Constantine capitale de la culture arabe 2015
Khalida Toumi fait monter la cadence
le 25.01.14 | 10h00
3 réactions
|
© El Watan
Cette année, la ville sera une grande fourmilière.
Tous les projets nouveaux et les travaux de réhabilitation des principales structures de la ville devront être achevés au mois de décembre prochain.
Comme elle l’avait déjà annoncé, il y a une semaine, la ministre de la
Culture Khalida Toumi est revenue ce jeudi à Constantine pour présider
au siège de la wilaya de la cité Daksi, la cérémonie de signature de
conventions d’engagement entre les différents partenaires concernés par
les projets inscrits en prévision de la manifestation. «Constantine
capitale de la culture arabe 2015». «Il s’agit d’un engagement de la
part des bureaux d’études, des entreprises de réalisation, mais aussi
des parties représentant l’Etat comme la direction de la culture, la
direction des équipements publics pour respecter le planning tracé, les
procédures, les délais de réalisation et aussi la qualité des travaux,
afin que les projets soient livrés avant la fin de l’année en cours»,
a-t-elle déclaré.
La ministre ne manquera pas d’insister sur les capacités des bureaux d’études et des entreprises algériennes à relever ce défi, tout en affichant une grande confiance quant à l’achèvement de la plupart des projets inscrits avant le 16 avril 2015, date du lancement de la manifestation culturelle, en dépit des retards constatés dans bon nombre de chantiers, et le scepticisme de certains au sujet de la livraison dans les délais fixés des infrastructures à réaliser ou à réhabiliter dans la ville.
A ce titre, la ministre de la culture s’est montrée intransigeante, en fixant dès ce mois un calendrier sévère et rigoureux, avec un ordre donné pour faire monter la cadence, en instaurant le système des équipes de 2 x 10h, pour réduire les délais de réalisation. On retiendra parmi les principaux projets retenus, la construction d’une grande salle de spectacles à Zouaghi pour 2,5 milliards de dinars, la réalisation d’un palais de la culture à la place de la maison Al Khalifa pour 1,9 milliard de dinars, la réhabilitation du Palais de la culture Malek Haddad pour 350 millions de dinars, la rénovation de la résidence de la wilaya pour 450 millions de dinars, mais aussi la réhabilitation du théâtre régional, de la Medersa, de trois salles de cinéma et la réalisation d’une bibliothèque urbaine et un musée d’art et d’histoire. Le lot le plus important concernera la réhabilitation d’une grande partie de la vieille ville et d’autres sites archéologiques et historiques pour le montant de 7,5 milliards de dinars.
Aménagement du théâtre de verdure
La fermeture à compter de ce mois de janvier des principales structures culturelles de la ville a suscité des inquiétudes parmi les associations culturelles, alors que des interrogations planaient au sujet de la tenue de certaines manifestations de dimension internationale, à l’instar du festival Dimajazz et le festival international du malouf, ainsi que les journées du printemps théâtral et autres manifestations habituellement abritées par le théâtre régional de Constantine, au vu des conditions nécessaires que cet établissement peut offrir pour l’organisation de spectacles de haut niveau.
Sur ce point, la ministre de la culture a suggéré jeudi dernier de trouver une solution en proposant un aménagement pour le théâtre de verdure Mohamed Ouchen, situé sur la route de Zouaghi, qui sera couvert pour être opérationnel durant l’année en cours. «C’est inacceptable d’avoir un théâtre de verdure qui n’est fonctionnel que durant trois mois de l’année», a indiqué Khalida Toumi. Cette dernière a annoncé qu’une entreprise spécialisée a été sollicitée pour couvrir ce théâtre, en prévision des futures manifestations. «Je vous confirme que cette entreprise a déjà visité les lieux et s’est dite prête à entamer les travaux pour que le site soit prêt au mois de mai prochain», a-t-elle affirmé.
La ministre ne manquera pas d’insister sur les capacités des bureaux d’études et des entreprises algériennes à relever ce défi, tout en affichant une grande confiance quant à l’achèvement de la plupart des projets inscrits avant le 16 avril 2015, date du lancement de la manifestation culturelle, en dépit des retards constatés dans bon nombre de chantiers, et le scepticisme de certains au sujet de la livraison dans les délais fixés des infrastructures à réaliser ou à réhabiliter dans la ville.
A ce titre, la ministre de la culture s’est montrée intransigeante, en fixant dès ce mois un calendrier sévère et rigoureux, avec un ordre donné pour faire monter la cadence, en instaurant le système des équipes de 2 x 10h, pour réduire les délais de réalisation. On retiendra parmi les principaux projets retenus, la construction d’une grande salle de spectacles à Zouaghi pour 2,5 milliards de dinars, la réalisation d’un palais de la culture à la place de la maison Al Khalifa pour 1,9 milliard de dinars, la réhabilitation du Palais de la culture Malek Haddad pour 350 millions de dinars, la rénovation de la résidence de la wilaya pour 450 millions de dinars, mais aussi la réhabilitation du théâtre régional, de la Medersa, de trois salles de cinéma et la réalisation d’une bibliothèque urbaine et un musée d’art et d’histoire. Le lot le plus important concernera la réhabilitation d’une grande partie de la vieille ville et d’autres sites archéologiques et historiques pour le montant de 7,5 milliards de dinars.
Aménagement du théâtre de verdure
La fermeture à compter de ce mois de janvier des principales structures culturelles de la ville a suscité des inquiétudes parmi les associations culturelles, alors que des interrogations planaient au sujet de la tenue de certaines manifestations de dimension internationale, à l’instar du festival Dimajazz et le festival international du malouf, ainsi que les journées du printemps théâtral et autres manifestations habituellement abritées par le théâtre régional de Constantine, au vu des conditions nécessaires que cet établissement peut offrir pour l’organisation de spectacles de haut niveau.
