الجمعة، أكتوبر 3

الاخبار العاجلة لشراء فقراء الجزائر اللحوم من مجازر المدن الجزائريية لاشباع بطون ابنائهم بدل الغيرة الغدائية ويدكر ان الجزائريين يسيرون في حياتهم بطريقة الغيرةوالمنافسة فالفقير يشتري كبش منافسا لصديقة الغني والغني يشتري اغني كبشا لاثارة الفتنةى بين ابناء فقراء عشيرته وللعلم فان كباش الجزائر تضحي بالجزائريين سنويا عبر افلاس جيوبهم بعدافلاس بطونهم ويدكر ان الجزائريون يمارسون طقوس الاضحي لارضاءابنائهمالصغار واشباع بطونهم الجائعة غدائيا والجائعة جنسيا وشر البلية مايبكي

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الاخبار العاجلة لشراءفقراء قسنطينة اشباه الكباش من سوق السويقة الشعبي لابداع مسرحيات كباش العيد بدون دبح في المباني الجزائرية ويدكر ان الجزائري يتنافس على اكل اللحوم الحمراء للكباش واللحوم البيضاء لنساء الجزائر جنسيا علما ان سعر خروف العيد اغلي من سعر متعة جنسية مع امراة قسنطينةوالاسباب مجهولة

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الاخبار العاجلة لاكتشاف سكان قسنطينة تهافت  رجال قسنطينة على اسواق الاضاحي وتهافت نساء قسنطينة على محلات مجازر الاضاحي بالسويقة بقسنطينةوالاسباب مجهولة

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Chronique du weekend: Djamel Debouze - Révélations!

Publié le 07/12/2013 à 07:34 par dafinemkomori
Chronique du weekend: Djamel Debouze - Révélations!
  Qu’est il arrivé au bras droit de Jamel Debbouze ?


Qui ne s’est jamais posé cette question : qu’est-il arrivé au bras droit de Jamel Debbouze ?
 Les rumeurs et les versions fusent : « Il s’amusait bêtement à tendre son bras sur le quai d’une gare, quand un jour un train l’a fauché… ». Pour d’autres c’est le RER, pour d’autres encore, ce sont les mauvaises conséquences d’une fuite après un vol à l’arracher… Rétablissons dès maintenant la vérité, sortie toute droite de sa biographie « Jamel Debbouze, l’as de cœur » de Bernard Violet aux éditions Fayard.

 Par un jour glacial d’hiver, le 17 janvier 1990, Jamel n’a alors que 15 ans et son pote, une connaissance de quelques jours par des amis en commun, Jean-Paul dit « Popol » a 16 ans. Jean-Paul vient d’apprendre le jour même que son rêve allait se réaliser : il vient d’être admis au centre footballistique du PSG dans les Yvelines.
 Ce jour là, Jamel vient le solliciter au bas de son immeuble pour l’accompagner jusqu’à la gare de Trappes. Malgré les réticences de la famille de Jean-Paul, le jeune homme se laisse convaincre par Jamel et part avec lui. Il prendront d’abord le RER jusqu’à la gare de Saint-Quentin, aux environ de 20 heures. Là un haut parleur indique le passage sous-terrain pour atteindre les autres quais. Mais Jamel et « Popol » en décident autrement. On se sait pas qui a eu cette idée, mais les deux garçons s’engagent sur la double voie qui sépare les quais. Or, le train Nantes-Paris surgit à toute vitesse à ce moment-là et malgré l’enclenchement du frein d’urgence, l’appareil fauche violemment « Popol » et touche, par la même occasion une partie du corps de Jamel, à peine remonté sur le quai opposé ! Jean-Paul y laissera la vie et Jamel en sortira gravement blessé, physiquement et intérieurement. Des suites de l’accident, il gardera alors le petit bras droit de ses 15 ans, après avoir subi une douzaine d’opérations, en vain.
 Cette histoire a donné suite à une enquête, où ce jour de janvier ressortiront des témoignages contradictoires : certains parlent de rixe entre les deux garçons et accusent Jamel de meurtre… La famille de Jean-Paul est d’ailleurs, encore aujourd’hui, persuadée de la culpabilité de Jamel. Pourtant, notre humoriste a bénéficié d’un non-lieu ferme et définitif, avec la bande de contrôle du train comme témoin. Et quand l’auteur, Bernard Violet a voulu contacter un témoin de l’époque, dénonçant la bagarre et le meurtre de Jean-Paul, celui-ci nous dit ne pas se souvenir avoir employé de tels mots, si graves et d’ailleurs ne pas avoir de souvenirs clairs de cet évènement… Etonnant pour un accident aussi sérieux. Tout ceci nous révèle que l’affaire a provoqué à l’époque une grande tristesse, ce sentiment d’injustice, à qui il fallait nommer un coupable. Seulement, le sentiment de culpabilité et le regret de ce jour, Jamel n’a pas besoin des graves méprises et diffamations du public…
  
Il les porte en lui.
 Dans tout ce qui a été dit, quels sont les éléments objectifs, reconnus par tout le monde ?
 1) Jamel Debbouze présente un handicap au niveau de la main droite, à la suite d’un épisode traumatique survenu en janvier 1990 à Trappes (en région parisienne) mettant en jeu un train, et au cours duquel Jean-Paul A., une connaissance de Jamel, a été tuée par le train.
 2) À l’époque des faits, Jamel Debbouze n’était ni riche ni connu. S’agissant d’une personne issue de l’immigration, il ne bénéficiait d’aucun privilège particulier vis-à-vis de la police et de la justice. Ni la police, ni la justice n’avaient de raison de lui faire bénéficier d’un traitement de faveur quelconque.
 3) Après enquête de police, la justice a reconnu Jamel innocent (à deux reprises, semble t’il) de l’accusation d’homicide (volontaire et même involontaire).
 4) Les parents de la victime Jean-Paul A., qui vivent à des milliers de kilomètres de là, à la Réunion, sont bien entendu envahis par un chagrin insurmontable. Ils ne parviennent pas à faire le deuil de leur fils, et nourrissent une rancœur
infinie à l’égard de celui qui est associé au décès de leur fils et qui est toujours vivant (quoique handicapé) alors que leur fils est mort. Ils l’accusent d’avoir assassiné leur fils.

5) Jamel, innocenté par la justice, n’a pas engagé de recours en diffamation contre les parents de Jean-Paul A.


Source : Polo le magnifique, Lepost.fr

 http://dafinemkomori.centerblog.net/rub-chronique-sur-qui-est-qui--2.html

 

Chronique du Weekend: Sexe et Islam!

Publié le 08/06/2013 à 08:00 par dafinemkomori
Chronique du Weekend: Sexe et Islam!
Oubliez ce que vous croyez savoir sur le sexe dans l'islam!

Le poids des tabous dans l’islam n’est pas si lourd qu'on le pense. Dans un entretien avec l’islamologue Saïd Djab Elkheir, le site d’actualités Algérie Focus revient sur les idées fausses à propos de la sexualité dans l’islam.

Chercheur spécialisé dans le soufisme, un courant ésotérique qui prend ses racines dans le sunnisme, Saïd Djab Elkheir tient tout d’abord à démonter un cliché: "il est tout à fait possible de parler librement de sexe dans l’islam". Selon lui, les «premières générations de musulmans» pouvaient même exprimer publiquement leur insatisfaction sexuelle.

Si ce n’est plus le cas aujourd’hui, c’est à cause des traditions bédouines, avance-t-il. Ces mêmes traditions empêchent également l’éducation sexuelle aux adolescents alors que cette interdiction n’est inscrite nulle part dans le Coran, développe le chercheur.

Saïd Djab Elkheir remet également en cause les idées reçues sur la masturbation. Selon lui, «le Coran n’enseigne rien à ce sujet». Les hadîths qui la condamnent n’ont jamais été authentifiés par les muhaddits et à l’inverse, le penseur Ibn Hazm pourtant réputé pour son attitude stricte à propos de la religion, la juge même «vitale»! De même, l’importance de la virginité n’est pas mentionnée explicitement dans le Coran, nous apprend l’islamologue.
L’interview revient également sur les questions de l’homosexualité et des relations extraconjugales, généralement passibles de mort pour la plupart des musulmans. Pour le chercheur, des sentences aussi graves n’ont pas lieu d’être: "le Coran interdit bel et bien ces deux pratiques mais sans préciser l’ampleur de la sanction", argumente-t-il.
Saïd Djab Elkheir expose enfin les différences d’approche des questions de sexualité par les sunnites et les chiites. «Dans la société chiite la frustration sexuelle est bien moins prononcée que dans les communautés sunnites», déclare-t-il. Il explique que les chiites sont plus libres sur le plan sexuel notamment car ils pratiquent toujours le concept de «mariage de plaisir» (zawaj al-moutaa), une union temporaire qui permet aux couples d’entretenir des rapports sexuels légalement et religieusement acceptés.

Source:Slate Afrique; Lu pour vous sur Algérie Focus
                                     COMORES - KARIDJAPVENDZA

 

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 http://crepushair.com/blog/2013/05/tourisme-attention-lete-arrive/

Tourisme attention l’été arrive.
Crepushair    30 mai 2013    Société    3   

Tourisme sexuel, pedophile femmeL’été arrive, eux aussi débarquent.

Qui sont ces  » eux » qui débarquent ?

Les touristes, mais intéressons nous à une catégorie précise des touristes.

Les touristes adeptes du tourisme sexuel. Qu’il soit homme femme, l’été arrive Ils débarquent avec une idée précise en tête obtenir ce que je n’arrive pas a obtenir chez moi. TS pour touristes sexuels.
L’obtenir parce que je le veux, parce que mes moyens me le permettent, parce que l’autre est un objet.
L’autre l’objet à leurs yeux n’est qu’à consommer.
L’autre objet peut être une femme, un enfant, un homme mais l’autre vit souvent dans des pays dits pauvres. Et pourtant leurs terres riches en matières premières enrichissent souvent en dollar certains pays dit riches. Ces pays dans l’inconscient du TS est assimilé à pays pauvre. C’est la description qu’en fait son poste de télévision, c’est la description de ses médias.
Les autres le font alors pourquoi ne pas essayer, certains se considèrent en héros, pour eux ils permettent à leur proie de subvenir à leurs besoins. C’est leur BA (bonne action) de l’année.

Les TS sont organisés, tout comme les pédophiles ( bon nombre d’entre eux le sont aussi) ils agissent en réseaux. Ils, elles échangent, partagent sans gêne leur expérience, dans les salons de coiffure, des centres  Spa, certains étalent leur « choix » de vie dans les médias.
D’autres étalent leur mode de vie dans des livres comme le neveu de François Miterrand, Frédéric Miterrand et ex ministre de Nicolas Sarkozy dans « Mauvaise vie ». Tout comme ils partagent les bons plans restos, ils partagent les bons plans sexuels, les bons plans pédophiles. Les touristes sexuels ont leur destination préférée.

L’ONU a fait un classement de ces destinations ou l’euro vaut l’homme, vaut l’enfant ou le dollar vaut l’homme, vaut l’enfant. Et l’or qui équilibre ce dollar cet euro provient des terres riches de ces mêmes hommes. Les « Marie-Claires » elles, elles les préfèrent jeune tout comme monsieur.
La chair fraîche, la chair ferme, la jeunesse, les interdits, l’inaccessible contre quelques euros, quelques dollars.
Après tout certains le choisissent me direz-vous, mais l’enfant, lui choisit-il ?
Les destinations préférées des TS.
Cap Town est la ville prisée par les homosexuels.
« Bilan, sur les 1,5 million de touristes qui affluent …15% sont homosexuels, d’après le Cape Town Tourism.
Au Maroc il y a Marrakech très prisé par les français. Souvenez-vous des propos de l’ancien ministre français  de l’éducation nationale, de la fumée sans feu. Mais nous sommes au courant que ceux qui peuvent agir savent.
Banjul au Gambie est la destination favorite de nos collègues, de nos voisines pédophiles européennes. Certaines y vont pour le soleil, pour le shopping, pour le repos, d’autres pour l’enfant, pour le sexe avec des adolescents.
Dans ce petit pays d’un million d’habitants. 100 000 personnes affluent par an parmi eux des pédophiles et beaucoup de femmes pédophiles.
Au Sénégal il y a Sally la belle le paradis des retraités à la recherche de chaire fraîche.

