الجمعة، سبتمبر 16

الاخبار العاجلة لتحضير دولة اسرائيل عقوبات اقتصادية وثقافية ورياضية ضد الدولة الجزائرية والصحافة الاسرائيلية تكتشف الحقد العنصري الجزائري ضد الجنس الاسرائيلي ويدكر ان الجزائريين يعيشون في العقارات اليهودية ويمارسون الطقوس اليهودية في حياتهم لكنهم يعارضون اسرائيل من اجل الارهاب الفلسطيني ويدكر ان اسرائيل اقمت دولتها الكبري بعدما منحت تركيا فلسطين لاسرائيل والاسباب مجهولة

الاخبار العاجلة لاكتشاف الجزائريين خريطة اسرائيل بعد اشباع بطونهم الجائعة جنسيا ومواقع الكترونية عربية تنشر نفس صورة خريطة اسرائيل من سنوات ويدكر ان الموقع الالكتروني خرائد العالم http://arabic.mapsofworld.com/ يتضمن نفس الصورة الجغرافية المنشورة في كتاب الجغراتفيا ومن غريب الصدف ان الجزائرين اكتشفوا اخطاء كتاب الجغرافيا بعد فرحة العيد السعيد ويدكر ان جميع الخرائط الجغرافية تضع دولة اسرائيل اولا ثم غزة واريحا وشر البلية مايبكي

اخر  خبر
الاخبار   العاجلة لتحضير  دولة اسرائيل عقوبات اقتصادية وثقافية ورياضية   ضد  الدولة الجزائرية والصحافة  الاسرائيلية  تكتشف الحقد  العنصري الجزائري   ضد  الجنس  الاسرائيلي ويدكر ان  الجزائريين  يعيشون في  العقارات  اليهودية ويمارسون الطقوس  اليهودية في حياتهم   لكنهم  يعارضون  اسرائيل   من اجل الارهاب  الفلسطيني ويدكر ان  اسرائيل  اقمت دولتها الكبري بعدما منحت  تركيا  فلسطين  لاسرائيل   والاسباب  مجهولة
اخر  خبر
الاخبار   العاجلة   لاكتشاف الجزائريين ان نشرة  اخبار الثامنة  الجزائرية اصبحت فلسطينية بمناسبة كتاب الجغرافيا  ويدكر ان   مسرحية صورة اسرائيل ابدعت   بمناسبة  لقاء ثلاثي بين سلال وحداد ونقابة العمال    من اجل   تقديم  سلال استقالة رسمية   بعد فشل  حكومة سلال ويدكر ان  بوتفليقة يحضر لانقلاب   سياسي شامل  في اواخر   سبتمبر والنتقارير  السوداء تعلن رسميا فشل حكومة التبدير   الوطني بزعامة سلال والاسباب  مجهولة
اخر خبر
الاخبار   العاجلة    لاكتشاف  الجزائريين خريطة اسرائيل    بعد   اشباع بطونهم الجائعة   جنسيا ومواقع  الكترونية   عربية تنشر نفس   صورة خريطة اسرائيل  من سنوات ويدكر ان   الموقع الالكتروني   خرائد العالم    http://arabic.mapsofworld.com/   يتضمن   نفس   الصورة   الجغرافية   المنشورة في كتاب الجغراتفيا   ومن غريب  الصدف ان الجزائرين اكتشفوا اخطاء   كتاب الجغرافيا   بعد فرحة العيد السعيد ويدكر ان   جميع الخرائط  الجغرافية تضع  دولة اسرائيل  اولا ثم غزة واريحا    وشر البلية مايبكي
صورة   لخريطة   العالم   العالم   من موقع  الكتروني عالمي  لخرائط  العالم   في  الانترنيت   
هده  الصورة   منشورة في كتاب  الجغرافيا   لسنة 2016بالجزائر   فاين  الخطا   
http://arabic.mapsofworld.com/





خريطة العالم مع البلد





http://alger-roi.fr/Alger/enseignement/algerianiste14/ecole_juive.htm

http://www.lemondejuif.info/2016/09/haine-de-letat-juif-lalgerie-ordonne-retrait-immediat-dun-livre-scolaire-mentionnant-israel/

http://www.lemondejuif.info/2016/09/haine-de-letat-juif-lalgerie-ordonne-retrait-immediat-dun-livre-scolaire-mentionnant-israel/


Haine de l’État juif : l’Algérie ordonne le retrait « immédiat » d’un livre scolaire mentionnant Israël



Le ministère algérien de l’Éducation a ordonné jeudi le « retrait immédiat » des livres de géographie des écoles primaires après avoir remarqué la présence du nom d’Israël sur les cartes et l’absence de la « Palestine »
« Suite à la découverte d’une erreur sur une page du livre scolaire de géographie de la première année moyenne, (…) le ministère de l’Éducation nationale a décidé le retrait immédiat de l’ouvrage et demande à l’éditeur de le corriger », a indiqué le ministère dans un communiqué.
Le ministère de l’Éducation a également décidé d’ouvrir une enquête sur cette affaire.
Faouzi Ahmed – © Le Monde Juif .info | Photo : DR

http://alger-roi.fr/Alger/enseignement/algerianiste14/ecole_juive.htm


L'enseignement primaire en Algérie
L'école juive
Henri CHEMOUILLI.
N.D.L.R de l'Algérianiste. - Henri Chemouilli est l'auteur d'un ouvrage important : Une diaspora méconnue. Les Juifs d'Algérie, Paris, 1980

