L’Union de wilaya de l’UGTA Constantine évoque Abdelhak Benhamouda
Effacement des dettes de 26 entreprises économiques locales
- Publié le 27.01.2014 à 16:45, Par :latribune
Il aura fallu pour les
organisateurs de la rencontre déplacer vers une plus grande salle les
invités pour répondre à l’important nombre de personnes qui ont tenu à
marquer de leur présence la commémoration du 17e anniversaire de la
disparition d’Abdelhak Benhamouda.
De notre correspondant à Constantine A. Lemili
Il aura fallu pour les organisateurs de la rencontre déplacer vers une plus grande salle les invités pour répondre à l’important nombre de personnes qui ont tenu à marquer de leur présence la commémoration du 17e anniversaire de la disparition d’Abdelhak Benhamouda. La rencontre s’est tenue à hauteur de la Maison des syndicats et devrait s’étaler sur deux jours à partir d’hier. Entamée dans la matinée par une table ronde avec les interventions de quelques compagnons de lutte et militantisme du défunt, la manifestation continuera en cours d’après-midi par un tournoi sportif et prendra fin aujourd’hui par une marche qui démarrera à partir du bâtiment syndical jusqu’au cimetière, où la délégation se recueillera en souvenir des martyrs tombés au nom de la cause nationale, de la lutte syndicale et pour la survie du pays quand les hordes terroristes y ont semé la mort.
Préalablement à la table ronde, B. Rahma, président de la commission exécutive de préparation du congrès de wilaya, a tenu à évoquer son compagnonnage avec le défunt, mais s’est également appesanti, d’une part, sur les acquis de l’Union générale des travailleurs algériens durant les années glorieuses et, d’autre part, sur la période de déshérence qui les a suivies notamment au lendemain du krach économique de l’année 1986, les réformes engagées à partir de 1989, les exigences drastiques du FMI, l’ignominie du programme d’ajustement structurel et forcément du démantèlement programmé de l’appareil de production industriel national.
Une série d’évènements externes qui ont plongé le pays dans la récession avec la fermeture de centaines d’entreprises et la privatisation d’autres, mettant ainsi au chômage forcé des milliers de travailleurs. Dans le même ordre d’idées, l’orateur stipendiera l’expérience de l’usine de sidérurgie d’El Hadjar «bradée au profit du capital», comme il dénoncera «la liquidation d’un fleuron local de l’industrie, en l’occurrence la Comamo, au motif de difficultés financières alors que dans la réalité il ne s’agissait que d’un règlement de comptes entre individus autour d’intérêts sordides personnels». «Les temps sont heureusement en train de changer et je vous en donnerais pour preuve la prochaine réhabilitation d’une trentaine d’entreprises, dont l’ex-Sntv qui bénéficiera d’une flotte de quarante nouveaux bus au cours du premier semestre 2014 et donc l’opportunité de créer au moins deux cents emplois, Er-Riad, Enmtp… les dettes des entreprises en question ont déjà été effacées.»
Il endossera cette embellie annoncée au crédit de l’Ugta considérant qu’il «ne peut, malgré la multiplication de syndicats, exister de syndicalisme sans l’Union générale des travailleurs algériens. L’Algérie serait littéralement en panne si tel n’était pas le cas», affirmera le président de la commission exécutive de préparation du congrès de wilaya. Égratignant dans la foulée «ce journaliste qui parle d’une campagne électorale que j’ai entrepris depuis quelque temps. Sachez que je n’aspire à rien sauf à redonner à cette ville et surtout à cette union de wilaya de l’Ugta son titre de bastion du syndicalisme qui a donné au pays ce qu’il y a eu de meilleur en matière d’hommes rompus aux luttes ouvrières en les circonstances et la construction nationale en d’autres. Je citerai nos modèles, en l’occurrence Benikous, Demène Debbih, Djemame et bien entendu Abdelhak Benhamouda, tous émanation de l’union locale centre». Au cours de la rencontre, l’absence des représentants de la famille du défunt était excusée dans la mesure où ces derniers seraient honorés le lendemain (aujourd’hui. Ndlr) à hauteur de la centrale syndicale.
A. L.
Le wali incite les élus locaux à travailler dans l’intercommunalité
Vers le réaménagement des anciennes fermes d’Alger
- Publié le 29.01.2014 à 18:02, Par :latribune
Les élus locaux de la wilaya
d’Alger doivent s’investir dans l’intercommunalité pour la construction
de logements, afin de faire baisser la pression que connaissent leurs
communes dans le secteur de l’habitat.
Par Abdallah KaddourLes élus locaux de la wilaya d’Alger doivent s’investir dans l’intercommunalité pour la construction de logements, afin de faire baisser la pression que connaissent leurs communes dans le secteur de l’habitat. C’est la recommandation du wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, lors d’une réunion qu’il a tenue, mardi dernier avec les élus des communes de la circonscription administrative de Bir Mourad Raïs. «L’idée de l’intercommunalité dans le domaine de l’habitat est très bonne. Les communes qui ont des ressources financières peuvent s’entendre, dans le cadre d’un partenariat gagnant-gagnant, avec les communes qui disposent du foncier», a souligné le wali lors de cette rencontre avec les élus des APC de Hydra, Bir Mourad Raïs, Saoula, Birkhadem, Gué de Constantine.
Lors de cette réunion, le maire de Bir Mourad Raïs a affiché la disponibilité de sa commune sur le plan foncier à réaliser des logements en partenariat avec une commune disposant de foncier aussi, «pour peu que la wilaya donne son feu vert», dira le responsable. M. Zoukh, qui a apprécié l’initiative du maire de Bir Mourad Raïs, a incité les autres communes de la wilaya qualifiées de «riches», à l’image d’Hydra et d’Alger-Centre, à faire de même. Il a instruit ses services de donner la priorité à ce dossier.
Les présidents d’APC de la circonscription administrative de Bir Mourad Raïs étaient unanimes quant au problème des bidonvilles au niveau de leurs localités. Aussi, demanderont-ils au wali de les inclure dans la prochaine distribution de logements, dans le but de récupérer les terrains occupés par les baraques au profit de projets d’utilité publique. Il faut rappeler que M. Zoukh a insisté à chacune de ses sorties sur l’obligation d’éradiquer les bidonvilles au niveau de la capitale.
A ce sujet, dans le cadre de la lutte contre l’habitat précaire, le directeur de l’urbanisme et de la construction (DUC) de la wilaya, Ali Bensaâd, a fait part d’un projet de réhabilitation et d’aménagement au profit des habitants des «haouchs», anciennes fermes agricoles. Ce projet, rappelons-le, a été décidé le 23 janvier dernier lors d’une réunion entre le wali d’Alger et le ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme, Abdelmadjid Tebboune. L’opération de réhabilitation de ces fermes dont la majorité tombe en ruines consiste à maintenir sur place les 9 800 familles qui y vivent dans la précarité, la wilaya ayant demandé et obtenu à ce que le ministère de l’Habitat prenne en charge les aménagements nécessaires, y compris la construction de logements, a précisé M. Bensaâd. Le responsable a indiqué que «le programme est en phase de lancement. Un bureau d’étude est chargé de proposer les aménagements nécessaires à effectuer», sachant que ce projet prendra en compte le caractère agricole de ces habitations rurales, à travers le réaménagement des étables et des entrepôts notamment. Selon les responsables, à terme, l’opération mettra fin aux constructions anarchiques dans les anciennes fermes remontant à l’époque coloniale, surtout dans les communes de la périphérie de la capitale, comme H’raoua, Rouiba, Réghaïa, Birtouta et Saoula. Les occupants de ces habitations précaires ont d’ailleurs interpellé à maintes reprises le wali d’Alger au sujet de «l’exclusion» dont ils seraient victime en matière de projets d’aménagements, une situation qui fait que ces fermes qu’ils occupent ne sont pas desservies par des routes bitumées, elles ne sont pas non plus raccordées au réseau d’assainissement et d’eau potable, sans parler de l’absence de l’hygiène et des commodités de vie les plus basiques.
A. K.
Les bouchons signalés sur FM
La wilaya d’Alger va procéder prochainement à l’installation d’un centre d’appel qui émettra sur la bande FM de la Radio algérienne à l’intention des citoyens, qui pourront ainsi signaler les points noirs et les encombrements à travers les routes, ce qui permettra d’informer en temps voulu les automobilistes qui pourront éviter ces points noirs.
Ni panne d’écriture ni manque de scénarii
Le théâtre de Constantine opère sa mue et diversifie son activité
- Publié le 29.01.2014 à 15:43, Par :latribune
A. Lemili
Ce ne serait pas les textes qui manquent à la direction artistique du Théâtre régional de Constantine. Ces textes sont lus et valent ce qu’ils peuvent valoir aux yeux des membres de la commission de lecture. Mais dans l’immédiat et parce que ce n’est pas la matière qui manque pour produire bon an mal an le seuil de pièces nécessaires sans pour autant caresser le péché mignon qui dort en chaque directeur de structure culturelle pour meubler plus les rapports mensuels et le bilan de fin d’année en alignant très souvent le nombre au détriment de la qualité. Les responsables du TRC, en ce qui les concerne, ont fait le choix de la diversification d’autant plus que l’année 2013, notamment, a été consacrée à une activité, voire à des actions auxquelles il fallait vraiment penser.
L’une des actions essentielles aura été de préparer la relève d’une
demi-douzaine de comédiens et techniciens qui doivent tirer leur révérence et pour cause une vie professionnelle bien remplie au service et du théâtre et du public. Ainsi, nous saurons auprès de Mohamed Ghernaout, responsable de la communication du TRC qu’il «…y avait nécessité de renouveler le vivier artistique avec le départ en retraite de quelques comédiens, mais également
de techniciens du son, lumières, accessoires… c’est ce qui a été fait et aujourd’hui nous pouvons vous assurer que le théâtre dispose au moins de six ou sept comédiens en herbe qui ont suivi une formation in-situ. Comme ont été formés des techniciens : son, lumières, décors…». Ces personnes devraient entrer en activité dans les jours à venir et il serait même question de monter des pièces à partir de leur profil. Pour les responsables du Théâtre régional de Constantine, le problème ne se pose pas en termes de quantité ou qualité, mais plutôt de mue technique et artistique et surtout du souci de réaliser une transition tout en douceur et aussi synchronisée qui éluderait toute idée ou réalité de rupture compte tenu de l’imposant poids professionnel des «partants» dont il ne faudrait pas oublier la somme de services rendus à l’art d’une part et au théâtre algérien d’autre part.
Une transition voulue harmonieuse et à la hauteur de la réputation du TRC, mais également de tous ceux qui l’ont fait tout au long de ces quarante dernières années et pour assurer ce passage de témoin, le nouveau directeur, en
l’occurrence Med Zetili, a lancé des ateliers de formation, organisé un
séminaire, une série de stages encadrés par d’importantes personnalités du théâtre algérien, des critiques, chercheurs auprès desquels plus d’une soixantaine de jeunes ont énormément appris sur un art pour lequel ils semblaient avoir des prédispositions. S’agissant de la diversification, il y a lieu de souligner qu’à partir d’aujourd’hui l’opportunité sera donnée à quatre jeunes de se produire face au public dans le cadre d’un «one man show». Nous saurons sur place que près d’une vingtaine de candidats se sont proposés et ont été auditionnés. Sans que nos interlocuteurs sur place aient eu besoin de s’appesantir sur le sujet, nous avons très vite saisi que l’élimination
des autres postulants n’a pas dû être difficile en raison de l’indigence des textes. D’où, et sans que nous n’ayons à faire un quelconque procès d’intention pour les quatre retenus, parmi lesquels figure une fille, le possible décalage
entre l’art de faire du one man show sur un texte intelligent et le fait de
débiter des inepties sur lesquelles seul l’artiste se fendra parce qu’il sera également, en l’absence de la subtilité nécessaire qui fait passer les messages, les allusions, les calembours du langage accessible au public parce qu’universel à celui qu’il sera le seul à comprendre.
Quoiqu’il en soit, le TRC disposerait selon le responsable de sa cellule de
communication d’un plan de charges conséquent pour l’année en cours et
plus particulièrement pour l’année 2015, période charnière pour la ville
des Ponts qui accueillera l’année de la culture arabe. Il est d’ailleurs
prévu pour cela de lancer un appel à contribution à toutes les coopératives et associations désireuses de proposer leurs créations.
A. L.
Selon le comédien et producteur Mohamed Tayeb Dehimi
«Le théâtre doit se réapproprier son langage originel»
- Publié le 29.01.2014 à 15:32, Par :latribune
Nacer Haniche
Pas moins six nouvelles productions théâtrales sont au programme du Théâtre régional de Constantine (TRC) pour l’année 2014. Les planches ne vont pas chômer, semble-t-il. Le recours à des coopératives et à des troupes théâtrales indépendantes s’impose impérativement pour mener à bien tous les projets qui sont dans le tuyau. Tournant avec huit comédiens seulement, après le départ à la retraite des anciennes figures ayant marqué le quatrième art à Constantine, l’institution devra s’appuyer sur ces contributions pour combler son programme, d’autant plus qu’il s’avère ambitieux et opulent. Et ça sera le cas pour les deux années à venir, de l’avis de la direction du théâtre et des comédiens. «Le déficit en acteurs, comédiens et personnels est une réalité. Aujourd’hui, il est nécessaire de renforcer la composante humaine pour apporter un nouveau souffle à la création», nous dira le comédien professionnel et chef de production artistique au TRC, Mohamed Tayeb Dehimi, l’une des pièces maîtresses de ce théâtre lorsque ce dernier avait le vent en poupe dans les années 1970-1980. «C’est le seul écueil auquel on est confronté. Cette insuffisance mettra du temps pour être aplanie. Former et perfectionner les jeunes talents
émergeants aptes à maintenir avec professionnalisme l’activité est la
condition sine qua non», ajoutera-t-il, tout en soulignant l’apport du ministère de la Culture qui subventionne l’activité du théâtre. «Sur ce plan, l’institution est gâtée. Mais cette garantie ne pourra éclipser les insuffisances visibles.
Le théâtre doit se réapproprier son statut perdu en associant la nouvelle
génération, surtout que celle-ci n’avait pas connu et suivi toutes les mutations du 4e art algérien. Elle doit faire partie de la reconstitution de la mémoire de cet art, entrecoupée au fil des années et notamment lors de la décennie noire. Cela s’acquiert progressivement à travers plusieurs formes de transmissions qui font participer toutes les compétences existantes», déclarera M Dehimi à
la Tribune. Il faut faire une rétrospective pour pouvoir tracer des perspectives. «Dresser un bilan en présence des nouveaux acteurs est le meilleur moyen pour se projeter dans l’avenir», ajoutera le producteur.
Évoquant l’aspect relatif à la qualité des œuvres, notre interlocuteur admet qu’il ne peut y avoir un véritable projet artistique sans le concours de plusieurs partenaires dont l’université, la société et les pouvoirs publics. Et d’avouer le déficit dans quelques «segments» théâtraux (costumier, scénographe,
éclairagiste, décorateur,…) qui pénalisent souvent les adaptations et même les
créations. «Ce sont des métiers qui sont morts et qu’il est important de ressusciter et de réactiver pour pouvoir produire des pièces de qualité. Parfois on a recours à la friperie pour se procurer les costumes nécessaires. Une fois trouvés, les habits sont remis à un costumier et c’est là où le problème se situe : la touche créative n’existe pas faute d’une expérience et d’une formation en la matière», dira M. Dehimi. A ce propos, le comédien insiste sur la nécessité de mettre en place des structures de formations. «Sans quoi, on ne pourra prétendre à des productions de qualité», affirmera-t-il, même si on
a une montagne de textes, romans et scénarios.
Constantine qui s’était illustrée par le passé avec Rih semassar, Ness el houma et tant d’autres pièces à succès, pour ne citer que ces deux pièces,
s’efforce aujourd’hui de redonner vie à sa scène théâtrale «en s’éloignant
de cette période nostalgique qui actuellement n’apporte rien à l’expression théâtrale au vu de tous ces changements. La donne a changé et le théâtre vit sa grande mutation», soutient le producteur. Dans ce sillage, l’artiste n’omettra pas de souligner l’indépendance «teintée» du TRC qui, comme tous les théâtres algériens, servait de vecteur au «discours politique ambiant». «La scène s’est appropriée un langage qui n’était pas le sien. Aujourd’hui, elle est en train de
recouvrer son langage originel», dira-t-il. En 2013, le Théâtre régional de Constantine a monté deux pièces dont la Symphonie du cinquantième, en plus
des productions pour enfants qui s’enchainaient en période de vacances.
Toutefois, si la redynamisation du théâtre est en voie, il reste cependant le problème de son audience à prendre en charge. Un théâtre sans public est comme un seau sans fond, il ne sert à rien. «L’engouement pour le 4e art doit se manifester à l’école en collaboration avec les organisations culturelles
(associations) et offices afin d’inculquer aux personnes dès leur jeune âge les délices des arts», affirme Mohamed Tayeb Dehimi, qui soulignera l’importance d’autres supports surtout médiatiques pour participer à une bonne promotion des productions dans des cadres bien précis.
N. H.
Imperfections à l’aéroport Mohamed-Boudiaf de Constantine
Le wali lance un ultimatum à la DLEP
- Publié le 28.01.2014 à 18:20, Par :latribune
Nasser Hannachi
En marge de sa sortie d’inspection menée à travers les projets relevant de
«Constantine, capitale de la culture arabe 2015», le wali de Constantine, Hocine Ouadah, est revenu à la charge concernant les réserves émises lors de sa première inspection en novembre passé au niveau de l’aéroport Mohamed-Boudiaf. De visu, rien n’y est fait. Et c’est ce qui a motivé son intervention (le wali), à être acerbe à l’encontre des services compétents, c’est-à-dire la direction du logement et des équipements publics. Il lui a adressé une mise en garde «finale», en raison de la passivité avec laquelle le chef de service de cet organisme public avait traité les points noirs consignés auparavant et qui résument les imperfections devant être rectifiées par les partenaires du projet. Ouadah a lancé un ultimatum de dix jours. Les corrections consignées dans le PV doivent être parachevées dans les temps, sans quoi la mise à l’écart du chef de service (Dlep) n’est pas à exclure, selon le premier responsable de la wilaya.
Pour rappel les défectuosités constatées dans la structure ont été décriées il y a près de trois mois. Alors le wali ordonnait les «gestionnaires» qui ont participé à «ce bricolage» de rectifier les malfaçons occasionnées à ce dessein frôlant les 300 milliards de centimes, et qui a valu, en sus, diverses surestimations. Les anomalies enregistrées concernent l’étanchéité, dalle de sol, escalators, toiture,…La nouvelle aérogare avait été mise en service par Amar Tou le 14 juin 2013. Par ailleurs dans le cadre de la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe 2015», M. Ouadah a affiché un satisfecit dès lors que les coûts s’enchaînent dans les différents chantiers inscrits, notamment la salle de spectacle à Zouaghi, laquelle a atteint un taux d’avancement de 40%, selon les responsables. Pour les autres esquisses El Khalifa, Malek Haddad les travaux ne font que commencer. Mais tous les entrepreneurs ont donné leur parole de livrer les œuvres d’ici décembre 2014.
Un engagement paraphé la semaine passée avec la ministre de la Culture et ses départements chargés des réalisations et patrimoines. Dans une semaine une nouvelle inspection est attendue par le wali et son équipe. Question de suivre au mètre carré près le cours des travaux engagés.
N. H.
Constantine
En attendant son extension à Ali-Mendjeli, le tramway rend un service
- Publié le 28.01.2014 à 16:01, Par :latribune
Depuis sa mise en service en juillet 2013, le tramway de Constantine sert une bonne partie de la population.
De notre correspondant à ConstantineNasser Hannachi
Depuis sa mise en service en juillet 2013, le tramway de Constantine sert une bonne partie de la population. Les avis sur l’utilité de ce moyen divergent selon que l’on est situé aux abords des points des 10 stations ou, au contraire, l’on se trouve excentré. Les étudiants et les habitants de Zouaghi notamment en tirent profit. Pour le reste, c’est-à-dire la nouvelle ville où la population est concentrée, le recours aux bus et aux taxis légaux ou clandestins
reste la solution idoine en attendant la finalisation des études d’extension
du tramway. Tandis que la ville est obstruée d’automobiles hétéroclites,
les rames du tramway se propulsent allègrement sur un linéaire de près de 9 km. De la station du stade Benabdelmalek à la station multimodale de Zouaghi, en construction, à proximité du plateau de Aïn El Bey. Mais sans grand énervement,
loin des chaussées polluées et des files automobiles interminables, du moins pour les usagers chanceux résidants aux environs des 10 stations, dont Filali, Ciloc, Kadour Boumedous, université Mentouri…. «Depuis la mise en service des rames, on respire sur ce tronçon», avouera un habitant de Zouaghi qui, d’habitude, se faufilait au coude à coude pour se procurer une place dans un taxi clandestin. «Je m’en réjouis. Certes ce n’est pas express, mais ça circule. Il suffit de bien aménager son temps pour être au rendez-vous à son travail ou à
l’école», a-t-il ajouté. Avec les 27 rames du tram, d’une capacité de 6 800 passagers par heure dans les deux sens, une partie de la ville est désengorgée. Les Constantinois l’utilisent sans modération. Et les étudiants en ont fait leur moyen de locomotion privilégié, eux, dont l’attente était longue d’habitude aux alentours des espaces de bus et de taxis pour rallier le centre-ville,
l’université ou les résidences universitaires. A 40 DA le ticket, ce projet, qui a occasionné autant de désagréments au niveau de ses chantiers, se trouve cependant adopté différemment par la population locale. Il y a des personnes qui voient en cet acquis une dépense publique de trop, injustifiée pour la simple raison que le problème du transport perdure dans cette ville malgré l’ouverture en parallèle de plusieurs trémies. Celle de Zouaghi, à titre d’exemple. Le tramway a fluidifié la circulation, voire facilité le déplacement. Mais de l’autre, il a écorché des chaussées pour la pose de ses rails, font remarquer quelques riverains et conducteurs automobiles. «Le problème perdure au niveau de la cité Filali. Les concepteurs du projet n’ont pas envisagé un crochet
permettant aux voisins d’éviter le bouchon qui se forme à toute heure de la journée», martèle un citoyen. Et l’exiguïté des routes malmène souvent les véhicules prioritaires, notamment ambulances et camions de la Protection civile. Ce sont deux aspects négatifs de ce moyen de transport, aussi utile soit-il, mais gênant sur quelques mètres de son linéaire, approuvent quelques individus. Au demeurant le tramway rend service, et à moindre effort. Le constat serait satisfaisant si l’on plaçait le projet dans sa politique globale, dans une ville où la situation du transport est chaotique. «Franchement, il me rend grand service. Ma voiture demeure garée tout le long de la semaine. Je prends le tram chaque matin, cela m’arrange», témoigne un architecte travaillant au centre-ville et habitant les environs d’Aïn El Bey. A travers la mise en service de ce moyen en juillet 2013 et bien avant, les responsables du transport avaient parié sur une utilisation «rationnelle» des véhicules empruntant le même tracé des rames, afin de réduire un tant soit peu le flux. Il n’en est rien. Cette culture n’est pas encore ancrée dans les us des citoyens qui continuent à utiliser leurs voitures fut-ce pour des déplacements ordinaires.
Les chaussées sont toujours pleines de véhicules.
Les deux lignes inscrites par les pouvoirs publics et attendues reliant la ville à l’aéroport Mohamed-Boudiaf et à la nouvelle ville Ali-Mendjeli, où la démographie est importante, apporteront d’ici peu d’années une réelle bouffée d’oxygène. Aux dernières nouvelles le bureau d’étude espagnol en charge de la ligne Zouaghi -Aïn El Bey peaufine son esquisse avant l’entame des appels d’offre. Du moins les responsables affichent un satisfecit à rendre la destination Aïn El Bey et Ali Mendjeli aérée. Le tramway de Constantine a agrémenté quelques contours de la ville sans avoir garanti aux automobilistes une circulation sans peine. Les axes routiers les plus prisés jouxtant le projet suffoquent toujours.
N. H.
Constantine
Surexploitation du téléphérique, arrêts répétés et usagers désenchanté
- Publié le 28.01.2014 à 15:58, Par :latribune
Avant qu’il ne soit mis en exploitation, le téléphérique de Constantine avait nourri tous les espoirs.
De notre correspondant à Constantine A. Lemili
Avant qu’il ne soit mis en exploitation, le téléphérique de Constantine avait nourri tous les espoirs. Ils se confirmeront aux premiers mois mais les arrêts répétés (2009-2010-2011-2012-2013…2014) moins d’une année après sa mise en fonction en 2008, allaient vite installer le désenchantement. Du coup, les usagers allaient, en ce qui les concerne, revenir à leurs anciennes,
mauvaises forcément, mais inévitables habitudes et pour cause l’absence de moyens de transport de substitution, en subissant et en acceptant toutes les
brimades possibles de la faune des transporteurs toutes natures confondues. Il faut évidemment préciser que compte tenu des capacités sur lesquelles les pouvoirs publics locaux, dont plus particulièrement la direction des transports, avaient énormément glosé, le téléphérique était condamné à devenir le moyen de transport qui règlerait de manière définitive les contraintes vécues par les populations des hauteurs de la ville, à savoir haï Emir Abdelkader où a été implanté le terminus dit lieu de garage. A un degré moindre les habitants de la méga-cité Ziadia et la Baum allaient, à leur tour, gagner sur un raccourci de leur déplacement d’une part et surtout la disponibilité d’un moyen de transport dont la régularité ne pouvait être mise en défaut que par celle d’un métronome. Autrement dit, en tournant sans désemparer, les satellites ou cabines assuraient en une huitaine de minutes la traversée à vol d’oiseau d’une distance au sol qui, pratiquement, est incomparable compte tenu de sa nature : descente ou pente, c’est selon, lacets, bouchons et insécurité en raison des moyens empruntés dont notamment les «Tata», ces bus d’origine indienne dont l’âge dépassait la trentaine d’années.
Des bus qui alimentaient la rubrique des «faits divers» des journaux par
les accidents répétés et parfois aux conséquences dramatiques. Selon un bilan fourni au milieu de l’année 2012, le téléphérique aurait permis le transport de
12 000 000 d’usagers. Ce qui ne peut qu’être vrai compte tenu de son utilisation à une cadence infernale, mais toutefois un usage pompeusement vanté par les pouvoirs publics locaux sinon par l’Entreprise de transport de Constantine (ETC), société prestataire. Les 33 cabines devaient transporter en théorie (et en pratique également compte tenu de la demande) 15 personnes pour une rotation qui de bout en bout n’excédait donc pas la huitaine de minutes. D’où ces chiffres officiels avancés en août 2012 : 500 personnes transportées à l’heure, 10 000 passagers par jour et une pointe calculée à 16 000 exceptionnellement. Incontestablement, le téléphérique a révolutionné le quotidien de galérien de milliers de Constantinois, jusque-là otages d’aigrefins du transport entre bus collectifs et clandestins, et les fait se retrouver face à un moyen de déplacement propre, confortable, pas onéreux avec en prime un moment de villégiature qui permet à celui qui l’emprunte une vision exceptionnelle des gorges du Rhumel. Cet appendice touristique du téléphérique a d’ailleurs fait en sorte que nombreux sont les visiteurs en provenance d’autres wilayas et régions du pays à l’emprunter rien que pour le fun. C’est sans doute le revers de la médaille. Le téléphérique a été victime de son succès, ce succès claironné par la direction de l’ETC, dont les responsables ont semblé oublier toutefois que les arrêts successifs tout au long de ces cinq dernières années, officiellement mis sur le compte de la maintenance, l’amputation de la moitié des cabines du parcours est à mettre sur une exploitation irrationnelle d’un équipement qui était censé être à usage touristique avec un programme bien déterminé et non pas de transport public effréné. C’est du moins ce que nous avons su de manière indirecte via un échange de propos entre le directeur par intérim de l’ETC et un cadre de l’union de wilaya de l’Ugta. Un entretien où le responsable de l’entreprise de transport affirmait en substance qu’il «était normal que les pannes se répètent, est-il besoin de rappeler que le téléphérique était destiné à un usage touristique et non pas commercial» (sic). Soulignons quand même l’avantage du téléphérique qui, lorsqu’il est exploité, permet de régler de manière incontestable les difficultés de transport des milliers d’habitants des cités évoquées en début d’article mais aussi deux ou trois milliers d’agents du centre hospitalo-universitaire qui disposent d’un arrêt in-situ. A contrario, ses arrêts impromptus, constituent de sérieux contrecoups pour ces usagers qui du jour au lendemain se retrouvent pieds et poings liés entre les mains des flibustiers du transport que sont les transporteurs collectifs, les clandestins et les professionnels des taxis. En outre, l’usage du téléphérique était censé régler de manière appréciable la fluidité du trafic automobile tout au long des
parcours desservant le Chuc, la cité Emir Abdelkader, Ziadia, la Baum et
inversement. Cela n’a été en fait le cas qu’au cours des premiers mois de mise en exploitation et encore parce que cette exploitation a été entamée au mois de juin 2008, autrement dit à la fin de l’année scolaire, universitaire, l’avènement des grandes vacances, les congés, etc…Une sorte de miracle trompeur en somme. L’installation aura coûté la bagatelle de près de deux milliards de dinars mais c’est surtout sur le SAV ou service après-vente que Garaventa, la société suisse de réalisation, s’était investie. Les arrêts à répétition ont donné raison à ses responsables. Sur le plan technique la distance parcourue s’étale sur 1,5 km, il existe trois stations et la vitesse sur le parcours est de 14 km/h en moyenne.
Le téléphérique tourne sur une moyenne de 13 heures par jour. Enfin, nombreuses sont les rumeurs qui l’entourent, comme celle consistant à soutenir que l’un des plus importants socles de soutien des équipements ne serait pas consolidé et est menacé de rupture possible. Une rumeur qui a été officiellement démentie mais qui revient régulièrement sur le devant de la scène médiatique. Un peu comme le peu de résistance à la charge des câbles, également démentie, mais sans que ne soit apporté un quelconque argumentaire quant à la réduction de moitié des cabines et par voie de conséquence la réduction de moitié du nombre de personnes
transportées.
A. L.
L’Union de wilaya de l’UGTA Constantine évoque Abdelhak Benhamouda
Effacement des dettes de 26 entreprises économiques locales
- Publié le 27.01.2014 à 16:45, Par :latribune
Il aura fallu pour les
organisateurs de la rencontre déplacer vers une plus grande salle les
invités pour répondre à l’important nombre de personnes qui ont tenu à
marquer de leur présence la commémoration du 17e anniversaire de la
disparition d’Abdelhak Benhamouda.
De notre correspondant à Constantine A. Lemili
Il aura fallu pour les organisateurs de la rencontre déplacer vers une plus grande salle les invités pour répondre à l’important nombre de personnes qui ont tenu à marquer de leur présence la commémoration du 17e anniversaire de la disparition d’Abdelhak Benhamouda. La rencontre s’est tenue à hauteur de la Maison des syndicats et devrait s’étaler sur deux jours à partir d’hier. Entamée dans la matinée par une table ronde avec les interventions de quelques compagnons de lutte et militantisme du défunt, la manifestation continuera en cours d’après-midi par un tournoi sportif et prendra fin aujourd’hui par une marche qui démarrera à partir du bâtiment syndical jusqu’au cimetière, où la délégation se recueillera en souvenir des martyrs tombés au nom de la cause nationale, de la lutte syndicale et pour la survie du pays quand les hordes terroristes y ont semé la mort.
Préalablement à la table ronde, B. Rahma, président de la commission exécutive de préparation du congrès de wilaya, a tenu à évoquer son compagnonnage avec le défunt, mais s’est également appesanti, d’une part, sur les acquis de l’Union générale des travailleurs algériens durant les années glorieuses et, d’autre part, sur la période de déshérence qui les a suivies notamment au lendemain du krach économique de l’année 1986, les réformes engagées à partir de 1989, les exigences drastiques du FMI, l’ignominie du programme d’ajustement structurel et forcément du démantèlement programmé de l’appareil de production industriel national.
Une série d’évènements externes qui ont plongé le pays dans la récession avec la fermeture de centaines d’entreprises et la privatisation d’autres, mettant ainsi au chômage forcé des milliers de travailleurs. Dans le même ordre d’idées, l’orateur stipendiera l’expérience de l’usine de sidérurgie d’El Hadjar «bradée au profit du capital», comme il dénoncera «la liquidation d’un fleuron local de l’industrie, en l’occurrence la Comamo, au motif de difficultés financières alors que dans la réalité il ne s’agissait que d’un règlement de comptes entre individus autour d’intérêts sordides personnels». «Les temps sont heureusement en train de changer et je vous en donnerais pour preuve la prochaine réhabilitation d’une trentaine d’entreprises, dont l’ex-Sntv qui bénéficiera d’une flotte de quarante nouveaux bus au cours du premier semestre 2014 et donc l’opportunité de créer au moins deux cents emplois, Er-Riad, Enmtp… les dettes des entreprises en question ont déjà été effacées.»