Une liste trouvée des destinations féminines et des pédophiles sans oublier qu’une femme est un pédophile comme un autre. Cap-Vert, Gambie, Kenya, Thaïlande Madagascar, Maroc, Algérie, Sénégal, Tanzanie, Tunisie, Bahamas, Cuba, Haïti, Porto Rico, Colombie, Mexique, République dominicaine.

En Israël des agences de voyage se sont spécialisées en prestations touristiques à caractère sexuel.
De nombreuses associations locales et internationales se mobilisent pour réduire ce fléau.

Sources:

http://www.unicef.org/media/media_20825.html

http://www.00221.info/tak2/le-tourisme-sexuel-une-bombe-à-retardement

http://www.slateafrique.com/88/le-tourisme-sexuel-fait-des-ravages-en-afrique

http://www.courrierinternational.com/article/1999/07/01/tourisme-sexuel-les-femmes-aussi

   


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Tourisme attention l’été arrive.

Tourisme sexuel, pedophile femmeL’été arrive, eux aussi débarquent.
Qui sont ces  » eux » qui débarquent ?
Les touristes, mais intéressons nous à une catégorie précise des touristes.
Les touristes adeptes du tourisme sexuel. Qu’il soit homme femme, l’été arrive Ils débarquent avec une idée précise en tête obtenir ce que je n’arrive pas a obtenir chez moi. TS pour touristes sexuels.
L’obtenir parce que je le veux, parce que mes moyens me le permettent, parce que l’autre est un objet.
L’autre l’objet à leurs yeux n’est qu’à consommer.
L’autre objet peut être une femme, un enfant, un homme mais l’autre vit souvent dans des pays dits pauvres. Et pourtant leurs terres riches en matières premières enrichissent souvent en dollar certains pays dit riches. Ces pays dans l’inconscient du TS est assimilé à pays pauvre. C’est la description qu’en fait son poste de télévision, c’est la description de ses médias.
Les autres le font alors pourquoi ne pas essayer, certains se considèrent en héros, pour eux ils permettent à leur proie de subvenir à leurs besoins. C’est leur BA (bonne action) de l’année.
Les TS sont organisés, tout comme les pédophiles ( bon nombre d’entre eux le sont aussi) ils agissent en réseaux. Ils, elles échangent, partagent sans gêne leur expérience, dans les salons de coiffure, des centres  Spa, certains étalent leur « choix » de vie dans les médias.
D’autres étalent leur mode de vie dans des livres comme le neveu de François Miterrand, Frédéric Miterrand et ex ministre de Nicolas Sarkozy dans « Mauvaise vie ». Tout comme ils partagent les bons plans restos, ils partagent les bons plans sexuels, les bons plans pédophiles. Les touristes sexuels ont leur destination préférée.
L’ONU a fait un classement de ces destinations ou l’euro vaut l’homme, vaut l’enfant ou le dollar vaut l’homme, vaut l’enfant. Et l’or qui équilibre ce dollar cet euro provient des terres riches de ces mêmes hommes. Les « Marie-Claires » elles, elles les préfèrent jeune tout comme monsieur.
La chair fraîche, la chair ferme, la jeunesse, les interdits, l’inaccessible contre quelques euros, quelques dollars.
Après tout certains le choisissent me direz-vous, mais l’enfant, lui choisit-il ?
Les destinations préférées des TS.
Cap Town est la ville prisée par les homosexuels.
« Bilan, sur les 1,5 million de touristes qui affluent …15% sont homosexuels, d’après le Cape Town Tourism.
Au Maroc il y a Marrakech très prisé par les français. Souvenez-vous des propos de l’ancien ministre français  de l’éducation nationale, de la fumée sans feu. Mais nous sommes au courant que ceux qui peuvent agir savent.
Banjul au Gambie est la destination favorite de nos collègues, de nos voisines pédophiles européennes. Certaines y vont pour le soleil, pour le shopping, pour le repos, d’autres pour l’enfant, pour le sexe avec des adolescents.
Dans ce petit pays d’un million d’habitants. 100 000 personnes affluent par an parmi eux des pédophiles et beaucoup de femmes pédophiles.
Au Sénégal il y a Sally la belle le paradis des retraités à la recherche de chaire fraîche.
Une liste trouvée des destinations féminines et des pédophiles sans oublier qu’une femme est un pédophile comme un autre. Cap-Vert, Gambie, Kenya, Thaïlande Madagascar, Maroc, Algérie, Sénégal, Tanzanie, Tunisie, Bahamas, Cuba, Haïti, Porto Rico, Colombie, Mexique, République dominicaine.
En Israël des agences de voyage se sont spécialisées en prestations touristiques à caractère sexuel.
De nombreuses associations locales et internationales se mobilisent pour réduire ce fléau.
Sources:
http://www.unicef.org/media/media_20825.html
http://www.00221.info/tak2/le-tourisme-sexuel-une-bombe-à-retardement
http://www.slateafrique.com/88/le-tourisme-sexuel-fait-des-ravages-en-afrique
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Gambie ( 6 réactions )
Gigolos : à consommer sur place ou à emporter
Gambie(110)
26/03/2010 à 12:50 Par Delphine Barrais, à Banjul
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Les pistes de danse du quartier Sénégambia à Banjul, lieu de rencontre privilégié. Les pistes de danse du quartier Sénégambia à Banjul, lieu de rencontre privilégié. © Tiphaine Réto

Ils sont jeunes, beaux et ont besoin d’argent. Elles sont seules, en quête d’attention et plus si affinités. Ils se retrouvent sur les plages, et finissent parfois ensemble en Europe.

Badou a 24 ans et cherche une Blanche. Son terrain de chasse, c’est la plage. Il fait partie des groupes de bumsters, un terme local qui désigne les gigolos. Ils sont jeunes, travaillent leur musculation sous le soleil de Gambie et font fondre les quadras et les quinquas venues d’Europe s’encanailler sur les côtes africaines.

Les Européennes, selon Badou, « elles sont mieux, car au moins elles partagent ». Alors il drague du matin au soir. En journée, les jeunes gens exhibent leurs corps sculptés en bord de mer. À la nuit tombée, direction les salles de gym, fréquentées aussi par les Européennes, attirées là par le bouche-à-oreille. Plus tard, enfin, pendant la nuit, ils se retrouvent sur les pistes de danse, où ils rivalisent en déhanchements pour attirer le regard. L’objectif : faire connaissance, et plus si affinités. Les plus chanceux récupèrent en fin de journée un numéro de chambre où ils pourront retrouver leur belle, sous l’œil complaisant des hôteliers.

Avoir les faveurs de l’une de ces touristes, c’est accéder à l’un des quatre V : « villa, voiture, virement, visa ». « Je suis avec les Blanches pour l’argent », admet Boubacar, 27 ans et en quête d’une relation sérieuse depuis cinq ans. « Ici, il n’y a pas de boulot, et nous ne pouvons rien espérer d’autre. Je veux épouser une Blanche pour me tirer d’affaire et aider la famille. » En ligne de mire : un billet pour l’Europe.

« Le tourisme sexuel existe depuis toujours, indique le patron d’une des discothèques de Sénégambia, un quartier de Banjul, mais j’ai l’impression qu’il a pris une certaine ampleur depuis quelques années. » Le nombre de touristes qui arrivent avec l’idée précise de s’offrir une aventure exotique est de plus en plus important. Selon une étude de l’Unicef, environ 10 % des touristes cherchent une aventure sexuelle, soit plus de 80 millions de voyageurs. En Gambie, 70 % des touristes, selon une enquête auprès du personnel hôtelier, auraient le sexe pour principal motif de voyage.

Choisir la facilité

« Bien qu’encore marginal, le tourisme sexuel féminin augmente en Gambie, au Sénégal, en République dominicaine et en Jamaïque, où les femmes représenteraient jusqu’à 20 % des touristes sexuels, contre 5 % à 6 % dans le reste du monde », écrit la sociologue Mélanie Claude dans Prostitution et traite des êtres humains, paru en 2009.

Les femmes, de leur côté, parlent de solitude en Europe et de jeunesse retrouvée auprès de leurs amants. Ainsi, au Chosaan, restaurant réputé de Sénégambia, les couples se font et se défont à longueur d’année au rythme des percussions. « Imaginez une femme d’un certain âge, veuve ou divorcée, dont les enfants sont déjà partis, qui ne s’éclate pas dans son boulot ou qui s’ennuie à la retraite… Elle arrive ici et se trouve au centre des attentions, loin de toute contrainte sociale. Pourquoi ne pourrait-elle jouir de sa liberté ? » s’interroge Carmen, une Berlinoise de 51 ans, en vacances en Gambie.

« Il est vrai qu’on ne peut pas en vouloir aux femmes de venir prendre du plaisir, concède Junior Sam, un jeune chanteur de 25 ans, mais on peut en vouloir aux Gambiens de choisir la facilité. » Tous les soirs, il joue au Chosaan. Il est aux premières loges pour observer la valse des amants. « Je suis vraiment déçu que certains se laissent influencer par l’argent au point de ne plus se respecter. Mes chansons leur rappellent qu’il y a d’autres moyens de s’en sortir et, surtout, qu’ils doivent penser à se protéger en utilisant des préservatifs », poursuit-il.

Vu la manne financière de ce genre de tourisme, les pouvoirs publics ferment les yeux. « Je paie de nombreuses taxes à l’État, qui n’hésite pas à œuvrer en notre faveur », explique le patron de la discothèque à Sénégambia. « Pour preuve, il y a quelques semaines, les policiers sont venus ici pour contrôler et arrêter les prostituées et les bumsters. Pour nous qui vivons du tourisme, cela voulait dire un important manque à gagner. Nous sommes allés nous plaindre et avons été entendus », raconte-t-il.

Il n’y a pas que les professionnels du tourisme qui profitent de cette nouvelle clientèle. Les marabouts, également, consultés par les bumsters pour envoûter les toubabs, se frottent les mains. « Nous avons un pic de fréquentation à la saison touristique », reconnaît un de ces faiseurs de charmes. Bénéficiaire aussi, la famille, parfois même la petite amie, l’officielle. Celle qui un jour sera l’épouse et surtout la mère. Plus âgée, l’Européenne n’est pas une concurrente, elle ne donnera vraisemblablement pas de descendance.

« Même si aujourd’hui il fréquente des toubabs, je sais que Ndiaye me reviendra tôt ou tard », assure Codou, une jeune Gambienne de 22 ans, en parlant de son fiancé. « Il ne veut pas partir pour l’Europe, il travaille juste pour améliorer notre quotidien. » Les parents de Ndiaye, quant à eux, préfèrent éviter le sujet. Le tabou existe toujours.

Rêve de migration

Les hommes n’obtiennent pas toujours d’argent en échange de leur service, mais sont copieusement nourris le temps de la relation et reçoivent des cadeaux. Parfois, la relation ne dure que le temps des vacances, mais elle peut se prolonger et durer jusqu’à plusieurs années. Les plus chanceux se voient offrir un logement, une moto, voire une petite affaire. C’est le cas d’Ebrima, 25 ans. Sa « fiancée », une Hollandaise de 49 ans, pourtant peu fortunée, lui a donné de quoi ouvrir un café internet.

