Depuis des années, Saïd Bouteflika se tient dans l´ombre de son frère. On lui prête de l’ambition, le goût de l’intrigue et une immense influence sur le président, encore accrue par la maladie de ce dernier. Fantasme ou réalité ? On le qualifie volontiers de vice-président, de vizir ou de président bis. Plus jeune frère du chef de l´État, conseiller spécial à la présidence, Saïd Bouteflika exerce une influence considérable. Dernière illustration de cette proximité, le black-out médiatique qu´il a imposé tout au long de l´hospitalisation d´Abdelaziz Bouteflika en France (du 27 avril au 16 juillet) pour un accident vasculaire cérébral (AVC), à 76 ans. Depuis le Val-de-Grâce, les Invalides, l´hôtel George V - où il a pris ses quartiers - ou encore une célèbre brasserie parisienne, Saïd filtrait l´information, prodiguait recommandations et instructions au gouvernement, aux cadres de la présidence, aux directeurs des médias publics ou privés, aux élus du Front de libération nationale (FLN)… Bref, le conseiller se substituait presque au président.
Obscur enseignant à l´université Houari-Boumédiène de Bab-Ezzouar jusqu´en 1999, année de l´élection d´Abdelaziz Bouteflika, cet homme à la silhouette frêle est aujourd´hui le maillon fort de la famille et le pivot du clan présidentiel. À tel point qu´on lui prête, au « pays des mille et une rumeurs », l´intention de désigner le successeur de son frère, voire de lui succéder lui-même. La vie de cet homme aussi mystérieux que puissant au palais d´El-Mouradia comme à la ville est une énigme. Si bien que le département d´État américain lui-même, à en croire les câbles secrets du site WikiLeaks, a demandé entre 2008 et 2009 à ses diplomates basés en Algérie, en France, au Maroc et en Tunisie d´enquêter sur cet homme « secret et discret ».
Si les journalistes le côtoient régulièrement, rares sont ceux qui osent pousser plus loin leurs investigations. Saïd Bouteflika n´accorde jamais d´entretien, ses amis craignent de parler et refusent de témoigner. Ses détracteurs ne disent que du mal de lui. « Ne vous fatiguez pas, nous conseille l´un de ses intimes. Il ne parlera jamais. » La paranoïa est si grande que l´on vous explique parfois qu´il serait préférable de ne pas trop s´intéresser au personnage. Ce qui épaissit davantage le mystère autour de ce conseiller dont le destin, quoi qu´on en dise, reste intimement lié à celui du président.
Issu d´une fratrie de neuf (cinq frères, une soeur et trois demi-soeurs), Saïd naît en 1957 - vingt ans après Abdelaziz - à Oujda, ville marocaine frontalière. Le père, mandataire de marché de gros, meurt un an plus tard. Le garçon est alors élevé par sa mère, Mansouriah, qui tient un bain maure, le Hammam Jerda. « C´était une véritable « mamma à l´italienne », se rappelle un ami de la famille. Elle couvait ses enfants autant qu´elle se montrait sévère envers eux. En l´absence du père, c´est Abdelaziz qui a pris Saïd sous son aile comme s´il était son fils. Plus tard, Saïd a eu un autre protecteur, Houari Boumédiène [proche de la famille, NDLR], qui s´est pris d´affection pour lui. »
L’arbre généalogique de la famille Bouteflika :
Un élève moyen un peu reservé
À l´indépendance, en juillet 1962, la famille s´installe en Algérie. Abdelaziz est d´abord député de Tlemcen, puis devient ministre des Affaires étrangères sous la présidence d´Ahmed Ben Bella. Les Bouteflika s´installent alors dans une résidence à Poirson, sur les hauteurs d´Alger. Saïd profite des meilleurs établissements de la capitale : primaire et secondaire chez les Pères blancs à l´école Saint-Joseph, lycée chez les Jésuites. « Il y a été scolarisé au même titre que les enfants des membres du Conseil de la révolution [cabinet noir né après le putsch du 19 juin 1965 contre Ben Bella] ou que la progéniture de la nomenklatura, se souvient un camarade de classe. C´était un élève moyen, plutôt effacé, qui ne faisait pas le fier bien que son grand frère ait été alors considéré comme le numéro deux du régime. »
Après un baccalauréat et une licence à l´université scientifique de Bab-Ezzouar, il gagne Paris en 1983 pour préparer un doctorat en informatique. Dans le même temps, la roue tourne du mauvais côté à Alger. Successeur putatif de Boumédiène, décédé le 27 décembre 1978, Abdelaziz Bouteflika est mis sur la touche par les militaires, qui lui préfèrent le colonel Chadli Bendjedid. Écarté du comité central du FLN en décembre 1981, l´ex-ministre choisit de s´exiler. Paris, Damas, Genève, les Émirats - où il monnaie ses services comme consultant international. Il boudera son pays pendant des années. De son éviction, il gardera longtemps un goût amer : « J´aurais pu prétendre au pouvoir à la mort de Boumédiène. Mais la réalité est qu´il y a eu un coup d´État à blanc et l´armée a imposé un candidat imprévu », affirme-t-il le 8 juillet 1999 à la radio française Europe 1. Sa famille n´est pas non plus épargnée par cette opération de « déboumédiénisation » : elle est contrainte de quitter la villa qu´elle occupe. À l´époque, on entend souvent la mère, les frères et les soeurs se lamenter de cette disgrâce : « Hagrouna ! » (« ils nous ont humiliés »).