Il endossera cette embellie annoncée au crédit de l’Ugta considérant qu’il «ne peut, malgré la multiplication de syndicats, exister de syndicalisme sans l’Union générale des travailleurs algériens. L’Algérie serait littéralement en panne si tel n’était pas le cas», affirmera le président de la commission exécutive de préparation du congrès de wilaya. Égratignant dans la foulée «ce journaliste qui parle d’une campagne électorale que j’ai entrepris depuis quelque temps. Sachez que je n’aspire à rien sauf à redonner à cette ville et surtout à cette union de wilaya de l’Ugta son titre de bastion du syndicalisme qui a donné au pays ce qu’il y a eu de meilleur en matière d’hommes rompus aux luttes ouvrières en les circonstances et la construction nationale en d’autres. Je citerai nos modèles, en l’occurrence Benikous, Demène Debbih, Djemame et bien entendu Abdelhak Benhamouda, tous émanation de l’union locale centre». Au cours de la rencontre, l’absence des représentants de la famille du défunt était excusée dans la mesure où ces derniers seraient honorés le lendemain (aujourd’hui. Ndlr) à hauteur de la centrale syndicale.
A. L.
Les deux communautés témoignent au FFS de l’existence de forces occultes derrière les événements
Ghardaïa : les habitants crient au complot
Par : Karim Kebir
Et si les événements qui ont
secoué la ville de Ghardaïa, depuis plus d’un mois, et certains autres
ksars de la vallée du M’zab n’étaient finalement que l’œuvre de “mains
occultes”.
Évoquée par le ministre de l’Intérieur, la thèse d’un complot interne semble la plus privilégiée par les deux communautés. Autant les Mozabites que les représentants de la communauté arabe malékite voient dans ‘‘l’embrasement de cette région, le premier dans l’histoire’’, jadis destination de prédilection des touristes, “des mains occultes”.
“Les notables mozabites que nous avons rencontrés lundi soir nous ont présenté un exposé, des données et des vidéos (…) Ils nous ont fait part de la lenteur des services de sécurité pour intervenir, en dépit de leur sollicitation”, a indiqué, hier à
Liberté, le député du FFS, Nassim Sadeg, qui s’est déplacé à Ghardaïa en compagnie du premier secrétaire du parti, Ahmed Betatache, et du député, Me Mustapha Bouchachi, dans le cadre d’une visite de travail. “Chose, à notre sens, importante, ils ont dit qu’ils ont toujours coexisté avec les communautés arabes et que même la France n’avait pas réussi à casser cette symbiose”, rapporte Nassim Sadeg. “Mais ils ont dit qu’il y a des forces occultes qui sont derrière ces manipulations”, a-t-il, toutefois, précisé. “C’est pourquoi, ils souhaitent que les autorités prennent leurs responsabilités.” Hier matin, la délégation du FFS, dont le parti s’est déjà distingué par un rapport à l’occasion d’une mission lors des événements de Guerrara, a eu à rencontrer plusieurs élus locaux, toutes tendances confondues, des directeurs d’école et des chefs de quartiers arabes malékites, ainsi qu’un ex-député du FNA.
“Eux aussi ont condamné cette violence. Ils considèrent qu’il y a des mains occultes qui seraient derrière cet embrasement. Ils insistent sur la nécessité de voir les autorités prendre en considération les préoccupations des populations. Ils regrettent que le Premier ministre Sellal n’ait pas rencontré les vrais représentants de la population”, rapporte le député du FFS. Après plus d’un mois de violences, la situation semble reprendre progressivement son cours normal.
Environ 70% des commerçants ont repris leurs activités, tandis que les élèves devraient rejoindre les bancs de l’école à partir d’aujourd’hui. Il faut dire que le calme n’est revenu qu’après l’arrivée des renforts des services de sécurité, notamment les brigades de la gendarmerie, les “verts”, que les Mozabites ont réclamés et applaudis à leur arrivée, contrairement aux “bleus”, la police, dont des éléments ont été accusés de connivence avec les Arabes malékites.
Parti fortement implanté dans la région, le FFS a été le premier à avoir envoyé une mission d’information dans la région de Guerrara après les affrontements qui avaient eu lieu entre les deux communautés à l’issue d’un match de football. Le FFS avait dénoncé des “cas de torture et de viols”, qu’il a recueillis auprès de jeunes Mozabites arrêtés.
Le FFS avait également rencontré le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et introduit une motion auprès du bureau de l’APN pour l’ouverture d’une enquête parlementaire sur ces événements. “À ce jour, nous n’avons reçu aucune réponse”, a indiqué Nassim Sadeg. Dans ce contexte, il est utile de rappeler que même les deux projets de lois introduits par le parti sont restés lettre morte. “On s’est engagé à suivre l’évolution de la situation”, conclut-il.*
Évoquée par le ministre de l’Intérieur, la thèse d’un complot interne semble la plus privilégiée par les deux communautés. Autant les Mozabites que les représentants de la communauté arabe malékite voient dans ‘‘l’embrasement de cette région, le premier dans l’histoire’’, jadis destination de prédilection des touristes, “des mains occultes”.
“Les notables mozabites que nous avons rencontrés lundi soir nous ont présenté un exposé, des données et des vidéos (…) Ils nous ont fait part de la lenteur des services de sécurité pour intervenir, en dépit de leur sollicitation”, a indiqué, hier à
Liberté, le député du FFS, Nassim Sadeg, qui s’est déplacé à Ghardaïa en compagnie du premier secrétaire du parti, Ahmed Betatache, et du député, Me Mustapha Bouchachi, dans le cadre d’une visite de travail. “Chose, à notre sens, importante, ils ont dit qu’ils ont toujours coexisté avec les communautés arabes et que même la France n’avait pas réussi à casser cette symbiose”, rapporte Nassim Sadeg. “Mais ils ont dit qu’il y a des forces occultes qui sont derrière ces manipulations”, a-t-il, toutefois, précisé. “C’est pourquoi, ils souhaitent que les autorités prennent leurs responsabilités.” Hier matin, la délégation du FFS, dont le parti s’est déjà distingué par un rapport à l’occasion d’une mission lors des événements de Guerrara, a eu à rencontrer plusieurs élus locaux, toutes tendances confondues, des directeurs d’école et des chefs de quartiers arabes malékites, ainsi qu’un ex-député du FNA.
“Eux aussi ont condamné cette violence. Ils considèrent qu’il y a des mains occultes qui seraient derrière cet embrasement. Ils insistent sur la nécessité de voir les autorités prendre en considération les préoccupations des populations. Ils regrettent que le Premier ministre Sellal n’ait pas rencontré les vrais représentants de la population”, rapporte le député du FFS. Après plus d’un mois de violences, la situation semble reprendre progressivement son cours normal.
Environ 70% des commerçants ont repris leurs activités, tandis que les élèves devraient rejoindre les bancs de l’école à partir d’aujourd’hui. Il faut dire que le calme n’est revenu qu’après l’arrivée des renforts des services de sécurité, notamment les brigades de la gendarmerie, les “verts”, que les Mozabites ont réclamés et applaudis à leur arrivée, contrairement aux “bleus”, la police, dont des éléments ont été accusés de connivence avec les Arabes malékites.
Parti fortement implanté dans la région, le FFS a été le premier à avoir envoyé une mission d’information dans la région de Guerrara après les affrontements qui avaient eu lieu entre les deux communautés à l’issue d’un match de football. Le FFS avait dénoncé des “cas de torture et de viols”, qu’il a recueillis auprès de jeunes Mozabites arrêtés.
Le FFS avait également rencontré le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et introduit une motion auprès du bureau de l’APN pour l’ouverture d’une enquête parlementaire sur ces événements. “À ce jour, nous n’avons reçu aucune réponse”, a indiqué Nassim Sadeg. Dans ce contexte, il est utile de rappeler que même les deux projets de lois introduits par le parti sont restés lettre morte. “On s’est engagé à suivre l’évolution de la situation”, conclut-il.*
K. K
Commentaires
#9
sesini
29-01-2014 15:42
les sales mains qui ont allume le brasier libyen,avec l'espoir de le voir debordè sur l'algerie est en pleine ouvre,vigilance !l'ènemis
est parmis,nouset le voisin jette par dessus nos tetes del'huile sur le
brasier et compris par le biais des reseau sociaux c'est connus et
c'est a la mode,tout le monde se fait passer pour des algeriens et
compris les gitans qui sement la pagaille dans certains villes
,notamment fraçaises. L'Algerie a besoin plus que jamais de ses
oreilles,autrem ent dit,de sa securite militaire,de son armèe et gendarmerie.l'e nemis est connus de nous,il change de tactique,il change de visage,il sait le maillon faible ou attaquer "le regionnalisme'' le feu colonel amirouche avait raison et feu boumedienne aussi"
#8
29-01-2014 15:32
Depuis que les
partisants de ferhat el mtourni font de fréquents voyages dans ce bled
que le mal a germé- Alors ne cherchez pas l'épine dans la tête des
chambis uniquement.
#7
29-01-2014 13:29
Il faut aller au bout
de l'enquête, garder le citoyen informé de son développement; si les
suspicions venaient à être confortée par des preuves et surtout les
responsables démasqués, aucune pitié pour les fauteurs de troubles,
responsables de plusieurs vies et destructions.
#6
29-01-2014 13:07
Ares avoir dis "Que c'est l'oeuvre de mains occultes qui tirent les ficelles" ;
il faut avoir le courage d'allez plus loin et donner des reponses .
Oui , tout le monde le sait ; des evenements de ce type sont toujours programmes .
En algerie ; il n ya qu'uns seule force qui peut le faire . C'est Medienne et sa bande.
Ecrivez des articles et demandez leurs des comptes
il faut avoir le courage d'allez plus loin et donner des reponses .
Oui , tout le monde le sait ; des evenements de ce type sont toujours programmes .
En algerie ; il n ya qu'uns seule force qui peut le faire . C'est Medienne et sa bande.
Ecrivez des articles et demandez leurs des comptes
#5
29-01-2014 12:45
il parait que les mains occultes se sont engagées à résoudre ce probleme mozabite et même celui épineux de la pénurie du lait.
#4
29-01-2014 12:32
Le complot n'est pas
des autorités algériennes qui n'ont rien à gagner, mais hors de nos
frontières, comme ils ont fait avec la secte qu'on appelle islamiste.
L'opposition fait tout pour discréditer le pouvoir et elle est dans son rôle,
mais pas entretenir le flot dans des situations pareilles.
Elle doit appeler à la sagesse.
L'opposition fait tout pour discréditer le pouvoir et elle est dans son rôle,
mais pas entretenir le flot dans des situations pareilles.
Elle doit appeler à la sagesse.
#3
29-01-2014 12:27
forces occultes, mais
lesquelles? Comme d`hab, c`est toujours l`autre: main de l`etranger,
c`est a dire non alignee sur l`ideologie officielle: pendant ce temps
l`alignement du pays au DICTAT arabo islamo fasciste continue: Comment
des mozabits peuvent ils se permettre de vivre "librement" leurs
pratiques non conformes.? Apres avoir aligne la kabylie grace aux
kabyles de services, la corruption et la repression islamo militaire.
c`est au tour des mozabits en attendant les touaregs. tout cela avec la
benediction du moribond qui veille et admire ses realisations
pharaoniques. avec la complicite d`un peuple au sommeil profond. Mouloud
#2
29-01-2014 12:13
Comme d'habitude, c'est encore et toujours cette "main de l'étranger" qui a agi dans son oeuvre de déstabilisation .
c'est elle qui a brûle violé et pillé chez des frères qui ont toujours
cohabité dans la fraternité. En plus, cette fois elle a agit armée
jusqu'aux dents habillée d'uniforme avec matraques, boucliers et
kalachnikovs. Elle a même été filmée avec des vidéos "truquées".
D'ailleurs même les morts de cette tragédie, ils ne sont pas morts, ils
vont se réveiller après le "truquage". De grâce, un peu de bon sens et
de sérieux, le peuple n'est plus celui des années 1960, il ne croit que
ce qu'il voit même si c'est "truqué". Et surtout, il ne demande plus aux
mains occultes de prendre en considération ses préoccupations. Heureux
qui ne sera là quand le vent soufflera !
#1
29-01-2014 11:39
De notre correspondant à Constantine
Nasser Hannachi
La commission mixte, composée de Canadiens, Japonais et Italiens, dépêchée par le ministère des Travaux publics à Djebel Ouahch le premier janvier 2014 pour diagnostiquer les causes de l’éboulement du tunnel T1, poursuit ses analyses du terrain, affirme le ministre en charge du secteur, en déplacement hier à Skikda. Profitant d’une halte sur les hauteurs, il s’est enquis de l’état d’avancement de l’expertise qui «a touché 23 km du tronçon sur un linéaire de 56 km». Les études battent leur plein au niveau des deux tunnels, dira le ministre sans donner la date de remise du constat pour entrevoir une issue au projet. Du moins les indices de l’expertise se montrent optimistes : le directeur régional de l’ANA a tenu à rassurer sur la stabilité du mouvement du sol au niveau des lacs de Djebel Ouahch, sans omettre de rappeler la complexité du relief. A l’ordre du jour de sa visite le ministre a inauguré le tronçon de l’autoroute Est-Ouest reliant la zone limite avec Constantine s’étalant sur 16 km entre El Ghedir à
El Kentour, du côté de Skikda. Quant à la réouverture du tunnel affecté et fermé à la circulation, la date provisoire n’est pas fixée avec précision. Elle est entre les mains de la commission chargée de l’expertise. Pour rappel, cette partie du tronçon de l’autoroute Est-Ouest a été ouverte en septembre 2012. A peine cinq mois écoulés, le tunnel de 1 900 mètres est «secoué» par un effondrement du chantier mitoyen.
Ce qui a contraint les responsables à le fermer, après y avoir décelé des fissures.
N. H.
couvert pour servir de «site de rechange» en attendant l’achèvement de la réhabilitation des maisons de la culture Malek-Haddad et Mohamed-Laïd Al Khalifa, a indiqué la ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi, citée par l’APS. Ces deux infrastructures ainsi que le Théâtre régional seront, en effet, hors service durant toute l’année 2014 pour être fins prêts à recevoir les
festivités de la méga manifestation «Constantine, capitale de la culture arabe 2015».
C’est au cours d’une visite de travail dans cette wilaya qu’elle a déclaré que cette infrastructure culturelle qui «obéit au diktat du climat», sera réhabilitée et couverte pour permettre son exploitation tout au long de l’année. Des contacts sont actuellement en cours avec une entreprise nationale spécialisée en la matière pour la livraison de ce projet pour le mois de mai 2014, a révélé la ministre, soulignant l’importance de cette infrastructure qui permettra à Constantine de poursuivre sa vie culturelle en attendant la livraison des projets de réhabilitation des maisons de la culture lancés dans le
cadre de la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe 2015».
La wilaya de Constantine a bénéficié, au titre de cette manifestation, de 19 nouveaux projets culturels et de 74 projets patrimoniaux, en plus d’un important programme de réhabilitation de 6 salles de cinéma, a rappelé la ministre, précisant que l’Etat a arrêté une série de mesures organisationnelles pour
permettre la livraison de ces chantiers dans les délais impartis. Elle a affirmé, dans ce contexte, que la majorité des nouveaux projets ont été déjà lancés en travaux, hormis deux nouvelles maisons de la culture dans deux communes, pour une question d’emplacement jugé «inadapté».
Evoquant la question de la réhabilitation du palais du Bey, les responsables locaux concernés ont précisé qu’un «vaste chantier de réhabilitation» de la
polychromie sera effectué sur une surface de 2 500 m2. Les projets de la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe 2015» seront assistés par l’Agence nationale de gestion des réalisations des grands projets de la culture (arpc) pour les nouveaux projets, et l’Office de gestion et
d’exploitation des biens culturels protégés (Ogebc) pour les projets liés au patrimoine pour lesquels l’Etat va investir plus de 7 milliards de dinars, a ajouté la ministre qui a assisté au protocole de signature d’un contrat d’engagement entre l’administration et l’entreprise de réalisation pour la réception des projets dans les délais et selon les normes.
W. S. M./APS
« Ils n'ont pas le droit car la loi ne leur permet pas cela. Le contrôle des officines pharmaceutiques est du ressort exclusif de l'Inspecteur des pharmacies, affilié à la direction de la Santé de la wilaya», ont protesté, hier, des membres du bureau de wilaya du Syndicat national des pharmaciens d'officine (SNAPO) qui nous ont contactés, dans l'après-midi d'hier, à l'issue d'une réunion extraordinaire du bureau, qu'ils ont tenue, à Ali Mendjeli. A la suite de ce conclave, les syndicalistes du SNAPO ont publié un communiqué virulent dans lequel ils ont stigmatisé «les visites impromptues, effectuées par les inspecteurs de la direction du Commerce, dans les officines qui créent des situations anarchiques et provoquent des conséquences préjudiciables aux pharmaciens aussi bien qu'aux citoyens et au système de santé». Selon eux, l'action répressive des agents de la DCP constitue un abus de pouvoir exorbitant, en ce sens qu'il remet en cause des principes fondamentaux édictés par la loi. A ce sujet, ils ont exhibé les textes réglementaires relatifs à ce domaine, en citant le décret exécutif n° 92/276, de juillet 1992, dans son article 3 relatif au code de déontologie médicale qui parle de l'inviolabilité de l'officine pharmaceutique.
Le second décret cité est celui portant le n° 098/09 du 19 août 98, modifié et complété par la loi 85/05, concernant les inspections de la pharmacie où il est stipulé que «seul le pharmacien inspecteur de la direction de la Santé est habilité à inspecter les officines pharmaceutiques.
«Le Snapo est solidaire avec les pharmaciens qui ont subi ces contrôles et leur apportera, tout son concours, pour utiliser les voies de recours judiciaires autorisées par les lois du pays afin, de faire respecter leurs droits fondamentaux», nous a déclaré M. Issam Boulakhrasse, secrétaire général du bureau du Snapo, de la wilaya, ajoutant qu'il va déposer une plainte auprès du procureur de la République et du wali de Constantine.
Pour rappel, cette montée au créneau des pharmaciens intervient en réaction aux contrôles qu'ils subissent de la part des agents de la DCP. «Ils viennent, sans crier gare, choisissent des lots des médicaments qu'ils placent dans des cartons qu'ils scellent par la suite. La marchandise est laissée là, dans l'officine, jusqu'à nouvel ordre», nous a expliqué, hier, un pharmacien qui a subi ce contrôle. Les membres du Snapo reviennent pour mettre, encore, l'accent sur l'illégalité de cette procédure, en signalant que le juge a donné gain de cause à des pharmaciens de Skikda qui ont été poursuivis en justice par la direction du Commerce, à la suite des contrôles effectués dans leurs officines. Quoiqu'il en soit, ont ajouté les syndicalistes, la tension ne cesse de monter chez les concernés qui menacent de recourir à la grève pour faire cesser ce qu'ils appellent harcèlement, d'autant plus injustifié qu'il est parfaitement illégal, comme ils viennent de l'expliquer.
A. Lemili
Il semble clairement acquis pour Mohamed Taleb Cherif, président du Parti national pour la solidarité et le développement (Pnsd), de ne pas faire de la candidature d’Abdelaziz Bouteflika un préalable pour tout candidat souhaitant postuler ou non à l’élection d’avril prochain.
En ce qui le concerne, il n’a fait que répondre à un plébiscite des membres du congrès, d’une part, et de la direction politique du Pnsd d’autre part. «Pour moi cela relève d’un double devoir, celui de répondre à la confiance placée en moi par les cadres et militants du parti mais également d’un devoir absolu à l’endroit de l’Algérie.»
Bien entendu et compte tenu des réalités, il paraîtrait pour le moins incongru qu’il n’y ait pas de préalable pour tout candidat, d’autant plus
si celui-ci appelle à des changements profonds dans la conduite des affaires du pays et dans la nature même des institutions sur lesquelles repose l’Etat. Pour le président du Pnsd, axialement son projet se situe à hauteur «…de la nature même du mode de gouvernance politique, la priorité étant de mettre un terme au régime de super-président actuel et l’inouïe concentration des pouvoirs entre les mains d’un homme qui fait que nous ne soyons plus en régime démocratique mais littéralement autocratique», a-t-il souligné. «Au Pnsd, nous
préconisons bien entendu un régime semi-présidentiel et forcément la séparation des pouvoirs. C’est ce que nous mettrons en pratique si le peuple nous investit le 17 avril prochain, comme nous procèderons à une révision profonde de la Constitution et à la dissolution de l’actuel Parlement et, par voie de conséquences, des législatives anticipées six mois après l’élection au cas où l’urne nous serait favorable. Cela dit, sur le plan économique, nous avons fait le choix depuis des années de ce qui est communément qualifiée de troisième voie et qui consiste en l’option vers un capitalisme soft tel qu’il en a été fait l’expérience par le chancelier Schroeder avec les résultats positifs connus et surtout le boom économique qui a propulsé la nation allemande en tant que première puissance économique européenne, d’une part, et pays le plus stable sur le plan politique en raison d’une politique sociale cohérente et à visage humain à laquelle le peuple et les partis politiques toutes sensibilités confondues adhèrent à l’unanimité.» Il rappellera que le fait de disposer «…d’un confortable matelas financier en guise de réserves monétaires ne veut rien dire quand en face vous avez un système économique plus proche du bazar que des standards d’orthodoxie en la matière». Du bon usage des fonds souverains, il citera le Qatar qui, par ses choix, ses placements, serait en train de réaliser
une OPA sur une partie de l’Europe au moment «où les finances algériennes stockées dans des fonds américains servent à asseoir l’hégémonie sioniste sur le reste du monde, notamment les pays arabes et plus particulièrement la
Palestine».
Taleb Cherif souhaite une alternance du pouvoir qui se fasse pacifiquement et s’en explique : «En fait si les règles du jeu sont respectées, il n’y a aucune raison que la transition ou sinon l’alternance ne se fasse pas dans la sérénité pour une raison essentielle qui veut que le pays est doté depuis l’intifadha d’octobre 1988 de textes de loi et de mécanismes lesquels, pour peu que ceux qui s’accrochent encore au pouvoir aient l’humilité de se retirer, ne peuvent qu’y concourir et consolider de manière durable.»
Le président du Pnsd abordera la question du chômage, un élément de l’inventaire social dont il fera son cheval de bataille durant la campagne, celui-ci considérant «anormal, inquiétant, inique que près de deux millions de jeunes diplômés de l’université algérienne en âge de travailler ne trouvent pas de poste d’emploi», Taleb Cherif ironisant dans la foulée de la présence de «cadres supérieurs de l’Etat qui ne sont même pas titulaires du baccalauréat». Il interprètera les événements qui agitent la wilaya de Ghardaïa comme «…les conséquences d’une gestion hasardeuse des réalités locales dont le soubassement essentiel est d’ordre économique avec sans doute une espèce d’iniquité sociale perçue par une strate qualifiée du titre ‘‘d’Arabes’’ par rapport à une autre, connue pour sa pugnacité au travail et ses capacités professionnelles dans le commerce et autres appelée ‘’Mozabites’’».
Quoiqu’il en soit, Taleb Cherif s’en remet au civisme des citoyens qu’il appelle à la mobilisation pour le prochain scrutin, une mobilisation forcément autour de sa candidature mais également et sans exclusive à l’endroit de tout autre candidat du pôle démocratique.
En fin de rencontre, les 12 coordinateurs des wilayas présents à la rencontre se sont vus remettre des formulaires destinés à apporter la preuve des 60 000 souscriptions exigibles par la loi électorale et dont le but est d’obtenir auprès du Conseil constitutionnel la confirmation, voire l’agrément de toute candidature.
A. L.
Deux émissaires du bureau politique du FLN, en l'occurrence M. Mostefa Maâzouzi et Ahmed Boumehdi ont été dépêchés, avant-hier, à Constantine pour porter la nouvelle du changement, à la tête de la Mouhafadha, et aussi discuter avec les militants autour de la nouvelle restructuration ou redéploiement du parti, à la veille des élections présidentielles, mais on leur fermera au nez les portes du siège de la Mouhafadha. Des élus locaux et autres membres de kasmates, qui s'inscrivent contre le changement, décidé par la direction du parti, ont affiché leur mécontentement à la suite de l'éviction de l'ex-Mouhafedh qui se trouve, selon ses proches, à l'étranger, bloquant l'accès au siège de la Mouhafadha. Des invectives ont fusé, de part et d'autre, mais les émissaires du Bureau du politique opteront pour une autre solution afin d'éviter tout dérapage incontrôlé. Ainsi, la réunion se tiendra dans une kasma, au centre-ville, où l'on procèdera à l'installation de deux commissions transitoires, pour gérer la prochaine étape. M. Maâzouzi nous expliquera, dans un entretien téléphonique, que la wilaya de Constantine a été découpée en deux zones : nord et sud, avec, à leurs têtes, deux mouhafedhs, en l'occurrence M. Ahmed Habachi et Fouad Kharchi, tous deux députés du parti. Ces derniers ont été chargés de préparer des élections qui permettront d'installer les membres des deux nouveaux bureaux des Mouhafadha. « Il ne s'agit pas d'un limogeage, nous dira M. Maâzouzi, à propos de ce changement, opéré à la tête de la Mouhafadha de Constantine, c'est le fait d'une restructuration du parti, décidée par le secrétaire général du parti, chose qui s'inscrit dans ses prérogatives, d'ailleurs le redéploiement, en question, touchera toutes les grandes wilayas du pays, pour un maillage conséquent des espaces, le tout visant une préparation du lancement de la campagne présidentielle ». En tout cas, le changement en question n'a pas manqué de désorienter les partisans de l'ex-Mouhafedh qui se comptent, particulièrement, parmi les élus locaux.
Deux émissaires du bureau politique du FLN, en l'occurrence M. Mostefa Maâzouzi et Ahmed Boumehdi ont été dépêchés, avant-hier, à Constantine pour porter la nouvelle du changement, à la tête de la Mouhafadha, et aussi discuter avec les militants autour de la nouvelle restructuration ou redéploiement du parti, à la veille des élections présidentielles, mais on leur fermera au nez les portes du siège de la Mouhafadha. Des élus locaux et autres membres de kasmates, qui s'inscrivent contre le changement, décidé par la direction du parti, ont affiché leur mécontentement à la suite de l'éviction de l'ex-Mouhafedh qui se trouve, selon ses proches, à l'étranger, bloquant l'accès au siège de la Mouhafadha. Des invectives ont fusé, de part et d'autre, mais les émissaires du Bureau du politique opteront pour une autre solution afin d'éviter tout dérapage incontrôlé. Ainsi, la réunion se tiendra dans une kasma, au centre-ville, où l'on procèdera à l'installation de deux commissions transitoires, pour gérer la prochaine étape. M. Maâzouzi nous expliquera, dans un entretien téléphonique, que la wilaya de Constantine a été découpée en deux zones : nord et sud, avec, à leurs têtes, deux mouhafedhs, en l'occurrence M. Ahmed Habachi et Fouad Kharchi, tous deux députés du parti. Ces derniers ont été chargés de préparer des élections qui permettront d'installer les membres des deux nouveaux bureaux des Mouhafadha. « Il ne s'agit pas d'un limogeage, nous dira M. Maâzouzi, à propos de ce changement, opéré à la tête de la Mouhafadha de Constantine, c'est le fait d'une restructuration du parti, décidée par le secrétaire général du parti, chose qui s'inscrit dans ses prérogatives, d'ailleurs le redéploiement, en question, touchera toutes les grandes wilayas du pays, pour un maillage conséquent des espaces, le tout visant une préparation du lancement de la campagne présidentielle ». En tout cas, le changement en question n'a pas manqué de désorienter les partisans de l'ex-Mouhafedh qui se comptent, particulièrement, parmi les élus locaux.
Au demeurant, par sa position géographique stratégique et sa dimension historique et culturelle, El-Kantara a, tout le temps, été un lieu de rencontres, d'échanges et de culture. Le village a abrité une école primaire, dès 1892 et une medersa fondée par l'association des Oulémas, en 1932. Ayant fréquenté ces deux établissements, un ami Charhabil, natif des lieux et cadre supérieur de la nation, me disait, un jour, avoir été «nourri aux sources de deux cultures, ce qui a, certainement, favorisé une ouverture et une tolérance plus grandes ». Allez, poussons la machine mon fils ! Nous voilà à côté d'une merveilleuse ancienne bâtisse. La gare. Il n'y avait personne, hormis le gentil et beau chef de gare. Tenue correcte, il était affairé à rédiger ses dépêches. Le stylo est encore de mise sur ce bureau où s'intronisent les documents imprimés en lettres latines. Dans ce lieu semblant être extirpé d'un passé lointain, les vertus du clavier et du wifi n'ont pas encore débarqué leur lot de mauvaise connexion. La salle d'attente a l'air d'avoir été désertée depuis longtemps. Vide, si ce n'est un tableau mal venant censé indiquer les horaires de passage du train. Autant que le souffle qui y est, tente d'extraire de ces fragments de bancs, qui subsistent encore, la vie qui se faisait à l'époque qu'une pâle copie d'une carte postale, affichée en relief vous invite à plonger dans l'âge d'or de cet infime espace. On y voit des gens à l'apparence européenne, sanglés dans des costumes d'époque, des valises, des chariots, des poussettes de bébés. En ce jour grisâtre et ennuagé pas de passagers ni de marchandises. Pas même l'ombre d'une valise. Seuls les quais longs et silencieux restent comme des témoins pour raconter, par invocation, ces doux moments, parfois chagrinés, des départs et des arrivées. C'est là sur ces quais que meurent les adieux et les bienvenues.
Le quai n'est-il pas une figure qui évoque, par imagerie et d'une façon instantanée, une idée et un concept d'attente et d'expectative? Le vide événementiel qui se vit dans cette gare, aussi silencieuse que le sont les falaises qui l'enserrent aurait-il remplacé le remplissage mondain qui la remuait ? Une belle gare tirée d'un mauvais passé.
La salle Ibn Zeydoun de l’Office Riad El Feth (Oref), accueillera, le
30 janvier prochain à partir de 19h, l’exceptionnel spectacle de la conteuse Sihem Kennouche intitulé «Semaa enda… Contes et chants du Maghreb».
La talentueuse conteuse sera entourée par des chanteurs et musiciens venus de plusieurs villes maghrébines, en tête desquelles Tunis, Meknès, Adrar, Tizi Ouzou, Constantine ou encore Alger, pour une soirée inédite valsant entre la lecture de contes, la poésie et la musique traditionnelle maghrébine. Dans la fiche de présentation, il est écrit que «Semaa enda» est un spectacle qui plongera le public dans le monde de l’écoute du rêve et de l’émotion. Ainsi,
«sur scène, une conteuse, Sihem Kennouche, accompagnée de musiciens et de chanteurs, qui vous feront voyager à travers un Maghreb sans frontières.
A l’honneur nos Qsaïed, nos poésies, l’essence même de la culture maghrébine. Qu’elle est donc cette légende ou cette histoire qui se cache derrière chacune de ces poésies ? Une autre manière d’écrouter Hizia, Vava inouva et bien d’autres encore... Sihem, contera la légende du poème et les chanteurs l’interpréteront», ajoute-t-on.
Destiné au large public, les petits comme les grands, ce spectacle sera rythmé par les sonorités traditionnelles des musiciens sous la direction du chef d’orchestre Kamel Maati, ainsi que les chanteurs mettant à l’honneur, chacun à sa manière, différentes interprétations de chants et musiques traditionnels maghrébins. A l’instar de Mohamed Jebali venu de Tunis, Djelloul Margha d’Adrar, Salem Iddir de Tizi Ouzou, Mehdi Tamache d’Alger, la chanteuse marocaine Hayat Boukhriss, et Abbas Righi, spécialiste de la chanson traditionnelle constantinoise. Très connue du grand public, notamment de la radio, où elle fit notamment découvrir aux auditeurs les origines des noms et les significations des prénoms maghrébins, la passion de Sihem Kennouche pour la culture populaire et les contes remonte à son enfance lors de la découverte des contes grâce à sa grand-mère et ses lectures et nombreuses recherches sur le patrimoine. Poursuivant des études littéraires et devenue enseignante, puis chroniqueuse sur les ondes de la Chaîne III, elle proposera à l’Entv l’émission «Il était mille fois», entièrement consacrée à la poésie et aux différents genres de contes, étroitement liés aux autres formes d’expression artistique maghrébine. Pour ce spectacle, les billets sont déjà en vente au niveau de la salle
Ibn Zeydoun et le prix est fixé à 500 dinars.
S. B.
L'échotier
le 29.01.14 | 12h37
Il a affirmé, à ce titre, que les glissements de terrain auraient pu être évités si des études approfondies du sol avaient été entreprises. Il est clair que le ministre fait allusion à l’important affaissement qui a touché, le 1er janvier, le tunnel de Djebel Ouahch, dans la wilaya de Constantine.
Ces propos contrastent avec ceux de Amar Ghoul lequel ne cessait d’assurer que le parcours de l’autoroute avait été soigneusement passé au peigne fin par des bureaux d’études spécialisés, de même qu’ils viennent corroborer le chapelet d’accusations formulées contre la gestion du dossier par Ghoul.
L’on citera, à ce propos, le choix énigmatique du groupe nippon Cojaal pour la réalisation du tronçon oriental de l’autoroute. Ne disposant guère d’une carte de visite considérable, Cojaal s’est néanmoins vu confier une partie sensible de l’autoroute. Il fera d’ailleurs vite ses «preuves» en conférant à la durée des travaux une élasticité temporelle et financière.