Vraies histoires d’amour ou simples histoires d’argent ? Il arrive que parfois les rêves s’effondrent. Des femmes abandonnées quelque temps après avoir réussi à faire venir en Europe leur jeune compagnon, ou qui se lassent de leur bel amant quand il n’est plus sous le soleil africain mais dans la grisaille de l’hémisphère Nord. Il y a aussi les bumsters qui s’accrochent pendant des années à leur rêve de migration, sans jamais parvenir ni à quitter leur terre ni à y fonder une famille. D’autres encore finissent en Europe, au service de leur maîtresse, privés de tout ou partie de leur liberté. « Après s’être envolé il y a deux ans pour la Grande-Bretagne au bras d’une épouse excessive, mon frère ne donne jamais de nouvelles, raconte Ahmed, 23 ans. Il est convaincu que “sa femme lui a confisqué ses papiers et le bloque en Europe”. »

Les candidats restent malgré tout nombreux. Ainsi, Boubacar, qui attend plein d’espoir le retour de l’un de ses amis, marié en Europe : « Il rentre au pays avec sa femme et des amies de sa femme. Il leur a déjà montré ma photo ! J’ai hâte de les rencontrer. »

 

 http://niarunblog.unblog.fr/actualites-dici-et-la-nouvo/de-quoi-sera-fait-demain/les-desillusions-du-%C2%ABprintemps-arabe%C2%BB/

les désillusions du «Printemps arabe»

**La face cachée des  »révolutions arabes »
Un ouvrage publié a Paris, dévoile les manipulations et traitements politiques et médiatiques abusifs des mouvements sociaux qui ont secoué les régions du Maghreb et Proche-Orient durant l’année 2011.   
Ce livre intitulé  » La face cachée des Révolutions arabes » est le résultat d’un travail réalisé par un groupe de 23 politiques et experts internationaux de nationalités différentes.
Montrer le vrai visage des révolutions arabes. tel est l’objectif d’un livre qui a été présenté jeudi à Paris. Intitulé La face cachée des Révolutions arabes, cet ouvrage dévoile «les manipulations et traitements politiques et médiatiques abusifs des mouvements sociaux qui ont secoué les régions du Maghreb et Proche-Orient durant l’année 2011, ainsi que leurs retombées négatives», ont expliqué les co-auteurs de ce livre qui sont un groupe de 23 politiques et experts internationaux de nationalités différentes dont deux Algériens, Mme Saïda Benhabyles et Ahmed Bensaâda. Dirigé par le Centre français de recherche sur le renseignement, sous la direction d’Eric Denécé, l’ouvrage en question a pour volonté de mettre la lumière sur les évènements qui ont touché le monde arabe. Son écriture est le résultat de deux missions d’évaluations, au cours de la même année, des conflits qui se sont produits dans le cadre du Printemps arabe en Libye et en Syrie. Suite à ces deux travaux d’évaluations, les auteurs ont ensuite jugé important d’élargir leur prospection par des témoignages et des analyses sur ce qu’a été le Printemps arabe dans d’autres pays (Egypte et Tunisie). Ce qui ressort de ces évaluations sont des positions claires qui dénoncent «la pensée dominante qui tend à faire de ces mouvements sociaux un événement spontané et positif pour les pays d’Afrique du Nord et du Proche-Orient», ont-il expliqué. Ce travail leur a ainsi permis d’aller à l’origine de ces «mouvements sociaux et de décrypter le jeu des acteurs nationaux qui ont participé à ces événements». Il s’agit aussi selon les auteurs, de décoder le jeu des acteurs internationaux qui ont contribué à faire éclore ces Printemps arabes tout en s’intéressant aux conséquences prévisibles à venir.
Le directeur du Centre français de recherche sur le renseignement, Eric Denécé, qui a été l’un des experts à faire la présentation de ce livre a insisté sur le fait que l’analyse approfondie des ces événements a permis aux auteurs de cet ouvrage de dégager des éléments qui rendent possible la compréhension de la réalité du phénomène derrière la vision «fabriquée» qui a été livrée à l’opinion internationale. Parmi ces éléments, il a notamment cité l’existence d’un malaise social réel mais instrumentalisé et la présence de Révolutions pilotées et mises en oeuvre par l’étranger afin de promouvoir des intérêts nationaux. Eric Denécé a également précisé que l’analyse à laquelle ont abouti les auteurs de cet ouvrage a dévoilé la mise en oeuvre de techniques éprouvées de manipulation des foules et de déstabilisation des régimes et révélé les conséquences néfastes de ces «Révolutions arabes» qui ne semblent pas, a-t-il estimé, être à la hauteur des espérances suscitées. Cet expert, a également révélé que les événement qui ont secoué le monde arabe étaient prémédités depuis déjà quelques années. «Les événements auxquels l’opinion internationale a assisté étaient en préparation depuis plusieurs années, bien que leur déclenchement n’ait pas été précisément planifié», a t-il assuré. Intervenant dans le débat, Richard Labévière, expert du Proche-Orient, a pour sa part, indiqué que ce qui a rassemblé l’entreprise de ce livre «est le concept de déconstruction». C’est dans ce sens qu’il a critiqué la couverture médiatique de ces événements. «Nous n’étions pas satisfaits par les couvertures médiatiques de ces évènements par la presse française et occidentale ainsi que par des chaînes de télévision satéllitaires arabes comme El Jazeera, Al Arabia ou autres médias», a-t-il souligné. «Il y avait donc, non seulement une urgence mais un intérêt à déconstruire ces accélérations de l’histoire, de mouvements sociaux, qui étaient très anciens, en Tunisie, en Egypte ou dans d’autres pays du Proche et du Moyen-Orient», a t-il ajouté. «Il s’agissait, par conséquent, d’essayer d’aller au-delà des affirmations de morale, souvent d’une presse trop pressée qui a qualifié trop hâtivement des mouvements sociaux de révolutions», a-t-il fait savoir. M.Labévière a ainsi déploré la perte de crédibilité considérable de certains grands journaux qui envoient en mission des journalistes généralistes qui ne font aucune lecture de ce qui se passe réellement, tout en précisant que cela est lié à des phénomènes économiques. Ce livre aura donc montré la face cachée du printemps arabe.
Les événement qui se passent ces derniers jours en Egypte et en Tunisie sont là pour confirmer les dires de ses auteurs…*L’Expression-09.12.2012.
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les désillusions du «Printemps arabe» abbassoutien_0
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Les gouvernements dits  »islamistes » ont lamentablement échoué!…selon certains observateurs
Les révoltes arabes qui ont accouché de gouvernements islamistes n’ont pas accompagné l’espoir fou de plus de liberté, de plus de justice, de moins de pauvreté… caressé par les peuples du Maghreb en particulier et d’Afrique du Nord en général. On leur attribue de surcroît des incompétences à conduire les affaires de leurs pays, notamment en matière économique. Ce dernier reproche représente le dénominateur commun attribué aux partis islamistes qui sont arrivés au pouvoir dans les pays de cette région par la voie des urnes. Il faut le souligner. Paradoxalement rejetés aujourd’hui par ceux-là même qui les ont portés à la tête de leurs pays respectifs. Une situation inédite? Certainement pas puisque l’Algérie a déjà connu ce type de scénario qui a fini par s’achever par des bains de sang pratiquement quotidiens dans les années 1990. Un phénomène que nos voisins avaient qualifié de spécifique à l’Algérie et qu’ils n’ont donc pas cru contagieux. L’Egypte vient de l’apprendre à ses dépens avec quelques nuances tout de même. Son président, Mohammed Morsi, a été destitué par l’armée après que des manifestants du mouvement Tamarod (rébellion) aient recueilli 22 millions de signatures demandant son départ. Tous ces paramètres combinés ajoutés à des positions rétrogrades affichées surtout en ce qui concerne le statut de la femme (polygamie, autorisation d’unions avec des filles pubères, excision…) ont rendu la situation explosive. Sur ce dernier point le phénomène est plus perceptible en Tunisie où la femme dispose pourtant d’un statut juridique unique dans le Monde arabe depuis la promulgation du code du statut personnel en 1956 par le président Bourguiba. Les lendemains s’annoncent malgré tout incertains pour elle. Le vent des révolutions qui a soufflé sur les pays du Maghreb et celui du pays des pharaons a ouvert une brèche dans laquelle se sont empressés de s’engouffrer les tenants de la tendance rigoriste de la religion musulmane. En Tunisie et en Libye considérées comme des fiefs du salafismes, les groupes islamistes armés ont fait leur nid alors que des prédicateurs font la promotion de leur idéologie au sein des universités et des mosquées. Des salafistes avaient envahi, le 15 septembre 2011, la basilique romaine du Kef (nord-ouest de la Tunisie, Ndlr) pour la transformer en mosquée. Le 9 octobre de la même année ils se sont attaqués à une chaîne de télévision privée alors que la veille des intégristes armés ont envahi l’Université de Sousse qui a refusé d’inscrire une étudiante en voile intégral (Niqab)…Dernier arrivé dans ce cercle infernal: le Maroc dont cinq ministres de l’Istiqlal ont claqué la porte de la coalition gouvernementale dirigée par les islamistes du PJD (Parti de la justice et du développement). Le souverain marocain a accepté leur démission tout en les sommant d’expédier les affaires courantes… Un premier signe qui indique que la crise est désormais ouverte. Le chef du gouvernement marocain à qui il est reproché les mêmes «tares» que le président égyptien par son allié d’hier, arrivera t-il à surmonter cette épreuve? Le Maroc connaîtra t-il des troubles du même type que ceux qui ont déstabilisé les islamistes du pays des pharaons? Le secrétaire général de l’Istiqlal qui avait mis en exergue l’incapacité du chef du gouvernement marocain à prendre «en considération la gravité de la situation économique et sociale» lui avait en outre conseillé de prendre acte de l’éviction de son «frère et ami», le chef de l’Etat égyptien, Mohamed Morsi…Benkirane qui a obtenu le feu vert de Mohammed VI pour former un nouveau gouvernement est désormais mis à contribution..*L’Expression-25.07.2013.
Réaction d’un internaute: Mais, dans la réalité du pouvoir au Maroc, toute cette mise en scène n’est que du  »cinéma »-Les rènes du pouvoir sont détenues par d’autres mains invisibles au citoyen lambda désespéré qui subit chaque jour les effets négatifs de cette politique monarchique… 
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Tunisie: un député de l’opposition assassiné
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Un député de l’opposition de gauche, Mohamed Brahmi, a été abattu jeudi -25.07.2013, près de Tunis, sa famille et ses partisans accusent les islamistes au pouvoir d’être derrière l’assassinat.
**Voiture piégée à Tunis
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Son corps a été criblé de balles devant son épouse et ses enfants
« Allah Akbar (Dieu est grand), Mohamed Brahmi a été tué, son corps a été criblé de balles devant son épouse et ses enfants », a déclaré, en pleurs, à la radio, Mohsen Nabti, membre du bureau politique du Mouvement populaire, une petite formation de gauche. La télévision Watanya a précisé que M. Brahmi avait été abattu par onze balles tirées à bout portant par des inconnus.
Deuxième assassinat du genre
L’assassinat de Mohamed Brahmi est le deuxième du genre après celui de l’opposant Chokri Belaïd, tué également par balles le 6 février 2013, devant son domicile. Le meurtre de ce dernier avait provoqué une grave crise politique dans le pays.