----------Quelle était la situation scolaire des Juifs en Algérie avant l'arrivée des Français, et comment réagirent les autorités religieuses face à l'école publique. C'est ce que nous dit ici Henri Chemouilli
Le texte ci-dessous est extrait d'un numéro spécial de "l'Algérianiste", bulletin d'idées et d'information. - n°14 - 15 mai 1981.avec l'autorisation de la direction actuelle de la revue "l'Algérianiste"
25 Ko / 11 s
   
--------Quelle était la situation scolaire des Juifs en Algérie avant l'arrivée des Français, et comment réagirent les autorités religieuses face à l'école publique. C'est ce que nous dit ici Henri Chemouitli.
--------On a trop tendance à croire, sous l'influence de la littérature des conquérants de l'Algérie française, puis sous celle des injures anti-juives de la fin du dix-neuvième siècle, que les Juifs d'Algérie d'avant la conquête étaient de pauvres hères analphabètes " marchands du fil et des aiguilles " comme l'affirmait une chanson anti-juive. Il n'en était rien. Les Juifs algériens étaient souvent les hommes de confiance de la Régence, ils parlaient des langues étrangères, ils avaient des relations internationales. Peut-on croire que les cargaisons de blé envoyées à la France de la Convention par des Juifs d'Algérie étaient envoyées par des ignorants ? Que les traités et les accords signés par le dey mais préparés par " ses" Juifs dénotaient une inculture foncière ?--------Les Juifs riches d'Alger envoyaient fréquemment leurs enfants en Europe et leur curiosité pour les choses du monde leur donnait une ouverture d'esprit qui n'excluait pas un attachement foncier au judaïsme. Car, pour les Juifs, l'instruction juive et le genre de vie juif étaient une nécescité évidente s'ils voulaient survivre sur la mer de l'Islam dans laquelle les chrétiens d'Afrique s'étaient déjà noyés. Juifs et Musulmans étaient bien de la même origine ethnique, tous des Berbères, mais chacun tenait à sa distanciation socio-religieuse, même si les ressemblances n'en restaient pas moins vivaces. La langue maternelle des Juifs était l'arabe, qu'ils lisaient et écrivaient couramment la plupart du temps, l'antique parler berbère ne s'étant pas maintenu chez eux, du moins dans le domaine de la Régence. Mais j'écris cela sans preuves, il faudrait une étude linguistique profonde qui séduira peut-être quelque chercheur à venir...
*
--------Les Juifs avaient aussi leur écriture hébraïque, une cursive venue des temps anciens, qu'ils utilisaient pour leur correspondance. A la fin du XIXe siècle, quelques vieux notables signaient encore de cette cursive leurs noms au bas des actes consistoriaux,--------Une remarque en passant : jamais la langue des Juifs de l'Afrique du Nord ne fut le yiddish, comme le disent parfois quelques Européens ignares qui confondent deux choses aussi différentes que le judaïsme askénaze (Allemagne) et le judaïsme sépharade (Espagne).--------Dans un pays où la religion était une affirmation nationale officielle - celle de la Nation juive - et la certitude de la survie temporelle et du salut éternel, la modernisation radicale qui suivit la conquête créa un problème aussi cruel pour les Juifs que pour les Musulmans. Pouvait-on aller vers la civilisation française et le progrès de l'Occident sans devenir un " mtourné ", sans perdre ses raisons divines et humaines de vivre ? Les Juifs algériens finirent par larguer nombre de leurs raisons divines en même temps que leur parler arabe et leur costume indigène.--------Dès 1832, une école française pour les jeunes Juifs s'ouvrit à Alger. Mais l'école, en ce temps, n'était pas laïque et ses maîtres ne purent s'empêcher de faire savoir que leur religion chrétienne était la plus belle et la plus vraie. Et comme ils le disaient à des gens qui savaient bien que seule leur religion était !la plus belle et la vraie les familles juives et les familles musulmanes qui les avaient imitées retirèrent leurs enfants de cette école. Chose admirable, la municipalité d'Alger entendit la leçon et, en 1837, reprit cette initiative et ouvrit en même temps une école pour les fillettes juives. Les principales villes d'Algérie suivirent cet exemple au cours des ans.
*
--------Ces écoles eurent des fortunes diverses : elles avaient en face d'elles une concurrence redoutable : les écoles rabbiniques, le midrash (pluriel les midrashim). On y donnait, en arabe, l'enseignement juif traditionnel.--------En 1858, l'Algérie française comptait treize établissements d'enseignement primaire pour les jeunes Juifs et les élèves étaient vêtus à l'européenne. Bons élèves, par ailleurs, je ne vais pas dresser de palmarès. Belle percée aussi dans le secondaire. En 1864 le lycée impérial d'Alger, qui allait devenir lycée Bugeaud, puis lycée Emir-Abd-el-Kader, comptait 495 élèves, dont 63 Juifs. Dix ans auparavant, le judaïsme algérois avait eu son premier bachelier. Quand les moyens de la famille le permettaient, le bachelier allait poursuivre en France des études supérieures. C'est ainsi que Moïse Aboulker, étudiant en médecine à Paris en 1870, alla en volontaire soigner les blessés de la ligne de feu. Le maire du Xe arrondissement l'en remercia par une lettre ; ce maire était Clemenceau.
*
--------En 1876, le gouverneur général Chanzy vint au secours de l'enseignement officiel : soutenu par les Consistoires il décréta que les Midrashim ne donneraient plus qu'un enseignement purement religieux. Nous allons voir en quoi consistait cet enseignement.--------D'abord dans l'apprentissage de l'hébreu, nécessaire pour la lecture des prières et celle du Tenakh. Le mot Tenakh est formé par les initiales des trois grandes parties de la Bible juive : Torah, la Loi, c'est-à-dire les cinq livres du Pentateuque, Neviim, les Prophètes, Ketoubim, les Ecrits. La Loi est divisée en sections, lesparachot (singulier : une paracha) dont la lecture est cantilée selon le rite sépharade. Chaque samedi a sa paracha, ce qui permet de lire dans l'année le livre entier de la Torah et la lecture de la paracha est suivie de la lecture, cantilée elle aussi, d'un passage déterminé des Prophètes. Cette lecture termine théoriquement la prière, c'est pourquoi ce passage s'appelle Haphtara, la fermeture.--------Cela suffisait pour la consécration de la Bar-Mitzvah, appelée " communion " en Algérie par contamination, et cela alla s'amenuisant à un point tel que le Consistoire dut organiser un examen avant de permettre au jeune postulant la lecture du rouleau saint au jour de sa treizième année.--------Les élèves qui fréquentaient le Talmud Tora après leur Bar-Mitzva étudiaient le Targoum (traduction araméenne du texte biblique par Onkélos, au 1e, siècle), les Commentaires de Rachi (rabbin de Troyes au XIe siècle) ; des traités du Talmud. Mais surtout Rachi. En Algérie on vénérait Rachi. Est-ce parce qu'il était Champenois ? Je n'en sais rien.
*
--------En tout cas, voici ce qui arriva après notre exode : les autorités de Troyes, intriguées par le nombre de " rapatriés " qui visitaient la ville et les interrogeaient sur un certain Rachi finirent par leur demander qui était cet homme qui ne figurait pas dans le dictionnaire. Et ils apprirent alors que leur ville, au XIe siècle, s'enorgueillait d'un " docteur" juif que l'on venait consulter de loin. Il y avait sur Rachi des études internationales, mais aucune en langue française. Les Troyens ne le savaient pas. Et cette gloire médiévale était l'honneur de leur ville !--------Il y a une dizaine d'années, une grande manifestation culturelle judéo-française eut lieu à Troyes. On baptisa une rue Rachi, on ouvrit une synagogue Rachi, on inaugura un musée Rachi.--------Et voilà pour la culture algérianiste.
*
http://www.tribunejuive.info/israel/la-vie-nocturne-de-tel-aviv