Lydia Rahmani
Chaib
le 29.01.14 | 16h36
Chaib
le 29.01.14 | 16h07
le monde
le 29.01.14 | 15h35
Chaib
le 29.01.14 | 15h31
Chaib
le 29.01.14 | 14h59
anti khoroto
le 29.01.14 | 14h45
Chaib
le 29.01.14 | 14h41
cvagabon
le 29.01.14 | 13h19
Lillytami
le 29.01.14 | 12h44
الباحثة ليلى كواكي تشرّح 3 روايات معاصرة لوطار، لعرج و بوجدرة
ندد سكان أحياء "سطح عين الباي" بمحاولات اغتصاب الأراضي
المخصصة للمساحات الخضراء التي تطل عليها سكنات "الإخوة فراد"، "باب جديد"،
وحي"1100 مسكن"، مطالبين الوالي بالتدخل شخصيا لوقف محاولات القضاء على
المساحات الخضراء وتشويه الشارع الرئيسي المار بالأحياء المذكورة.
حيث طالبت ثلاث جمعيات ممثلة لسكان أحياء "سطح عين الباي" من والي الولاية
وضع حد لتحركات مشبوهة من قبل سماسرة العقار الذين يريدون-حسب بيان تلقينا
نسخة عنه- الاستيلاء على أملاك الدولة لغرض تحويلها إلى حصص للبناء على
حساب المخططات العمرانية والمساحات الخضراء التي أكد رؤساء جمعيات الأحياء
المعنية على جهود الدولة المبذولة لتجسيدها في الميدان من جهة والحفاظ
عليها خدمة لنمط العمران المتبع وراحة المواطن من جهة أخرى، ومما زاد من
استياء المواطنين القاطنين بمحاذاة الأرضيات المعنية بتهيئتها كمساحات
خضراء تعد المتنفس الوحيد والهام لأبناء المنطقة هو إقدام مديرية التعمير
والبناء على تقليص عرض الطريق المزدوج من خلال تضييق طرفي الطريق المار عبر
الأحياء المذكورة آنفا رغم فسحة المكان واتساع الشارع، و رغم أهميته
كمشروع لفك الخناق عن مستعملي الطريق الوطني رقم (76) الرابط بين المدينة
الجديدة "علي منجلي" و"قسنطينة" على اعتبار أن منطقة "زواغي" تكتسي أهمية
بالغة كموقع عمراني استراتيجي تسعى الدولة لجعله قطبا عمرانيا بخصائص عصرية
من خلال برمجته لاحتضان مشاريع حيوية عديدة ومتنوعة.
وحسب ما جاء في البيان الذي أرسلت نسخا منه إلى والي الولاية السابق ووزير
الداخلية والجماعات المحلية وبعد الإحساس بعدم براءة الأمر حينها اضطر سكان
أحياء "سطح عين الباي" إلى التوجه للمديرية المعنية عن أشغال الطريق
والاستفسار عن نوعية الإنجاز لدى الهيأة المختصة المكلفة بالأشغال بمديرية
التعمير والبناء ليتلقوا توضيحات تفيد بتخصيص الفضاء المتبقي لإنشاء مساحات
خضراء تضمن تجسيد مخططات العمران الحديثة الكفيلة بضمان راحة المواطن
والرقي بالنسيج العمراني والهيكل المعماري إلى مصاف العمران الحديث ومتكامل
الأركان، إلا أن تردد سماسرة العقار على المكان للاستيلاء على تلك المواقع
ومحاولة تحويلها إلى حصص سكنية كما يؤكده مخطط الكتلة الذي بحوزة
السماسرة، ما دفع بالسكان المعنيين لاتهام الوكالة العقارية المسؤولة
بممارستها لمراوغات تستهدف تشويه المحيط العمراني للمنطقة والتلاعبات التي
أصبحت واضحة-حسب المعنيين دائما- في تكريس الإساءة لجمالية المحيط العام
للأحياء الثلاثة، من خلال إصرارها على إنجاز المشاريع بمعايير تجاوزها
الزمن وأساليب أقل ما يقال عنها أنها بنايات للإيواء فقط تفتقر لأبسط عوامل
الراحة.
هذا ويؤكد أصحاب البيان المرفق بمخطط تصميمي للكتلة يحدد المعالم الهندسية
للموقع أنه وفي ظل تمسك الوكالة العقارية والجهات المعنية بإلغاء المساحات
الخضراء عبر طول الشارع الرئيس والذي سيحرم السكان المحاذين له من مرافق
حيوية تعتبر المتنفس الوحيد لأبنائهم أنه لا يمكن السكوت عنه لمساسه بمكسب
لا يمكن التفريط فيه أبدا مهما كلف الثمن-يقول ممثلو السكان-
محمود بن نعمون
يتطلعن لتنفيذ وعود إدارة الإقامة التي قطعتها في بداية السنة بتخصيص غرفة لهن باعتبار أنهن يعانين من نقص في البصر، حيث وجب على إدارة الإقامة مراعاة ظروفهن الصحية التي تتطلب الأخذ بعين الاعتبار وتحسين ظروف إقامتهن.
ينتظرن الاستجابة لطلباتهن منذ بداية السنة
سهام المنحدرة من ولاية بجاية، سنة ثانية علم اجتماع بجامعة بوزريعة، تعاني من نقص في البصر، عاهة مستديمة منذ أن ولدت، حالتها لم تجد علاجا إلى يومنا هذا، تقول تحصلت على شهادة البكالوريا وواصلت دراستي بفضل عائلتي التي أعتز بها وقفت إلى جانبي طول مشواري، مضيفة قررت التنقل للدراسة في العاصمة لعدة اعتبارات، طموحها حملها لخوض تجربة كانت متفائلة لخوضها عندما طلبت من أهلها أن يسمحوا لها بالدراسة في العاصمة، بعيدة عن بيتها العائلي، كان الأمر في البداية صعبا لكن مع مرور الوقت تقبلوا الفكرة.
الأمر الذي دفعها للحديث هو المعاناة من التهميش والإقصاء رفقة زميلاتها في الدراسة تتقاسم معهن مرارة غرفة واحدة في الإقامة الجامعية للطالبات بدالي إبراهيم 1، تنتظر تنفيذ الوعود التي قطعتها مديرة الإقامة ورئيسة مصلحة الإقامة التي وعدتهن بمنحهن غرفة لثلاثتهن، باعتبار أنهن يعانين من نقص في البصر وبحاجة لغرفة يتقاسمنها بمفردهن، وفي الحديث عن المشكل الذي يؤرقهن، صمتت قليلا وأضافت مبتسمة حنا عندنا طبايع وطقوس نعيشوا حياة هادئة، لن يفهمنا شخص عادي مثال أنا لا أستطيع تعريض عيني للضوء كثيرا وأمور أخرى نتشارك فيها نحن الثلاثة، كل منا تحس بأخرى لكن شخص عادي لا يتقاسم معنا المعاناة وكل حر في تصرفاته، لكن ما حز في نفسها هو عدم تجاوب إدارة الإقامة مع حاجتهن في التغيير والاستقرار وتنفيذ الوعود التي قطعت منذ بداية السنة خاصة وأن أياما قليلة تفصلهن عن الامتحانات.
مريم تتجرع مرارة الإعاقة والإقصاء
مريم زميلة سهام في الغرفة والدراسة منحدرة من ولاية تيزي وزو تعاني هي الأخرى من نقص البصر الذي لازمها منذ الطفولة بعد ارتفاع مفاجئ للحمى إثر وعكة صحية أفقدتها البصر في إحدى عينيها، تقول تمرمدنا العام لي فات وهذا العام، تفتقر هي الأخرى للهدوء والسكينة في حياتها اليومية باعتبار أنها تتقاسم الغرفة مع سهام وسعاد وطالبة أخرى لا تتمتع بصحة جيدة لا تحترم رغباتهن، بدأت معاناتها بعد نيلها شهادة البكالوريا، حيث قصدت العاصمة للدراسة إلا أنها عانت كثيرا في الحصول على غرفة في الإقامة الجامعية وبعدما وجدت الغرفة وتعرفت على زكية التي تعاني من نفس المشكل أقامتا في غرفة رفقة طالبة أخرى ضربت عرض الحائط حالتهما وحاجتهما للراحة والسكينة، معاناة دامت عدة أشهر إلا أن قررت هي وصديقتها سعاد الخروج من الغرفة التي كانت تشغلها رفقة طالبة أخرى، ووجب خروجهما من الغرفة إمضاء تعهد مع الإدارة، تقول ليتنا لم نفعل خرجنا من السيئ للأسوأ هربنا من الحبس طحنا في بابوا انتقلنا إلى غرفة بها ست طالبات وأصبحنا ثمانية، مبتسمة كل طير يغني بغناه، أمضينا بقية العام بشق الأنفس أنا وسعاد في بداية هذه السنة طلبنا الاستفادة من غرفة مشتركة لنا نحن الثلاثة، قدمنا طلبا مرفوقا بشهادة طبية تستوجب التكفل بحالتنا الصحية وتوفير الجو الملائم والهادئ لنا، مديرة الإقامة أخذت الأمور بجدية وطلبت من رئيسة المصلحة الاستجابة لطلبنا لكن منذ ذلك الحين لم يتغير شيء في حالنا.
بعد مسكنها عن الجامعة أجبرها على تجرع مرارة الإقامة
حالة سعاد طالبة سنة ثانية علم النفس بجامعة بوزريعة لا تختلف كثيرا عن الأخريات، هي مقيمة في ضواحي العاصمة لكن حالتها أجبرتها على تفضيل الإقامة الجامعية على منزلها، كونها تعاني من بعد النظر كل شيء قريب تراه بعيدا، مشكل لطالما أرق حياتها، تحصلت على شهادة البكالوريا وقررت المكوث في الإقامة الجامعية باعتبار أنها تقيم في أحد الأحياء خارج المدينة ما جعل والدها مجبرا على مرافقتها يوميا ذهابا وإيابا، استفادت من الموافقة على الإقامة في الجامعة من أجل تخفيف العبء على والدها، وجعلها تخوض التجربة المريرة مثلها مثل أي طالب أو طالبة في الجامعة يعاني التهميش والإقصاء، باعتبار أنها تجرعت مرارة الإقامات الجامعية التي يفترض أن توفر الجو الملائم لهذه الفئة من الطلبة حتى يتمكنوا من المضي قدما نحو الأفضل وتزيح عنهم هم التخبط في الظروف المعيشية غير الملائمة التي أرقتهم خاصة وأن أيام قليلة تفصلهن عن امتحانات السداسي الأول لهذه السنة.
الأربعاء, 29 يناير 2014
عدد القراءات: 268
الأربعاء, 29 يناير 2014
عدد القراءات: 133
الأربعاء, 29 يناير 2014
عدد القراءات: 136
http://www.echoroukonline.com/ara/articles/193417.html
رفض أمناء محافظات كل من تبسة، سوق أهراس، بسكرة، برج بوعريريج، البويرة، البيض بشار، قرارات إنهاء مهامهم التي اعتبروها سابقة خطيرة في تسيير الحزب، نظرا لغياب المبررات اللازمة، وحذر ذات الأمناء في بيان تلقت ”الفجر” نسخة منه أمس، مما وصفوه بالانزلاق المميت، داعين إلى ضرورة أن يلتحم كل من له مسؤولية وغيرة على الحزب للوقوف في وجه من يبحث عن الفوضى والبلبلة، مؤكدين أن كل ما بني على باطل فهو باطل، ووصف البيان تصرفات عمار سعداني بـ”محاولة الهروب إلى الأمام”، واعتبرته تهديدا للهيئات السياسية والمنتخبة وسطوا على الهياكل في مسلسل خطير يمس بأركان الحزب.
وسألت ”الفجر” عضو مكتب سياسي في قيادة سعداني، حول سبب هذه الإقالات على مقربة من الرئاسيات، ففسر الأمور بإجراءات تنظيمية وبتجديد مسؤولي المحافظات استعدادا للرئاسيات، متهما الرافضين لقرارات سعداني بمحبي الكراسي الرافضين للتداول على السلطة. وأكد محافظ ولاية باتنة المقال، إبراهيم بولحية، لـ”الفجر” في رده على سؤال حول أسباب الإقالة وإن كان الأمر يتعلق بمعاداتهم للعهدة الرابعة كما تروج له بعض الأطراف، أنه لحد الساعة لم يتم تبليغه بأسباب إنهاء مهامه، وأن هذه الاتهامات التي وردت على صفحات الجرائد لا أساس لها من الصحة، لأنه شخصيا كان أول سيناتور معين في الثلث الرئاسي، وعضو لجنة مركزية في الافالان يناشد الرئيس بوتفليقة في رسالة للترشح مجددا، للحفاظ على استقرار البلاد.
وقال القاضي السابق إن حكاية العهدة الرابعة مردود عليها، لأن أغلب المحافظين الذين تمت إقالتهم من أشد الأوفياء للرئيس بوتفليقة، وعلى رأسهم محافظ ولاية بسكرة الذي كان مديرا لحملته الانتخابية، لافتا أن من كانوا ضد الرئيس بوتفليقة يتبوأون مراكز قيادية، وتابع بأن هؤلاء المحافظين الذين وقعوا ويتهمم سعداني بمعاداته، وقعوا لاستدعاء دورة طارئة للجنة المركزية ولم يوقعوا ضد شخصه، وأن الأمر لا يعالج بالقرارات الانفعالية، وإنما بفتح باب الحوار، لأن الحزب يحتاج لتجميع صفوفه لا لمزيد من التشتت.
وكشف بولحية، أن سعداني قفز على القانون فيما يتعلق بتعيين الوزير السابق موسى بن حمادي للإشراف على محافظة برج بوعريرج، بعد إقالة بوعلام جعفر، لأن النظام الداخلي والقانون الأساسي للحزب يشير إلى أنه يتم تعيين مسير المحافظة من بين أعضاء مكتب المحافظة المنتخبين في الجمعية العامة، وبن حمادي ليس عضوا في المحافظة، وهذا ما رفضته محافظة برج بوعريريج. من جهة أخرى، كشفت مصادر قيادية أن أكثر من 20 محافظا وقعوا ضد سعداني، وأن هؤلاء سيجتمعون السبت أو الأحد المقبل لاتخاذ موقف ضد قرارات سعداني.
وإلى جانب ثورة المحافظين، ينتظر خصوم سعداني، ترخيصا من مصالح ولاية الجزائر لاستدعاء دورة طارئة لانتخاب أمين عام جديد، أو انتخاب قيادة مؤقتة في حال فشل المسعى أمام رفض عدد من أعضاء اللجنة المركزية عودة عبد العزيز بلخادم.
فاطمة الزهراء حمادي
اضطرت العديد من بلديات العاصمة، إلى إعادة ملفات طالبي الاستفادة من السكن بمختلف صيغه، لاسيما السكن الاجتماعي الذي لم يتم الإفراج عن قائمة المستفيدين منه، حيث أرجعت مصادرة متطابقة العملية إلى ورود أخطاء عديدة في الوثائق الإدارية، خاصة شهادة الميلاد رقم 12 والتي تعتبر جد أساسية في ملفات الحصول على السكن، وهو ما أثار موجة من الغضب والاستياء وسط المواطنين المعنيين وتسبب في تعطل إتمام لجان دراسة ملفات السكن، في الوقت الذي تشهد فيه مختلف ولايات الوطن موجة من الاحتجاجات للمطالبة بتوزيع السكنات الاجتماعية.
لايزال مسلسل الأخطاء في الوثائق الإدارية والمستندات المطلوبة يرهق الكثير من المواطنين، وقد زاد المشكل حدة هذه الأيام، حيث يقدم الآلاف من المواطنين على شبابيك الحالة المدنية قصد استخراج بعض الوثائق والشهادات الخاصة بملف الوكالة الوطنية لتحسين السكن وتطويره ”عدل” بعدما كان رد هذه الأخيرة بالإيجاب بالنسبة إلى هذه الفئات، وقد شرعت في استدعاء المكتتبين الجدد في برنامج ”عدل 2” لتسديد الأقساط ألأولية، إلى جانب شروع أهم ولايات الوطن وعلى رأسها العاصمة في الإعداد لأكبر عملية ترحيل منذ الاستقلال، وهي العملية التي كشفت جملة من العيوب فيما يخص ارتكاب الأخطاء من طرف أعوان مصالح الحالة المدنية على مستوى مختلف البلديات، مما جعل أعدادا هائلة من الضحايا يتوافدون على مكاتب الحالة المدنية وكذا وكلاء الجمهورية قصد التصحيح، مستنكرين الظاهرة ومطالبين بحلول فعالة تحد من تسيب بعض أعوان الحالة المدنية الذي يوقعهم في الكثير من الأخطاء قد تحرمهم من الاستفادة من سكن وبالتالي تحقيق حلم العمر المتمثل في الظفر بشقة، مع العلم أن البلديات المعنية بالترحيل لا تمنح وقتا كافيا للمواطنين لإعادة الملف، وهو ما يخلق جوا من الخوف والارتباك لدى الأشخاص الذين يستخرجون شهادات الميلاد رقم 12 من المناطق الداخلية.
وتعرف هذه الأيام مصالح الحالة المدنية لبلديات العاصمة، على غرار نظيراتها على مستوى الوطن، توافد عدد كبير من المواطنين الراغبين في استخراج بعض الوثائق والشهادات الإدارية التي تضطرهم إلى الانتظار ساعات وحتى أيام أو أشهر في بعض المناطق، بسبب الفترة الزمنية التي تستغرقها عملية سحب الوثائق الرسمية خاصة منها شهادة الميلاد الأصلية رقم 12 التي أضحى صاحبها يحسب لها ألف حساب قبل الحصول عليها، بسبب الأخطاء التي يرتكبها بعض الأعوان في كتابة المعلومات الصحيحة التي تمس في الغالب أسماء الأشخاص المستفيدين من شهادات الميلاد، الوفاة أو عقود الزواج، وهو ما يفتح الباب أمام عدة تساؤلات حول عدد المواطنين الذين يضطرون إلى إيداع طلباتهم لدى العدالة لتصحيح مثل هذه الأخطاء والفترة التي تستغرقها للرد على الطلب وتصحيح الخطأ.. يأتي هذا في الوقت الذي دعا فيه الوزير الأول عبد المالك سلال إلى تقليص الوثائق الإدارية المستخرجة في الملفات الخاصة بالعمل والسكن والوثائق الرسمية كبطاقة التعريف الوطنية وجواز السفر، ويبدو أن المواطنين وإن تخلصوا من دوامة الوثائق المستخرجة في الملفات المعنية سيدخلون في دوامة الأخطاء المرتكبة من طرف أعوان الحالة المدنية.
التهكــم على المرشحيــن وزلاتهـم يطبع تعليقات الجزائريين
قرعت طبول الرئاسيات عبر صفحات التواصل الاجتماعي وسط حمى وتنافس شديدين بين مترشحين افتراضيين يتابعون باهتمام ما يجري في الساحة السياسية من تطورات متعلقة بالرئاسيات لسنة 2014، ومرشحون فعليون نقلوا حملتهم المسبقة من الصالات إلى ”الفايس بوك” لتنتعش حملة جمع التوقيعات عبر صفحات غلب عليها طابع التهكم على هذا الموعد الانتخابي وعلى بعض المترشحين، فيما يلعب فن إخراج ونشر صور المترشحين عاملا هاما في حملة دعائية مبكرة قد تسقط بعد أيام أغلب رؤوسها، إذا فشلوا في جمع التوقيعات وتغلق برامجهم، ليظل المترشحون من أمثال ”عمار زيڤومار المنافس الأقوى إلى غاية الموعد الإنتخابي.
عمار زيڤومار وحركة ”كول وكّل” مترشحون ينافسون الكبار في انتخابات افتراضية
دخل مرشحون افتراضيون معترك الساحة السياسية عبر صفحات الفايسبوك ببرامج سحرية تقدم حلولا جافة لمشاكل حقيقية، حيث تعالج المواضيع السياسية بطريقة تهكمية، وهو ما تجلى في صفحة أحد المترشحين، كما ظهرت حركة جديدة في الساحة الافتراضية للرئاسيات تحت شعار ”كول ووكّل” وهي أكبر حزب افتراضي منافس للمرشح عمر زيڤومار، هذا الأخير الذي ثبت أنه متابع لكافة التفاصيل المتعلقة بالرئاسيات، حيث إنه لا يفوت متابعة المستجدات من تصريحات حول منافسيه في الساحة، كما يرد ويدافع على برنامجه الذي جاء تحت شعار ”نحلي فم كل مواطن، الشعب يحب اللعب، وزيڤومارة لكل مواطن”، وقد أبدى المترشح زيڤومار تحديا كبيبرا لمنافسيه في كرسي قصر المرادية الذين نشر أسماءهم، حيث نشر في إحدى الوقفات ”جيشي في كل مكان استعدوا يا مشرشحي السلطة” ”لا بوتفليقة لا بن فليس زيڤومارة هو الرئيس” وتلقى صفحة مرشح الرئاسيات عمار زيڤومار تفاعلا كبيرا من طرق عدد من المشتركين الذين يساندون برنامج ”زيڤومارة لكل مواطن” والذي جاء في إحدى مقولاته الشهيرة ”لا تعطيني زيڤومارة ولكن علمني كيف أسرق l’usine”.
صفحات المترشحين... غابت النقاشات السياسية وحضرت السخرية
من خلال قراءة لصفحات العديد من المترشحين يتبين أن النقاش الذي يدور في صفحاتهم لا يرق إلى مستوى الحدث، حيث غابت السياسة في مختلف التعليقات، فيما حضرت السخرية، كما أن النقاشات المتبادلة لم تقدم قراءات ذات مستوى عال من التحليل حول ما يطرحه المترشحون... فقط مجرد تعليقات عن هفوات في كلامهم، وتعيلقات ساخرة بشكل عام عن الانتخابات الرئاسية والتي حسمت حسب الكثيرين، حيث أعطيت تعليقات تتحدث عن رجل السلطة أو المرشح المختار وكذا تعليقات حول مدى مصداقية الانتخابات. وجاء في بعض التعليقات التي نشرت في قالب أستاذ يقدم درس الانتخابات لتلاميذه ”افهم الدرس قبل أن تتحصل على بطاقة ناخب، أنا أنتخب وأنت تنتخب وهم يسرقون”، وفيما حضي أبرز المترشحين يترأسهم عبد العزيز بوتفليقة الذي كان أكثر الشخصيات حضورا في صفحات الفايس حول الانتخابات الرئاسية إلى جانب مرشحين بارزين أمثال علي بن فليس وبن بيتور ورشيد نكاز الشخصية التي تحضى بمتابعة كبيرة، حيث سجل تفاعلا كبيرا معهم عبر صفحات الفايسبوك، في حين غلب الطابع التهكمي على المترشحين الذين لا يملكون برامج، حيث إن المتجول في صفحات المترشحين ممن استهوته لعبة الترشح في شكل فلكلوري على خطى رئيس حزب التجمع الجزائري علي زغدود وهو عياش حفايفة..، وغير المعروفين في الساحة السياسية، جعل الفايسبوكيون يحولون صفحاتهم إلى فضاء للنقد والتهكم على سقطاتهم، ونشر تعاليق ساخرة، حيث يرى البعض في عالم الفلك لوط بوناطيرو الرجل الذي أراد إسقاط ما يحدث في علم الفلك والتفاعلات الفيزيائية في أرض الواقع وفي دولة الجزائر تحديدا، وهو ما كان له تعليقات كثيرة من قبل المتابعين، في حين طالب آخر بأنه على كل مترشح لأي منصب في الحكومة أن يمر باختبار الحمض النووي، لكشف ملته، أصله وفصله، ولعل سقطات المترشح علي زغدود كانت الأكثر إثارة وتعليقا من قبل المشتركين، حيث انتقدوا بشدة ظهوره وبرنامجه كما رد البعض على موسى تواتي ”انتهى عصر العجزة”، وحول آخرون تصريحات رئيس حزب الجبهة الوطنية الجزائرية حول الدعوة إلى اعتماد نظام التصويت الإلكتروني”في الرئاسيات المقبلة إلى تهكم”، حيث تساءل أحد الفايسبوكيون ”كيف ترغب فى تكنولوجية الانتخابات فى مجتمع لم تتوفر له بطاقة الشفاء؟.
حملات جمع التوقيعات تنتقل من القاعات إلى صفحات الفايسبوك
بعد أن قرعت طبول الرئاسيات في الجزائر المقررة في أفريل المقبل، انتعشت صفحات موقع التواصل الإجتماعي بشكل كبير يعكس مدى الإهتمام بالانتخابات الرئاسية، حيث إن أغلب المترشحين شرعوا في حملة جمع التوقيعات، والترويج لبرامجهم عبر صفحات الفايسبوك بتصريحات مقتضبة أو رؤيا تغازل المتتبعين، في محاولة إقناعهم عبرها بأنهم سيقدمون الأفضل عبر برامج سحرية بعد أن تيقن المترشحون أن الوصول للقاعدة لن يتم في القاعات والصالات المختلفة لأنها لم تعد تستهوي الجزائريين، ويؤكد تصفح بعض صفحات المترشحين إلى أن أغلبهم اختار الفايسبوك للترويج لبرامجه، حيث يتواصلون مع الجماهير المتابعة بشكل منتظم، وهو ما يفعله المترشح جمال سعيدي مدير جريدة الديار، وكذا المترشح رشيد نكاز الذين يردون باهتمام على المشتركين ويتابعون كل التعليقات التي تنشر في صفحاتهم، حيث إن جودة المنشور من صورة وتحكم في العبارات من شأنه أن يؤثر على نجاح الحملة الإعلانية وهو ما يعمد إليه المترشح نكاز الذي يقدم صورا منتجة وفق تقنية عالية مما يجعل حظوره قويا ويعطي دلالة على قوته في الساحة، كما أنه جذاب من حيث المظهر مما يكسبه حظوظا في المتابعة أكثر، كما يعمل أغلب المترشحين على الترويج لبرامجهم، ونشر وصفات علاج ”سحرية” للمشاكل المطروحة في ميادين عدة تتصدرها عبارات القضاء على الفساد والرشوة وغيرها من المشاكل التي تعيق عملية التطور بالجزائر... وكذا الحديث عن البحبوحة المالية التي تكتنزها الجزائر وطرق تجسيد الدولة الحديثة...، وهذا من أجل إقناع المتابعين في موقع التواصل الاجتماعي بمنحهم الدعم، خاصة أنه يتم مشاركة مختلف الروابط المنشورة من أجل توسيع رقعة المتابعين، وهناك من المترشحين من جند فريقا إعلاميا، ومتخصصين للإشراف على صفحات الفايسبوك على غرار ما قام به المرشح علي بن فليس، وبن بيتور. كما يقوم بحملة جمع التوقيعات بشن دعاية مكثفة في موقع التواصل الاجتماعي شرعوا فيها قبل سحب الاستمارات وهذا في إطار التعبئة الشعبية وتعبيد الطريق أمام عملية جمع التوقيعات والتي تعد العثرة التي ستسقط أغلب المترشحين، فيما ،ستبقى أسماء الرؤساء الافتراضيين حاضرة إلى غاية اكتمال فصول العرس الانتخابي.
MOZABITE - MALEKITES
ET QUOI ENCORE....CA N'A RIEN A VOIR ..TOUT CELA PROVIENT DE
L'INCIVILITE QUI EST UNE DENREE RARE DANS NOTRE PAYS ...AUCUNE EDUCATION
A LA BASE NI PAR NOS ECOLES NI PAR LES PARENTS POUR LEUR INCULQUER LE
RESPECT D'AUTRUI......Y COMPRIS LES AINES OCCUPANT DES POSTES DANS TOUS
LES SECTEURS DE L'ETAT...LA P.A.G.A.I.L.L.E .
Dégâts dans le tunnel de Djebel Ouahch le 1er janvier 2014
L’expertise se poursuit,les indices sont rassurants, selon le ministre
- Publié le 27.01.2014 à 16:43, Par :latribune
Nasser Hannachi
La commission mixte, composée de Canadiens, Japonais et Italiens, dépêchée par le ministère des Travaux publics à Djebel Ouahch le premier janvier 2014 pour diagnostiquer les causes de l’éboulement du tunnel T1, poursuit ses analyses du terrain, affirme le ministre en charge du secteur, en déplacement hier à Skikda. Profitant d’une halte sur les hauteurs, il s’est enquis de l’état d’avancement de l’expertise qui «a touché 23 km du tronçon sur un linéaire de 56 km». Les études battent leur plein au niveau des deux tunnels, dira le ministre sans donner la date de remise du constat pour entrevoir une issue au projet. Du moins les indices de l’expertise se montrent optimistes : le directeur régional de l’ANA a tenu à rassurer sur la stabilité du mouvement du sol au niveau des lacs de Djebel Ouahch, sans omettre de rappeler la complexité du relief. A l’ordre du jour de sa visite le ministre a inauguré le tronçon de l’autoroute Est-Ouest reliant la zone limite avec Constantine s’étalant sur 16 km entre El Ghedir à
El Kentour, du côté de Skikda. Quant à la réouverture du tunnel affecté et fermé à la circulation, la date provisoire n’est pas fixée avec précision. Elle est entre les mains de la commission chargée de l’expertise. Pour rappel, cette partie du tronçon de l’autoroute Est-Ouest a été ouverte en septembre 2012. A peine cinq mois écoulés, le tunnel de 1 900 mètres est «secoué» par un effondrement du chantier mitoyen.
Ce qui a contraint les responsables à le fermer, après y avoir décelé des fissures.
N. H.
Afin d’être exploitable durant toute l’année
Le Théâtre de verdure de Constantine réhabilité et couvert
- Publié le 26.01.2014 à 16:52, Par :latribune
Le Théâtre de verdure de la ville de Constantine sera réhabilité et entièrement
couvert pour servir de «site de rechange»
Le Théâtre de verdure de la ville de Constantine sera réhabilité et entièrement couvert pour servir de «site de rechange» en attendant l’achèvement de la réhabilitation des maisons de la culture Malek-Haddad et Mohamed-Laïd Al Khalifa, a indiqué la ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi, citée par l’APS. Ces deux infrastructures ainsi que le Théâtre régional seront, en effet, hors service durant toute l’année 2014 pour être fins prêts à recevoir les
festivités de la méga manifestation «Constantine, capitale de la culture arabe 2015».
C’est au cours d’une visite de travail dans cette wilaya qu’elle a déclaré que cette infrastructure culturelle qui «obéit au diktat du climat», sera réhabilitée et couverte pour permettre son exploitation tout au long de l’année. Des contacts sont actuellement en cours avec une entreprise nationale spécialisée en la matière pour la livraison de ce projet pour le mois de mai 2014, a révélé la ministre, soulignant l’importance de cette infrastructure qui permettra à Constantine de poursuivre sa vie culturelle en attendant la livraison des projets de réhabilitation des maisons de la culture lancés dans le
cadre de la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe 2015».
La wilaya de Constantine a bénéficié, au titre de cette manifestation, de 19 nouveaux projets culturels et de 74 projets patrimoniaux, en plus d’un important programme de réhabilitation de 6 salles de cinéma, a rappelé la ministre, précisant que l’Etat a arrêté une série de mesures organisationnelles pour
permettre la livraison de ces chantiers dans les délais impartis. Elle a affirmé, dans ce contexte, que la majorité des nouveaux projets ont été déjà lancés en travaux, hormis deux nouvelles maisons de la culture dans deux communes, pour une question d’emplacement jugé «inadapté».
Evoquant la question de la réhabilitation du palais du Bey, les responsables locaux concernés ont précisé qu’un «vaste chantier de réhabilitation» de la
polychromie sera effectué sur une surface de 2 500 m2. Les projets de la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe 2015» seront assistés par l’Agence nationale de gestion des réalisations des grands projets de la culture (arpc) pour les nouveaux projets, et l’Office de gestion et
d’exploitation des biens culturels protégés (Ogebc) pour les projets liés au patrimoine pour lesquels l’Etat va investir plus de 7 milliards de dinars, a ajouté la ministre qui a assisté au protocole de signature d’un contrat d’engagement entre l’administration et l’entreprise de réalisation pour la réception des projets dans les délais et selon les normes.
W. S. M./APS
par A. Mallem
Les pharmaciens de Constantine sont montés au créneau, hier, à la suite
des contrôles effectués depuis plus d'un mois dans leurs officines par les
contrôleurs de la direction du Commerce et des Prix.
« Ils n'ont pas le droit car la loi ne leur permet pas cela. Le contrôle des officines pharmaceutiques est du ressort exclusif de l'Inspecteur des pharmacies, affilié à la direction de la Santé de la wilaya», ont protesté, hier, des membres du bureau de wilaya du Syndicat national des pharmaciens d'officine (SNAPO) qui nous ont contactés, dans l'après-midi d'hier, à l'issue d'une réunion extraordinaire du bureau, qu'ils ont tenue, à Ali Mendjeli. A la suite de ce conclave, les syndicalistes du SNAPO ont publié un communiqué virulent dans lequel ils ont stigmatisé «les visites impromptues, effectuées par les inspecteurs de la direction du Commerce, dans les officines qui créent des situations anarchiques et provoquent des conséquences préjudiciables aux pharmaciens aussi bien qu'aux citoyens et au système de santé». Selon eux, l'action répressive des agents de la DCP constitue un abus de pouvoir exorbitant, en ce sens qu'il remet en cause des principes fondamentaux édictés par la loi. A ce sujet, ils ont exhibé les textes réglementaires relatifs à ce domaine, en citant le décret exécutif n° 92/276, de juillet 1992, dans son article 3 relatif au code de déontologie médicale qui parle de l'inviolabilité de l'officine pharmaceutique.