L´acharnement ira plus loin : après une instruction entamée début 1979, la Cour des comptes l´accuse le 8 août 1983 de détournement de fonds. Chef de la diplomatie à l´époque des faits - entre 1965 et 1978 -, Abdelaziz Bouteflika aurait demandé aux consulats et ambassades d´Algérie de verser leurs excédents budgétaires sur deux comptes personnels ouverts en Suisse. Montant total : 60 millions de dinars (environ 570 000 euros actuels). L´accusation et, surtout, la volonté de le salir le marquent à jamais. « Contrairement à ce que dit et croit la vox populi, ni Abdelaziz ni Saïd ne roulaient sur l´or durant ces années d´exil, confie une vieille connaissance qui les fréquentait à Paris. Certes, Abdelaziz était pris en charge par ses amis des pétromonarchies et gagnait bien sa vie, mais il était loin d´être millionnaire. Quant à Saïd, s´il vivait dans le quartier du Cherche-Midi (6e arrondissement), il habitait un studio et avait des difficultés à boucler ses fins de mois. »
D’enseignant à conseiller spécial du président
Le retour de Saïd à Alger, en 1987, coïncide avec la fin de la disgrâce de son frère aîné. Après six années passées hors du pays, Abdelaziz retrouve une certaine respectabilité en réintégrant le comité central du FLN. Dans la foulée, sa famille se voit restituer la villa de Sidi Fredj, confisquée par le gendre de Chadli Bendjedid, et en obtient même une autre dans le quartier d´El-Biar, sur les hauteurs de la capitale. Les deux frères ne sont jamais loin l´un de l´autre : dans l´immeuble, l´aîné occupe le 6e étage, le cadet le 5e. Mais Saïd se tient à l´écart de la politique.
Enseignant à l´université, marié à une médecin biologiste, il se contente de militer comme syndicaliste au sein du Conseil national des enseignants du supérieur (Cnes). « Saïd en était un membre mineur, tempère un ancien camarade. Il participait aux réunions et aux grèves, mais il était discret. Il était plutôt manoeuvrier, dans la mouvance trotskiste. »
En septembre 1998, le président Liamine Zéroual annonce sa démission et l´organisation d´élections anticipées. C´est le début d´une nouvelle ère pour la famille : alors qu´il avait décliné leur offre en janvier 1995, Bouteflika est de nouveau sollicité par les militaires pour se présenter. « Candidat du consensus », il fédère autour de lui le ban et l´arrière-ban du régime. Durant cette période, son frère est déjà à ses côtés, mais demeure discret. « Saïd a joué un rôle insignifiant dans la campagne électorale, se souvient un ancien ministre. Dans la villa de Hydra [Alger] qui servait de QG, il connaissait très peu de monde et ne figurait même pas dans l´organigramme de l´équipe du candidat Bouteflika. »
Vingt ans après avoir été évincé, Abdelaziz Bouteflika est élu président, le 15 avril 1999. Au palais d´El-Mouradia, le nouveau chef de l´État s´entoure de sa famille : Saïd devient son conseiller spécial, et Zhor, sa soeur, naguère sage-femme, prend soin de lui et mitonne les petits plats dont il raffole. Mustapha, spécialiste en ORL, devient son médecin personnel (il décédera en juillet 2010). Tous sont nommés par décrets non publiables. Les deux autres frères restent à l´écart. Abdelghani est avocat à Paris et Nacer garde son poste de secrétaire général du ministère de la Formation professionnelle.
Au siège de la présidence, Saïd s´occupe officiellement du service informatique. S´il accompagne le chef de l´État dans tous ses déplacements, son pouvoir est limité. « Durant ce premier mandat, on comptait plus de vingt conseillers au palais, explique l´un d´eux. Saïd se mêlait rarement des affaires du protocole ou de la sécurité. De plus, la présidence était tenue par des hommes chevronnés tels qu´Ali Benflis [directeur de cabinet puis chef du gouvernement entre août 2000 et mai 2003] ou Larbi Belkheir[directeur du cabinet présidentiel après Benflis]. »
Mais une année avant la fin du premier quinquennat, le pouvoir du benjamin de la famille croît subitement. Il devient « les yeux et les oreilles du chef de l´État, juge un ex-conseiller à la présidence. Il est le seul à entrer dans son bureau sans être annoncé. Il jouit de la confiance absolue du président, réputé méfiant et soupçonneux ».