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La nouvelle a secoué les Tunisiens en cette journée chômée marquant le 56e anniversaire de la République et des centaines de personnes ont afflué dans le centre de la capitale pour dénoncer l’assassinat, accusant eux aussi le parti Ennahda, qui a démenti toute implication.
Cet assassinat intervient près de six mois après celui de Chokri Belaïd, une autre figure de la gauche tunisienne. Sa famille avait aussi accusé Ennahda, qui avait là aussi démenti toute implication. Le pouvoir avait imputé ce crime à un groupuscule islamiste radical.
A l’étranger, la France, les Etats-Unis, la Suisse, l’Algérie et le Parlement européen ont dénoncé l’assassinat et la Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’Homme Navi Pillay a demandé « une enquête rapide et transparente ».
« M. Brahmi a été assassiné par balles au sortir de son domicile », a laconiquement annoncé le ministère de l’Intérieur dans un communiqué, sans préciser les circonstances.
Selon la télévision nationale Watanya et l’agence officielle TAP, Mohamed Brahmi, coordinateur général du Mouvement populaire et membre de l’Assemblée nationale constituante (ANC), a été assassiné par balles devant son domicile dans la région de l’Ariana », au nord de Tunis.
« Son corps a été criblé de balles devant son épouse et ses enfants », a déclaré à la radio, Mohsen Nabti, membre du bureau politique du Mouvement populaire.
D’après la télévision, il a été abattu par onze balles tirées à bout portant par des inconnus.
La principale centrale syndicale tunisienne (UGTT) a annoncé dans un communiqué une grève générale vendredi après ce « crime odieux » et en réponse, la compagnie Tunisair et sa filiale Tunisiar Express ont annoné l’annulation de tous les vols programmés vendredi.
Homme rond à la moustache touffue et au teint basané, Mohamed Brahmi, 58 ans, avait été élu député à Sidi Bouzid, le berceau de la révolution qui a renversé le régime de Ben Ali en 2011.
Cet homme très critique des islamistes avait démissionné le 7 juillet de son poste de secrétaire général du Mouvement populaire, mouvement qu’il a fondé, en déclarant que sa formation avait été infiltrée par les islamistes.
Sa famille a imputé l’assassinat au parti au pouvoir. « J’accuse Ennahda », a déclaré en pleurs Chhiba Brahmi, la soeur du défunt, sans avancer de preuves.
Dans une déclaration à l’AFP, le chef d’Ennahda Rached Ghannouchi a rejeté ces accusations affirmant que les commanditaires veulent mener le pays vers une « guerre civile » et « perturber la transition démocratique ».
Dans une allocution télévisée, le président tunisien Moncef Marzouki a parlé d’une « deuxième catastrophe nationale » après la mort de Belaïd.
« Les responsables de ce drame veulent montrer que la Tunisie (…) peut basculer elle aussi (dans la violence), ils veulent démontrer que le Printemps arabe a échoué », a-t-il déclaré en référence à l’Egypte où des violences meurtrières ont lieu depuis le renversement par l’armée le 3 juillet du président islamiste.
Le chef du gouvernement Ali Larayedh a appelé les Tunisiens au calme, soulignant que cet assassinat « ne doit pas être exploité pour semer le trouble et inciter les Tunisiens à s’entretuer ».
Des centaines de Tunisiens ont manifesté dans le centre de Tunis et en province, notamment à Sidi Bouzid, région natale de Mohamed Brahmi.
« La Tunisie est libre, dégagez les Frères », ont scandé des manifestants dans la capitale, en référence aux relations étroites entre Ennahda et la confrérie des Frères musulmans en Egypte.
« Ghannouchi assassin », « Ennahda doit tomber aujourd’hui », « l’Assemblée constituante doit être dissoute », ont-ils crié sur l’avenue Habib Bourguiba, dans le centre-ville aussitôt la nouvelle de l’assassinat connue.
Après une accalmie à l’heure de rupture du jeûne de ramadan, les manifestations ont repris dans la soirée et la police a tiré des gaz lacrymogènes quand ils ont voulu installé une tente pour un sit-in « jusqu’à la chute du pouvoir islamiste ».
A Sidi Bouzid, les manifestants ont envahi le siège du gouvernorat et incendié des bureaux, selon un journaliste de l’AFP. Là aussi, la police a dispersé les manifestants à coup de bombes lacrymogènes.
Dans la même région, à Menzel Bouzaïane, les manifestants ont saccagé les locaux du parti islamiste en criant « A bas les obscurantistes, Ennahda et salafistes », en référence aux groupes islamistes radicaux.*AFP-25.07.2013.

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Les fruits amères du «printemps arabe»
Les mauvaises graines semées au «printemps arabe», en 2011, n’ont pas tardé à donner leurs fruits pourris. Après la Libye où le chaos a été de toute évidence programmé par les pays occidentaux qui ont provoqué la chute de Mouammar Kadhafi, par son assassinat, c’est au tour de l’Egypte et de la Tunisie de connaître les affres d’une transition voulue par ces mêmes pays occidentaux. Les nouvelles qui proviennent de ces deux pays sont dramatiques et n’incitent pas à l’optimisme. Le terrorisme fait ses premières victimes en plus des affrontements violents entre pro et anti-Morsi en Egypte en attendant les violences entre pro et anti-Ennahda en Tunisie. C’est peu dire que la tension monte dans ces deux pays. En Tunisie particulièrement où l’assassinat du député de gauche Mohamed Brahmi a créé une situation nouvelle en radicalisant l’opposition au pouvoir d’Ennahda et en ouvrant la voie à un scénario à l’égyptienne, c’est-à-dire de grandioses manifestations populaires, l’intervention de l’armée, l’éviction des islamistes du pouvoir et la désignation de nouvelles autorités pour remettre la transition sur la voie souhaitée par la population, vers la résolution des problèmes socioéconomiques réels que rencontre la Tunisie. Dans ce pays, les problèmes du chômage, de la misère, de la corruption, se posent, à peu près, avec la même acuité qu’en Egypte. Non seulement, ils n’ont pas disparu après la «révolution» mais ont même connu une aggravation avec l’arrivée au pouvoir des islamistes d’Ennahda dirigé par Ghannouchi. Les indicateurs qui reflètent l’état de l’économie sont très mauvais : taux de chômage élevé, niveau des recettes extérieures très faible, pouvoir d’achat complètement érodé… Mais le pire est qu’Ennahda, en sous-main, facilite les activités des extrémistes islamistes et même encourage le terrorisme, comme le soulignent nombre d’observateurs tunisiens et étrangers qui connaissent bien la situation dans ce pays. La violence armée et le risque d’actions terroristes ont déjà créé un climat d’insécurité alimenté par ailleurs par une situation sociale détériorée. C’est cela le «printemps arabe» ? *Par Kamel Moulfi -AlgériePatriotique-27.07.2013.
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Colloque d’El Khabar
*Les femmes «premières victimes» du Printemps arabe
Le Printemps arabe a-t-il trahi les femmes ? En première ligne, tout au long des manifestations qui ont abouti à un changement de régime en Tunisie et en Egypte, elles subissent aujourd’hui le «retour de bâton».
Le quotidien El Khabar a organisé, hier, à la faculté des sciences politiques d’Alger un colloque ayant pour thème «Les femmes et le Printemps arabe». Des femmes et militantes ont ainsi été invitées à exposer la situation de leurs pays respectifs : Raja Ben Slama, psychanalyste tunisienne, professeur à l’université de Tunis, l’Egyptienne Marry Danial, activiste politique, la Syrienne Lama Tayara, femme de média et de critique cinématographique, ainsi que Samia Belkadi, journaliste algérienne au quotidien El Khabar. La modératrice du débat était la linguiste et professeur Khaoula Taleb Ibrahimi. Les intervenantes tiennent, tout d’abord, à réfuter le concept de «printemps». Elles préfèrent ainsi parler de «révolutions et de contre-révolutions» qui sont toujours en cours.
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Ces «mouvements», en dépit de leurs différences, se rejoignent en une grande ligne : la femme. Elles ont ainsi été les premières «victimes» de ces bouleversements. Au Caire, la répression contre la gent féminine, (agression sexuelle, tests de virginité et autres sévices), s’est ainsi manifestée au début même de la révolution de la place Tahrir. En Syrie, le violent conflit, qui perdure, touche durement les femmes dans leur citoyenneté et dans leur féminité. «Elles se retrouvent sans hommes, puisqu’ils sont tous partis, mobilisés ou morts, et sont exposées à tous les dangers», relate Mme Tayara. En Tunisie la «condition féminine» s’est retrouvée prise en otage par des islamistes arrivés au sommet de l’Etat. «Une fois au pouvoir, ils se sont rendus compte qu’ils n’avaient aucun programme sérieux.
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Alors ils se sont tournés vers la gent féminine», ironise Raja Ben Slama. Puis, plus sérieuse, elle avoue ne pas comprendre cette politique, et ce raisonnement qui, au final, ne s’inquiète que d’une chose. «Contrôler et régenter la vie de la femme, ses libertés, ses droits et sa sexualité», déplore la psychanalyste tunisienne. «Nous savons aujourd’hui que ce ne sont pas ces révolutions contre un pouvoir qui garantiront pleinement aux femmes le respect de leurs droits, qu’elles soient Syriennes ou issues d’un autre pays du Monde arabe. Dans de nombreux pays, les citoyens ne respectent aucun des préceptes de l’islam. Sauf, évidemment, lorsqu’il s’agit des ‘traditions’ rétrogrades qui maintiennent la soumission de la femme», insiste Lama Tayara.
«Révolutionner les mentalités archaïques»
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«Dès lors, ce qu’il faut, c’est une révolution contre cette société rétrograde et discriminatoire envers le sexe féminin», conclut-elle. Même son de cloche pour l’Algérienne. «Il y a de nombreuses discriminations envers les femmes. Pourtant des lois existent, mais qui doivent évidemment être améliorées. Mais ces discriminations viennent et sont perpétuées par la société, les citoyens, hommes et femmes. Ce qui doit être changé, ce sont donc les mentalités archaïques», affirme la journaliste Samia Belkadi. Pourtant, les révolutions et contre-révolutions, qui ont ébranlé les sociétés, et en dépit des nombreuses menaces qu’elles font peser sur les femmes, sont aussi à leur profit. Car dans ces situations où aucun relâchement n’est permis, aucune trêve ne devant être concédée, et ce, au risque de voir les acquis confisqués, les femmes se doivent d’être omniprésentes. «Cela se fait à notre profit, car les femmes sont dans la rue», se réjouit la Tunisienne.