La vie nocturne de Tel-Aviv

 --------Au début du siècle, l'enseignement du midrash fut supprimé mais le mot fut conservé dans le langage populaire. Le midrash, école rabbinique, rappelait trop l'école coranique, il fut remplacé par un enseignement " à la française ", baptisé Talmud Torah, étude de la Loi. C'était le même contenu que l'enseignement des midrashim mais en plus appauvri, plus rationnel, comme honteux, pour 'tout dire privé de sa saveur " arabe ".--------Entre les deux guerres, le Talmud Torah avec ses instituteurs en complet-veston, sans pantalons bouffants et sans chéchias enturbannées donnait un enseignement élémentaire, pour ne pas dire misérable, à un nombre d'enfants allant s'amenuisant chaque année.--------Alors le Consistoire prit souci de quelques garçons doués, pour les faire bénéficier d'une éducation plus poussée afin qu'ils devinssent des rabbins plus qualifiés que les rabbins locaux, formés sur le tas. Il fallait bien assurer la relève : on confia cette tâche à un enseignement nouveau, celui des Etz Haïm, l'arbre de vie. Mais les plus remarquables des garçons formés par Etz Haïm étaient récupérés par l'Ecole rabbinique de France, à Paris, qui en faisait des Grands Rabbins. Et ces Grands Rabbins ne rejoignaient guère l'Algérie. Plus ils étaient remarquables, plus la métropole se les réservait. C'est ainsi que l'ancien Grand Rabbin de Paris, aujourd'hui à la retraite, était né à Médéa ou à Boghari.--------Pour l'enseignement français, plus de problèmes : les enfants juifs fréquentaient les établissements officiels, s'essayant à rendre vraie cette vieille boutade : " un jeune Juif algérien est un garçon qui sort de Polytechnique et dont les parents ne parlent pas le français ".--------Puis vint la guerre, la défaite, le temps de la honte.
Après la révocation du décret Crémieux, en octobre 1940, révocation bien française, dans la droite ligne de la révocation de l'Edit de Nantes, annonciatrice - mais qui y prit garde ? - de la révocation de l'Algérie française, les Juifs d'Algérie se retrouvèrent dans la situation de 1870, mais en pire. Pire aussi pour ce qui concerne l'enseignement : enfants et enseignants furent mis à la porte de tous les établissements de l'Education nationale. Soyons cruels : la puissante organisation syndicale des instituteurs et des professeurs de France ne décida pas la moindre grève, elle n'organisa pas la moindre " manif "...
--------La communauté juive fit face : elle créa ses propres écoles et l'on vit s'ouvrir, dans les principales villes d'Algérie, des écoles primaires juives, des écoles secondaires juives. À Alger ce fut l'école Maimonide installée rue Emile-Maupas, dans la basse Casbah, un peu plus haut que la ravissante Bibliothèque nationale d'alors.--------Signalons encore une innovation, et de taille : la création d'une école d'apprentissage, rue Léon-Roches, à Bab-et-Oued. Après le 8 novembre 1942, lorsque maîtres et élèves eurent réintégré leurs postes, toutes les écoles juives fermèrent leurs portes, sauf l'école Maïmonide - enfant chérie du Grand Rabbin d'Alger - qui ne les ferma qu'en 1948.--------L'école d'apprentissage qui comblait alors une lacune importante de l'enseignement officiel ne fut pas fermée. Reprise par l'O.R.T., Organisation juive reconstruction-travail, elle prit un développement remarquable, ouvrit une filiale à Oran, une autre à Constantine et vit grossir chaque année le nombre de ses élèves. Chrétiens et musulmans y étaient admis et aujourd'hui, en France, être sorti de l'école de l'O.R.T. est une référence à ne pas négliger. La République algérienne a hérité des écoles de l'O.R.T. et de leur matériel précieux...--------Quant à l'éducation religieuse, elle continuait d'être enseignée dans le Talmud Torah, en particulier dans les locaux consistoriaux. À Alger, c'était 11, rue Bab-el-Oued. À signaler que le gouvernement algérien a fait raser tous les immeubles vétustes du côté des numéros impairs de la rue, mesure heureuse qui dégage la perspective sur l'ex-place du Gouvernement et la Grande Mosquée.
*
--------En 1951 l'ensemble des écoles du Talmud Torah d'Alger compte moins de 500 élèves. Pour une population juive de près de 30.000 âmes, c'est peu. C'est même dramatique si l'on s'aperçoit que ces élèves sont les enfants des classes les plus défavorisées de la société juive. La bourgeoisie d'Alger, avide de connaissances pourtant, refuse l'éducation juive. Le judaïsme s'étiole, la foi se perd, c'est un fait, et la situation est la même dans tout le pays. Mais cela ne vaut plus pour les années de la guerre d'Algérie où on assistera à un regain de foi. Les synagogues pleines, c'était, en des moments tragiques, l'affirmation de la vitalité de l'ancienne Nation juive.--------Etre un bon Français et un bon Israélite avait été, cent ans plus tôt, la devise des partisans du progrès. En 1950 les Juifs algériens sont de bons Français, ils ne sont plus de bons Israélites. Ce qui faisait l'Israélite type du XIXe siècle, c'était la mesure, la confiance et l'amour de Dieu, la foi. Pour en arriver à Auschwitz ! La leçon avait été trop dure ! En Algérie le nombre de rabbins diminuait, la moyenne d'âge du rabbinat augmentait.
Les représentants des Consistoires régionaux étudièrent les moyens de conjurer ce déclin et conclurent à une crise de l'éducation. Puisque les meilleurs espoirs de l'éducation juive étaient détournés par les institutions de la métropole, l'Algérie devait avoir sa propre école rabbinique, elle formerait et garderait ainsi ses Grands Rabbins. Sous les auspices de la Fédération des Consistoires d'Algérie, Alger ouvrit cette école à La Bouzaréah. L'école n'eut qu'une vie éphémère, faute de moyens, faute " aux événements ". Quelques-uns de ses élèves seulement se vouèrent au sacerdoce, la métropole les récupéra.
--------Mais c'est de cette génération qu'est sorti l'actuel Grand Rabbin de France, René Sirat, distingué dès sa jeunesse par le Grand Rabbin de Bône, Rahmin Naouri.
Je sais bien que René Sirat est le Grand Rabbin de tous les Juifs de France mais je ne peux m'empêcher de voir dans sa promotion la fin d'un paternalisme dont le judaïsme métropolitain gratifia pendant plus d'un siècle le judaïsme algérien et comme la victoire de ceux qui, en Algérie, se promirent un jour que notre enseignement porterait ses fruits.

