(واج ) الثلاثاء 14 كانون الثاني (يناير) 2014 17 : 35
الرئيس بوتفليقة بمستشفى فال دو غراس: فحص طبي روتيني وضعه الصحي في تحسن (رئاسة)
الجزائر - يوجد رئيس الجمهورية عبد العزيز بوتفليقة
منذ أمس الاثنين بمستشفى فال دو غراس (فرنسا) في إطار فحص طبي روتيني حسبما جاء
اليوم الثلاثاء في بيان لرئاسة الجمهورية التي أكدت أن وضعه العام يتحسن بصفة "مؤكدة"
و "بالتدريج".
و أضح البيان أنه "من أجل استكمال الفحوصات التي بدأت بالجزائر العاصمة
وفي إطار فحص طبي روتيني مبرمج منذ شهر جوان 2013 يوجد رئيس الجمهورية
عبد العزيز بوتفليقة بمستشفى فال دو غراس منذ يوم الاثنين 13 يناير 2014
وإلى غاية يوم الجمعة 17 يناير 2014".
و أضاف المصدر أن "هذا التنقل الذي لم يمله أي إجراء استعجالي كان مقررا وقد حدد تاريخه منذ فترة إقامته بمؤسسة لي زانفاليد الوطنية (الفرنسية ) بباريس" مبرزا أن الوضع الصحي العام لرئيس الجمهورية يتحسن ب"صفة مؤكدة و بالتدريج".
http://www.aps.dz/%D8%A7%D9%84%D8%B1%D8%A6%D9%8A%D8%B3-%D8%A8%D9%88%D8%AA%D9%81%D9%84%D9%8A%D9%82%D8%A9,140652.html
Il est au Val-de-Grâce pour un «contrôle médical routinier, son état s
L'état de santé de Bouteflika s'améliore sûrement et de façon progress
Publié le 14.01.2014 à 19:14, Par :
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, se trouve depuis lundi dernier à l’hôpital Val-de-Grâce en France «dans le cadre d’une visite médicale routinière de contrôle», comme l’a indiqué hier un communiqué de la présidence de la République. Selon le communiqué, cité par l’APS, «l’état général du Président s’améliore sûrement et de façon progressive».
Par Hasna Yacoub
Le communiqué précise également que le déplacement du chef de l’État entre dans le cadre du parachèvement de «son bilan de santé, initié à Alger, et d’une visite médicale routinière de contrôle, arrêtée et programmée depuis le mois de juin 2013». Il est également précisé que le chef de l’État séjournera à l’hôpital Val-de-Grâce jusqu’au vendredi 17 janvier 2014. «Aucune procédure d’urgence n’a dicté ce déplacement prévu et arrêté depuis son séjour à l’institution nationale (française) des Invalides à Paris», tient encore une fois à souligner le communiqué de la présidence. Pour rappel, le président de la République a été victime d’un AVC le 27 avril 2013. Après une brève hospitalisation à l’hôpital Aïn Naâdja, le chef de l’État avait été transféré en urgence à l’hôpital parisien du Val-de-Grâce où il y séjournera pendant quelques semaines avant d’être transféré à l’institution nationale française des Invalides pour entamer «une période de réadaptation fonctionnelle». Après une absence de près de trois mois, Abdelaziz Bouteflika est revenu en Algérie mais devait cependant, selon le communiqué de la présidence de l’époque, «poursuive une période de repos et de rééducation». C’est ce qu’a fait le chef de l’État qui depuis sa maladie, a réduit totalement ses activités pour les limiter au strict minimum. Il a ainsi, depuis son retour, tenu deux Conseils des ministres pour principalement examiner et signer la loi de Finances 2014, comme le stipule la loi. Il a également reçu quelques invités à l’exemple du Premier ministre français Jean-Marc Ayrault, le chef du parti tunisien Ennahda, Rached Ghannouchi et Béji Caïd Essebsi, l’ancien Premier ministre tunisien et président de Nidaa Tounès.
Des activités qui ont permis à chaque fois de donner quelques images du président Bouteflika afin de mettre un terme aux rumeurs qui continuent de circuler sur son état de santé.
Il faut rappeler, à ce propos, que durant la période d’absence du chef de l’État, la communication sur la santé du Président ayant été très mal gérée, a permis aux rumeurs les plus folles de circuler. D’ailleurs à cette époque, le chef de l’État a même été donné pour mort plus d’une fois. Ce qui avait forcé la main à ceux qui dirigent la communication sur l’état de santé du chef de l’État. Ces derniers avaient été obligés, rappelons-le, de montrer des images du président de la République aux Invalides, à l’occasion de la visite du Premier ministre et le chef de l’état-major de l’armée au président de la République. Mais cela n’avait pas servi de leçon puisque encore une fois, les responsables de la communication avaient laissé la primauté aux agences étrangères et aux médias français d’annoncer le retour, en juillet 2013, du chef de l’État à Alger. Depuis, de l’eau a coulé sous les ponts et il semblerait qu’il a été décidé, en haut lieu, de communiquer en temps réel sur l’état de santé d’Abdelaziz Bouteflika et cela afin de couper court à toute rumeur à quelques encablures de la présidentielle.
H. Y.
Le communiqué précise également que le déplacement du chef de l’État entre dans le cadre du parachèvement de «son bilan de santé, initié à Alger, et d’une visite médicale routinière de contrôle, arrêtée et programmée depuis le mois de juin 2013». Il est également précisé que le chef de l’État séjournera à l’hôpital Val-de-Grâce jusqu’au vendredi 17 janvier 2014. «Aucune procédure d’urgence n’a dicté ce déplacement prévu et arrêté depuis son séjour à l’institution nationale (française) des Invalides à Paris», tient encore une fois à souligner le communiqué de la présidence. Pour rappel, le président de la République a été victime d’un AVC le 27 avril 2013. Après une brève hospitalisation à l’hôpital Aïn Naâdja, le chef de l’État avait été transféré en urgence à l’hôpital parisien du Val-de-Grâce où il y séjournera pendant quelques semaines avant d’être transféré à l’institution nationale française des Invalides pour entamer «une période de réadaptation fonctionnelle». Après une absence de près de trois mois, Abdelaziz Bouteflika est revenu en Algérie mais devait cependant, selon le communiqué de la présidence de l’époque, «poursuive une période de repos et de rééducation». C’est ce qu’a fait le chef de l’État qui depuis sa maladie, a réduit totalement ses activités pour les limiter au strict minimum. Il a ainsi, depuis son retour, tenu deux Conseils des ministres pour principalement examiner et signer la loi de Finances 2014, comme le stipule la loi. Il a également reçu quelques invités à l’exemple du Premier ministre français Jean-Marc Ayrault, le chef du parti tunisien Ennahda, Rached Ghannouchi et Béji Caïd Essebsi, l’ancien Premier ministre tunisien et président de Nidaa Tounès.
Des activités qui ont permis à chaque fois de donner quelques images du président Bouteflika afin de mettre un terme aux rumeurs qui continuent de circuler sur son état de santé.
Il faut rappeler, à ce propos, que durant la période d’absence du chef de l’État, la communication sur la santé du Président ayant été très mal gérée, a permis aux rumeurs les plus folles de circuler. D’ailleurs à cette époque, le chef de l’État a même été donné pour mort plus d’une fois. Ce qui avait forcé la main à ceux qui dirigent la communication sur l’état de santé du chef de l’État. Ces derniers avaient été obligés, rappelons-le, de montrer des images du président de la République aux Invalides, à l’occasion de la visite du Premier ministre et le chef de l’état-major de l’armée au président de la République. Mais cela n’avait pas servi de leçon puisque encore une fois, les responsables de la communication avaient laissé la primauté aux agences étrangères et aux médias français d’annoncer le retour, en juillet 2013, du chef de l’État à Alger. Depuis, de l’eau a coulé sous les ponts et il semblerait qu’il a été décidé, en haut lieu, de communiquer en temps réel sur l’état de santé d’Abdelaziz Bouteflika et cela afin de couper court à toute rumeur à quelques encablures de la présidentielle.
H. Y.
B S
لمدينة الجديدة الاعتداءات تتربع على عرش الإجرام بالوحدة الجوارية 14
تعود قضية الوحدة الجوارية 14 بالمدينة الجديدة علي منجلي بقسنطينة إلى 6 أشهر خلت حين بدأ العراك بشجار بين مراهقين لا يتجاوز سنهم 17 سنة لتشتعل المواجهة وتشمل سكان الحيين وادي الحد و فج الريح وهم سكان مرحلون من بيوت الصفيح والأكواخ القصديرية التي كانت تطوق قسنطينة القديمة و أخرجتهم الدولة من أحزمة الفقر وطلقوا حياة الذل و التهميش نحو المدينة الجديدة ووفرت لهم الدولة من خلالها سكنات لائقة تتوفر فيها كل ضروريات الحياة الكريمة. لكن في ظل ثقافة الجهوية البغيضة و العروشية المقيتة التي لم يستطع الشباب المرحلون التخلي عنها ودفنها في حييهم القديم حيث لم يستطيعوا التخلي عن عادتهم القديمة في محاولة منهم لفرض الزعامة بمنطق *البقاء للأقوى* ويستخدم من خلالها طرف الخصام كل الأسلحة المحظورة من عصى وأسلحة بيضاء وسيوف وحتى زجاجات المولوتوف وآخرون كقناصين . ولأسباب واهية ،ففي كل مرة تندلع الشرارة ويتكرر السيناريو والشجارات من اجل سرقة هاتف نقال أو لأسباب بين أطفال صغار أو حظيرة سيارات أو من أجل فتاة أو لأتفه الأسباب قبل أن تتوسع بتهور شباب طائش و تتحول إلى حرب يدفع ثمنها الكبار . إلا أن الواقع يقول أن الأمر يحتاج إلى دراسة حقيقية بعد أن ترسخت الثقافة العدوانية وعدم تقبل الآخر لدى الكثير من السكان لدرجة أن كبار السن أصبحوا يشاركون في ذلك ، متأثرون بالعنصرية و الجهوية التي تعتبر سببا مباشرا في اندلاع المواجهات، و إن انتشار الشجارات الجماعية و الحساسية بين سكان الأحياء يوجب دق ناقوس الخطر وخاصة و أن الأمر بلغ درجة لا تطاق حسب العارفين بخبايا هذه الوحدة الجوارية 14 التي تخلف في كل مرة العديد من الجرحى و المصابين وخسائر بالجملة في الممتلكات الخاصة و العامة . وحسب بعض المواطنين يبقي على الأولياء التحكم في أبنائهم وعدم السماح لهم بالجلوس مع رفقاء السوء والسهر مطولا وكل واحد منهم يتحمل المسؤولية المنوطة به ،ليأتي بعد ذلك دور الأمن الذي يطالب به السكان من أجل فض النزاع و إعادة الأمور إلى نصابها مع مرابطتها بعين المكان ليتبين للمواطن الأمن و الأمان الذي يطالبون به . ع / د
moh62
le 13.01.14 | 19h00
من جهته أكد المسؤول الأول عن القطاع بقسنطينة، جمال الدين فوغالي لـ وقت الجزائر ، بان الاستعدادات للحدث العربي المقرر العام القادم، لن تؤثر بأي شكل من الأشكال على برنامج النشاطات الثقافية والمهرجانات الدولية السنوية بالولاية. مفندا أي حديث بخصوص سنة بيضاء على الثقافة، لان قسنطينة ـ كما قال ـ مدينة تتنفس عبق التراث والفن والحضارة، ولن تسجل غيابا ثقافيا هذه السنة كما لم تفعل منذ سنوات ، حيث أوضح في ذات الشأن بان كل حدث قد برمج بحسب مواعيده المعتادة، وبان الحركية الثقافية والفكرية لن تتوقف بسبب أشغال تهيئة المرافق الكبرى، خصوصا وان المدينة تملك 12 تفرعا بلديا وصرحين جامعيين، سيجرى توزيع التظاهرات عليها بالتساوي وبحسب طبيعة كل حدث، على غرار الأسابيع الثقافية، نشاطات المسرح، الحفلات والملتقيات وأسابيع القراءة وغيرها.
وهو نفس الترتيب، الذي سيتخذ بالنسبة للمهرجانات الدولية الكبرى المؤسسة من قبل وزارة الثقافة هذه الأخيرة، التي لن تقبل بإهمالها، وهو ما يجري التنسيق بشأنه حاليا، حيث قد يتطلب الأمر نقل بعضها إلى بلديات غير قسنطينة أو برمجة أخرى على مستوى ولايات مجاورة كحل بديل إن استدعى الأمر ذلك، على أن تعود لتضيء ليالي قسنطينة العام القادم تزامنا مع انطلاق الحدث العربي المنتظر .
و أضاف المصدر أن "هذا التنقل الذي لم يمله أي إجراء استعجالي كان مقررا وقد حدد تاريخه منذ فترة إقامته بمؤسسة لي زانفاليد الوطنية (الفرنسية ) بباريس" مبرزا أن الوضع الصحي العام لرئيس الجمهورية يتحسن ب"صفة مؤكدة و بالتدريج".
http://www.aps.dz/%D8%A7%D9%84%D8%B1%D8%A6%D9%8A%D8%B3-%D8%A8%D9%88%D8%AA%D9%81%D9%84%D9%8A%D9%82%D8%A9,140652.html
Il est au Val-de-Grâce pour un «contrôle médical routinier, son état s
L'état de santé de Bouteflika s'améliore sûrement et de façon progress
Publié le 14.01.2014 à 19:14, Par :
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, se trouve depuis lundi dernier à l’hôpital Val-de-Grâce en France «dans le cadre d’une visite médicale routinière de contrôle», comme l’a indiqué hier un communiqué de la présidence de la République. Selon le communiqué, cité par l’APS, «l’état général du Président s’améliore sûrement et de façon progressive».
Par Hasna Yacoub
Le communiqué précise également que le déplacement du chef de l’État entre dans le cadre du parachèvement de «son bilan de santé, initié à Alger, et d’une visite médicale routinière de contrôle, arrêtée et programmée depuis le mois de juin 2013». Il est également précisé que le chef de l’État séjournera à l’hôpital Val-de-Grâce jusqu’au vendredi 17 janvier 2014. «Aucune procédure d’urgence n’a dicté ce déplacement prévu et arrêté depuis son séjour à l’institution nationale (française) des Invalides à Paris», tient encore une fois à souligner le communiqué de la présidence. Pour rappel, le président de la République a été victime d’un AVC le 27 avril 2013. Après une brève hospitalisation à l’hôpital Aïn Naâdja, le chef de l’État avait été transféré en urgence à l’hôpital parisien du Val-de-Grâce où il y séjournera pendant quelques semaines avant d’être transféré à l’institution nationale française des Invalides pour entamer «une période de réadaptation fonctionnelle». Après une absence de près de trois mois, Abdelaziz Bouteflika est revenu en Algérie mais devait cependant, selon le communiqué de la présidence de l’époque, «poursuive une période de repos et de rééducation». C’est ce qu’a fait le chef de l’État qui depuis sa maladie, a réduit totalement ses activités pour les limiter au strict minimum. Il a ainsi, depuis son retour, tenu deux Conseils des ministres pour principalement examiner et signer la loi de Finances 2014, comme le stipule la loi. Il a également reçu quelques invités à l’exemple du Premier ministre français Jean-Marc Ayrault, le chef du parti tunisien Ennahda, Rached Ghannouchi et Béji Caïd Essebsi, l’ancien Premier ministre tunisien et président de Nidaa Tounès.
Des activités qui ont permis à chaque fois de donner quelques images du président Bouteflika afin de mettre un terme aux rumeurs qui continuent de circuler sur son état de santé.
Il faut rappeler, à ce propos, que durant la période d’absence du chef de l’État, la communication sur la santé du Président ayant été très mal gérée, a permis aux rumeurs les plus folles de circuler. D’ailleurs à cette époque, le chef de l’État a même été donné pour mort plus d’une fois. Ce qui avait forcé la main à ceux qui dirigent la communication sur l’état de santé du chef de l’État. Ces derniers avaient été obligés, rappelons-le, de montrer des images du président de la République aux Invalides, à l’occasion de la visite du Premier ministre et le chef de l’état-major de l’armée au président de la République. Mais cela n’avait pas servi de leçon puisque encore une fois, les responsables de la communication avaient laissé la primauté aux agences étrangères et aux médias français d’annoncer le retour, en juillet 2013, du chef de l’État à Alger. Depuis, de l’eau a coulé sous les ponts et il semblerait qu’il a été décidé, en haut lieu, de communiquer en temps réel sur l’état de santé d’Abdelaziz Bouteflika et cela afin de couper court à toute rumeur à quelques encablures de la présidentielle.
H. Y.
Il est au Val-de-Grâce pour un «contrôle médical routinier, son état s
L'état de santé de Bouteflika s'améliore sûrement et de façon progress
- Publié le 14.01.2014 à 19:14, Par :
Le président de la République,
Abdelaziz Bouteflika, se trouve depuis lundi dernier à l’hôpital
Val-de-Grâce en France «dans le cadre d’une visite médicale routinière
de contrôle», comme l’a indiqué hier un communiqué de la présidence de
la République. Selon le communiqué, cité par l’APS, «l’état général du
Président s’améliore sûrement et de façon progressive».
Par Hasna YacoubLe communiqué précise également que le déplacement du chef de l’État entre dans le cadre du parachèvement de «son bilan de santé, initié à Alger, et d’une visite médicale routinière de contrôle, arrêtée et programmée depuis le mois de juin 2013». Il est également précisé que le chef de l’État séjournera à l’hôpital Val-de-Grâce jusqu’au vendredi 17 janvier 2014. «Aucune procédure d’urgence n’a dicté ce déplacement prévu et arrêté depuis son séjour à l’institution nationale (française) des Invalides à Paris», tient encore une fois à souligner le communiqué de la présidence. Pour rappel, le président de la République a été victime d’un AVC le 27 avril 2013. Après une brève hospitalisation à l’hôpital Aïn Naâdja, le chef de l’État avait été transféré en urgence à l’hôpital parisien du Val-de-Grâce où il y séjournera pendant quelques semaines avant d’être transféré à l’institution nationale française des Invalides pour entamer «une période de réadaptation fonctionnelle». Après une absence de près de trois mois, Abdelaziz Bouteflika est revenu en Algérie mais devait cependant, selon le communiqué de la présidence de l’époque, «poursuive une période de repos et de rééducation». C’est ce qu’a fait le chef de l’État qui depuis sa maladie, a réduit totalement ses activités pour les limiter au strict minimum. Il a ainsi, depuis son retour, tenu deux Conseils des ministres pour principalement examiner et signer la loi de Finances 2014, comme le stipule la loi. Il a également reçu quelques invités à l’exemple du Premier ministre français Jean-Marc Ayrault, le chef du parti tunisien Ennahda, Rached Ghannouchi et Béji Caïd Essebsi, l’ancien Premier ministre tunisien et président de Nidaa Tounès.
Des activités qui ont permis à chaque fois de donner quelques images du président Bouteflika afin de mettre un terme aux rumeurs qui continuent de circuler sur son état de santé.
Il faut rappeler, à ce propos, que durant la période d’absence du chef de l’État, la communication sur la santé du Président ayant été très mal gérée, a permis aux rumeurs les plus folles de circuler. D’ailleurs à cette époque, le chef de l’État a même été donné pour mort plus d’une fois. Ce qui avait forcé la main à ceux qui dirigent la communication sur l’état de santé du chef de l’État. Ces derniers avaient été obligés, rappelons-le, de montrer des images du président de la République aux Invalides, à l’occasion de la visite du Premier ministre et le chef de l’état-major de l’armée au président de la République. Mais cela n’avait pas servi de leçon puisque encore une fois, les responsables de la communication avaient laissé la primauté aux agences étrangères et aux médias français d’annoncer le retour, en juillet 2013, du chef de l’État à Alger. Depuis, de l’eau a coulé sous les ponts et il semblerait qu’il a été décidé, en haut lieu, de communiquer en temps réel sur l’état de santé d’Abdelaziz Bouteflika et cela afin de couper court à toute rumeur à quelques encablures de la présidentielle.