Sur ce point, la ministre de la culture a suggéré jeudi dernier de trouver une solution en proposant un aménagement pour le théâtre de verdure Mohamed Ouchen, situé sur la route de Zouaghi, qui sera couvert pour être opérationnel durant l’année en cours. «C’est inacceptable d’avoir un théâtre de verdure qui n’est fonctionnel que durant trois mois de l’année», a indiqué Khalida Toumi. Cette dernière a annoncé qu’une entreprise spécialisée a été sollicitée pour couvrir ce théâtre, en prévision des futures manifestations. «Je vous confirme que cette entreprise a déjà visité les lieux et s’est dite prête à entamer les travaux pour que le site soit prêt au mois de mai prochain», a-t-elle affirmé.
Arslan Selmane
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mhno
le 25.01.14 | 16h43
Latex et cravache
Tout cet argent perdu pour rien au lendemain de cet événement personne ne s'en souviendra.
Honte à vous Mme la Ministre!
Pendant ce temps là les sublimes rencontres cinématographiques
de Béjaia sont en danger de mort faute de subventions du ministère de
la culture. Honte à vous Mme la Ministre!!!
La poudre aux yeux
Mme la ministre qui se croit vraiment ministre se fait des
illusions et donne des illusions aux Constantinois. Au vu de la façon de
travailler des Algériens, l'outil en main et regardant passer les
voitures et le temps, il sera très difficile de réaliser tout ce
programme en un an. Même en multipliant le rythme par 10. Les exemples
de projets qui ont mis plus de 10 à 15 ans ne manquent pas et dans cet
esprit, on peut citer l'aérogare de la ville. Bon courage, mais il ne
faut pas trop y compter. Le volontarisme est une chose, le réalisme en
est une autre.
http://www.elwatan.com/regions/est/constantine/khalida-toumi-fait-monter-la-cadence-25-01-2014-243313_129.php
Place Ahmed Bey
Un parking souterrain en projet
le 26.01.14 | 10h00
Réagissez
Le projet de réalisation d’un parking souterrain à la place Ahmed Bey, plus connue sous le nom de Dounia Taraif, semble se dessiner après des mois de tergiversations.
«L’étude et l’estimation de la réalisation d’un parking souterrain sont
achevées, il ne reste que la validation du wali pour entamer les
travaux sachant que l’entreprise a été désignée auparavant lors de la
première opération d’aménagement prévue l’année passée», nous a déclaré
le directeur de l’urbanisme et de la construction. Pour rappel,
l’aménagement de cette place, située à proximité des hôtels Novotel et
Ibis au centre-ville de Constantine, a été décidé par l’ancien wali
Abdelmalek Boudiaf, lors de la seconde session de l’APW tenue en 2010.
Alors que cette opération a été reportée plusieurs fois par la direction
concernée en raison d’un litige avec les propriétaires des kiosques et
locaux commerciaux se trouvant sur les lieux au sujet des solutions de
rechange proposées pour leur délocalisation provisoire. Après deux ans
de retard et le règlement de ce litige, le démarrage des travaux a eu
lieu en janvier 2013, mais le chantier sera interrompu quelques jours
après.
Cet arrêt est survenu suite à une nouvelle instruction liée à une proposition d’un bureau d’étude espagnol pour créer un espace de stationnement d’un seul niveau sous la plateforme de la place. Selon le DUC, une fois le parking souterrain réalisé, les travaux vont reprendre pour l’aménagement de cette place en un lieu de détente ouvert au public. Actuellement plusieurs démolitions ont été effectuées le côté inférieur de la place, notamment à l’emplacement d’un ancien jardin public. Interrogé sur la nature des travaux prévus, le DUC indiquera qu’ «il s’agit de la réhabilitation de tout l’espace situé entre la maison de la culture Al Khalifa et la place du 1er Novembre à proximité du siège de la Cour de Constantine par le revêtement du sol et la réalisation d’une grande fontaine au centre de la place, des banquettes et la reconstruction d’une dizaine de nouveaux kiosques». Le projet a bénéficie d’un enveloppe financière de plus de 250 millions de dinars. Il devait être lancé au mois d’octobre 2012, pour un délai de réalisation de 5 mois. Selon le DUC, le coût et le délai seront révisés éventuellement.
Cet arrêt est survenu suite à une nouvelle instruction liée à une proposition d’un bureau d’étude espagnol pour créer un espace de stationnement d’un seul niveau sous la plateforme de la place. Selon le DUC, une fois le parking souterrain réalisé, les travaux vont reprendre pour l’aménagement de cette place en un lieu de détente ouvert au public. Actuellement plusieurs démolitions ont été effectuées le côté inférieur de la place, notamment à l’emplacement d’un ancien jardin public. Interrogé sur la nature des travaux prévus, le DUC indiquera qu’ «il s’agit de la réhabilitation de tout l’espace situé entre la maison de la culture Al Khalifa et la place du 1er Novembre à proximité du siège de la Cour de Constantine par le revêtement du sol et la réalisation d’une grande fontaine au centre de la place, des banquettes et la reconstruction d’une dizaine de nouveaux kiosques». Le projet a bénéficie d’un enveloppe financière de plus de 250 millions de dinars. Il devait être lancé au mois d’octobre 2012, pour un délai de réalisation de 5 mois. Selon le DUC, le coût et le délai seront révisés éventuellement.
R. B.
Misère, mendicité et business de malheurs
Ces fillettes qui agressent les passants !
le 26.01.14 | 10h00
4 réactions
zoom
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© photo :archives / el watan
Un seul SDF, un seul mendiant, c’est beaucoup. Or, les uns et les autres sont nombreux dans un pays si riche. Et puis il y a le business de la mendicité…
Ils sont des dizaines de SDF, et le nombre donne l’impression
d’augmenter de jour en jour. Ces SDF s’abritent sous des cartons un peu
partout, à la gare ferroviaire, le long du boulevard Belouizdad
(ex-Saint-Jean), sous les arcades de l’avenue Abane Ramdane et bien
d’autres quartiers de la ville de Constantine.