Henri CHEMOUILLI.
Henri Chemouilli est l'auteur d'un ouvrage important : Une diaspora méconnue. Les Juifs d'Algérie, Paris, 1980

http://www.tribunejuive.info/israel/la-vie-nocturne-de-tel-aviv



Juifs d'Algérie : pratique de rites en secret
Publié dans Ennahar le 23 - 05 - 2010

89% des juifs enterrés au cimetière juif, sis dans la commune de Bologhine, dans la capitale, seraient d'origine algérienne. Certains ont quitté le pays après l'indépendance, d'autres ont préféré y rester, à l'instar de la famille «Aboul Kheir» et «Belaïche». Mais avec le temps, ces juifs sont dissous dans la société, cachant leurs origines juives. Depuis, les juifs d'Algérie entrent en Algérie avec des passeports français afin de pouvoir visiter leurs proches au cimetière de Bologhine, prétendant être des pieds noirs qui ont vécu dans ce pays durant toute la période coloniale, mais la présence des juifs en Algérie date de plus de 2000 ans et durera jusqu'en 1962, lorsque la grande majorité ont préférés partir avec l'avènement de l'indépendance. Peu de familles juives ont réussi à réussi à s'accrocher et à rester comme les familles Belaïche, Aboul Kheir et Salmoune, d'ailleurs leur expulsion ne pouvait être justifié avec les accords d'Evian qui assuraient les libertés des minorités. Ceux qui sont parti ont beaucoup souffert alors que ceux qui ont préféré rester, à l'instar des familles cités plus haut, ils vivent le plus normalement possible et jouissent de tous leurs droits de citoyens algériens. 
Des pierres sculptées et le Houiek (voile) pour couvrir les tombes
Dès que nos pieds ont foulés la terre au cimetière juif, sis à la Commune de Bologhine, dans la capitale, nous avions eu l'impression d'être transporté à l'époque romaine, à cause de l'atmosphère qui y règne, l'architecture des tombes construite avec du marbre. Le cimetière se situe à un lieu stratégique, au milieu d'une forêt d'eucalyptus faisant face à la mediterranée.
Rites d'enterrement des juifs
Notre guide, qui est aussi chargé de la gestion du cimetière juif, nous fait part des us et coutumes de l'enterrement ou de la visite des morts chez les juifs. Des coutumes qui ressemblent beaucoup à ceux des musulmans. Par exemple, il est admissible d'attendre jusqu'à trois jours afin de rassembler les proches dont la présence à l'enterrement est jugée indispensable. Par contre, il est considéré comme indécent de surseoir un enterrement afin d'organiser une cérémonie plus grandiose ou afin de pouvoir attendre la venue d'un plus large cercle de visiteurs. Les juifs refusent de voir dans un enterrement un événement « mondain ». Dans ce genre de décision, c'est l'honneur du défunt qui compte avant tout.
Il n'est pas d'usage d'apporter des fleurs à un enterrement juif. Ce n'est pas pour autant un interdit strict et il n'y a pas à se formaliser si certaines personnes le font. Mieux vaut cependant donner de l'argent à une institution charitable ou à la synagogue en mémoire du défunt.
Les tombes du cimetière juif portent des noms de familles algériennes telles que la famille Younès, Tamim, Soltane, Ben Hamou, Ben Zekri, Chekroune, Laâchachi, Taous et Abou Kaya. Sur chaque tombe est posée une photographie du défunt et du safran.
Famille Ouidir : nous refusant de reconnaître Israël mais nous dormons chez eux
Alors que nous visitions le cimetière juif, nous aperçûmes un beau jeune homme marcher entre les tombes. Nous crûmes d'abord qu'il était juif mais dès qu'on s'est approché de lui on a su qu'il était algérien. Lui et sa famille vivent depuis longtemps dans une petite maison au centre du cimetière. Le jeune homme âgé de 29 ans est né ici même. « Ce n'est pas facile pour une famille musulmane de vivre dans un cimetière juif » nous dit-il avec amertume. Mais où peut-il aller lui, ses cinq frères et sa mère malade. Le jeune homme lance encore une fois un appel de détresse aux autorités pour qu'ils soient relogés dans un logement décent. Son père, qui était gardien du cimetière avait bénéficié de ce logement de fonction.
Le pèlerinage en Algérie au mois de mai chaque année
La visite d'Ennahar au cimetière juif a coïncidée avec la période de pèlerinage des juifs en Algérie et précisément dans la région de Tlemcen qui est devenue la Mecque des juifs. La période de pèlerinage dure huit jours dont six sont réservés à la visite du cimetière.
 