Le second décret cité est celui portant le n° 098/09 du 19 août 98, modifié et complété par la loi 85/05, concernant les inspections de la pharmacie où il est stipulé que «seul le pharmacien inspecteur de la direction de la Santé est habilité à inspecter les officines pharmaceutiques.
«Le Snapo est solidaire avec les pharmaciens qui ont subi ces contrôles et leur apportera, tout son concours, pour utiliser les voies de recours judiciaires autorisées par les lois du pays afin, de faire respecter leurs droits fondamentaux», nous a déclaré M. Issam Boulakhrasse, secrétaire général du bureau du Snapo, de la wilaya, ajoutant qu'il va déposer une plainte auprès du procureur de la République et du wali de Constantine.
Pour rappel, cette montée au créneau des pharmaciens intervient en réaction aux contrôles qu'ils subissent de la part des agents de la DCP. «Ils viennent, sans crier gare, choisissent des lots des médicaments qu'ils placent dans des cartons qu'ils scellent par la suite. La marchandise est laissée là, dans l'officine, jusqu'à nouvel ordre», nous a expliqué, hier, un pharmacien qui a subi ce contrôle. Les membres du Snapo reviennent pour mettre, encore, l'accent sur l'illégalité de cette procédure, en signalant que le juge a donné gain de cause à des pharmaciens de Skikda qui ont été poursuivis en justice par la direction du Commerce, à la suite des contrôles effectués dans leurs officines. Quoiqu'il en soit, ont ajouté les syndicalistes, la tension ne cesse de monter chez les concernés qui menacent de recourir à la grève pour faire cesser ce qu'ils appellent harcèlement, d'autant plus injustifié qu'il est parfaitement illégal, comme ils viennent de l'expliquer.
Rencontre Taleb Cherif-cadres du PNSD de l’Est du pays
«Ne pas faire de la candidature de Bouteflika un préalable»
- Publié le 25.01.2014 à 17:38, Par :latribune
Il semble clairement acquis pour Mohamed Taleb Cherif, président du Parti national pour la solidarité et le développement (Pnsd)
De notre correspondant à Constantine A. Lemili
Il semble clairement acquis pour Mohamed Taleb Cherif, président du Parti national pour la solidarité et le développement (Pnsd), de ne pas faire de la candidature d’Abdelaziz Bouteflika un préalable pour tout candidat souhaitant postuler ou non à l’élection d’avril prochain.
En ce qui le concerne, il n’a fait que répondre à un plébiscite des membres du congrès, d’une part, et de la direction politique du Pnsd d’autre part. «Pour moi cela relève d’un double devoir, celui de répondre à la confiance placée en moi par les cadres et militants du parti mais également d’un devoir absolu à l’endroit de l’Algérie.»
Bien entendu et compte tenu des réalités, il paraîtrait pour le moins incongru qu’il n’y ait pas de préalable pour tout candidat, d’autant plus
si celui-ci appelle à des changements profonds dans la conduite des affaires du pays et dans la nature même des institutions sur lesquelles repose l’Etat. Pour le président du Pnsd, axialement son projet se situe à hauteur «…de la nature même du mode de gouvernance politique, la priorité étant de mettre un terme au régime de super-président actuel et l’inouïe concentration des pouvoirs entre les mains d’un homme qui fait que nous ne soyons plus en régime démocratique mais littéralement autocratique», a-t-il souligné. «Au Pnsd, nous
préconisons bien entendu un régime semi-présidentiel et forcément la séparation des pouvoirs. C’est ce que nous mettrons en pratique si le peuple nous investit le 17 avril prochain, comme nous procèderons à une révision profonde de la Constitution et à la dissolution de l’actuel Parlement et, par voie de conséquences, des législatives anticipées six mois après l’élection au cas où l’urne nous serait favorable. Cela dit, sur le plan économique, nous avons fait le choix depuis des années de ce qui est communément qualifiée de troisième voie et qui consiste en l’option vers un capitalisme soft tel qu’il en a été fait l’expérience par le chancelier Schroeder avec les résultats positifs connus et surtout le boom économique qui a propulsé la nation allemande en tant que première puissance économique européenne, d’une part, et pays le plus stable sur le plan politique en raison d’une politique sociale cohérente et à visage humain à laquelle le peuple et les partis politiques toutes sensibilités confondues adhèrent à l’unanimité.» Il rappellera que le fait de disposer «…d’un confortable matelas financier en guise de réserves monétaires ne veut rien dire quand en face vous avez un système économique plus proche du bazar que des standards d’orthodoxie en la matière». Du bon usage des fonds souverains, il citera le Qatar qui, par ses choix, ses placements, serait en train de réaliser
une OPA sur une partie de l’Europe au moment «où les finances algériennes stockées dans des fonds américains servent à asseoir l’hégémonie sioniste sur le reste du monde, notamment les pays arabes et plus particulièrement la
Palestine».
Taleb Cherif souhaite une alternance du pouvoir qui se fasse pacifiquement et s’en explique : «En fait si les règles du jeu sont respectées, il n’y a aucune raison que la transition ou sinon l’alternance ne se fasse pas dans la sérénité pour une raison essentielle qui veut que le pays est doté depuis l’intifadha d’octobre 1988 de textes de loi et de mécanismes lesquels, pour peu que ceux qui s’accrochent encore au pouvoir aient l’humilité de se retirer, ne peuvent qu’y concourir et consolider de manière durable.»
Le président du Pnsd abordera la question du chômage, un élément de l’inventaire social dont il fera son cheval de bataille durant la campagne, celui-ci considérant «anormal, inquiétant, inique que près de deux millions de jeunes diplômés de l’université algérienne en âge de travailler ne trouvent pas de poste d’emploi», Taleb Cherif ironisant dans la foulée de la présence de «cadres supérieurs de l’Etat qui ne sont même pas titulaires du baccalauréat». Il interprètera les événements qui agitent la wilaya de Ghardaïa comme «…les conséquences d’une gestion hasardeuse des réalités locales dont le soubassement essentiel est d’ordre économique avec sans doute une espèce d’iniquité sociale perçue par une strate qualifiée du titre ‘‘d’Arabes’’ par rapport à une autre, connue pour sa pugnacité au travail et ses capacités professionnelles dans le commerce et autres appelée ‘’Mozabites’’».
Quoiqu’il en soit, Taleb Cherif s’en remet au civisme des citoyens qu’il appelle à la mobilisation pour le prochain scrutin, une mobilisation forcément autour de sa candidature mais également et sans exclusive à l’endroit de tout autre candidat du pôle démocratique.
En fin de rencontre, les 12 coordinateurs des wilayas présents à la rencontre se sont vus remettre des formulaires destinés à apporter la preuve des 60 000 souscriptions exigibles par la loi électorale et dont le but est d’obtenir auprès du Conseil constitutionnel la confirmation, voire l’agrément de toute candidature.
A. L.
par Abdelkrim Zerzouri
Le FLN a opéré,
avant-hier, une profonde mue dans ses structures de base, à Constantine. Le
désormais ex. Mouhafedh, M. Driss Meghraoui a été, officiellement, écarté par
le SG du parti, M. Amar Saâdani.
Deux émissaires du bureau politique du FLN, en l'occurrence M. Mostefa Maâzouzi et Ahmed Boumehdi ont été dépêchés, avant-hier, à Constantine pour porter la nouvelle du changement, à la tête de la Mouhafadha, et aussi discuter avec les militants autour de la nouvelle restructuration ou redéploiement du parti, à la veille des élections présidentielles, mais on leur fermera au nez les portes du siège de la Mouhafadha. Des élus locaux et autres membres de kasmates, qui s'inscrivent contre le changement, décidé par la direction du parti, ont affiché leur mécontentement à la suite de l'éviction de l'ex-Mouhafedh qui se trouve, selon ses proches, à l'étranger, bloquant l'accès au siège de la Mouhafadha. Des invectives ont fusé, de part et d'autre, mais les émissaires du Bureau du politique opteront pour une autre solution afin d'éviter tout dérapage incontrôlé. Ainsi, la réunion se tiendra dans une kasma, au centre-ville, où l'on procèdera à l'installation de deux commissions transitoires, pour gérer la prochaine étape. M. Maâzouzi nous expliquera, dans un entretien téléphonique, que la wilaya de Constantine a été découpée en deux zones : nord et sud, avec, à leurs têtes, deux mouhafedhs, en l'occurrence M. Ahmed Habachi et Fouad Kharchi, tous deux députés du parti. Ces derniers ont été chargés de préparer des élections qui permettront d'installer les membres des deux nouveaux bureaux des Mouhafadha. « Il ne s'agit pas d'un limogeage, nous dira M. Maâzouzi, à propos de ce changement, opéré à la tête de la Mouhafadha de Constantine, c'est le fait d'une restructuration du parti, décidée par le secrétaire général du parti, chose qui s'inscrit dans ses prérogatives, d'ailleurs le redéploiement, en question, touchera toutes les grandes wilayas du pays, pour un maillage conséquent des espaces, le tout visant une préparation du lancement de la campagne présidentielle ». En tout cas, le changement en question n'a pas manqué de désorienter les partisans de l'ex-Mouhafedh qui se comptent, particulièrement, parmi les élus locaux.
par Abdelkrim Zerzouri
Le FLN a opéré,
avant-hier, une profonde mue dans ses structures de base, à Constantine. Le
désormais ex. Mouhafedh, M. Driss Meghraoui a été, officiellement, écarté par
le SG du parti, M. Amar Saâdani.
Deux émissaires du bureau politique du FLN, en l'occurrence M. Mostefa Maâzouzi et Ahmed Boumehdi ont été dépêchés, avant-hier, à Constantine pour porter la nouvelle du changement, à la tête de la Mouhafadha, et aussi discuter avec les militants autour de la nouvelle restructuration ou redéploiement du parti, à la veille des élections présidentielles, mais on leur fermera au nez les portes du siège de la Mouhafadha. Des élus locaux et autres membres de kasmates, qui s'inscrivent contre le changement, décidé par la direction du parti, ont affiché leur mécontentement à la suite de l'éviction de l'ex-Mouhafedh qui se trouve, selon ses proches, à l'étranger, bloquant l'accès au siège de la Mouhafadha. Des invectives ont fusé, de part et d'autre, mais les émissaires du Bureau du politique opteront pour une autre solution afin d'éviter tout dérapage incontrôlé. Ainsi, la réunion se tiendra dans une kasma, au centre-ville, où l'on procèdera à l'installation de deux commissions transitoires, pour gérer la prochaine étape. M. Maâzouzi nous expliquera, dans un entretien téléphonique, que la wilaya de Constantine a été découpée en deux zones : nord et sud, avec, à leurs têtes, deux mouhafedhs, en l'occurrence M. Ahmed Habachi et Fouad Kharchi, tous deux députés du parti. Ces derniers ont été chargés de préparer des élections qui permettront d'installer les membres des deux nouveaux bureaux des Mouhafadha. « Il ne s'agit pas d'un limogeage, nous dira M. Maâzouzi, à propos de ce changement, opéré à la tête de la Mouhafadha de Constantine, c'est le fait d'une restructuration du parti, décidée par le secrétaire général du parti, chose qui s'inscrit dans ses prérogatives, d'ailleurs le redéploiement, en question, touchera toutes les grandes wilayas du pays, pour un maillage conséquent des espaces, le tout visant une préparation du lancement de la campagne présidentielle ». En tout cas, le changement en question n'a pas manqué de désorienter les partisans de l'ex-Mouhafedh qui se comptent, particulièrement, parmi les élus locaux.
par El Yazid Dib
Je n'avais rien à
faire ce vendredi. J'ai pris mon fils et sommes dirigés vers le sud
Un appel
inaudible, semblant provenir de lointains moments, fait son irruption pour
m'indiquer d'aller et encore de l'avant
Un paysage, déjà connu, pointe son nez
dans mon iris. El Kantara est à quelques encablures, dans la wilaya de Biskra.
Elle est une œuvre de la nature. L'homme n'en a fait que domestiquer ses
sensations de mobilité. Deux massifs offrent leurs extrémités comme issue et
jonction entre le Nord et le Sud. La pierre y est comme l'est le blé, dans les
Hauts Plateaux. Elle pousse, inerte et défie le mutisme millénaire. Dans la
soie d'une palmeraie, au fil d'un oued grondant et à l'ombre d'une muraille
rocailleuse, ce bourg est, certainement, un référentiel de sagesse et de
tempérament serein. Le village d'El-Kantara est fascinant. Par son histoire,
son patrimoine architectural, son site naturel, ce village formidable invite à
la méditation et à la poésie. Il y a, dans ces lieux, une espèce d'harmonie et
une symétrie dans l'ordre et la disposition des choses, un relief escarpé, un
climat rude, capricieux, une économie vivrière et une population affable et
attachante qui incitent à l'humilité, à l'admiration, au respect de l'ordre et
de la beauté et à l'effort permanent.
Au demeurant, par sa position géographique stratégique et sa dimension historique et culturelle, El-Kantara a, tout le temps, été un lieu de rencontres, d'échanges et de culture. Le village a abrité une école primaire, dès 1892 et une medersa fondée par l'association des Oulémas, en 1932. Ayant fréquenté ces deux établissements, un ami Charhabil, natif des lieux et cadre supérieur de la nation, me disait, un jour, avoir été «nourri aux sources de deux cultures, ce qui a, certainement, favorisé une ouverture et une tolérance plus grandes ». Allez, poussons la machine mon fils ! Nous voilà à côté d'une merveilleuse ancienne bâtisse. La gare. Il n'y avait personne, hormis le gentil et beau chef de gare. Tenue correcte, il était affairé à rédiger ses dépêches. Le stylo est encore de mise sur ce bureau où s'intronisent les documents imprimés en lettres latines. Dans ce lieu semblant être extirpé d'un passé lointain, les vertus du clavier et du wifi n'ont pas encore débarqué leur lot de mauvaise connexion. La salle d'attente a l'air d'avoir été désertée depuis longtemps. Vide, si ce n'est un tableau mal venant censé indiquer les horaires de passage du train. Autant que le souffle qui y est, tente d'extraire de ces fragments de bancs, qui subsistent encore, la vie qui se faisait à l'époque qu'une pâle copie d'une carte postale, affichée en relief vous invite à plonger dans l'âge d'or de cet infime espace. On y voit des gens à l'apparence européenne, sanglés dans des costumes d'époque, des valises, des chariots, des poussettes de bébés. En ce jour grisâtre et ennuagé pas de passagers ni de marchandises. Pas même l'ombre d'une valise. Seuls les quais longs et silencieux restent comme des témoins pour raconter, par invocation, ces doux moments, parfois chagrinés, des départs et des arrivées. C'est là sur ces quais que meurent les adieux et les bienvenues.
Le quai n'est-il pas une figure qui évoque, par imagerie et d'une façon instantanée, une idée et un concept d'attente et d'expectative? Le vide événementiel qui se vit dans cette gare, aussi silencieuse que le sont les falaises qui l'enserrent aurait-il remplacé le remplissage mondain qui la remuait ? Une belle gare tirée d'un mauvais passé.
Semaa enda… contes et chants du Maghreb» à Ibn Zeydoun
Spectacle inédit de la conteuse Sihem Kennouche
- Publié le 26.01.2014 à 16:54, Par :latribune
Destiné au large public, ce
spectacle sera rythmé par les sonorités traditionnelles des musiciens
ainsi que des chanteurs mettant à l’honneur différentes interprétations
de chants et musiques traditionnels maghrébins
Par Sihem Bounabi La salle Ibn Zeydoun de l’Office Riad El Feth (Oref), accueillera, le
30 janvier prochain à partir de 19h, l’exceptionnel spectacle de la conteuse Sihem Kennouche intitulé «Semaa enda… Contes et chants du Maghreb».
La talentueuse conteuse sera entourée par des chanteurs et musiciens venus de plusieurs villes maghrébines, en tête desquelles Tunis, Meknès, Adrar, Tizi Ouzou, Constantine ou encore Alger, pour une soirée inédite valsant entre la lecture de contes, la poésie et la musique traditionnelle maghrébine. Dans la fiche de présentation, il est écrit que «Semaa enda» est un spectacle qui plongera le public dans le monde de l’écoute du rêve et de l’émotion. Ainsi,
«sur scène, une conteuse, Sihem Kennouche, accompagnée de musiciens et de chanteurs, qui vous feront voyager à travers un Maghreb sans frontières.
A l’honneur nos Qsaïed, nos poésies, l’essence même de la culture maghrébine. Qu’elle est donc cette légende ou cette histoire qui se cache derrière chacune de ces poésies ? Une autre manière d’écrouter Hizia, Vava inouva et bien d’autres encore... Sihem, contera la légende du poème et les chanteurs l’interpréteront», ajoute-t-on.
Destiné au large public, les petits comme les grands, ce spectacle sera rythmé par les sonorités traditionnelles des musiciens sous la direction du chef d’orchestre Kamel Maati, ainsi que les chanteurs mettant à l’honneur, chacun à sa manière, différentes interprétations de chants et musiques traditionnels maghrébins. A l’instar de Mohamed Jebali venu de Tunis, Djelloul Margha d’Adrar, Salem Iddir de Tizi Ouzou, Mehdi Tamache d’Alger, la chanteuse marocaine Hayat Boukhriss, et Abbas Righi, spécialiste de la chanson traditionnelle constantinoise. Très connue du grand public, notamment de la radio, où elle fit notamment découvrir aux auditeurs les origines des noms et les significations des prénoms maghrébins, la passion de Sihem Kennouche pour la culture populaire et les contes remonte à son enfance lors de la découverte des contes grâce à sa grand-mère et ses lectures et nombreuses recherches sur le patrimoine. Poursuivant des études littéraires et devenue enseignante, puis chroniqueuse sur les ondes de la Chaîne III, elle proposera à l’Entv l’émission «Il était mille fois», entièrement consacrée à la poésie et aux différents genres de contes, étroitement liés aux autres formes d’expression artistique maghrébine. Pour ce spectacle, les billets sont déjà en vente au niveau de la salle
Ibn Zeydoun et le prix est fixé à 500 dinars.
S. B.
Projets de Constantine capitale de la culture arabe
Un nouveau casse-tête à l’hôtel Mariott
le 29.01.14 | 10h00
2 réactions
La réalisation d’un accès vers cet établissement passera inévitablement par des aménagements sur la voie du tramway, ce qui équivaut à un arrêt de ce moyen de transport, et des désagréments pour les usagers.
Un problème et non des moindres a été soulevé, hier, lors de la visite
du wali de Constantine, Hocine Ouadah, aux projets inscrits en prévision
de la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe 2015». Au
chantier de l’hôtel Mariott, situé sur la route de l’aéroport, et bien
que la cadence des travaux soit conforme aux délais prévus, il se trouve
que l’accès vers cet établissement commence à causer des soucis pour
les autorités, surtout qu’il traverse les rails du tramway.
Pour régler ce problème inattendu et qui risque de retarder encore la réception, plusieurs solutions ont été avancées, dont celle de la réalisation d’une trémie. Une idée qui sera finalement écartée pour plusieurs raisons, dont celle des coûts élevés, mais aussi des chamboulements qui vont survenir dans ces lieux, marqués par une forte circulation et des embouteillages quotidiens. La seule possibilité demeure une traversée de cette ligne, sauf que, dans ce cas précis, il sera impératif de consolider cet axe, avec la reprise de certains rails, ce qui revient à dire que ce tronçon va immobiliser le tramway pour une durée qui ne sera pas sans conséquences sur les utilisateurs. Une situation qui ne manquera pas de susciter des interrogations sur le lancement de projets d’une telle envergure sans prévoir leur impact sur d’autres réalisations.
Sur un autre volet, celui des infrastructures d’accueil, le wali n’a pas pu retenir sa colère quant à la situation qui prévaut toujours à la nouvelle aérogare de l’aéroport Mohamed Boudiaf qu’il a visitée il y a à peine quelques semaines. Sur place, il a constaté que ses instructions n’ont pas été appliquées. Première vitrine de la wilaya, la structure présente toujours plusieurs malfaçons qui n’ont pas encore été rectifiées. Ce n’était qu’un prélude, puisqu’en apprenant que le système anti-incendie n’était pas opérationnel à ce jour, c’est encore le représentant de la DLEP qui a été mis à mal. L’autre fait marquant reste la commutation électrique défaillante en cas de panne électrique, une situation qui peut générer des conséquences fâcheuses dans une telle infrastructure. Au niveau de la nouvelle salle de spectacles Zénith de la cité Zouaghi, d’une capacité de 3000 places, les choses se passent plutôt bien, la raison, comme l’a fait savoir le wali : «La sévérité apporte ses fruits». En effet, lors de sa visite effectuée le 16 janvier dernier, la ministre de la Culture, Khalida Toumi, avait menacé l’entreprise chinoise CSCEC de lui retirer le projet en raison de l’arrêt des travaux, suite à une demande de réévaluation des crédits alloués.
La reprise a finalement eu lieu et le retard a été rattrapé, selon la représentante de cette entreprise, car, l’augmentation de l’ordre de 10% a été accordée. Elle sera entérinée au cours de cette semaine, selon les représentants du ministère de la Culture. Pour les autres projets du palais de la culture Malek Haddad, le futur palais de la culture Mohamed Laïd Al Khalifa, le siège de la wilaya ou encore le Monoprix, les travaux sont encore au stade des déblaiements. Il y a lieu de noter que la délocalisation des directions de la culture et du tourisme pose toujours problème, en attendant que des locaux leurs soient aménagés à l’école régionale des beaux-arts, située au 7eme Kilomètre. Toutefois, nous avons relevé que pour tous ces projets, une réévaluation des crédits initiaux est de mise, une situation normale, selon le représentant du ministère de la Culture, Mohamed Bousbaâ qui explique ces rallonges par des facteurs qui n’ont pas été pris en compte lors des études primaires, c’est le cas des sept centres culturels qui verront la réalisation de logements de fonction pour les directeurs.
Pour régler ce problème inattendu et qui risque de retarder encore la réception, plusieurs solutions ont été avancées, dont celle de la réalisation d’une trémie. Une idée qui sera finalement écartée pour plusieurs raisons, dont celle des coûts élevés, mais aussi des chamboulements qui vont survenir dans ces lieux, marqués par une forte circulation et des embouteillages quotidiens. La seule possibilité demeure une traversée de cette ligne, sauf que, dans ce cas précis, il sera impératif de consolider cet axe, avec la reprise de certains rails, ce qui revient à dire que ce tronçon va immobiliser le tramway pour une durée qui ne sera pas sans conséquences sur les utilisateurs. Une situation qui ne manquera pas de susciter des interrogations sur le lancement de projets d’une telle envergure sans prévoir leur impact sur d’autres réalisations.
Sur un autre volet, celui des infrastructures d’accueil, le wali n’a pas pu retenir sa colère quant à la situation qui prévaut toujours à la nouvelle aérogare de l’aéroport Mohamed Boudiaf qu’il a visitée il y a à peine quelques semaines. Sur place, il a constaté que ses instructions n’ont pas été appliquées. Première vitrine de la wilaya, la structure présente toujours plusieurs malfaçons qui n’ont pas encore été rectifiées. Ce n’était qu’un prélude, puisqu’en apprenant que le système anti-incendie n’était pas opérationnel à ce jour, c’est encore le représentant de la DLEP qui a été mis à mal. L’autre fait marquant reste la commutation électrique défaillante en cas de panne électrique, une situation qui peut générer des conséquences fâcheuses dans une telle infrastructure. Au niveau de la nouvelle salle de spectacles Zénith de la cité Zouaghi, d’une capacité de 3000 places, les choses se passent plutôt bien, la raison, comme l’a fait savoir le wali : «La sévérité apporte ses fruits». En effet, lors de sa visite effectuée le 16 janvier dernier, la ministre de la Culture, Khalida Toumi, avait menacé l’entreprise chinoise CSCEC de lui retirer le projet en raison de l’arrêt des travaux, suite à une demande de réévaluation des crédits alloués.
La reprise a finalement eu lieu et le retard a été rattrapé, selon la représentante de cette entreprise, car, l’augmentation de l’ordre de 10% a été accordée. Elle sera entérinée au cours de cette semaine, selon les représentants du ministère de la Culture. Pour les autres projets du palais de la culture Malek Haddad, le futur palais de la culture Mohamed Laïd Al Khalifa, le siège de la wilaya ou encore le Monoprix, les travaux sont encore au stade des déblaiements. Il y a lieu de noter que la délocalisation des directions de la culture et du tourisme pose toujours problème, en attendant que des locaux leurs soient aménagés à l’école régionale des beaux-arts, située au 7eme Kilomètre. Toutefois, nous avons relevé que pour tous ces projets, une réévaluation des crédits initiaux est de mise, une situation normale, selon le représentant du ministère de la Culture, Mohamed Bousbaâ qui explique ces rallonges par des facteurs qui n’ont pas été pris en compte lors des études primaires, c’est le cas des sept centres culturels qui verront la réalisation de logements de fonction pour les directeurs.
N. Benouar
Vos réactions 2
simsim
le 29.01.14 | 18h57
arretez le massacre!
Je lance un appel à tous les responsables incompétents pour
leur dire:Arrêtez le massacre!Le peuple algérien ne mérite pas tout ce
cirque.
Terrible
Ce qui se passe dans ce pays est terrifiant. Des projets sont
lancés sans aucune cohérence entre eux. Et au fur et à mesure, on
s'aperçoit des incongruités de ces projets. Nos décideurs et leurs
bureaux d'études semblent relever de l'école primaire. Comment lancer un
hôtel aussi coûteux sans poser la question de sa desserte et de son
insertion dans l'ensemble du site? Ou alors tout cela est calculé pour
obtenir des rallonges et puiser au passager quelques milliards à mettre
dans la poche ou les poches.
Tunnel de Djebel Ouahch (Constantine)
Lancement d’une opération de vidange d’un lac
le 29.01.14 | 10h00
13 réactions
Une opération de vidange d’un des lacs de Djebel Ouahch, situé au-dessus du tunnel de l’autoroute Est-Ouest traversant cette région, a été lancée par le consortium japonais Cojaal, en charge de la réalisation du tronçon Est, et l’Agence nationale des autoroutes (ANA), avec l’assistance technique des services de la direction des travaux publics de la wilaya de Constantine (DTP).
Selon Mohamed Aber, chef du service réalisation de cette dernière,
cette opération consiste à vider partiellement le lac pour alléger la
charge au-dessus du tunnel. «C’est une opération qui a été décidée comme
mesure préventive, afin de faire face aux phénomènes d’infiltration
d’eau qui ont causé de nombreux problèmes à l’entreprise de réalisation
durant le creusement du tunnel», nous a-t-il déclaré hier, précisant
qu’il s’agit de diminuer le niveau d’eau de ce lac et que tous les
moyens ont été mobilisés pour accomplir cette opération. Cette dernière
n’est qu’une solution provisoire, selon notre interlocuteur, dans
l’attente de la reprise des travaux dans le tunnel qui a subi un
effondrement. Le même responsable a indiqué qu’une fois les travaux
terminés, le lac sera à nouveau rempli.
Notons que les infiltrations d’eau dans le tunnel traversant une montagne dans la zone forestière de Djebel Ouahch, juste au-dessous du lac, a été le souci majeur des Japonais de Cojaal. Ces derniers ont dû faire face aussi au phénomène de glissements de terrain, dont le plus important est survenu le 1er janvier dernier, causant l’effondrement d’une partie du tunnel 1 gauche en cours de creusement. Un incident qui a causé des dégâts jugés importants dans le tunnel 1 droit, ouvert à la circulation il y a quelques mois, reliant Constantine à Skikda.
Près d’un mois après la visite du ministre des Travaux publics sur les lieux – qui a désigné une commission d’experts pour mener des investigations – l’on attend les conclusions de cette enquête qui devraient être rendues publiques ces jours-ci.
Notons que les infiltrations d’eau dans le tunnel traversant une montagne dans la zone forestière de Djebel Ouahch, juste au-dessous du lac, a été le souci majeur des Japonais de Cojaal. Ces derniers ont dû faire face aussi au phénomène de glissements de terrain, dont le plus important est survenu le 1er janvier dernier, causant l’effondrement d’une partie du tunnel 1 gauche en cours de creusement. Un incident qui a causé des dégâts jugés importants dans le tunnel 1 droit, ouvert à la circulation il y a quelques mois, reliant Constantine à Skikda.
Près d’un mois après la visite du ministre des Travaux publics sur les lieux – qui a désigné une commission d’experts pour mener des investigations – l’on attend les conclusions de cette enquête qui devraient être rendues publiques ces jours-ci.
Chiali se lâche contre Ghoul :
L’affaire du tunnel de Djebel Ouahch est en phase de devenir la clé de voûte de la feuille de route tracée par le ministre des Travaux publics, Farouk Chiali. Anticonformiste et résolument acéré, un parfait anti-Ghoul en somme, Farouk Chiali vient de récidiver depuis Mascara, où il était en visite de travail, en soulignant que les mouvements du sol constatés sur le tracé de l’autoroute Est-Ouest avaient pour explication «la qualité des études menées en amont».Il a affirmé, à ce titre, que les glissements de terrain auraient pu être évités si des études approfondies du sol avaient été entreprises. Il est clair que le ministre fait allusion à l’important affaissement qui a touché, le 1er janvier, le tunnel de Djebel Ouahch, dans la wilaya de Constantine.
Ces propos contrastent avec ceux de Amar Ghoul lequel ne cessait d’assurer que le parcours de l’autoroute avait été soigneusement passé au peigne fin par des bureaux d’études spécialisés, de même qu’ils viennent corroborer le chapelet d’accusations formulées contre la gestion du dossier par Ghoul.
L’on citera, à ce propos, le choix énigmatique du groupe nippon Cojaal pour la réalisation du tronçon oriental de l’autoroute. Ne disposant guère d’une carte de visite considérable, Cojaal s’est néanmoins vu confier une partie sensible de l’autoroute. Il fera d’ailleurs vite ses «preuves» en conférant à la durée des travaux une élasticité temporelle et financière.
Lydia Rahmani
Arslan Selmane
Vos réactions 13
rastanne
le 29.01.14 | 18h14
Vous allez aussi vider la Pacifique?
En effet, je pleur le Lac, car j'ai des bons souvenirs, allah
la yatarbhak'm, dans le temps j'ai pêché dans ce lac, du Rougi, la vous
touchez à l'écologie de Constantine,je ne peut en aucun vous permettre
sa, vous allez aussi vider la mer, encore heureux que sa passe pas par
la, la chance bref marre de votre gueule de fonceur indéterminé sans
carte géographique ni un plan ce que j'appelle, l'illétrisme au sens
propre du mot, partez partez partez, laisser des compétents...
Réponse a lemonde
Sans rire un tres haut dignitaries de notre système m'avait
dit que d'autres pays étaient jaloux de notre projet d'autoroute qui
étaient parmi les mieux faites techniquement et la moins couteuse
financierement....je vous epargne ma réponse mais depuis (2005) il ne me
parle plus; ce dont je me réjouis. Ah j'oubliais ce dignitaire
insistait toujours pour dire que ce sont ses competences techniques qui
ont de lui un ministre pendant trois decennies ! Mais n'a jamais précisé
quelles filières techniques....mais c'est certain, il n'a pas participé
á la construction du tunnel sous la manche
Encore une chose Mr. Anti Khoroto
La question d'où sortent-ils á une réponse simple : "des
entrailles du système " peuplée d'opportunistes qui ont passé leur temps
á courtiser des decideurs et leurs rabatteurs au sein des institutions
politico-syndicales. Ah si ces fameuses fiches bleues pouvaient parler
et nous dire comment des cadres competents, patriotes et capables de
relever le niveau de developpement du pays ont été poussé vers la
marginalisation et souvent l'exode ....et nous expliquer ces promotions
ministerielles magiques....Bon pour le reste de la gestion du pays il y a
quand mêmes des hommes et des femmes valables, propres et integres qui
continuent de faire décoller les avions d'Air Algerie, d'assurer le
service public et de faire fonctionner nos usines au mieux qu'ils
peuvent
le tunnel sous la Manche
Le tunnel sous la Manche (en anglais, The Channel Tunnel ou
Chunnel) est un tunnel reliant le sud-est du Royaume-Uni (Angleterre) et
le nord de la France.49,7 km dont 37 km sous la Manche.
La question
comment ont-ils fait sans vidé la manche?
La question
comment ont-ils fait sans vidé la manche?
Ah oui lac et autoroute !