H. Y.
Après quatre jours de tension dans cette cité de constantine
Psychose et folle rumeur à Ali-Mendjeli
Par : Betina Souheila
Après quatre jours de violents
affrontements entre les anciens habitants de Fedj Errih et ceux du
quartier populaire d’Oued El-Had, relogés en 2013 à l’unité de voisinage
UV14, le calme semble revenir peu à peu dans les rues de la nouvelle
ville Ali-Mendjeli. La vie reprend timidement son cours, même si la
population est encore sous la psychose.
En effet, un calme précaire y régnait hier, après une nuit encore mouvementée où des voitures ont été incendiées et un hôpital saccagé, ce qui a provoqué la panique au sein du personnel médical. Le dispositif sécuritaire déjà présent depuis le début des troubles a été renforcé, notamment aux alentours des établissements scolaires et hospitaliers. Certains habitants qui travaillent en dehors de la ville avaient même décidé de se cloîtrer chez eux pour ne pas se retrouver au milieu des heurts.
Hier, on pouvait constater l’ampleur des dégâts, aussi bien matériels que moraux. La présence impressionnante de parents d’élèves qui accompagnaient leurs enfants — traumatisés par les récents événements — à l’école, en était la preuve vivante. Les femmes, quant à elles, osaient à peine sortir de chez elles.
En effet, depuis leur relogement à la nouvelle ville Ali-Mendjeli, les anciens habitants de Fedj Errih et Oued El-Had, des jeunes pour la plupart, sans emploi et à l’avenir incertain, se livrent une bataille sans fin, pour le contrôle du territoire. À l’origine de ce conflit, une vieille rancune, remontée à la surface, entre deux personnes pour contrôler un parking, et c’est l’escalade. Les commerces ont tous baissé rideau, la circulation automobile fut interrompue et même les taxis qui assuraient la ligne Constantine-Nouvelle ville refusaient de s’y rendre de peur d’être pris à partie.
Du côté de la police, c’était le black-out total, ce qui donna libre cours aux rumeurs et autres supputations, aussi affolantes que surréalistes, au sein de la population, mais surtout sur les réseaux sociaux où on faisait parfois état de morts et de blessés. Mais le pire fut l’assassinat d’un jeune homme âgé de 28 ans, ancien habitant de la cité appelée “New York”, à proximité du centre commercial “sans visa”, après une bagarre avec un autre jeune de la cité. Les circonstances de ce drame n’ont aucune relation avec les événements de l’unité de voisinage UV14, cependant, l’incident a immédiatement fait le tour de toute la ville, ce qui a provoqué encore une fois, une peur panique au sein d’une population déjà meurtrie par l’escalade de la violence à laquelle elle fait face depuis déjà quelques années.
En effet, un calme précaire y régnait hier, après une nuit encore mouvementée où des voitures ont été incendiées et un hôpital saccagé, ce qui a provoqué la panique au sein du personnel médical. Le dispositif sécuritaire déjà présent depuis le début des troubles a été renforcé, notamment aux alentours des établissements scolaires et hospitaliers. Certains habitants qui travaillent en dehors de la ville avaient même décidé de se cloîtrer chez eux pour ne pas se retrouver au milieu des heurts.
Hier, on pouvait constater l’ampleur des dégâts, aussi bien matériels que moraux. La présence impressionnante de parents d’élèves qui accompagnaient leurs enfants — traumatisés par les récents événements — à l’école, en était la preuve vivante. Les femmes, quant à elles, osaient à peine sortir de chez elles.
En effet, depuis leur relogement à la nouvelle ville Ali-Mendjeli, les anciens habitants de Fedj Errih et Oued El-Had, des jeunes pour la plupart, sans emploi et à l’avenir incertain, se livrent une bataille sans fin, pour le contrôle du territoire. À l’origine de ce conflit, une vieille rancune, remontée à la surface, entre deux personnes pour contrôler un parking, et c’est l’escalade. Les commerces ont tous baissé rideau, la circulation automobile fut interrompue et même les taxis qui assuraient la ligne Constantine-Nouvelle ville refusaient de s’y rendre de peur d’être pris à partie.
Du côté de la police, c’était le black-out total, ce qui donna libre cours aux rumeurs et autres supputations, aussi affolantes que surréalistes, au sein de la population, mais surtout sur les réseaux sociaux où on faisait parfois état de morts et de blessés. Mais le pire fut l’assassinat d’un jeune homme âgé de 28 ans, ancien habitant de la cité appelée “New York”, à proximité du centre commercial “sans visa”, après une bagarre avec un autre jeune de la cité. Les circonstances de ce drame n’ont aucune relation avec les événements de l’unité de voisinage UV14, cependant, l’incident a immédiatement fait le tour de toute la ville, ce qui a provoqué encore une fois, une peur panique au sein d’une population déjà meurtrie par l’escalade de la violence à laquelle elle fait face depuis déjà quelques années.
B S
#1
MOH TOUIL.
14-01-2014 14:36
Il faut éradiquer ce
mal avec un klachenkov si besoin est avant de faire tache d'huile, si ce
n'est déja fait- Dans chaque région d'Algérie des voyous se portent
acquéreur d'épée et d'autres instruments de la morts. VITE ET BIEN-
sinon sous peu ils pénétreront dans les maisons des honnêtes citoyens-
Femmes salariées marginalisées en Algérie
Rawlen, le réseau de prise en charge
Par : D. LOUKIL
Comme pour exorciser les
souffrances qu’elles endurent depuis des années, ces femmes ont raconté
le harcèlement moral, les abus en tout genre, la marginalisation, la
discrimination...
Depuis plusieurs semaines, des séminaires de formation se déroulent dans plusieurs villes d’Algérie, plus particulièrement à Oran, où vont se structurer les premiers noyaux de “femmes salariées marginalisées”, donnant naissance au réseau “d’autonomisation juridique Rawlen”. La dernière rencontre a donné lieu à des prises de parole de plusieurs femmes employées dans le cadre des dispositifs d’emplois de jeunes, du filet social, ou encore fonctionnaires du secteur de la santé, des collectivités locales. Un vécu violent, passé sous silence, écrasé par la peur et que si peu de gens veulent entendre. Comme pour exorciser les souffrances qu’elles portent depuis des années, ces femmes ont raconté le harcèlement moral, les abus en tout genre, la marginalisation, la discrimination. Kheïra, employée dans le cadre du filet social depuis près de 10 ans dans une APC, va se livrer, plutôt va livrer le harcèlement sexuel et la tentative de viol qu’elle a subis. Mariée, elle ne dira jamais un mot de cela : la peur d’être accusée, de se voir habiller de cet habit de “femme immorale ayant probablement provoqué son collègue et agresseur”. Fatma, infirmière diplômée dans une structure de santé publique, a subi les foudres de ces supérieurs : conseil de discipline, sanction, mise à pied, mutation. Son crime : avoir refusé d’obéir et dénoncé un médecin, chef de service, qui exigeait d’elle qu’elle accomplisse des tâches ne relevant pas de ses prérogatives et n’entrant pas dans le cadre de sa fonction d’infirmière diplômée. Les “histoires” défileront durant des heures. Car face au harcèlement moral ou sexuel, les femmes portant hidjab ou non, mariées ou célibataires, sont placées dans le même carcan : des femmes ayant un statut salarial précaire, renforcé par un statut de mineure à vie dans la société, faisant d’elles des proies encore plus faciles à atteindre. C’est souvent un supérieur hiérarchique qui exerce ces pressions, ces harcèlements, des regards soutenus, une main posée sur l’épaule, des convocations sans raison dans un bureau sans témoin, des pressions pour fragiliser la salariée en créant une instabilité autour de son poste. Au milieu des larmes parfois, ou des silences longs et lourds de sens, les femmes salariées du réseau Rawlen, aujourd’hui appuyées par le comité des femmes Snapap, s’informent et apprennent en intégrant les dispositifs juridiques existant en Algérie. à terme, elles seront les rédactrices d’un état des lieux général des discriminations qu’elles subissent dans le monde du travail.
Depuis plusieurs semaines, des séminaires de formation se déroulent dans plusieurs villes d’Algérie, plus particulièrement à Oran, où vont se structurer les premiers noyaux de “femmes salariées marginalisées”, donnant naissance au réseau “d’autonomisation juridique Rawlen”. La dernière rencontre a donné lieu à des prises de parole de plusieurs femmes employées dans le cadre des dispositifs d’emplois de jeunes, du filet social, ou encore fonctionnaires du secteur de la santé, des collectivités locales. Un vécu violent, passé sous silence, écrasé par la peur et que si peu de gens veulent entendre. Comme pour exorciser les souffrances qu’elles portent depuis des années, ces femmes ont raconté le harcèlement moral, les abus en tout genre, la marginalisation, la discrimination. Kheïra, employée dans le cadre du filet social depuis près de 10 ans dans une APC, va se livrer, plutôt va livrer le harcèlement sexuel et la tentative de viol qu’elle a subis. Mariée, elle ne dira jamais un mot de cela : la peur d’être accusée, de se voir habiller de cet habit de “femme immorale ayant probablement provoqué son collègue et agresseur”. Fatma, infirmière diplômée dans une structure de santé publique, a subi les foudres de ces supérieurs : conseil de discipline, sanction, mise à pied, mutation. Son crime : avoir refusé d’obéir et dénoncé un médecin, chef de service, qui exigeait d’elle qu’elle accomplisse des tâches ne relevant pas de ses prérogatives et n’entrant pas dans le cadre de sa fonction d’infirmière diplômée. Les “histoires” défileront durant des heures. Car face au harcèlement moral ou sexuel, les femmes portant hidjab ou non, mariées ou célibataires, sont placées dans le même carcan : des femmes ayant un statut salarial précaire, renforcé par un statut de mineure à vie dans la société, faisant d’elles des proies encore plus faciles à atteindre. C’est souvent un supérieur hiérarchique qui exerce ces pressions, ces harcèlements, des regards soutenus, une main posée sur l’épaule, des convocations sans raison dans un bureau sans témoin, des pressions pour fragiliser la salariée en créant une instabilité autour de son poste. Au milieu des larmes parfois, ou des silences longs et lourds de sens, les femmes salariées du réseau Rawlen, aujourd’hui appuyées par le comité des femmes Snapap, s’informent et apprennent en intégrant les dispositifs juridiques existant en Algérie. à terme, elles seront les rédactrices d’un état des lieux général des discriminations qu’elles subissent dans le monde du travail.
D. L
Algérie
(APS) mardi 14 janvier 2014 17 : 02
Le président Bouteflika au Val-de-Grâce : contrôle médical routinier, son état s’améliore (Présidence)
ALGER - Le président de la
République, Abdelaziz Bouteflika, se trouve depuis lundi à l’hôpital
Val-de-Grâce (France) dans le cadre d’une visite médicale routinière de
contrôle, indique mardi un communiqué de la présidence de la République
qui affirme que son état général s’améliore "sûrement" et de "façon
progressive".
"Pour parachever son bilan de santé,
initié à Alger, et dans le cadre d’une visite médicale routinière de
contrôle, arrêtée et programmée depuis le mois de juin 2013, le
président de la République, Abdelaziz Bouteflika,
séjourne à l’hôpital Val-de-Grâce, depuis lundi 13 janvier 2014 et ce,
jusqu’au vendredi 17 janvier 2014", précise le communiqué.
"Aucune procédure d’urgence n’a dicté ce déplacement prévu et arrêté depuis son séjour à l’institution nationale (française) des Invalides à Paris", ajoute la même source qui souligne que l’état général du président de la République s’améliore "sûrement" et de "façon progressive".
"Aucune procédure d’urgence n’a dicté ce déplacement prévu et arrêté depuis son séjour à l’institution nationale (française) des Invalides à Paris", ajoute la même source qui souligne que l’état général du président de la République s’améliore "sûrement" et de "façon progressive".
تلفزيون "النهار" يعرض أسرارا تبث لأول مرة عن سلال
بواسطة 12/01/2014 23:30:00
- عدد القراءات الكلي:7761 قراءة
- عدد القراءات اليومي:281 قراءة
- عدد التعليقات: 4 تعليق
في شهادات لأول مرة يتم تسجيلها في الجزائر، يتحدث الشيخ عبد الله بلكبير نجل الشيخ محمد بلكبير من أدرار عن الوزير الأول عبد المالك سلال، أيام ولايته على أدرار، وكيف استطاع سلال كسب قلوب سكان المنطقة بتواضعه الكبير وأخلاقه الراقية وحبه للعمل، بالإضافة شهادة أخرى أدلى بها أحمد إيديبار أمين عقال تمنراست حول والي تمنراست السابق. شهادة إيديبار والشيخ بلكبير تأتي في إطار روبورتاج من إنتاج تلفزيون «النهار»، يعرض حياة الشخصية الأكثر جدلا في الجزائر، وكيف استطاعت هذه الشخصية خطف الأضواء وكسب متابعة كبيرة، في وقت يشهد عزوف طبقات كثيرة من المجتمع عن متابعة السياسة. وسيروي الروبورتاج قصة الشاب اليافع المتخرج من المدرسة الوطنية للإدارة، الذي توجه إلى الجنوب في رحلة تحدّ، وأمضى حوالي عقد من شبابه في الجنوب الكبير، حتى استطاع اكتساب خبرة الإدارة والدهاء السياسي من دواليب الدولة رغم التزامه الحياد وعدم تلونه بأي لون سياسي. ويتوقف الروبورتاج عند أكثر شيء أثار الجدل في شخصية سلال، وهو بساطة لغته وتنكيته المستمر، حتى بعد أن ارتقى من وزير للموارد المائية إلى وزير أول، وهو ما جعل بعض الأطراف توجه السهام صوبه وتنتقد خطابه، بعد فشلها في اصطياد عثراته وأخطائه في العمل بسبب جديته ونزاهته، خاصة بعد طوافه المستمر في الولايات وقطعه لمسافة أكثر من 10 آلاف كيلومتر بين الولايات في ظرف قياسي، وهو ما لم يقم به أي رئيس جهاز تنفيذي من قبله. الروبورتاج سيتضمن العديد من المواقف الطريفة والمضحكة لعبد المالك سلال، وسيتم بثه قريبا على تلفزيون «النهار».
- Fakhri Amiour · يعمل لدى تاجربارك الله فيكم كل طاقم تلفزيون وجريدة النهار سلال وطنى ونضيف وولد تاس ومتواضع ويحب بلده كثيرا ويحب الفقير اكثر من الغنى وهو من طبقة متوسطة فى قسنطينة وولد الناس مايسعدش المافيا واصحاب المصالح الضيقة وخافو لا يخلف بوتفليقة وتخلص عليهم لانه يحارب البيروقراطية والرشوة والرباء فى البنوك و.........................
.....ربي يسترو ويستر بلادناامين يوزيد اكثر من 12سنة فى خدمة البلاد
- أبو العباس · جامعة الشيخ العربي التبسي -تبسة-بدأ التلميع استعدادا للرئسيان ما تردوهش نبي برك ومبروك عليه رئاسة الجزائر
- Mohamed Djamal · Bahiyaمسرحية جميلة ، المهرج كان مضحكا جدا ، التهريج كان غير هادف ، و الملاحظين قالو انها مسرحية سياسية هادفة و يا ليتها كانت طويلة ، أما الجمهور قال مسكين انت يا وطني -----
- Djamel Midouni · Université Mentouri - Constantineوكيف استطاع سلال كسب قلوب جماعة الزردات و الزوايا و الشياتين مثل بلكبير لي جاي في باباه
- Metalguear Ventous10 ألاف كيلومتر ليس بسيارة او في حافلة نقل المسافرين زد على ذلك لم نرى اي جديد سوى زيادة ب 100/100 في بعض الاحيان في كل المنتوجات اين التعاطف و اين الجديد اذا طاف كل الجزائر بدون نتيجة وربما كان ذلك لتسويق منتوج اسمه الترشح للانتخابات على كل حال شبعنا مقروط قاع كيف كيف سلام
- Mohamed Ben · Université de belgaidvous faite un salle boulot ce nest pas de linformation mais c du chiiiiiita vous devez etre neutre laisser nous tranquille et arreter vos conneries
- Mez Ithren · يعمل لدى Etudiant
- Aminovitch Melkatchovik Simetůů · Chomage (hitiste) في Si toi aussi quand ta pas envi de Répéter tu dis "NON RIEN !"الشيتة لا دين لها
- Amir Constantinoi · Constantine, Algeria= كما تكونوا يولى عليكم= لم اجد خير ما ابدا به كلامى من هدا فادا كان سلال سارق او جاهل او منحط او قولو ماسئتم فهد حال كل الجزائرين و اختم - سئل دات مره الامام على كرم الله وجهه لمادا فى عهد ابا بكر وعمر لم تكن فيه فتن فاجاب رضى الله عنه ان ابا بكر و عمر علسهم رضوان الله كانوا يحكمون على امثالى انا و عثمان رضى الله عنه لكننى بليت بامثالكم - والله صدقت يامير المؤمنين - اصلحوا انفسكم يصلح ولات اموركم
- Senouci Senouci · Tsالحمدوا ربي على النعمة الي راكم فيها يا وجوه الشر و الميزيريةرد · · 13 يناير، الساعة 09:50 صباحاً
- Taghalat Acif · Algeri, Alger, Algeriaجالس كبار عفال الجنوب الحبيب ولم بستفد من مجالس وغادر الجنوب وهو لا يفرق حتى بين الشعر والقرآن
- Bensalah Hakim · Bronpourquoi vous avez enlevé le passage ou il traite la chinoise de pomme de terre? vous savez que cette séquence a été relayée en France par Mediapart qui ne s'est pas gêner de traiter le Premier ministre d'impoli.... c'est le moins qu'on puisse dire, quant à votre chaîne d'information ...à vrai dire de désinformation et la chita par excellence est nulle avec un amateurisme digne des chaines d’Afrique
- Hommad Znayna · Université DJILLALI LIABES de Sidi Bel Abbesقصدكم مفهوم ...يا نهار...و...خطكم واضح....عجبرد · · منذ 21 ساعةpar Abdelkrim ZerzouriIl était près de vingt heures, dans la nuit du lundi à mardi, lorsqu'une bande composée d'une trentaine de jeunes, pour la plupart encagoulés, a investi un carrefour au niveau de l'UV N°8 à Ali Mendjeli, non loin du lieu où a été perpétré un crime le dimanche dernier. «Ils arrivent», murmurait la foule de badauds qui se trouvaient encore à l'endroit pour faire des achats auprès de l'unique épicerie encore ouverte, ainsi que quelques tables de vendeurs de produits pyrotechniques. Tout de suite après, un mouvement de panique et de sauve-qui-peut s'empare des gens. Les encagoulés commençaient à lancer des cocktails Molotov sur les passants sans distinction aucune. Un premier cocktail Molotov s'écrase sur la chaussée provoquant un large foyer de feu derrière les pas des derniers fuyards. La place a été désertée en une fraction de seconde. Les automobilistes qui empruntaient cette route ont été conseillés par les personnes en fuite de rebrousser chemin, et ceux en stationnement sur les lieux ont vite fait de mettre le moteur en marche pour aller garer leurs véhicules dans un endroit plus sûr. Plus aucune personne ne circulera cette nuit-là sur cet axe allant vers le quartier «New York» (UV N°8), d'ailleurs la route sera totalement bloquée, pour le reste de la nuit, par les jeunes en furie qui cherchaient à se venger de la mort de leur voisin et ami. C'était le but de l'assaut mené au carrefour indiqué, car c'est là que réside le présumé auteur du meurtre commis le dimanche dernier. Une veillée du Mawlid Ennabaoui Echarif bien particulière à Ali Mendjeli, où la soirée n'a pas connu l'ambiance festive généralement vécue à l'occasion, tant le cocktail Molotov a remplacé, par endroits, les pétards. A l'UV N°14, par contre, le climat baignait dans un calme précaire en cette nuit du Mawlid. Le déploiement des éléments des services de sécurité à l'intérieur du quartier a même permis à quelques enfants, accompagnés de leurs parents, de mettre le nez dehors et jouer quelques instants avec les feux d'artifices et autres pétards.
