الخميس، أكتوبر 9

الاخبار العاجلة لاكتشاف المديعة ابتسام بوكرزازة رفض مدير الثفاهة لقسنطينة تقديم ميزانية مهرجان المالوف للدعارة الغنائية القسنطينيةبالخروب ونساء قسنطينة يغلقون هواتف اداعة قسنطينةللتساؤل هل الدعوات عامة لابناء الشعب ام خاصة لابناء اعيان المالوف والاسباب مجهولة

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الاخبار العاجلة لاكتشاف  المديعة  ابتسام بوكرزازة  رفض مدير الثفاهة لقسنطينة تقديم  ميزانية مهرجان المالوف للدعارة الغنائية القسنطينيةبالخروب  ونساء قسنطينة يغلقون هواتف اداعة قسنطينةللتساؤل هل الدعوات عامة لابناء الشعب ام خاصة لابناء  اعيان المالوف والاسباب مجهولة

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الاخبار العاجلة لتغيير جينيريكحصة انشغالات الاداعية بصوت حليمة والصحافية ازدهار فصيح تفكر في ابداع حصة احتجاجات الاداعية لنقل احتجاجات سكان قسنطينة على انشغالات مسيري دشرة قسنطينة بتظاهرة قسنطينة عاصمة الدعارة الثقافية العربية والاسباب مجهولة

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الاخبار العاجلة لابداع المديعة حليمة حصة للدموع النسائية بمناسبة مناقشة موضوع سرطان الثدي يدكر ان المديعة حليمة دكت انتدرف دموع الرحمة على الاعضاء الانثوية  المفقودة لضيوفها لولا انها فضلت تقبيل احدي المدعوات على المباشر يدكر ان سرطان الثدي ينتشر بين العاهرات وينتقل بين الرجال والنساءعبر العلاقات الجنسية والاسباب مجهولة 

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الاخبار العاجلة لاكتشاف سكان قسنطينة  ان نقل تظاهرة المالوف الى الخروب دليل على الوفاة الرسمية لاغنية المالوف يدكر ان سكان الخروب يفضلون اغاني الشاوية  وشر البلية مايبكي 

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الاخبار العاجلة لاكتشاف سكان الحامة بوزيان ان الملكة اليزابيت كانت  تفضل حدائق الحامة  في ماكولاتها اليومية للعلم فان الملكة اليزابيت  تملك قصرا في قسنطينة يدعي حاليا المركز الثقافي الفرنسي بسان جان والاسباب مجهولة 

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الاخبار العاجلة لحدف الصحافية ازدهار فصيح تهكم الداي حسين على عمال المقاولات  قفي نشرة السادسة بينما بث من طرف الصحافية حسينة بواللدنين في نشرة المنتصف ومما جاء في تعليق والي قسنطينة

يروحو يرقدوا ونزيدوا نغطوهم  بالزور

 

 

حابين يرقدوا يروحو يرقدوا وحنا نعطيوهم بالزور   تصريح الدايحسين  حول مقاولات قسنتطينة
حطوا الطوابل وراحو يشربو القهوة
الدايحسين
حدف تصريح واليقسنطينة فينشرة السادسة من طرف ازدهار بينما بثثه مرافقة الوةاليبحسينة
المستمعة سامية و
محمد يقرا الكتب الكتب اكتر من المنزل
المديعة سلميتفشل فيتقديماحاجي الحصة والمستمعات يستولون على الحصة بتقديم الحكم والاحاجي والمديبعة سلمي تحتج
الرجلل جابية والمراة خابية
خطوط الهاتف والبرابول  تعرقل  وضع طاولات ترميم قسنطينة
مسيكة وسامية   ابطال القناة الاولي
قصيدة عدة للفقيرات تضم الغاز تاريخية
ماءعتيقة بنتتباب عبيد
اولاد سيعلى مخلوف
2اكتوبر ديغول قسنطينة قدام الدريجات
سيديسليمان
هدمه
فرجيوةي  وكان امام


























































































 

 

















































































 

 

  

 







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Ségrégation aux œuvres universitaires de Constantine

La note de la honte

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le 08.10.14 | 10h00 9 réactions
| © D. R.

Erreur, écart de langage ou, tout simplement, lapsus révélateur ? Les services des œuvres universitaires de la wilaya de Constantine viennent de commettre l’innommable à travers une note affichée dans tous les campus et résidences de la wilaya, obligeant les «étudiants du Sud» à fournir un certificat de bonne santé avec les résultats de tests sanguins pour prétendre à une chambre universitaire au nord du pays. Une note jugée raciste et discriminatoire. Réactions.