Saïd tisse des liens étroits avec certains ministres qu´il côtoie le soir dans les restaurants ou les villas privées, cajole les associations et les organisations civiles de masse qui bénéficient des subventions de Sonatrach ou du ministère de l´Action sociale et de la Solidarité nationale. Il sait aussi se faire menaçant, et pousse hommes d´affaires et industriels à financer la campagne du président sortant. Toujours en coulisses, il participe au limogeage d´Ali Benflis en mai 2003 et prend part à la campagne qui aboutira quelques mois plus tard à sa destitution du poste de secrétaire général du FLN. Il est vrai que ni Bouteflika ni son clan ne pardonnent à l´ancien Premier ministre de s´être porté candidat. « Si Benflis reste au gouvernement, il installera ses relais partout et nous mangera tout crus », susurre un jour Saïd au président.
Saïd Bouteflika manoeuvre pour évincer ses détracteurs
Si la réélection de Bouteflika en 2004 renforce l´ascendant de Saïd, il lui reste néanmoins à évincer Larbi Belkheir (aujourd´hui décédé), alias le Cardinal, l´homme fort du cabinet présidentiel - celui à qui, entre autres, Bouteflika doit son retour aux affaires. De notoriété publique, Saïd et Larbi ne s´entendent pas. Alors, comment faire ? Réponse : mettre en minorité le Cardinal. « Belkheir avait un impressionnant carnet d´adresses, du tact, l´expérience des arcanes du pouvoir et une vraie influence sur l´armée, explique un diplomate. Bref, tout ce qui manquait ou presque à Saïd. Belkheir lui faisait de l´ombre, il fallait donc le pousser vers la sortie. »
Un ex-cadre d´El-Mouradia renchérit : « Le frère a manoeuvré habilement pour monter le président contre Belkheir, si bien que les deux hommes ont fini par ne plus communiquer. L´atmosphère était viciée par les rumeurs, les intrigues et les complots… » Le président finit par se séparer de son directeur de cabinet en août 2005 et le nomme ambassadeur au Maroc. Moulay Mohamed Guendil prend sa place, mais la plupart de ses prérogatives sont transférées à Mohamed Rougab, le secrétaire particulier du président, et à Mokhtar Reguieg, son directeur général du protocole. Deux hommes totalement dévoués au président, donc à son frère…
Un autre événement majeur, en novembre 2005, conforte encore un peu plus l´influence de Saïd. Victime d´un « ulcère hémorragique », Abdelaziz Bouteflika est hospitalisé en France. Le président frôle la mort. Lorsqu´il reprend ses activités, il est contraint de lever le pied. Son rythme de travail se ralentit, ses voyages se raréfient, les Conseils des ministres s´espacent. Comme un retournement du destin, c´est désormais son frère qui veille sur lui. « La maladie du président a ouvert un boulevard à Saïd, analyse un habitué du sérail. Il tient l´agenda du chef de l´État, intervient dans les nominations de ministres, de diplomates, de walis [préfets], de patrons d´organismes publics, et influe sur la vie interne du FLN. Devenu incontournable pour accéder au président, le conseiller spécial prend de facto la direction des affaires à El-Mouradia. »
Tant qu’Abdelaziz est président, Saïd peut rester aux affaires
Une prise de contrôle qui permet à Saïd de préparer le terrain au chef de l´État pour un troisième mandat… Car il le sait, son propre maintien aux affaires dépend de l´avenir de son aîné. Les proches ne se montrent pas unanimement favorables à la réélection d´Abdelaziz ? Saïd se charge de les convaincre et incite ce dernier à modifier, en 2008, la Constitution de 1996, qui limitait le nombre de mandats du président. Mieux qu´en 2004, Saïd met au pas hommes d´affaires et organisations patronales, qui contribuent à hauteur de 40 % au financement de la campagne électorale. « Certains ont versé des milliards de dinars pour le candidat-président, confie un entrepreneur. Ceux qui rechignaient à mettre la main à la poche redoutaient d´être privés de marchés. » Mission accomplie : avec la victoire d´Abdelaziz, Saïd s´assure cinq années de plus à El-Mouradia.
Reste à savoir s´il veut maintenant peser sur la succession. Et s´il dispose, comme en 2009, de relais suffisants. « La donne a changé, décrypte un connaisseur. Le président ? Affaibli. Les hommes qui ont constitué l´ossature de son pouvoir ? Tous évincés. Le FLN et le RND [Rassemblement national démocratique], qui servaient de majorité ? En crise. Aujourd´hui, Saïd tient sa puissance de son statut de frère et conseiller spécial d´un président encore en exercice. Le jour où Abdelaziz annoncera officiellement qu´il ne briguera pas de quatrième mandat, les cartes seront redistribuées. »
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Ahmed Bouteflika, le père de l'actuel président de la république d'Algérie a eu six enfants avec sa seconde épouse, Mansouriah Ghezlaoui.