Je ne sais si on réalise que lorsque les études, non pas l
étude de sol de Mr. Chiali, sont bien faites et APPROUVÉES par des
Professionnels aguerris ( ingénieurs, financiers, spécialistes de
l'environnement, juriste en financement de projet et décideurs qui
mettent l'argent des contribuables devant lesquels ils sont redevables
!....) eh bien on peut construire des autoroutes sous la mer, des
barrages sur l'Amazone ou sur le Mékong....pour le reste relisez plus
haut doucement et cherchez l'erreur ....dommage pour mon beau pays, les
bonnes intentions de Mr. Bouteflika butent sur l'entourage de serviteurs
obligés et soumis qu'il s'est donné.....il avait déclaré rappelés vous
qu'il n'avait pas trouvé d'hommes d'Etat...eh bien il a raté son choix
de techniciens Alors que notre pays en regorgent...
Désolé Mr. Chiali
Les études de sols ne disent pas tout....c'est encore une
fois une de ces explications partielles et bidons qu'affectionnent nos
techniciens qui ne se sont jamais recyclés dans les techniques modernes
de gestion de projet d'infrastructure....Et ils sont capables de
tout....la Présidence avait même publié une des études bidons faite par
un bureau canadien qui affirmait que l'autoroute algérienne était une
illustration du meilleur art de notre époque....je suis de ceux qui
croient fortement que le Président et l'équipe présidentielle ont été
convaincu par des ingénieurs comme Mrs Ghoul et Chiali et des financiers
qui ont autorisé ces contrats et approuvè leurs termes de référence,
cahier des charges et études finales....
Intelligence
la réaction des lecteurs montrent que l'intelligence est du
côté du peuple. Et quand un peuple intelligent est dirigé par des
médiocres et qui plus est des dinosaures,ça donne des catastrophes. Mais
bon sang d'où ils sortent ces bons à rien, ces massacreurs de la vie de
toute la vie, Homme, flore et faune. Quand serons nous débarrasser de
ces incompétents qui nous pourrissent la vie. Et ce Ghoul, cet ogre
décervelé devrait au moins savoir qu'il vit avec des êtres humains et
non dans la jungle.
Autoroute de l'incompétence
Dans un pays géré par des ingénieurs compétents au fait des
techniques modernes d'études pour la réalisation d'infrastructures, on
fait des études d'impact qui incluent la considération de toutes les
alternatives dans le design, les coûts de chaque alternative, les
impacts environnementaux et sociaux (notamment les expropriations et les
changements d'écosystèmes agraires et autres). On fait des
consultations publiques et on n'hésite pas à se remettre en cause. Ceci
est valable pour un barrage, un aéroport, une raffinerie, une autoroute
ou autre....
Chez nous on est pressé d'annoncer des contrats et des dates parceque nos dirigeants considèrent la dépense publique et la réalisation d'infrastructure Côme le seul moyen de légitimation du pouvoir et de ses serviteurs incompétents sans véritable expérience dans des domaines aussi complexes que coûteux financièrement, écologiquement et socialement....ah ces cités des 150', 2054, 653 et autres logements devenus des usines à terroriste et cette autoroute en passe d'entrer dans le guiness du ridicule dans la réalisation d'infrastructure....
Chez nous on est pressé d'annoncer des contrats et des dates parceque nos dirigeants considèrent la dépense publique et la réalisation d'infrastructure Côme le seul moyen de légitimation du pouvoir et de ses serviteurs incompétents sans véritable expérience dans des domaines aussi complexes que coûteux financièrement, écologiquement et socialement....ah ces cités des 150', 2054, 653 et autres logements devenus des usines à terroriste et cette autoroute en passe d'entrer dans le guiness du ridicule dans la réalisation d'infrastructure....
Je suis ignorant , Mais.
A-t-on bien mesurer les conséquences immédiates et futures;
n'est on pas en train d'engloutir des milliards pour un résultat qui
risque d'être encore plus grave ?
RASAGE DES...ALGÉRIENS !
Ils l'auraient fait s'ils avaient pu! raser les algériens de
la surface de la terre. Ainsi plus personne ne viendra importuner les
Ghoul et consorts!
Vider un lac. Voilà bien une étrange façon de parer aux insuffisances de nos dirigeants. L'écosystème est déjà bien entamé en Algérie.Il ne leur reste plus que le "trop plein" d'eau du lac à vider et le tour est joué!
Vider un lac. Voilà bien une étrange façon de parer aux insuffisances de nos dirigeants. L'écosystème est déjà bien entamé en Algérie.Il ne leur reste plus que le "trop plein" d'eau du lac à vider et le tour est joué!
Naftal en campagne de sensibilisation
En attendant les bouteilles de butane en composite
le 28.01.14 | 10h00
Réagissez
Si la wilaya de Constantine se targue d’une couverture de 98% (chiffre officiel) en matière de branchement au réseau de gaz naturel, il n’en demeure pas moins que les populations des villages et autres hameaux, des bidonvilles situés en milieu urbain, mais aussi les habitants des nouveaux logements non raccordés au gaz, continuent d’utiliser la bouteille de gaz butane, surtout pour le chauffage, mais aussi de nombreux restaurants, avec tous les risques de mauvaises manipulations.
Pour cela, la direction de Naftal du district de Bounouara, dans la
commune d’El Khroub, a décidé de lancer une campagne de sensibilisation
du 26 au 30 du mois en cours à travers une caravane qui sillonnera les
quatre wilayas, dépendant de ce district, à savoir, Constantine, Oum El
Bouaghi, Souk Ahras et Mila. Les agglomérations ciblées sont Ibn Badis
et Aïn Abid pour la wilaya de Constantine, Derrahi Bouslah pour la
wilaya de Mila, Lakhdara pour la wilaya de Souk Ahras et Harmlia pour la
wilaya d’Oum El Bouaghi.
La caravane est composée de techniciens de Naftal, d’éléments de la Protection civile et des représentants de la direction de l’énergie et des mines. «Nous allons cibler surtout les enfants dans les établissements scolaires pour leur rappeler toutes les consignes de sécurité quant à une utilisation efficiente de la bouteille de gaz, notamment son transport, souvent confié aux enfants. Ceci ne nous empêche pas de les sensibiliser sur le risque majeur de l’inhalation du monoxyde de carbone qui demeure encore plus meurtrier», nous dira Nora Nemmouchi, chef de département commercial du district. «Pour les femmes au foyer, nous avons prévu des émissions radiophoniques qui pourront toucher un maximum d’auditrices en expliquant en détail toutes les précautions à prendre lors de l’utilisation de ces bouteilles», poursuit-elle.
Toutefois, il y a lieu de savoir que le district de Bounouara a bénéficié d’un nouveau centre enfûteur, un investissement très lourd, sans qu’il soit accompagné par le changement des bouteilles anciennes par celles en composite, un matériau nouveau. Ces dernières, plus légères, présentent plus de sécurité. «Effectivement, la bouteille en composite apportera plus de sécurité, le projet est en cours car la direction générale de Naftal a déjà lancé des avis d’appel d’offres, mais sans plus de détail du fait que ce projet relève des instances dirigeantes», indiquera Nora Nemmouchi.
La caravane est composée de techniciens de Naftal, d’éléments de la Protection civile et des représentants de la direction de l’énergie et des mines. «Nous allons cibler surtout les enfants dans les établissements scolaires pour leur rappeler toutes les consignes de sécurité quant à une utilisation efficiente de la bouteille de gaz, notamment son transport, souvent confié aux enfants. Ceci ne nous empêche pas de les sensibiliser sur le risque majeur de l’inhalation du monoxyde de carbone qui demeure encore plus meurtrier», nous dira Nora Nemmouchi, chef de département commercial du district. «Pour les femmes au foyer, nous avons prévu des émissions radiophoniques qui pourront toucher un maximum d’auditrices en expliquant en détail toutes les précautions à prendre lors de l’utilisation de ces bouteilles», poursuit-elle.
Toutefois, il y a lieu de savoir que le district de Bounouara a bénéficié d’un nouveau centre enfûteur, un investissement très lourd, sans qu’il soit accompagné par le changement des bouteilles anciennes par celles en composite, un matériau nouveau. Ces dernières, plus légères, présentent plus de sécurité. «Effectivement, la bouteille en composite apportera plus de sécurité, le projet est en cours car la direction générale de Naftal a déjà lancé des avis d’appel d’offres, mais sans plus de détail du fait que ce projet relève des instances dirigeantes», indiquera Nora Nemmouchi.
N. B.
Nouvelles de Constantine
le 28.01.14 | 10h00
Réagissez
La maison de la culture Al Khalifa se transforme en palais
La maison de la culture Mohamed-Laïd Al Khalifa est en chantier depuis quelques jours. Il s’agit de travaux de réaménagement pour en faire un palais de la culture, avec, bien entendu, un autre statut. Cela a été, pour rappel, décidé dans le cadre de la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe 2015». Une chose à relever : les travaux ont été lancés alors que les sièges des directions de wilaya de la culture et du tourisme et n’ont pas été transférés là où ils auraient dû l’être. Evidemment, les employés qui y exercent sont en butte aux désagréments qu’on peut deviner. La direction de la culture emmenagera en principe, d’ici une dizaine de jours, à la bibliothèque régionale située sur la route de Aïn S’mara, apprend-on auprès du directeur de la culture. O.-S.M.
FLN : le Mouhafedh limogé
Branle-bas de combat hier à la Mouhafadha FLN de Constantine dans le quartier du Coudiat, suite à une information parue dans un quotidien arabophone et qui a été confirmée par les représentants de la Mouhafadha, concernant le limogeage du Mouhafedh du FLN, Driss Maghraoui, en déplacement hors frontières. En effet, tous les élus, ainsi que les représentants des différentes Kasmas, sont venus en force pour soutenir leur Mouhafedh, se mobilisant contre une décision émanant du bureau politique du FLN. En effet, cette dernière prévoit l’arrivée aujourd’hui d’une commission d’Alger à l’effet de procéder à l’installation d’un comité transitoire qui sera chargé d’élire un nouveau Mouhafedh. «Nous nous élevons énergiquement contre ces procédés venant de la part d’un SG très controversé (Amar Saadani ndlr) en qui nous n’avons jamais fait confiance», dira Hakim Lafoila, élu à l’APC de Constantine, et d’ajouter : «C’est une purge qui ne dit pas son nom, surtout que les noms avancés pour ce comité transitoire sont des proches de Ali Benflis». Un communiqué a été rédigé en urgence dans lequel nous pouvons lire ceci: «Nous mettons en garde tous les pouvoirs publics contre d’éventuelles dérives lors de la venue des membres de cette commission pour qui nous ne reconnaissons aucune légitimité». Affaire à suivre. N. B.
Des opérations de lifting dans le cadre de l’évènement de 2015
Une opération de mise à niveau des artères principales de la ville de Constantine sera lancée prochainement dans le cadre des préparatifs de la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe 2015», apprend-on à travers un communiqué de la cellule de la wilaya. L’étude technique de cette démarche a été confiée à un bureau spécialisé, devant «se prononcer dans 20 jours».
Le coût global de ces travaux, inscrits à la DUC, s’élève à 3 milliards de dinars. Les travaux de la première phase englobent l’avenue Abane Ramdane, le boulevard Belouizdad et la rue Bouderbala (ex-Rue Petit). D’autres chantiers similaires seront menés au niveau des axes itinéraires du tramway et les voies principales, et il va y avoir aussi des travaux d’harmonisation de façades des immeubles. «Des travaux de reprise de l’éclairage public, des trottoirs et de la chaussée seront lancés parallèlement», indique-t-on. Yousra Salem
La maison de la culture Mohamed-Laïd Al Khalifa est en chantier depuis quelques jours. Il s’agit de travaux de réaménagement pour en faire un palais de la culture, avec, bien entendu, un autre statut. Cela a été, pour rappel, décidé dans le cadre de la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe 2015». Une chose à relever : les travaux ont été lancés alors que les sièges des directions de wilaya de la culture et du tourisme et n’ont pas été transférés là où ils auraient dû l’être. Evidemment, les employés qui y exercent sont en butte aux désagréments qu’on peut deviner. La direction de la culture emmenagera en principe, d’ici une dizaine de jours, à la bibliothèque régionale située sur la route de Aïn S’mara, apprend-on auprès du directeur de la culture. O.-S.M.
FLN : le Mouhafedh limogé
Branle-bas de combat hier à la Mouhafadha FLN de Constantine dans le quartier du Coudiat, suite à une information parue dans un quotidien arabophone et qui a été confirmée par les représentants de la Mouhafadha, concernant le limogeage du Mouhafedh du FLN, Driss Maghraoui, en déplacement hors frontières. En effet, tous les élus, ainsi que les représentants des différentes Kasmas, sont venus en force pour soutenir leur Mouhafedh, se mobilisant contre une décision émanant du bureau politique du FLN. En effet, cette dernière prévoit l’arrivée aujourd’hui d’une commission d’Alger à l’effet de procéder à l’installation d’un comité transitoire qui sera chargé d’élire un nouveau Mouhafedh. «Nous nous élevons énergiquement contre ces procédés venant de la part d’un SG très controversé (Amar Saadani ndlr) en qui nous n’avons jamais fait confiance», dira Hakim Lafoila, élu à l’APC de Constantine, et d’ajouter : «C’est une purge qui ne dit pas son nom, surtout que les noms avancés pour ce comité transitoire sont des proches de Ali Benflis». Un communiqué a été rédigé en urgence dans lequel nous pouvons lire ceci: «Nous mettons en garde tous les pouvoirs publics contre d’éventuelles dérives lors de la venue des membres de cette commission pour qui nous ne reconnaissons aucune légitimité». Affaire à suivre. N. B.
Des opérations de lifting dans le cadre de l’évènement de 2015
Une opération de mise à niveau des artères principales de la ville de Constantine sera lancée prochainement dans le cadre des préparatifs de la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe 2015», apprend-on à travers un communiqué de la cellule de la wilaya. L’étude technique de cette démarche a été confiée à un bureau spécialisé, devant «se prononcer dans 20 jours».
Le coût global de ces travaux, inscrits à la DUC, s’élève à 3 milliards de dinars. Les travaux de la première phase englobent l’avenue Abane Ramdane, le boulevard Belouizdad et la rue Bouderbala (ex-Rue Petit). D’autres chantiers similaires seront menés au niveau des axes itinéraires du tramway et les voies principales, et il va y avoir aussi des travaux d’harmonisation de façades des immeubles. «Des travaux de reprise de l’éclairage public, des trottoirs et de la chaussée seront lancés parallèlement», indique-t-on. Yousra Salem
الباحثة ليلى كواكي تشرّح 3 روايات معاصرة لوطار، لعرج و بوجدرة
استحضار للخطاب التاريخي و غوص في دهاليز محطات زمنية هامة
> قايدعمر هواري
30-01-2014
شكل
الخطاب التاريخي في الرواية الجزائرية المعاصرة، نقطة انطلاق الدراسة
المعمقة والدقيقة للباحثة الدائمة في المركز الوطني للبحث في
الانثروبولوجية الاجتماعية والثقافية بوهران "الكراسك" كواكي ليلي، حيث
أماطت هذه المرة اللثام عن الكثير من نقاط الظل في روايات 3 أدباء جزائريين
كبار بدءًا برواية "الشمعة والدهاليز" للمرحوم الطاهر وطار "كتاب الأمير"
لواسيني لعرج، وأخيرا "معركة الزقاق" لرشيد بوجدرة، وحاولت كواكي معرفة
المرجعية التاريخية التي تعكسها كل رواية من هذه الروايات الثلاث، وقالت
الباحثة الدائمة في "الكراسك"، بأنها حاولت معرفة من خلال هذا البحث المعمق
"المرجعية التاريخية التي تعكسها كل رواية من هاته الروايات الثلاث، وكذا
العمل على إبراز "كيف قام هؤلاء الأدباء بإعادة قراءة التاريخ في الرواية
الجزائرية المعاصرة، موضحة بأن الراحل الطاهر وطار سلّط الضوء على الإرهاب
والعشرية السوداء التي عاشتها الجزائر في التسعينيات، وأن "الشمعة
والدهاليز" التي كتبها المرحوم ليس من أجل إحياء التاريخ وإنما ألّفها
أثناء اغتيال الشاعر السبتي، حيث تشعر أنه فيها مساءلة للذاكرة الوطنية
وللتاريخ السياسي في الجزائر، وأما "كتاب الأمير" لواسيني لعرج - تضيف نفس
الباحثة- بأنها عبارة عن استعادة لتاريخ المقاومة منذ 1830، وهي فترة قديمة
جدا ولكنها تمثل بالفعل حقبة تاريخية هامة ينبغي عدم المرور عليها مرور
الكرام، وأما "معركة الزقاق" فهي رواية قيمة وجريئة، حاول من خلالها رشيد
بوجدرة استحضار مآثر وبطولات طارق بن زياد في الأندلس، وعملت نفس الباحثة
من خلال هذا البحث على إبراز كيف استطاعت هذه الأعمال الفنية الثلاثة إبراز
المسكوت عنه تاريخيا وسياسيا عبر شخصياتها، مضيفة أن التاريخ في الكثير من
الأحيان لا نجد فيه "دقائق الشخصيات" بينما في الرواية يستطيع المؤلف عبر
التخييل أن يرسم لها ملامح ومواقف لها إيحاءات ورموز وأماكن، فالمؤرخ لا
يمكنه أن يغوص في هذه الأمور التي يمكن للروائي الغوص والتعمق فيها، إذ
يقوم هذا الأخير (الروائي) بإبراز جوانب كثيرة و بصورة أدبية دقيقة ومفصلة،
فهو بخلاف المؤرخ، يقوم بمساءلة مختلفة ومتنوعة باختلاف كل أديب، ويعود
إلى التاريخ من خلال فتح الكثير من الزوايا ونقاط الظل التي لا يجوز
للمهتمين بالتاريخ تسليط الضوء عليها، لتشير في الأخير أن الحديث عن منهج
التعامل مع النصوص السردية المختارة، لا يحيل فقط على سلسلة من المقاييس
الإجرائية والطرائق التحليلية، بل على الأسس النظرية التي هي المرجع
والسياق، وتطرح في هذا السياق إشكالية الخطاب التاريخي لقراءة النماذج
المختارة بحيث "لا نقوم بعملية إسقاط على هذه النصوص من حيث تحليل مضامينها
الفكرية وأبعادها الجمالية واستخلاص دلالاتها وأبعادها"، وإنما من خلال
الاستفادة من المنهج النقدي، فيتم توظيف "ما نراه ملائما لكل عمل منها، لأن
هذا الصنف من البحوث يقتضي قراءة وتأويلا ، لذلك فإن منهجنا لن يكون
انعكاسا لمنهج ما في ممارسة النص الأدبي، وإنما تأليف لها، تمليه بنية
النصوص الداخلية. وأنه استنادا لهذه الرؤية، فلا مناص من الجمع بين
المنهجين التاريخي والاجتماعي. وأن الاعتماد على المنهج التاريخي جاء لكون
القضايا التي طرحها الروائيون لن تكون متماسكة ومتناسقة، إن لم يتم وضعها
في سياقاتها التاريخية التي ظهرت فيها، وإبراز أهم ما تنبئ عليه من مقولات
فكرية وجمالية، مع التأكيد على ما يربط بينها من علائق تعكس صيرورة الإبداع
الأدبي عامة والروائي خاصة، وما يتميز به في كل مرحلة من سمات تشكل علاقات
خصوصيته.
ينتــظـــرنتنــفـــيذ الإدارة لـــوعـدهـا
ثــــلاث طالبـــات ضــــريرات يطالبـــن بغــرفــة خاصة بـــإقامــــــة دالـــــي إبراهيـــــم
ريمة دحماني
هن من ذوي الاحتياجات الخاصة ناقصات بصر، طالبات في سن الزهور اخترن الابتعاد عن العائلة طلبا للعلم واعتمادا على النفس، بحثا عن التغيير من أجل التأقلم مع ظروف الحياة، يناشدن الجهات المعنية بتخصيص غرفة خاصة بهن في الإقامة الجامعية للبنات بدالي إبراهيم 1 لتفادي الوقوع في مشاكل مع المقيمات العاديات.يتطلعن لتنفيذ وعود إدارة الإقامة التي قطعتها في بداية السنة بتخصيص غرفة لهن باعتبار أنهن يعانين من نقص في البصر، حيث وجب على إدارة الإقامة مراعاة ظروفهن الصحية التي تتطلب الأخذ بعين الاعتبار وتحسين ظروف إقامتهن.
ينتظرن الاستجابة لطلباتهن منذ بداية السنة
سهام المنحدرة من ولاية بجاية، سنة ثانية علم اجتماع بجامعة بوزريعة، تعاني من نقص في البصر، عاهة مستديمة منذ أن ولدت، حالتها لم تجد علاجا إلى يومنا هذا، تقول تحصلت على شهادة البكالوريا وواصلت دراستي بفضل عائلتي التي أعتز بها وقفت إلى جانبي طول مشواري، مضيفة قررت التنقل للدراسة في العاصمة لعدة اعتبارات، طموحها حملها لخوض تجربة كانت متفائلة لخوضها عندما طلبت من أهلها أن يسمحوا لها بالدراسة في العاصمة، بعيدة عن بيتها العائلي، كان الأمر في البداية صعبا لكن مع مرور الوقت تقبلوا الفكرة.
الأمر الذي دفعها للحديث هو المعاناة من التهميش والإقصاء رفقة زميلاتها في الدراسة تتقاسم معهن مرارة غرفة واحدة في الإقامة الجامعية للطالبات بدالي إبراهيم 1، تنتظر تنفيذ الوعود التي قطعتها مديرة الإقامة ورئيسة مصلحة الإقامة التي وعدتهن بمنحهن غرفة لثلاثتهن، باعتبار أنهن يعانين من نقص في البصر وبحاجة لغرفة يتقاسمنها بمفردهن، وفي الحديث عن المشكل الذي يؤرقهن، صمتت قليلا وأضافت مبتسمة حنا عندنا طبايع وطقوس نعيشوا حياة هادئة، لن يفهمنا شخص عادي مثال أنا لا أستطيع تعريض عيني للضوء كثيرا وأمور أخرى نتشارك فيها نحن الثلاثة، كل منا تحس بأخرى لكن شخص عادي لا يتقاسم معنا المعاناة وكل حر في تصرفاته، لكن ما حز في نفسها هو عدم تجاوب إدارة الإقامة مع حاجتهن في التغيير والاستقرار وتنفيذ الوعود التي قطعت منذ بداية السنة خاصة وأن أياما قليلة تفصلهن عن الامتحانات.
مريم تتجرع مرارة الإعاقة والإقصاء
مريم زميلة سهام في الغرفة والدراسة منحدرة من ولاية تيزي وزو تعاني هي الأخرى من نقص البصر الذي لازمها منذ الطفولة بعد ارتفاع مفاجئ للحمى إثر وعكة صحية أفقدتها البصر في إحدى عينيها، تقول تمرمدنا العام لي فات وهذا العام، تفتقر هي الأخرى للهدوء والسكينة في حياتها اليومية باعتبار أنها تتقاسم الغرفة مع سهام وسعاد وطالبة أخرى لا تتمتع بصحة جيدة لا تحترم رغباتهن، بدأت معاناتها بعد نيلها شهادة البكالوريا، حيث قصدت العاصمة للدراسة إلا أنها عانت كثيرا في الحصول على غرفة في الإقامة الجامعية وبعدما وجدت الغرفة وتعرفت على زكية التي تعاني من نفس المشكل أقامتا في غرفة رفقة طالبة أخرى ضربت عرض الحائط حالتهما وحاجتهما للراحة والسكينة، معاناة دامت عدة أشهر إلا أن قررت هي وصديقتها سعاد الخروج من الغرفة التي كانت تشغلها رفقة طالبة أخرى، ووجب خروجهما من الغرفة إمضاء تعهد مع الإدارة، تقول ليتنا لم نفعل خرجنا من السيئ للأسوأ هربنا من الحبس طحنا في بابوا انتقلنا إلى غرفة بها ست طالبات وأصبحنا ثمانية، مبتسمة كل طير يغني بغناه، أمضينا بقية العام بشق الأنفس أنا وسعاد في بداية هذه السنة طلبنا الاستفادة من غرفة مشتركة لنا نحن الثلاثة، قدمنا طلبا مرفوقا بشهادة طبية تستوجب التكفل بحالتنا الصحية وتوفير الجو الملائم والهادئ لنا، مديرة الإقامة أخذت الأمور بجدية وطلبت من رئيسة المصلحة الاستجابة لطلبنا لكن منذ ذلك الحين لم يتغير شيء في حالنا.
بعد مسكنها عن الجامعة أجبرها على تجرع مرارة الإقامة
حالة سعاد طالبة سنة ثانية علم النفس بجامعة بوزريعة لا تختلف كثيرا عن الأخريات، هي مقيمة في ضواحي العاصمة لكن حالتها أجبرتها على تفضيل الإقامة الجامعية على منزلها، كونها تعاني من بعد النظر كل شيء قريب تراه بعيدا، مشكل لطالما أرق حياتها، تحصلت على شهادة البكالوريا وقررت المكوث في الإقامة الجامعية باعتبار أنها تقيم في أحد الأحياء خارج المدينة ما جعل والدها مجبرا على مرافقتها يوميا ذهابا وإيابا، استفادت من الموافقة على الإقامة في الجامعة من أجل تخفيف العبء على والدها، وجعلها تخوض التجربة المريرة مثلها مثل أي طالب أو طالبة في الجامعة يعاني التهميش والإقصاء، باعتبار أنها تجرعت مرارة الإقامات الجامعية التي يفترض أن توفر الجو الملائم لهذه الفئة من الطلبة حتى يتمكنوا من المضي قدما نحو الأفضل وتزيح عنهم هم التخبط في الظروف المعيشية غير الملائمة التي أرقتهم خاصة وأن أيام قليلة تفصلهن عن امتحانات السداسي الأول لهذه السنة.
عدد القراءات: 262
|
الدكتور فوزي سعد الله لـ"الشروق" / الجزء الأول
الحركة الصهيونية ضغطت على دوغول لإجهاض استقلال الجزائر
حاوره: عبد السلام سكية
2014/01/29
(آخر تحديث: 2014/01/29 على 20:07)
لا يوجد يهوديٌ واحد شارك في الثورات الشعبية ضد الفرنسيين في القرن 19
يكشف
الدكتور فوزي سعد الله عن التحاق الكثير من اليهود بالقوات الفرنسية
كَمُترجِمين منذ بداية التحضير للحملة العسكرية على الجزائر في 1830، قبل
أن يتحولوا إلى وسطاء في مفاوضات الأمير عبد القادر والحاج أحمد باي مع
المحتلين، بهدف التكسّب من الحرب بين المقاومة والقوات الفرنسية، ويؤكد
الباحث في تاريخ اليهود بالجزائر في حوار مع "الشروق"، أن مواقف هؤلاء كانت
مشتَّتة فيما يخصّ ثورة 1954، بين أقلية يسارية متعاطفة معها وأخرى
صهيونية مناهِضة، فيما كانت البقية التي شكَّلتْ الأغلبيةَ مترددةً أو غيرَ
مهتمة بتطور الأحداث.
وفي جزئية ثانية، يتحفّظ الدكتور فوزي سعد الله وفق معلومات بحوزته على كون المدير الفني للشاب مامي، وهو ميشال ليفي يهودي الأصل كما يوحي اسمه.
نريد أن نعرف بداية أهميّة الدور الذي لعبه يهود الجزائر في الحفاظ على جزء من التراث الثقافي والفني ببلادنا؟
يهود الجزائر كانوا، بكل بساطة، في غالبيتهم جزائريين، وبالتالي فقد عاشوا الحياة الجزائرية كغيرهم من باقي أهل البلاد على جميع المستويات بحلوها ومرِّها، ولم يختلفوا عن المسلمين سوى في ممارسة طقوسهم الدينية التي كانت هي الأخرى تتضمن عادات وتقاليد جزائرية بحتة.
فيما يتعلق بما يتردد عن محافظتهم على التراث الموسيقي الجزائري، يقتصر الأمر على جزء منه فقط، وهو التراث الموسيقي الحضْري الذي يتمثل بشكل عام في الغناء العربي الأندلسي بمختلف فروعه. وقد بولغ كثيرا في هذا الدور لأغراض دعائية سياسية أو تجارية.
يهود الجزائر لم يكونوا أكثر محافظةً على هذا التراث من بقية الجزائريين، وهذه المحافظة لم تتم كما يتصور البعض بشكل مُمَنْهَج ومدروس وواع، بل فقط بمجرد ممارسته التي تؤدي تلقائياً إلى استمرار وجوده في ذاكرة الناس وعدم نسيانه، وبالتالي إلى إطالة عمره، علما أن عددَ فنانيهم بشكل عام والأكْفاء بشكل خاص قليلٌ مقارنة بعدد نظرائهم المسلمين. أرجع إلى كتاب الموسيقار الباحث ألكسندر كريستيانوفيتش الذي زار الجزائر في ستينيات القرن الـ 19م مثلاً لتجد شهادات جزائريين مسلمين خبراء يقولون بذلك.
الحالات التي سعى فيها يهود بلادنا بشكل مُمَنْهَج إلى حماية هذا التراث من الاندثار معدودةٌ على غرار المجهود التعليمي الذي بذله كلٌّ من موزينو والسَّاسي وبوشعرة ويافيل. ومن بين ما فعله هذا الأخير، أيْ إيدمون ناثان يافيل (Edmond Nahan Yafil) بن "مخلوف لوبية" (1874م 1928م)، قيامُه بتدوين أشعار وموسيقى هذا التراث، حسب أسلوب مدينة الجزائر، في كتاب بالتعاون مع الفرنسي جول رواني (Jules Rouanet) وأيضا، وبشكل رئيسي وقبل كل شيء، مع شيخه الشيخ محمد بن علي سفنجة (1844م 1908م) الذي كان مصدر مادة كتاب يافيل ورُواني والخزَّان الحافظ للتراث الموسيقي حسب أسلوب مدينة الجزائر.
التحق الكثيرُ من اليهود بالقوات الفرنسية منذ بداية التحضير للحملة العسكرية على الجزائر كَمُترجِمين، وكانت هذه الوظيفة تشمل الترجمة والتبليغ عن المقاومين وتحركات القرى والقبائل الجزائرية. اليوم، تحاول أوساط صهيونية إعادة "تَعْلِيب" البعض منهم وتسويقهم على أنهم كانوا جزائريين وطنيين لعبوا دورا في حماية هوية الجزائر وثقافتها.
وإذا كان قد نبغ من بين اليهود في الجزائر عددٌ من الفنانين الممتازين والمحبوبين على غرار المْعَلَّمْ مَقْشِيشْ والمْعَلَّمْ سَعُودْ المَدْيُونِي (1893م1942م/1943م) وبن قنون جوزيف المعروف بـ: المْعَلَّمْ زُوزُو (1885م/1888م1972م) وبْرَاهَمْ الدَّرْعِي (1879م1964م)، في وهران وتلمسان، والمْعَلَّمْ بن فَرَاشُو (بداية القرن 19م 1904م) وشاؤول دوران المعروف بـ: مُوزِينُو (1865م1928م) ومْخِيلَفْ بُوشَعْرَة ويَافِيلْ ولِيلِي العَبَّاسِي (بداية القرن 20م1972م)، في مدينة الجزائر، وأيضا رِيمُونْدْ (1912م1961م) وسِيلْفَانْ غْنَايْسِيَّة (أو غْرِينَاسْيَا وهو والد الفنان الفرنسي من أصل جزائري أنْرِيكُو مَاسْيَاسْ (1914م2005م) وآلِكْسَنْدَرْ جُودَا النَّقَّاشْ (1916م1999م) وبُوخْشِيمَة وبن كِيمُونْ، في قسنطينة وعنَّابة، وأنا شخصيا أهوى غناء من وَصَلَتْنَا تسجيلاتُهم من هذا الرعيل، فبرغم ما قدموه لهذا الفن، وهو مُحترَم ولا يمكن إنكارُه ولا جدال فيه، فإنه لا يرقى إلى ما قام به المسلمون أمثال الشيخ المنْمَّشْ (1806م1891م) الذي عاصر الدايات مصطفى باشا وعلي خوجة والداي حسين وتلميذه محمد بن علي سفنجة وقبلهما الشيخ بن سالم والحاج إبراهيم، الذي غنى للداي حسين في عدة مناسبات، والوَنَّاسْ وحمُّود بن مصطفى خلال الفترة الممتدة بين بداية القرن 18م والسنوات الأولى للقرن 20م.
وأيضا الشيخ محمد بن التفاحي (1866م أو 1870م1944م) والشيخ السعيدي (1880م1931م) والشيخ محمد بن المصابيح (1840م1910م) عبد الكريم البستانجي (1886م1940م) والشيخ عبد القادر التومي سياف (1906م2005م) والطاهر بن كرطوسة (1898م1947م) والشيخ حمو الفرقاني (1880م/1884م1971م)... هذا بالنسبة للقرنين 19م و20م، أما إذا قيَّمنا ما قاموا به في المدى الطويل على مدى قرون فإن دور اليهود في موسيقانا الحضرية يبدو أقل أهمية منه في القرنيْن المذكوريْن.