Dans l'après-midi du lundi, les services de sécurité ont pu neutraliser un dangereux criminel, condamné par contumace à 20 ans de prison ferme, pour sa participation à l'attaque d'un bus et de ses passagers qui ont été délestés de leurs biens au niveau de Oued El Had lors du ramadhan 2012. Mais pour beaucoup d'autres familles, le Mawlid Ennabaoui a été célébré loin de leurs habitations, chez les proches. Selon des témoignages de résidents, tout un bâtiment occupé par les habitants de l'ex-bidonville de Oued El Had a été déserté par les 24 familles qui y résidaient à cause de sa position trop proche des quartiers de Fedj Errih. «Ils n'en pouvaient plus de subir de front les assauts violents des habitants de l'ex-bidonville de Fedj Errih», disaient à ce propos les riverains des lieux. Alors que, ironie du sort, d'autres bénéficiaires de logements LSP situés dans le périmètre de la zone conflictuelle, dont le projet a été réceptionné, refusent catégoriquement de s'y installer. Leur cité, tout comme les alentours immédiats, a subi des dommages considérables.
Conduites de gaz arrachées, réseaux AEP agressés en plusieurs endroits et même la clôture qui entoure les bâtiments a été démolie par des jeunes au comportement funeste. Enfin, les travailleurs de l'hôpital Docteur Bencharif devraient observer un sit-in, aujourd'hui à 10 heures, pour dénoncer le climat d'insécurité et les conditions dangereuses dans lesquelles ils exercent leur travail. «Basta, s'exclamera un infirmier, un médecin a été agressé dimanche, ainsi que d'autres travailleurs qui n'ont dû leur salut qu'à leur fuite des services. Quant aux saccages du matériel, c'est devenu un fait régulier à chaque bagarre où l'on enregistre des blessés. Les conflits violents vécus dans la nouvelle ville atterrissent inéluctablement dans l'enceinte de l'hôpital et ce sont les employés qui sont systématiquement et brutalement pris à partie par les accompagnateurs des victimes».لم تتحصل على مستحقاتها منذ 2011
المقاولة الأجنبية تهدد بتوفيق أشغال ترميم البنايات القديمة> حكيمة.ق15-01-2014هددت الشركة الأجنبية المختلطة المكلفة بترميم 600 بناية قديمة بوسط المدينة بتوقيف الأشغال وغلق الو رشات المفتوحة بعدة نقاط لحين تسوية وضعيتهم المالية العالقة.
تتكون الشركة الأجنبية المختلطة من مهندسين إيطاليين و إسبان إضافة إلى اليد العاملة المحلية بنسبة 70 بالمائة أسندت لها مهمة إعادة الاعتبار لهذه البنايات منذ حوالي ثلاثة سنوات انتهت من ترميم 5عمارات بكل من شارع العربي بن مهيدي و محمد خميستي.
وستلجأ المقاولة إلى رفع السقالات المثبتة على مستوى واجهات العمارات بوسط المدينة و سحب كل الوسائل المخصصة في عملية الترميم ذلك في حال تماطل الجهات الوصية في تسديد مستحقاتهم المتفق عليها في العقد المبرم بين الطرفين خاصة أن الإدارة لم تلتزم بالشروط المحددة في الوثيقة منذ سنة 2011 .
و في ذات السياق كشف مصدر من المؤسسة أنهم لم يستفيدوا لحد الآن من المبالغ المالية المتفق عليها مضيفا أن المقاولة منذ أن باشرت عملية الترميم عملت على تسديد كل نفقات الترميم من ذمتها الخاصة وهو ما جعلها تتخبط في ديون متراكمة قد تصل إلى حد الإفلاس رغم أن الولاية خصصت أكثر من مليار دينار لمشاريع ترميم العمارات القديمة بوسط المدينة و التي انطلقت منذ نهاية سنة الأمر الذي أثار استغراب العمال أمام تماطل الجهات الوصية بعدما كلفهم ذلك أموالا باهظة ناهيك عن المواد الأولية التي تدخل في الترميم ناهيك عن مشكل تسديد رواتب العمال شهريا .
على العلم ان المؤسسة منذ انطلاقها فتحت أكثر من 70 عامل جزائري من بينهم البنائين ،مهندسين معماريين ومدنيين و غيرهم براتب شهري لا يقل عن 35 ألف دينار للعامل البسيط .
هذا و أضاف المصدر أنهم رفعوا هذه الطلبات إلى والي ولاية وهران خلال لقاء جمعهم منتصف شهر ديسمبر الماضي حيث وعدهم باستدراك الوضع و دفع كل مستحقاتهم في الأيام المقبلة إلا أنهم لحد الساعة لم يتحصلوا على أي شيء ولحد الأن ينتظرون الرد.4 جرحى بعد "معركة" بالأسلحة النارية على طريقة الجاهلية في باتنة
Route d'El Menia
Les vendeurs informels réinvestissent les lieux
le 14.01.14 | 10h00 2 réactionsDes dizaines de camionnettes de vente de fruits et légumes ont réinvesti, depuis quelques jours, le bord de la fameuse descente d’El Menia, provoquant des perturbations de la circulation automobile sur ce tronçon connu surtout par les accidents fréquents qui y surviennent.
L’arrêt de plusieurs automobilistes de manière anarchique pour s’approvisionner en fruits et légumes, n’est pas sans causer des embouteillages monstres, notamment au niveau de la cité Boudraâ Salah et du carrefour menant vers Benchergui, Salah Bey et Hamma Bouziane. Des files qui prennent de l’ampleur aux heures de pointe, où le passage par les lieux devient périlleux, au vu du recours par certains conducteurs à des manœuvres dangereuses.
«Malgré les interventions de la gendarmerie pour les chasser des lieux, ces vendeurs profitent de certaines périodes d’accalmie pour revenir, surtout que ce commerce est leur gagne-pain ; mais il faut que les autorités leur trouve une solution, sinon cette situation va durer pour l’éternité», s’insurge un automobiliste qui fait quotidiennement ce trajet entre Constantine et Hamma Bouziane. Pour rappel, ces vendeurs ont été délocalisés de cette partie suite à un arrêté de l’ex-wali de Constantine, mais il s’avère que cette décision n’a pas duré dans le temps. Ces vendeurs ont affirmé qu’ils seraient prêts à quitter ces lieux si que les autorités de la ville leur assurent un endroit où ils peuvent activer en toute légalité.
Ratiba B.
Vos réactions 2Jamal B le 14.01.14 | 19h00
Vous devez êtres contents !C'est l'un des plus grand "injazat" de "fakhamatou errais"!
AnarchieEn plus de l’exiguïté des lieux,les automobilistes sont pénalisés.Les autorités doivent impérativement trouver une solution à ce problème sinon le problème persistera.La ville de Ben Badis ne mérite pas ça surtout qu'elle sera dans une année capitale de la culture arabe.المدينة الجديدة الاعتداءات تتربع على عرش الإجرام بالوحدة الجوارية 14 تعود قضية الوحدة الجوارية 14 بالمدينة الجديدة علي منجلي بقسنطينة إلى 6 أشهر خلت حين بدأ العراك بشجار بين مراهقين لا يتجاوز سنهم 17 سنة لتشتعل المواجهة وتشمل سكان الحيين وادي الحد و فج الريح وهم سكان مرحلون من بيوت الصفيح والأكواخ القصديرية التي كانت تطوق قسنطينة القديمة و أخرجتهم الدولة من أحزمة الفقر وطلقوا حياة الذل و التهميش نحو المدينة الجديدة ووفرت لهم الدولة من خلالها سكنات لائقة تتوفر فيها كل ضروريات الحياة الكريمة. لكن في ظل ثقافة الجهوية البغيضة و العروشية المقيتة التي لم يستطع الشباب المرحلون التخلي عنها ودفنها في حييهم القديم حيث لم يستطيعوا التخلي عن عادتهم القديمة في محاولة منهم لفرض الزعامة بمنطق *البقاء للأقوى* ويستخدم من خلالها طرف الخصام كل الأسلحة المحظورة من عصى وأسلحة بيضاء وسيوف وحتى زجاجات المولوتوف وآخرون كقناصين . ولأسباب واهية ،ففي كل مرة تندلع الشرارة ويتكرر السيناريو والشجارات من اجل سرقة هاتف نقال أو لأسباب بين أطفال صغار أو حظيرة سيارات أو من أجل فتاة أو لأتفه الأسباب قبل أن تتوسع بتهور شباب طائش و تتحول إلى حرب يدفع ثمنها الكبار . إلا أن الواقع يقول أن الأمر يحتاج إلى دراسة حقيقية بعد أن ترسخت الثقافة العدوانية وعدم تقبل الآخر لدى الكثير من السكان لدرجة أن كبار السن أصبحوا يشاركون في ذلك ، متأثرون بالعنصرية و الجهوية التي تعتبر سببا مباشرا في اندلاع المواجهات، و إن انتشار الشجارات الجماعية و الحساسية بين سكان الأحياء يوجب دق ناقوس الخطر وخاصة و أن الأمر بلغ درجة لا تطاق حسب العارفين بخبايا هذه الوحدة الجوارية 14 التي تخلف في كل مرة العديد من الجرحى و المصابين وخسائر بالجملة في الممتلكات الخاصة و العامة . وحسب بعض المواطنين يبقي على الأولياء التحكم في أبنائهم وعدم السماح لهم بالجلوس مع رفقاء السوء والسهر مطولا وكل واحد منهم يتحمل المسؤولية المنوطة به ،ليأتي بعد ذلك دور الأمن الذي يطالب به السكان من أجل فض النزاع و إعادة الأمور إلى نصابها مع مرابطتها بعين المكان ليتبين للمواطن الأمن و الأمان الذي يطالبون به . ع / د
جرحى بعد "معركة" بالأسلحة النارية على طريقة الجاهلية في باتنة
بواسطة 10 ساعات- عدد القراءات الكلي:1103 قراءة
- عدد القراءات اليومي:1023 قراءة
- عدد التعليقات: 0 تعليق
وقع، ليلة الأحد إلى الإثنين، شجار عنيف بين عرشي المرابطين والفلالحة ببلدية الجزار في باتنة، ما خلّف إصابة عدد من المتخاصمين من كِلا الفريقين بجروح متفاوتة قدر عددهم بـ 4 على الأقل من بينهم إصابة وصفت بالخطيرة. ، وحسب مصادر محلية، فإن الحرب اندلعت عند الساعة منتصف الليل عندما اعتدى عناصر من أحد الفريقين على فلاح يدعى «س.د» كان يحرث قطعة أرض ليلا، لأن القطعة الأرضية المعنية المقدرة بـ7 هكتار كانت محل نزاع بين العرشين منذ عقود، ودخلت قضيتها أروقة المحكمة منذ سنة 1993 إلى يومنا هذا، وهو الاعتداء الذي سرعان ما تطور إلى حرب حقيقية استنجد فيها الطرفان بأقاربهما الذين شكلوا فريقين متكونين من حوالي 300 فرد، ثم تموقع كل فريق في طرف وبدأ ما يشبه الهروب العصر الجاهلي باستعمال بنادق الصيد سُمع منها ما لا يقل عن 20 طلقة، ولحسن الحظ لم يصب أي من عناصر الفريقين، الأمر الذي أدخل رعبا وسط المواطنين خاصة مستعملو الطريق الرابط بين المنطقتين لأكثر من 3 ساعات إلى غاية فجر الإثنين. وقد أشارت مصادر محلية إلى أن مصالح الدرك الوطني تدخلت ليلا وساهمت في منع تعفن الأوضاع بالتعاون مع أعيان عرش لحرايز المحايد وعقلاء من العرشين المتناطحين، في مساع صلح لا تزال قائمة، مع عودة الهدوء، على أن تنطلق تحقيقات أمنية بخصوص مصادر طلقات البارود ونزع فتيل الفتنة بشكل نهائي.
In sécurité à Ali Mendjeli
Violents affrontements entre des jeunes
le 14.01.14 | 10h00
1 réaction
Après les émeutes répétées, et qui durent depuis des mois à l’UV14, c’est au tour des habitants de l’UV8 de vivre dans un climat de peur et d’insécurité.
Suite aux affrontements sanglants ayant opposé, avant-hier, deux clans
rivaux à la nouvelle ville Ali Mendjeli, à l’unité de voisinage UV 8, et
durant lesquels un jeune homme de 28 ans a été tué à coups de couteau
par deux frères, la sûreté nationale de wilaya a procédé à
l’installation d’un poste de commandement dirigé par l’adjoint-chef de
la sûreté nationale de la wilaya. C’est une mobilisation qui inclut
l’ensemble des services de police dans l’objectif d’atténuer une tension
arrivée à son paroxysme. Il faut dire que la situation a encore
dégénéré après que le jeune Khalil a rendu l’âme à l’hôpital de Ali
Mendjeli.
Les amis de la victime se sont rués comme des forcenés sur les urgences de l’hôpital en question, terrorisant le personnel soignant. D’ailleurs, un arrêt de travail a été observé pendant plusieurs heures par les travailleurs de l’établissement sanitaire pour dénoncer l’intolérable insécurité dans laquelle ils exercent.
A présent, c’est la psychose qui règne au sein de la population, déjà traumatisée par plusieurs drames. Ces jeunes, livrés pour la plupart à eux-mêmes, ont trouvé un terreau favorable dans la promiscuité induite par ces unités de voisinage, où la violence est incontrôlable. Aussi, ce nouveau poste de commandement intervient un peu tardivement, sachant que le directeur général de la sûreté nationale, Abdelghani Hamel, avait donné instruction, lors de sa dernière visite à Constantine, de réaliser deux commissariats de police. La ville de Ali Mendjeli est une vraie catastrophe urbanistique ! C’est un fait indéniable.
Psychose dans la ville
Après la mort du jeune KH. S., 28 ans, à l’UV 8, tué, avant-hier, à coups de couteau par deux frères (issus du même voisinage), lors d’une bataille rangée, entre bandes rivales, en l’occurrence les relogés du bidonville dit «New York», et ceux de la vieille ville, les habitants de Ali Mendjeli sont sous le choc.
Et c’est peu de le dire. Selon le chargé de communication au CHU Dr Benbadis, Aziz Kabouche, le jeune Khalil a succombé aux nombreux coups de couteau qu’il a reçus au niveau de tout le corps, particulièrement à la tête. D’où cette psychose qui règne actuellement sur les lieux.
Selon une source hospitalière, les «amis» du défunt ont semé la terreur en s’attaquant à l’hôpital où se trouvait la dépouille mortelle, faisant beaucoup de dégâts matériels et traumatisant le personnel. Notre source a également affirmé que même le siège de la sûreté, qui se trouve à proximité de l’hôpital, a été attaqué par des habitants de l’UV 8, qui «se sont accrochés» avec les éléments de la sûreté. Chose qui a été niée par le chargé de communication auprès de la sûreté de wilaya, Mohamed Zemouli.
Ce dernier nous a dit aussi qu’il n’y a pas eu d’arrestations concernant cette affaire. Néanmoins, une enquête est en cours pour faire la lumière sur cette affaire, et sur ces «guerres de clans» qui deviennent monnaie courante à Ali Mendjeli.
Les amis de la victime se sont rués comme des forcenés sur les urgences de l’hôpital en question, terrorisant le personnel soignant. D’ailleurs, un arrêt de travail a été observé pendant plusieurs heures par les travailleurs de l’établissement sanitaire pour dénoncer l’intolérable insécurité dans laquelle ils exercent.
A présent, c’est la psychose qui règne au sein de la population, déjà traumatisée par plusieurs drames. Ces jeunes, livrés pour la plupart à eux-mêmes, ont trouvé un terreau favorable dans la promiscuité induite par ces unités de voisinage, où la violence est incontrôlable. Aussi, ce nouveau poste de commandement intervient un peu tardivement, sachant que le directeur général de la sûreté nationale, Abdelghani Hamel, avait donné instruction, lors de sa dernière visite à Constantine, de réaliser deux commissariats de police. La ville de Ali Mendjeli est une vraie catastrophe urbanistique ! C’est un fait indéniable.
Psychose dans la ville
Après la mort du jeune KH. S., 28 ans, à l’UV 8, tué, avant-hier, à coups de couteau par deux frères (issus du même voisinage), lors d’une bataille rangée, entre bandes rivales, en l’occurrence les relogés du bidonville dit «New York», et ceux de la vieille ville, les habitants de Ali Mendjeli sont sous le choc.
Et c’est peu de le dire. Selon le chargé de communication au CHU Dr Benbadis, Aziz Kabouche, le jeune Khalil a succombé aux nombreux coups de couteau qu’il a reçus au niveau de tout le corps, particulièrement à la tête. D’où cette psychose qui règne actuellement sur les lieux.
Selon une source hospitalière, les «amis» du défunt ont semé la terreur en s’attaquant à l’hôpital où se trouvait la dépouille mortelle, faisant beaucoup de dégâts matériels et traumatisant le personnel. Notre source a également affirmé que même le siège de la sûreté, qui se trouve à proximité de l’hôpital, a été attaqué par des habitants de l’UV 8, qui «se sont accrochés» avec les éléments de la sûreté. Chose qui a été niée par le chargé de communication auprès de la sûreté de wilaya, Mohamed Zemouli.
Ce dernier nous a dit aussi qu’il n’y a pas eu d’arrestations concernant cette affaire. Néanmoins, une enquête est en cours pour faire la lumière sur cette affaire, et sur ces «guerres de clans» qui deviennent monnaie courante à Ali Mendjeli.
N.Benouar et Yousra Salem
Vos réactions 1
patinga
le 14.01.14 | 21h24
la nouvelle ville Ali Mendjeli
j'ai vu cette cité pendnat mon sejour en Algerie l'été passé.
c'est une cité dortoire. Sale,et ennuieuse. un chantier eternel. si j'y
habitais je me serai suicidé il y longtemps . aucune infrastructure
pour les jeunes ouialou , sahra. l'incarnation du tiers monde . ou sont
les autorités?
الخروب
سكان الحي الخامس بعين الباي يطالبون بالربط بشكبة الهاتف الثابت
يعاني حي 5 بعين الباي و التابعين إقليميا للبلدية الخروب
بقسنطينة من عدم ربطهم بخدمة شبكة الهاتف الثابت وهذا بالرغم من نداءاتهم
العديدة و المتكررة والطلبات الكثيرة إلى المتعامل الوحيد بمديرية إتصالات
الجزائر بقسنطينة دون أن تجد استجابة.
وما تزال لحد كتابة هذه الأسطر تتجاهل طلباتهم التي يجهل لحد الساعة
مآلها رغم أن أليافه لا تبعد عن المنطقة سوى بأمتار حسبما أفاد به للجمهور
رئيس جمعية السيد / هشام درغال.
ويؤكد العديد من السكان على غرار فيصل وعمار و عبد الوهاب أنهم يواجهون
صعوبات جمة في إجراء اتصالاتهم وهم يضطرون عند الحاجة إلى التنقل للأحياء
المجاورة التي تتوفر على مكاتب البريد خدمات الهاتف الثابت وهذا على حساب
جيوبهم وبمعاناة كبيرة .
ليضيف هؤلاء الشباب أن هذا المشكل نغص حياتهم وجعلهم يعيشون في نفق مظلم
وبعيدين عن كل اتصالات و هي حياة ريفية بدائية زادت من معاناتهم ليبقي سبب
استعجالهم بالربط بذات الخدمة التوصل إلى الربط بشبكة الإنترنت التي أصبحت
أكثر من ضرورية في هذا العصر وخاصة بالنسبة للطلاب الذي يتطلب الاتصال و
التواصل على الرغم من أن عزلة الاتصال و التواصل يضمنها الهاتف النقال .