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Algérie ( 2 réactions )
L'arbre généalogique de la famille Bouteflika
Abdelaziz Boutéflika(582) - Nacer Bouteflika(4) - arbre généalogique(2) - Ahmed Bouteflika(1)
05/08/2013 à 16:45 Par Jeune Afrique
Ahmed Bouteflika, le père de l'actuel président de la république d'Algérie a eu six enfants avec sa seconde épouse, Mansouriah Ghezlaoui.
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1.
kader - 12/08/2013 à 12h:08
tu raconte n'importe quoi la famille bouteflika est une famille d'intellectuel et bien éduqué la preuve ils ont tous des postes élevés leur mere etait commerçante elle tenait un hamam a oujda quand l'algerie etait colonisé par la france.et toi tu viens nous raconter des saletés pareil hacha a la famille meme si je ne suis pas d'accord sur certain point avec bouteflika sur la gestion du pays..
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2.
JAMILA - 08/08/2013 à 18h:08
le 1er enfant de Mansouria qu'elle avait eu à la suite d'un inceste une fille est née Abelaziz.Abdelaziz est de pére inconnu ,le 3 eme enfant fils d'un ouvrier est Hamid Belawazara Abdelaziz porte le nom de cet ouvrier qui l'avait adopté,Hamid est resté trés fidel à Abdelaziz qu'il considere son grand frére ,il est jusqu"a l'heure actuel son chauffeur..
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Algérie ( 13 réactions )
Saïd Bouteflika : Mister mystère
Abdelaziz Boutéflika(582) - FLN(223) - Ali Benflis(29) - Saïd Bouteflika(22)
05/08/2013 à 16:48 Par Jeune Afrique
Depuis des années, Saïd Bouteflika se tient dans l´ombre de son frère. On lui prête de l'ambition, le goût de l'intrigue et une immense influence sur le président, encore accrue par la maladie de ce dernier. Fantasme ou réalité ?
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1.
kaci - 08/08/2013 à 21h:08
La Kabylie est laiquement religieuse quelle n'a pas besoin de relgion comme ethique de rechange. L'Islamisme sert l'assimilation en cours depuis 62. .
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2.
Narjess et Awatef - 07/08/2013 à 11h:08
Quand je pense que l ancien tres puissant chancelier allemand Gerhard Schroeder,etait fier de son frere,qu il visitait parfois au boulot en train de nettoyer les egouts.oui le frere du puissant chancelier Allemand etait eboueur et qui n a jamais demander ni obtenu des faveurs .
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3.
le clan - 07/08/2013 à 01h:08
Si Said est arrivé à ce faire réspecter par les décideurs,Armée et Drs c'est que ce type à de l'épaisseur et son réseau est trés puissant,Said est un fin manouevrier comme son Frére,à le flair politique..
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4.
kaci - 06/08/2013 à 18h:08
Faire passer l'idée qu'en tuant un president on fait une revolution, tous ca fait sous developpés. Ce nous ne sommes pas. Un peuple peut se tromper. Il suffit de rebrousser chemin et corriger. Pour nous c'est le Une constituante pour une nouvelle constitution, puis lelections pluralistes dans un pays pluriel..
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5.
kaci - 06/08/2013 à 18h:08
La guerre tribale ne nous interesse pas. Ce qui doit IMPERATIVEMENT changer c'esttoute l'approche: à commencer par ce determinisme identitaire qui fait de nous des arabes de force. Puis l'Etat fruit de l'équilibre et culture autoctone. Le federalisme et un Etat laic ou tous se reconnaitront. .
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6.
Aziouaz - 06/08/2013 à 18h:08
Quequesoit x, Abdelaziz Bouteflika meme malade est le seul homme capable de diriger ce Grand pays. Il est up to date dans tous les domaines et sa chant manipuler il nous a eviter pas mal de catastrophes. C un grand chat qui retombe sur ses pattes cheque fois qu'on le balance. La surprise sera Bonne tres prochainement, vous le verrez..
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7.
karim - 06/08/2013 à 18h:08
hahahahahaha.....SA MAJESTE BOUTEFLIKA 1ER je trouve que ca sonne bien..
8.
Peter - 06/08/2013 à 14h:08
Presque dans toutes les pays du Tier Monde, lorsque quelqu'un devient président ou ministre, il y 'a toujours des gens de la famille qui s'infiltre dans le serail de la hierarchie pour venir en aide ou conseiller, voire meme avoir un poste (dixit Moubarek-Egypte, Tunisie, Lybie...etc).
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9.
sitahar - 06/08/2013 à 11h:08
je me souviens de cet energumene lorsque nous etions etudiants a bab ezzouar (uni H.B). alors que la plupart des etudiants de l'epoque ne trouvaient meme pas de tranport et ou resider,SI SAID bouteflika venait avec son chaffeur au bord d'une 504 toute neuve noire et l'attendait au park toute la journee. figure cynique comme son frere Abdelaziz.