Nous sommes considérés comme des citoyens de seconde zone. Cela est inexcusable et impardonnable», peste Adel, 21 ans, étudiant à l’université Mentouri de Constantine, dans un commentaire publié sur facebook, accompagné d’un fac-similé de la note émise par les responsables locaux des œuvres universitaires. A la mi-septembre dernier, la direction des œuvres universitaires (DOU) de la wilaya de Constantine avait décidé de soumettre les étudiants prétendant aux chambres universitaires à des tests médicaux. Une note est donc affichée dans toutes les résidences et les campus de la wilaya de Constantine. En temps normal, cette note serait passée inaperçue, car nécessaire et ce, pour des impératifs de santé publique et de prévention, notamment dans les milieux universitaires. Seulement voilà, cette note distingue les algériens issus des wilayas du Sud ainsi que les étudiants africains de leurs camarades du nord du pays. Une pure discrimination raciale écrite noir sur blanc.
A l’origine de cette disposition, une recommandation «du médecin de la direction des œuvres universitaires de la wilaya aux responsables de l’université de Constantine de soumettre les étudiants africains et du sud du pays à des tests sanguins, dans l’éventualité de détecter des virus mortels tel le paludisme et l’Ebola» nous explique une source proche du DOU. Cette note a provoqué la colère et a soulevé l’indignation de la communauté universitaire de tous les campus du pays en signe de solidarité avec les étudiants «issus du sud du pays», pour ne pas reprendre l’expression des responsables de ce crime racial. «Dire qu’ils passent leur temps à nous rabacher à longueur d’année que l’unité et l’intégrité territoriale sont une ligne rouge à ne pas franchir. Honte à l’Algérie indépendante !» déclare Abdelouahab, 19 ans, originaire de Oued Souf.
«Les responsables doivent s’excuser publiquement à tous les Algériens de couleur. Il s’agit là d’un dérapage, d’une aberration, de pur racisme indigne de mon pays», clame-t-il. Abdelouahab et ses camarades menacent de transférer leur dossier d’inscription dans leur wilaya natale. «Quitte à faire une spécialité autre que celle que j’ai choisie, ou carrément abandonner mes études, puisque nous ne sommes plus les bienvenus dans les territoires du Nord», s’indigne le jeune homme.
Ce scandale a été vite saisi par un député du parti El Karama, en l’occurrence Mohamed El Daoui, qui, à travers une question orale déposée au bureau de l’APN, interpelle le ministre de l’Enseignement supérieur, Mohamed Mebarki. Le député juge que le contenu de cette note est «grave et non conforme aux lois de la République et à la Constitution qui assure l’égalité entre tous les Algériens». Nos tentatives de joindre les responsables de la DOU de Constantine sont restées vaines. Selon des informations, la direction centrale des œuvres universitaires a envoyé une missive urgente ordonnant aux responsables locaux de retirer cette note. Le DOU, quant à lui, aurait été traduit en conseil de discipline.


Mebrouk Berchaoui. Etudiant à l’université de Tamanrasset : "Nous condamnons cette discrimination"

Mebrouk Berchaoui, étudiant en économie à la faculté de Tamanrasset, condamne, au nom de tous les étudiants issus du sud du pays, la note émanant du directeur des services universitaires de la faculté de Constantine, obligeant chaque étudiant du Sud au même titre que les Africains de présenter des certificats d’analyses médicales attestant qu’ils ne sont pas porteurs de maladies contagieuses comme la malaria, le sida, l’hépatite virale et la tuberculose.  La note adressée par le directeur des œuvres universitaires, une première dans les anales du monde universitaire algérien, indique que chaque étudiant concerné par cette démarche ne peut en aucun cas obtenir une chambre universitaire sans l’attestation médicale.
En réaction à cette note, plusieurs étudiants issus du Sud algérien (Bordj Badji Mokhtar, Ouargla, Béchar et Tamanrasset) ont condamné la décision du directeur en question. Plus cinglants encore, des étudiants, à l’image de Mebrouk Berchaoui (qui prépare un mastère à l’université de Tamanrasset), ont qualifié la note de «honteuse». «Des contacts ont été effectués entre plusieurs unions des étudiants du Sud (Union des étudiants de Béchar avec celle d’Adrar) afin de réagir ensemble à cette note de la honte», explique Mebrouk Berchaoui. Il ajoute : «Nous ne pouvons pas nous taire devant une telle démarche méprisable et méprisante qui reflète une sorte de racisme qui fait son apparition dans notre pays. Nous nous demandons comment ce directeur a osé afficher une telle note, alors que les répercussions sont considérables et peuvent même engendrer des résultats négatifs».
Pour Mebrouk Berchaoui, qui est natif de Bordj Badji Mokhtar, la décision du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, en réaction à cette avilissante note, de faire passer le directeur en conseil de discipline, n’est guère suffisante. Des sanctions lourdes devraient êtres prises à son encontre suite à la diffusion de la note en question, précise le jeune étudiant.              (Sofiane Abi)
Zouheir Aït Mouhoub
 
 
Vos réactions 9
Jamele   le 08.10.14 | 21h33
Contrôle médical
Le contrôle médical a de tout temps été obligatoire dans les cités universitaires. Sauf si l'on veut faire le raccourci de l'exiger pour obtenir une chambre (c'est une des lectures de la note en fac similé).
 
Jamal B   le 08.10.14 | 21h06
Absolument abominable !
Le recteur de l'université et le ministre de l'enseignement supérieur devraient en principe démissionner ou être démis de leur fonction. C'est absolument scandaleux!
 
Napster535   le 08.10.14 | 20h41
ça n'a rien a voir avec le racisme !
Salem 3likom , ça n'a rien a voir avec le racisme , la goutte épaisse est un examen biologique demandé pour dépister certaines maladies infectieuses trés fréquentes au sud comme le paludisme par ex !
 
Thelite13   le 08.10.14 | 17h42
l'article de la honte
ne mélanger pas les choses , le sud algérien est une zone endémique !! donc il faut prendre des mesure préventive !! car plusieurs familles dans notre sud on de la famille dans des pays comme le mali tchad niger etc... alors je ne vois pas la note comme honte mais je vois que l'article est la vrai honte !!
 
saidmekbel   le 08.10.14 | 16h09
vous aimez votre doula
Vous avez tous voté pour eux....payez maintenant
 
pacific69   le 08.10.14 | 13h52
Quand le hebel rime avec le zèle.
Dans le cadre du principe de précaution, la communauté politique et sanitaire se mobilise pour sensibiliser l'ensemble de la population Algérienne et des résidents étrangers quelque soit leur origine et sans distinction, sinon cela devient discriminatoire car un virus ne va pas demander la permission pour s'installer ou il veut, quand il veut.

Et donc parfois le zèle des autorités à vouloir griller les étapes pour se faire remarquern elles se retrouvent piégés par des non-sens, alors que ebola est déjà aux Etats Unis , En France et en Espagne.