Elles manifestent, elles occupent les espaces publics, elles osent dire tout haut, ce que l’on voudrait qu’elles cachent. Et cette mobilisation a porté ses fruits, en Tunisie par exemple. «La Constitution ne sera pas basée sur la charia, contrairement à ce qui était réclamé par les conservateurs. De même, les acquis du statut personnel ne seront pas remis en question, en perpétuant l’égalité entre femmes et hommes, et non la complémentarité», explique Mme Ben Slama. De même, en Syrie, «aujourd’hui les Syriens ont pris conscience de la valeur de la femme et que rien ne se fera sans elles».* Ghania Lassal -El Watan–04.03.2013.
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**Tous les pays visés par la vague du «printemps arabe» sont en ébullition permanente.
Partout, c’est la désillusion, après une brève période d’euphorie qui a laissé croire que la démocratie allait s’instaurer comme par enchantement.
L’Egypte que certaines capitales occidentales présentaient comme un modèle de réussite de la transition démocratique, est en train de revenir à la case de départ, avec, en toile de fond, une guerre idéologique qui risque de prendre des proportions très dangereuses.
Trois mois après l’élection du candidat des Frères musulmans, à la tête du pays, les Egyptiens découvrent toutes les sournoiseries de la confrérie, qui semble pressée d’instaurer un Etat théologique.
Le président Mohamed Morsi, dont les tentations despotiques sont clairement affichées, a profité du succès de sa médiation entre le Hamas palestinien et Israel, pour tenter ce nouveau coup de force, pour imposer un projet de constitution qui divise le pays, tandis que des centaines de milliers d’islamistes ont été mobilisés pour le soutenir.
«Le projet de Constitution exprime les objectifs de la révolution » qui a renversé Hosni Moubarak en février 2011, a déclaré M. Morsi en appelant tous les Egyptiens, qu’ils soient pour ou contre le projet, à se prononcer.
Dans la journée d’hier, des centaines de milliers d’islamistes ont manifesté en soutien à M. Morsi, au lendemain d’un rassemblement massif de l’opposition contre le renforcement des pouvoirs du président et le projet de Constitution, accusé de porter atteinte à la liberté de religion et d’expression. Il s’agit de la crise politique la plus grave en Egypte depuis l’élection en juin de M. Morsi, issu des Frères musulmans. Les divisions sont de plus en plus profondes entre la mouvance islamiste et les groupes laïcs, de gauche et chrétiens.
Après des mois de blocage, le projet de Constitution a été adopté en quelques heures entre jeudi et vendredi par la commission, boycottée par l’opposition de gauche et laïque ainsi que par les églises chrétiennes, qui dénoncent la mainmise des islamistes. «Morsi soumet à référendum un projet de Constitution qui sape les libertés fondamentales et viole les valeurs universelles. La lutte continue», a lancé samedi soir l’opposant Mohamed El-Baradei.
Comme dans l’ancienne Constitution, le nouveau texte fait des «principes de la charia» la «source principale de la législation», une formulation assez consensuelle en Egypte. Mais il ajoute une nouvelle disposition selon laquelle les principes de la charia doivent être interprétés selon la doctrine sunnite, ce que certains considèrent comme une possibilité de renforcer la place de la loi islamique, en particulier dans ses interprétations les plus rigoristes.
Le projet accorde également à l’Etat un rôle de «protection de la moralité» et interdit «l’insulte des personnes humaines» et des «prophètes », des dispositions qui pourraient ouvrir la voie à la censure. La Tunisie au bord du gouffre En Tunisie, la situation est encore plus dramatique, avec le spectre de l’insécurité qui menace la cohésion nationale.
Les derniers événements de Siliana, où la population demande le départ du wali, montrent l’extrême vulnérabilité de l’autorité politique actuelle. Ce qui a amené le président (non-élu) Moncef Marzouki a appeler à la formation d’un gouvernement restreint «pour stabiliser le pays», le cabinet actuel se montrant selon lui incapable de répondre aux attentes de la population.
Or, tout le monde sait en Tunisie que c’est le mouvement Ennahda, qui décidera du maintien ou non de l’actuel gouvernement qui est issu de ses rangs. M. Marzouki, a indiqué avoir «peur» que les violences, déclenchées par l’exaspération de la population face à la misère, ne s’étendent.
La hantise d’un embrasement social similaire à celui qui avait emporté l’ancien président Ben-Ali, à quelques jours du deuxième anniversaire, du début de la «révolution », est vécue comme une menace sérieuse sur la coalition au pouvoir, déjà fragilisé au cours de ces derniers mois par les attaques menées par des groupuscules salafistes.* 03 Décembre 2012-La nouvelle république.
**Tunisie: 80 coups de fouet pour les «rumeurs infondées»
Lors de son prêche d’avant-hier, vendredi 28 décembre, tenu au siège central d’Ennahda, le président du mouvement, cheikh Rached Ghannouchi, a rappelé que «la loi islamique punit par 80 coups de fouet ceux qui relaient des rumeurs infondées».
Rached Ghannouchi a ainsi répondu d’une manière à peine voilée aux propos touchant son gendre, le ministre tunisien des Affaires étrangères, Rafik Ben Abdessalem, en rapport avec ce que les médias tunisiens appellent désormais «Sheraton Gate».
Il s’agit de factures publiées par la blogueuse Olfa Riahi concernant six nuitées séparées passées par ledit ministre à l’hôtel Sheraton de Tunis, situé devant le ministère. Lesdites factures ont été payées par les soins de l’administration, «ce qui correspondrait à de la mauvaise gestion», selon la blogueuse.

Cette dernière a également rapporté que M. Abdessalem a personnellement payé, en liquide, le séjour d’une dame au même hôtel pour la nuit du 18 juin 2012, nuitée que le ministre a lui aussi passée au Sheraton. «Il s’agit d’une cousine, qui est venue me voir pour une question familiale. Comme je me suis attardé au travail, je n’ai pu la recevoir au bureau. J’ai dû lui réserver une chambre à l’hôtel parce qu’il y avait un couvre-feu, suite aux incidents du musée Ebdelliya à la Marsa», a expliqué le ministre aux médias.
Ces propos ont suscité beaucoup de rumeurs, portant aussi bien sur la mauvaise gestion que sur l’adultère. La dame concernée est alors montée au créneau pour déclarer sur les ondes d’une radio «être la cousine du ministre». Malgré toutes ces déclarations, les spéculations n’ont pas baissé d’intensité.
Donc, c’est pour éviter que de tels propos n’enveniment la vie interne du parti et, éventuellement, la vie familiale de son gendre, que Rached Ghannouchi a rappelé les 80 coups de fouet de la loi islamique concernant la rumeur infondée. Toutefois, au-delà de cette question d’adultère qui demeure du domaine privé, les observateurs s’interrogent s’il est normal qu’un fonctionnaire passe ses nuits à l’hôtel sur les deniers du ministère alors que son logement se trouve à quelques centaines de mètres, sans qu’il s’agisse de mauvaise gestion.*El Watan-30.12.2012.
**Les pays du «printemps arabe» dans la tourmente
Les manifestations et les heurts se poursuivent dans les pays secoués par le dit «Printemps arabe». Que se soit en Tunisie, Egypte ou en Libye, les nouveaux dirigeants trouvent d’énormes difficultés à gouverner et se voient de plus en plus contestés par les citoyens qui ne trouvent pas autre que d’occuper la rue pour s’exprimer.
La Tunisie berceau des «révolutions» arabes continue de manger son pain noir et ce, malgré l’installation d’un Président et d’un Parlement issus des parties politiques, vainqueur dans les dernières élections. La capitale tunisienne et les autres régions du pays sont paralysées alors que les troubles à l’ordre public sont au quotidien. Au moment où nous rédigeons ce papier de violents heurts opposent les forces de l’ordre et les manifestants à Seliana. Les citoyens de cette ville réclament le départ du gouverneur issu du parti d’Ennahda mais le gouvernement refuse de satisfaire la revendication de la population. Samedi, l’armée qui a été contrainte d’intervenir pour séparer les forces de police et les manifestants, a fini de se retirer après que le ministre de l’Intérieur s’est opposé à cette médiation. Au même moment de milliers de manifestants de la capitale se sont dirigés vers le siège du ministère de l’Intérieur en guise de soutien aux citoyens de seliana. Dans un dernier sursaut, la population menace de quitter la ville (hommes, femmes et enfants) et de marcher vers la capitale si toutefois le gouverneur ne sera pas démis de ses fonction. Les affrontements entre force de l’ordre ont fait jusqu’ici plus de 400 blessés dans les deux camps. En Egypte, la situation de dégrade de plus en plus surtout après que le président Mohamed Morsi issu de la confrérie des islamistes a tenté de renforcer ses pouvoirs par le biais d’un projet de Constitution. La situation a pris une autre tournure lorsque le président Morsi qui a mis main basse sur l’armée s’est permis de limoger le procureur général de la haute Cour. Cet état de fait est la goutte qui a fait déborder le vase et a créé un climat de tension dans l’ensemble des villes egyptiennes. En réaction à ces décisions, des milliers de manifestants occupent la place Tahrir au centre du Caire réclamant le retrait du projet de la Constitution. Le débrayage mené par plus de 15 partis politiques se poursuit depuis plus d’une semaine et s’est propagé à Alexandrie et dans plusieurs autres villes du pays. Des contres- manifestations ont été également organisées par le courant islamiste dans plusieurs villes. Les échauffourées et les affrontements mettant au prise les deux camps et les forces de l’ordre ont fait plus 2 décès parmi les manifestants et plus de 600 blessés. C’est le même cas en Libye où la situation demeure toujours confuse. Les dernières élections organisées il y a quelques jours n’ont rien apportées de nouveau et tout peut basculer à n’importe quel moment. Les armes utilisées durant la dite «révolution» sont toujours aux mains des ex-rebelles alors que les enlèvements, les règlement de compte et les assassinats se poursuivent. Il y a quelques jours, un tribunal militaire a officiellement convoqué l’ex-président du CNT, Mustapha Abdeljalil afin qu’il soit entendu dans l’affaire de l’assassinat du général Abdelfatah Younes. Une éventuelle implication du premier responsable de la dite révolution enflammerait de plus en plus la situation déjà explosive. En somme, contrairement à ce que s’attendaient certains «naïfs» qui croyaient à l’instauration de la démocratie, la paix et sérénité dans ces pays, c’est le contraire qui s’est produit et le pire est à craindre à l’horizon.* INR-02.12.2012

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 http://www.courrierinternational.com/files/imagecache/dossier/illustrations/article/2012/10/1147/1147-femme2.jpg

 

 http://fluctuat.premiere.fr/Societe/News/Quand-la-France-promouvait-le-tourisme-sexuel-3228670

Quand la France promouvait le tourisme sexuel

04/11/2009 - 14h53

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Voilà qui pourrait donner un peu de piment au débat sur l'identité nationale voulu par Eric Besson. Si l'histoire de la colonisation française est encore un sujet qui fâche, c'est aussi parce qu'on découvre tous les jours des histoires oubliées du passé, qui resurgissent grâce aux historiens et montrent combien la France a définitivement marqué les pays qu'elle a conquis. En bien comme en mal, certes, mais alors, , je dis chapeau. Dans leur grande mission civilisatrice du monde sauvage, les autorités françaises décident, lorsque le Maroc devient le protectorat qu'elle domine en 1912, de faire de Rabat la capitale politique, et Casablanca le pôle économique du royaume. Les prostituées qui y vivent font peur, surtout à cause de la syphilis. Pour limiter les dégâts hygiéniques, on décide de les
parquer grouper et contrôler dans un coin de la médina construit par le promoteur immobilier Prosper Ferrieu. Le quartier devient connu sous le nom de "Bousbir" et il a tendance à énerver le Résident général au Maroc, Hubert Lyautey, notamment parce qu'il se trouve juste à côté du centre-ville construit par les Français. Le quartier est déplacé loin des regards, mais il n'empêche, Bousbir devient un vrai bordel à ciel ouvert. 600 à 900 prostituées, 24 000 m², une ligne de bus directe depuis le centre : les Français semblent très bien se débrouiller en économie du sexe (la même chose existe à Alger depuis très longtemps). Arabes, Français expatriés et touristes européens s'y bousculent, dans un décor orientalisant qui a de quoi faire fantasmer les visiteurs sur des images dignes des Mille et une nuits. On écrit dans les guides de l'époque : "Les touristes amateurs d'études de moeurs (sont invités) à gagner la ville close de Bousbir, quartier neuf réservé aux femmes publiques (...) Un cadre qui ne manque pas de poésie." La vérité, c'est que les prostituées y vivent comme en prison, sont astreintes aux visites médicales régulières, peuvent commencer dès l'âge de 12 ans et finir usées à 25. Si elles sont surtout recrutées par les matrones qui gèrent les maisons de passe de Bousbir, la police met aussi la main à la pâte. Devant un tel succès, les Bousbir se multiplient dans tout le Maroc, en même temps que la prostitution clandestine fleurit, remettant en cause la politique française de confinement du sexe marchand. En 1946, les maisons closes sont interdites en France, mais pas les Bousbir, sous prétexte de "l'état sous-développé de la civilisation sexuelle au Maroc" ! Bousbir sera finalement fermé en 1953 et complètement remanié après l'indépendance, pour devenir aujourd'hui méconaissable, lavé de son passé. Via : Un très bon article de la revue marocaine Tel Quel, envoyé par Didier, que je remercie.
Par Mon Missionnaire

 

 

 

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 CONSTANTINE, CAPITALE DE LA CULTURE
Le coordinateur fixe les objectifs
Publié dans Constantine Jeudi, 02 octobre 2014  Augmenter la taille de police

M. Samir Bencheikh El Hocine coordinateur de Constantine capitale de la culture arabe en 2015 a, hier, à l’occasion d’une conférence-débat, donné les grandes lignes mettant l’accent sur les objectifs et les résultats attendus. Le coordinateur tranchera dès l’abord dans le vif en soulignant qu’il ne s’agit pas uniquement d’organiser des cérémonies durant lesquelles l’on écoute de la musique, l’on voit des pièces théâtrales et puis l’on s’en va sans aucune suite ». Ce sera une fête partagée par l’ensemble de la population au sein de la wilaya et au delà à travers la région Est. Une fête partagée et multidimensionnelle à laquelle prendront part des artistes, des créateurs, des producteurs mais également tous ceux qui se nourrissent de la culture comme élément de base à l’organisation d’une société moderne. Les manifestations culturelles durant l’année 2015 ne concernent pas uniquement le chef- lieu mais se dérouleront par rotation successive dans les 12 communes de la wilaya. Enfin, ajoutera-t-il, les 15 wilayas limitrophes seront de la fête. Ainsi les troupes étrangères invitées se  produiront également à Batna, Sétif, Annaba et Skikda ce qui abordera largement les frontières de la capitale de l’Est en raison de l’importance de l’impact de la manifestation. A une question sur la préparation de celle-ci du point de vue immatériel, le coordinateur dira que les responsables à tous les niveaux sont mobilisés pour atteindre les objectifs fixés pour donner crédit et consistance au premier rang des événements culturels en Algérie.
Lu 55 fois
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 بــقلـم :  بلواسع .ج
يـــوم :   2014-10-02
‎برقيات البيض
أضحى نقطة سوداء بالطريق الوطني رقم 47 وادي القبور .. مقبرة الموت