ع / د
لم تتحصل على مستحقاتها منذ 2011
مواطنون غاضبون يعتصمون ببني سنوس وسيدي السنوسي في تلمسان
بواسطة 10 ساعات 5 دقائق
- عدد القراءات الكلي:1053 قراءة
- عدد القراءات اليومي:970 قراءة
- عدد التعليقات: 0 تعليق
شهد، أول أمس، مبنى مقر دائرة بني سنوس جنوب ولاية تلمسان، احتجاجات عارمة حركها جمع غفير من المواطنين تضامنا مع عائلة السيدة التي قتلها زوجها الأسبوع الفارط ذبحا داخل مسكنها العائلي بمنطقة الرياط وعلى مرأى من ابنيها اللذين تم نقلهما للعيش في أحضان عائلة جديهما ببني سنوس، وهو ما ولد نار الفتنة بين عائلة الجاني والضحية .أفاد أحد أقارب الزوجة المغدورة في اتصال هاتفي بـ «النهار» أن أقارب الجاني أصبحوا يترددون باستمرار عليهم مطالبين باسترجاع الطفلين والتهديد بعواقب وخيمة في حالة ما إذا لم يستلموا الطفلين، حيث طالب المحتجون بضرورة تدخل الجهات الأمنية المختصة قصد وضع حد لهذه الاستفزازات التي تهدد أمن واستقرار العائلة التي تعيش على وقع الصدمة مطالبين بالقصاص من الجاني الذي لم يكن حسبهم يعاني من أية اضطرابات نفسية حسبما ورد في التقارير الطبية التي اطلعوا عليها متسائلين عن طبيعة الأسباب الحقيقية التي دفعت الزوج إلى التخلص من ابنتهم بطريقة وحشية ودون رحمة وهي على وشك وضع مولود جديد، علما أن القاتل تم توقيفه مساء ارتكاب الحادثة من طرف قوات الشرطة التي تفاوضت معه قبل تسليم نفسه ليحال على مصالح الدرك التي فتحت معه تحريات واسعة في ملابسات الجريمة، وبعد الاستماع بشكل مطول لتصريحاته تم تقديمه أمام المحكمة الأحد الماضي وسط تعزيزات أمنية مشددة تفاديا لانزلاقات بين عائلة الجاني والضحية زوجته الحامل، وقد هدد أهل الأخيرة بالخروج في مسيرة سلمية بمدينة تلمسان إن لم يستجب لمطالبهم التي رفعوها للجهات الوصية بمقر دائرة بني سنوس، خوفا على المصير الغامض للطفلين اليتيمين، وكذا مصير باقي أفراد العائلة في ظل استفزازات وتهديدات أقارب الجاني. من ناحية أخرى عرفت الملحقة البلدية بقرية سيدي السنوسي التابعة لدائرة بن سكران احتجاجات شعبية اعتصم فيها أزيد من 50 مواطنا قبالة الملحقة، وطالبوا بالإفراج العاجل عن قائمة المستفيدين من 100 مسكن اجتماعي، وكذا التهيئة العمرانية وما يتناسب معها من وضع الطرقات المهترئة وشبكة المياه الشروب والصرف الصحي والإنارة وغيرها من المطالب الضرورية للعيش الكريم.
In sécurité à Ali Mendjeli
Violents affrontements entre des jeunes
le 14.01.14 | 10h00
1 réaction
Après les émeutes répétées, et qui durent depuis des mois à l’UV14, c’est au tour des habitants de l’UV8 de vivre dans un climat de peur et d’insécurité.
Suite aux affrontements sanglants ayant opposé, avant-hier, deux clans
rivaux à la nouvelle ville Ali Mendjeli, à l’unité de voisinage UV 8, et
durant lesquels un jeune homme de 28 ans a été tué à coups de couteau
par deux frères, la sûreté nationale de wilaya a procédé à
l’installation d’un poste de commandement dirigé par l’adjoint-chef de
la sûreté nationale de la wilaya. C’est une mobilisation qui inclut
l’ensemble des services de police dans l’objectif d’atténuer une tension
arrivée à son paroxysme. Il faut dire que la situation a encore
dégénéré après que le jeune Khalil a rendu l’âme à l’hôpital de Ali
Mendjeli.
Les amis de la victime se sont rués comme des forcenés sur les urgences de l’hôpital en question, terrorisant le personnel soignant. D’ailleurs, un arrêt de travail a été observé pendant plusieurs heures par les travailleurs de l’établissement sanitaire pour dénoncer l’intolérable insécurité dans laquelle ils exercent.
A présent, c’est la psychose qui règne au sein de la population, déjà traumatisée par plusieurs drames. Ces jeunes, livrés pour la plupart à eux-mêmes, ont trouvé un terreau favorable dans la promiscuité induite par ces unités de voisinage, où la violence est incontrôlable. Aussi, ce nouveau poste de commandement intervient un peu tardivement, sachant que le directeur général de la sûreté nationale, Abdelghani Hamel, avait donné instruction, lors de sa dernière visite à Constantine, de réaliser deux commissariats de police. La ville de Ali Mendjeli est une vraie catastrophe urbanistique ! C’est un fait indéniable.
Psychose dans la ville
Après la mort du jeune KH. S., 28 ans, à l’UV 8, tué, avant-hier, à coups de couteau par deux frères (issus du même voisinage), lors d’une bataille rangée, entre bandes rivales, en l’occurrence les relogés du bidonville dit «New York», et ceux de la vieille ville, les habitants de Ali Mendjeli sont sous le choc.
Et c’est peu de le dire. Selon le chargé de communication au CHU Dr Benbadis, Aziz Kabouche, le jeune Khalil a succombé aux nombreux coups de couteau qu’il a reçus au niveau de tout le corps, particulièrement à la tête. D’où cette psychose qui règne actuellement sur les lieux.
Selon une source hospitalière, les «amis» du défunt ont semé la terreur en s’attaquant à l’hôpital où se trouvait la dépouille mortelle, faisant beaucoup de dégâts matériels et traumatisant le personnel. Notre source a également affirmé que même le siège de la sûreté, qui se trouve à proximité de l’hôpital, a été attaqué par des habitants de l’UV 8, qui «se sont accrochés» avec les éléments de la sûreté. Chose qui a été niée par le chargé de communication auprès de la sûreté de wilaya, Mohamed Zemouli.
Ce dernier nous a dit aussi qu’il n’y a pas eu d’arrestations concernant cette affaire. Néanmoins, une enquête est en cours pour faire la lumière sur cette affaire, et sur ces «guerres de clans» qui deviennent monnaie courante à Ali Mendjeli.
Les amis de la victime se sont rués comme des forcenés sur les urgences de l’hôpital en question, terrorisant le personnel soignant. D’ailleurs, un arrêt de travail a été observé pendant plusieurs heures par les travailleurs de l’établissement sanitaire pour dénoncer l’intolérable insécurité dans laquelle ils exercent.
A présent, c’est la psychose qui règne au sein de la population, déjà traumatisée par plusieurs drames. Ces jeunes, livrés pour la plupart à eux-mêmes, ont trouvé un terreau favorable dans la promiscuité induite par ces unités de voisinage, où la violence est incontrôlable. Aussi, ce nouveau poste de commandement intervient un peu tardivement, sachant que le directeur général de la sûreté nationale, Abdelghani Hamel, avait donné instruction, lors de sa dernière visite à Constantine, de réaliser deux commissariats de police. La ville de Ali Mendjeli est une vraie catastrophe urbanistique ! C’est un fait indéniable.
Psychose dans la ville
Après la mort du jeune KH. S., 28 ans, à l’UV 8, tué, avant-hier, à coups de couteau par deux frères (issus du même voisinage), lors d’une bataille rangée, entre bandes rivales, en l’occurrence les relogés du bidonville dit «New York», et ceux de la vieille ville, les habitants de Ali Mendjeli sont sous le choc.
Et c’est peu de le dire. Selon le chargé de communication au CHU Dr Benbadis, Aziz Kabouche, le jeune Khalil a succombé aux nombreux coups de couteau qu’il a reçus au niveau de tout le corps, particulièrement à la tête. D’où cette psychose qui règne actuellement sur les lieux.
Selon une source hospitalière, les «amis» du défunt ont semé la terreur en s’attaquant à l’hôpital où se trouvait la dépouille mortelle, faisant beaucoup de dégâts matériels et traumatisant le personnel. Notre source a également affirmé que même le siège de la sûreté, qui se trouve à proximité de l’hôpital, a été attaqué par des habitants de l’UV 8, qui «se sont accrochés» avec les éléments de la sûreté. Chose qui a été niée par le chargé de communication auprès de la sûreté de wilaya, Mohamed Zemouli.
Ce dernier nous a dit aussi qu’il n’y a pas eu d’arrestations concernant cette affaire. Néanmoins, une enquête est en cours pour faire la lumière sur cette affaire, et sur ces «guerres de clans» qui deviennent monnaie courante à Ali Mendjeli.
N.Benouar et Yousra Salem
Vos réactions 1
patinga
le 14.01.14 | 21h24
la nouvelle ville Ali Mendjeli
j'ai vu cette cité pendnat mon sejour en Algerie l'été passé.
c'est une cité dortoire. Sale,et ennuieuse. un chantier eternel. si j'y
habitais je me serai suicidé il y longtemps . aucune infrastructure
pour les jeunes ouialou , sahra. l'incarnation du tiers monde . ou sont
les autorités?
لم تتحصل على مستحقاتها منذ 2011
المقاولة الأجنبية تهدد بتوفيق أشغال ترميم البنايات القديمة
> حكيمة.ق
15-01-2014
هددت
الشركة الأجنبية المختلطة المكلفة بترميم 600 بناية قديمة بوسط المدينة
بتوقيف الأشغال وغلق الو رشات المفتوحة بعدة نقاط لحين تسوية وضعيتهم
المالية العالقة.
تتكون الشركة الأجنبية المختلطة من مهندسين إيطاليين و إسبان إضافة إلى اليد العاملة المحلية بنسبة 70 بالمائة أسندت لها مهمة إعادة الاعتبار لهذه البنايات منذ حوالي ثلاثة سنوات انتهت من ترميم 5عمارات بكل من شارع العربي بن مهيدي و محمد خميستي.
وستلجأ المقاولة إلى رفع السقالات المثبتة على مستوى واجهات العمارات بوسط المدينة و سحب كل الوسائل المخصصة في عملية الترميم ذلك في حال تماطل الجهات الوصية في تسديد مستحقاتهم المتفق عليها في العقد المبرم بين الطرفين خاصة أن الإدارة لم تلتزم بالشروط المحددة في الوثيقة منذ سنة 2011 .
و في ذات السياق كشف مصدر من المؤسسة أنهم لم يستفيدوا لحد الآن من المبالغ المالية المتفق عليها مضيفا أن المقاولة منذ أن باشرت عملية الترميم عملت على تسديد كل نفقات الترميم من ذمتها الخاصة وهو ما جعلها تتخبط في ديون متراكمة قد تصل إلى حد الإفلاس رغم أن الولاية خصصت أكثر من مليار دينار لمشاريع ترميم العمارات القديمة بوسط المدينة و التي انطلقت منذ نهاية سنة الأمر الذي أثار استغراب العمال أمام تماطل الجهات الوصية بعدما كلفهم ذلك أموالا باهظة ناهيك عن المواد الأولية التي تدخل في الترميم ناهيك عن مشكل تسديد رواتب العمال شهريا .
على العلم ان المؤسسة منذ انطلاقها فتحت أكثر من 70 عامل جزائري من بينهم البنائين ،مهندسين معماريين ومدنيين و غيرهم براتب شهري لا يقل عن 35 ألف دينار للعامل البسيط .
هذا و أضاف المصدر أنهم رفعوا هذه الطلبات إلى والي ولاية وهران خلال لقاء جمعهم منتصف شهر ديسمبر الماضي حيث وعدهم باستدراك الوضع و دفع كل مستحقاتهم في الأيام المقبلة إلا أنهم لحد الساعة لم يتحصلوا على أي شيء ولحد الأن ينتظرون الرد.
تتكون الشركة الأجنبية المختلطة من مهندسين إيطاليين و إسبان إضافة إلى اليد العاملة المحلية بنسبة 70 بالمائة أسندت لها مهمة إعادة الاعتبار لهذه البنايات منذ حوالي ثلاثة سنوات انتهت من ترميم 5عمارات بكل من شارع العربي بن مهيدي و محمد خميستي.
وستلجأ المقاولة إلى رفع السقالات المثبتة على مستوى واجهات العمارات بوسط المدينة و سحب كل الوسائل المخصصة في عملية الترميم ذلك في حال تماطل الجهات الوصية في تسديد مستحقاتهم المتفق عليها في العقد المبرم بين الطرفين خاصة أن الإدارة لم تلتزم بالشروط المحددة في الوثيقة منذ سنة 2011 .
و في ذات السياق كشف مصدر من المؤسسة أنهم لم يستفيدوا لحد الآن من المبالغ المالية المتفق عليها مضيفا أن المقاولة منذ أن باشرت عملية الترميم عملت على تسديد كل نفقات الترميم من ذمتها الخاصة وهو ما جعلها تتخبط في ديون متراكمة قد تصل إلى حد الإفلاس رغم أن الولاية خصصت أكثر من مليار دينار لمشاريع ترميم العمارات القديمة بوسط المدينة و التي انطلقت منذ نهاية سنة الأمر الذي أثار استغراب العمال أمام تماطل الجهات الوصية بعدما كلفهم ذلك أموالا باهظة ناهيك عن المواد الأولية التي تدخل في الترميم ناهيك عن مشكل تسديد رواتب العمال شهريا .
على العلم ان المؤسسة منذ انطلاقها فتحت أكثر من 70 عامل جزائري من بينهم البنائين ،مهندسين معماريين ومدنيين و غيرهم براتب شهري لا يقل عن 35 ألف دينار للعامل البسيط .
هذا و أضاف المصدر أنهم رفعوا هذه الطلبات إلى والي ولاية وهران خلال لقاء جمعهم منتصف شهر ديسمبر الماضي حيث وعدهم باستدراك الوضع و دفع كل مستحقاتهم في الأيام المقبلة إلا أنهم لحد الساعة لم يتحصلوا على أي شيء ولحد الأن ينتظرون الرد.
Constantine en bref
le 14.01.14 | 10h00
Réagissez
Une maison et un musée de l’artisanat pour 2015
La manifestation Constantine, capitale de la culture arabe 2015, verra la réalisation, à la Casbah, d’une maison et d’un musée de l’artisanat. Ces deux projets seront concrétisés sur deux terrains disponibles, de 2000 m² chacun, se trouvant respectivement à la rue Tatache Belkacem et Sidi Djeliss, dans la vieille ville. C’est le directeur du tourisme et de l’artisanat, Hacène Lebbad, qui nous a fait part de l’information. Il nous a expliqué que le musée qui coûtera plus de 70 millions de dinars, sera un lieu pour la mise en valeur de l’identité constantinoise qui se distingue par ses métiers et son artisanat, avec la dinanderie, la couture traditionnelle, la tannerie, la boiserie, etc. Le futur musée permettra, selon lui, de rassembler, dans un décor adéquat, le maximum de métiers et d’objets traditionnels qui faisaient autrefois partie du quotidien des citoyens de la ville du Vieux Rocher. Quant à la maison de l’artisanat, dont le coût de réalisation est de 100 millions de dinars, elle abritera des ateliers de production pour les artisans de la ville tout métiers confondus. Selon notre interlocuteur, ces deux projets, auxquels s’ajoutera la réhabilitation prochaine du Chemin des touristes, représentent les trois opérations chapeautées par la direction du tourisme et de l’artisanat, dans le cadre de l’événement de 2015.
«Notre rôle est d’accompagner la manifestation à travers la mise en place de circuits touristiques ayant pour objectif de faire connaître aux visiteurs le patrimoine matériel et immatériel de la ville. Celle-ci n’est pas à présenter, elle jouit d’une histoire des plus belle, d’une géographie et d’une culture, ce qui reste est de varier ses circuits touristiques», a-t-il ajouté. O.-S.Merrouche
Saisie de 67 600 pétards à la cité Boussouf
Selon le chargé de communication de la sûreté de wilaya, Mohamed Zemouli, 6 7600 produits pyrotechniques, en tout genre, ont été saisis tard dans la nuit d’hier, à la cité Boussouf, par les éléments de la police judiciaire de la 7eme sûreté urbaine. Ces produits ont été récupérés dans un véhicule, dont le chauffeur, âgé de 37 ans, a été arrêté. Ce dernier s’apprêtait à sortir de la ville pour écouler sa marchandise.
Notons que plusieurs contrôles sont opérés depuis une semaine pour traquer les vendeurs de ces produits dangereux. Outre tous les drames générés depuis des années durant la période de cette fête sacrée qu’est le Mawlid Ennabaoui, rappelons le dernier en date, où le jeune Khalil (18 ans), de la commune de Didouche Mourad, a vu son bras droit amputé suite à l’éclatement d’un gros pétard dans sa main. N. B.
La manifestation Constantine, capitale de la culture arabe 2015, verra la réalisation, à la Casbah, d’une maison et d’un musée de l’artisanat. Ces deux projets seront concrétisés sur deux terrains disponibles, de 2000 m² chacun, se trouvant respectivement à la rue Tatache Belkacem et Sidi Djeliss, dans la vieille ville. C’est le directeur du tourisme et de l’artisanat, Hacène Lebbad, qui nous a fait part de l’information. Il nous a expliqué que le musée qui coûtera plus de 70 millions de dinars, sera un lieu pour la mise en valeur de l’identité constantinoise qui se distingue par ses métiers et son artisanat, avec la dinanderie, la couture traditionnelle, la tannerie, la boiserie, etc. Le futur musée permettra, selon lui, de rassembler, dans un décor adéquat, le maximum de métiers et d’objets traditionnels qui faisaient autrefois partie du quotidien des citoyens de la ville du Vieux Rocher. Quant à la maison de l’artisanat, dont le coût de réalisation est de 100 millions de dinars, elle abritera des ateliers de production pour les artisans de la ville tout métiers confondus. Selon notre interlocuteur, ces deux projets, auxquels s’ajoutera la réhabilitation prochaine du Chemin des touristes, représentent les trois opérations chapeautées par la direction du tourisme et de l’artisanat, dans le cadre de l’événement de 2015.
«Notre rôle est d’accompagner la manifestation à travers la mise en place de circuits touristiques ayant pour objectif de faire connaître aux visiteurs le patrimoine matériel et immatériel de la ville. Celle-ci n’est pas à présenter, elle jouit d’une histoire des plus belle, d’une géographie et d’une culture, ce qui reste est de varier ses circuits touristiques», a-t-il ajouté. O.-S.Merrouche
Saisie de 67 600 pétards à la cité Boussouf
Selon le chargé de communication de la sûreté de wilaya, Mohamed Zemouli, 6 7600 produits pyrotechniques, en tout genre, ont été saisis tard dans la nuit d’hier, à la cité Boussouf, par les éléments de la police judiciaire de la 7eme sûreté urbaine. Ces produits ont été récupérés dans un véhicule, dont le chauffeur, âgé de 37 ans, a été arrêté. Ce dernier s’apprêtait à sortir de la ville pour écouler sa marchandise.
Notons que plusieurs contrôles sont opérés depuis une semaine pour traquer les vendeurs de ces produits dangereux. Outre tous les drames générés depuis des années durant la période de cette fête sacrée qu’est le Mawlid Ennabaoui, rappelons le dernier en date, où le jeune Khalil (18 ans), de la commune de Didouche Mourad, a vu son bras droit amputé suite à l’éclatement d’un gros pétard dans sa main. N. B.