Apprenez à combattre l'analphabétisme et vous ferez un grand pas en avant.

Les gens du "Sud" ou qui viennent des contrées menacées par ces fléaux sont assez intelligentes et conscientes qu'ils doivent se protéger et n'attendent pas qu'on leur mettent une note sous les yeux pour se réveiller.
 
L'échotier   le 08.10.14 | 13h28
Grave
C'est très grave ce qui arrive aux oeuvres universitaires de Constantine. On savait notre pays dirigé par nombre d'ignares, là, on touche le fond. Voilà qu'à travers cette directive, on crée deux types de citoyens, celui du Sud dont les territoires nous servent de vache à lait et celui du Nord, qui n'est qu'un simple tube digestif qui se nourrit du Sud et le méprise. Voilà ce qu'a enfanté ce pouvoir illégitime et tous les sbires qui lui servent de courroie de transmission. Pleure Ô Pays bien aimé.
 
anti khoroto   le 08.10.14 | 13h20
des fascistes
il n'y a pas d'autres mots, ce sont des fascistes qui plus est des ignorants. ils devraient savoir ces universitaires de pacotille que l'anthropologie coloniale nous traitait de sous hommes, lire Franz Fanon. Des FASCISTES je vous le dis.
une bonne leçon pour les autres algériens qui traitent leurs compatriotes de Kabyle, Arabe et même Marocains... qui sème le vent récolte la tempête...
 
irazam   le 08.10.14 | 10h37
Racistes et ignares
En plus d'etre racistes ils sont ignares, pour exemple, ils parlent d'etudiants africains, comme si l'Algérie se trouve au continent europeen !!!!

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القرارات المتخدة من طرف والي ولاية وهران بعد تفقده لبرنامج 57600 مسكن عمومي ايجاري( صاحب المشروع و مكتب اليرقية و التسيير العقاري على مستوى الدوائر التالية ارزيو – قديل –وهران – بئر الجير – واد تليلات – السانيا منها 6068 موجهة للمستفدين من العقود المسبقة



القرارات· المتخدة من طرف والي ولاية وهران بعد تفقده لبرنامج 57600 مسكن عمومي ايجاري( صاحب المشروع و مكتب اليرقية و التسيير العقاري· على مستوى الدوائر التالية· ارزيو – قديل –وهران – بئر الجير – واد تليلات – السانيا· منها 6068 موجهة للمستفدين من العقود المسبقة .
ارزيو :
في موقع 850 مسكن عمومي ايجاري بالمحقن· اكتشف الوالي أن· نسبة تقدم الاشغال· سجلت· تأخرا ملحوظا مقارنة مع اجال التسليم المتفق عليها من قبل الشركة الصينية CRCEG ··في شهر جوان 2014 .
و بالتالي اصدر والي الولاية القرارات التالية :
-········· اعذار للشركة المنجزة عن طريق الصحافة .
-········· ·فرض غرامة التاخير على مؤسسة انجاز الاشغال· و مع ذلك فعليها تدعيم الورشة بالوسائل واليد العاملة .
-········· على شركة السونلغاز القيام بتوصيلات· الغاز و الكهرباء .
قديل :
-········· في الموقع 1500 مسكن عمومي ايجاري بدائرة قديل يشهد هذا الاخير تأخرا في· ·في نسبة الاشغال· و ينتقسم المشروع الى قسمين :
الاول :
مشروع 500 مسكن· ، تتعهد الشركة المنجزة· بتسليمه في منتصف· شهر جوان المقبل .
الثاني :
مشروع 550 مسكن سيتم تسليمه في منتصف· شهر سبتمبر المقبل .
و بالتالي اصدر والي الولاية القرارات التالية :
-········· يجب على المؤسسة تدعيم المشروع·· اما فيما يتعلق بتهيئة الطرقات يجب على مكتب الترقية و التسيير العقاري اعطاء اعذارلشركة ايدغودين· عن طريق الصحافة ، ان وتيرة العمل جد بطيئة .
-········· على مؤسسة ايدغودين أن تبدأ في اطلاق· مشاريع تهيئة الطريق و في نفس الوقت تنظيف الموقع .
-········· اصدر رئيس الدائرة قرارا يتمثل في· تسريع وتيرة العمل·· والتنسيق مع جميع المتعاملين .
وهران :
لوحظ بموقع· 1430 مسكن عمومي ايجاري بكناستيل يشهد المشروع تاخرا في الاشغال .
-········· فرض تطبيق· غرامة التأخير على المؤسسة .
-········· تدعيم الموقع باليد العاملة و كل المستلزمات
-········· اطلاق في أسرع الاجال أشغال تهيئة شبكة الطرقات و التي أوكلت مهمتها الى نفس المؤسسة و اتمامها في في اجالها
-········· تهيئة محطات تحويل الكهرباء· و التي تم ادماجها بالعمارات و هذا باتباع توصيات السونلغاز .
على السونلغاز الالتزام بربط الحي بالكهرباء و الغاز بالموازاة· مع اشغال التهيئة الطرقات .
بئر الجير :
-········· تهيئة الشارع الرابع الطريق الاجتنابي لكناستيل – تقاطع الطرق ميلينيوم ، الشارع بدون تهيئة .
يطلبون من· مديرية التعمير والبناء :
-········· ·التكفل بتهيئة· الطريق· الاجتنابي· رقم 04 على طول ملتقى الطرق كناستيل الى غاية مفترق الطريق مع ملينيوم .
-········· يجب عللى مديرية التعمير والبناء ان تأسس· مؤسسة لتبني الاشغال في اقرب وقت ممكن .
واد تليلات :
بالموقع مسكن عمومي ايجاري بواد تليلات· ،· لم تنطلق بعد اشغال التهيئة· ،· يتوعد صاحب المشروع أن يسلم ا شغال التهيئة نهاية سبتمبر 2014.
-········· طلب من مديرية التعمير والبناء التكفل بشبكات الطرقات التي تحتاج الة اعادة التقييم .
-········· في موقع 400 مسكن للقضاء على السكنات الهشة بواد تليلات ، يتوعد· المكلف بالمشروع أن يسلم المشروع نهاية شهر جوان 2014.
السانيا :
في موقع 200 مسكن عمومي ايجاري بعين البيضاء ،· يتوعد صاحب المشروع أن يسلم المشروع في نهاية شهر سبتمبر .