    علمت الجمهورية أول أمس بان سائقين نجايا بأعجوبة أحدهما من وادي القبور حين أراد إجتياز المياه الجارية بسيارته رباعية الدفع التي أصيبت بأضرارا أما السائق الأخر كان على متن سيارة من نوع "سنبول " جرفتها السيول بضواحي وادي عين لعراك بالحجرة الكليومليمترية رقم 133 وهذا حسب ما علم من مصادر مطلعة وكذلك عرفت حركة المرور شللا مؤقتا عند الحجرة الكلوملمترية 102 أين توقف توافد المسافرين (حسب تعبير بعضهم ) بالطريق الوطني 47 بالقرب من قرية الديغم وأضافت مصادر من قطاع الأشغال العمومية بالأبيض سيدي الشيخ بان عند الحجرة الكيلومليميترية رقم 117 شهدت حواف المنشأ الفني المتواجد بضواحي منطقة 36 تأكلا لأتربة الربط بالطريق نظرا لقوة السيول الجارفة تدخلت مصالح الأشغال العمومية في فتح الطريق بمعظم النقاط السوداء ومن جهة أخرى عرف الطريق الرابط بين معظم المناطق الجنوبية لدائرة بريزينة بولاية البيض تعثرا في حركة المرور لسعات  بسبب بقاء جسر(( قويرات لحبار)) الذي تحطم وإنهيار جزء هام منه منذ فيضانات السنوات الأخيرة  ولا يزال السكان لاسيما المسافرون  ينتظرون إعادة ترميمه الذي يتسبب في عزلتهم وأكدت مصادر من القطاع من دائرة بوعلام بان المشروع قيد الدراسة سينطلق في الأفاق القريبة لإعادة بناء الجسر . وللتذكير بان من أهم النقاط السوداء التي تحصد سنويا في موسم الأمطار والفيضانات يأتي في المقدمة وادي القبور الذي يقع في منعرج خطير يطل على منحدر حاد بالطريق الوطني 47 جنوب بلدية عين لعراك حيث يشهد يوميا المئات من الرحلات بإتجاه معظم مناطق الوطن مرورا بخريطة ولاية البيض وسجل بعرض وادي القبور هلاك عائلة بأكملها خلال سنة 2010 وأخر حادث مأساوي راح ضحيته شخص من عين الصفراء الخميس الماضي وبغض النظر عن ما شهده من حوادث مرور خلال خروج الحيوانات التي تنتشر على ضفافه.                

 

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 HADJAR EDDIS SOUS LE CHOC
Elle tue son ancienne collègue et se suicide
Publié dans Annaba Jeudi, 02 octobre 2014

Elle tue son ancienne collègue et se suicide

Un drame affreux a secoué la localité de Hadjar Eddis en cette matinée d’hier vers les dix heures lorsqu’une forcenée avait planté à plusieurs reprises un couteau dans la poitrine de son ancienne collègue. Amel, la première victime est une vendeuse de vêtements et de souliers féminins dans un magasin nouvellement ouvert. Son agresseur Ghoraïssa qui réside au quartier « Faoudhaoui » et qui venait d’être renvoyée par le propriétaire il y a quelques temps de cela ruminait une vengeance assassine et c’était hors d’elle qu’elle s’était présentée au local commercial pour s’accrocher avec ce qu’elle considérait comme étant la cause de son renvoi. En tous les cas, c’est la version colportée par les personnes présentes. La bagarre étant violente, puisque les effets tombaient à terre et les cris avaient alerté les passants. C’est alors que la jeune Amel âgée de 23 ans était sortie en courant toute en sang pour tomber devant le magasin qui fait face au lieu du crime. Elle venait de perdre la vie suite aux coups que lui avait assénés son ancienne collègue. Cette dernière âgée également de 23 ans avait alors retourné la lame pour la planter dans son propre corps et se taillader les veines. Une foule immense s’était rassemblée devant le corps inerte de la victime pendant qu’on installait sur une chaise celle qui avait tenté de se suicider. Aux dernières nouvelles elle serait également morte. La Protection civile et la Gendarmerie nationale sur les lieux n’ont fait que constater les dégâts en attendant l’arrivée du Procureur de la République près le Tribunal d’El-Hadjar qui avait alors ordonné l’enlèvement des deux corps. L’enquête diligentée par les gendarmes va sûrement donner les raisons véritables de cette bagarre qui s’est terminée tragiquement. Deux jeunes filles à la fleur de l’âge ont ainsi perdu bêtement la vie et laissent derrière elles des familles endeuillées.

Ahmed Chabi
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 بــقلـم :
يـــوم :   2014-10-02
راديوز تهدي كبش العيد لمسني دار العجزة وعائلة الصحفي المرحوم بختي بن عودة
المصور :

تزامنا وعيد الأضحى المبارك، خصصت   جمعية راديوز ، كباشا للمعوزين وفاء لتقاليدها في إطار التضامن الانساني مع العائلات المحتاجة ، ضحايا الواجب الوطني، قدامى الرياضيين والمسنين.
 مستهل الزيارة، قادت جمعية راديوز وأعضائها الشرفيين نحو  دار العجزة والمسنين،حيث أهدت اضااحي العيد في أجواء مؤثرة صنعت   جوا عائليا تقشعر له الأبدان، حيث سمحت المبادرة الإنسانية في رسم صور الفرحة والفرجة على محيا هذه الفئة المحرومة التي لم تكف عن المطالبة بزيارة عائلاتها وذويها شاكرة جمعية راديوز التي عودت على مثل هاته الزيارات.
ضحايا الواجب الوطني ورجال الاعلام مستهم ايضا خرجة الراديوز التضامنية، لما تفاجأت عائلة الصحفي الراحل، بختي بن عودة، بزيارة أعضاء جمعية راديوز لهم ،إذ شكرت الحاجة خيرة والدة الاعلامي الفذ لسنوات التسعينات، كل من ساهم في المبادرة التضامنية قبل أيام فاصلة عن عيد الأضحى المبارك، كما تمنت ابنة فقيد الساحة الاعلامية كل النجاح لجمعية راديوز كونها أصبحت خير سفير لجزائر التضامن والأخوة.
الحاجة فاطمة أم لخمسة أطفال معاقين، والقاطنة بالحي الشعبي عين البيضاء، كان لها نصيب أيضا من إكرامية جمعية راديوز التي لا تتوانى في إهداء الحاجة فاطمة كبش العيد كل سنة، اعترافا بشجاعتها وصبرها على حمل عبء أبنائها المعاقين

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Saccages des hôtels à Tichy : La morale, la politique et le business du sexe tarifé

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Lundi 9 mai à 13:34
DNA-algerie
Saccages des hôtels à Tichy : La morale, la politique et le business du sexe tarifé


Tichy, dimanche 08 mai. Trois jours après le saccage de 6 hôtels de cette station balnéaire située sur la côte Est de Bejaia, le traumatisme est énorme et la tension encore vive. Ici, les gens ne veulent pas parler. Quand ils acceptent, ils refusent que l’on les nomme ou que l’on divulgue leurs fonctions. On se contentera donc de leur donner des prénoms fictifs. A Tichy, les gérants des établissements saccagés ruminent toujours leur colère, une partie des habitants applaudit la descente punitive et une autre partie qui s’en offusque. A quelques semaines du début de la saison estivale, l’affaire tombe d’autant plus mal que cette coquette ville du littoral ne fit que du tourisme.
Les faits : jeudi 5 mai, vers 21 heures, des dizaines de jeunes commencent par fermer à la circulation la RN 9 reliant Bejaia à Sétif. Un rassemblement se forme ensuite devant le commissariat de la ville où la foule exige des policiers de mettre un terme au phénomène de la prostitution pratiqué ouvertement ou discrètement dans ces établissements.
Vers 22 heures, chauffée à blanc, la foule passe à l’acte. Des bandes de jeunes s’attaquent aux établissements hôteliers accusés de faire travailler des entraîneuses, souvent des jeunes filles venues des villes de l’Ouest ou de l’Est du pays.
L’hôtel Club Alloui, le Syphax, Le Saphir Bleu, la Grande Terrasse, la Villa d’Este et le Golf ont vu leurs façades et leurs parkings saccagés, leurs bars vandalisés alors que plusieurs voitures de clients ont été endommagées. Les dégâts sont énormes.
D’un côté donc, des propriétaires d’hôtels n’aspirent, disent-ils, qu’à travailler dans le respect des lois. De l’autre, des habitants d’une ville offusqués de voir des femmes aux tenues et aux mœurs légères déambuler dans les rues de leur cité en dehors de leurs heures de travail.
Entre ces deux entités qui se regardent en chiens de faïence, il y a ces autorités qui ferment les yeux et se bouchent les oreilles devant un problème vieux comme le monde.
Et pour cause, ce serait trahir un secret de Polichinelle que de dire que les bars à putes, où qu’ils se trouvent en Algérie, servent de paravents à toute une faune de responsables qu’ils soient civils ou qu’ils relèvent des services de sécurité.
Evidement, les propriétaires des hôtels de Tichy ne décolèrent pas. Non seulement, ils comptent porter l’affaire en justice, mais ils parlent de tentatives d’extorsion, de chantage, et évoquent même des actions inspirées par des extrémistes.
Réunis en conclave à la Grande Terrasse vendredi 6 mai, ils ont donc décidé de passer à la contre-offensive. Une plainte collective est déposée contre 25 « émeutiers », nommément cités. D’autres plaintes, individuelles celles-là, sont déposées par diverses personnes, notamment, des propriétaires de véhicules endommagés.
L’un des propriétaires ciblés par les casseurs révèle à ses pairs qu’un « casseur » l’avait contacté pour lui demander 20 millions de centimes pour être épargné par les prochaines descentes. Un autre parle d’une demande de rançon collective de 400 millions pour « stopper les émeutes ».
Joint par téléphone, le gérant de l’un de ses hôtels nous confie : « Le mouvement de contestation s’est radicalisé très rapidement. Derrière cette radicalisation il y a des salafistes qui tirent les ficelles. Certains prêches de mosquées y sont pour quelque chose dans cette radicalisation. Il y a également de la manipulation politique et de la récupération de la part de certains partis politiques. Il y a des tentatives de nous rançonner. Ajoutez à ce climat, le laxisme des services de sécurité qui auraient pu gérer plus intelligemment la contestation au moment où elle avait commencé jeudi soir et qui ont fait part d’un laxisme flagrant. Tout compte fait, la dégradation des mœurs ne touche pas seulement Tichy, c’est toute la région de Bejaia qui est touchée », raconte-il.
Ce gérant ajoute que jeudi 5 mai, ce sont plusieurs millions de dinars de dégâts qui ont été causés aux établissements hôteliers. « Les casseurs se sont également emparés de bouteilles de whisky et de recettes du jour… », ajoute-t-il comme pour signifier qu’il n’y avait pas que d’honnêtes pères de familles parmi la foule qui s’en est pris à leurs hôtels.
Le lendemain, samedi, c’est au tour du comité des citoyens de se réunir en conclave pour débattre des faits qui se sont passés dans la soirée du jeudi. Dans un communiqué rendu public, le comité tient à réitérer le « caractère pacifique de leur action qui n’est nullement dirigée contre l’activité commerciale des hôtels et autres lieux de boissons mais uniquement contre la prostitution et ses effets corollaires ».
Tout en imputant la responsabilité du saccage des hôtels au « laxisme des autorités », le comité citoyen met en garde les autorités contre des sanctions à l’encontre du groupe de 25 manifestants menacés de poursuites judiciaires par les propriétaires d’hôtels.
« Nous ne sommes ni intégristes ni salafistes. Nous sommes des citoyens opposés au tourisme sexuel et à la prostitution dans leur cité », dit Amine. Lui n’a pas participé à cette descente nocturne mais ne pense moins qu’elle soit justifiée. « Nous ne sommes pas des inquisiteurs, mais c’en est trop. Ces filles se baladent même en petite tenue dans les rues de la ville », argue-t-il.
Autre citoyen, autre son de cloche : « Nous ne sommes en rien responsables de la casse de jeudi soir et nous ne cautionnons pas ce genre de dérapage », affirme Slimane. Selon toute vraisemblance, ce n’est pas tous les citoyens qui cautionnent ce qui s’apparente à un dérapage incontrôlé.
Mais ce dérapage était prévisible. Depuis plusieurs mois, des habitants de Tichy ne cessent de se plaindre de ces établissements qui font travailler des filles de joie au vu et au su de tout le monde. C’est que le phénomène de la prostitution – en vogue également à Oran, Annaba ou sur le littoral ouest d’Alger -, dans les hôtels et les bars de Bejaia et de Tizi Ouzou ne date pas d’hier.
C’est au milieu des années 1990 que des patrons d’hôtels et de bars ont décidé de recruter des femmes de petite vertu pour travailler comme entraineuses.
Tolérée, pour ne pas dire encouragée par les autorités locales, cette pratique s’est répandue dans plusieurs localités, notamment dans les établissements qui longent le littoral, envahi par des centaines de milliers de touristes durant l’été.
Laxisme, complicité, appât de gains faciles, des gérants ont fini par transformer leurs établissements en véritables lupanars qui attirent des centaines de filles qui fuyant la misère ou des problèmes familiaux atterrissent dans ces hôtels et ces bars pour pratiquer le plus vieux métier du monde.
Alcool, fric et sexe tarifé, ces établissements sont très prisés autant par la clientèle locale que par des clients venus d’autres régions du pays.
Bien que la population voie d’un mauvais œil cette pratique, les incidents sont rares. Tant que les filles exercent leur métier à l’intérieur de ces hôtels, les uns et les autres s’en accommodent.
Ce n’est pas pour autant le cas d’une partie de la population de Tichy.
C’est ainsi que plusieurs manifestations publiques, dont des marches et des fermetures de route, sont organisées par les habitants pour demander aux autorités de mettre fin à la prostitution au sein de leur ville. Ceux-ci peuvent ainsi compter sur Hamid Ferhat, président de l’APW et Hamid Aissani, P/APC de Tichy, encartés au sein du FFS, qui appuient la revendication des protestataires.
En janvier dernier, le wali de Bejaia signe alors des arrêtés de fermeture de 7 bars et boites de nuit situés sur la côte ouest, notamment à Tichy. Quelques jours plus tard, les propriétaires demandent un sursis de deux mois pour se mettre en conformité avec la loi. Ce qui leur est accordé. « Certains de ses propriétaires ont régularisé leurs situations alors que d’autres sont en voie de l’être », affirme une source proche du dossier au niveau de la wilaya de Bejaia.
Dans le courant du mois de mars, les citoyens de Tichy, ne voyant rien venir, reviennent à la charge et organisent un sit-in devant la Villa d’Este pour exiger que les arrêtés de fermeture pris à l’encontre des boîtes de nuit soient appliqués. La tension va aller crescendo avant de dégénérer en descentes punitives.Un groupe de jeunes a donc décidé de se faire justice.
A un mois du début de la saison estivale, l’affaire est du plus mauvais effet pour Tichy. Aujourd’hui, la population est partagée entre réprobation et acquiescement, les gérants des établissements réclament justice et les autorités une fois de plus sommées de mettre fin à un phénomène qui génère des fortunes colossales autant pour les filles que pour les propriétaires des hôtels, bars et cabarets.




