition en plusieurs endroits de la cité, créant de petits marécages. La cité est complètement défigurée si bien qu'elle n'est plus reconnaissable. Bien sûr, les responsables ont promis de tout remettre en l'état et en place, mais jusque-là la cité pourra-t-elle supporter ces remue-ménages et chantiers qui se suivent et se ressemblent dans l'anarchie et sans consultation entre les différents intervenants », lancent nos interlocuteurs avec dépit. Les habitants d'El Gammas évoquent aussi le problème afférent aux actes de propriété, dont 13 seulement ont été délivrés par les domaines aux résidents jusqu'à présent, diront-ils, sans tenir compte des préoccupations des habitants pour ce qui concerne les accès aux logements. « En effet, ces derniers sont d'une largeur de près de 2 mètres et donc très étroits et nous causent d'énormes difficultés», diront-ils. « Aussi, avions nous demandé aux domaines de ne plus délivrer des actes avec les dimensions actuelles des accès, mais d'en reporter l'opération jusqu'à ce que l'on trouve une solution d'élargissement à 3 ou 4 mètres, sinon c'est reproduire l'informel et faire fi de l'opération de restructuration de la cité ». Enfin, nos interlocuteurs feront état de la nécessité de régulariser la situation des occupants des chalets dont les parents sont morts, et des nouveaux propriétaires de chalets qui possèdent des PV de vente.


http://www.liberte-algerie.com/actualite/les-cinq-accompagnateurs-de-herve-gourdel-identifies-exclusif-229010




EXCLUSIF

Les cinq accompagnateurs de Hervé Gourdel identifiés

Par : Salim KOUDIL Les accompagnateurs de Hervé Gourdel, capturés et libérés par les terroristes lundi passé, sont désormais identifiés. "Liberté" a pu obtenir les noms, et quelques détails sur eux. Selon des sources sûres, il s’agit de Karim Oukara, Boukamoum Hamza, Amine Ayache, Oussama Dehendi, et Saâdi Kamel.
Karim Oukara, 43 ans, algérien, originaire de Boufarik (Wilaya de Blida), installé en France, il est marié et père de deux enfants. Il vit dans la ville de Lille (nord de l’Hexagone) et se déplace souvent en Algérie pour y rester entre deux à six mois par ans. Ses séjours étaient consacrés à l’alpinisme, et surtout à Tikjda. D’ailleurs il y était en mars 2013. "Liberté" a pu se procurer une photo, datant de mars 2013, dans laquelle Karim Oukara était accompagné de plusieurs autres alpinistes. Parmi le groupe il y avait deux des accompagnateurs de Hervé Gourdel, Oussama Dehendi et Amine Ayache.
Selon les mêmes sources, Karim Oukara, était en Algérie depuis le début du mois d’août dernier.  C’est lui qui connaissait, vraisemblablement depuis plus d’une année, Hervé Gourdel. Ils se contactaient essentiellement via les réseaux sociaux (les deux sont d'ailleurs amis sur Facebook).
Boukamoum Hamza est la personne qui avait les clés du chalet dans lequel tous le groupe a été hébergé la veille de l'enlèvement. D’ailleurs son père est propriétaire de deux bungalows à Tikjda.
Oussama Dehendi est un membre du club de sport de montage de Boufarik, ville d’origine de Karim Oukara.
Amine Ayache, la vingtaine,  il a eu le baccalauréat l’été dernier. Il est le détenteur du titre de champion d’Algérie d’escalade en 2012. Il vient souvent à Tikjda pour effectuer des escalades.
Le cinquième algérien du groupe est Saâdi Kamel. Il travaille en tant que guide au sein du  guide au Centre national des sports et loisirs de Tikjda.
Les cinq sont des habitués des escalades et ils sont tous connus à Tikjda et également lors des championnats d'Algérie d'escalade.
Nos sources indiquent que les cinq sont toujours interrogés par les services de sécurité.  D’ailleurs les domiciles de leurs familles ont été perquisitionnés, dès mardi passé, par les éléments de la gendarmerie nationale.

Salim KOUDIL
@SalimKoudil

 

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Les cinq accompagnateurs de Hervé Gourdel identifiés