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بــقلـم :  م. بن علال
يـــوم :   2014-10-09
"أواس" منظمة إرهابية و إجرامية نكلت بالجزائريين ونفذت السياسة الاستعمارية الفرنسية
864 ضحية بوهران في ظرف 8 أشهر
المصور :

 أكد السيد الصادق بقادة أستاذ متخصص في علم الاجتماع أن المنظمة السرية الإجرامية" أواس" ارتكبت جرائم ضد الإنسانية في الجزائر على غرار ما فعله الاستعمار الفرنسي في الجزائر لان هذه المنظمة الإرهابية ما هي إلا أداة لتنفيذ السياسة الاستعمارية  في الجزائر..مضيفا خلال ندوة فكرية أمس بجريدة الجمهورية أن المادة الأرشيفية الإعلامية عن تلك الفترة تعد من الأهمية بمكان في كشف القناع عن تلك المنظمة السرية التي ما زالت تنادي اليوم فيما وراء البحار "بضرورة إعادة الاعتبار لسفاحيها فوق التراب الفرنسي"
وصرح المتدخل أن وهران عرفت فظاعة هذه المنظمة الإرهابية وقاوم سكانها بكل شرف حتى قال نستطيع تسمية تلك المقاومة ب " معركة وهران".. ومن منطلق السرد التاريخي للوقائع أعطى الأستاذ بقادة أرقاما تدل على العنف الإرهابي المقترف في حق السكان ضاربا الأمثلة  وبالأسماء عن بسالة الفدائيين والسكان في مواجهة المخططات الإرهابية" لأواس". وقال أن العلم الفرنسي نزل من وهران بتاريخ 14 جويلية 1962 في إشارة منه إلى الجرائم التي ارتكبت في تلك الفترة بالمدينة .وبخصوص الضحايا أكد أن أغلبيتهم مجهولي الهوية لان" أواس " كانت تضرب أعناق الناس بعشوائية وتم تسجيل عدد كبير من الضحايا الأوروبيين لاسيما الذين ساندوا استقلال الجزائر..وقال أيضا إن معلومات إعلامية لتلك الفترة أشارت لوجود عناصر من الموساد ضمن المنظمة السرية "اواس" كانت تخطط لإحداث البلبلة في وهران وخلط الأوراق لتعكير الجو على الاستقلال الوطني. وأعطى أسماء عن غلاة هذه المنظمة منهم الجنرال" جووو" وسالان" الذين أطلقوا العنان للقتل و التنكيل..
وبلغة الأرقام كشف الأستاذ بقادة عن تسجيل 864   ضحية في ظرف  8 أشهر بوهران واصفا هذه الشهور بالدامية ..وخلص في الأخير إلى أن جمع هذه المادة التاريخية يدخل في إطار التحضير لكتاب حول ضحايا منظمة" أواس" في منطقة وهران..





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الرئيس بوتفليقة: "أنا بخير .. وأحسن كثيراً عما كنت"

الرئيس بوتفليقة يستقبل المبعوث الأممي الأسبق الأخضر الإبراهيمي...
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آخر تحديث : 17:07 | 2014-10-08
الكاتب : البلاد.نت
استقبل رئيس الجمهورية عبد العزيز بوتفليقة اليوم ، بالجزائر العاصمة الديبلوماسي الجزائري و وزير الخارجية الأسبق لخضر براهيمي.
وكان اخر منصب شغله السيد براهيمي هو مبعوث مشترك للأمم المتحدة والجامعة العربية لسوريا قبل أن يستقيل منه نهاية مايو المنصرم.  
وأكد الإبراهيمي أن صحة الرئيس عبد العزيز بوتفليقة تتحسن بإستمرار،و قال  براهيمي بعد اللقاء الذي جمعىه اليوم بالرئيس بوتفليقة  : "قدمت التحية إلى رئيس الجمهورية بمناسبة عيد الأضحى المبارك وتبادلنا الرأي و المعلومات حول ما يجري في منطقتنا شرقا و غربا و شمالا و جنوبا".
و أضاف أنه تكلم مع الرئيس بوتفليقة "مطولا في هموم منطقتنا الكثيرة بدءا بمالي حيث تقوم الجزائر بدور رئيسي في عمل مشترك مع دول اخرى لمساعدة هذا البلد الجار في حل مشاكله و كذا ليبيا و سوريا و اليمن و ايضا علاقات الجزائر مع دول اخرى".
و اشار السيد براهيمي الذي عين مؤخرا عضو في مجموعة الحكماء للإتحاد الإفريقي أنه حدث رئيس الجمهورية عن هذه المهمة الجديدة معبرا عن شكره للإتحاد لإختياره كعضو في هذه المجموعة مؤكدا انه سيقدم كل ما بوسعه للتعامل مع القضايا التي تخص القارة الإفريقية. وكان اخر منصب شغله السيد براهيمي قبل تعيينه عضوا في هذه المجموعة مبعوث  مشترك للأمم المتحدة والجامعة العربية لسوريا قبل أن يستقيل منه نهاية مايو المنصرم. 