مواطنون غاضبون يعتصمون ببني سنوس وسيدي السنوسي في تلمسان
بواسطة 10 ساعات 5 دقائق
- عدد القراءات الكلي:1053 قراءة
- عدد القراءات اليومي:970 قراءة
- عدد التعليقات: 0 تعليق
شهد، أول أمس، مبنى مقر دائرة بني سنوس جنوب ولاية تلمسان، احتجاجات عارمة حركها جمع غفير من المواطنين تضامنا مع عائلة السيدة التي قتلها زوجها الأسبوع الفارط ذبحا داخل مسكنها العائلي بمنطقة الرياط وعلى مرأى من ابنيها اللذين تم نقلهما للعيش في أحضان عائلة جديهما ببني سنوس، وهو ما ولد نار الفتنة بين عائلة الجاني والضحية .أفاد أحد أقارب الزوجة المغدورة في اتصال هاتفي بـ «النهار» أن أقارب الجاني أصبحوا يترددون باستمرار عليهم مطالبين باسترجاع الطفلين والتهديد بعواقب وخيمة في حالة ما إذا لم يستلموا الطفلين، حيث طالب المحتجون بضرورة تدخل الجهات الأمنية المختصة قصد وضع حد لهذه الاستفزازات التي تهدد أمن واستقرار العائلة التي تعيش على وقع الصدمة مطالبين بالقصاص من الجاني الذي لم يكن حسبهم يعاني من أية اضطرابات نفسية حسبما ورد في التقارير الطبية التي اطلعوا عليها متسائلين عن طبيعة الأسباب الحقيقية التي دفعت الزوج إلى التخلص من ابنتهم بطريقة وحشية ودون رحمة وهي على وشك وضع مولود جديد، علما أن القاتل تم توقيفه مساء ارتكاب الحادثة من طرف قوات الشرطة التي تفاوضت معه قبل تسليم نفسه ليحال على مصالح الدرك التي فتحت معه تحريات واسعة في ملابسات الجريمة، وبعد الاستماع بشكل مطول لتصريحاته تم تقديمه أمام المحكمة الأحد الماضي وسط تعزيزات أمنية مشددة تفاديا لانزلاقات بين عائلة الجاني والضحية زوجته الحامل، وقد هدد أهل الأخيرة بالخروج في مسيرة سلمية بمدينة تلمسان إن لم يستجب لمطالبهم التي رفعوها للجهات الوصية بمقر دائرة بني سنوس، خوفا على المصير الغامض للطفلين اليتيمين، وكذا مصير باقي أفراد العائلة في ظل استفزازات وتهديدات أقارب الجاني. من ناحية أخرى عرفت الملحقة البلدية بقرية سيدي السنوسي التابعة لدائرة بن سكران احتجاجات شعبية اعتصم فيها أزيد من 50 مواطنا قبالة الملحقة، وطالبوا بالإفراج العاجل عن قائمة المستفيدين من 100 مسكن اجتماعي، وكذا التهيئة العمرانية وما يتناسب معها من وضع الطرقات المهترئة وشبكة المياه الشروب والصرف الصحي والإنارة وغيرها من المطالب الضرورية للعيش الكريم.
لشيخ بوعمران ينفي تهمة التحرش الجنسي داخل المجلـس الإسلامي
بواسطة 10 ساعات 9 دقائق
- عدد القراءات الكلي:1081 قراءة
- عدد القراءات اليومي:999 قراءة
- عدد التعليقات: 0 تعليق
أطلعتنا جريدة «النهار» في عددها الصادر في بتاريخ 5 جمادى الثانية 1434 هـ الموافق ليوم 16 أفريل 2013، بمقال تحت عنوان «المجلس الإسلامي الأعلى يُجمّد نشاطه بسبب قضية تحرّش جنسي»، من دون أن يكلّف صاحب المقال نفسه بأبسط التحرّيات والتحقيقات التي تقتضيها الكفاءة والاحترافية الصحفية وأخلاق المهنة قبل نشر هذه الادّعاءات. بالنسبة لما زعم صاحب المقال عن أن «نشاط المجلس مجمّد»، يبدو أنه لا يتقن معاني الألفاظ التي يستعملها، إذ أن تجميد نشاطات مؤسسة من صلاحيات بعض الأعضاء من المجلس الذين يناورون في الخفاء ويحاولون الإساءة إلى المجلس، مغتنمين فترة مرض رئيس المجلس ونقاهته، تماما مثلما فعلوا في زمن رئيس المجلس السابق رحمه الله، فتجميد نشاط المجلس لم يتم أبدا، وليس واردا بالمرة، فنشاط المجلس متواصل، وهذا يمكن التأكد منه من خلال ما يلي :
المحاضرات الشهرية التي يلقيها بمقر المجلس أساتذة ودكاترة وباحثون من عدة تخصصات لها صلة بمهام المجلس تقام بانتظام ووفق برنامج محدّد لها.
المنشورات في مجلات دورية باللغة العربية وغيرها من كتب تصدر أيضا حسب البرنامج المسطر.
الملتقيات الدولية السنوية التي ينظّمها المجلس منذ تأسيسه إلى اليوم، تجري سنويا في موعدها، وقد تم هذه السنة في شهر مارس بمشاركة كتابة الدولة المكلفة بجاليتنا في الخارج، وكالعادة حظي برعاية رئيس الجمهورية عبد العزيز بوتفليقة، ولقد لقيت هذه الملتقيات صدى داخل الوطن وخارجه وتطبع أشغالها وهي في مكتبات وطنية وأجنبية.
اللقاءات مع الصحافة المسموعة والمرئية والمكتوبة متواصلة إلى يومنا هذا، فآخر تدخل لرئيس المجلس كان مع الإذاعة الوطنية بمناسبة يوم العلم.
المشاركة في معارض ثقافية وطنية وأجنبية مستمرة.
العلاقات مع هيئات وشخصيات وطنية وأجنبية لم تنقطع، فآخر لقاء لرئيس المجلس كان منذ يومين مع وفد رفيع المستوى من دبلوماسيين معتمدين لدى بلادنا.بالنسبة للتهمة الموجهة لأحد موظفي المجلس في عرضه والتي هي بالغة الخطورة في شرع الله كان على صاحب المقال، أن لا ينقل مثل هذه الادّعاءات من دون أن يتأكد من صحتها أو يطلب من مصادره أن يأتوا ببرهانهم.بالنسبة لأعضاء المجلس الذين صرّحوا لصاحب المقال بمقاطعتهم لنشاطات المجلس، فإنهم يمثلون الأقلية، ومقاطعتهم أمر يقع تحت مسؤولياتهم، حيث إنهم لم يقدّموا التبريريات اللاّزمة في هذا الشأن.وفي هذا السياق تجدر الإشارة إلى أن أعضاء المجلس ليسوا مخوّلين قانونا بالتدخل في التسيير الإداري للمجلس الذي هو من اختصاص الرئيس والطاقم الإداري المكون من إطارات سامية، أما كونهم لم يوافقوا على تنظيم ملتقى المجلس الأخير، كما جاء في المقال، فهذا أمر في غاية الغرابة، فالحقيقة أن تحديد تاريخ الملتقى واختيار موضوعه قد تم الاتفاق عليهما بحضورهم قبل سنة، إثر ملتقى السنة الماضية كما يدل على ذلك محضر الاجتماع، وقد اجتمع أعضاء المجلس في دوراتهم العادية التي انعقدت كل ثلاثة أشهر بعد ملتقى مارس 2012، وقد قدّمت عددا من المسائل المدرجة في جدول الأعمال، من بينها إعداد ملتقى مارس 2013، إلا أنهم تعوّدوا على ترك تنظيم الملتقى ومختلف النشاطات المرتبطة به على عاتق الرئيس والطاقم الإداري اللذين يعملان باستمرار، وقد ظهرت مقاطعة هؤلاء لنشاطات المجلس قبل انعقاد الملتقى الأخير بأسابيع، على الرغم من أنهم يتقاضون تعويضات مالية للمشاركة في نشاطات المجلس. ويحتفظ المجلس الأعلى بكامل حقه في المتابعة القضائية.
رئيس المجلس الإسلامي الأعلى
Patrimoine : une nouvelle association tire la sonnette d’alarme
le 14.01.14 | 10h00
Réagissez
|
© D. R.
Le patrimoine de Sidi Bel Abbès est en péril.
L’association «Espoir», qui ambitionne de défendre un patrimoine en péril, est née d’un constat affligeant et sans appel.
L’association «Espoir» pour la sauvegarde du patrimoine architectural
et culturel à Sidi Bel Abbès, «Espace» par abréviation, est née.
L’assemblée générale constitutive de cette association, qui se fixe
comme objectif la réhabilitation et la sauvegarde du riche patrimoine
architectural de la wilaya de Sidi Bel Abbès, s’est tenue jeudi denier
au centre El Niama de Gambetta.
Selon le président de l’association, M. Talha Djelloul, l’idée de se constituer en association pour défendre un patrimoine en péril «est née d’un constat affligeant et sans appel». Celui d’un patrimoine composé d’anciens châteaux, manoirs et autres bâtisses à l’architecture unique qui tombent en ruine sous l’effet conjugué d’une indifférence révoltante et de modifications mutilantes durant de longues décennies.
Les membres de cette nouvelle association ont mis l’accent, dans leurs différentes interventions, sur la nécessité de provoquer un effet de synergie pour sauver ce qui peut l’être du patrimoine du Petit Paris. «Petit Paris outragé ! Petit Paris brisé ! Petit Paris martyrisé ! Mais lePetit Paris sera sauvé», telle est d’ailleurs la devise de l’association «Espoir» dont les initiateurs se sont efforcés, des mois durant, à mobiliser les citoyens de la ville, à travers les réseaux sociaux, à prendre conscience de l’importance d’engager des actions urgentes pour préserver le patrimoine local.
Pour le président d’honneur d’«Espoir», M. Abdedaim Hamid, les objectifs assignés à cette association visent «à attirer, avec une approche nouvelle, l’attention des autorités locales sur l’état de délabrement, parfois irréversible, des bâtiments attestant du passage douloureux d’une colonisation sans nul doute impitoyable».
Il s’agit, explique-t-il dans une déclaration lue devant les membres de l’assemblée, d’«aider à faire bouger les lignes en faveur d’une vision moderne identitaire et, pourquoi pas, universelle de l’aspect architectural et urbanistique de (notre) ville». Et d’ajouter : «Il importe que cette association à but non lucratif puisse être une force de proposition de nature à réhabiliter un patrimoine non négligeable». Selon de nombreux défenseurs du patrimoine local, la convergence des efforts de la part des directions des domaines, de la culture et du tourisme, et en particulier de l’assemblée populaire est primordiale afin de lister les sites à préserver tout en clarifiant leur nature juridique.
À ce propos, le directeur de la culture a révélé, à maintes reprises, que la réhabilitation de certaines bâtisses est peut-être prise en charge financièrement par la tutelle à la seule condition qu’elles soient classées. «Un effort particulier est consentie par le ministère de la Culture pour la préservation du patrimoine, pour peu que celui-ci fasse l’objet d’une procédure administrative concrète», explique-t-il. Plus explicite, il estime que certains sites doivent faire l’objet au préalable d’un arrêté communal de préservation pour engager des études complètes par des bureaux spécialisés. Une démarche que les élus de la ville doivent engager le plus tôt possible afin de sauver, autant que faire se peut, ce qui peut l’être encore.
Selon le président de l’association, M. Talha Djelloul, l’idée de se constituer en association pour défendre un patrimoine en péril «est née d’un constat affligeant et sans appel». Celui d’un patrimoine composé d’anciens châteaux, manoirs et autres bâtisses à l’architecture unique qui tombent en ruine sous l’effet conjugué d’une indifférence révoltante et de modifications mutilantes durant de longues décennies.
Les membres de cette nouvelle association ont mis l’accent, dans leurs différentes interventions, sur la nécessité de provoquer un effet de synergie pour sauver ce qui peut l’être du patrimoine du Petit Paris. «Petit Paris outragé ! Petit Paris brisé ! Petit Paris martyrisé ! Mais lePetit Paris sera sauvé», telle est d’ailleurs la devise de l’association «Espoir» dont les initiateurs se sont efforcés, des mois durant, à mobiliser les citoyens de la ville, à travers les réseaux sociaux, à prendre conscience de l’importance d’engager des actions urgentes pour préserver le patrimoine local.
Pour le président d’honneur d’«Espoir», M. Abdedaim Hamid, les objectifs assignés à cette association visent «à attirer, avec une approche nouvelle, l’attention des autorités locales sur l’état de délabrement, parfois irréversible, des bâtiments attestant du passage douloureux d’une colonisation sans nul doute impitoyable».
Il s’agit, explique-t-il dans une déclaration lue devant les membres de l’assemblée, d’«aider à faire bouger les lignes en faveur d’une vision moderne identitaire et, pourquoi pas, universelle de l’aspect architectural et urbanistique de (notre) ville». Et d’ajouter : «Il importe que cette association à but non lucratif puisse être une force de proposition de nature à réhabiliter un patrimoine non négligeable». Selon de nombreux défenseurs du patrimoine local, la convergence des efforts de la part des directions des domaines, de la culture et du tourisme, et en particulier de l’assemblée populaire est primordiale afin de lister les sites à préserver tout en clarifiant leur nature juridique.
À ce propos, le directeur de la culture a révélé, à maintes reprises, que la réhabilitation de certaines bâtisses est peut-être prise en charge financièrement par la tutelle à la seule condition qu’elles soient classées. «Un effort particulier est consentie par le ministère de la Culture pour la préservation du patrimoine, pour peu que celui-ci fasse l’objet d’une procédure administrative concrète», explique-t-il. Plus explicite, il estime que certains sites doivent faire l’objet au préalable d’un arrêté communal de préservation pour engager des études complètes par des bureaux spécialisés. Une démarche que les élus de la ville doivent engager le plus tôt possible afin de sauver, autant que faire se peut, ce qui peut l’être encore.
Abdelkrim Mammeri
مدير الشباب والرياضة عبد الحميد دعماش: وضع سياسة عمل جادة للنهوض بقطاع الرياضة وتنمية المواهب الشابة
اعتبر مدير الشباب والرياضة بقسنطينة السيد عبد الحميد دعماش ان هذا القطاع هام واستراتيجي لتنمية المجتمع، لذلك فان قسنطينة لها برنامج استثماري كبير يفوق 9 ملايير دينار جزائري كونها من أهم الأقطاب الرياضية لهذا وجب وضع سياسة عمل جادة للنهوض بهذا القطاع بغية تنمية المواهب الشابة الرياضية وكذا توفير الأرضية المناسبة لتدريب الفرق في تحضيراتها للمنافسات. وأشار السيد "دعماش عبد الحميد " خلال نزوله ضيفا على منتدى الإذاعة الذي تطرق إلى موضوع انجازات قطاع الشباب والرياضة بولاية قسنطينة" أشار إلى جملة المشاريع الكبرى التي استفادت منها قسنطينة على غرار المركب الرياضي بقطار العيش الذي تكفلت به مديرية التعمير والبناء ليحول سنة 2011 إلى مديرية الشباب والرياضة والذي يتكون من ملعب لكرة قدم ، 4 قاعات للتدريب، 4 مسابح، مركب لرياضة الفروسية ومركب لرياضة التنس إلى جانب فندق ل200 سرير ...وقد حظيت قسنطينة بهذا المشروع في إطار التكفل بانشغالات الشباب وترقية النشاطات الرياضية بالولاية. إلى جانب القطب الرياضي شعبة الرصاص الذي أعطيت له إشارة الانطلاق في الأشغال من قبل الوزير الأول سلال خلال زيارته الأخيرة لمدينة قسنطينة وهذا في إطار التحضير لاحتضان الجزائر كاس إفريقيا 2019، كما سيكون مهيأ لتكوين المواهب الشابة الصغيرة وأرضية مناسبة لتدريب الفرق القسنطينية في تحضيراتها للمنافسات بدل التوجه للولاية الأخرى. وقد بلغت نسبة الانجاز فيه 20بالمئة ومن المنتظر أن يكون جاهزا في مدة 14 شهرا. كما تعمل مديرية الشباب والرياضة على تهيئة وإعادة الاعتبار للمسابح الموجودة بالولاية على غرار المسبح الاولمبي المحاذي لملعب الشهيد حملاوي الذي سيفتح خلال شهر من اجل التجارب، إضافة غالى تهيئة مسبح سيدي مسيد، ومسبح نصف اولمبي بعلي منجلي الذي وصلت فيه الأشغال إلى نسبة 75 بالمئة. سهام.بلمدينة الجديدة الاعتداءات تتربع على عرش الإجرام بالوحدة الجوارية 14
تعود قضية الوحدة الجوارية 14 بالمدينة الجديدة علي منجلي بقسنطينة إلى 6 أشهر خلت حين بدأ العراك بشجار بين مراهقين لا يتجاوز سنهم 17 سنة لتشتعل المواجهة وتشمل سكان الحيين وادي الحد و فج الريح وهم سكان مرحلون من بيوت الصفيح والأكواخ القصديرية التي كانت تطوق قسنطينة القديمة و أخرجتهم الدولة من أحزمة الفقر وطلقوا حياة الذل و التهميش نحو المدينة الجديدة ووفرت لهم الدولة من خلالها سكنات لائقة تتوفر فيها كل ضروريات الحياة الكريمة. لكن في ظل ثقافة الجهوية البغيضة و العروشية المقيتة التي لم يستطع الشباب المرحلون التخلي عنها ودفنها في حييهم القديم حيث لم يستطيعوا التخلي عن عادتهم القديمة في محاولة منهم لفرض الزعامة بمنطق *البقاء للأقوى* ويستخدم من خلالها طرف الخصام كل الأسلحة المحظورة من عصى وأسلحة بيضاء وسيوف وحتى زجاجات المولوتوف وآخرون كقناصين . ولأسباب واهية ،ففي كل مرة تندلع الشرارة ويتكرر السيناريو والشجارات من اجل سرقة هاتف نقال أو لأسباب بين أطفال صغار أو حظيرة سيارات أو من أجل فتاة أو لأتفه الأسباب قبل أن تتوسع بتهور شباب طائش و تتحول إلى حرب يدفع ثمنها الكبار . إلا أن الواقع يقول أن الأمر يحتاج إلى دراسة حقيقية بعد أن ترسخت الثقافة العدوانية وعدم تقبل الآخر لدى الكثير من السكان لدرجة أن كبار السن أصبحوا يشاركون في ذلك ، متأثرون بالعنصرية و الجهوية التي تعتبر سببا مباشرا في اندلاع المواجهات، و إن انتشار الشجارات الجماعية و الحساسية بين سكان الأحياء يوجب دق ناقوس الخطر وخاصة و أن الأمر بلغ درجة لا تطاق حسب العارفين بخبايا هذه الوحدة الجوارية 14 التي تخلف في كل مرة العديد من الجرحى و المصابين وخسائر بالجملة في الممتلكات الخاصة و العامة . وحسب بعض المواطنين يبقي على الأولياء التحكم في أبنائهم وعدم السماح لهم بالجلوس مع رفقاء السوء والسهر مطولا وكل واحد منهم يتحمل المسؤولية المنوطة به ،ليأتي بعد ذلك دور الأمن الذي يطالب به السكان من أجل فض النزاع و إعادة الأمور إلى نصابها مع مرابطتها بعين المكان ليتبين للمواطن الأمن و الأمان الذي يطالبون به . ع / د
Prolifération des Décharges sauvages
le tourisme saharien perd de son attraction
le 12.01.14 | 10h00
1 réaction
|
© D. R.
La prolifération des décharges sauvages porte un rude coup...
Le phénomène menace de plus en plus la santé publique.
S’il existait un prix de l’insalubrité, il serait sans doute attribué à
la commune de Tamanrasset qui se trouve dans une saleté inqualifiable.
Le phénomène de décharges sauvages, qui poussent comme des champignons à
chaque coin de rue, menace de plus en plus la santé publique,
particulièrement celle des chiffonniers qui côtoient ces endroits pour
glaner ce que l’on peut se mettre sous la dent. Le pire, c’est que même
les écoles et les institutions pédagogiques ne sont pas épargnées par
ce phénomène, à l’exemple de l’Ecole pour enfants handicapés auditifs
(EEHA) de la wilaya.
L’accès secondaire de cet établissement est — le laxisme des autorités locales aidant — devenu un véritable dépotoir à ciel ouvert, eu égard aux monticules d’immondices qui s’y sont amoncelés.