Le calvaire de ces pauvres personnes qui peuplent les rues de la ville, commence à partir de 19h, heure à laquelle nous les trouvons emmitouflées dans des couvertures sales et usées, tentant de se prémunir contre le froid glacial du soir. En 2013, l’on a compté 45 SDF, dont 23 femmes et 5 enfants, et 123 mendiants, dont 36 femmes et 11 enfants, dans la ville de Constantine, sans compter les autres communes de la wilaya, a-t-on appris auprès du chargé de la communication de la DAS Constantine, Lamine Rhaylia. Ces personnes ont des histoires différentes, ce sont des enfants orphelins, des vieux, des handicapés, des femmes seules, divorcées, délaissées par leurs proches, et aussi des mères célibataires. Une de ces femmes nous dira : «La société algérienne ne pardonne pas, c’est très dur de vivre dans la rue, plus particulièrement pour une femme, mais je préfère la rue à Diar Errahma, on y est méprisé et maltraité par les employés, nous souffrons toujours de ce regard qui nous culpabilise.»
Elle a ajouté, les larmes aux yeux: «Heureusement qu’il existe encore de bonnes gens qui nous amènent des couvertures pour nous protéger de ce froid glacial et qui nous donnent à manger.» Par ailleurs, outre la misère sociale, affective et morale, qu’elles vivent chaque jour, des jeunes drogués n’hésitent pas à les approcher et les insulter. Le chargé de communication de la DAS a souligné que certains SDF ont été évacués aux établissements de Diar Errahma, mais ils ont tout fait pour les quitter car ils ne veulent pas obéir aux règlements de ces établissements comme par exemple celui de ne pas rentrer tard le soir. «Il y a des éducateurs, des psychologues et des assistants professionnels au niveau des foyers pour enfants assistés (FEA), du centre spécialisé de rééducation (CSR) et au niveau de Dar Errahma ; ces personnes s’occupent des gens en question d’une manière très délicate, ils ne les enferment pas mais ils se comportent selon le règlement pour les protéger», a-t-il déclaré. Notre interlocuteur ajoute que 80 % des mendiants viennent d’autres wilayas et même du sud, dont 75 % sont des faux mendiants, et la loi punit ces gens-là. La mendicité est devenue un phénomène courant et un business qui répond à un organigramme hiérarchique.
Des mendiants ou des agresseurs ?
Et pourquoi n’applique-t-on pas la loi qui interdit d’exposer un enfant au danger ? «La DAS a pris l’initiative tant de fois et a déposé plainte contre ces femmes qui utilisent des enfants pour apitoyer les passants, mais les services de cette direction ont constaté qu’elles le font en cachette de leurs maris et elles ont d’autres enfants à la maison ; d’autre part, nous faisons appel aussi à la direction de la santé qui est absente du terrain», a-t-il insisté. «Tout simplement, ils ont fait de la mendicité un travail, plus particulièrement certaines femmes, âgées entre trente et quarante ans, qui n’ont pas trouvé mieux que de s’exposer ainsi avec un ou plusieurs bébés. Embarquées à plusieurs reprises par la police, elles reviennent toujours avec des nouveaux-nés dans les bras », a déclaré l’un des citoyens à la rue du 19 juin (ex-rue de France). «D’où amènent-elles tous ces bébés ?» s’interroge-t-il. Jusqu’à preuve du contraire, l’on sait que le mendiant est celui qui demande de l’aumône en implorant les passants, mais à Constantine, l’on assiste à un phénomène nouveau, sinon inquiétant, du moins étrange. Certains s’adonnent carrément à l’agression, des fillettes, dont l’âge ne dépasse pas les 14 ans s’accrochent aux bras des passants et embrassent leurs mains pour que ces derniers leurs donnent des sous; et si l’on ne répond pas à leur demande, l’on est sujet aux insultes et parfois à l’agression.
Elles choisissent généralement des dames et des jeunes filles. «Chaque fois quand je les perçois, je change de direction ou de chemin, elles me connaissent car j’habite aux environs et si je ne leur donne pas de l’argent, soit elles me crachent en plein visage, soit elles me piquent avec des épingles sales», a déclaré l’une des passantes. Et d’ajouter : «Mais l’on doit se poser cette question : pourquoi laisse-t-on ces gens qu’on appelle Béni Adès sévir ainsi sans que les services concernés bougent le petit doigt ?» La balle est dans leur camp.
Le calvaire de ces pauvres personnes qui peuplent les rues de la ville, commence à partir de 19h, heure à laquelle nous les trouvons emmitouflées dans des couvertures sales et usées, tentant de se prémunir contre le froid glacial du soir. En 2013, l’on a compté 45 SDF, dont 23 femmes et 5 enfants, et 123 mendiants, dont 36 femmes et 11 enfants, dans la ville de Constantine, sans compter les autres communes de la wilaya, a-t-on appris auprès du chargé de la communication de la DAS Constantine, Lamine Rhaylia. Ces personnes ont des histoires différentes, ce sont des enfants orphelins, des vieux, des handicapés, des femmes seules, divorcées, délaissées par leurs proches, et aussi des mères célibataires. Une de ces femmes nous dira : «La société algérienne ne pardonne pas, c’est très dur de vivre dans la rue, plus particulièrement pour une femme, mais je préfère la rue à Diar Errahma, on y est méprisé et maltraité par les employés, nous souffrons toujours de ce regard qui nous culpabilise.»
Elle a ajouté, les larmes aux yeux: «Heureusement qu’il existe encore de bonnes gens qui nous amènent des couvertures pour nous protéger de ce froid glacial et qui nous donnent à manger.» Par ailleurs, outre la misère sociale, affective et morale, qu’elles vivent chaque jour, des jeunes drogués n’hésitent pas à les approcher et les insulter. Le chargé de communication de la DAS a souligné que certains SDF ont été évacués aux établissements de Diar Errahma, mais ils ont tout fait pour les quitter car ils ne veulent pas obéir aux règlements de ces établissements comme par exemple celui de ne pas rentrer tard le soir. «Il y a des éducateurs, des psychologues et des assistants professionnels au niveau des foyers pour enfants assistés (FEA), du centre spécialisé de rééducation (CSR) et au niveau de Dar Errahma ; ces personnes s’occupent des gens en question d’une manière très délicate, ils ne les enferment pas mais ils se comportent selon le règlement pour les protéger», a-t-il déclaré. Notre interlocuteur ajoute que 80 % des mendiants viennent d’autres wilayas et même du sud, dont 75 % sont des faux mendiants, et la loi punit ces gens-là. La mendicité est devenue un phénomène courant et un business qui répond à un organigramme hiérarchique.