 

 



بالصور.. الجيش يقتحم مخبأ الجماعة الارهابية التي قتلت الرعية الفرنسي

تم العثور وتدمير الملجأ الذي تم استخدامه من طرف هذه الجماعة ...
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آخر تحديث : 16:56 | 2014-10-09
الكاتب : البلاد.نت
   مباشرة بعد اختطاف الرعية الفرنسي يوم 21 سبتمبر 2014، باشر الجيش الوطني الشعبي عمليات تمشيط وبحث واسعة باستعمال كل الوسائل لمطاردة المجموعة الإرهابية التي كانت وراء هذه الجريمة الشنعاء والقضاء عليها.
العملية مكنت في مرحلتها الأولى قوات الجيش الوطني الشعبي من الوصول إلى مكان اختطاف الرعية الفرنسي بأعالي جبال جرجرة بولاية تيزي وزو، حيث تم العثور وتدمير الملجأ الذي تم استخدامه من طرف هذه الجماعة الإرهابية في تنفيذ جريمتها، كما تم استرجاع الوسائل التي كانت بحوزتها 
عملية التمشيط والبحث لا تزال متواصلة إلى حد الساعة والجيش الوطني الشعبي كله إصرار وعزيمة على متابعة ومطاردة هؤلاء المجرمين بلا هوادة حتى القضاء عليهم نهائيا.



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Abdelmoumen Semida. Président de l'association Nadhafa

«Pas d’affinités partisanes dans notre association !»

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le 09.10.14 | 10h00 1 réaction


-L’objectif de votre association, tel que présentésdans votre demande d’agrément, place vos activités sous un même chapitre : militer pour une ville propre. Est-ce à bon escient que vous avez «compacté», si j’ose dire, vos ambitions ?
Absolument. Nous limitons nos activités et nos ambitions à ce même chapitre ô combien noble : nettoyer sa ville. Une ville qui croule sous le poids des ordures sans que personne ne s’en inquiète. Toute personne ou groupe qui désireraient apporter assistance ou se joindre à notre association sont les bienvenus. Ils doivent toutefois impérativement laisser de côté toute affinité partisane ou ambition clanique, et c’est là je crois la portée de votre question. Nous avons tiré des enseignements des autres associations où l’on commence par des ambitions démesurées et des discours grandiloquents pour finir instrumentalisé, honni de tous. Nous n’avons la prétention de donner des leçons, mais c’est là un principe immuable que nous nous sommes fixés.
-Comment avez-vous eu l’idée d’investir ce domaine au lieu d’autres ?
Comme je viens de vous le dire, l’état de délabrement avancé dans lequel se trouve la ville de Souk Ahras ne peut nous laisser indifférents, tout comme les autres habitants de la ville qui ne peuvent pas être heureux en subissant chaque l’amoncellement des detritus, les poussières et autres phénomènes d’un état de dégradation extrême. Nous avons décidé, avec mes amis, de dépasser le stade des constats et de commencer par la création d’une association virtuelle via facebook. Et c’est comme cela que l’idée qui germait depuis des années est devenue réalité.
-Comptez-vous élargir le cercle des volontaires qui partagent les mêmes convictions ?
C’est déjà fait et les résultats de nos premières sorties sont fulgurants. Nous ne nous attendions franchement pas à une telle comprehension et à un tel soutien de la part des habitants des quartiers de la ville. En voyant les membres de l’association Nadhafa débarquer, l’adhésion est souvent spontanée ; les rencontres et l’ambiance de travail nous encouragent à persévérer dans la même ligne.
-Quels sont vos atouts majeurs ?
Une volonté et une conviction inébranlables et cette rage de se voir utile dans la ville qu’on partage avec d’autres. Il suffit parfois de passer un matin, du côté d’une cité quelconque, et de lancer calmement : je viens nettoyer votre  quartier.  Vous allez constater que tout le monde prend balai et pioches pour se joindre au «bal».Personnellement, je crois que tous les citoyens sont épris de bonnes actions. Il suffit de provoquer le déclic, de motiver et d’encadrer. C’est là aussi l’un de nos atouts.

Abderrahmane Djafri
 
 
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patinga   le 09.10.14 | 14h08
BRAVO! aux Habitants de Souk Ahars
Yaatikoum essaha !




Pages hebdo Magazine
 

Le va-t'en-guerre de la génération facebook

Nadhafa, l’association qui dépoussière Souk Ahras

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le 09.10.14 | 10h00 2 réactions
| © D. R.

Agréée depuis seulement quelques mois, l’association Nadhafa a réussi, bon gré, mal gré, à s’affirmer comme entité pionnière au sein  d’un mouvement associatif, frappé de torpeur à Souk Ahras, sinon actionné au gré des humeurs et des rencontres propagandistes.