Madame la ministre de l'education nationale (la Juive) : nos enfants vont trés mal (source Le Soir d'Algérie)

Publié par The Algerian Speaker sur 9 Mai 2014, 15:51pm
Madame la ministre de l'education nationale (la Juive) : nos enfants vont trés mal (source Le Soir d'Algérie)
C’est les yeux pleins de larmes que je me décide à vous écrire. Je suis une maman. J’ai trois enfants. Je fus dans une vie antérieure enseignante universitaire. La naissance de ma première fille et mon obligation de retourner au travail en la laissant recevoir une éducation par autrui, m’a fait réfléchir. J’ai réfléchi longtemps… A la naissance de ma deuxième fille j’ai décidé de mettre fin à ma carrière. Une décision difficile à prendre. Il a fallu se résoudre et accepter de sacrifier plusieurs années de dures études et de diviser les revenus du ménage par deux. Mais ça ne faisait pas le poids face aux exigences de l’éducation de mes enfants. Pendant la période de la petite enfance de mes filles, je me suis évertuée à donner le meilleur de moi-même, les éduquant dans le respect de soi-même et d’autrui, leur assurant un sentiment de sécurité et d’amour que j’estimais être nécessaire pour construire une personnalité solide et faire face à la vie. Seulement voilà que l’âge scolaire arrive. Et quelle fut ma chute ! notre chute, la chute de toute la famille… Nous nous sommes retrouvés dans l’antithèse de tout ce qui a été le fondement de notre éducation… Nous avons inscrit notre aînée à l’école… Et le cauchemar a commencé… L’instruction est un droit pour l’enfant, c’est ce qui lui permet de s’ouvrir au monde et de s’armer pour l’avenir, de construire un socle solide sur lequel il va s’appuyer pour devenir un individu utile à lui-même et aux autres… Est-ce vraiment cela qui se construit dans nos écoles ? Permettez-moi, Madame la Ministre, d’en douter. Que se passe-t-il réellement dans nos écoles ? Je peux essayer ici d’en faire une description non exhaustive. En premier lieu, le programme. Il est surchargé, basé presque majoritairement sur la mémorisation. Les enfants se retrouvent à apprendre par cœur des heures durant : éducation religieuse, éducation civique, histoire, géographie, sciences, récitations…. A retenir des informations bonnes seulement pour permettre de répondre à des questions d’examens et à être oubliées juste après. Les enfants apprennent donc à passer des examens et à revenir à la maison avec des «notes» pour calmer l’angoisse de leurs parents, ou l’aggraver, selon ces sacro-saints «résultats (les notes)». Leur intellect est noyé, étouffé par un flux d’informations qu’ils ne retiendront que pour les «résultats». Ce programme, Madame la Ministre permettez-moi de le penser, représente un affront à l’intelligence humaine et à la capacité innée des enfants à apprendre. Capacité qui est mise à mal et brisée par toutes ces obligations de mémoriser sans arrêt et sans relâche. Afin d’obtenir des résultats, ces enfants sont poussés à l’extrême de ce qui est acceptable humainement. Ils sont manipulés par la mise en compétition excessive. Ils sont dressés les uns contre les autres, poussés à la haine de l’autre. Ils sont surchargés de travail à l’école comme à la maison. Ils n’ont plus de temps pour jouer, pour se détendre, pour vivre leur enfance qui est si importante mais malheureusement éphémère. Pour ces mêmes résultats (ces notes) , et dans nos écoles publiques et privées, ils sont quotidiennement humiliés, insultés, atteints gravement dans leur estime d’eux-mêmes et parfois, que dis-je, souvent, frappés ! Beaucoup d’établissements scolaires se sont transformés en camps de concentration dignes des pires tortionnaires. Et je pèse mes mots. Et tout ça avec la complicité des parents qui se taisent, pire, qui cautionnent ! Je voulais, pour étayer mes dires, avoir des chiffres concernant la maltraitance dans les écoles. Ils existent, m’a-t-on dit, mais ils ne sont pas communicables… Pour que les enfants fassent mieux, il faut qu’ils se sentent mieux. Or nos enfants vont mal, ils vont très mal. Le stress, la pression et la peur sont leur quotidien. Ils sont mis en échec régulièrement et ils vivent dans un sentiment d’insécurité affective permanent. Le but du cycle primaire est d’apprendre à lire, à écrire et à compter. Est-ce vraiment le prix à payer ? De plus, ce but est-il vraiment atteint ? Vous n’êtes pas sans savoir