Des mendiants ou des agresseurs ?
Et pourquoi n’applique-t-on pas la loi qui interdit d’exposer un enfant au danger ? «La DAS a pris l’initiative tant de fois et a déposé plainte contre ces femmes qui utilisent des enfants pour apitoyer les passants, mais les services de cette direction ont constaté qu’elles le font en cachette de leurs maris et elles ont d’autres enfants à la maison ; d’autre part, nous faisons appel aussi à la direction de la santé qui est absente du terrain», a-t-il insisté. «Tout simplement, ils ont fait de la mendicité un travail, plus particulièrement certaines femmes, âgées entre trente et quarante ans, qui n’ont pas trouvé mieux que de s’exposer ainsi avec un ou plusieurs bébés. Embarquées à plusieurs reprises par la police, elles reviennent toujours avec des nouveaux-nés dans les bras », a déclaré l’un des citoyens à la rue du 19 juin (ex-rue de France). «D’où amènent-elles tous ces bébés ?» s’interroge-t-il. Jusqu’à preuve du contraire, l’on sait que le mendiant est celui qui demande de l’aumône en implorant les passants, mais à Constantine, l’on assiste à un phénomène nouveau, sinon inquiétant, du moins étrange. Certains s’adonnent carrément à l’agression, des fillettes, dont l’âge ne dépasse pas les 14 ans s’accrochent aux bras des passants et embrassent leurs mains pour que ces derniers leurs donnent des sous; et si l’on ne répond pas à leur demande, l’on est sujet aux insultes et parfois à l’agression.
Elles choisissent généralement des dames et des jeunes filles. «Chaque fois quand je les perçois, je change de direction ou de chemin, elles me connaissent car j’habite aux environs et si je ne leur donne pas de l’argent, soit elles me crachent en plein visage, soit elles me piquent avec des épingles sales», a déclaré l’une des passantes. Et d’ajouter : «Mais l’on doit se poser cette question : pourquoi laisse-t-on ces gens qu’on appelle Béni Adès sévir ainsi sans que les services concernés bougent le petit doigt ?» La balle est dans leur camp.
Yousra Salem
Vos réactions 4
amsams
le 27.01.14 | 10h32
Promesses!!!!!!
Que des Promesses,haaaa
l'état ne fait pas son travail
Ici au Canada (n'est ce pas qu'on veut faire comme les pays
civilisés), la protection des enfants est sacrée: un enfant maltraité
par sa famille lui est retiré. L'état s'en occupe. Faites de de même et
vous verrez qu'ils ne seront plus plus exposés dans les rues.
Mais encore faut il que des structures existent et qu'on décide d'investir sur l'être humain. Pour l'instant les gangsters à la tête de l'état ont tout volé! Le cauchemar continuera encore. Pauvres enfants d'Algérie.
Mais encore faut il que des structures existent et qu'on décide d'investir sur l'être humain. Pour l'instant les gangsters à la tête de l'état ont tout volé! Le cauchemar continuera encore. Pauvres enfants d'Algérie.
UN PAYS aussi riche! c'est une honte
C'est le jeux du chat et la sourie, chacun met la cause sur l'autre .
Le gouvernement devrait trouver des solutions à se problème , Placer des SDF dans des endroits à leurs en contre ce n'est pas une solution . Le gouvernement doit trouver des solutions efficace est rapide . D 'abord un recensement départemental de tout ces SDF afin de leurs donné une chance de s'intégrer dans la société. , Dans un premier temps de placer ses famille dans des logements sociaux , les aider face aux éventuelle , l'emploi , et les enfant doivent aller à l'école , que fait il le ministre des affaires sociales ? donné des directifs et de ne pas avoir le suivis de ces SDF , c'est comme si ce n'est rien était . En tout les cas c'est toujours notre peuple qui fait des efforts au nom de dieu afin d'aider ces démunis de la société moderne , et je trouve ça dommage ? Car les moyens, le gouvernement en dispose , et c'est pour cela un jours tout ces haut responsable du pays , auront des conséquences dans leurs vie sur terre et ailleurs , car li doivent rendre des compte du bien et le mal qui ont fait , tout le monde se bat pour le fameux siège et le pouvoir , mais il oublis que le peuple est là et ils attends une vie meilleurs que celle ci . Voici un phénomène où le gouvernement doit travailler pour apporter une solution et d'y remédier . Tout le monde se bat pour une survie , mais le gouvernement ne l'entends pas de cette oreille . Il y'a un grand chantier à réaliser pour chaque responsable de département afin de rendre les villes propre et respectueuse , On achètent des armes , des avions , des bateaux , on fabrique des voitures bientôt et notre terre est riche de tout , et on es même pas capable d'aider la population à s'intégrés , c'est ça L'Algérie ? Je ne demande pas leurs places pour assiéger au pouvoir ,seulement un droit à la vie avec le respect et la dignité ,un logement , un travail , une scolarisation de ses enfants, est c'est tout. est ce c'est trop demandé ? Je ne trouve pas les mots car le gouvernement ne réponds plus au besoin du peuple , que faire ? Personne ne serait capable de relever ce défié ,juste être à l'écoute du besoin du peuple qui depuis 1962 ne fait que payer toutes les erreurs des autres et tout ces protégés . C'est mon dégoût total et le ras le bol de ce gouvernement irresponsable de tout ces problèmes qui se rajoute en plus , est ce qu'un jour nous verrons la lumière ? Ce n'est certainement pas demain la veille . Ses remplaçants aussi! .