Ses membres fondateurs, issus d’horizons différents, se sont fixé un seul objectif : nettoyer la ville. On les voit sillonner les quatre coins de la cité, munis de pelles et de pioches, trainant des bacs à ordures à la rue des Jardins, trimballant des jerricans place de l’Indépendance, débroussaillant par ici, transportant des sacs d’ordures ménagères par là… Le tout dans une ambiance conviviale où le sourire et la bonne parole accompagnent les gestes.
Abdelmoumen Semida, son président, nous livre ses premières impressions : «Lors de nos premières sorties sur le terrain, tous les membres de l’association apprehendaient le premier contact avec les habitants des quartiers ciblés (…). Contrairement à ce que tous redoutaient, ces mêmes habitants ont fait preuve d’une grande adhésion et au lieu d’un volontariat limité aux seuls membres de l’association, nous avons réussi à drainer une armée de benévoles. Mieux encore, à chaque sortie, la liste de sympathisants et des volontaires s’est allongée. Les habitants de Souk Ahras attendaient l’initiative et je crois que nous venons de la provoquer.»
Une virée du côté des quartiers «visités» par l’association  Nadhafa nous a permis de constater que des rues naguère crasseuses et difficieles à emprunter à cause des odeurs nauséabondes, ont été totalement débarrassées des immondices et de ces fatras d’objets abandonnés par les riverains ; des escaliers-pissotières et des impasses fourre-tout ont été peints aux couleurs de l’arc-en-ciel, des caves où nichaient les chiens et proliféraient les rongeurs sentent les detérgents et l’insecticide… Bref, une métamorphose des sites qui accusaient une dégradation avancée.
Les membres de l’association — des étudiants, des fonctionnaires et des cadres moyens — misent surtout sur le travail de proximité, mais comptent aussi sur une médiatisation optimale de leurs activités pour une meilleure sensibilisation de la population locale, leur premier partenaire, estiment-ils. «Nous avons deux axes importants sur lesquels nous nous basons pour mieux gérer nos sorties. Le premier consiste à nous rapprocher des citoyens lambda qui, eux, peuvent nous servir de support lors des campagne de volontariat. Le second c’est l’occupation des réseaux sociaux (…) d’ailleurs c’est à travers facebook que nous avons réussi à composer le noyau de l’association», a déclaré un membre du groupe.
S’agissant des moyens matériels, Nadhafa ne demande que le minimum. « Si on arrive à gagner en crédibilité et en sympathie, l’aide financière de manquera pas, nous en sommes sûrs. Des particuliers nous ont aidés financièrement  à maintes reprises, l’APC de Souk Ahras a mis à notre disposition son équipement lors de nos trois premières sorties, une entreprise étrangère implantée en Algérie nous a contactés pour l’envoi d’une quantité importante de peinture… et la suite viendra. L’essentiel, pour nous, est de médiatiser notre charte d’éthique, gagner la confiance de tout le monde et surtout de convaincre les habitants de Souk Ahras de militer pour une ville propre», a ajouté un autre membre de l’association.Nadhafa ne connaît de répit, au moment où nous rédigeons cet article, ses membres préparent une action commune avec les services de l’Office national d’assainissement (ONA) pour l’entretien des avaloirs de la ville.

Ils ont dit :

Taheb Bouraoui (journaliste à la radio locale) :
«C’est une association qui vient d’introduire de nouvelles mœurs dans le mouvement associatif, d’abord par le choix du créneau d’activité, ensuite par cette volonté de ne point compter sur l’assistanat et l’apport de l’Etat pour agir.»
Karim Baour (président de l’association Echo-Jeunes) :
«L’association Nadhafa a le mérite de regrouper des personnes qui jouissent d’une grande estime au sein de la population. Elle a en outre resérvé une place importante à la gent féminine, qui n’y est pas présente à titre décoratif mais en militantes à part entière. C’est aussi un exemple à suivre en matière de discipline et de travail associatif.»
                                
Ammar Djabourabi (militant du mouvement associatif) :
«Nettoyer sa ville est une noble tâche et ces jeunes qui en mobilisent d’autres pour conjuguer leurs efforts et militer pour un meilleur environnement méritent tous les égards de la part de la population de Souk Ahras. Nous les encourageons et nous nous portons volontaires pour adhérer à toute action capable d’apporter le bien-être aux habitants de notre ville.»
Abderrahmane Djafri
 
 
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patinga   le 09.10.14 | 13h56
Chapeau bas
Brav les jeunes ( filles et garçons) le pays vous appartien , soyer les pioniers vous rentrerez dans l'histoire de ce pays meurtri et abandonnépar le pouvoir. de tres loin je suis content une nouvelle qui rechauffe le coeur et redonne espoir. sauf que ( Humour) l'arc en ciel c'est un peu.... gay comme couleur vous ne trouvez pas ? Merci encore pour votre ville et pour avoir montré que la jeunesse algerienne est vivante et presente. Bonne continuation !
 
samourais   le 09.10.14 | 12h13
Bravo a vous
Magnifique initiative , c'est un honneur de voir de bons samaritains, qui sont jaloux de leur ville et de leur pays

un bel exemple a suivre

barak allah oufikoum
 




num




http://www.elwatan.com/images/2014/10/08/mag2_2440036.jpg







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Allocution de M. le wali d'Oran Abd elghani Zaalane.

Allocution de M. le Wali
d’ORAN
« Abdelghani Zaalane »
Je salue toute la population oranaise à travers ce site-web de la wilaya d’Oran.
Oran la ville millénaire et moderniste aspire à beaucoup de progrès technologiques à l’instar des métropoles internationales.

A travers ce moyen de communication moderne, Oran s’ouvrira sur la méditerranée et intéressera surement les investisseurs étrangers et nationaux grâce aux potentialités dont elle dispose et à l’intérêt dont a bénéficié cette métropoles en matière des programmes de développement dans tous les secteurs.



Pages hebdo Magazine
 

Alger racontée par les plaques de ses boutiques

Quand les enseignes des magasins parlent...

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le 09.10.14 | 10h00 1 réaction

Alger et son passé colonial, son héritage socialiste, ses influences orientales, son arabisation brusque, les rêves de sa jeunesse, son humour grinçant… tout cela est visible au fronton de ses magasins.