لأن غالبية الذين يتحدثون عن الدور اليهودي في هذا المجال بمبالغات ومزايدات، مقصودة أو بريئة، يستشهدون فقط بما قام به فنانون يهود منذ النصف الثاني من القرن 19 إلى غاية خمسينيات القرن الماضي، وهذه فترة قصيرة جدا من عُمْرِ التراث الموسيقي الحضري الجزائري لا يُقاس بها.
هل حقيقة أن عالمية الرَّاي متصلة باليهود على وجه التحديد؟
عالميّة موسيقى الرَّايْ مرتبطة بتعاون جزائري فرنسي قبل كل شيء خلال الثمانينيات من القرن الماضي، ولعل العقيد السّنُوسِي المدير الأسبق لرياض الفتح آنذاك أدْرَى مني بحيثيات الموضوع. تشجيع الرَّاي وتعميمُه بل وفرضُه على كل المجتمع الجزائري كان سياسةً مقصودة وواعية متعددة الأهداف، من بينها تيسير إدماج الجيل الثاني من المهاجرين الجزائريين في فرنسا بجعل هذا النوع الغنائي قاسما مشتركا يوحِّد بينهم وبين الشباب الفرنسي غير العربي الرافض أو المتحفظ من المهاجرين، وأيضا الدفع بالجزائريين نحو نموذج معيَّن من "الحداثة" الرأسمالية قبيل توديع النظام الاشتراكي والتقليص من الطبع المحافظ للمجتمع الجزائري. أما الباقي فليس سوى مجرد تفاصيل لهذه السياسة قد يتولاها يهودٌ أو غير يهود.
هل فعلا مناجير الشاب مامي من أصل يهودي؟
فيما يتعلق بالمدير الفني للشاب مامي، وهو ميشال ليفي الذي يبدو من اسمه أنه يهودي، فقد بلغتْنِي معلوماتٌ من أشخاص قريبين جدا منه، لا يمكنني تأكيدها أو نفيها، مفادها أنه ليس يهوديا، وأن "ليفي" مجرَّد لقب وليس اسمه الحقيقي...
كيف تعاملت فرنسا الاستعمارية مع يهود الجزائر، خاصة مع مرسوم أدولف كريميو؟
كان الرأي العام الأوروبي في الجزائر معادياً لمرسوم كريميو الصادر في عام 1870م، لأن غالبيتهم كانت عنصرية تكره اليهود وتحتقرهم ولم تكن تقبل بأن يصبحوا مساوين لهم. أما الإدارة والسياسيون فقد انقسموا بين مدافع شرس عن المرسوم ومعارض له بمبررات متعددة. في نهاية المطاف، مالت الكفة إلى الطرف الأول لا سيما أن المرسوم تم تمريرُه في ظروفٍ يكتنفها بعض الغموض تزامنت مع خروج فرنسا مكسورة منهزمة في حربها مع الألمان. أما المسلمون فلم يكونوا يشعرون أن معركةَ المرسوم معركتُهم بل ما كان يحزُّ في أنفسهم بعد عقود من القهر الاستعماري هو أن يتحوَّلوا بعد تجنيسِ اليهود جماعيا وبشكل آليٍّ بالجنسية الفرنسية إلى مواطنين من الدرجة الثالثة بعد الأوروبيين واليهود. وأقول من الدرجة الثالثة، لأن اليهود في ذهنية الأوروبيين بقوا دائما مواطنين من الدرجة الثانية رغم المساواة بينهم التي أقرَّها مرسوم كريميو.
يقال إن يهود الجزائر على فئتين توشابيم وميغورشيم، ما الفرق بين الطائفتين؟
التوشابيم هم اليهود الأهالي الذين وُجدوا في الجزائر منذ الفترات السابقة لتوافد يهود الأندلس اللاجئين من الاضطهاد الإسباني الكاثوليكي، أي قبل 1942م، أما الميغوراشيم فَهُم يهود الاندلس الذين طُرِدوا بعد سقوط غرناطة عام 1492م وأيضاً هؤلاء الذين كانوا يأتون إلى الجزائر بعد سقوط دويلاتهم الأندلسية السابق لانهيار غرناطة مثلما حدث عام 1391م في جزر الباليار. وقد وفد على الجزائر حينها الكثيرُ من اليهود، من بينهم الحِبْرُ إفْرَايْمْ النّْكَاوَة أو "عَنْكَاوَة" دفين تلمسان، والحِبْرُ رِيبَاشْ وزميله رَاشْبَاشْ وجُوزِيفْ بن مِنِيرْ والطبيب جَاكُوبْ قَابِيسُونْ وعائلة الَأْشَقَرْ وغيرهم... في بداية القرن 18م، التحق بهم في مدينة الجزائر يهود مدينة ليفورن الإيطالية على غرار أسرة البكري وعائلة بوشناق.
كيف تعامل اليهود مع الثورات الشعبية في الجزائر ضد الاحتلال الفرنسي؟
لا أعرف اسما يهوديا واحدا كان ضمن قوات المقاومة الجزائرية خلال القرن 19م بعد دخول قوات الاحتلال مدينة الجزائر في يوم 5 جويلية 1830م باستثناء وسطاء في مفاوضات الأمير عبد القادر والحاج أحمد باي مع المحتلين كانوا يتكسَّبون من الحرب بين المقاومة والقوات الفرنسية أكثر مما كانوا يخدمون هذا الطرف أو ذاك، وكانوا يميلون لمَن يدفع أكثر مثلما هو شأن يهوذا بن دوران الوسيط بين الأمير والجنرال بيجو وبوجناح الذي كان مبعوثا للفرنسيين إلى أحمد باي. وكان كل من الأمير والباي على وعيٍ تامٍّ بهذه الحقيقة التي تعاطيا معها بواقعية لتحقيق مصالحهما.
في المقابل، التحق الكثيرُ من اليهود بالقوات الفرنسية منذ بداية التحضير للحملة العسكرية على الجزائر كَمُترجِمين، وكانت هذه الوظيفة تشمل الترجمة والتبليغ عن المقاومين وتحركات القرى والقبائل الجزائرية، وتولوا مهام الاتصال بالسكان في الأرياف وتخويفهم لإقناعهم بالاستسلام وحتى ابتزازهم ماديا لقاء وعود كاذبة أو بالأحرى الاحتيال عليهم. اليوم، تحاول أوساط صهيونية إعادة "تَعْلِيب" بعضهم وتسويقهم على أنهم كانوا جزائريين وطنيين لعبوا دورا في حماية هوية الجزائر وثقافتها مثلما يفعل كل من الإسرائيلي شموئيل موري اليهودي العراقي (اسمه الأصلي سامي مْعَلَّمْ) والبريطاني فيليب سادْغْرُوفْ بشأن آبْراهام دَانِينُوسْ، اليهودي من مدينة الجزائر، الذي كان من أوائل "مترجمي" جيش الاحتلال والذي ينسب له شموئيل موري وفيليب سادغروف مخطوطًا اعتبروه أول مسرحية عربية حديثة ظهرت عام 1847م. وقد أَطْرَبَ ذلك جزائريين تباهوا على اللبنانيين بأنهم "رواد المسرح العربي"، وذلك دون دراسة المخطوط وتمحيصه والتدقيق في أصالته... بل هناك من ذهب إلى حد نشر المسرحية في مدينة الجزائر قبل سنوات دون إشارة إلى موري وسادغروف، حسب ما بلغني من معلومات لأنني لم أطلع على هذا العمل، وكأنها غزوة من غزواتهم...
لكن حتى لا نظلم الناس، ليس كل اليهود كانوا منخرطين في خيانة الجزائر حيث أن الكثير من عامّتهم كانوا مثلما نقول اليوم "حْشِيشَة طَالْبَة مْعِيشَة" لا تريد التورط في مشاكل اعتبروها نوعاً من النزاع بين الفرنسيين والمسلمين أو مشاكل أكبر ممّا يطيقون. وحاولت شخصياتٌ من نخبهم الروحية التقليدية التمسك بالحياد مع الحرص على رفض التفرنس برفض التجنس بالجنسية الفرنسية إلى أن فًرِضَتْ عليهم قسرا وبشكل آلِيٍ وجماعي بمقتضى مرسوم كريميو لعام 1870م. وقد خضعتْ هذه النخب التقليدية لضغوط قوية من قِبل يهود فرنسا الذين بالتعاون مع الحركة الماسونية الفرنسية وفرعها الجزائري لم يدَّخروا جهدا أو مالا لفَرْنَسَتِهم لشدة احتقارهم للثقافة العربية، إذْ لم يطيقوا رؤية يهود عرب القلب والقالب. وكانت لِعملية سلخهم من ثقافتهم الأصلية تأثير على موقف المُتَفَرْنِسِين منذ جيليْن أو ثلاثة من الثورة الجزائرية واختيارهم "الوطن الأم" فرنس ا. الذينلم يتورَّطوا مع فرنسا بقوا في الجزائر بعد الاستقلال أو على الأقل بقيتْ علاقتُهم بالجزائريين المسلمين طبيعية، جيدة وحميمية إلى غاية رحيلهم على الأقل.
ما هو موقف اليهود من الثورة الجزائرية في 1954، وكم كان عددهم آنذاك؟
عدد اليهود في الجزائر في عام 1954م، كان يقدر بحوالي 130 ألف إلى 140 ألف، وأنا أستند في هذا الرقم إلى الإحصائيات التي قامت بها النازية في الجزائر في عهد حكومة فيشي وإلى الأرقام التي ذكرها الحِبْر الأعظم اليهودي في الجزائر منذ 1930م إلى غاية وفاته عام 1957م موريس آيزنبِث.
عندما فُجّرت الثورة، كانت مواقفهم مشتَّتة بين أقلية يسارية متعاطفة معها وأقلية صهيونية مناهضة، والبقية التي شكَّلتْ الأغلبيةَ كانت مترددةً أو غيرَ مهتمة بتطور الأحداث.
خضعتْ النخب التقليدية اليهودية بالجزائر لضغوط قوية من قِبل يهود فرنسا الذين بالتعاون مع الحركة الماسونية الفرنسية وفرعها الجزائري لم يدَّخروا جهدا أو مالا لفَرْنَسَتِهم لشدة احتقارهم للثقافة العربية، إذْ لم يطيقوا رؤية يهود عرب القلب والقالب. وكانت لِعملية سلخهم من ثقافتهم الأصلية تأثير على موقف المُتَفَرْنِسِين منذ جيليْن أو ثلاثة من الثورة الجزائرية واختيارهم "الوطن الأم" فرنسا.
أما الأقلية الصهيونية فقد كانت لها أجندتُها حيث أن همَّها الأول كان تهجير اليهود إلى فلسطين ومنع قيام دولة جزائرية تُعزِّز مصرَ الناصرية والتيار القومي العربي المناهِض للصهيونية. وهو ما قام به ليفي آشكول وبن غوريون إلى غاية آخر أسابيع الاحتلال لإقناع الجنرال دوغول بالعُدول عن اتفاقه مع المجاهدين الجزائريين في إيفيان.
كما أن الحركة الصهيونية أرسلت في بدايات الثورة التحريرية مبعوثَها جاك لازاروس إلى مدينة الجزائر ليؤسِّس اللجنة اليهودية الجزائرية للدراسات الاجتماعية (CJAES) التي كانت سياسيةً جدًّا برغم تظاهرها بالعكس وتولتْ مهمة الاستيلاء على تمثيل اليهود ومزاحمة النُّخب الدينية والمجالس المِلِّية اليهودية في هذا المجال لتفرض عليها تدريجيا توجها سياسيا مُتَصَهْيِنًا. لذا، عندما طَلبتْ الثورة من اليهود الالتحاقَ بها لم يعد حينها الحِبْرُ الأعظم المتردِّد المُمَثِّلَ الوحيد ليهود الجزائر كما كان في السابق، بينما بدا موقف جاك لازاروس واضحا جليا وهو أن اليهود فرنسيون ولا يمكنهم "خيانة" فرنسا.
وفي وقتٍ لاحق أجمعت النُّخب الممثِّلة لهم على الوقوف إلى جانب فرنسا بحجة أنه لا يمكن التخلي عن "أمِّهم" مثلما فعل الأديب ألْبِيرْ كَامُو. بل ذهب بعضُهم، وهم أقلية، إلى الانخراط في الاعتداءات المسلحة الإرهابية إلى جانب المنظمة المسلحة السرية (OAS) وتنفيذ اعتداءات همجية ضد الأهالي المسلمين والفرنسيين الموالين لاستقلال الجزائر، بمن فيهم يهود على غرار الشيوعي ويليام ليفي في باب الوادي في مدينة الجزائر، وضد الراغبين في الرحيل. وقامت المنظمة الإرهابية بعمليات قتلٍ عشوائي من أجل القتل فقط.
وربما كان أكثرهم همجية يهود الـ: OAS في وهران الذين كانوا يأتَمِرون بأوامر إيلي عطَّار داخل الكوموندو "دِيلْتَا" (Delta) الدموي. كما يجهل الكثير من الناس، بمن فيهم الفرنسيون، أن الجنرال إيدمون جوهو أحد الانقلابيين الفاشلين ضد الجنرال ديغول كان يُنَسِّقُ بين يهود وهران المتطرفين والمنظمة المسلحة السرية الإرهابية داخل المعبد اليهودي للمدينة قبيل استقلال الجزائر ببضعة أشهر.
في هذه الأثناء، حملت الأقلية اليسارية الشيوعية السلاح إلى جانب الثوار ومنهم من مات في ميدان الشرف، وتكفل آخرون بشبكات الإسناد والتهريب والدعاية. ومن بين هؤلاء المقاتلين والدَّاعمين الطبيب دانيال تِيمْسِيتْ صديق طالب عبد الرحمن وهنري علاق وريموندْ بيسكار الملقبة "الطَّاوس" وريموند حَنُّون الذي سقط في ميدان الشرف في عام 1956م عندما كان يهودٌ آخرون، ومسلمون أيضا، يترددون في اتخاذ موقف واضح.
يُضاف إلى هؤلاء الثوار موريس لبان الذي قُتِل في ساحة الوغى برفقة ثلاثة مسلمين وفرنسي مسيحي عام 1956م...
أما الأغلبية من اليهود فبقيت في حالة الانتظار والترقب والشلل إلى أن حانت ساعة الحسم في 1962 فرحلت غالبيتها إلى فرنسا، والبعض منها اختار إسبانيا وكندا، والبعض الآخر من الفقراء والمعدومين ذهبوا إلى إسرائيل على نفقة الحركة الصهيونية وتحت إشرافها وبالتنسيق مع سلطات الاحتلال.
وكان من بين الذين رُحِّلوا إلى إسرائيل يهود الميزاب الذين انتهى بهم المطاف في صحراء النقب في جنوب فلسطين المحتلة. وأصيب عددٌ من الذين ذهبوا إلى إسرائيل بخيبة أمل كبيرة فغادروها إلى فرنسا أو كندا، ومنهم موريس المديوني الفنان عازف البيانو الوهراني سابقا الذي استقر في مرسيليا، جنوب فرنسا، ومازال بها إلى اليوم، وكان صديق الفنان الجزائري بْلاوي الهواري خلال الخمسينيات.
وفي جزئية ثانية، يتحفّظ الدكتور فوزي سعد الله وفق معلومات بحوزته على كون المدير الفني للشاب مامي، وهو ميشال ليفي يهودي الأصل كما يوحي اسمه.
نريد أن نعرف بداية أهميّة الدور الذي لعبه يهود الجزائر في الحفاظ على جزء من التراث الثقافي والفني ببلادنا؟
يهود الجزائر كانوا، بكل بساطة، في غالبيتهم جزائريين، وبالتالي فقد عاشوا الحياة الجزائرية كغيرهم من باقي أهل البلاد على جميع المستويات بحلوها ومرِّها، ولم يختلفوا عن المسلمين سوى في ممارسة طقوسهم الدينية التي كانت هي الأخرى تتضمن عادات وتقاليد جزائرية بحتة.
فيما يتعلق بما يتردد عن محافظتهم على التراث الموسيقي الجزائري، يقتصر الأمر على جزء منه فقط، وهو التراث الموسيقي الحضْري الذي يتمثل بشكل عام في الغناء العربي الأندلسي بمختلف فروعه. وقد بولغ كثيرا في هذا الدور لأغراض دعائية سياسية أو تجارية.
يهود الجزائر لم يكونوا أكثر محافظةً على هذا التراث من بقية الجزائريين، وهذه المحافظة لم تتم كما يتصور البعض بشكل مُمَنْهَج ومدروس وواع، بل فقط بمجرد ممارسته التي تؤدي تلقائياً إلى استمرار وجوده في ذاكرة الناس وعدم نسيانه، وبالتالي إلى إطالة عمره، علما أن عددَ فنانيهم بشكل عام والأكْفاء بشكل خاص قليلٌ مقارنة بعدد نظرائهم المسلمين. أرجع إلى كتاب الموسيقار الباحث ألكسندر كريستيانوفيتش الذي زار الجزائر في ستينيات القرن الـ 19م مثلاً لتجد شهادات جزائريين مسلمين خبراء يقولون بذلك.
الحالات التي سعى فيها يهود بلادنا بشكل مُمَنْهَج إلى حماية هذا التراث من الاندثار معدودةٌ على غرار المجهود التعليمي الذي بذله كلٌّ من موزينو والسَّاسي وبوشعرة ويافيل. ومن بين ما فعله هذا الأخير، أيْ إيدمون ناثان يافيل (Edmond Nahan Yafil) بن "مخلوف لوبية" (1874م 1928م)، قيامُه بتدوين أشعار وموسيقى هذا التراث، حسب أسلوب مدينة الجزائر، في كتاب بالتعاون مع الفرنسي جول رواني (Jules Rouanet) وأيضا، وبشكل رئيسي وقبل كل شيء، مع شيخه الشيخ محمد بن علي سفنجة (1844م 1908م) الذي كان مصدر مادة كتاب يافيل ورُواني والخزَّان الحافظ للتراث الموسيقي حسب أسلوب مدينة الجزائر.
التحق الكثيرُ من اليهود بالقوات الفرنسية منذ بداية التحضير للحملة العسكرية على الجزائر كَمُترجِمين، وكانت هذه الوظيفة تشمل الترجمة والتبليغ عن المقاومين وتحركات القرى والقبائل الجزائرية. اليوم، تحاول أوساط صهيونية إعادة "تَعْلِيب" البعض منهم وتسويقهم على أنهم كانوا جزائريين وطنيين لعبوا دورا في حماية هوية الجزائر وثقافتها.
وإذا كان قد نبغ من بين اليهود في الجزائر عددٌ من الفنانين الممتازين والمحبوبين على غرار المْعَلَّمْ مَقْشِيشْ والمْعَلَّمْ سَعُودْ المَدْيُونِي (1893م1942م/1943م) وبن قنون جوزيف المعروف بـ: المْعَلَّمْ زُوزُو (1885م/1888م1972م) وبْرَاهَمْ الدَّرْعِي (1879م1964م)، في وهران وتلمسان، والمْعَلَّمْ بن فَرَاشُو (بداية القرن 19م 1904م) وشاؤول دوران المعروف بـ: مُوزِينُو (1865م1928م) ومْخِيلَفْ بُوشَعْرَة ويَافِيلْ ولِيلِي العَبَّاسِي (بداية القرن 20م1972م)، في مدينة الجزائر، وأيضا رِيمُونْدْ (1912م1961م) وسِيلْفَانْ غْنَايْسِيَّة (أو غْرِينَاسْيَا وهو والد الفنان الفرنسي من أصل جزائري أنْرِيكُو مَاسْيَاسْ (1914م2005م) وآلِكْسَنْدَرْ جُودَا النَّقَّاشْ (1916م1999م) وبُوخْشِيمَة وبن كِيمُونْ، في قسنطينة وعنَّابة، وأنا شخصيا أهوى غناء من وَصَلَتْنَا تسجيلاتُهم من هذا الرعيل، فبرغم ما قدموه لهذا الفن، وهو مُحترَم ولا يمكن إنكارُه ولا جدال فيه، فإنه لا يرقى إلى ما قام به المسلمون أمثال الشيخ المنْمَّشْ (1806م1891م) الذي عاصر الدايات مصطفى باشا وعلي خوجة والداي حسين وتلميذه محمد بن علي سفنجة وقبلهما الشيخ بن سالم والحاج إبراهيم، الذي غنى للداي حسين في عدة مناسبات، والوَنَّاسْ وحمُّود بن مصطفى خلال الفترة الممتدة بين بداية القرن 18م والسنوات الأولى للقرن 20م.
وأيضا الشيخ محمد بن التفاحي (1866م أو 1870م1944م) والشيخ السعيدي (1880م1931م) والشيخ محمد بن المصابيح (1840م1910م) عبد الكريم البستانجي (1886م1940م) والشيخ عبد القادر التومي سياف (1906م2005م) والطاهر بن كرطوسة (1898م1947م) والشيخ حمو الفرقاني (1880م/1884م1971م)... هذا بالنسبة للقرنين 19م و20م، أما إذا قيَّمنا ما قاموا به في المدى الطويل على مدى قرون فإن دور اليهود في موسيقانا الحضرية يبدو أقل أهمية منه في القرنيْن المذكوريْن.
لأن غالبية الذين يتحدثون عن الدور اليهودي في هذا المجال بمبالغات ومزايدات، مقصودة أو بريئة، يستشهدون فقط بما قام به فنانون يهود منذ النصف الثاني من القرن 19 إلى غاية خمسينيات القرن الماضي، وهذه فترة قصيرة جدا من عُمْرِ التراث الموسيقي الحضري الجزائري لا يُقاس بها.
هل حقيقة أن عالمية الرَّاي متصلة باليهود على وجه التحديد؟
عالميّة موسيقى الرَّايْ مرتبطة بتعاون جزائري فرنسي قبل كل شيء خلال الثمانينيات من القرن الماضي، ولعل العقيد السّنُوسِي المدير الأسبق لرياض الفتح آنذاك أدْرَى مني بحيثيات الموضوع. تشجيع الرَّاي وتعميمُه بل وفرضُه على كل المجتمع الجزائري كان سياسةً مقصودة وواعية متعددة الأهداف، من بينها تيسير إدماج الجيل الثاني من المهاجرين الجزائريين في فرنسا بجعل هذا النوع الغنائي قاسما مشتركا يوحِّد بينهم وبين الشباب الفرنسي غير العربي الرافض أو المتحفظ من المهاجرين، وأيضا الدفع بالجزائريين نحو نموذج معيَّن من "الحداثة" الرأسمالية قبيل توديع النظام الاشتراكي والتقليص من الطبع المحافظ للمجتمع الجزائري. أما الباقي فليس سوى مجرد تفاصيل لهذه السياسة قد يتولاها يهودٌ أو غير يهود.
هل فعلا مناجير الشاب مامي من أصل يهودي؟
فيما يتعلق بالمدير الفني للشاب مامي، وهو ميشال ليفي الذي يبدو من اسمه أنه يهودي، فقد بلغتْنِي معلوماتٌ من أشخاص قريبين جدا منه، لا يمكنني تأكيدها أو نفيها، مفادها أنه ليس يهوديا، وأن "ليفي" مجرَّد لقب وليس اسمه الحقيقي...
كيف تعاملت فرنسا الاستعمارية مع يهود الجزائر، خاصة مع مرسوم أدولف كريميو؟
كان الرأي العام الأوروبي في الجزائر معادياً لمرسوم كريميو الصادر في عام 1870م، لأن غالبيتهم كانت عنصرية تكره اليهود وتحتقرهم ولم تكن تقبل بأن يصبحوا مساوين لهم. أما الإدارة والسياسيون فقد انقسموا بين مدافع شرس عن المرسوم ومعارض له بمبررات متعددة. في نهاية المطاف، مالت الكفة إلى الطرف الأول لا سيما أن المرسوم تم تمريرُه في ظروفٍ يكتنفها بعض الغموض تزامنت مع خروج فرنسا مكسورة منهزمة في حربها مع الألمان. أما المسلمون فلم يكونوا يشعرون أن معركةَ المرسوم معركتُهم بل ما كان يحزُّ في أنفسهم بعد عقود من القهر الاستعماري هو أن يتحوَّلوا بعد تجنيسِ اليهود جماعيا وبشكل آليٍّ بالجنسية الفرنسية إلى مواطنين من الدرجة الثالثة بعد الأوروبيين واليهود. وأقول من الدرجة الثالثة، لأن اليهود في ذهنية الأوروبيين بقوا دائما مواطنين من الدرجة الثانية رغم المساواة بينهم التي أقرَّها مرسوم كريميو.
يقال إن يهود الجزائر على فئتين توشابيم وميغورشيم، ما الفرق بين الطائفتين؟
التوشابيم هم اليهود الأهالي الذين وُجدوا في الجزائر منذ الفترات السابقة لتوافد يهود الأندلس اللاجئين من الاضطهاد الإسباني الكاثوليكي، أي قبل 1942م، أما الميغوراشيم فَهُم يهود الاندلس الذين طُرِدوا بعد سقوط غرناطة عام 1492م وأيضاً هؤلاء الذين كانوا يأتون إلى الجزائر بعد سقوط دويلاتهم الأندلسية السابق لانهيار غرناطة مثلما حدث عام 1391م في جزر الباليار. وقد وفد على الجزائر حينها الكثيرُ من اليهود، من بينهم الحِبْرُ إفْرَايْمْ النّْكَاوَة أو "عَنْكَاوَة" دفين تلمسان، والحِبْرُ رِيبَاشْ وزميله رَاشْبَاشْ وجُوزِيفْ بن مِنِيرْ والطبيب جَاكُوبْ قَابِيسُونْ وعائلة الَأْشَقَرْ وغيرهم... في بداية القرن 18م، التحق بهم في مدينة الجزائر يهود مدينة ليفورن الإيطالية على غرار أسرة البكري وعائلة بوشناق.
كيف تعامل اليهود مع الثورات الشعبية في الجزائر ضد الاحتلال الفرنسي؟
لا أعرف اسما يهوديا واحدا كان ضمن قوات المقاومة الجزائرية خلال القرن 19م بعد دخول قوات الاحتلال مدينة الجزائر في يوم 5 جويلية 1830م باستثناء وسطاء في مفاوضات الأمير عبد القادر والحاج أحمد باي مع المحتلين كانوا يتكسَّبون من الحرب بين المقاومة والقوات الفرنسية أكثر مما كانوا يخدمون هذا الطرف أو ذاك، وكانوا يميلون لمَن يدفع أكثر مثلما هو شأن يهوذا بن دوران الوسيط بين الأمير والجنرال بيجو وبوجناح الذي كان مبعوثا للفرنسيين إلى أحمد باي. وكان كل من الأمير والباي على وعيٍ تامٍّ بهذه الحقيقة التي تعاطيا معها بواقعية لتحقيق مصالحهما.
في المقابل، التحق الكثيرُ من اليهود بالقوات الفرنسية منذ بداية التحضير للحملة العسكرية على الجزائر كَمُترجِمين، وكانت هذه الوظيفة تشمل الترجمة والتبليغ عن المقاومين وتحركات القرى والقبائل الجزائرية، وتولوا مهام الاتصال بالسكان في الأرياف وتخويفهم لإقناعهم بالاستسلام وحتى ابتزازهم ماديا لقاء وعود كاذبة أو بالأحرى الاحتيال عليهم. اليوم، تحاول أوساط صهيونية إعادة "تَعْلِيب" بعضهم وتسويقهم على أنهم كانوا جزائريين وطنيين لعبوا دورا في حماية هوية الجزائر وثقافتها مثلما يفعل كل من الإسرائيلي شموئيل موري اليهودي العراقي (اسمه الأصلي سامي مْعَلَّمْ) والبريطاني فيليب سادْغْرُوفْ بشأن آبْراهام دَانِينُوسْ، اليهودي من مدينة الجزائر، الذي كان من أوائل "مترجمي" جيش الاحتلال والذي ينسب له شموئيل موري وفيليب سادغروف مخطوطًا اعتبروه أول مسرحية عربية حديثة ظهرت عام 1847م. وقد أَطْرَبَ ذلك جزائريين تباهوا على اللبنانيين بأنهم "رواد المسرح العربي"، وذلك دون دراسة المخطوط وتمحيصه والتدقيق في أصالته... بل هناك من ذهب إلى حد نشر المسرحية في مدينة الجزائر قبل سنوات دون إشارة إلى موري وسادغروف، حسب ما بلغني من معلومات لأنني لم أطلع على هذا العمل، وكأنها غزوة من غزواتهم...
لكن حتى لا نظلم الناس، ليس كل اليهود كانوا منخرطين في خيانة الجزائر حيث أن الكثير من عامّتهم كانوا مثلما نقول اليوم "حْشِيشَة طَالْبَة مْعِيشَة" لا تريد التورط في مشاكل اعتبروها نوعاً من النزاع بين الفرنسيين والمسلمين أو مشاكل أكبر ممّا يطيقون. وحاولت شخصياتٌ من نخبهم الروحية التقليدية التمسك بالحياد مع الحرص على رفض التفرنس برفض التجنس بالجنسية الفرنسية إلى أن فًرِضَتْ عليهم قسرا وبشكل آلِيٍ وجماعي بمقتضى مرسوم كريميو لعام 1870م. وقد خضعتْ هذه النخب التقليدية لضغوط قوية من قِبل يهود فرنسا الذين بالتعاون مع الحركة الماسونية الفرنسية وفرعها الجزائري لم يدَّخروا جهدا أو مالا لفَرْنَسَتِهم لشدة احتقارهم للثقافة العربية، إذْ لم يطيقوا رؤية يهود عرب القلب والقالب. وكانت لِعملية سلخهم من ثقافتهم الأصلية تأثير على موقف المُتَفَرْنِسِين منذ جيليْن أو ثلاثة من الثورة الجزائرية واختيارهم "الوطن الأم" فرنس ا. الذينلم يتورَّطوا مع فرنسا بقوا في الجزائر بعد الاستقلال أو على الأقل بقيتْ علاقتُهم بالجزائريين المسلمين طبيعية، جيدة وحميمية إلى غاية رحيلهم على الأقل.
ما هو موقف اليهود من الثورة الجزائرية في 1954، وكم كان عددهم آنذاك؟
عدد اليهود في الجزائر في عام 1954م، كان يقدر بحوالي 130 ألف إلى 140 ألف، وأنا أستند في هذا الرقم إلى الإحصائيات التي قامت بها النازية في الجزائر في عهد حكومة فيشي وإلى الأرقام التي ذكرها الحِبْر الأعظم اليهودي في الجزائر منذ 1930م إلى غاية وفاته عام 1957م موريس آيزنبِث.
عندما فُجّرت الثورة، كانت مواقفهم مشتَّتة بين أقلية يسارية متعاطفة معها وأقلية صهيونية مناهضة، والبقية التي شكَّلتْ الأغلبيةَ كانت مترددةً أو غيرَ مهتمة بتطور الأحداث.
خضعتْ النخب التقليدية اليهودية بالجزائر لضغوط قوية من قِبل يهود فرنسا الذين بالتعاون مع الحركة الماسونية الفرنسية وفرعها الجزائري لم يدَّخروا جهدا أو مالا لفَرْنَسَتِهم لشدة احتقارهم للثقافة العربية، إذْ لم يطيقوا رؤية يهود عرب القلب والقالب. وكانت لِعملية سلخهم من ثقافتهم الأصلية تأثير على موقف المُتَفَرْنِسِين منذ جيليْن أو ثلاثة من الثورة الجزائرية واختيارهم "الوطن الأم" فرنسا.
أما الأقلية الصهيونية فقد كانت لها أجندتُها حيث أن همَّها الأول كان تهجير اليهود إلى فلسطين ومنع قيام دولة جزائرية تُعزِّز مصرَ الناصرية والتيار القومي العربي المناهِض للصهيونية. وهو ما قام به ليفي آشكول وبن غوريون إلى غاية آخر أسابيع الاحتلال لإقناع الجنرال دوغول بالعُدول عن اتفاقه مع المجاهدين الجزائريين في إيفيان.
كما أن الحركة الصهيونية أرسلت في بدايات الثورة التحريرية مبعوثَها جاك لازاروس إلى مدينة الجزائر ليؤسِّس اللجنة اليهودية الجزائرية للدراسات الاجتماعية (CJAES) التي كانت سياسيةً جدًّا برغم تظاهرها بالعكس وتولتْ مهمة الاستيلاء على تمثيل اليهود ومزاحمة النُّخب الدينية والمجالس المِلِّية اليهودية في هذا المجال لتفرض عليها تدريجيا توجها سياسيا مُتَصَهْيِنًا. لذا، عندما طَلبتْ الثورة من اليهود الالتحاقَ بها لم يعد حينها الحِبْرُ الأعظم المتردِّد المُمَثِّلَ الوحيد ليهود الجزائر كما كان في السابق، بينما بدا موقف جاك لازاروس واضحا جليا وهو أن اليهود فرنسيون ولا يمكنهم "خيانة" فرنسا.
وفي وقتٍ لاحق أجمعت النُّخب الممثِّلة لهم على الوقوف إلى جانب فرنسا بحجة أنه لا يمكن التخلي عن "أمِّهم" مثلما فعل الأديب ألْبِيرْ كَامُو. بل ذهب بعضُهم، وهم أقلية، إلى الانخراط في الاعتداءات المسلحة الإرهابية إلى جانب المنظمة المسلحة السرية (OAS) وتنفيذ اعتداءات همجية ضد الأهالي المسلمين والفرنسيين الموالين لاستقلال الجزائر، بمن فيهم يهود على غرار الشيوعي ويليام ليفي في باب الوادي في مدينة الجزائر، وضد الراغبين في الرحيل. وقامت المنظمة الإرهابية بعمليات قتلٍ عشوائي من أجل القتل فقط.