Le gouvernement devrait trouver des solutions à se problème , Placer des SDF dans des endroits à leurs en contre ce n'est pas une solution . Le gouvernement doit trouver des solutions efficace est rapide . D 'abord un recensement départemental de tout ces SDF afin de leurs donné une chance de s'intégrer dans la société. , Dans un premier temps de placer ses famille dans des logements sociaux , les aider face aux éventuelle , l'emploi , et les enfant doivent aller à l'école , que fait il le ministre des affaires sociales ? donné des directifs et de ne pas avoir le suivis de ces SDF , c'est comme si ce n'est rien était . En tout les cas c'est toujours notre peuple qui fait des efforts au nom de dieu afin d'aider ces démunis de la société moderne , et je trouve ça dommage ? Car les moyens, le gouvernement en dispose , et c'est pour cela un jours tout ces haut responsable du pays , auront des conséquences dans leurs vie sur terre et ailleurs , car li doivent rendre des compte du bien et le mal qui ont fait , tout le monde se bat pour le fameux siège et le pouvoir , mais il oublis que le peuple est là et ils attends une vie meilleurs que celle ci . Voici un phénomène où le gouvernement doit travailler pour apporter une solution et d'y remédier . Tout le monde se bat pour une survie , mais le gouvernement ne l'entends pas de cette oreille . Il y'a un grand chantier à réaliser pour chaque responsable de département afin de rendre les villes propre et respectueuse , On achètent des armes , des avions , des bateaux , on fabrique des voitures bientôt et notre terre est riche de tout , et on es même pas capable d'aider la population à s'intégrés , c'est ça L'Algérie ? Je ne demande pas leurs places pour assiéger au pouvoir ,seulement un droit à la vie avec le respect et la dignité ,un logement , un travail , une scolarisation de ses enfants, est c'est tout. est ce c'est trop demandé ? Je ne trouve pas les mots car le gouvernement ne réponds plus au besoin du peuple , que faire ? Personne ne serait capable de relever ce défié ,juste être à l'écoute du besoin du peuple qui depuis 1962 ne fait que payer toutes les erreurs des autres et tout ces protégés . C'est mon dégoût total et le ras le bol de ce gouvernement irresponsable de tout ces problèmes qui se rajoute en plus , est ce qu'un jour nous verrons la lumière ? Ce n'est certainement pas demain la veille . Ses remplaçants aussi! .
Espoirs déçus
A l'indépendance de l'Algerie, promesse avait été faite qu'il
n'y aurait jamais plus de mendiants, ni de cireurs de chaussures.
http://www.elwatan.com/regions/est/constantine/ces-fillettes-qui-agressent-les-passants-26-01-2014-243423_129.php
Bouira : le directeur du CFPA de Haizer en grève de la faim
le 27.01.14 | 13h28
Réagissez
Le directeur du centre de formation professionnelle et d’apprentissage (CFPA) de la ville de Haizer, M. Amrouni a entamé depuis dimanche dernier, une grève de la faim, a-t-on constaté sur place.
Interrogé sur les raisons l’ayant poussé à entamer cette action, le gréviste dira que le mal est profond au niveau de centre. Il explique : « Pendant des années, la gestion de ce centre était toujours faite dans l’opacité absolue et dans l’impunité la plus totale par les différents responsables qui se sont succédés à ses commandes ».
Ainsi et pour s’en laver les mains, le directeur gréviste a dans une déclaration rendue publique ce lundi 27 janvier, avoue qu'au lendemain de son installation à la tête de cette structure, il a dénoncé « un certains nombre de points noirs, entre autres, la disparition de 40 diplômes vierges, paiement fictif de présalaires des stagiaires, vol et disparition du matériel et autres équipements technico-pédagogique (1200 unité), factures fictives d’achat de matières premières (60 millions de centimes pour le tissu), utilisation d’une billetterie parallèle au niveau de la cantine….. etc.
Par ailleurs, M Amrouni, visiblement déterminé à poursuivre son action a déclaré à el watan.com, qu’il a maintes fois subi des pressions et autres menaces par un groupe de personnes dont des travailleurs qu’il qualifie « d’énergumène incompétents et complices ».
Le directeur de CFPA de Haizer exige de la tutelle une enquête approfondie sur la gestion précédente de cet établissement.
,
Madjid Berkane
http://www.elwatan.com/regions/kabylie/bouira/bouira-le-directeur-du-cfpa-de-haizer-en-greve-de-la-faim-27-01-2014-243666_145.php
عدد القراءات: 230
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عدد القراءات: 427
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المجاهد ياسف سعدي، يصرح:
“بيطاط أختي و لم اتهمها بالعمالة للمستعمر و بيه علي لابوانت”
والي الجلفة يتكفل بعلاج أستاذ مريض
نسخة للطباعة
نسخة نصية كاملة
بعد تراجع ياسف سعدي عن تصريحاته ضد زهرة ظريف
”الخبر” تنشر تسجيلا صوتيا على موقعها الإلكتروني يؤكد الاتهامات
الاثنين 27 جانفي 2014 الجزائر: محمد علال
يوضح المجاهد ياسف سعدي، في رسالة وجهها إلى الصحافة الوطنية بتاريخ 23 جانفي 2014، أنه لم يتهم المجاهدة زهرة بأنها “باعت” الشهيد علي لابوانت.
قال ياسف سعدي في رسالته: “بالعودة إلى الوثيقة التي سلمتها إلى الصحافة لا أتهم أي مناضل أو مناضلة ظلما، أنا متيقن أن كل واحد منهم قام بواجبه الوطني على أحسن صورة”. كما يضيف فيما يخص زهرة ظريف تحديدا: “ليس عندي أي حسابات ضد أختي زهرة ظريف”. وأوضح سعدي أنه اكتفى بالحديث عن بعض المغالطات التي وردت في مذكراتها دون أن يتهمها بـ”الخيانة”. كما قال: “صراحة لا يمكن أن نكتب التاريخ اعتمادا على الثرثرة مثلما يحصل مع كثير من المسؤولين الذين لا يقيسون درجة الخطر الذي يرمون فيه ثورتنا”. وختم ياسف سعدي رسالته بتوجيه اعتراف خالص إلى جميع المناضلين الذين شاركوا في المنطقة المستقلة للجزائر، لما قدموه من تضحيات، مشددا على ضرورة أن لا يؤثر الاختلاف في وجهات النظر والأفكار على الثورة والنضال، كما قال: “علينا أن نتقاسم سويا روح النضال”.