«L’espace urbain devient un des lieux d’observation privilégiés pour les linguistes et les sociolinguistes», explique la sociolinguiste Khaoula Taleb Ibrahimi dans un texte publié dans la revue Insanyat. Il est vrai qu’en prêtant attention à ce que disent les plaques des boutiques, il est possible d’y voir les traits d’humour dont font preuve les commerçants. Le café Achrab oua h’rab (bois et tire-toi) égaye la rampe menant à El Biar. «Est-ce à dire que les clients ne sont pas obligés de payer, interrogent les clients. Non, bois, paye puis tire-toi», annonce, tout sourire, le maître de céans.
En plus des désormais indispensables salles «réservées aux familles», les patrons des fast-foods et autres quatre-saisons tiennent à souligner le caractère familial de leur établissement : il est très courant de voir ainsi une pizzeria nommée La Mama ou un fast-food La Famille, auprès des désormais classiques MacRezki, Mac Burger ou MacCain ainsi que le peu élégant Ham Ham.
Il semble aujourd’hui bien loin le temps où les enseignes étaient conçues de manière identique. «Nous étions, rappelle Khaoula Taleb Ibrahimi, en pleine période glorieuse du socialisme et du parti unique triomphant (nous nous rappelons tous le fameux Souk El Fellah, cesnboucheries du peuple, ces magasins d’alimentation qui, par la monotonie de leur nom en arabe ou en français, reflétaient en un raccourci saisissant le climat de pénuries chroniques que vivait le pays même si  là résident la contradiction et le désordre.»
«El Saber Ynal»
Les plaques ont évolué au gré de l’histoire du pays. Elles sont devenues le théâtre de la dualité entre les langues utilisées en Algérie. Si la majorité des inscriptions sont faites en arabe et en français, il reste des enseignes dont les mots français sont inscrits en caractères arabes, ce qui rend le message indéchiffrable. Les plaques, rappelle-t-on, ont aussi été victimes de la campagne d’arabisation initiée au milieu des années 1970.
Le sociolinguiste Jean Louis Calvet écrivait : «Une certaine nuit d’octobre 1976, des mains anonymes mais d’évidence mues par un sentiment favorable à l’arabisation passèrent au goudron toutes les inscriptions en caractères latins qui s’étalaient sur les villes par d’autres en caractères, il en résulta pendant quelque temps un beau désordre (il était en particulier devenu impossible de lire les noms des rues…). Cet épisode constitue plus qu’une anecdote. Il intervient, en effet, à la fin d’une année marquée en Algérie par une campagne d’arabisation de l’environnement…, nos mains anonymes prenaient au fond le relais d’un discours officiel, inscrivaient dans la réalité concrètes des décisions politiques qui n’avaient pas toujours suivies d’effet.»
C’était sans compter sur la fertilité de l’imagination des commerçants algériens. Khaoula Taleb Ibrahimi cite l’exemple d’un magasin de meubles dénommé El Saber Ynal (Les meubles de la patience). «Ce qui nous a interpellés, écrit-elle, c’est le fait que ce texte ait été rédigé en arabe parlé et même, si ce fait n’est pas fréquent dans notre corpus, il est intéressant de le noter car il nous permet de mettre en évidence la capacité des citadins algérois à imaginer des solutions qui ne se plient pas aux normes imposées, ici l’obligation d’écrire en arabe standard.»
Aujourd’hui, la pluralité des langues et des références indique, selon Mme Brahimi, l’inexorable intégration de notre pays dans l’économie de marché et la mondialisation : «Les noms de magasins empruntent à des univers culturels divers marquant l’influence grandissante des modèles culturels étrangers, véhiculés par les médias, qui ont connu une expansion sans précédent à la faveur de l’ouverture du pays à l’économie de marché, mais aussi l’engouement incroyable des Algériens pour les chaînes diffusées par satellite.»
«Sans visa»
La balade entre les murs et les magasins de la ville permet de prendre le pouls d’une société algérienne coincée entre l’Orient et l’Occident. L’on trouvera aussi bien un magasin de vaisselle du nom d’Un dîner plus que parfait (marché Meissonnier), en référence à la célèbre émission diffusée sur M6, qu’une bijouterie Harim el Soltane (Bab Ezzouar) illustrant le succès du feuilleton éponyme.
Les boutiques de vêtements misent généralement sur des villes européennes considérées comme les capitales de la mode : Paris mode, London Castle ou Forza Italia. Il est des enseignes de boutiques de vêtements bien plus parlantes : «Les Rêves de la jeunesse» (Hussein Dey) ou Sans Visa (Bab Ezzouar). Les commerçants sont, d’après l’analyse de Khaoula Taleb Ibrahimi, dans l’air du temps et à l’écoute des exigences d’un public de plus en plus conditionné par le matraquage publicitaire venu de cet ailleurs qu’il «aimerait bien être le sien».
Ces dernières années, des enseignes ayant des accents religieux commencent à faire leur apparition. Dans la libraire Dar El Maârifa (la maison du savoir, Beaulieu), il n’y a qu’un seul livre : le Saint Coran. Mais le commerçant propose aussi des qamis et des djellabas de toutes les tailles. Le nom Dar El Hikma vaut, pour sa part, aussi bien pour une librairie (Bouzaréah) que pour une herboristerie (Bab Ezzouar).
D’après la sociolinguiste, «l’Algérie a fait le choix de s’ouvrir, sans aucune précaution préalable, au marché mondial. Les murs d’Alger, sa capitale, ne peuvent qu’en illustrer les effets les plus frappants car ils se déroulent devant nos yeux de citadins, tous les jours, comme un film que nous serions condamnés à voir et revoir, innombrables reflets d’un monde imaginé qui n’est pas forcément celui que nous voudrions être le nôtre».
Elle poursuit : «Cette diversité qui fait le sel de notre paysage graphique urbain (ce métissage dont parle L.J. Calvet) se rétrécit comme peau de chagrin sous les coups de boutoir de la mondialisation triomphante et de la domination du modèle consumériste de l’Occident. Il ne s’agit plus ici de parler de contradictions entre l’in vitro et l’in vivo, mais plutôt de proclamer l’échec lamentable de la loi qui n’a pu résister à l’autre politique, non officielle celle-là, elle n’a pu résister à la logique de l’économie de marché qui ne s’encombre pas de considérations idéologiques mais recherche le profit et rien que le profit.» Au final, nos villes y perdent un peu de leur âme.