وربما كان أكثرهم همجية يهود الـ: OAS في وهران الذين كانوا يأتَمِرون بأوامر إيلي عطَّار داخل الكوموندو "دِيلْتَا" (Delta) الدموي. كما يجهل الكثير من الناس، بمن فيهم الفرنسيون، أن الجنرال إيدمون جوهو أحد الانقلابيين الفاشلين ضد الجنرال ديغول كان يُنَسِّقُ بين يهود وهران المتطرفين والمنظمة المسلحة السرية الإرهابية داخل المعبد اليهودي للمدينة قبيل استقلال الجزائر ببضعة أشهر.
في هذه الأثناء، حملت الأقلية اليسارية الشيوعية السلاح إلى جانب الثوار ومنهم من مات في ميدان الشرف، وتكفل آخرون بشبكات الإسناد والتهريب والدعاية. ومن بين هؤلاء المقاتلين والدَّاعمين الطبيب دانيال تِيمْسِيتْ صديق طالب عبد الرحمن وهنري علاق وريموندْ بيسكار الملقبة "الطَّاوس" وريموند حَنُّون الذي سقط في ميدان الشرف في عام 1956م عندما كان يهودٌ آخرون، ومسلمون أيضا، يترددون في اتخاذ موقف واضح.
يُضاف إلى هؤلاء الثوار موريس لبان الذي قُتِل في ساحة الوغى برفقة ثلاثة مسلمين وفرنسي مسيحي عام 1956م...
أما الأغلبية من اليهود فبقيت في حالة الانتظار والترقب والشلل إلى أن حانت ساعة الحسم في 1962 فرحلت غالبيتها إلى فرنسا، والبعض منها اختار إسبانيا وكندا، والبعض الآخر من الفقراء والمعدومين ذهبوا إلى إسرائيل على نفقة الحركة الصهيونية وتحت إشرافها وبالتنسيق مع سلطات الاحتلال.
وكان من بين الذين رُحِّلوا إلى إسرائيل يهود الميزاب الذين انتهى بهم المطاف في صحراء النقب في جنوب فلسطين المحتلة. وأصيب عددٌ من الذين ذهبوا إلى إسرائيل بخيبة أمل كبيرة فغادروها إلى فرنسا أو كندا، ومنهم موريس المديوني الفنان عازف البيانو الوهراني سابقا الذي استقر في مرسيليا، جنوب فرنسا، ومازال بها إلى اليوم، وكان صديق الفنان الجزائري بْلاوي الهواري خلال الخمسينيات.
بارك الله فيك دكتور و في
الشروق على هذه الإضاحات المهمة التي تزيد من فهمنا لتلك الفترة من تاريخ
الجزائر و الصراعات القائمة آنذاك.
أردت فقظ إظافة نقطة حول Le decret Cremieux الذي لجأ إليه الإستعمار للفصل بين اليهود و المسلمين الجزائريين.
و كذلك مساندة أغلب اليهود لعمليات ال OAS و حتى مشاركة بعضهم فيها بإيعاز من الموساد الذي شكل له إستقلال الجزائر هاجسا قويا حتى اليوم. و شكرا.
1 - Wattani ـ (Canada) أردت فقظ إظافة نقطة حول Le decret Cremieux الذي لجأ إليه الإستعمار للفصل بين اليهود و المسلمين الجزائريين.
و كذلك مساندة أغلب اليهود لعمليات ال OAS و حتى مشاركة بعضهم فيها بإيعاز من الموساد الذي شكل له إستقلال الجزائر هاجسا قويا حتى اليوم. و شكرا.
عدد القراءات: 185
|
عدد القراءات: 202
|
عدد القراءات: 202
|
بينما أعلنت "أوبيجي" تسليم 1500 سكن اجتماعي الشهر المقبل |
عدد القراءات: 268
أغلق، صباح أمس، سكان بحي الزيادية بقسنطينة الطريق، و ذلك للمطالبة بالحصول على الإستفادات المُسبقة من السكن الاجتماعي، في وقت لا تزال حشود المواطنين تتوافد على مكتب الدراسات "سو" أين يتواجد مسؤولو دائرة قسنطينة. و قد قام عدد من مواطني حي الزيادية بغلق مدخل طريق جبل الوحش في حدود الساعة الحادية عشرة صباحا، احتجاجا على عدم ورود أسماء الكثير منهم في قوائم المعنيين بالاستفادة المسبقة من السكن الاجتماعي رغم "أحقيتهم و قدم ملفاتهم"، في وقت لم يتوقف المواطنون عن التوافد بكثافة على مكتب الدراسات "سو"، أين تعكف مصالح دائرة قسنطينة على استقبال لجان الأحياء لتوزيع الإستفادات و القوائم المتأخرة على لجان الأحياء، بالإضافة لمئات المواطنين الذين تباينت حالاتهم بين مطالب بالاستفادة أو بتصحيح أخطاء وردت في القرارات الموزعة منذ السبت الماضي، وسط استمرار الحديث عن إدراج دخلاء و غير مستحقين، و هو ما سبق لمصالح الدائرة أن نفته. و قد أفادت دائرة قسنطينة بأن عدد قرارات الاستفادة المسبقة من السكن الاجتماعي و الخاصة بمن أودعوا ملفاتهم بين سنتي 1990 و 2004، قد فاق 10 آلاف، و هو رقم مرشح للزيادة في حال قبول مائات الطعون، في انتظار ما ستسفر عنه نتائج تحقيقات البطاقية الوطنية للسكن، كما استمرت إلى غاية يوم أمس عملية توزيع الاستفادات من قبل ممثلي لجان الأحياء بتكليف من الدائرة، حيث لجأ بعضهم إلى المساجد و الأماكن العمومية، بينما فضل آخرون استعمال محلات، في عملية لم تخلو في بدايتها من الفوضى و الاحتجاجات. من جهة أخرى ذكر مدير ديوان الترقية و التسيير العقاري في تصريح للإذاعة، بأنه من المنتظر تسيلم 1500 وحدة سكن اجتماعي أواخر شهر فيفري المقبل، على أن تكون جاهزة للتوزيع إلى جانب 2500 وحدة أخرى، بداية من شهر ماي الداخل، بعد إتمام أشغال التهيئة الخارجية، و ذلك بمعدل حصة كل ثلاثي، كما طمأن المسؤول بأن العشرة آلاف مواطن الذين حصلوا على قرارات الاستفادة المسبقة من السكن الاجتماعي، ستوزع عليهم شقق من فئة "أف.3" تقع جميعها بالمدينة الجديدة علي منجلي و ذلك قبل نهاية سنة 2015، حيث أسندت المشاريع السكنية لشركات أجنبية ضمن آجال إنجاز لا تتعدى 24 شهرا. ياسمين.ب |
تُعـرض أفرادها لخطر الإختناق من أجل المظهر الجمالي للمنزل |
عدد القراءات: 133
قدمت مديرية توزيع الكهرباء و الغـازعلي منجلي التابعـة لشركة الكهرباء للشرق 52 إعـذارا للمواطنين خلال حملة التحسيس التي تقوم بها في الجانب الأمني لاستهلاك الغـاز الطبيعي والتي شملت حتى الآن 1500 منزل ضمن برنامج يستهدف ستة آلاف عـائلة . وقد استجاب معـظم السكان الذين وجهت لهم الإعـذارات وصححوا أخطاءهم و فق ما تتطلبه مقاييس استهلاك الغـاز. و ذكرت المكلفة بالإعـلام و الإتصال بالمديرية السيدة بوحوش وهيبة أن حملة طرق الأبواب التي تقوم بها فرقة تقنية لاستغـلال الغـاز برئاسة مهـندس الأمان سجلت بعـض التصرفات الغـريبة لموطنين وصل بهم الحال إلى تفضيل الجانب الجمالي لبيوتهم على تطبيق مقاييس الأمان خلال قيامهم بتوصيلات الغـاز الداخلية وجعـلها مخفية على الأنظار سواء داخل الجدران أو وراء الأثاث الخشبي للمطابخ. وقد لاحظت الفرقة أن أكبر الأخطاء الخطيرة المرتكبة توجد بالسكن الإجتماعي عبر 11 بلدية ولا سيما المدينة الجديدة علي منجلي باعـتبارها تضم أكبر عـدد من المرحلين ممن كانوا يقيمون بالسكن الهش الذين يعـتبر الغـاز الطبيعي شيئا جديدا عليهم فيتهاونون في احترام الاحتياطات الأمنية لاستهلاكه. ومثال ذلك أن عـائلة وضعـت القناة الطاردة للغـاز الخاصة بسخان الحمام في فتحة التهوية الموجودة بالحمام وقالت ربة البيت عـن هـذا الخطأ بأنه ظنوا بأن هـذه الفتحة هي المدخنة " الشميني " ولهـذا أكدت السيدة وهيبة بالمناسبة على ضرورة ترك فتحات التهوية كما هي لأن في سدها أو استعـمالها لغرض آخر خطر كبير. ومن الأخطاء المسجلة كذلك ـ حسب ذات المصدر ـ وضع المدفئة في غرفة الإستقبال والنزع التام للمدخنة الجماعية واقتناء أجهزة مقلدة أو قديمة متدهورة و استعمال مسخن الماء مكان مسخن الحمام ، وإسناد مهام أشغـال الغـاز لعمال غير مؤهلين ،فيما لم تقم 80 بالمائة من العـائلات بالصيانة الدورية الإحتياطية التي ينبغـي القيام بها كل سنة لأجهزة التدفئة. م / بن دادة |
ديدوش مراد |
عدد القراءات: 136
اعتصم صباح أمس مستفيدون من حصة 245 سكن اجتماعي ببلدية ديدوش مراد أمام مقر دائرة حامة بوزيان للاحتجاج على تأخر توزيع السكنات بعد عشرة أشهر من الإعلان عن القائمة. المعنيون الذي أغلقوا مقر الدائرة لمدة تقارب الساعة تساءلوا عن أسباب عدم منحهم المفاتيح، رغم مرور مدة طويلة على الإعلان عن القائمة ، وقالوا أن عملية القرعة تم إلغاؤها شهر آفريل بعد اعتراض حالات معلقة بسبب الطعون، لكنهم تلقوا وعودا بأن يحصلوا على سكناتهم في شهر جوان أو أوت على أقصى تقدير. إلا أن ذلك لم يحدث وقد ظلوا في انتظار المفاتيح ،إلى أن مرت مدة تقارب السنة وهو ما يراه المستفيدون غير منطقي ويفرغ السكن الاجتماعي من محتواه. وقد التقى ممثلون عن المحتجين مسؤولي الدائرة ،الذين أكدوا لهم بأن الأمر مرتبط بعمل لجنة طعون وفقط قبل أن يتم فض الاحتجاج ،لكن من شاركوا فيه هددوا بالتصعيد خلال أسبوع في حال عدم تحرك الجهات المسؤولة لمنحهم سكنات ينتظرونها منذ سنوات وغير قادرين على دخولها بسبب ما يرونه من أسباب واهية وغير منطقية. رئيس الدائرة أرجع عدم توزيع السكنات إلى عدم إتمام اللجنة الولائية للطعون عملية دراسة الطعون وقال أن هناك 72 حالة تم تعليقها بعد أن قدمت بشأنها طعون تجري دراستها لضبط القائمة النهائية. ن/ك |
وصفته بفاقد الشرعية
ثماني محافظات للافلان تتمرد على سعداني
أكثر من 20 محافظ في اجتماع طارئ
ثورة في محافظات الأفالان.. وسعداني في عين الإعصار
الأمين العام يخرق القانون ويعيّن بن حمادي في محافظة البرج
تعيش عديد محافظات الأفالان على فوهة بركان بعد الإقالات التي شنها الأمين العام للحزب عمار سعداني، في 8 محافظات لحد الساعة، كلها من الشرق والوسط، بدعوى أمور تنظيمية تارة ومعاداة العهدة الرابعة تارة أخرى، في وقت تؤكد المعطيات أن أغلب المقصين من خصومه الذي وقعوا لصالح استدعاء دورة طارئة.رفض أمناء محافظات كل من تبسة، سوق أهراس، بسكرة، برج بوعريريج، البويرة، البيض بشار، قرارات إنهاء مهامهم التي اعتبروها سابقة خطيرة في تسيير الحزب، نظرا لغياب المبررات اللازمة، وحذر ذات الأمناء في بيان تلقت ”الفجر” نسخة منه أمس، مما وصفوه بالانزلاق المميت، داعين إلى ضرورة أن يلتحم كل من له مسؤولية وغيرة على الحزب للوقوف في وجه من يبحث عن الفوضى والبلبلة، مؤكدين أن كل ما بني على باطل فهو باطل، ووصف البيان تصرفات عمار سعداني بـ”محاولة الهروب إلى الأمام”، واعتبرته تهديدا للهيئات السياسية والمنتخبة وسطوا على الهياكل في مسلسل خطير يمس بأركان الحزب.
وسألت ”الفجر” عضو مكتب سياسي في قيادة سعداني، حول سبب هذه الإقالات على مقربة من الرئاسيات، ففسر الأمور بإجراءات تنظيمية وبتجديد مسؤولي المحافظات استعدادا للرئاسيات، متهما الرافضين لقرارات سعداني بمحبي الكراسي الرافضين للتداول على السلطة. وأكد محافظ ولاية باتنة المقال، إبراهيم بولحية، لـ”الفجر” في رده على سؤال حول أسباب الإقالة وإن كان الأمر يتعلق بمعاداتهم للعهدة الرابعة كما تروج له بعض الأطراف، أنه لحد الساعة لم يتم تبليغه بأسباب إنهاء مهامه، وأن هذه الاتهامات التي وردت على صفحات الجرائد لا أساس لها من الصحة، لأنه شخصيا كان أول سيناتور معين في الثلث الرئاسي، وعضو لجنة مركزية في الافالان يناشد الرئيس بوتفليقة في رسالة للترشح مجددا، للحفاظ على استقرار البلاد.
وقال القاضي السابق إن حكاية العهدة الرابعة مردود عليها، لأن أغلب المحافظين الذين تمت إقالتهم من أشد الأوفياء للرئيس بوتفليقة، وعلى رأسهم محافظ ولاية بسكرة الذي كان مديرا لحملته الانتخابية، لافتا أن من كانوا ضد الرئيس بوتفليقة يتبوأون مراكز قيادية، وتابع بأن هؤلاء المحافظين الذين وقعوا ويتهمم سعداني بمعاداته، وقعوا لاستدعاء دورة طارئة للجنة المركزية ولم يوقعوا ضد شخصه، وأن الأمر لا يعالج بالقرارات الانفعالية، وإنما بفتح باب الحوار، لأن الحزب يحتاج لتجميع صفوفه لا لمزيد من التشتت.
وكشف بولحية، أن سعداني قفز على القانون فيما يتعلق بتعيين الوزير السابق موسى بن حمادي للإشراف على محافظة برج بوعريرج، بعد إقالة بوعلام جعفر، لأن النظام الداخلي والقانون الأساسي للحزب يشير إلى أنه يتم تعيين مسير المحافظة من بين أعضاء مكتب المحافظة المنتخبين في الجمعية العامة، وبن حمادي ليس عضوا في المحافظة، وهذا ما رفضته محافظة برج بوعريريج. من جهة أخرى، كشفت مصادر قيادية أن أكثر من 20 محافظا وقعوا ضد سعداني، وأن هؤلاء سيجتمعون السبت أو الأحد المقبل لاتخاذ موقف ضد قرارات سعداني.
وإلى جانب ثورة المحافظين، ينتظر خصوم سعداني، ترخيصا من مصالح ولاية الجزائر لاستدعاء دورة طارئة لانتخاب أمين عام جديد، أو انتخاب قيادة مؤقتة في حال فشل المسعى أمام رفض عدد من أعضاء اللجنة المركزية عودة عبد العزيز بلخادم.
فاطمة الزهراء حمادي
أخطــاء في شهادة الميلاد رقم 12 تبخــر أحلام عـائلات بالظفـر بشقـــة سكنية
عدد هام من طلبات السكن مرهونة بها..
المشاهدات :
1614
0
آخر تحديث :
18:56 | 2014-01-29
الكاتب : سامية م
الكاتب : سامية م
اضطرت العديد من بلديات العاصمة، إلى إعادة ملفات طالبي الاستفادة من السكن بمختلف صيغه، لاسيما السكن الاجتماعي الذي لم يتم الإفراج عن قائمة المستفيدين منه، حيث أرجعت مصادرة متطابقة العملية إلى ورود أخطاء عديدة في الوثائق الإدارية، خاصة شهادة الميلاد رقم 12 والتي تعتبر جد أساسية في ملفات الحصول على السكن، وهو ما أثار موجة من الغضب والاستياء وسط المواطنين المعنيين وتسبب في تعطل إتمام لجان دراسة ملفات السكن، في الوقت الذي تشهد فيه مختلف ولايات الوطن موجة من الاحتجاجات للمطالبة بتوزيع السكنات الاجتماعية.
لايزال مسلسل الأخطاء في الوثائق الإدارية والمستندات المطلوبة يرهق الكثير من المواطنين، وقد زاد المشكل حدة هذه الأيام، حيث يقدم الآلاف من المواطنين على شبابيك الحالة المدنية قصد استخراج بعض الوثائق والشهادات الخاصة بملف الوكالة الوطنية لتحسين السكن وتطويره ”عدل” بعدما كان رد هذه الأخيرة بالإيجاب بالنسبة إلى هذه الفئات، وقد شرعت في استدعاء المكتتبين الجدد في برنامج ”عدل 2” لتسديد الأقساط ألأولية، إلى جانب شروع أهم ولايات الوطن وعلى رأسها العاصمة في الإعداد لأكبر عملية ترحيل منذ الاستقلال، وهي العملية التي كشفت جملة من العيوب فيما يخص ارتكاب الأخطاء من طرف أعوان مصالح الحالة المدنية على مستوى مختلف البلديات، مما جعل أعدادا هائلة من الضحايا يتوافدون على مكاتب الحالة المدنية وكذا وكلاء الجمهورية قصد التصحيح، مستنكرين الظاهرة ومطالبين بحلول فعالة تحد من تسيب بعض أعوان الحالة المدنية الذي يوقعهم في الكثير من الأخطاء قد تحرمهم من الاستفادة من سكن وبالتالي تحقيق حلم العمر المتمثل في الظفر بشقة، مع العلم أن البلديات المعنية بالترحيل لا تمنح وقتا كافيا للمواطنين لإعادة الملف، وهو ما يخلق جوا من الخوف والارتباك لدى الأشخاص الذين يستخرجون شهادات الميلاد رقم 12 من المناطق الداخلية.
وتعرف هذه الأيام مصالح الحالة المدنية لبلديات العاصمة، على غرار نظيراتها على مستوى الوطن، توافد عدد كبير من المواطنين الراغبين في استخراج بعض الوثائق والشهادات الإدارية التي تضطرهم إلى الانتظار ساعات وحتى أيام أو أشهر في بعض المناطق، بسبب الفترة الزمنية التي تستغرقها عملية سحب الوثائق الرسمية خاصة منها شهادة الميلاد الأصلية رقم 12 التي أضحى صاحبها يحسب لها ألف حساب قبل الحصول عليها، بسبب الأخطاء التي يرتكبها بعض الأعوان في كتابة المعلومات الصحيحة التي تمس في الغالب أسماء الأشخاص المستفيدين من شهادات الميلاد، الوفاة أو عقود الزواج، وهو ما يفتح الباب أمام عدة تساؤلات حول عدد المواطنين الذين يضطرون إلى إيداع طلباتهم لدى العدالة لتصحيح مثل هذه الأخطاء والفترة التي تستغرقها للرد على الطلب وتصحيح الخطأ.. يأتي هذا في الوقت الذي دعا فيه الوزير الأول عبد المالك سلال إلى تقليص الوثائق الإدارية المستخرجة في الملفات الخاصة بالعمل والسكن والوثائق الرسمية كبطاقة التعريف الوطنية وجواز السفر، ويبدو أن المواطنين وإن تخلصوا من دوامة الوثائق المستخرجة في الملفات المعنية سيدخلون في دوامة الأخطاء المرتكبة من طرف أعوان الحالة المدنية.
جزائريـون يسخــرون من الرئــاسيات بـ"عمــار زيڤومـــار” وحركــة ”كــول ووكــّل”
مرشحون افتراضيون في الفايسبوك بـ60 ألف ”جام” بدل 60 ألف توقيع..
المشاهدات :
757
0
آخر تحديث :
19:01 | 2014-01-29
الكاتب : زهية ر
الكاتب : زهية ر
التهكــم على المرشحيــن وزلاتهـم يطبع تعليقات الجزائريين
قرعت طبول الرئاسيات عبر صفحات التواصل الاجتماعي وسط حمى وتنافس شديدين بين مترشحين افتراضيين يتابعون باهتمام ما يجري في الساحة السياسية من تطورات متعلقة بالرئاسيات لسنة 2014، ومرشحون فعليون نقلوا حملتهم المسبقة من الصالات إلى ”الفايس بوك” لتنتعش حملة جمع التوقيعات عبر صفحات غلب عليها طابع التهكم على هذا الموعد الانتخابي وعلى بعض المترشحين، فيما يلعب فن إخراج ونشر صور المترشحين عاملا هاما في حملة دعائية مبكرة قد تسقط بعد أيام أغلب رؤوسها، إذا فشلوا في جمع التوقيعات وتغلق برامجهم، ليظل المترشحون من أمثال ”عمار زيڤومار المنافس الأقوى إلى غاية الموعد الإنتخابي.
عمار زيڤومار وحركة ”كول وكّل” مترشحون ينافسون الكبار في انتخابات افتراضية
دخل مرشحون افتراضيون معترك الساحة السياسية عبر صفحات الفايسبوك ببرامج سحرية تقدم حلولا جافة لمشاكل حقيقية، حيث تعالج المواضيع السياسية بطريقة تهكمية، وهو ما تجلى في صفحة أحد المترشحين، كما ظهرت حركة جديدة في الساحة الافتراضية للرئاسيات تحت شعار ”كول ووكّل” وهي أكبر حزب افتراضي منافس للمرشح عمر زيڤومار، هذا الأخير الذي ثبت أنه متابع لكافة التفاصيل المتعلقة بالرئاسيات، حيث إنه لا يفوت متابعة المستجدات من تصريحات حول منافسيه في الساحة، كما يرد ويدافع على برنامجه الذي جاء تحت شعار ”نحلي فم كل مواطن، الشعب يحب اللعب، وزيڤومارة لكل مواطن”، وقد أبدى المترشح زيڤومار تحديا كبيبرا لمنافسيه في كرسي قصر المرادية الذين نشر أسماءهم، حيث نشر في إحدى الوقفات ”جيشي في كل مكان استعدوا يا مشرشحي السلطة” ”لا بوتفليقة لا بن فليس زيڤومارة هو الرئيس” وتلقى صفحة مرشح الرئاسيات عمار زيڤومار تفاعلا كبيرا من طرق عدد من المشتركين الذين يساندون برنامج ”زيڤومارة لكل مواطن” والذي جاء في إحدى مقولاته الشهيرة ”لا تعطيني زيڤومارة ولكن علمني كيف أسرق l’usine”.
صفحات المترشحين... غابت النقاشات السياسية وحضرت السخرية
من خلال قراءة لصفحات العديد من المترشحين يتبين أن النقاش الذي يدور في صفحاتهم لا يرق إلى مستوى الحدث، حيث غابت السياسة في مختلف التعليقات، فيما حضرت السخرية، كما أن النقاشات المتبادلة لم تقدم قراءات ذات مستوى عال من التحليل حول ما يطرحه المترشحون... فقط مجرد تعليقات عن هفوات في كلامهم، وتعيلقات ساخرة بشكل عام عن الانتخابات الرئاسية والتي حسمت حسب الكثيرين، حيث أعطيت تعليقات تتحدث عن رجل السلطة أو المرشح المختار وكذا تعليقات حول مدى مصداقية الانتخابات. وجاء في بعض التعليقات التي نشرت في قالب أستاذ يقدم درس الانتخابات لتلاميذه ”افهم الدرس قبل أن تتحصل على بطاقة ناخب، أنا أنتخب وأنت تنتخب وهم يسرقون”، وفيما حضي أبرز المترشحين يترأسهم عبد العزيز بوتفليقة الذي كان أكثر الشخصيات حضورا في صفحات الفايس حول الانتخابات الرئاسية إلى جانب مرشحين بارزين أمثال علي بن فليس وبن بيتور ورشيد نكاز الشخصية التي تحضى بمتابعة كبيرة، حيث سجل تفاعلا كبيرا معهم عبر صفحات الفايسبوك، في حين غلب الطابع التهكمي على المترشحين الذين لا يملكون برامج، حيث إن المتجول في صفحات المترشحين ممن استهوته لعبة الترشح في شكل فلكلوري على خطى رئيس حزب التجمع الجزائري علي زغدود وهو عياش حفايفة..، وغير المعروفين في الساحة السياسية، جعل الفايسبوكيون يحولون صفحاتهم إلى فضاء للنقد والتهكم على سقطاتهم، ونشر تعاليق ساخرة، حيث يرى البعض في عالم الفلك لوط بوناطيرو الرجل الذي أراد إسقاط ما يحدث في علم الفلك والتفاعلات الفيزيائية في أرض الواقع وفي دولة الجزائر تحديدا، وهو ما كان له تعليقات كثيرة من قبل المتابعين، في حين طالب آخر بأنه على كل مترشح لأي منصب في الحكومة أن يمر باختبار الحمض النووي، لكشف ملته، أصله وفصله، ولعل سقطات المترشح علي زغدود كانت الأكثر إثارة وتعليقا من قبل المشتركين، حيث انتقدوا بشدة ظهوره وبرنامجه كما رد البعض على موسى تواتي ”انتهى عصر العجزة”، وحول آخرون تصريحات رئيس حزب الجبهة الوطنية الجزائرية حول الدعوة إلى اعتماد نظام التصويت الإلكتروني”في الرئاسيات المقبلة إلى تهكم”، حيث تساءل أحد الفايسبوكيون ”كيف ترغب فى تكنولوجية الانتخابات فى مجتمع لم تتوفر له بطاقة الشفاء؟.
حملات جمع التوقيعات تنتقل من القاعات إلى صفحات الفايسبوك
بعد أن قرعت طبول الرئاسيات في الجزائر المقررة في أفريل المقبل، انتعشت صفحات موقع التواصل الإجتماعي بشكل كبير يعكس مدى الإهتمام بالانتخابات الرئاسية، حيث إن أغلب المترشحين شرعوا في حملة جمع التوقيعات، والترويج لبرامجهم عبر صفحات الفايسبوك بتصريحات مقتضبة أو رؤيا تغازل المتتبعين، في محاولة إقناعهم عبرها بأنهم سيقدمون الأفضل عبر برامج سحرية بعد أن تيقن المترشحون أن الوصول للقاعدة لن يتم في القاعات والصالات المختلفة لأنها لم تعد تستهوي الجزائريين، ويؤكد تصفح بعض صفحات المترشحين إلى أن أغلبهم اختار الفايسبوك للترويج لبرامجه، حيث يتواصلون مع الجماهير المتابعة بشكل منتظم، وهو ما يفعله المترشح جمال سعيدي مدير جريدة الديار، وكذا المترشح رشيد نكاز الذين يردون باهتمام على المشتركين ويتابعون كل التعليقات التي تنشر في صفحاتهم، حيث إن جودة المنشور من صورة وتحكم في العبارات من شأنه أن يؤثر على نجاح الحملة الإعلانية وهو ما يعمد إليه المترشح نكاز الذي يقدم صورا منتجة وفق تقنية عالية مما يجعل حظوره قويا ويعطي دلالة على قوته في الساحة، كما أنه جذاب من حيث المظهر مما يكسبه حظوظا في المتابعة أكثر، كما يعمل أغلب المترشحين على الترويج لبرامجهم، ونشر وصفات علاج ”سحرية” للمشاكل المطروحة في ميادين عدة تتصدرها عبارات القضاء على الفساد والرشوة وغيرها من المشاكل التي تعيق عملية التطور بالجزائر... وكذا الحديث عن البحبوحة المالية التي تكتنزها الجزائر وطرق تجسيد الدولة الحديثة...، وهذا من أجل إقناع المتابعين في موقع التواصل الاجتماعي بمنحهم الدعم، خاصة أنه يتم مشاركة مختلف الروابط المنشورة من أجل توسيع رقعة المتابعين، وهناك من المترشحين من جند فريقا إعلاميا، ومتخصصين للإشراف على صفحات الفايسبوك على غرار ما قام به المرشح علي بن فليس، وبن بيتور. كما يقوم بحملة جمع التوقيعات بشن دعاية مكثفة في موقع التواصل الاجتماعي شرعوا فيها قبل سحب الاستمارات وهذا في إطار التعبئة الشعبية وتعبيد الطريق أمام عملية جمع التوقيعات والتي تعد العثرة التي ستسقط أغلب المترشحين، فيما ،ستبقى أسماء الرؤساء الافتراضيين حاضرة إلى غاية اكتمال فصول العرس الانتخابي.
شهادات لنقابيين تعرضوا للتعسف الإداري.. نقابيون جزائريون: بن حمودة.. “ماراناش ملاح” |
الأربعاء, 29 يناير 2014 19:04 | ||||||
غير
بعيد عن مبنى وزارة الداخلية أين كان السيد محمد طالبي، المدير العام
للحريات العامة والشؤون القانونية، يجتمع بالصحافيين ليطلعهم عن مستجدات
عملية التحضير للرئاسيات المقبلة، وبالشارع نفسه “الدكتور سعدان”، كان
نقابيون جزائريون بمقر الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق الإنسان يروون
لصحافيين آخرين حجم التعسف والظلم والممارسات اللا قانونية التي طالتهم،
بلغت درجة التسريح التعسفي والمتابعات القضائية المفتعلة..
إذا
كان تقاطع الأمكنة هذا مجرد مصادفة، فإن تقاطع الزمن لا يوحي بذلك،
فاجتماع النقابيين هذا جاء محاكاة للذكرى الـ 17 لاغتيال النقابي العتيد
“عبد الحق بن حمودة”، رمز القوة والنضال في أيام الأزمة الأعنف التي عرفتها
دولة ما بعد الاستقلال، لذلك ظل “بن حمودة” الذي خاض معاركه على عدة جبهات
فكرية، اجتماعية وسياسية، يشكل زادا معنويا في الذاكرة النقابية.
حكاية من كل قطاع
في
الندوة الصحفية التي نظمتها “لجنة الدفاع عن الحريات النقابية”، كان
النقاش محتدما حول الاعتداءات التي تطال الحريات النقابية وتحولت إلى
تحرشات إدارية خطيرة وتسريحات تعسفية وصفها البعض بـ “الإرهاب الإداري”.
أحمد
بدوي، الأمين العام السابق للنقابة الوطنية للجمارك، والوجه النقابي
المعروف، أعاد استحضار الحرب الضروس التي خاضها ضد مؤسسة الجمارك على مدار
ثمانية سنوات متواصلة، قضاها في معركة لاسترداد حقوقه بعدما تم توقيفه عن
ممارسة مهامه كمفتش عميد للجمارك، “دون أي راتب ولا تعويض ولا حتى تحديد
أسباب العقوبة”، استنفد خلالها كل الطرق الإدارية المتاحة للعودة إلى منصبه
دون جدوى، فانتهى به الأمر لنقل تلك المعركة إلى القضاء الذي حكم لصالحه،
ووزارة المالية التي أقرت “بإرجاع حقوقه من تاريخ حفظ وكيل الجمهورية
لمحكمة سيدي امحمد الشكوى الثامنة والأخيرة أي بتاريخ 06 جوان 2010”. لكن
حسب تصريحات، بدوي، “لا زالت الإدارة تعارض تسوية هذا الملف... وتنوي
إحالته على التقاعد دون استرجاع حقوقه الشرعية”.
من
قطاع الإعلام، وبكثير من الحسرة، روت الإعلامية والناشطة الحقوقية، سايحي
حرية، تفاصيل فصلها من مؤسسة التلفزيون الوطني سنة 2002 والاعتداء على
حقوقها بعدما رفضت مغادرة الجزائر عندما ساءت الظروف الأمنية في التسعينيات
واستمرت في التنقل إلى المدن الداخلية ونقل معاناة الناس “كل أعمالي التي
قمت بها من ولاية جيجل، عين الدفلى، الشريعة (البليدة)... شاهدة على
التفاني في العمل وأداء الواجب الذي كنت أقدمه”، وإضافة إلى ذلك تروي
السيدة حرية كيف كانت تنتهي من عملها لتنتقل إلى المشاركة في النشاطات
والتظاهرات التي تعنى بحقوق المرأة والحقوق المدنية. وتعتقد السيدة سايحي
أن تسريحها بطريقة تعسفية هو في الحقيقة “... فصلي تم أثناء فترة العطلة
التعويضية، مما جعلني أقتنع بأن الأمر يتعلق بتصفية حساب مع شخصي لأنني
مارست النشاط النقابي”، وهي الأخرى انتهى بها المطاف إلى القضاء الذي انتصر
لها، لكن دون فائدة.