تعقيب
احتراما للقارئ، تؤكد “الخبر” أنها تملك تسجيلا صوتيا يوثق اتهامات المجاهد ياسف سعدي ضد المجاهدة زهرة ظريف، فقد قال ياسف سعدي بالحرف الواحد عن زهرة ظريف: “الحركي أحسن منها بالنسبة لي، إنها خائنة”. وأضاف في معرض حديثه عن “الخيانة” أن زهرة ظريف أرادت أن تقود علي لابوانت إلى السجن، تنفيذا لمطلب الجيش الفرنسي. وقال ياسف في هذا الإطار: “لو أطلق سراحه لأصبح “بياعا” مثلك - يتحدث عن زهرة ظريف - وضاعت الجزائر بشكل كامل”.
وبدأ ياسف سعدي الجلسة مشيرا إلى أنه سيتحدث عن “خيانة متعلقة بواقعة تاريخية”، كما قال: “لقد بذلت جهدا كبيرا من أجل الكشف عن حقيقة أثرت كثيرا ليس على حياتي فقط، وإنما في عواطفي”، مضيفا: “أقول الحقيقة ولا يهمّني إن تم اقتيادي إلى السجن بعد ذلك”. وقام المجاهد ياسف سعدي بتوزيع نسخة من الرسائل التي استند إليها، على من حضروا الجلسة في بيته، واعتبر سعدي تلك الرسائل دليلا “قاطعا” على إدانة زهرة ظريف التي كان يصفها بـ”الطفلة”. كما طلب من أحد مديري الجرائد الذين قام بدعوتهم للكشف عما أسماه “فضائح تاريخية”، قراءة نص الرسائل التي قال إنه جلبها من أرشيف الجيش الفرنسي في باريس، وتؤكد على أن “زهرة ظريف دعت حسيبة بن بوعلي للتخلي عن رفاقها”. كما تساءل ياسف في معرض تعليقه: “زهرة ظريف هل كانت ضابطة في الجيش الفرنسي لكي تقول لحسيبة بن بوعلي إن الجيش الفرنسي لم يتعرض لها بأي أذى”، مؤكدا أنه لا يتحدث كرد فعل على مذكرات زهرة ظريف.
كما تحدث في ذات التسجيل عن معركة الجزائر وقال: “ليس نحن من قام بمعركة الجزائر، إنهم هم - في إشارة إلى الجيش الفرنسي - من قاموا بمعركة الجزائر، وأضاف: “لا يجب أن نكذب على الشعب، كيف يقوم الشعب الجزائري بمعركة الجزائر بالخناجر؟”. وأضاف: “ارتبطنا بتاريخ مزيف لمعركة الجزائر”.
للإشارة، فقد كان ياسف سعدي يتحدث بإيعاز من ابنته زفيرة، والسفير الأسبق كمال بوشامة اللذين تكلفا بكتابة مذكراته التي ستنشر قريبا. وتحدث ياسف ساعدي عن الرئيس الراحل هواري بومدين، وعن فيلم “معركة الجزائر” ومؤتمر الصومام والعديد من الملفات. تصريح ياسف سعدي مسجل وبإمكان قراء “الخبر” على الموقع الإلكتروني للجريدة.
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عدد القراءات : 12957 | عدد قراءات اليوم : 8843
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1 - bendjemaa
bordeaux
2014-01-26م على 19:14
excusez le ya khabar ;;l age a jouer son jeu :il faut reconnaitre que c est un grand ; ainsi que zohra drif de la revolution ;;;;merci merci merci
2 -
2014-01-26م على 19:29
je sais que la révolution makhdou3a.
3 - aussaress
2014-01-26م على 21:45
ta fin ressemble a tes debuts
4 - farouk
usa
2014-01-26م على 21:08
لا نشك يوما في نزاهه و نضال زهره ورابح بيطاط الدي استقال من البرلمان اعتضا على اقتصاد السوق وقال ابيع الكاوكاو في الطريق احسن من ان اصادق على قوانين تضر الشعب.ربما الرساله من صنع المخابرات الفرنسيه في ددالك الوقت.
5 - علي
الجزاءر
2014-01-26م على 22:27
ياخاوتي ماشي البسودو مجاهدين اللي راهم يتكلموا اليوم دم الشهداء اللي خانوه اللي راه انطق فيهم و خليهم يتناقضوا
6 - algerien
uk
2014-01-26م على 22:12
ربي يرحم الشهداء الابرار يا منافق
7 - 3عيب عليكم
علي لابانت
2014-01-26م على 23:56
عيب عليكم سيد مسكن كبر في لعمر بلاك خرف
8 -
2014-01-26م على 23:55
هذه زوبعة في فنجان ستترك اثار سلبية في مسار الثوري اصبح غامض و ما كنا نراه من هؤلاء قادة المجاهدين منهم لم يكنوا ملائكة وصادقين و لتعود لغة الخشب من جديد لاخفاء الحقائق
9 - kader
algeri
2014-01-26م على 23:36
ya si yasef nta eli biya3te tes amis wache men moudjahed mais heureusement kayen rabi tetlakaw 3and rabi ou tem atehasbou
10 - منير
باريس
2014-01-27م على 0:08
كالعادة يضغط على كل من يحاول كشف الحقيقة و كيف لا حتى وزير المجاهدين دخل في نفس الخط ليتحدث عن هذه القضية لا يمكن للحقيقة ان تطفوا على السطح مادام هناك وزارة المجاهدين في مؤتمر الصومام تم تقيم عدد المجاهدين ب بحوالى 11000 مجاهد مقابل 250000 حركي كيف اليوم نجد عدد المجاهدين قد يصل 700000 او اكثر سياسة منتهجة لشراء الذمم لكن دوام الحال من المحال
11 - dakvayli
France
2014-01-27م على 0:17
On s'en fou !!! Tout le monde sait que cette soit disant guerre que vous avez menés était pleine de traîtrises et de coups bas !!! Honte à vous tous, les vrais moudjahidines sont tous tombés dans le champ d'honneur
12 - kaki paris
paris
2014-01-27م على 0:00
pauvre algerie.................. ni histoire , ni passé ,ni présent n ni avenir ....... les moujahdines kedabine , les responsables serakine, le president ma habch yemchi .....