Madame, qu’arrivés à l’université ou au sein des établissements de formation professionnelle, les jeunes se retrouvent souvent avec des indigences intellectuelles plus que handicapantes : incapables de raisonner, de compter ou de rédiger des textes simples. Mais ils auront néanmoins vécu durant toute leur scolarité des affres inhumaines. Force est de constater qu’ils sortent de leur scolarité indigents, chargés de violence et de haine accumulées des années durant. Que nous est-il arrivé ? Quel avenir et quelle société sommes-nous en train de construire ? Toutes les révolutions possibles, dans quelque domaine qui soit, sont inutiles et vaines tant que nous continuons et persistons à meurtrir l’enfance. Est-ce pour cela que nos pères et nos aïeux ont donné leur vie et leur sang ? Est-ce pour voir leur descendance privée de la dignité pour laquelle ils ont livré un dur combat ? Et les parents ? De quel mal sont-ils atteints ? Qu’est-ce qui fait qu’ils acceptent et qu’ils se font même complices de tout ça ? Qu’attendons-nous pour nous mobiliser et pour crier l’urgence d’un changement ? Bien au contraire, nous livrons nos enfants docilement à un supplice quotidien, insupportable et inhumain. Certains parents en demandent même davantage : la requête d’ajouter des matières de mémorisation à l’examen de fin de cycle primaire n’a-t-elle pas été émise par des collectifs de parents ? Veulent-ils asséner un coup de grâce à l’éducation si ceci n’a pas déjà été fait ? Beaucoup de pays et de familles de par le monde ont expérimenté des pédagogies qui exaltent les aptitudes innées des enfants pour en faire des personnes bien construites et aptes à embrasser l’avenir. Dans la plupart des pays modernes, une palette de choix en matière de pédagogie s’offre aux parents. On y trouve une myriade d’alternatives à l’éducation nationale essentiellement dans le secteur privé. Et si la diversité des écoles qui s’offre à eux ne leur convient pas, ils peuvent prendre l’initiative de se charger eux-mêmes de l’instruction de leurs enfants soutenus par leurs gouvernements. C’est le cas au Canada où les parents qui font ce choix se voient allouer un soutien financier par un Etat conscient que ces parents le déchargent d’une lourde responsabilité et contribuent au bon fonctionnement de la société. En Algérie, des initiatives de diversification de l’éducation en matière de pédagogie ne peuvent même pas être envisagées face à la volonté de standardisation/uniformisation de l’éducation officielle. Nous persistons dans ce qui ne marche pas, pire, dans ce qui est destructeur. Madame la Ministre, je suis une maman et j’ai du mal à accepter qu’on continue à voler l’enfance, la joie de vivre et le bien-être de mes enfants sous prétexte de leur apprendre à lire et à compter. J’estime en tant que mère avoir la responsabilité et le droit de dire non ! Non au malheur de mes enfants. Non à une éducation qui ne répond pas à mes exigences de respect, d’amour et de sécurité. La Déclaration universelle des droits de l’Homme m’en donne le droit dans son article 26, alinéa 3 : «Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants.» Dans ce même article, il est stipulé que «l’éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l’Homme et des libertés fondamentales.» Je peux dire en mon âme et conscience que les prisonniers dans les pénitenciers sont mieux traités que la chair de notre chair l’est dans nos écoles. Ils n’ont pas à se retenir quand un besoin naturel se fait ressentir. Ils n’ont pas à ingurgiter des informations pour lesquelles rien n’est fait pour en faire quelque chose d’agréable à apprendre. Ils n’ont pas à subir des sévices psychologiques et physiques tous les jours que Dieu fait… Et j’en passe… Non Madame la Ministre, les droits de l’Homme ne sont pas respectés dans les établissements scolaires et l’enfance n’a pas le temps d’attendre la lourdeur des réformes et des décisions gouvernementales qui tardent trop. Il est urgent de remédier à tout ça et d’agir. Il est grand temps de redonner aux enfants la joie de vivre et d’apprendre. Il y a des compétences dans notre beau pays et je vous demande solennellement, Madame la Ministre, de les laisser agir en collaboration avec les nombreux parents qui le souhaiteraient et qui sont prêts à se constituer en collectif dans le but de mieux agir pour le bien de nos enfants.
Mme H.S