Par : Salim KOUDIL Les accompagnateurs de Hervé Gourdel, capturés et libérés par les terroristes lundi passé, sont désormais identifiés. "Liberté" a pu obtenir les noms, et quelques détails sur eux. Selon des sources sûres, il s’agit de Karim Oukara, Boukamoum Hamza, Amine Ayache, Oussama Dehendi, et Saâdi Kamel.
Karim Oukara, 43 ans, algérien, originaire de Boufarik (Wilaya de Blida), installé en France, il est marié et père de deux enfants. Il vit dans la ville de Lille (nord de l’Hexagone) et se déplace souvent en Algérie pour y rester entre deux à six mois par ans. Ses séjours étaient consacrés à l’alpinisme, et surtout à Tikjda. D’ailleurs il y était en mars 2013. "Liberté" a pu se procurer une photo, datant de mars 2013, dans laquelle Karim Oukara était accompagné de plusieurs autres alpinistes. Parmi le groupe il y avait deux des accompagnateurs de Hervé Gourdel, Oussama Dehendi et Amine Ayache.
Selon les mêmes sources, Karim Oukara, était en Algérie depuis le début du mois d’août dernier.  C’est lui qui connaissait, vraisemblablement depuis plus d’une année, Hervé Gourdel. Ils se contactaient essentiellement via les réseaux sociaux (les deux sont d'ailleurs amis sur Facebook).
Boukamoum Hamza est la personne qui avait les clés du chalet dans lequel tous le groupe a été hébergé la veille de l'enlèvement. D’ailleurs son père est propriétaire de deux bungalows à Tikjda.
Oussama Dehendi est un membre du club de sport de montage de Boufarik, ville d’origine de Karim Oukara.
Amine Ayache, la vingtaine,  il a eu le baccalauréat l’été dernier. Il est le détenteur du titre de champion d’Algérie d’escalade en 2012. Il vient souvent à Tikjda pour effectuer des escalades.
Le cinquième algérien du groupe est Saâdi Kamel. Il travaille en tant que guide au sein du  guide au Centre national des sports et loisirs de Tikjda.
Les cinq sont des habitués des escalades et ils sont tous connus à Tikjda et également lors des championnats d'Algérie d'escalade.
Nos sources indiquent que les cinq sont toujours interrogés par les services de sécurité.  D’ailleurs les domiciles de leurs familles ont été perquisitionnés, dès mardi passé, par les éléments de la gendarmerie nationale.

Salim KOUDIL
@SalimKoudil


 
 
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لجنة وزارية حطت بالولاية للوقوف على حقيقة ما يحدث بين المديرة وموظفيها

موظفون ومثقفون يحتجون أمام مقر الولاية للمطالبة برحيل مديرة الثقافة بخنشلة

 

عمران بلهوشات

وحسب مصدر آخر ساعة فإن الموظفين الذين دخلوا في حركة احتجاجية أمام مقر الولاية أكدوا أنهم ظلوا يعانون من سوء معاملة المديرة وتصرفاتها التي نجم عنها إيفاد وزارة الثقافة لمفتش مركزي قصد تقديم شكواها ضدهم، تلتها لجنة من الولاية للوقوف على عدم قيام هؤلاء بواجباتهم،وهو ما جعل هؤلاء يخرجون عن صمتهم مطالبين المفتش وأعضاء اللجنة برحيل المديرة لكونها ـ حسبهم ـ تعسفت في استعمال السلطة ضدهم، وصارت تهينهم ، وأمام عدم صدور أي قرار من الوزارة قرر هؤلاء العصيان بعدم العمل ، والقيام باحتجاج أمام مقر الولاية لإبلاغ الوالي بما يحدث بمديرية الثقافة وسوء تصرفات المديرة مشددين على مطلبهم الرئيسي المتمثل في رحيل المديرة وفي سياق ذلك نفت مديرة الثقافة الاتهامات التي وجهها لها هؤلاء الموظفون متسائلة هل صرامتها في العمل إهانة للعمال ،وتكبرا عليهم، وأكدت المديرة أنها تريد خلق تقاليد لخدمة الفعل الثقافي ، وستكون للمتسيبين والمهملين بالمرصاد، معتبرة أن بعضا من الموظفين لم تعجبهم صرامتها ،وأن المفتش المركزي بالوزارة وأعضاء اللجنة اطلعوا على ذلك وهم على علم بما يحدث .

 
 

بريطانية مسلمة ترسل أطفالها إلى المدرسة بلاصقات "حلال"!

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آخر تحديث : 22:53 | 2014-09-26
الكاتب : البلاد.نت/وكالات

أرسلت سيدة بريطانية مسلمة أطفالها الأربعة إلى المدرسة بلاصقات موضوعة على زيهم الرسمي، كُتب عليها "حلال"، بعد أن سئموا من إيجاد الحلول مع إدارة المدرسة، التي قدمت لأحدهم طعاماً غير حلال في أكثر من مناسبة مختلفة.
وفي التفاصيل، قدم مقصف مدرسة وود سايد في مدينة بارادفورد البريطانية لخديجة خان (5 سنوات) طعاماً غير حلال عدة مرات، رغم شكوى الأهل لإدارة المدرسة مراراً، فضلاً عن كون الأطفال الأربعة يتابعون دروسهم في الأكاديمية منذ أربعة أعوام، "من دون فائدة"، حسبما أكد موقع دايلي ميل البريطاني. 
وأبدى الوالدان طالب حسين (38 عاماً) وهينا خان (29 عاماً) استياءهما من ذلك الإهمال، وألقوا اللوم على الإدارة قائلين: "كيف يمكن لمدرسة أن تخطئ وتعطي التلاميذ وجبات أخرى؟ ماذا لو كانوا مصابين بالحساسية من تلك المواد الغذائية؟".
وأراد الوالدان التصدي لهذا الأمر بشكل مباشر، بعد أن احتارا فيما يمكنهما فعله، إلى أن قررا أن يلصقا إشارات على الملابس الرسمية لأولادهما، كُتب عليها "حلال".
وألقت العائلة البريطانية المسلمة اللوم على المدرسة والعاملين فيه، وأيضاً على الذين يحتاجون إلى معرفة التمييز بين الأطعمة الحلال وغيرها.
وفتحت الشرطة تحقيقاً مع إدارة المدرسة، لمعرفة الأسباب الحقيقة لحدوث ذلك، رغم وعودها المتكررة لعائلة التلامذة الأربعة بعدم حدوث ذلك مرة أخرى.


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