13 - Algerien
France
2014-01-27م على 1:20
حاربتم فرنسا ، لماذا تتكلمون الفرنسية، ولماذا تتهافتون على فآل دوغراس للعلاج ؟؟؟!!!! المجاهدون الحقيقيون استشهادوا ،اما الباقية من أمثال ياسف فكانوا يكيلون بمكيالين....
14 - abdessamed veto
Algerie
2014-01-27م على 2:39
ربما كتبتها عن طريق التهديد
15 - سليمان
بلاد الغربة
2014-01-27م على 2:48
هل تراجع السيد عن كلامه راجع لضغط مورس عليه؟
هل تراجع السيد عن كلامه راجع لنقص جرئة الإعتراف بمجهود وشجاعة السيدة؟
هل تراجع السيد عن كلامه معناه كل ما يحكى هن طرفهم غير صحيح؟
وان كان كل واحد من السادة يحكي ما يحلو له الا لإلحاق الضرر بالغير، هل معناه من تبقوا اليوم عاشو علا ضهر من استشهدو؟
اسئلة تطرح وتنتضر الإجابة حتى يتسنى للذين استشهدوا الإستراحة بدون تقلب في قبورهم
16 - علي
امريكا
2014-01-27م على 4:50
ياو فاقو
17 - sami
setif
2014-01-27م على 5:10
كلام و حوار الصحافيين لا يرقى الى مستوى الحدث .بعد 50 سنة من الستقلال
18 -
2014-01-27م على 7:16
Quand on revient sur ces dires c'est qu'on est menteur et par là indigne de confiance et encore plus d'écrire une page de l'histoire !lol
19 - draoui
alger
2014-01-27م على 8:31
لحد الأن، لا يوجد في الجزائر من يثق بنفسه، فكيف يمكن للجزائريين أن يثقوا في بعضهم البعض؟
20 - ali
alger
2014-01-27م على 9:02
Celui qui a collaboré une fois dans sa vie collaborera bon gré , mal gré autant de fois qu'on lui en demande .C'est.connu.La meilleure façon de dire que je suis sain de tout soupçon c'est de dire que les autres sont des traires
21 - مسعود LANGUE66@YAHOO.FR
فرجيوة / ميلة
2014-01-27م على 9:29
السلام عليكم ورحمة الله وبركاته اما بعد:
بعيدا عن صراعات المجاهدين المؤسفة، ربما حركى الثورة التحريرية أخطر من حركى الثروة الحريرية لماذا؟ لأن حركى الأمس خونة فرد أو أشخاص أو عائلة أو عوائل ، عرش...و في الأخير وطن لصالح دولة وحيدة.أما حركى اليوم، حركى العقود والنقود، هم خونة شعب، خونة وطن، خونة أمة لفائدة دول متعددة الجنسيات.
السلام عليكم ورحمة الله وبركاته.
22 - ghani
saida
2014-01-27م على 9:59
merci merci ya al khabar
23 - مراد
الجزائر الغالية
2014-01-27م على 9:07
السؤال المطروح هل تراجع تحت الضغط إذن ما زالت هناك حقائق مرعبة يجب الكشف عنها والزمن كفيل بذلك حتما
24 - meriem
djazair
2014-01-27م على 9:31
sa fille parle a sa place il se fait vieux apres 50 ans remuer tous ca maintennant ca sert a rien
25 - هرمنا
الشراقة
2014-01-27م على 9:33
أريد أن أسألك يا سيدي ياسف أين كنت من خمسين سنة فمثل هؤلاء إستنفذوا جميع حقوق المجاهدين وإستغلال النفوذ فمع نهاية حياتهم تبهدلم هكذا.وأشباههم يترقب فأحذر .وإذا كان في جعبتك المزيد لا تتوقف بالصوت والصورة ...لأننا هرمنا بأشباه المجاهدين ...
26 -
2014-01-27م على 10:45
الرئيس الراحل هواري بومدين و هل انتخبا من الشعب لكي يسما رءيس بل فرض نفسه بالقوة و القتل و النفي و التعديب كسّر جيش الداخل و وضع ظباط فرنسا في الاماكن الحساسة في الدولة, بسببه الان نعيش في العداب,الله يرحم الشهداء الحقيقيين و الرجال الأبطال الشعب الجزائري ما يعرفوش لانهم مساكن في بالهم بومدين زعيم كبير
-
http://www.youtube.com/watch?v=9nMsZHw89Ts&feature=player_embedded
Constantine capitale de la culture arabe 2015
Khalida Toumi fait monter la cadence
Tous les projets nouveaux et les travaux de réhabilitation des principales structures de la ville devront être achevés au mois de décembre prochain.
Comme elle l’avait déjà annoncé, il y a une semaine, la ministre de la
Culture Khalida Toumi est revenue ce jeudi à Constantine pour présider
au siège de la wilaya de la cité Daksi, la cérémonie de signature de
conventions d’engagement entre les différents partenaires concernés par
les projets inscrits en prévision de la manifestation. «Constantine
capitale de la culture arabe 2015». «Il s’agit d’un engagement de la
part des bureaux d’études, des entreprises de réalisation, mais aussi
des parties représentant l’Etat comme la direction de la culture, la
direction des équipements publics pour respecter le planning tracé, les
procédures, les délais de réalisation et aussi la qualité des travaux,
afin que les projets soient livrés avant la fin de l’année en cours»,
a-t-elle déclaré.
La ministre ne manquera pas d’insister sur les capacités des bureaux d’études et des entreprises algériennes à relever ce défi, tout en affichant une grande confiance quant à l’achèvement de la plupart des projets inscrits avant le 16 avril 2015, date du lancement de la manifestation culturelle, en dépit des retards constatés dans bon nombre de chantiers, et le scepticisme de certains au sujet de la livraison dans les délais fixés des infrastructures à réaliser ou à réhabiliter dans la ville.