حكايات
النقابيين الذين تم الاعتداء على حقوقهم كثيرة، من قطاع التعليم كان هناك
السيد عبد الرحيم سعيد، الذي روى قصتة ورفاقه الذين اكتشفوا وجود تلاعب
مالي في حسابات النقابة التي كان عضو مكتب وطني بها unpef، ولما كشفوا عن
الأمر تعرضوا للتحرشات الإدارية والمضايقات، فمثلا عبد الرحيم وقف راتبه
لمدة 10 أشهر ويقول “لما ذهبت للاستفسار قيل لي أنهم نسوني؟”. كما تحدث عن
مضايقات وعقوبات تعرض لها ليس على أساس قانوني ولا إداري وإنما شخصي.
هناك
العديد من الشهادات من قطاعات مختلفة، لا يتسع المكان لذكرها جميعا، تعكس
مدى الانحدار والتجاوزات القانونية التي يتعرض لها العمال الجزائريين في ظل
هشاشة القوانين وعدم فاعلية المؤسسات وانتشار الفساد الذي يتخذ من
النقابات العدو الأول له عندما يفشل في تجنيدها لصالحه.
زهوان: أزمة النقابي من أزمة المجتمع
في
إطار الوضع الذي تعكسه الشهادات، يعتقد المحامي والناشط الحقوقي، حسين
زهوان، الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق الإنسان، أن مثل هذه الممارسات
تندرج في إطار “نكران العدالة والخدمة العمومية للمواطن”، مؤكدا أن العدالة
نفسها ليست بمنآى عن مثل هذه التجاوزات “وظروف عمل القاضي والضغوطات التي
يتعرض لها أكبر دليل”، مضيفا أنه “بشكل عام لا وجود لحقوق الإنسان ببلادنا
ولا يمكن لها أن تقوم في الظروف التي نمر بها”، كما أبدى الحقوقي تشاؤمه
حول تحسن الوضع في ظل “ضعف وعدم تنظيم المجتمع المدني”. كما أكد، أحمد
بدوي، أن هذه السلوكات التعسفية تطال كل النقابيين دون استثناء، كاشفا أن
النقابيين التابعين للاتحاد العام للعمال الجزائريين، يتعرضون أكثر من
غيرهم لهذه التجاوزات.
زهور شنوف
دراسة للدرك الوطني تكشف “الزعامة” تشعل فتيل حرب العصابات بأحياء العاصمة الخميس 30 جانفي 2014 الجزائر: رزيقة أدرغال عمليات الترحيل تمت دون الأخذ بعين الاعتبار مرافق العيش الضرورية كشفت دراسة حديثة لمكتب الأمن العمومي بالمجموعة الإقليمية للدرك الوطني في الجزائر، أن أسباب حرب العصابات بين الأحياء ترجع إلى الرغبة في الزعامة بين المرحّلين الجدد إلى الأحياء السكنية أو البيوت القصديرية المجاورة لها. قال مدير مكتب الأمن العمومي، النقيب بوقرزي مراد، في رده على سؤال “الخبر”، خلال ندوة صحفية، أمس، بالعاصمة، إن الدراسة شملت الأحياء التي عرفت أعمال شغب في الآونة الأخيرة، لاسيما حي حوش الميهوب ببراقي وعين المالحة بعين النعجة، وأظهرت أن الصدامات المسجلة اندلعت لأسباب تافهة، وتطورت بتضامن بين شباب الحي والمرحّلين الجدد، لتتحول إلى مشادات استعملت فيها مختلف الأسلحة البيضاء والزجاجات الحارقة. كما أشار المتحدث إلى أن أعمال الشغب غالبا ما تحدث في الفترات المسائية إلى غاية وقت متأخر من الليل، يكون أطرافها من فئة الشباب، خاصة البطالين منهم، وذوي السيرة السيئة والسلوك العدواني، والذين يصعب التحاور معهم، سواء من طرف مصالح الأمن أو عقلاء الأحياء، بالإضافة إلى غياب السلطات الإدارية بحجة أن القضية تندرج في إطار القانون العام وتعالج من طرف مصالح الأمن والعدالة. وكشف مدير المكتب، في السياق، عن توقيف 149 شاب منذ اندلاع أعمال الشغب في بعض أحياء العاصمة سنة 2010، مشيرا إلى أن عمليات الترحيل تمت دون الأخذ بعين الاعتبار المرافق الضرورية، لاسيما مراكز الأمن والمدارس والمحلات التجارية ووسائل النقل وغيرها، والتي من شأنها احتواء شباب الحي. من جانبه، أكد قائد المجموعة الإقليمية للدرك الوطني في الجزائر العاصمة، العقيد غالي بلقصير، أنه سيتم إنشاء أربع فرق إقليمية وفصيلة للأمن والتدخل مستقبلا بالأحياء الجديدة، تحسبا لعملية الترحيل المرتقبة خلال الأيام المقبلة، حيث سيتم وضع فرقة بالدائرة الإدارية لبراقي، وبالضبط بحي 684 مسكن بالرمضانية في الكاليتوس، وأخرى بحي 762 و688 مسكن بالدائرة الإدارية للرويبة. كما سيتم إنشاء فرقة إقليمية وفصيلة للأبحاث والتدخل بحي شعايبية بالدائرة الإدارية لبئر توتة، وفرقة بحي سيدي سليمان على مستوى بلدية الدويرة بالدرارية. وعن الإجراءات التي اتخذت من قبل الدرك للحد من الظاهرة، حسب العقيد، توجيه أمن الاستعلام للوصول إلى الأشخاص المحرضين وتوقيفهم أثناء الأحداث، والعمل مع السلطات الإدارية على توفير المرافق الضرورية، إضافة إلى تنشيط لجان الأحياء، من خلال تشكيل جمعيات ولجان الحي في إطار قانوني، تضم عقلاء ومثقفي الأحياء، والاستناد إلى دراسات اجتماعية وديموغرافية من مختصين قبل عمليات الترحيل. - مكتب لسوق "الوعد الصادق" في العاصمة
علمت
(أخبار اليوم) من مصادر موثوقة بأنه من المنتظر أن يقوم صاحب سوق (الوعد
الصادق) بفتح مكتب له في الجزائر العاصمة في الأيّام القليلة المقبلة بهدف
زيادة الترويج لنشاط السوق الذي يصنع الحدث منذ فترة في الوطن·
حسب مصادر (أخبار اليوم) فإن صاحب سوق (الوعد الصادق) المتواجد بمدينة سور الغزلان في ولاية البويرة قرّر توسيع نشاطه بعد الرّواج الكبير الذي شهده، ليمتدّ في القريب إلى عاصمة البلاد، الأمر الذي يسهّل كثيرا من مهمّة العاصميين الرّاغبين في بيع ممتلكاتهم بأفضل الأسعار· وتحدّثت (أخبار اليوم) مع بعض الوسطاء والزبائن الذين يتعاملون مع (السي صالح) صحاب سوق (الوعد الصادق)، وصرّح لنا وسيط اسمه (حفيظ) بأن لديه علاقات مع الكثير من العائلات في شتى الأحياء في مدينة سور الغزلان الذين يقصدون (سي صالح) لبيع أو شراء السيّارات أو الأراضي أو المستودعات أو غيرها، لكن إلى حد اليوم لم يشتك أحدهم بـ (السي صالح)· كما أكّد لنا (حفيظ) أن المعني كان أستاذا في رياضيات في الثانوية ثمّ أصبح (بزناسي) سيّارات منذ وقت طويل، وبعدها تطوّرت مشاريعه في ميادين أخرى لتشهد استقطاب رجال الأعمال وإطارات ورجال الأمن وغيرهم من المواطنين من مختلف ولايات الوطن، منها بومرداس، البليدة العاصمة، المسيلة وغيرها· الجدير بالذكر أن (سي صالح) ساهم في خلق مناصب شغل وفرص عمل لكثير من البطّالين الذين صرّحوا لـ (خبار اليوم) بأنهم طوال الوقت متواجدون في هذا (الريزو) ويقصدون به حظيرة (السي صالح) وهم يعلمون جيّدا أنه لا يوجد له أيّ شريك كما يدّعي البعض، وأنه لوحده صاحب القرار، وأضافوا أنه رجل يسمع ولا يتكلّم كثيرا، بل يدفع وصلا للزبون يثبت أنه قد اشترى أو باع ملكية ليأتي بعد المدّة المتّفق عليها ليستلم الشيء الذي جاء من أجله· وقد صرّح أحد الزبائن كذلك بأنه ليست هناك مشكلة مع صاحب سوق (الوعد الصادق) في تسديد المبالغ في المدّة المحدّدة، وأنه لا يوجد شيء حرام من تبييض أو اختلاس الأموال كما يدّعي البعض ولا يوجد أيّ خرق قانوني، وهو ما أكّدته مصالح الأمن قبل مدّة بعد فتح تحقيقات وتفتيش الحظيرة والوثائق التي أثبتت صحّتها· وللإشارة، فإن (صالح) صاحب سوق (الوعد الصادق) يستقبل يوميا أكثر من 150 شخصا ابتداء من الساعة الـ 8 صباحا إلى غاية صلاة المغرب في بعض الأحيان·
إيمان ريم
مدير عام ”الخبر” شريف رزقي
”قررنا رفع سعر الجريدة بسبب ارتفاع تكاليف الإنجاز” الخميس 30 جانفي 2014 الجزائر: حاوره حميد عبد القادر قال شريف رزقي، المدير العام لجريدة ”الخبر”، إن قرار رفع سعر الجريدة، ابتداء من يوم السبت 1 فيفري المقبل، جاء للحفاظ على التوازن المالي للمؤسسة، موضحا أن سعر عشرة دنانير الذي يعود تاريخه إلى سنة 1995، لم يعد يضمن أي هامش من الربح. ودعا رزقي قراء ”الخبر” إلى تفهم هذا القرار الذي اتخذ بعد تردد دام عدة سنوات، ووعد في المقابل بتحسين محتوى الجريدة، وتقريبها أكثر من المواطن. هل يمكن القول أن رفع سعر جريدة ”الخبر”، أصبح قرارا لا مفر منه، وما هي الأسباب التي تكمن وراءه؟ نعم، أعتقد أن ضمان توازن مؤسسة ”الخبر”، هو الذي دفعنا إلى تجاوز الوضعية الحالية، إلى وضعية أحسن، تقوم على التوازن المالي. ويوجد وراء هذا القرار أسباب موضوعية وأخرى ذاتية. لقد مرت إلى حد الآن عدة سنوات، ونحن نبيع الجريدة ليس وفق منطق الربح، بل وفق منطق الخسارة. فسعر عشرة دنانير، أي سعر النسخة الواحدة حاليا، يقسم على ثلاثة متعاملين، فالمطبعة تأخذ حصة الأسد، أي أكثر من ستة دنانير، بينما يتقاسم المتدخلون في مجال التوزيع دينارين، وعليه فمن المستحيل الاستمرار في العمل وفق هذا الهامش الربحي الضئيل جدا، بحيث أن الناشر هو الذي يأخذ على عاتقه مسألة تحقيق هذا التوازن الغائب. أعتقد أن الجريدة تعيش منذ سنوات طويلة على وقع التوازن الهش في عملية البيع، بالأخص عندما نسحب ثماني وعشرين، أو اثنتين وثلاثين صفحة. وأصر هنا على تقديم التوضيح التالي، وهو أن سعر الجريدة في الجزائر، هو السعر الأرخص عبر العالم، أرخص بكثير من الجارتين المغرب وتونس، حتى أن مسؤولي الجرائد من مختلف الدول حينما نخبرهم أن ”الخبر” تباع بعشرة دنانير، يندهشون جدا، لأن أسعار جرائدهم مرتفعة جدا مقارنة بسعر ”الخبر” حاليا. إلى متى يعود تاريخ آخر زيادة في سعر الجريدة؟ لم نرفع سعر جريدة ”الخبر” منذ سنة 1995، بحيث قفز السعر من أربعة إلى سبعة دنانير في شهر جانفي، ثم إلى عشرة دنانير في جوان 95، لأسباب متعلقة حينها بارتفاع سعر الورق في السوق الدولية. وقد مر إلى حد الآن تسعة عشر عاما، ونحن نعتمد هذا السعر، ورفضنا رفعه مرات عديدة، إيمانا منا بضرورة تشجيع القارئ، وتمكينه من الاهتمام بما يجري عبر العالم. لكن بعد مرور كل هذه السنوات، وبحكم التحولات التجارية والاقتصادية، وحتى المالية التي حصلت في السنوات الأخيرة، وجدنا أنفسنا مجبرين على رفع سعر نسخة جريدة ”الخبر” إلى خمسة عشر دينارا. ولماذا قررتم رفع سعر الجريدة في هذا الوقت بالذات؟ اتخذنا هذا القرار حفاظا على الجريدة التي تعد مكسبا للساحة الإعلامية الجزائرية، ومن منطلق أن السعر الحالي أصبح يشكل خطرا على توازن الجريدة نفسها. لقد ارتفع سعر طن الورق مقارنة بالسنوات الماضية. وارتفاع سعر الورق في السوق العالمية يقابله ارتفاع الضريبة، فضلا عن التدهور الذي عرفه الدينار، إضافة إلى ظاهرة التضخم. وبالاستماع إلى مشاكل الأطراف الأخرى التي تتعامل معنا على غرار الموزعين، فإن هؤلاء يوجدون بدورهم في وضعية لا يحسدون عليها، بسبب ارتفاع تكاليف النقل، ورواتب العمال، وحتى سعر البنزين ليس هو نفس السعر مقارنة بسنة 1995. لقد حافظنا على هذا السعر مدة تسعة عشر عاما، رغم الانخفاض المستمر والفظيع لمداخيلنا من عملية البيع، وكنا نعتمد على مداخيل الإشهار، لكن اليوم لم يعد ممكنا الاستمرار على هذا الحال، بالأخص بعد أن وجه الموزعون، وهم من المتعاملين الأساسيين، نداء استغاثة نظرا لكون هامش الربح الذي يحصلون عليه ضئيلا جدا، ويشكل بدوره خطرا على توازنهم المالي، وفي المحصلة وجدنا أنفسنا مضطرين لرفع سعر الجريدة. وفي مقابل رفع سعر الجريدة، بماذا تعدون القارئ؟ في المقابل، نحن واعون كل الوعي، بضرورة تحسين محتوى الجريدة، وتطوير أداء الصحافيين بواسطة تكوينهم على مستويات متعددة، وبالأخص فيما يتعلق بالتحقيق الصحفي، وهو تكوين يتطلب استثمارا كبيرا، ومصاريف كثيرة. وبصفة عامة نسعى لتحسين العامل البشري، حيث يستفيد عمال مؤسسة ”الخبر” من زيادات دورية في الرواتب، لأن التضخم المالي متواصل، كما هو الحال في كثير من البلدان، وليس فقط في الجزائر، وهو ما يؤثر على القدرة الشرائية، ما يحتم علينا رفع مرتبات جميع العمال، فخلال هذا العام قررنا رفع المرتبات، وذلك بشكل سيادي، بعد قرار من مجلس الإدارة بغية تحسين المستوى المعيشي لعمال ”الخبر”. كل هذا، أوصلنا إلى ضرورة إعادة النظر في سعر الجريدة، وإعادة ترتيب الأمور بغية تحقيق التوازن، والعمل على تقديم جريدة ذات محتوى أحسن وأمثل، مع ثراء أكثر، وقرب أكبر بالخبر الجواري، الذي يتطلب بدوره مزيدا من الاستثمارات، بحكم ضرورة توظيف أكبر عدد من المراسلين الصحفيين. وأريد أن أوضح للقارئ في المحصلة أن رفع سعر الجريدة إلى خمسة عشر دينارا، يعتبر بمثابة تصحيح يرمي إلى بلوغ التوازن المالي للمؤسسة بين السحب والمبيعات، لأن مصاريف المطبعة والتوزيع لا تترك لنا أي هامش من الربح. أقول مفروض علينا تجاوز واقع التوازن الهش الذي تمر به مؤسسة ”الخبر” منذ سنوات، لأن الوضع الحالي لا يمكن اعتباره وضعا طبيعيا. وقد أجلنا قرار رفع السعر عدة مرات، لكن اليوم نلتمس من القراء التفهم، بحيث أننا اتخذنا القرار مرغمين فعلا، بعد أن قاومنا ذلك مدة تسعة عشر عاما. أعتقد أنه ليس بإمكان ”الخبر” أن تؤدي رسالتها الإعلامية، والحضارية بدون تنفيذ هذا القرار الذي يسمح لمؤسسة ”الخبر”، وهي مؤسسة تجارية وربحية في نفس الوقت، ولدى القائمين عليها كامل الوعي بمكانتها، بأن تحقق توازنها، وذلك لا يتم إلا باللجوء إلى قرار رفع سعر النسخة إلى خمسة عشر دينارا، فالجريدة كما يعرف الجميع، تعد جريدة مستقلة، لا تعتمد على دعم الدولة، ولا تتفاوض على خطها الافتتاحي، وهي مستقلة تماما عن سلطة المال والسياسة، ولا تقبل أي تدخل في خطها الافتتاحي من أي طرف كان. ونحن نريد من القارئ أن يدفع السعر الحقيقي للجريدة، حتى يساهم في تطويرها، وتمكين الموزعين من الوصول إلى الجزائر العميقة. وفي الأخير، أقول إن هذا القرار يعتبر في صالح الجريدة والقراء، لأننا سنعطيهم جريدة أحسن وأشمل. - رغم أنها لا تتعدى 4 آلاف دينار منحة ذوي الاحتياجات الخاصة بقسنطينة معلقة لإشعار آخر الخميس 30 جانفي 2014 قسنطينة: فاتح خرفوشي هدد الآلاف من ذوي الاحتياجات الخاصة، التابعين لمديرية النشاط الاجتماعي، لولاية قسنطينة، بالدخول في إضراب واحتجاجات مفتوحة، بعد تأخر صرف “المحنة” المقدرة بـ4 آلاف دينار، لمدة تقارب الشهر. وأكد عدد من المعنيين، الممثلين لأكثر من 55 ألف بالولاية، أن المنحة الضئيلة التي لا تكف لسد رمق شخص واحد خلال شهر، تأخرت عن صرفها لدى أصحاب الأرصدة عبر الحساب البريدي الجاري، وهذا منذ الـ5 من الشهر الجاري، ولم يقدم مسؤولو النشاط الاجتماعي ولا البريد تبريرات عن هذا التأخر، فيما تلقى البقية ممن لا يحوزون أرصدة مماثلة المنحة نقدا، من الفرع المسير بالبلدية الأم. وقال أحد أصحاب الاحتياجات الخاصة “ب.بشير” 45 عاما، نيابة عن العشرات ممّن أرادوا توصيل صوتهم عبر “الخبر” إلى مسؤولي البلاد، وتحديدا الوزير الأول، لمحاسبة وزير التضامن والأسرة والمديرية، إن هذه المنحة “عيب وعار على بلد يقدم المساعدات لصندوق النقد الدولي، ويعفي بلدان إفريقيا المجاورة من التبعات والديون، فيما يصر على إذلال أكثر من مليوني معاق كما يسموننا، في ظلّ سوء التسيير والتلاعب بالمال العام، ولن نسكت على حقنا”. -
قرر مجلس إدارة شركة ”الخبر”، رفع سعر نسخة الجريدة من
عشرة إلى خمسة عشر دينارا جزائريا، ابتداء من يوم السبت 1 فيفري 2014، بعد
أن أصبح سعر عشرة دنانير لا يحقق أي هامش من الربح بسبب ارتفاع سعر الورق
في السوق الدولية، ما تسبب في حالة من التوازن المالي الهش على مستوى
المؤسسة.
يأتي قرار رفع سعر جريدة ”الخبر”، ابتداء من السبت القادم، من عشرة إلى خمسة عشر دينارا، في ظرف ازدادت فيه حاجة المواطن للمعلومة التي يقدمها الإعلام ويضمنها، لكن ليس أي إعلام، بل إعلام ذو نوعية، ونزاهة ومصداقية واحترافية. لم يأت قرار رفع سعر نسخة جريدة ”الخبر”، الذي اتخذه مجلس إدارة المؤسسة، إلا بعد تردد دام عدة سنوات، وبشعور عميق بالأسف. وتم اتخاذ القرار من باب تحقيق التوازن المالي لمؤسسة ”الخبر” باعتبارها مؤسسة إعلامية مستقلة، لا تعتمد على دعم الدولة، بقدر ما تعتمد على مداخيلها من الإشهار والتوزيع. لكن للأسف لم يعد سعر النسخة يحقق أي ربح يذكر، وقادر على الاستمرار في ضمان هذه الاستقلالية إلى حدودها القصوى. فجريدة ”الخبر” مستقلة تمام الاستقلالية عن سلطة المال والسياسة، ولا ترتبط بالسلطة سوى بثقافة الحفاظ على القيم الجمهورية، والدفاع عن الديمقراطية والحداثة والعصرنة، ومرجعية ثورة نوفمبر، كقيم تأسست عليها وناضلت من أجلها. هذه الاستقلالية التي حافظت عليها ”الخبر” على مدى أكثر من عشرين سنة، جعلتها تحظى بمكانة رائدة في الفضاء الإعلامي اليوم، لكن للمهنية، والاحتراف متطلبات تضمن البقاء والاستمرارية، إذ بدون التوازن المالي الذي يضمن الاستقرار، لا تترك أي هامش للربح، ليس للجريدة فقط، بل حتى لباقي المتعاملين معها، على غرار الموزعين الذين يعتبرون حلقة مهمة في عملية انتشار الجريدة، وفي تكريس ظاهرة الإعلام الجواري الذي شرعت فيه ”الخبر” منذ أكثر من عشر سنوات، إيمانا منها أن وصول الجريدة إلى أكثر المناطق عزلة، وبعدا، هو الرهان الوحيد القادر على تحقيق ديمقراطية إعلامية تنتشر على المستوى الأفقي، وتعطي الإنسان تلك الفرصة الثمينة للتحول إلى المواطنة. فالمواطن بدون الإعلام، يعتبر أكذوبة وضربا من الفراغ. إن القائمين على جريدة ”الخبر” يدركون تمام الإدراك، أن التوازن المالي لأي مؤسسة، وهو التوازن الذي تفتقده الجريدة اليوم، هو الوحيد القادر على إبعاد شبح التململ، أو فقدان القدرة على مسايرة المهنية والاحترافية، وربما حتى القدرة على البقاء والوجود. وإذ قرر أعضاء مجلس إدارة ”الخبر” رفع سعر الجريدة، فهم واثقون كل الثقة بأنها صاحبة نصف مليون قارئ تقريبا، ظلوا أوفياء لها على مدى سنوات طويلة. وهؤلاء سوف يتفهمون حتما مثل هذا القرار الذي اتخذ في صالحهم كذلك، فالزيادة في سعر الجريدة، وتحقيق التوازن المالي الذي يسمح بتطوير الجريدة وبالاستثمار في العامل البشري، سينعكس إيجابا على مستوى الجريدة، وعلى مضمونها، كما ينعكس حتى على عملية التوزيع، حيث بإمكان هامش الربح الذي يحققه الموزع أن يؤدي إلى إيصال الجريدة إلى أكبر عدد ممكن من القراء، بعد تحسين وسائل التوزيع والنقل. |
إدارة الشركة تقرر رفع سعر الجريدة
”الخبر” بـ15 دينارا ابتداء من 1 فيفري 2014
الخميس 30 جانفي 2014 التحرير
قرر مجلس إدارة شركة ”الخبر”، رفع سعر نسخة الجريدة من عشرة إلى خمسة عشر دينارا جزائريا، ابتداء من يوم السبت 1 فيفري 2014، بعد أن أصبح سعر عشرة دنانير لا يحقق أي هامش من الربح بسبب ارتفاع سعر الورق في السوق الدولية، ما تسبب في حالة من التوازن المالي الهش على مستوى المؤسسة.
يأتي قرار رفع سعر جريدة ”الخبر”، ابتداء من السبت القادم، من عشرة إلى خمسة عشر دينارا، في ظرف ازدادت فيه حاجة المواطن للمعلومة التي يقدمها الإعلام ويضمنها، لكن ليس أي إعلام، بل إعلام ذو نوعية، ونزاهة ومصداقية واحترافية.
لم يأت قرار رفع سعر نسخة جريدة ”الخبر”، الذي اتخذه مجلس إدارة المؤسسة، إلا بعد تردد دام عدة سنوات، وبشعور عميق بالأسف. وتم اتخاذ القرار من باب تحقيق التوازن المالي لمؤسسة ”الخبر” باعتبارها مؤسسة إعلامية مستقلة، لا تعتمد على دعم الدولة، بقدر ما تعتمد على مداخيلها من الإشهار والتوزيع. لكن للأسف لم يعد سعر النسخة يحقق أي ربح يذكر، وقادر على الاستمرار في ضمان هذه الاستقلالية إلى حدودها القصوى. فجريدة ”الخبر” مستقلة تمام الاستقلالية عن سلطة المال والسياسة، ولا ترتبط بالسلطة سوى بثقافة الحفاظ على القيم الجمهورية، والدفاع عن الديمقراطية والحداثة والعصرنة، ومرجعية ثورة نوفمبر، كقيم تأسست عليها وناضلت من أجلها.
هذه الاستقلالية التي حافظت عليها ”الخبر” على مدى أكثر من عشرين سنة، جعلتها تحظى بمكانة رائدة في الفضاء الإعلامي اليوم، لكن للمهنية، والاحتراف متطلبات تضمن البقاء والاستمرارية، إذ بدون التوازن المالي الذي يضمن الاستقرار، لا تترك أي هامش للربح، ليس للجريدة فقط، بل حتى لباقي المتعاملين معها، على غرار الموزعين الذين يعتبرون حلقة مهمة في عملية انتشار الجريدة، وفي تكريس ظاهرة الإعلام الجواري الذي شرعت فيه ”الخبر” منذ أكثر من عشر سنوات، إيمانا منها أن وصول الجريدة إلى أكثر المناطق عزلة، وبعدا، هو الرهان الوحيد القادر على تحقيق ديمقراطية إعلامية تنتشر على المستوى الأفقي، وتعطي الإنسان تلك الفرصة الثمينة للتحول إلى المواطنة. فالمواطن بدون الإعلام، يعتبر أكذوبة وضربا من الفراغ.
إن القائمين على جريدة ”الخبر” يدركون تمام الإدراك، أن التوازن المالي لأي مؤسسة، وهو التوازن الذي تفتقده الجريدة اليوم، هو الوحيد القادر على إبعاد شبح التململ، أو فقدان القدرة على مسايرة المهنية والاحترافية، وربما حتى القدرة على البقاء والوجود. وإذ قرر أعضاء مجلس إدارة ”الخبر” رفع سعر الجريدة، فهم واثقون كل الثقة بأنها صاحبة نصف مليون قارئ تقريبا، ظلوا أوفياء لها على مدى سنوات طويلة. وهؤلاء سوف يتفهمون حتما مثل هذا القرار الذي اتخذ في صالحهم كذلك، فالزيادة في سعر الجريدة، وتحقيق التوازن المالي الذي يسمح بتطوير الجريدة وبالاستثمار في العامل البشري، سينعكس إيجابا على مستوى الجريدة، وعلى مضمونها، كما ينعكس حتى على عملية التوزيع، حيث بإمكان هامش الربح الذي يحققه الموزع أن يؤدي إلى إيصال الجريدة إلى أكبر عدد ممكن من القراء، بعد تحسين وسائل التوزيع والنقل.
- - hamza
algeria
2014-01-29م على 23:39
ha ra7et 3likom ya khabar dok tbouro hhhhhhh
2 - محمد
لن اشتريها
2014-01-29م على 23:40
نحن من مدة نشتريها ب 15 و عشرين دينار لأننا في منطقة نائية يعني ستصبح 25 و 30 دج اذن لن اشتريها 30 دج = 780 دج لـ 26 عدد
3 - zak zaki
algerie
2014-01-29م على 23:27
acherouh ntouma binatkoum yamal 15 dz !!!!!!!!!!!!
4 - منير
بايس
2014-01-29م على 23:53
جريدة الخبر مشكورة على هذه المساهمة برفع سعر الجريدة وبهذا فقد ادت واجب وطنى فى محاربة التضخم وامتصاص فاءض السيولة جراء الزيادات العشواءية في الرواتب وكيف لا فكل شئ زاد من الباديهى ان ترفع الاسعار
5 - zeraoulia
algerie
2014-01-29م على 23:07
هذا تلاعب بالمواطن ، نقصت مبيعاتكم فاردتم زيادة في السعر ؛ راح تزيدوا تخسروا اكثر
6 - قارئ وفي
2014-01-30م على 0:56
1- تستاهل أكثر من 15 دج .
2- أين الكاريكاتور إذا راح أيوب جيبولنا واحد أخر .
3- حافظوا على الطاقم الحالي لكي لا تفقدوا أحد من أفراده قدر المستطاع ف15 دج فيها الكثير.
4- حسنوا في الخبر أون لاين خلولنا مجال أوسع للتعليق و تنقيط التعليقات و التعقيب على بعض المعلقين مثل مواقع الصحف الأخرى .
7 - el ho
alg
2014-01-30م على 0:10
15 دج و لا 20 دج و لا حتى 5 دج في البلدان المنقدمة كفرنسا الجرائد باطل حبا في تثقيف الشعب كميترو نيوز و تايمز فاشن و غيرها انتم و كل الجرائد الجزائرية لم تستطيعو تأكيد او تفنيد ترشح بو تفليقة فكيف تريدون بيع صحيفتكم الورقية ب 15 دج ؟
8 - imad
algerie
2014-01-30م على 2:52
أنا مع الخبر حتى و لو ب الف دينار.
الجريدة رقم واحد عربيا ـ حتى و انا أقرا هذا الموضوع أحس أنه بلغة و افكار جد راقية اذ أن أي قارئ يتفهم سبب الزيادة لاختياركم اراقي و الرائع للكلمات. شكرا
9 - fati
alger
2014-01-30م على 2:52
صدمة كبيرة هاذا اللي كنت نخاف منوا صرا
يا درا البلاد وين راهي رايحى
كلشي زاد و الله الخبر زعفني بزاف
الله يعاونكم
-
::
توقعات حالة الطقس لنهار اليوم بقسنطينة
|
|||
الخميس - 30/01/2014 | |||
نهار
8°م سقوط امطار |
ليل
3°م سقوط امطار |
||
الكثافة
80 %
|
رياح :
|
||
شروق الشمس
:
7:37 AM
|
غروب الشمس
:
5:58 PM
|
نهار الغد
الجمعة - 31/01/2014
|
نهار
|
ليل
|
درجة الحرارة القسوى :
8° م
|
سقوط خفيف للامطار |
سقوط خفيف للامطار قبل منتصف الليل |
درجة الحرارة الادنى
:
1° م
|
||
الكثافة :
88 %
|
السبت - 01/02/2014
|
نهار
|
ليل
|
درجة الحرارة القسوى:
11° م
|
سقوط امطار بعد الظهر |
سقوط امطار |
درجة الحرارة الادنى
:
4° م
|
||
الكثافة :
72 %
|
الأحد - 02/02/2014
|
نهار
|
ليل
|
درجة الحرارة القسوى:
8° م
|
سقوط امطار |
جو غائم جزئيا |
درجة الحرارة الادنى
:
-1° م
|
||
الكثافة :
77 %
|
الاثنين - 03/02/2014
|
نهار
|
ليل
|
درجة الحرارة القسوى:
12° م
|
جو غائم جزئيا |
سماء صافية |
درجة الحرارة الادنى
:
1° م
|
||
الكثافة :
73 %
|
الثلاثاء - 04/02/2014
|
نهار
|
ليل
|
درجة الحرارة القسوى:
13° م
|
جو غائم جزئيا |
جو غائم جزئيا |
درجة الحرارة الادنى
:
2° م
|
||
الكثافة :
68 %
|
الأربعاء - 05/02/2014
|
نهار
|
ليل
|
درجة الحرارة القسوى:
14° م
|
جو غائم جزئيا |
جو غائم جزئيا |
درجة الحرارة الادنى
:
4° م
|
||
الكثافة :
69 %
|
الخميس - 06/02/2014
|
نهار
|
ليل
|
درجة الحرارة القسوى:
16° م
|
جو غائم جزئيا |
جو غائم جزئيا |
درجة الحرارة الادنى
:
5° م
|
||
الكثافة :
70 %
|
الجمعة - 07/02/2014
|
نهار
|
ليل
|
درجة الحرارة القسوى:
17° م
|
نهار مشمس على العموم |
جو غائم جزئيا |
درجة الحرارة الادنى
:
5° م
|
||
الكثافة :
61 %
|
السبت - 08/02/2014
|
نهار
|
ليل
|
درجة الحرارة القسوى:
14° م
|
جو غائم جزئيا |
جو غائم جزئيا |
درجة الحرارة الادنى
:
5° م
|
||
الكثافة :
71 %
|