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10.
sitahar - 06/08/2013 à 11h:08
a haroun le type: alors qui est president de la RADP?et de quel droit Said Bouteflika a eu tous ces PREROGATIVES? ou est l'etat de droits? seule solution possible: la RADP deviendra ROYAUME D'ALGERIE,et on comprendra tout!.
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Algérie ( 13 réactions )
Saïd Bouteflika : Mister mystère
Abdelaziz Boutéflika(582) - FLN(223) - Ali Benflis(29) - Saïd Bouteflika(22)
05/08/2013 à 16:48 Par Jeune Afrique
Depuis des années, Saïd Bouteflika se tient dans l´ombre de son frère. On lui prête de l'ambition, le goût de l'intrigue et une immense influence sur le président, encore accrue par la maladie de ce dernier. Fantasme ou réalité ?
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11.
Abdeslam - 05/08/2013 à 22h:08
Notre défaut est d'associer la famille à la gestion des affaires de l'état.Heureusement que said se fait plus discret que nécessaire..
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12.
Le Numide - 05/08/2013 à 21h:08
On n'a rien contre ce Monsieur mais on s'en fout complètement. Il n'existe ou n'est connu que par son frère. .
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13.
haroun le type - 05/08/2013 à 19h:08
SAID BOUTEFLIKA ,depuis 2005 est le véritable président de l'Algérie et un homme trés puissant.toutes les nominations sont éxaminées et doivent avoir son feu vert meme dans le domaine sécuritaire.Premier Ministre, Walis ,Ministres et officiers supérieurs lui rendent compte.SAID est quelqu'un de tres réspecté et homme de parole et trés serviable. et n'aime pas les médiocres.. .
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Ce que fut la colonisation 9 - L'oeuvre positive de l'Algérie envers la France
La Bataille d'Alger, film de Gillo Pontecorvo.
Ali LaPointe et le Petit Omar
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Il est immoral que la France considère qu'elle a soldé ses comptes en 1962
Cette phrase autorise résume à elle seule la tragédie de la colonisation. En réponse au négationnisme des «nostalgériques» quant à la clochardisation de la société algérienne, pour reprendre une expression de Germaine Tillon, nous voulons dans cette contribution, rapporter en honnête courtier, montrer que la colonisation française ne fut pas un long fleuve tranquille. Nous allons dans un premier temps décrire l'apport de l'Algérie pour le rayonnement des occupants pendant plus de deux mille ans. Tout au long de ces 132 ans, l'oeuvre coloniale ne fut pas positive car le fameux bréviaire décliné de toutes les façons possibles - Mise en valeur des territoires, diffusion de l'enseignement, fondation d'une médecine moderne, créations d'institutions administratives et juridiques, bref, les traces de cette oeuvre incontestable à laquelle la présence française a contribué - eurent lieu certes, mais ne profitèrent objectivement qu'à la population européenne et à la métropole, car il faut savoir que pour son malheur, l'Algérie n'eut pas d'industrie, elle fut pourvoyeuse de matières premières (blé, agrumes, liège, minerais, alfa, vin, dattes...) et bien plus tard en pétrole qui a financé une partie des frais de la «pacification» en Algérie à partir de la mise en production de Hassi Messaoud. Certes, nous l'avons écrit, à titre individuel des instituteurs, des médecins, des Européens admirables tentèrent d'alléger les souffrances des Algériens, mais ils furent, en petit nombre. Nous leur serons à jamais reconnaissants. Les rares Algériens instruits furent selon la belle expression de Jean El Mouhoub Amrouche, des voleurs de feu. Moins d'un millier d'Algériens formés en 132 ans, cela explique, les errements de l'Algérie après 1962.