A ce titre, la ministre de la culture s’est montrée intransigeante, en fixant dès ce mois un calendrier sévère et rigoureux, avec un ordre donné pour faire monter la cadence, en instaurant le système des équipes de 2 x 10h, pour réduire les délais de réalisation. On retiendra parmi les principaux projets retenus, la construction d’une grande salle de spectacles à Zouaghi pour 2,5 milliards de dinars, la réalisation d’un palais de la culture à la place de la maison Al Khalifa pour 1,9 milliard de dinars, la réhabilitation du Palais de la culture Malek Haddad pour 350 millions de dinars, la rénovation de la résidence de la wilaya pour 450 millions de dinars, mais aussi la réhabilitation du théâtre régional, de la Medersa, de trois salles de cinéma et la réalisation d’une bibliothèque urbaine et un musée d’art et d’histoire. Le lot le plus important concernera la réhabilitation d’une grande partie de la vieille ville et d’autres sites archéologiques et historiques pour le montant de 7,5 milliards de dinars.
Aménagement du théâtre de verdure
La fermeture à compter de ce mois de janvier des principales structures culturelles de la ville a suscité des inquiétudes parmi les associations culturelles, alors que des interrogations planaient au sujet de la tenue de certaines manifestations de dimension internationale, à l’instar du festival Dimajazz et le festival international du malouf, ainsi que les journées du printemps théâtral et autres manifestations habituellement abritées par le théâtre régional de Constantine, au vu des conditions nécessaires que cet établissement peut offrir pour l’organisation de spectacles de haut niveau.
Sur ce point, la ministre de la culture a suggéré jeudi dernier de trouver une solution en proposant un aménagement pour le théâtre de verdure Mohamed Ouchen, situé sur la route de Zouaghi, qui sera couvert pour être opérationnel durant l’année en cours. «C’est inacceptable d’avoir un théâtre de verdure qui n’est fonctionnel que durant trois mois de l’année», a indiqué Khalida Toumi. Cette dernière a annoncé qu’une entreprise spécialisée a été sollicitée pour couvrir ce théâtre, en prévision des futures manifestations. «Je vous confirme que cette entreprise a déjà visité les lieux et s’est dite prête à entamer les travaux pour que le site soit prêt au mois de mai prochain», a-t-elle affirmé.
La ministre ne manquera pas d’insister sur les capacités des bureaux d’études et des entreprises algériennes à relever ce défi, tout en affichant une grande confiance quant à l’achèvement de la plupart des projets inscrits avant le 16 avril 2015, date du lancement de la manifestation culturelle, en dépit des retards constatés dans bon nombre de chantiers, et le scepticisme de certains au sujet de la livraison dans les délais fixés des infrastructures à réaliser ou à réhabiliter dans la ville.
A ce titre, la ministre de la culture s’est montrée intransigeante, en fixant dès ce mois un calendrier sévère et rigoureux, avec un ordre donné pour faire monter la cadence, en instaurant le système des équipes de 2 x 10h, pour réduire les délais de réalisation. On retiendra parmi les principaux projets retenus, la construction d’une grande salle de spectacles à Zouaghi pour 2,5 milliards de dinars, la réalisation d’un palais de la culture à la place de la maison Al Khalifa pour 1,9 milliard de dinars, la réhabilitation du Palais de la culture Malek Haddad pour 350 millions de dinars, la rénovation de la résidence de la wilaya pour 450 millions de dinars, mais aussi la réhabilitation du théâtre régional, de la Medersa, de trois salles de cinéma et la réalisation d’une bibliothèque urbaine et un musée d’art et d’histoire. Le lot le plus important concernera la réhabilitation d’une grande partie de la vieille ville et d’autres sites archéologiques et historiques pour le montant de 7,5 milliards de dinars.
Aménagement du théâtre de verdure
La fermeture à compter de ce mois de janvier des principales structures culturelles de la ville a suscité des inquiétudes parmi les associations culturelles, alors que des interrogations planaient au sujet de la tenue de certaines manifestations de dimension internationale, à l’instar du festival Dimajazz et le festival international du malouf, ainsi que les journées du printemps théâtral et autres manifestations habituellement abritées par le théâtre régional de Constantine, au vu des conditions nécessaires que cet établissement peut offrir pour l’organisation de spectacles de haut niveau.
Sur ce point, la ministre de la culture a suggéré jeudi dernier de trouver une solution en proposant un aménagement pour le théâtre de verdure Mohamed Ouchen, situé sur la route de Zouaghi, qui sera couvert pour être opérationnel durant l’année en cours. «C’est inacceptable d’avoir un théâtre de verdure qui n’est fonctionnel que durant trois mois de l’année», a indiqué Khalida Toumi. Cette dernière a annoncé qu’une entreprise spécialisée a été sollicitée pour couvrir ce théâtre, en prévision des futures manifestations. «Je vous confirme que cette entreprise a déjà visité les lieux et s’est dite prête à entamer les travaux pour que le site soit prêt au mois de mai prochain», a-t-elle affirmé.
Arslan Selmane
mhno
le 25.01.14 | 16h43
Latex et cravache
Tout cet argent perdu pour rien au lendemain de cet événement personne ne s'en souviendra.
Honte à vous Mme la Ministre!
Pendant ce temps là les sublimes rencontres cinématographiques
de Béjaia sont en danger de mort faute de subventions du ministère de
la culture. Honte à vous Mme la Ministre!!!
La poudre aux yeux
Mme la ministre qui se croit vraiment ministre se fait des
illusions et donne des illusions aux Constantinois. Au vu de la façon de
travailler des Algériens, l'outil en main et regardant passer les
voitures et le temps, il sera très difficile de réaliser tout ce
programme en un an. Même en multipliant le rythme par 10. Les exemples
de projets qui ont mis plus de 10 à 15 ans ne manquent pas et dans cet
esprit, on peut citer l'aérogare de la ville. Bon courage, mais il ne
faut pas trop y compter. Le volontarisme est une chose, le réalisme en
est une autre.
http://www.elwatan.com/regions/est/constantine/khalida-toumi-fait-monter-la-cadence-25-01-2014-243313_129.php
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