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http://alger-roi.fr/Alger/jardin_essai/images/13pm_bains193.jpg


http://alger-roi.fr/Alger/jardin_essai/pages_liees/13pm_bains193.htm


Dans la première décennie du XXe siècle la mer attirait de plus en plus d'amateurs. Et si se baigner proprement dit était surtout réservé aux jeunes et aux hommes, cela n'empêchait le sexe dit faible ( ?) de venir profiter du délassement procuré par les plages et de la fraîcheur des brises marines réconfortantes par rapport à la moiteur des appartements citadins.
-----Si les criques qui parsemaient l'ouest d'Alger ont de tout temps attiré les baigneurs, par contre la plage qui s'échelonnait après les bassins malodorants de Mustapha, avait la faveur des bourgeois de la ville. Ils y avaient édifié des constructions légères qui lui avait donné le nom de " Plage des cabanonniers ".
-----Elle était aussi désignée plage du jardin d'essai qui la limitait vers la terre près de la ligne des tramways qui déversaient, à la saison chaude, de très nombreux amateurs.
-----Canotiers pour ces messieurs et assaut de chapeaux à la mode pour ces dames, puisqu'il était malséant de sortir et se promener " en cheveux ".
Les amateurs espéraient qu'une route de tourisme serait établie pour permettre une meilleure accessibilité à celle-ci, une " corniche " algérienne donnant une plus value considérable aux propriétaires !.
-----Las ! le développement des véhicules motorisés incita les édiles à établir une meilleure pénétrante vers la ville et la plage fut sacrifiée. Cette décision donna lieu à de nombreuses pétitions, interventions politiques et de la presse, qui parla " d'acte de vandalisme ". En vain!.
-----Les amateurs furent exilés plus loin de la ville donnant ainsi une impulsion aux transports et Guyotville, SIDI-FERRUCH et leurs hameaux satellites à l'ouest et Fort de l'eau, Cap Matifou, Aïn-Taya et les plages environnantes, à l'est, se félicitèrent de cette décision.

Alger: le jardin d'essai, les bains.


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Le tourisme sexuel : Une hégémonie difficile à contrer

Nabila Par: Nabila Saidoune

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Le tourisme mondial est en plein essor : le nombre de touristes dans le monde devrait atteindre un milliard en 2010, selon les prévisions de l’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT) avec 47 millions pour l’Afrique dont une part appréciable pour les pays du Maghreb.
Parmi ces touristes, un nombre difficile à évaluer mais néanmoins grandissant va s’adonner à un genre bien particulier de vacances : le tourisme sexuel, aujourd’hui considéré comme le 3e commerce illégal par ordre d’importance dans le monde, juste derrière la drogue et les armes. Un sujet plus que jamais d’actualité, surtout lorsque ce dernier touche même les mineurs.
Mais comment l’aborder en évitant le risque des amalgames simplistes ? Ignorant ou pas (cela dépend des cas) la gravité de leurs actes, les « touristes » sexuels, hommes et femmes, usent de leur supériorité économique pour exercer une domination sexuelle : le sentiment de puissance et de richesse pousse certains individus à s’affranchir de toutes règles et impératifs moraux qui régissent habituellement leurs comportements.
Les pays du Maghreb, notamment le Maroc et la Tunisie, où le tourisme de masse est développé, n’échappent pas à ce fléau du XXIème siècle alors que l’Algérie enregistre « une prostitution » d’un tout nouveau genre. Il s’agit de « copines de circonstance » qui, le temps du passage des étrangers pour des séjours d’affaires, en deviennent les amies et accompagnatrices privilégiées. Elles offrent des services, bien entendu, monnayés ou profitent du train de vie de leurs « compagnons » et de l’accès à des d’activités et des milieux auxquels elles n’auraient pas prétendu autrement.
Pour « remercier » leurs compagnons, ces jeunes filles finissent souvent au lit et par un processus d’accoutumance peuvent aller jusqu’à verser dans un engrenage infernal. Toujours est–il que les principaux facteurs de développement du tourisme sexuel restent incontestablement les guerres et la pauvreté. Comme dans un cercle vicieux, la demande crée l’offre et l’offre crée la demande.
Il serait, par conséquent, difficile d’imaginer que les pays pauvres ou éprouvés par la violence puissent limiter ce phénomène de façon efficace sans compromettre leurs économies surtout quand celles-ci reposent sur les recettes du secteur touristique, véritable industrie et pourvoyeuse d’emplois.
La répression est loin d’être la solution et serait en complète contradiction avec l’une des premières motivations de l’activité touristique en elle-même.
Reste l’information et la sensibilisation pour un tourisme d’éthique mais surtout une prise en charge efficiente des catégories sociales précaires de la part des gouvernements afin de prévenir ces véritables poudrières qui menacent leurs sociétés.

Vos commentaires

Anonyme Il y a plus de 3 ans
Mes respects Mme Saidoun
Attiré par le sujet traité, fort interessant, j’ai pris le temps de lire attentivement votre article. je suis moi meme un professionnel du tourisme et je peux assurer qu’il est tres difficile de gerer la situation telle qu’elle se presente actuellement, notamment au Maroc, moins en tunisie et quasi inexistante en Algerie. Non pas qu’un peuple est meilleur que l’autre mais c’est juste que les conditions diffèrent. lorsqu’on parle de tourisme sexuel, il faudrait que le tourisme tout court existe dans un pays et pour l’heure seul le maroc peut prentendre developper cette activité convenablement. les choses doivent etre dites crument c’est la pauvreté qui mene à ce désatre… a bon entendeur salut!
merci pour ce que vous ecrivez c’est un plaisir de vous lire
merci Maghrebia, you are the best
Anonyme Il y a 9 mois
Voici un petit aperçu sur, et en provenance de, votre pays, haha – L’Algérie: Les habitants de Tichy ont organisé une campagne populaire afin de mettre fin au tourisme sexuel dans leur ville. Ils ont également publié une déclaration pour condamner la prostitution qui a envahi leur ville, stipulant que « la situation est devenue insupportable dans la ville de Tichy, en raison de l’activité des réseaux organisés de prostitution qui embauchent des femmes de différentes wilayas, en particulier de l’Ouest de l’Algérie, comme Mouaskar, Tiaret et Oran. Voilà un bout au sujet de l’Algérie, qui est aussi devenue un foyer pour les producteurs de films pornographiques, comme le franco-américain Barush et beaucoup d’autres. Avec tout mon respect pour votre analyse.
Anonyme Il y a 13 jours
On ne peut pas nier que la modernité et l’orientalisme en tant que mouvement ont échoué. Nous ne pouvons exclure une société et ne pouvons oublier les paroles d’Omar Ibn Khattab, qu’Allah soit satisfait de lui : si la pauvreté était un homme, je l’aurais tué. Vous êtes une femme, lorsque vous parlez de ce sujet, mettez-vous à la place de celui qui a été humilié quant à ses besoin élémentaires, puis continuez et excluez-le.