Ce qui n’est pas sans inquiéter les parents des enfants sourds-muets pris en charge dans cet établissement spécialisé.
Les responsables élus ou encore les représentants de la cité, qui ne se montrent que lors de la distribution des couffins de Ramadhan, sont, semble-t-il, aux abonnés absents.
L’endroit fréquenté par les bambins aux besoins spécifiques est enlaidi par des amas de gravats et des tas d’ordures ménagères sans pour autant inquiéter les autorités concernées qui se contentent de nettoyer uniquement les quartiers phare de la ville et les ruelles empruntées par les officiels, à l’exemple de ce qui a été réalisé lors de la visite du Premier ministre dans la wilaya, en novembre 2013. La prolifération des matières fécales et des déchets devant cette l’école jouxtant le tribunal administratif et le projet de réalisation d’une école coranique donnent certainement une idée sur la défaillance quasi-totale des services de l’APC de Tamanrasset, mais aussi de l’incivisme des habitants de cette cité, laquelle est de surcroît difficile d’accès à cause du trou béant creusé, à l’entrée des habitations, par l’entreprise chargée de réhabiliter le réseau d’alimentation de la ville en eau potable.
Le signal est au rouge dans ce quartier qui semble être un cimetière de l’oubli depuis le dernier passage du chef du gouvernement dans la wilaya. Lors d’une conférence de presse consacrée à la présentation des nouveaux projets lancés par la collectivité, le chef de l’exécutif a promis de prendre les choses en main et de rendre à la capitale du tourisme saharienne ses lettres de noblesse. Cependant, le phénomène des ordures qui s’amplifie de plus en plus risque de compromettre cette démarche, notamment en l’absence d’une stratégie efficace de ramassage.
Le chef-lieu communal est par conséquent en passe de s’adjuger le label d’une grande ville poubelle. Bien que le ramassage des déchets ait été confié à l’APC, celle-ci adopte toujours la politique de l’autruche et renvoie la balle au citoyen.
Le wali, qui en a ras-le-bol de ces irresponsabilités devenues un secret de Polichinelle, a, lors de sa visite inopinée effectuée au siège de la mairie, donné de fermes instructions visant à l’amélioration du service public et le cadre de vie des habitants. Il a, à l’occasion, fait part de l’acquisition de 600 fûts et de 300 caissons qui seront mis en place dans les différents quartiers de la ville à l’effet de faciliter le travail des agents d’entretien.
Une cellule d’écoute supervisée par l’inspecteur général de la wilaya et suivie par le directeur de la réglementation et des affaires générales (Drag) a été créée au niveau de la wilaya pour prendre en charge les doléances des citoyens.
Signalons au demeurant que de nouvelles mesures ont été prises récemment par le chef de l’exécutif, Abdelhakim Chater, qui a recommandé de scinder la ville en 13 secteurs devant être gérés en coordination avec les responsables élus et les directeurs de l’exécutif avec pour but de venir à bout du problème des décharges.
L’accès secondaire de cet établissement est — le laxisme des autorités locales aidant — devenu un véritable dépotoir à ciel ouvert, eu égard aux monticules d’immondices qui s’y sont amoncelés.
Ce qui n’est pas sans inquiéter les parents des enfants sourds-muets pris en charge dans cet établissement spécialisé.
Les responsables élus ou encore les représentants de la cité, qui ne se montrent que lors de la distribution des couffins de Ramadhan, sont, semble-t-il, aux abonnés absents.
L’endroit fréquenté par les bambins aux besoins spécifiques est enlaidi par des amas de gravats et des tas d’ordures ménagères sans pour autant inquiéter les autorités concernées qui se contentent de nettoyer uniquement les quartiers phare de la ville et les ruelles empruntées par les officiels, à l’exemple de ce qui a été réalisé lors de la visite du Premier ministre dans la wilaya, en novembre 2013. La prolifération des matières fécales et des déchets devant cette l’école jouxtant le tribunal administratif et le projet de réalisation d’une école coranique donnent certainement une idée sur la défaillance quasi-totale des services de l’APC de Tamanrasset, mais aussi de l’incivisme des habitants de cette cité, laquelle est de surcroît difficile d’accès à cause du trou béant creusé, à l’entrée des habitations, par l’entreprise chargée de réhabiliter le réseau d’alimentation de la ville en eau potable.
Le signal est au rouge dans ce quartier qui semble être un cimetière de l’oubli depuis le dernier passage du chef du gouvernement dans la wilaya. Lors d’une conférence de presse consacrée à la présentation des nouveaux projets lancés par la collectivité, le chef de l’exécutif a promis de prendre les choses en main et de rendre à la capitale du tourisme saharienne ses lettres de noblesse. Cependant, le phénomène des ordures qui s’amplifie de plus en plus risque de compromettre cette démarche, notamment en l’absence d’une stratégie efficace de ramassage.
Le chef-lieu communal est par conséquent en passe de s’adjuger le label d’une grande ville poubelle. Bien que le ramassage des déchets ait été confié à l’APC, celle-ci adopte toujours la politique de l’autruche et renvoie la balle au citoyen.
Le wali, qui en a ras-le-bol de ces irresponsabilités devenues un secret de Polichinelle, a, lors de sa visite inopinée effectuée au siège de la mairie, donné de fermes instructions visant à l’amélioration du service public et le cadre de vie des habitants. Il a, à l’occasion, fait part de l’acquisition de 600 fûts et de 300 caissons qui seront mis en place dans les différents quartiers de la ville à l’effet de faciliter le travail des agents d’entretien.
Une cellule d’écoute supervisée par l’inspecteur général de la wilaya et suivie par le directeur de la réglementation et des affaires générales (Drag) a été créée au niveau de la wilaya pour prendre en charge les doléances des citoyens.
Signalons au demeurant que de nouvelles mesures ont été prises récemment par le chef de l’exécutif, Abdelhakim Chater, qui a recommandé de scinder la ville en 13 secteurs devant être gérés en coordination avec les responsables élus et les directeurs de l’exécutif avec pour but de venir à bout du problème des décharges.
Ravah Ighil
moh62
le 13.01.14 | 19h00
Et vive le tourisme!
Il est beau notre désert? N'est ce pas?
Si vous posez cette question à un touriste européen égaré, je parie qu'il vous répondra oui!! Par politesse !!
Salutations aux naîfs!!
Si vous posez cette question à un touriste européen égaré, je parie qu'il vous répondra oui!! Par politesse !!
Salutations aux naîfs!!
القائمـــون على القطــــاع أكـــدوا أن الأمـــر لن يؤثــــر على البرنامـــج السنــوي للمهرجانـات
مخـــاوف من إعــلان 2014 سنــة بيضـــاء على الثقافـــة بقسنطينـــة
طابي.ن.الهدى
يعيش الفاعلون في الحقل الثقافي القسنطيني، منذ أشهر، حالة من الترقب، مع اقتراب الحدث العربي المقرر سنة 2015 قسنطينة عاصمة الثقافة العربية ، الذي حمل معه متغيرات كثيرة، طرحت تساؤلا ضمنيا عن مصير التظاهرات والمهرجانات الثقافية والفنية السنوية، التي اعتادت المدينة احتضانها. ما خلف بالمقابل مخاوف من احتمال إعلان 2014 سنة بيضاء على الثقافة بقسنطينة، خصوصا في ظل عمليات التهيئة وإعادة الاعتبار الهيكلية، التي تعرفها جل المرافق والبني التحتية الثقافية بالولاية، على غرار المسرح الجهوي، دار الثقافة محمد العيد آل خليفة، وكذا قصر الثقافة مالك حداد. وهو الإشكال، الذي يطرح بقوة، خصوصا فيما يتعلق ببرمجة أيام التظاهرات الدولية الكبرى، على غرار المهرجان الدولي للجاز المقرر في 30 أفريل القادم، تزامنا واليوم العالمي لموسيقى الجاز، فضلا عن المهرجان الدولي للمالوف 28 سبتمبر وكذا مهرجان الإنشاد المقام عادة في الـ 31 أكتوبر من كل سنة. حيث يرى القائمون على هذه الفعاليات ذات الجماهيرية الكبرى، بأن مصيرها بات يشوبه الغموض في ظل انعدام أي اتصال أو التنسيق مسبقا مع الجهات المسؤولة عن الثقافة في الولاية، التي أشاروا إلى أنها باشرت التحضيرات الخاصة بتظاهرة 2015 دون الرجوع إلى رأيهم، في الشق المتعلق بنشاطاتهم الثقافية طبعا، وهو ما دفعهم إلى رفع الانشغال على مستوى الوزارة الوصية من اجل الحيلولة دون تسجيل أي مستجدات غير متوقعة قد تضرب المهرجانات في العمق، كما هو الحال بالنسبة لمهرجان ديما جاز ، الذي أوضح محافظه بوزيد زهير، بان برنامجه قد ضبط على تاريخ 30 افريل، حيث سيعرف مشاركة دولية واسعة وهامة ممثلة في 20 فرقة واسم من أمريكا، إيران، ايطاليا، بلجيكا ودول أخرى. غير أن الأمور لا تزال مبهمة فيما يخص تنظيم وإعلان عروضه، التي جرت العادة أن يحتضنها المسرح الجهوي أو قصر الثقافة، غير أن أشغال التهيئة الجارية على مستوييهما، تشكل نقطة استفهام كبيرة حاليا، خصوصا في ظل تداول حديث عن إمكانية نقل المهرجان إلى بلدية أخرى غير قسنطينة، أو ربما ولاية بديلة، الأمر الذي أكد بأنه غير وارد .من جهته أكد المسؤول الأول عن القطاع بقسنطينة، جمال الدين فوغالي لـ وقت الجزائر ، بان الاستعدادات للحدث العربي المقرر العام القادم، لن تؤثر بأي شكل من الأشكال على برنامج النشاطات الثقافية والمهرجانات الدولية السنوية بالولاية. مفندا أي حديث بخصوص سنة بيضاء على الثقافة، لان قسنطينة ـ كما قال ـ مدينة تتنفس عبق التراث والفن والحضارة، ولن تسجل غيابا ثقافيا هذه السنة كما لم تفعل منذ سنوات ، حيث أوضح في ذات الشأن بان كل حدث قد برمج بحسب مواعيده المعتادة، وبان الحركية الثقافية والفكرية لن تتوقف بسبب أشغال تهيئة المرافق الكبرى، خصوصا وان المدينة تملك 12 تفرعا بلديا وصرحين جامعيين، سيجرى توزيع التظاهرات عليها بالتساوي وبحسب طبيعة كل حدث، على غرار الأسابيع الثقافية، نشاطات المسرح، الحفلات والملتقيات وأسابيع القراءة وغيرها.
وهو نفس الترتيب، الذي سيتخذ بالنسبة للمهرجانات الدولية الكبرى المؤسسة من قبل وزارة الثقافة هذه الأخيرة، التي لن تقبل بإهمالها، وهو ما يجري التنسيق بشأنه حاليا، حيث قد يتطلب الأمر نقل بعضها إلى بلديات غير قسنطينة أو برمجة أخرى على مستوى ولايات مجاورة كحل بديل إن استدعى الأمر ذلك، على أن تعود لتضيء ليالي قسنطينة العام القادم تزامنا مع انطلاق الحدث العربي المنتظر .
القائمـــون على القطــــاع أكـــدوا أن الأمـــر لن يؤثــــر على البرنامـــج السنــوي للمهرجانـات
مخـــاوف من إعــلان 2014 سنــة بيضـــاء على الثقافـــة بقسنطينـــة
طابي.ن.الهدى
يعيش الفاعلون في الحقل الثقافي القسنطيني، منذ أشهر، حالة من الترقب، مع اقتراب الحدث العربي المقرر سنة 2015 قسنطينة عاصمة الثقافة العربية ، الذي حمل معه متغيرات كثيرة، طرحت تساؤلا ضمنيا عن مصير التظاهرات والمهرجانات الثقافية والفنية السنوية، التي اعتادت المدينة احتضانها. ما خلف بالمقابل مخاوف من احتمال إعلان 2014 سنة بيضاء على الثقافة بقسنطينة، خصوصا في ظل عمليات التهيئة وإعادة الاعتبار الهيكلية، التي تعرفها جل المرافق والبني التحتية الثقافية بالولاية، على غرار المسرح الجهوي، دار الثقافة محمد العيد آل خليفة، وكذا قصر الثقافة مالك حداد. وهو الإشكال، الذي يطرح بقوة، خصوصا فيما يتعلق ببرمجة أيام التظاهرات الدولية الكبرى، على غرار المهرجان الدولي للجاز المقرر في 30 أفريل القادم، تزامنا واليوم العالمي لموسيقى الجاز، فضلا عن المهرجان الدولي للمالوف 28 سبتمبر وكذا مهرجان الإنشاد المقام عادة في الـ 31 أكتوبر من كل سنة. حيث يرى القائمون على هذه الفعاليات ذات الجماهيرية الكبرى، بأن مصيرها بات يشوبه الغموض في ظل انعدام أي اتصال أو التنسيق مسبقا مع الجهات المسؤولة عن الثقافة في الولاية، التي أشاروا إلى أنها باشرت التحضيرات الخاصة بتظاهرة 2015 دون الرجوع إلى رأيهم، في الشق المتعلق بنشاطاتهم الثقافية طبعا، وهو ما دفعهم إلى رفع الانشغال على مستوى الوزارة الوصية من اجل الحيلولة دون تسجيل أي مستجدات غير متوقعة قد تضرب المهرجانات في العمق، كما هو الحال بالنسبة لمهرجان ديما جاز ، الذي أوضح محافظه بوزيد زهير، بان برنامجه قد ضبط على تاريخ 30 افريل، حيث سيعرف مشاركة دولية واسعة وهامة ممثلة في 20 فرقة واسم من أمريكا، إيران، ايطاليا، بلجيكا ودول أخرى. غير أن الأمور لا تزال مبهمة فيما يخص تنظيم وإعلان عروضه، التي جرت العادة أن يحتضنها المسرح الجهوي أو قصر الثقافة، غير أن أشغال التهيئة الجارية على مستوييهما، تشكل نقطة استفهام كبيرة حاليا، خصوصا في ظل تداول حديث عن إمكانية نقل المهرجان إلى بلدية أخرى غير قسنطينة، أو ربما ولاية بديلة، الأمر الذي أكد بأنه غير وارد .من جهته أكد المسؤول الأول عن القطاع بقسنطينة، جمال الدين فوغالي لـ وقت الجزائر ، بان الاستعدادات للحدث العربي المقرر العام القادم، لن تؤثر بأي شكل من الأشكال على برنامج النشاطات الثقافية والمهرجانات الدولية السنوية بالولاية. مفندا أي حديث بخصوص سنة بيضاء على الثقافة، لان قسنطينة ـ كما قال ـ مدينة تتنفس عبق التراث والفن والحضارة، ولن تسجل غيابا ثقافيا هذه السنة كما لم تفعل منذ سنوات ، حيث أوضح في ذات الشأن بان كل حدث قد برمج بحسب مواعيده المعتادة، وبان الحركية الثقافية والفكرية لن تتوقف بسبب أشغال تهيئة المرافق الكبرى، خصوصا وان المدينة تملك 12 تفرعا بلديا وصرحين جامعيين، سيجرى توزيع التظاهرات عليها بالتساوي وبحسب طبيعة كل حدث، على غرار الأسابيع الثقافية، نشاطات المسرح، الحفلات والملتقيات وأسابيع القراءة وغيرها.
وهو نفس الترتيب، الذي سيتخذ بالنسبة للمهرجانات الدولية الكبرى المؤسسة من قبل وزارة الثقافة هذه الأخيرة، التي لن تقبل بإهمالها، وهو ما يجري التنسيق بشأنه حاليا، حيث قد يتطلب الأمر نقل بعضها إلى بلديات غير قسنطينة أو برمجة أخرى على مستوى ولايات مجاورة كحل بديل إن استدعى الأمر ذلك، على أن تعود لتضيء ليالي قسنطينة العام القادم تزامنا مع انطلاق الحدث العربي المنتظر .
يرى فيه إهانة للجزائر واستخفافا بإرادة الشعب
الاتحاد من أجل التغيير والرقي يرفض الإشراف الدولي على الانتخابات
طابي.ن.الهدى
أكدت، أمس، رئيسة حزب الاتحاد من أجل التغيير والرقي، زبيدة عسول، خلال إشرافها على تنصيب مكتب الحزب بقسنطينة، مقاطعتها الرسمية للموعد الانتخابي القادم، مشيرة إلى أن حزبها لن يشارك في مسرحية هيكلية وغير واضحة المعالم، حيث طالبت بتحديد العهدات، فضلا عن عدم السماح بفرض رقابة دولية على الانتخابات، لأن في ذلك استخفافا بإرادة الشعب وإهانة مباشرة للجزائر.وأضافت عسول في كلمة ألقتها أمام إطارات حزبها بالولاية، أن الحزب يرفض المشاركة في الرئاسيات، كما رفض المشاركة في التشريعيات، وذلك وقوفا عند مبادئه، لأنه لن يقبل بلعب دور المتفرج على المهازل التي تحصل وفي مقدمتها الخرق الصارخ للدستور من خلال المغالطة السياسية والاستهتار المستمر بإرادة الشعب. هذا الأخير، قالت إن النظام يستمر في لعب دور الوصاية عليه، لأنه يعتبره قاصرا وعاجزا عن الاختيار، لدرجة أصبح معها الخروج للشارع للاحتجاج والمطالبة بأبسط الحقوق اتّهاما مباشرا بالعمالة للخارج ومحاولة زعزعة استقرار البلاد. هذا كما اتّهمت أطرافا في النظام، بافتعال أزمات ارتفاع أسعار المواد الغذائية الأساسية التي أصبحت تسجل مع بداية كل سنة، من أجل توجيه أنظار الشعب وصرف اهتمامه عن الواقع المزري الذي تعيشه البلاد بسبب سوء التسيير، وحصر انشغالاته في السعي من أجل تحصيل لقمة العيش ، مضيفة بأن نفس هذا النظام قد تمادى في ممارساته غير المدروسة نقلاً عنها، خصوصا وأن كل المؤشرات قد أصبحت تشير إلى بلوغ الاقتصاد الوطني مراحل جدّ خطرة، في ظل نقص عائدات النفط؛ في المقابل لاتزال الحكومة تنتهج سياسة شراء السلم الاجتماعي عن طريق توزيع غير مضبوط للأموال .
أما على صعيد واقع الساحة السياسية، التي دخلها الحزب سنة 2012، غداة صدور القانون الجديد للأحزاب، فقد وصفتها المتحدثة بالقاصرة ، خصوصا في ظل عزوف 65 من المائة من الجزائريين عن المشاركة في التشريعيات السابقة التي قالت إنهم قد طلقوا السياسة لانعدام ثقتهم في ممارسيها، مضيفة بالقول إن التحالفات قد قتلت الديمقراطية في الجزائر وإن الأحزاب قد ألغت الحوار الحقيقي، كما ميّعت لعبة السياسة بعدما اختلطت هذه الأخيرة بالمال الوسخ.
عدد القراءات: 432
|
خنشلة |
عدد القراءات: 102
خلفت ظهر أمس مواجهات بين مجموعة من
الأشخاص إصابة 6 منهم بجروح مختلفة على إثر شجار نشب بينهم وبين سائق شاحنة
توزيع الحليب كانت قادمة من إحدى الولايات المجاورة، أين توقف صاحبها عند
مدخل مدينة خنشلة ،قصد توزيع مجموعة من صناديق حليب الأكياس على أحد
التجار والذي لوحظ من قبل المواطنين الذين سارعوا إليه من أجل الظفر بكيس
حليب،غير أن صاحب الشاحنة رفض ذلك مما أدخله معهم في شجار تحول إلى مواجهة
بين عدة أشخاص استعملت فيها عدة أدوات حديدية.