Benbouzid,va t-il s'en tirer à si bon compte ? Lui le Musulman, Algérien Nationaliste au dessus de tout soupçon qui a régné sur l'éducation de nos enfants sans partage des années durant avec la complicité de sa majesté BOUTEFLIKA 4 .

Algerian speaker qui a mal à son pays

http://www.massorti.com/Presse-juive

http://www.desinfos.com/spip.php?article51262



Le cimetière musulman de Jérusalem devient un lieu de pèlerinage en mémoire des terroristes

ActualitésIsraël - le 15 septembre 2016 - par .
Le cimetière musulman de Jérusalem devient un lieu de pèlerinage en mémoire des terroristes
Le cimetière musulman à Jérusalem-Est près de la porte d'Hérode, où sont enterrés certains des terroristes qui ont perpétré les attentats terroristes de la dernière vague, est récemment devenu un centre de pèlerinage pour les musulmans qui sympathisent avec les terroristes.
Les drapeaux palestiniens ont été placés dans le cimetière et de nombreuses familles musulmanes, des adolescents et même de jeunes enfants s’y rendent. Les visiteurs ont mis des fleurs sur les tombes des terroristes qui ont mené des attaques et ont assassiné des Israéliens, et glorifient leur nom.
Le cimetière musulman de Jérusalem devient un lieu de pèlerinage en mémoire des terroristes
Certains visiteurs ont immortalisé leur visite du cimetière avec des photos prises où ils font le signe V de la victoire, et il semble que l'endroit soit devenu un site national pour les Palestiniens qui voient les terroristes comme étant des héros nationaux.
L'une des tombes qui est devenue un haut lieu de pèlerinage est celle de Baha Alyan, l'un des deux terroristes qui a perpétré l'attaque meurtrière sur une ligne de bus 78 à Talpiot Est à Jérusalem. Trois Israéliens ont été tués dans l'attaque et trois autres grièvement blessés. Alyan a été tué par les forces de sécurité et enterré à Jérusalem-Est. Son tombeau est devenu un symbole pour les jeunes musulmans qui s’y rendent et chérissent sa mémoire.
Maor Tzamer, le président de «Lecha Jérusalem » a déclaré que la situation était des plus absurde, car au cœur de la capitale d'Israël, a lieu sans gêne, en plein jour, des cérémonies en hommage à des terroristes et à des assassins. "Il a ajouté que« si le cimetière devient un terrain fertile pour les incidents terroristes et pour l'incitation à la violence, conduisant à l'effusion de sang de personnes innocentes – je demande au ministre Gilad Erdan de fermer immédiatement les lieux".
Source : israel Ha Yom