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السياحة الجنسية: ظاهرة يصعب جمحها

Nabila من: نبيلة سعدون

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تشهد السياحة العالمية ازدهارا ملحوظا، حيث يتوقع أن يصل عدد السياح في العالم إلى مليار سائح عام 2010 وفقا لتوقعات منظمة السياحة العالمية، 47 مليون منهم سيتوجهون إلى افريقيا، من ضمنهم أعداد مهمة وجهتها المغرب الكبير على وجه الخصوص.
ومن بين هؤلاء السياح، فإن عددا متزايدا يصعب تقديره يمارسون نوعا خاصا من السياحة التي تعرف بالسياحة الجنسية، والتي تعتبر اليوم ثالث أهم تجارة غير مشروعة في العالم، مباشرة بعد تجارة المخدرات والأسلحة. ولقد أصبحت هذه القضية أكثر أهمية من أي وقت مضى، لا سيما وأنها تمس حتى القاصرين.
ولكن كيف يمكننا معالجة هذه القضية مع تجنب الإفراط في التبسيط؟ سواء كانوا يتجاهلون خطورة أفعالهم أم لا، فالرجال والنساء من “السياح” يستغلون تفوقهم الاقتصادي لممارسة الهيمنة الجنسية، فشعور السلطة والثروة يؤدي ببعض الأفراد إلى تجاهل كل القواعد الأخلاقية التي عادة ما تحكم سلوكياتهم.
بلدان المغرب الكبير، خاصة المغرب وتونس اللذان شهدا تطور السياحة الجماعية، ليست محصنة ضد هذه الظاهرة التي تعتبر آفة القرن الواحد والعشرين. في حين تشهد الجزائر نوعا جديدا من "الدعارة"، ألا وهو “الرفيقات العابرات” اللواتي يصبحن الصديقات المفضلات للأجانب أثناء إقامتهم في رحلات أعمالهم. فتقوم هؤلاء الفتيات بتقديم خدمات مدفوعة الأجر، أو مقابل التمتع بنمط حياة رفقائهن وممارسة أنشطة والدخول إلى أوساط لم يكن ليقدرن على الوصول إليها دون ذلك. وتعبيرا عن شكرهن، فغالبا ما ينتهي المطاف بهؤلاء الفتيات في السرير مع هؤلاء الأجانب، مقحمات أنفسهن في حلقة مفرغة بعد التعود على ذلك. لا يمكن إنكار أن العوامل الرئيسية وراء تطور السياحة الجنسية هي الحروب والفقر. إنها حلقة مفرغة، فالطلب يخلق العرض، والعرض يخلق الطلب.
ولذلك فمن الصعب أن نتصور أنه بإمكان البلدان الفقيرة، أو تلك التي تعاني من العنف، الحد من هذه الظاهرة على نحو فعال دون المساس باقتصادها، خصوصا وأنها تعتمد على عائدات السياحة بشكل كبير، هذا القطاع الذي يوفر فرص شغل مهمة. القمع ليس حلا، بل إنه يتناقض مع أحد الدوافع الرئيسية للسياحة في حد ذاتها.
أهم الحلول التي يمكن اقتراحها لهذه القضية هي رفع مستوى الوعي حول السياحة الأخلاقية، وتقديم الدعم الحكومي الفعال للفئات الاجتماعية الغير مستقرة من أجل وضع حد لهذه الظاهرة التي تهدد المجتمع.

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مجهول 3 سنوات أزيد م مضتن
احتراماتي للسيدة سعدون. جذبني الموضوع المثير للاهتمام، فقرأت مقالتكم. أنا أشتغل بميدان السياحة ويمكنني أن أؤكد لكم أنه من الصعب جدا السيطرة على الوضع كما هو عليه حاليا، خاصة في المغرب، وبدرجة أقل في تونس، وبشكل منعدم تقريبا في الجزائر. ليس لأن شعبا أفضل من آخر، ولكن لاختلاف الظروف. للتحدث عن موضوع السياحة الجنسية، فلابد أن يكون هناك قطاع سياحي أولا. وفي الوقت الراهن، يمكن للمغرب فقط القول بأنه يعمل على تطوير قطاع السياحة بشكل لائق. ينبغي قول الحقائق بجرأة، فالفقر هو الذي يؤدي إلى هذه الكارثة. ولقد أعذر من أنذر. شكرا على مقالاتكم، يسعدني قراءتها. وشكرا لمغاربية، أنتم الأفضل
مجهول 9 أشهر حوال مضتي
شوية على بلادك و من بلادك هههه – الجزائر: نظم أهالي مدينة تيشي حملة شعبية للقضاء على السياحة الجنسية في مدينتهم وقد أطلقوا بيانا ينددون فيه بالدعارة التي اجتاحت مدينتهم وجاء في البيان” الوضع فى مدينة تيشي وصل إلى حد لا يطاق بسبب نشاط شبكات الدعارة المنظمة التي تستأجر النساء من مختلف الولايات وخاصة ولايات الغرب الجزائري مثل معسكر وتيارات ووهران هذا القليل عن الجزائر كما أصبحت مرتع لمنتجي الأفلام الإباحية كباروش الفرنسي و الأمريكي و غيرهم كثير احتراماتي لتحليلك

مجهول 12 أيام مضت
لا يمكن لنا ان ننكر ان ما بعد الحداتة و لا حركة الاستشراق قد فشلت و لا يمكن لنا ان نقوم باقصاء مجتمع و لا يمكن ان ننسى مقولة عمر ابن الخطاب رضى الالة عنة لو كان الفقر رجلا لقتلتة انت سيدة عندما تتحدتين عن هدا الموضوع ضعى نفسكى مكان الدى يهان من اجل مطتب العيش و بعدها قومى باقصاءة





http://zawaya.magharebia.com/old_zawaya/en_GB/zawaya/opinion/155.html

Sex tourism: A hegemony hard to counter

Nabila By: Nabila Saidoune

100113-zawaya-photo
International tourism is booming: the number of worldwide tourists is expected to reach one billion in 2010, according to forecasts by the World Tourism Organization (WTO), with 47 millions for Africa, including a significant share for the Maghreb countries.
Among these tourists, a growing number of tourists – that is difficult to assess – will engage in a very particular kind of vacation: sex tourism, now considered the 3rd illegal trade in order of importance in the world, right after drugs and weapons. This issue is more relevant than ever, especially that it even affects minors.
But how can we tackle this issue while avoiding simplistic amalgams? Whether they ignore the seriousness of their acts, male and female sex “tourists” use their economic superiority to practice sexual domination: the feeling of power and wealth leads some individuals to overcome all moral rules and imperatives that normally govern their behaviors.
Maghreb countries, especially Morocco and Tunisia where mass tourism is developed, are not immune to this 21st century’s scourge, while Algeria has a new type of “prostitution”: The “occasional girlfriends” who become the favorite friends and companions of foreigners during their stays on their business trips. These girls offer services which are obviously paid for, or in exchange of enjoying the lifestyle of their “companions” and gaining access to activities and environments that they would never be able to reach otherwise.
To “thank” their companions, these young girls often end up in bed with them, and even engage in a vicious circle after getting accustomed to that. The main factors behind the development of sex tourism are undeniably wars and poverty. It’s a vicious circle, demand creates supply, and supply creates demand.
It is therefore difficult to imagine that poor countries, or those troubled by violence, can limit this phenomenon effectively without compromising their economies, especially since the latter rely on tourism revenue, with tourism being a real industry that provides employment. The crackdown is far from being the solution; it would even contradict one of the main motivations of tourism itself.
The main solutions that can be suggested to this issue are raising awareness about ethical tourism, and offering an efficient governmental support for precarious social categories in order to put en end to this real phenomenon that threatens society.

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Anonymous About over 3 years ago
My respects to Mrs. Saidoun. I was attracted by the topic, which I find to be very interesting, so I took the time to read your article. I am a tourism professional, and I confirm that it is very difficult to manage the situation as it stands, particularly in Morocco, less in Tunisia, and almost nonexistent in Algeria. Not that one people is better than another, but it’s just a matter of different circumstances. To tackle sexual tourism, there should be a tourism sector to begin with. For the moment being, only Morocco can claim to be properly developing this field. Facts should be said bluntly, it’s poverty that leads to this disaster. A word to the wise is sufficient. Thank you for your articles; it’s a pleasure to read you. And thank you Magharebia, you are the best.
Anonymous About 9 months ago
Here is a bit about and from your country, haha – Algeria: The population of Tichy organized a popular campaign to put an end to sex tourism in their city. They published a statement to condemn the prostitution that invaded their city, stating the following: "The situation has become unbearable in the town of Tichy, due to the active networks of organized prostitution that hire women from various Wilayas, especially from the West of Algeria, like Mouaskar, Tiaret, and Oran. That’s just a little about Algeria, which has also become a hotbed for the producers of pornographic films, like the French-American Barush and many others. With all my respect for your analysis.
Anonymous About 13 days ago
We cannot deny that modernity and Orientalism as a movement have failed. We cannot exclude a society and we cannot forget the saying of Omar Ibn Khattab, may Allah be pleased with him: If poverty were a man I would have killed him. You are a woman, when you are talking about this topic, put yourself in place of the one who was humiliated for the basics of life, then go ahead and exclude him

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Summary

Description
English: Prostitution in Africa
Date
Source Own work
Author Sympatycznyfacet

Licensing

Public domain I, the copyright holder of this work, release this work into the public domain. This applies worldwide.
In some countries this may not be legally possible; if so:
I grant anyone the right to use this work for any purpose, without any conditions, unless such conditions are required by law.

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current23:49, 18 June 2010Thumbnail for version as of 23:49, 18 June 2010359 × 388 (12 KB)Sympatycznyfacet{{Information |Description={{en|1=Prostitution in Africa}} |Source={{own}} |Author=Sympatycznyfacet |Date= |Permission= |other_versions= }}
The following page links to this file:


http://www.wikisexguide.com/wiki/Sex_tourism

Sex tourism

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Sex tourism is travel to engage in sexual activity, particularly with prostitutes. The World Tourism Organization, a specialized agency of the United Nations, defines sex tourism as "trips organized from within the tourism sector, or from outside this sector but using its structures and networks, with the primary purpose of effecting a commercial sexual relationship by the tourist with residents at the destination".
You can find information about sex tourism in different parts of the world from this web site. Just write the name of the city or country to WikiSexGuide's "search"-field above on the right side! You can also navigate to different destinations from the Main Page.

General

Sex tourism includes domestic sex tourism, which is travel within the same country, or international sex tourism, which involves travel across national borders. It is a multibillion dollar industry that supports an international workforce estimated to number in the millions.

Destinations

Several countries have become preferred destinations for sex tourists. These include Cambodia, Thailand, Brazil, and the Dominican Republic. Individual cities or regions have acquired a reputation as sex tourist destinations. Many of these have notable red-light districts, including de Wallen in Amsterdam, the Netherlands, Zona Norte in Tijuana, Mexico, Boy's Town in Nuevo Laredo, Mexico, Fortaleza and Rio de Janeiro in Brazil, Bangkok, Pattaya and Phuket in Thailand.

Erotic Resorts

Over the years Sex tourism has always had a negative vibe. When discussing sex tourism people used to associate it with sleazy motels and men with poor hygiene who just could not fend for themselves. However over the years this industry has evolved into a glamorous industry catering to powerful men (celebrities, politicians, etc.). Even couples are getting into the action, and the sleazy motels have turned into high end exclusive beachfront resorts with 4 and 5 star rating. Dr.Nights Exotic Resort located in the Dominican Republic has spearheaded the change with its 5 star beachfront all inclusive accommodations, Luxury airport transfer and girls that are straight out of a cover girl magazine.

Female sex tourism

Sex tourism by women exists. The main destinations for female sex tourism are Brazil, Southern Europe (mainly Portugal, Greece,Spain), Turkey, the Caribbean (led by Jamaica, Barbados and the Dominican Republic), parts of Africa (Tunisia, Gambia, Kenya, Other destinations include Morocco, El Salvador, Mexico, Ecuador, Peru and Fiji.

Academic study

  • Preconceptions about race and gender influenced tourists' opinions.
  • Economically underdeveloped tourist-receiving countries are promoted as being culturally different so that (in the Western tourist's understanding) prostitution and traditional male domination of women have less stigma than similar practices might have in their home countries.
However, despite a great deal of interest in sexual tourism amongst theorists, methodologically thorough and detailed studies remain at a premium, despite the increasing accessibility of such groups for study in the past three decades.

Documentaries

Film makers have been active at reporting on sex tourism. Documentary titles include:
  • Falang: Behind Bangkok's Smile, by Jordon Clark (2005), set in Thailand
  • CBC series the Lens episode "Selling Sex in Heaven" (2005), set in the Philippines
  • Sex Tourism, on Talking Points, from Channel 4
  • Channel 4, My Boyfriend, the Sex Tourist (2007), looks at sex tourism around the world

Prostitution laws across the globe

  Prostitution legal and regulated
  Prostitution (the exchange of sex for money) legal, but organized activities such as brothels and pimping are illegal; prostitution is not regulated
  Prostitution illegal
  No data
Prostitution is also legal and regulated in New Zealand (map not shown).

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