وقد تمكن سائق الشاحنة من الفرار بعد ذلك بعد أن تأكد وأنه يقوم ببيع
الحليب لأشخاص مضاربين يبيعون الكيس الواحد بأكثر من 75 دج مستغلين في ذلك
أزمة الحليب الحادة التي تعرفها مدينة خنشلة منذ أكثر من أسبوعين أين تحول
كيس الحليب إلى حلم وهاجس كل مواطن يأمل في الظفر بهذه المادة التي اختفت
من المحلات التجارية دون سابق انذار.
ع بوهلاله |
تشييع جنازة الشاب المقتول وسط إجراءات أمنية مشددة |
عدد القراءات: 170
تم أمس تشييع جنازة الشاب ضحية جريمة
القتل بالوحدة الجوارية رقم 8 وسط إجراءات أمنية مشددة وفي أجواء سادها
الهدوء والترقب.
حيث استعدت مصالح الأمن للأمر بالتواجد في محيط منزلي الضحية والفاعل تحسبا
لتجدد مواجهات بين أصدقاء الضحية والفاعل الرئيسي الذي تم توقيفه لحظات
بعد جريمة القتل التي و قعت مساء الأحد الماضي وراح ضحيتها شاب يبلغ من
العمر 28 سنة، وكانت سببا في أحداث شغب كانت الوحدة الجوارية مسرحا لها،
كما تعرض منزل الفاعل إلى محاولة حرق جعلت مصالح الأمن تتخذ استعدادات
لمواجهة أي محاولة لتجدد العنف. ن/ك
|
جرحى بعد "معركة" بالأسلحة النارية على طريقة الجاهلية في باتنة
بواسطة 9 ساعات 43 دقائق
- عدد القراءات الكلي:1103 قراءة
- عدد القراءات اليومي:1023 قراءة
- عدد التعليقات: 0 تعليق
وقع، ليلة الأحد إلى الإثنين، شجار عنيف بين عرشي المرابطين والفلالحة ببلدية الجزار في باتنة، ما خلّف إصابة عدد من المتخاصمين من كِلا الفريقين بجروح متفاوتة قدر عددهم بـ 4 على الأقل من بينهم إصابة وصفت بالخطيرة. ، وحسب مصادر محلية، فإن الحرب اندلعت عند الساعة منتصف الليل عندما اعتدى عناصر من أحد الفريقين على فلاح يدعى «س.د» كان يحرث قطعة أرض ليلا، لأن القطعة الأرضية المعنية المقدرة بـ7 هكتار كانت محل نزاع بين العرشين منذ عقود، ودخلت قضيتها أروقة المحكمة منذ سنة 1993 إلى يومنا هذا، وهو الاعتداء الذي سرعان ما تطور إلى حرب حقيقية استنجد فيها الطرفان بأقاربهما الذين شكلوا فريقين متكونين من حوالي 300 فرد، ثم تموقع كل فريق في طرف وبدأ ما يشبه الهروب العصر الجاهلي باستعمال بنادق الصيد سُمع منها ما لا يقل عن 20 طلقة، ولحسن الحظ لم يصب أي من عناصر الفريقين، الأمر الذي أدخل رعبا وسط المواطنين خاصة مستعملو الطريق الرابط بين المنطقتين لأكثر من 3 ساعات إلى غاية فجر الإثنين. وقد أشارت مصادر محلية إلى أن مصالح الدرك الوطني تدخلت ليلا وساهمت في منع تعفن الأوضاع بالتعاون مع أعيان عرش لحرايز المحايد وعقلاء من العرشين المتناطحين، في مساع صلح لا تزال قائمة، مع عودة الهدوء، على أن تنطلق تحقيقات أمنية بخصوص مصادر طلقات البارود ونزع فتيل الفتنة بشكل نهائي.
عائلة المرحوم بن جديد ترد على العقيد الطاهر الزبيري
الشاذلي هو من عفا عنك وأعاد لك بيتك وحقوقك المادية يا زبيري
خليفة بن جديد
2014/01/14
(آخر تحديث: 2014/01/14 على 21:44)
عملا بحق
الرد المكفول قانونا عما صدر في جريدتكم في الصفحة 15/1 في عددها الصادر
بتاريخ 06 جانفي 2014 وفي توضيح للأباطيل التي أوردتها جريدتكم الموقرة على
لسان العقيد الطاهر زبيري في حديثه عن الرئيس الراحل الشاذلي بن جديد
فإننا نتقدم نحن عائلته ممثلة في شقيقيه بهذه التوضيحات:
فنود
أن نطلع المواطن الجزائري من خلال يوميتكم المحترمة على بعض الحقائق التي
نريد ذكرها على لسان المرحوم. وذلك بما كانت له من خصال، لعل أهمها حكمة
الصمت..
أولا/ فإن الطاهر زبيري
لا شك أنه أول من ينبغي له أن يعترف حينما نزل بمطار الجزائر العاصمة
(هواري بومدين) وكان يدرك أنه مطلوب من طرف القضاء الجزائري، وكان محل بحث،
والدليل على ذلك بطاقة التوقيف الصادرة في حقه ولا زالت تشهد على ذلك
(أرشيف) فقد تم توقيفه من طرف مصالح الأمن بمطار الجزائر العاصمة، وهو
يتذكر جيدا هذا الموقف، ففور وصول الخبر إلى المرحوم الرئيس الشاذلي من طرف
المرحوم الهادي لخذيري آنذاك المدير العام للأمن الوطني، أمر الرئيس
المرحوم بالسماح له بالدخول، والالتحاق بعائلته. وذلك لأن الرئيس كان قد
اتخذ قرارا بالعفو الشامل في حق كل المعارضين السياسيين، وهو ما تم تنفيذه
لاحقاً..
ثانيا/ هل نسي الطاهر
زبيري أم لا يزال يتذكر أن الرئيس الراحل قد سهر على تسوية وضعيته الإدارية
والمالية، شأن جميع الملاحقين السياسيين آنذاك؟
ثالثا/ هل نسي أن البيت
الذي طُرِدَت منه عائلتك أعيد لكم بفضل القرار الذي أمر به المرحوم
الشاذلي بن جديد والجميع يعترف بأن المغفور له بإذن الله كان وفيا مع رفقاء
الكفاح، وخاصة مع أعضاء مجلس الثورة..
رابعا/ تتذكر عائلة
الشاذلي بن جديد وأنا شقيقه خليفة مخاطبا إياكم باسمها أنه في سنة 2011
وكان المرحوم نزيلا بالمستشفى متناسيا كرمه فإثر عملية جراحية أجراها
المرحوم بترديدك عبارة: "الشاذلي مع الواقف" لكن المرحوم كان رده: "حسبي
الله ونعم الوكيل". وأضاف قائلاً: "إذا خاطبك السفيه فلا تجبه، إن أجبته
نفست عنه، وإن سكتّ كمدا يموت". هذا هو ما كان من موقفه مع جميع السفهاء
وناكري الجميل..
خامسا/ اسمح لنا يا سيد
الطاهر أن نسألك ونتحداك أن تجيب لماذا لم ترد على ما صدر من الرائد
المتقاعد (مازال على قيد الحياة) والذي كذب جميع تصريحاتك عن أحداث محاولة
الانقلاب الفاشلة ضد الرئيس المرحوم هواري بومدين، والذي أوضح الموقف
المسؤول للرئيس الشاذلي.
وأخيرا/ من خلال
تصريحاتك يتضح للقارئ أنك تندم عما خسرته من أمور مادية، وهل الرجل المتشبع
بمبادئ يقدم على تحقيقها أن ينقلب على نفسه، وأنت الذي كنت تحلم أن تجعل
من الجيش الوطني الشعبي جيشا متخصصا في الانقلابات حتى لا تعرف البلاد
الاستقرار..
لا نسمح لأنفسنا أن نتهجم عليك وذلك تقديرا لصفتكم عضو مجلس
الثورة، واحتراما لأفراد عائلتكم.. ولن تتهجم عليك يوما ما عائلة الشاذلي
بن جديد رحمه الله لا وأنت حي ولا بعد موتك لأننا تربينا على ذكر محاسن
موتانا وليس الخدش فيهم بعد موتهم مثلما فعلت أنت اليوم..
لقد صدق المتنبي عندما قال:
إذا أتتك مذمتي من ناقص - فهي الشهادة لي بأني كامل
وأخيراً أقول لك:
إذا أنت أكرمت الكريم ملكته - وإن أنت أكرمت اللئيم تمرد وهذا حالك، ونصيحتنا لك: "كفى بالموت واعظاً" فاتعظ ولا نظنك من المتعظين.
ملاحظة: تحتفظ عائلة
المرحوم الشاذلي بن جديد بحق المتابعة القضائية كما تطلب من الجريدة نشر
التوضيح بمثل ما يكفله القانون دون تحريف أو تغيير وجريدتكم أكبر من أن
نعلمها أخلاقيات المهنة التي تمارسونها وأعانكم الله في مهامكم.
رحم الله جميع شهداء الجزائر
خليفة بن جديد
شقيق المرحوم الرئيس الشاذلي بن جديد
الشادلي بن جدبد اغطم واحسن
وانبل ااشهر شخصييةلفي الجزائر الاستقلاال هو وصهره السيد مهري وجهما
دليل على داللك
1 - شريم ـ (SKIKDA)
2014/01/14
2014/01/14
رحم الله الرئيس الراحل
الشذلي بن جديد اب الديمقراطية في الجزائر و الذي حاول ان يتبرئ من النظام
الذي ورثه من الدكتاتوريين كبن بلة و بومدين الذين هم المسؤولين على
الكارثة التي تعرفها بلادنا منذ 1962
2 - كريم ـ (فرنسا)
2014/01/14
2014/01/14
حتى انا استغربت، كيف لرجل في
هذا السن، يصف انسان فارق الحياة بالصفر، يا اخي اذكرو محاسن موتاكم.
السياسة اخلاق وليست عنف، حتى تكتسب المحبة والتقدير يجب ان تكون مهدب في
اقوالك، ولا يليق انسان في سنك وفي مرتبتك الثورية ان يتفوه بكلام ينقص من
قيمتك.
3 - Moi
2014/01/14
2014/01/14
للرقم واحد أقول أنتم شعب
يعاني فقدان حنان ويتشبث بأي شخصية مهما كان نوعها وإدا كانت قوية وأطلقت
خطب رنانة و أظهرت نوع من الغلظة و زينتها لكم وسائل الإعلام فأحاطتها
بهالة من القداسة و التبجيل فقد تصبح مقدسة ؛هكذا عمل بومدين و رواسب
الشيوعية التي تعمل على عبادة الشخصية لا زالت فيكم ،على العموم كلهم لم
يقدموا شئ ينفع ؛بل دمروا بلد لا يمكن تدميره و قيدوا أيادي شعب عبقري و
كمموا أفواهه و لو أطلقوا له العنان لعمل المعجزات
4 - مراد
2014/01/14
2014/01/14
رحم الله الرئيس السابق
الشاذلي بن جديد فهو من انبل واحسن كل الرؤساء العرب وهذا بشهادة العلماء
الاجلاء من امثال المرحوم الغزالي وكل الشعب الجزائري فهو اب الديمقراطية
اما المدعوا الطاهر الزبيري فهو لم يكن سوي ميكانيكي سابق حسب شهادة انيسة
زوجة المرحوم بومدين
5 - Abbes281
2014/01/14
2014/01/14
صراحة نحمد الله أن سي الطاهر
لم ينجح في الإنقلاب وإلا فإنها كانت ستكون الكارثة مع احترامنا الكبير له
كشخضية ثورية أدت ماعليها في المعركة،لكن الحرب شيئ والسياسة شيئ آخر .
6 - FAKHREDDINE ـ (oran)
2014/01/14
2014/01/14
يا سي abbes281 اذا كنت لا
تعرف من هو الطاهر زبيري فهذا شانك اما ان تنقل شهادة انيسة زوجة بومدين
فهذه طامة كبرى
لان الحاج الطاهر الزبيري هو ايقونة الثورة ورفيق درب مصطفى بن بولعيد واحد مفجري الثورة يوم كان زوجها يتسكع في الزقازيق في القاهرة
وهل الميكانيكي انسان ناقص وهل حازت هي و زوجها بومدين على جائزة نوبل
لان الحاج الطاهر الزبيري هو ايقونة الثورة ورفيق درب مصطفى بن بولعيد واحد مفجري الثورة يوم كان زوجها يتسكع في الزقازيق في القاهرة
وهل الميكانيكي انسان ناقص وهل حازت هي و زوجها بومدين على جائزة نوبل
8 - yacine ـ (uk)
2014/01/14
2014/01/14
احسن مرحلة عاشها الجزائريون
خصوصا الفقاقير كانت اثناء حكم الشادلي رحمه الله , كانت طفولتي اثناء حكم
الشادلي حينها لم نسمع ان احدا انتحر و لم يكن الشباب يركبون قوارب الموت
هروبا من الواقع المر... ولم نكن نعاني من الغلاء الفاحش كاليوم بل كان
حليب قلوريا السائل الاصلي في متناول الجميع بل حتى القطط كانت تشبع منه
لوفرته بسعر زهيد لا يتجاوز 2 دج, ولم يكن الجزائري يلهث وراء المال كالوحش
الجارح..وكان الجزائريون يحبون بعضهم البعض ويتراحمون عكس مانحن عليه
اليوم من كثرةالحقد و الفقر والفقاقير و....
10 - عمر ـ (algerie)
2014/01/14
2014/01/14
ما جعل الله تعالى من حساب
وعقاب احد الا بامره وقوته رحم الله الفقيد وهدى الزبيري ورزقه حسن الكلام.
11 - djamel1 ـ (franca )
2014/01/14
2014/01/14
من المعيب ان نطعن في من افضى الى ربه ..
من توفاه الله لا يجوز الا الترحم عليه و الدعاء له من هو بعمر زبيري و يطعن بميت احسن اليه و اكرمه فهذا سوء خلق و قله دين ..و الا كيف بمن فات اغلب عمره و لم يبق الا القليل ان و يخشى الله و قد قارب لقاءه !!!
رحم الله الشاذلي لم يكن يوما يحمل ضغينه لاحد ولم يرد احد
من توفاه الله لا يجوز الا الترحم عليه و الدعاء له من هو بعمر زبيري و يطعن بميت احسن اليه و اكرمه فهذا سوء خلق و قله دين ..و الا كيف بمن فات اغلب عمره و لم يبق الا القليل ان و يخشى الله و قد قارب لقاءه !!!
رحم الله الشاذلي لم يكن يوما يحمل ضغينه لاحد ولم يرد احد
12 -
2014/01/14
2014/01/14
اولا ارد علي سي الطاهر و
اقول...مادا ننتضر من الاعمي ان يخيط لنا ثوب غير ان يوخز اصابعه
بالابرة.....نعم الان فقط نحن الشباب فهمنا لماد رئيسنا العضيم بومدين حكم
بالحديد والنار...لقد كان علي حق.لانه كان يعرف حقيقة الرجال الدين كانوا
معه...نعم والدليل يا سي الطاهر هو انت...الدي تتحسر علي ما خسرته من
ماديات..اما ان تتكلم علي سيدك الشدلي و الدي كسب قلوب الملايين من الشعب
بطيبته وحبه لهدا الشعب...وقد حاول من جاء بعده لمحو هدا الحب فلم
يستطع....فاعلم يا سي الطاهر ان التاريخ لا يرحم ولا يزور كما تزوره
14 - djamel ـ (el tarf,,algerie)
2014/01/14
2014/01/14
الشادلي رحمه الله ,, كان
ضعيف الشخصية (ناس ملاح), كل العائلة في السلطة (ابنه ,اخوه ,,) , لقد عكس
كل سياسة بومدين , من التقشف للتبذير ,من الصرامة للتخاذل , ,,
من يحاسب من
26مليار دولار هي بداية انهيار النظام لم يحرك عليها ساكنا ,من خزينة فيها 40مليار
بلخير ,نزار ,العماري,الزبيري,,,
كانت اعلى رتبة عقيد , اصبحت 300جنرال
اما الديموقراطية فقد فرضت عليه اواخر عهدته
انجازاته مقام الشهيد
من يحاسب من
26مليار دولار هي بداية انهيار النظام لم يحرك عليها ساكنا ,من خزينة فيها 40مليار
بلخير ,نزار ,العماري,الزبيري,,,
كانت اعلى رتبة عقيد , اصبحت 300جنرال
اما الديموقراطية فقد فرضت عليه اواخر عهدته
انجازاته مقام الشهيد
15 - fares ـ (o_z)
2014/01/14
2014/01/14
اعتقد ان المرحوم الشادلي هو
أحسن رئيس عيشناه، فشهادة لله ، لقد أعطى أشياء كثيرة للمواطن الجزائري ،
اهم هذه الأشياء حرية نسبية مقارنة مع بومدين ،ولسوء حضه فقد كان محاط
بانتهزءين و بشخصيات عفنو كل إنجازاته ، ورغم كل هذا كان الشادلي رحمه الله
يحب الشعب كثيرا...............ق
16 - Mohamed anes ـ (Alger )
2014/01/14
2014/01/14
رحم الله أب الجزائرين البار
السيد الشاذلي بن جديد، ذلك الحنون الطيب الذي تعلمنا في وقته ودرسنا، إنه
غنسان نبيل طيب حنون بعكس الأشخاص التي تهوى الإنقلابات وسيلان الدم وفي
النهاية تندم على الخسائر المادية.
رحم الله الفقيد سي الشاذلي بن جديد
وكلفك فخر مثلنا أستاذ خليفة بن جديد، ووالله لولا رجالات الدم الذين أجبروه على الاستقالة المشؤومة لما انحدرت الجزائر إلى ما انحدرت إليه، لكنه رحل إلى العالم الآخر شريفا محبوبا من كل الجزائريين
رحم الله الفقيد سي الشاذلي بن جديد
وكلفك فخر مثلنا أستاذ خليفة بن جديد، ووالله لولا رجالات الدم الذين أجبروه على الاستقالة المشؤومة لما انحدرت الجزائر إلى ما انحدرت إليه، لكنه رحل إلى العالم الآخر شريفا محبوبا من كل الجزائريين
17 - بلقاسم ـ (alger)
2014/01/14
2014/01/14
رحم الله الشادلي بن جديد فهو
حنون ولطيف و يعشق الجزائر و الجزائريين لكن اقول للمجاهد الكبير و الكبير
ربنا الطاهر الزبيري لقد اخذت الاف الهكتارات بزريبة الواد ببسكرة وقرض
كبير من البنك من اجل الاصتصلاح لكن بقيت ارض بور حين تم تعيينك كرئيس لجنة
الانتخابات فقلت هذه فرصة لنتعرف على الرجل الذي اراد ان يسحب البساط من
تحت بومدين ليتني لم اسمعك و كان من المفرض ان تتابع قضائيا من طرف
العائلات المدنية الذين لقوا حتفهم اثناء محاولة النقلاب و هم سكان العفرون
و الذين اطلب منهم جمعية ضحايا انقلاب 1967
18 - lazhar ـ (khenHassi R’mel : à qui profite la dérive urbanistique ?
le 13.01.14 | 10h00
Réagissez
|
© D. R.
Même les vieux immeubles sont dénaturés par les...
Classée officiellement zone à risques majeurs, tel qu’édicté par le décret exécutif n° 05-476 du 20 décembre 2005, puis ville sans bidonvilles par les exécutifs qui se sont succédé à la tête de la wilaya de Laghouat, Hassi R’mel, chef-lieu de daïra situé à quelque 130 km au sud de Laghouat, est confronté à l’épineux problème des constructions anarchiques, qui prend des proportions alarmantes sans que les pouvoirs publics lèvent le petit doigt.
Une simple virée dans cette zone industrielle qui dort sur l’un des
plus importants gisements gaziers du monde, constituant le deuxième
poumon économique de l’Algérie à côté de Hassi Messaoud, donne une idée
sur le laxisme des services concernés en général et des élus locaux en
particulier. La cadence vertigineuse du phénomène des constructions
illicites, ajoutée à la reconstitution du bidonville qu’on croyait
éradiqué, jouxtant la cité Haï Ezzouhour de Sonatrach, qui se
bidonvillise à son tour, offrent un visage des plus lamentables de
l’urbanisme anarchique, faisant dire aux visiteurs que l’on est dans un
«territoire de non-droit». En effet, les plans d’occupation du sol sont
souvent bafoués et par conséquent, la localité de Hassi R’mel
enregistre, à elle seule, plusieurs centaines d’infractions au code de
l’urbanisme. L’extension et l’aménagement illicites de logements
prennent des proportions inquiétantes.