L'oeuvre positive de l'Algérie à travers l'histoire
Tout au long de son histoire, l'Algérie eut affaire à des envahisseurs successifs qu'elle a successivement boutés ou absorbés. Ce fut le cas des Phéniciens qui établirent sur les côtes et qui furent des marchands entretenant le commerce avec les autochtones et ceci pendant près de sept siècles après que Didon ait foulé le sol de l'Afrique à Carthage. Ce fut ensuite la période romaine. L'oeuvre «positive» de la colonisation romaine dura six siècles depuis la troisième guerre punique en 148 avant J.-C. Réciproquement, l'Algérie contribua au rayonnement d'abord par ses hommes de théâtre (Apulée, Lactance, Fronton...Térence) et ses hommes d'Eglise avec plus de 700 évêchés entre ceux des Donatistes et ceux de l'Eglise officielle représentée par l'un des pères de l'Eglise que fut saint Augustin. Pour le Christianisme, l'apport de saint Augustin dans la mise en place du canon romain. C'est dire si cette oeuvre ne fut pas positive pour la chrétienté. De plus, Rome fit de l'Algérie son grenier à blé que le colonisateur français n'eut aucune peine à exploiter... Au bout de six siècles, la présence romaine est de nos jours attestée par l'architecture libyco-romaine qui a une spécificité. Elle est encore toujours actuelle, fait l'objet d'un tourisme plus de 16 siècles après. Les autres invasions subies par l'Algérie n'eurent pas autant de dégâts que l'invasion coloniale du fait peut-être de sa proximité. Après l'arrivée des Arabes et l'islamisation de l'Algérie, des royaumes aux fortunes diverses virent le jour. L'avènement des Turcs, dont la présence se fit sur plus de trois siècles, il faut attester que les Turcs - exception faite de Kheïr Eddine qui fut à des degrés divers le fondateur de l'Etat algérien moderne en affermissant ses frontières à l'est et à l'ouest- ne furent pas des bâtisseurs, exception faite de la construction de mosquées qui furent de fait, des catalyseurs voire des stabilisateurs de leur occupation. Ils se contentaient de collecter l'impôt avec des modus vivendi avec les tribus rebelles, notamment en Kabylie. La seule grande réalisation à ma connaissance, outre quelques palais pour les deys, les beys, fut la construction du pont de Constantine sous le règne de Salah Bey. L'Algérie - La Régence d'Alger - fut cependant très respectée par tous les pays, qui payaient pour la plupart des tributs pour naviguer en Méditerranée. La Régence sauva la Révolution française - assaillie de toutes parts par les royautés européennes - en lui envoyant du blé; cette créance ne fut jamais payée. Mieux, elle donna prétexte à l'invasion coloniale!!! Cependant, il n'y eut pas ces exactions, meurtres par milliers, tentatives d'extermination que nous avons connus avec l'invasion française.
Le devoir d'inventaire
Le maréchal Clauzel qui voulut, en vain, démonter l'arc de Triomphe de Djemila est symptomatique de tout le butin que renferment les musées de France et de Navarre qu'il faudra bien un jour restituer au même titre que les restes mortuaires notamment des crânes des révolutionnaires algériens tels que Boubaghla qui font l'objet d'un voyeurisme malsain des touristes et des Parisiens en mal de sensation forte et ceci depuis l'initiative de Geoffroy de saint Hilaire qui, pour lutter contre le spleen des Parisiens, leur offrit à voir dans des cages les sujets de l'Empire Ce furent les zoos humains qui fleurirent d'ailleurs partout en Europe consacrant la supériorité de l'homme blanc qui regarde l'Autre encagé. Il a fallu plus d'un siècle et demi grâce à la détermination de Nelson Mandela pour que la Venus Hottentote -une personne souffrant d'une difformité physique- soit restituée à sa tribu et enterrée pieusement sur la terre de ses ancêtres en Afrique du Sud.
Pourtant, l'Algérie eut aussi sa part, souvent la plus terrible dans le rayonnement de la France. Nous allons brièvement rappeler quelques faits indéniables connus et insuffisamment reconnus voire niés par la France envers les sujets de l'Empire. Pascal Blanchard écrit:
«Longtemps occultée, la participation des populations coloniales aux efforts de guerre de la France est aujourd'hui un véritable enjeu de mémoire au coeur des luttes politiques et juridiques des anciens combattants et des sans-papiers. Ces derniers ont contribué à sortir de l'oubli des milliers d'hommes dont les sacrifices ne sont toujours pas reconnus. Il reste que l'image du tirailleur libérateur de la France occupée ne permet pas d'appréhender, dans toute sa complexité, l'histoire des troupes coloniales.»(1).
Pour l'histoire, des Algériens furent recrutés dans les troupes françaises depuis 1837 (les fameux turcos) on parle justement de ces zouaouas (Berbères) recrutés par tous les moyens - la famine, la peur-) que l'on appela les zouaves au point que la statue du zouave du pont de l'Alma indique les crues de la Seine. Ils furent ensuite envoyés lors la guerre du Levant en 1865, il existe un cimetière au Liban portant des mechhed avec des noms commençant par Aït. Les Syriens de l'époque étaient étonnés de voir ces blonds aux yeux bleus musulmans venir combattre d'autres musulmans...Ensuite, ce fut la guerre de Crimée, la guerre de 1870: parmi les plus braves, on cite les Algériens qui arrivèrent à enlever une colonne à Wissembourg, moins d'une centaine de rescapés sur les 800 du fait d'un chassepot allemand qui fit des ravages. Après le cauchemar de Verdun et du Chemin des dames, des milliers d'Algériens y laissèrent leur vie. Du fait de la conscription obligatoire, pratiquement chaque famille eut un soldat engagé, qui mourut ou qui revint gazé ou traumatisé à vie. (2) Moins de dix ans plus tard, ces Algériens se retrouvèrent à guerroyer dans le Rif pour combattre d'autres musulmans, notamment les troupes de l'émir Abdelkrim. Lors de la Seconde Guerre mondiale, les troupes coloniales furent, d'emblée, massivement intégrées aux plans de bataille et, placées en première ligne, elles payèrent un très lourd tribut lors des combats de mai et juin 1940. Plus tard, les troupes alliées, en débarquant en Italie, sont remontées petit à petit vers le Nord. Elles furent cependant bloquées à Monte Cassino. On fit appel, une fois de plus, aux troupes coloniales françaises constituées de tirailleurs algériens et marocains. Elles défoncèrent, au prix de pertes très lourdes, les lignes allemandes le 22 mai 1944. Par la suite, sous le commandement du général de Lattre de Tassigny, 260.000 soldats, majoritairement nord-africains, débarquent en Provence et libèrent Toulon et Marseille le 15 août 1944. Il y eut 140.000 soldats algériens. Il y eut 14.000 morts et 42.000 blessés. Ce sont, en partie, ces soldats qui revinrent ensuite au pays, pour voir leurs familles massacrées un jour de mai 1945... Ensuite, les Algériens, à leur corps défendant, partirent en Extrême-Orient, en Indochine combattre pour l'Empire et là encore ils payèrent tribut. Il a fallu le film «Indigènes» pour que le président Jacques Chirac, touché par la sincérité du film, annonce une revalorisation des pensions des combattants. Ces pensions étaient cristallisées dit-on depuis près de cinquante ans.