Les mairies de Tel-Aviv et de Jérusalem s'habillent en rose

ActualitésAlyah StoryAntisémitisme/RacismeIsraël - le 14 septembre 2016 - par .
lutte pour la détection précoce
A l’occasion du mois de la prévention du cancer du sein : Les mairies de Tel-Aviv et de Jérusalem sont illuminées en rose.
En solidarité de la prévention au cancer du sein, qui sera célébrée au mois d' octobre , l’Hôtel de la ville de Tel-Aviv , et  la municipalité de Jérusalem , ont allumées hier soir ( mardi) en rose.
la détection précoce du cance
la détection précoce du cancer
Le but , ce mois-ci, est de sensibiliser les jeunes femmes l'importance d’une détection précoce du cancer du sein . Sur les murs des mairies on pouvaient distinguer nettement les inscriptions « une sur neuf » (une femme sur neuf est touchée par le cancer du sein ).
Comme chaque année, cette campagne de sensibilisation afin de démontrer l'importance de la détection précoce grâce à un examen des seins , une mammographie.
Le test comprend également, un interrogatoire portant sur les antécédents médicaux de la famille de la jeune femme..
La détection précoce du cancer du sein chez les femmes à 30 ans est faible , malgré que les taux de guérison grâce à une détection précoce s’élève a 92%.
En Israël , la mammographie est devenue obligatoire à partir de 50 ans.


L’antisionisme fait annuler le match Algérie-Ghana !

Le sélectionneur du Ghana, l'Israélien Avraham Grant (Flash 90).
Un match amical de football entre les sélections algérienne et ghanéenne aurait été annulé parce que le sélectionneur du Ghana est Israélien !
La terre tourne à l’envers au pays du ballon rond, particulièrement en Algérie. L’équipe nationale, huitième-de-finaliste de la coupe du monde 2014 au Brésil, vient d’annuler son match amical contre le Ghana, quart-de-finaliste de l’édition précédente en Afrique du Sud. Prévue pour septembre, l’opposition s’annonçait pourtant prometteuse entre deux sélections de football parmi les plus performantes du continent africain. Un journaliste algérien rapporte que le motif de cette annulation porte un nom : Avraham Grant !
Avraham Grant, sélectionneur actuel du Ghana étant Israélien, l’Algérie a refusé de l’accueillir pour le match ! Avraham Grant s’était notamment distingué au cours de la saison 2007-2008 en amenant le club londonien de Chelsea en finale de la Ligue des champions et à la deuxième place du championnat anglais, la Premier League. Rappelons que les relations entre le football israélien et le football ghanéen sont historiquement plus qu’amicaux, puisqu’à la Coupe du monde 2006 en Allemagne, le défenseur ghanéen John Paintsil avait brandi un drapeau israélien en plein match lors de la victoire de son pays contre la République tchèque.

Pas de réaction de la FIFA
Pour l’heure, malgré cette violation des règlements par l’Algérie, ni la FIFA ni la Confédération africaine de football n’ont réagi, sans doute parce qu’il ne s’agissait pas d’un match officiel. Notions que la coupe d’Afrique des nations se tiendra en janvier 2017 et que tout refus de jouer contre le Ghana pour antisionisme sera susceptible d’être sanctionné par une défaite sur tapis vert !
Alors qu’Israël essaie de développer ses relations avec des pays africains comme le Kenya, l’Ethiopie et l’Ouganda http://actuj.com/2016-07/israel/3770-israel-redecouvre-l-afrique , cette annulation démontre, s’il fallait encore en douter, que la « cause palestinienne » vise à la disparition de tout ce qui est israélien. 


خريطة العالم مع البلد


هناك تعليق واحد:

غير معرف يقول...

Messaouda Boutalaa
3 h ·
تعليقا على ورود اسم "اسرائيل" على خريطة في كتاب الجغرافيا ..
صحّحوا الواقع قبل ان تصحّحوا الجغرافيا.. الجغرافيا نتيجة الواقع والتاريخ.. صحّحوا الوضع على الارض ولا تبكوا عليه فوق الكتب والاوراق.. شعوب تؤمن بالورق فقط.. ساحتفظ بهذا الكتاب، لانه سيكون شاهدا عليكم يوما امام الله والتاريخ.. (الى كل الشعوب التي تتباكى على فلسطين).