Destinées initialement à des aires de jeux et espaces verts, le peu de parcelles de terrains nus n’ont pas été épargnées. Accaparés illégalement par des riverains indélicats, ces terrains continuent de se transformer en extensions illicites ne répondant à aucune norme réglementaire ou environnementale. Des parcelles réservées au passage et à des trottoirs sont carrément squattées.
Ainsi, cette commune qui semble échapper au contrôle de la tutelle, est gravement livrée à la merci de l’anarchie urbanistique. En effet, la majorité des logements ont fait l’objet d’aménagements et d’extensions anarchiques au point que la rue parle de «démission de l’Etat». Une visite dans les entrailles de la ville, nous a confirmé l’ampleur de ce phénomène qui répond à tout sauf aux normes urbanistiques et environnementales. Les citoyens, victimes de cette anarchie, nous ont indiqué qu’«il existe même de véritables chantiers nocturnes dans le tissu urbain et à proximité des installations industrielles, pour ne pas être surpris par les services compétents».
Pis, «ces mêmes chantiers nocturnes sont mis en service pendant le jour au su et au vu de tous», a ajouté un commerçant. A la cité OPGI, il n’y a presque pas de bâtiment qui soit épargné par la prolifération de ces dramatiques extensions illicites, notamment au rez-de-chaussée des immeubles. Toutes sortes de bâtisses, allant des garages et autres locaux commerciaux, aux clôtures en passant par des courettes et autres demeures, y regorgent au vu et au su des pouvoirs publics en principe garant des lois de la République et des associations de protection de l’environnement. Des particuliers ont fini par construire illégalement des «suites» de leurs locaux commerciaux, squattant ainsi la plupart des trottoirs de la localité.
D’autres ont carrément accaparé des espaces libres entre les bâtisses pour ériger des lieux pour des fonctions libérales, terrasses et autres garages de véhicules. Le tout au point de croire qu’on est dans une «localité de non-droit et du tag âala men tag», s’est indigné un sexagénaire. A qui profite le laxisme des pouvoirs publics et des élus locaux pour mettre de l’ordre dans le patrimoine immobilier de cette commune d’une superficie de 3 830 km2 ? Des citoyens considèrent que des clans dans le sérail retardent l’élimination de ce point noir de la région, car celui-ci constitue un véritable vivier électoral totalisant quelque 5000 électeurs relevant du même ârch (tribu).
Destinées initialement à des aires de jeux et espaces verts, le peu de parcelles de terrains nus n’ont pas été épargnées. Accaparés illégalement par des riverains indélicats, ces terrains continuent de se transformer en extensions illicites ne répondant à aucune norme réglementaire ou environnementale. Des parcelles réservées au passage et à des trottoirs sont carrément squattées.
Ainsi, cette commune qui semble échapper au contrôle de la tutelle, est gravement livrée à la merci de l’anarchie urbanistique. En effet, la majorité des logements ont fait l’objet d’aménagements et d’extensions anarchiques au point que la rue parle de «démission de l’Etat». Une visite dans les entrailles de la ville, nous a confirmé l’ampleur de ce phénomène qui répond à tout sauf aux normes urbanistiques et environnementales. Les citoyens, victimes de cette anarchie, nous ont indiqué qu’«il existe même de véritables chantiers nocturnes dans le tissu urbain et à proximité des installations industrielles, pour ne pas être surpris par les services compétents».
Pis, «ces mêmes chantiers nocturnes sont mis en service pendant le jour au su et au vu de tous», a ajouté un commerçant. A la cité OPGI, il n’y a presque pas de bâtiment qui soit épargné par la prolifération de ces dramatiques extensions illicites, notamment au rez-de-chaussée des immeubles. Toutes sortes de bâtisses, allant des garages et autres locaux commerciaux, aux clôtures en passant par des courettes et autres demeures, y regorgent au vu et au su des pouvoirs publics en principe garant des lois de la République et des associations de protection de l’environnement. Des particuliers ont fini par construire illégalement des «suites» de leurs locaux commerciaux, squattant ainsi la plupart des trottoirs de la localité.
D’autres ont carrément accaparé des espaces libres entre les bâtisses pour ériger des lieux pour des fonctions libérales, terrasses et autres garages de véhicules. Le tout au point de croire qu’on est dans une «localité de non-droit et du tag âala men tag», s’est indigné un sexagénaire. A qui profite le laxisme des pouvoirs publics et des élus locaux pour mettre de l’ordre dans le patrimoine immobilier de cette commune d’une superficie de 3 830 km2 ? Des citoyens considèrent que des clans dans le sérail retardent l’élimination de ce point noir de la région, car celui-ci constitue un véritable vivier électoral totalisant quelque 5000 électeurs relevant du même ârch (tribu).
Arezki B.
مسؤول بالمديرية العامة للأمن الوطني يؤكد أن القانون سيطال معتدين
الاعتداء على طاقم صحفي لـ "الشروق تي في" في حيدرة
ياسين. ب
2014/01/11
(آخر تحديث: 2014/01/12 على 11:25)
تعرض، مساء
أول أمس الجمعة، طاقم صحفي لـ "الشروق تي في"، لاعتداء من شخص تهجم على
الصحفيين وزميل سائق مع ذات الإعلاميين، أثناء تأدية مهامهم بالقرب من مطعم
"وود بيكر" بأعالي العاصمة بحيدرة، أين تسبب المعتدي في إحداث جروح على
مستوى الفم للزميل السائق "ب. توفيق"، وتهديد الصحفيين بأسلحة بيضاء تمثلت
في كراسٍ حديدية، بعد استنجادهم بدورية للشرطة كانت بعين المكان.
وقام
المعتدي بسب الذات الإلهية، وتهديد الصحفيين بعد رفعهم الأمر إلى الشرطة
قائلا: "لن تصنعوا لي شيئا مع الدولة"، مبديا قوته من والده الذي يشاع عنه
أنه ضابط سام متقاعد في الجيش، حيث تطلب إيداع الشكوى ضد المعتدي، على
مستوى مركز الأمن بسيدي يحيى "برادو" المكوث داخل مركز الشرطة لأكثر من 4
ساعات.
وتجدر الإشارة إلى أن هذه الحادثة ليست الأولى التي تحدث
للصحفيين وزملائهم العاملين معهم في المؤسسات الإعلامية، حيث أصبحت المافيا
السياسية ورجال الأعمال والنافذون يملون قوانينهم في تصفية حساباتهم مع
السلطة الرابعة بالقوة والتهديد وإراقة الدماء في غياب سلطة القانون.
بدوره، مسؤول من المديرية العامة للأمن الوطني، قال، في اتصال
بـ "الشروق"، إن القانون سيأخذ مجراه، وإن كل معتد سيطاله القانون.. ولا
يمكن لأي أحد أن يؤثر في عمل الشرطة، مهما كانت وضعية المعتدي في المجتمع.
غشير ينسحب ويكرم “الخبر”
الأربعاء 15 جانفي 2014 elkhabar
كرمت الرابطة الجزائرية لحقوق الإنسان، جريدة “الخبر” ممثلة في مديرها العام مسؤول النشر، شريف رزقي، ومديرها السابق، علي جري، وصحفي القسم السياسي، محمد شراق، نظير دورهم في دعم مسيرة الرابطة وتعزيز رسالتها في النهوض بحقوق الإنسان والدفاع عنها بالجزائر، كما قال رئيس الرابطة، بوجمعة غشير، الذي قبل أن يعلن انسحابه من رئاستها، قرر تكريم الوجوه الاعلامية التي رافقته في مسيرته.
-
الأربعاء 15 جانفي 2014 elkhabar
كرمت الرابطة الجزائرية لحقوق الإنسان، جريدة “الخبر” ممثلة في مديرها العام مسؤول النشر، شريف رزقي، ومديرها السابق، علي جري، وصحفي القسم السياسي، محمد شراق، نظير دورهم في دعم مسيرة الرابطة وتعزيز رسالتها في النهوض بحقوق الإنسان والدفاع عنها بالجزائر، كما قال رئيس الرابطة، بوجمعة غشير، الذي قبل أن يعلن انسحابه من رئاستها، قرر تكريم الوجوه الاعلامية التي رافقته في مسيرته.
-
زيارة عائلية مفاجئة
الأربعاء 15 جانفي 2014 elkhabar
قام الوزير الأول عبد المالك سلال، بزيارة مفاجئة لحديقة التسلية والحيوانات لبن عكنون بالعاصمة رفقة عائلته، حيث لم يكن يعلم بهذه الزيارة إلا حرسه الشخصي.
وقد أحدثت هذه الزيارة حالة طوارئ في الحديقة، حيث حاول الجميع تغطية “الشمس بالغربال”، لكن يبدو أن الوزير الأول فهم الرسالة، إلى درجة أنه تفقد كل المرافق التي أكل عليها الدهر وشرب، وحتى الفنادق المضاهية للحديقة كانت محل زيارة.
-
الأربعاء 15 جانفي 2014 elkhabar
قام الوزير الأول عبد المالك سلال، بزيارة مفاجئة لحديقة التسلية والحيوانات لبن عكنون بالعاصمة رفقة عائلته، حيث لم يكن يعلم بهذه الزيارة إلا حرسه الشخصي.
وقد أحدثت هذه الزيارة حالة طوارئ في الحديقة، حيث حاول الجميع تغطية “الشمس بالغربال”، لكن يبدو أن الوزير الأول فهم الرسالة، إلى درجة أنه تفقد كل المرافق التي أكل عليها الدهر وشرب، وحتى الفنادق المضاهية للحديقة كانت محل زيارة.
-
بن سعيد يؤكد أنه سيواصل على درب سابقه وغشير يكشف
واجهت ضغوطا كبيرة وبارة حاول الاستحواذ على الرابطة
الأربعاء 15 جانفي 2014 الجزائر: محمد شراق
قال الرئيس الجديد للرابطة الجزائرية لحقوق الإنسان، مختار بن سعيد، إن خط الرابطة لن يتغير على ما تركه رئيسها السابق بوجمعة غشير التي قادها طيلة 19 سنة كاملة، وأوضح أنه سيعمل على إرساء تنسيقا بين المنظمات الجزائرية والدولية لحقوق الإنسان.
أوضح بن سعيد لـ”الخبر”، أمس، أن أولوية عمله على رأس الرابطة بعدما انتخب رئيسا لها بموجب الجمعية العامة التي انعقدت في ولاية سطيف، تكمن في ”توسيع تواجد المنظمة من خلال فتح فرع لها في كل ولاية”. كما أكد أن الرهان بالنسبة له كذلك، التنسيق مع المنظمات الوطنية والدولية، وخاصة المنظمة العربية لحقوق الإنسان، وأفاد بن سعيد أن ”الرئيس السابق للرابطة بوجمعة غشير قدم ما لم يقدمه غيره لحقوق الإنسان في الجزائر وسنواصل على خطه”.
وقال الرئيس الجديد للرابطة، إن الهيئة الحقوقية ستواصل العمل على الملفات التي أبدى فيها غشير مواقف معروفة، على غرار الإعدام والفساد ومجمل القضايا الحقوقية.
وانسحب الأستاذ غشير من رئاسة الرابطة، في الجمعية العامة الانتخابية التي عقدت بسطيف، الجمعة الماضي، حيث رفض الترشح مجددا لرئاستها رغم إلحاح العديد من الأعضاء. وقضى غشير 19 سنة مترئسا للهيئة الحقوقية، واعتبر الكثير منهم أن مجرد انسحابه من الرئاسة ”خسارة للرابطة”، وقال غشير لـ ”الخبر” إن انسحابه من الرئاسة ”لا يعني التخلي عن الدفاع عن حقوق الإنسان، فسأظل أعمل على ذلك، لكن رأيت أنه حان الوقت لتسليم المشعل”.
وكان أول رئيس تقلد مهام رئاسة الرابطة، هو الراحل يوسف فتح الله، الذي اغتالته أيادي الغدر، بداية التسعينات بعد انتهاء عهدة الأستاذ ميلود إبراهيمي، إلا أنه لقي معارضة كونه معربا واتهامه بالبعثية من طرف البعض، كونه قضى فترة في العراق، وعرفت عهدته تمكّن الرابطة من الاتصال بكبار مسؤولي الدولة من خلال لقاءات تمت مع رئيس الحكومة آنذاك مولود حمروش وعدد من الوزراء.
ويقول الأستاذ غشير ”عملت مع الراحل بصفتي نائبه من أجل مواجهة المستجدات الأمنية المتمثلة في العمليات الإرهابية من جهة، ومن جهة أخرى الطرق التي تعالج به السلطات القضايا الأمنية، بحيث أن الوضع جعل من الجزائريين ”رهائن بين قوتين متصارعتين”، وفي نفس الوقت العمل على توحيد حركة حقوق الإنسان، لكن بكل أسف عمله في الجزئية الأخيرة فشل بسبب صراع الزعامة لدى البعض.
بعد اغتيال فتح الله، سيّر غشير الرابطة من جوان 1994 إلى غاية جويلية 1995 باعتباره أمينا عاما، في ظروف قال إنها كانت ”أسوأ من الظروف التي عاشها الراحل يوسف فتح الله، بحيث أن كل يوم يأخذ نصيبه من الاغتيالات والقتل خارج إطار القانون، والترحيل للمعتقلات”، وأكد ”قمت رفقة أعضاء المكتب بطرح قضايا حقوق الإنسان الملحة، وخاصة قضية الاختفاء القسري ومعتقلات الصحراء على وزير العدل آدمي، ثم على الرئيس زروال مباشرة، الذي وصل النقاش بيني وبينه حول المعتقلات إلى حد الاصطدام، لولا حكمة السيد جراد الذي كان آنذاك في رئاسة الجمهورية”. ويكشف غشير أنه ورث عن فتح الله، مشاكل جديدة داخلية وخارجية، وقال إن ”الداخلية تتمثل في محاولة رئيس المرصد الوطني لحقوق الإنسان آنذاك رزاق بارة (المستشار الحالي للرئيس) على الاستحواذ على الرابطة، وتسييرها على هواه، واستعمل بعض أصدقائه من أجل ذلك، لكن إصراري أفشل كل خططه”. وعرفت الرابطة في عهد غشير انفتاحا أكبر بفعل الاحتكاك بالمنظمات الإقليمية والدولية، من حيث جعل الرابطة أكثر مهنية، ويؤكد المتحدث أن عمل الهيئة أصبح خاضعا للميكانيزمات الدولية، وتعتبر أول هيئة حقوقية وضعت تقريرا حول أوضاع حقوق الإنسان في الجزائر على مكتب اللجنة الفرعية للأمم المتحدة.
-
واجهت ضغوطا كبيرة وبارة حاول الاستحواذ على الرابطة
الأربعاء 15 جانفي 2014 الجزائر: محمد شراق
قال الرئيس الجديد للرابطة الجزائرية لحقوق الإنسان، مختار بن سعيد، إن خط الرابطة لن يتغير على ما تركه رئيسها السابق بوجمعة غشير التي قادها طيلة 19 سنة كاملة، وأوضح أنه سيعمل على إرساء تنسيقا بين المنظمات الجزائرية والدولية لحقوق الإنسان.
أوضح بن سعيد لـ”الخبر”، أمس، أن أولوية عمله على رأس الرابطة بعدما انتخب رئيسا لها بموجب الجمعية العامة التي انعقدت في ولاية سطيف، تكمن في ”توسيع تواجد المنظمة من خلال فتح فرع لها في كل ولاية”. كما أكد أن الرهان بالنسبة له كذلك، التنسيق مع المنظمات الوطنية والدولية، وخاصة المنظمة العربية لحقوق الإنسان، وأفاد بن سعيد أن ”الرئيس السابق للرابطة بوجمعة غشير قدم ما لم يقدمه غيره لحقوق الإنسان في الجزائر وسنواصل على خطه”.
وقال الرئيس الجديد للرابطة، إن الهيئة الحقوقية ستواصل العمل على الملفات التي أبدى فيها غشير مواقف معروفة، على غرار الإعدام والفساد ومجمل القضايا الحقوقية.
وانسحب الأستاذ غشير من رئاسة الرابطة، في الجمعية العامة الانتخابية التي عقدت بسطيف، الجمعة الماضي، حيث رفض الترشح مجددا لرئاستها رغم إلحاح العديد من الأعضاء. وقضى غشير 19 سنة مترئسا للهيئة الحقوقية، واعتبر الكثير منهم أن مجرد انسحابه من الرئاسة ”خسارة للرابطة”، وقال غشير لـ ”الخبر” إن انسحابه من الرئاسة ”لا يعني التخلي عن الدفاع عن حقوق الإنسان، فسأظل أعمل على ذلك، لكن رأيت أنه حان الوقت لتسليم المشعل”.
وكان أول رئيس تقلد مهام رئاسة الرابطة، هو الراحل يوسف فتح الله، الذي اغتالته أيادي الغدر، بداية التسعينات بعد انتهاء عهدة الأستاذ ميلود إبراهيمي، إلا أنه لقي معارضة كونه معربا واتهامه بالبعثية من طرف البعض، كونه قضى فترة في العراق، وعرفت عهدته تمكّن الرابطة من الاتصال بكبار مسؤولي الدولة من خلال لقاءات تمت مع رئيس الحكومة آنذاك مولود حمروش وعدد من الوزراء.
ويقول الأستاذ غشير ”عملت مع الراحل بصفتي نائبه من أجل مواجهة المستجدات الأمنية المتمثلة في العمليات الإرهابية من جهة، ومن جهة أخرى الطرق التي تعالج به السلطات القضايا الأمنية، بحيث أن الوضع جعل من الجزائريين ”رهائن بين قوتين متصارعتين”، وفي نفس الوقت العمل على توحيد حركة حقوق الإنسان، لكن بكل أسف عمله في الجزئية الأخيرة فشل بسبب صراع الزعامة لدى البعض.
بعد اغتيال فتح الله، سيّر غشير الرابطة من جوان 1994 إلى غاية جويلية 1995 باعتباره أمينا عاما، في ظروف قال إنها كانت ”أسوأ من الظروف التي عاشها الراحل يوسف فتح الله، بحيث أن كل يوم يأخذ نصيبه من الاغتيالات والقتل خارج إطار القانون، والترحيل للمعتقلات”، وأكد ”قمت رفقة أعضاء المكتب بطرح قضايا حقوق الإنسان الملحة، وخاصة قضية الاختفاء القسري ومعتقلات الصحراء على وزير العدل آدمي، ثم على الرئيس زروال مباشرة، الذي وصل النقاش بيني وبينه حول المعتقلات إلى حد الاصطدام، لولا حكمة السيد جراد الذي كان آنذاك في رئاسة الجمهورية”. ويكشف غشير أنه ورث عن فتح الله، مشاكل جديدة داخلية وخارجية، وقال إن ”الداخلية تتمثل في محاولة رئيس المرصد الوطني لحقوق الإنسان آنذاك رزاق بارة (المستشار الحالي للرئيس) على الاستحواذ على الرابطة، وتسييرها على هواه، واستعمل بعض أصدقائه من أجل ذلك، لكن إصراري أفشل كل خططه”. وعرفت الرابطة في عهد غشير انفتاحا أكبر بفعل الاحتكاك بالمنظمات الإقليمية والدولية، من حيث جعل الرابطة أكثر مهنية، ويؤكد المتحدث أن عمل الهيئة أصبح خاضعا للميكانيزمات الدولية، وتعتبر أول هيئة حقوقية وضعت تقريرا حول أوضاع حقوق الإنسان في الجزائر على مكتب اللجنة الفرعية للأمم المتحدة.
-