A l'assaut des tranchées adverses, ployant sous un déluge d'obus, suffoquant sous l'effet des gaz mortels sur les champs de bataille brumeux et venteux du nord-est de la France, sous la glaciation hivernale des nuits noires de novembre, à des milliers de kilomètres de leur tropique natal, les grandes rasades d'alcool galvanisaient leurs ardeurs combatives à défaut d'exalter leur patriotisme... En ces temps-là, écrit René Naba «la chair à canon» carburait à la gnôle. Par un subterfuge dont la raison détient seule le secret, qui n'en révèle pas moins les présupposés d'un peuple, les ressorts psychologiques d'une nation et la complexion mentale de ses dirigeants, la revendication ultime préludant au sacrifice suprême - «Aboul Gnoul» - apporte l'alcool - finira par constituer, par un dévoiement de la pensée, la marque d'une stigmatisation absolue de ceux qui auront massivement contribué, à deux reprises, au péril de leur vie, à vaincre, paradoxalement, les oppresseurs de leurs propres oppresseurs. «Bougnoule» tire son origine de l'expression argotique de cette supplique ante mortem.(3). Les «trente glorieuses» réussirent aussi grâce à l'apport des Algériens qui, après avoir versé leur sang pour la France, aidèrent massivement pour sa reconstruction jusqu'au jour où le président Giscard d'Estaing décide de les «expulser». Ce fut le «million Stoléru» pour solde de tout compte d'un siècle d'humiliation et de rapine. On lit dans un communiqué: «Si aujourd'hui la grosse artillerie politico-médiatique est sortie pour la reconnaissance des tirailleurs venus des colonies, il n'en est pas de même pour les - «guerriers «- du BTP, des mines ou de la sidérurgie...» La France n'arrive toujours pas à sortir de son hypocrisie coloniale. C'est trop facile de vouloir toujours réécrire l'histoire... Cela devient insupportable qu'une telle omerta règne dans notre pays sur le sort réservé aux vieux travailleurs immigrés maghrébins» (4). Que dire aussi de ces émigrés qui, malgré leurs conditions sociales désastreuses, eurent le courage de risquer leur vie pour sauver des Français juifs abandonnés par tous du fait de la répression allemande. Le tract suivant résume mieux que cent discours l'empathie de ces, «Justes». Nous lisons «Hier à l'aube, les juifs de Paris ont été arrêtés. Les vieux, les femmes et les enfants. En exil comme nous, travailleurs comme nous. Ils sont nos frères.
Les Algériens qui ont sauvé les juifs français
Leurs enfants sont comme nos propres enfants - «ammarach nagh» -. Celui qui rencontre un de ces enfants doit lui donner un abri et la protection des enfants aussi longtemps que le malheur - ou le chagrin - durera. Oh, l'homme de mon pays, votre coeur est généreux.» Ce tract rédigé en tamazigh circulait parmi les émigrés algériens kabyles lors de la rafle des juifs le 16 juillet 1942 à Paris. Ainsi, les émigrés algériens - sous-prolétariat français - pendant la colonisation, avaient décidé d'aider les Juifs à s'enfuir et les ont cachés. «Ammarache nagh», «Ce sont comme nos enfants» traduisant par là le sacrifice à faire pour sauver des enfants juifs...qui sont comme nos enfants! On se souvient, en effet, qu'il y a vingt ans, dans un documentaire de 29 minutes intitulé La Mosquée de Paris, une résistance oubliée, réalisé pour l'émission «Racines de France 3» en 1991, Derri Berkani rapporte que durant la Seconde Guerre mondiale et l'occupation de la France par l'Allemagne nazie, la Mosquée de Paris sert de lieu de résistance pour les musulmans vivant en France. Les Algériens du FTP (Francs-tireurs partisans) avaient pour mission de secourir et de protéger les parachutistes britanniques et de leur trouver un abri. Les FTP ont par la suite, porté assistance à des familles juives, des familles qu'ils connaissaient, ou à la demande d'amis, en les hébergeant dans la mosquée, en attente que des papiers leur soient fournis pour se rendre en zone libre ou franchir la Méditerranée pour rejoindre le Maghreb. (5) (6)
L'apport de l'Algérie à la défense de «la mère patrie» avec notamment les régiments tirailleurs algériens, les sacrifices pendant l'occupation allemande, la participation décisive à l'oeuvre de reconstruction de la France dévastée, tout ceci, assurément, est objectivement à mettre sur le compté de l'oeuvre poussive de l'Algérie pour la France. Si on y ajoute la dimension culturelle par l'utilisation de la langue - à l'indépendance très peu de personnes parlaient français. En 2012, d'une façon ou d'une autre, 36 millions d'Algériens parlent pensent et achètent à des degrés divers français sans faire partie de la francophonie qui a pour les Algériens des relents de France Afrique. C'est dire si l'Algérie a contribué pour le rayonnement de la langue française. Mieux encore, une grande partie de la matière grise est attirée par la France qui reçoit ainsi, sans avoir dépensé un sous, la fine fleur de l'Algérie. A bien des égards, les perturbations existentielles qui nous occupent, sont des répliques d'un tremblement de terre qui a eu lieu le 5 juillet 1830... Notre société, qui a été profondément déstructurée, n'a pas pu participer en son temps au mouvement de l'histoire et de la première révolution industrielle. Qui sait si nous n'aurions pas évolué d'une façon plus positive, s'il n'y avait pas eu l'invasion! A bien des égards, notre gap technologique vient de notre état de colonisé pendant plus d'un siècle et trente ans. Nos interrogations sur le choix de société, pendant que les autres vont à la conquête de la science, nous vient du retard accumulé. Qui sait si nous n'aurions pas évolué comme les nations actuelles dites développées, si nous n'avions pas subi la colonisation inhumaine! Il est immoral que la France considère qu'elle a soldé ses comptes en 1962. C'est cela aussi la vraie dette de la France.
Pr Chems Eddine CHITOUR
Notes :
1. Emmanuel Blanchard. Les tirailleurs, bras armé de la France coloniale. Plein Droit 56, 03 2003 2.
2. Chems Eddine. Chitour L'Expression - Jeudi 12 octobre 2006
3.René Naba: Ce que la France doit aux «Bougnoules» Réseau Voltaire 27 septembre 2006
4. Chibanis: Les tirailleurs du béton oubliés par hypocrisie. millebabords.org 27 06 2006. 5.http://www.lexpressiondz.com/chroniques/analyses_du_professeur chitour/139978-lesmusulmans-qui-ont-sauve-les-juifs.html
6.Aurélie Champagne: http://www.rue89. com/2011/09/27/les-hommes-libres-lhistoire-oubliee-des-arabes-occupes-22366527/09/2011
http://tipaza.typepad.fr/mon_weblog/page/28/
http://www.jeuneafrique.com/Articl_Reaction_detail/ARTJAWEB20130730155716/page/1/-Alg%C3%A9rie-Abdelaziz-Bout%C3%A9flika-Nacer-Bouteflika-arbre-g%C3%A9n%C3%A9alogique-l-arbre-genealogique-de-la-famille-bouteflika.JA
Algérie ( 13 réactions )
Saïd Bouteflika : Mister mystère
Abdelaziz Boutéflika(582) - FLN(223) - Ali Benflis(29) - Saïd Bouteflika(22)
05/08/2013 à 16:48 Par Jeune Afrique
Depuis des années, Saïd Bouteflika se tient dans l´ombre de son frère. On lui prête de l'ambition, le goût de l'intrigue et une immense influence sur le président, encore accrue par la maladie de ce dernier. Fantasme ou réalité ?
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13 réaction(s)
11.
Abdeslam - 05/08/2013 à 22h:08
Notre défaut est d'associer la famille à la gestion des affaires de l'état.Heureusement que said se fait plus discret que nécessaire..
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12.
Le Numide - 05/08/2013 à 21h:08
On n'a rien contre ce Monsieur mais on s'en fout complètement. Il n'existe ou n'est connu que par son frère. .
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13.
haroun le type - 05/08/2013 à 19h:08
SAID BOUTEFLIKA ,depuis 2005 est le véritable président de l'Algérie et un homme trés puissant.toutes les nominations sont éxaminées et doivent avoir son feu vert meme dans le domaine sécuritaire.Premier Ministre, Walis ,Ministres et officiers supérieurs lui rendent compte.SAID est quelqu'un de tres réspecté et homme de parole et trés serviable. et n'aime pas les médiocres.. .
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http://www.algerie360.com/algerie/politique/said-bouteflika-mister-mystere/
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