Amel Blidi
 
 
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patinga   le 09.10.14 | 14h03
ruines
Oui c'est beau tout ça mais pour combien de temps encore , la ville tombe en ruine et dans peut de temps il n'y ura plus rien , aucun heritage , aucune histoire. il faut restaurer rehabiliter alger le passé coloniale c'est notre passé c'est notre histoire. Les français n'ons pas detruit Strasbourg apres avoir repris l'Alsace sous pretexte que ses maisons a colombages sont un heritage allemand. D’après la sociolinguiste, «l’Algérie a fait le choix de s’ouvrir, sans aucune précaution préalable, au marché mondial" c'est tout a fait faut, le pouvoir a baissé les bras aux islamistes pour qu'ils raignenet en maitres et ecrase la culture occidentale et tout ce qui est progerssiste et innovateur.
 
Lakhdar2013   le 09.10.14 | 12h02
Un peu de tout
J'ai vu une enseigne "le petit coin" pour un restaurant, ça donne une idée sur ce qu'on y mange.
Il y a beaucoup de "coin bleu" pour différents commerces, à croire qu'ils appartiennent à un même propriétaire, ou bien le fabricant d'enseignes propose-t-il la même à tous. Des "roi du poulet" il y en a à foison, si bien qu'il y a un "imbrator" à Birmandreis.
 


http://www.elwatan.com/dessins-du-jours/img/MAZ/2012/20121206.jpg




http://www.wilayaoran.org/31/index.php?lang=fr



http://www.wilayaoran.org/31/images/pdf/img_0757.jpg



Articles

Allocution de M. le wali d'Oran Abd elghani Zaalane

 

Allocution de M. le Wali
d’ORAN
« Abdelghani Zaalane »
 
Je salue toute la population oranaise à travers ce site-web de la
wilaya d’Oran.
Oran la ville millénaire et moderniste aspire à beaucoup de progrès technologiques à l’instar des métropoles internationales. A travers ce moyen de communication moderne, Oran s’ouvrira
sur la méditerranée et intéressera surement les investisseurs étrangers et nationaux grâce aux potentialités dont elle dispose et à l’intérêt dont a bénéficié cette métropoles en matière des programmes de développement dans tous les secteurs.


Ce site électronique qui vous accompagne comme support informationnel des grands chantiers ouverts, sur plusieurs projets structurants, est un nœud d’interconnexion entre les différentes
institutions publiques d’une part et un portail ouvert à l’opinion au niveau locale, national et internationale, mettant en valeur les efforts de l’Etat dans le cadre du développement, d’autre part notre pays l’Algérie, en dépit de son fort potentiel et la diversité de ses ressources, a enregistré pendant une longue période un taux de croissance loin d’être suffisant pour répondre aux exigences de son arrimage au processus de la mondialisation et la réalisation du bien-être de la population ….


Oran avec ces atouts, sa position géographique, son patrimoine historique, culturel et archéologique, ses richesses naturelles, ses ressources hydrauliques, la diversité de son climat et la qualité de son
terroir, est une région dont l’avenir s’annonce des plus prometteurs à bien des égards….


Les investisseurs nationaux et étrangers sont permis de choisir notre wilaya comme destination privilégiée de leurs projets. L’Etat a également donné dans le cadre de la modernisation de
l’administration et l’amélioration du service public, en prenant en charge les préoccupations et aspirations de la population.


Enfin, je vous invite à consulter notre site-internet qui
contribuera surement à l’amélioration de la relation
« Administration – Administrés ».
ABDELGHANI ZAALANE
LE WALI DE LA WILAYA D’ORAN


بــقلـم :  آمال.ع
يـــوم :   2014-10-09
بعد توقيف المير السابق لاستغلال الوظيفة و منتخبة بتهمة التعدي على الملكية العقارية
تنصيب رئيس بلدية بوسفر الجديد

أشرف مدير التنظيم و الشؤون العامة آيت أحسن رابح أمس على تنصيب رئيس بلدية بوسفر الجديد بن عمر السعيد خلفا للمير السابق الذي تم توقيفه لمتابعته قضائيا بتهمة استغلال الوظيفة  علما أن هذا يعد ثاني تغيير لرئيس المجلس الشعبي البلدي في ظرف سنة ،دون أن ننسى الإشارة إلى المنتخبة التي تم إنهاء مهامها بذات البلدية لمتابعتها قضائيا بتهمة التعدي على الملكية العقارية لترتفع  بذلك سلسلة حصيلة التوقيفات داخل المجالس المحلية بعد أن مست العديد من البلديات خلال الفترة الماضية و التي عرفت تغيير ميران بالكرمة و عين الترك  و سيدي الشحمي و منتخبين آخرين تورطوا في قضايا الفساد و التعدي على الملك العام و استغلال الوظيفة و لم يحافظوا على المهمة  التي تقلدوها و التي منحها إياهم سكان ولاية وهران لتمثيلهم و الدفاع عن حقوقهم و متابعة مصالحهم و تسيير المشاريع التنموية و من خلالها القضاء على معاناتهم و انشغالاتهم.
هذه المتابعات القضائية و الانسدادات داخل المجالس المحلية المنتخبة جعلت المسؤول الأول عن الولاية عبد الغني زعلان يشدد في عديد الاجتماعات التنسيقية التي يعقدها مع أعضاء الهيئة التنفيذية على ضرورة الابتعاد عن الخلافات الداخلية و الاهتمام بمصالح المواطن و تسيير المشاريع التنموية باعتبار ان هذه المجالس  ركيزة التنمية المحلية ،و يأتي هذا أيضا في الوقت الذي عكفت فيه وزارة الداخلية و الجماعات المحلية على تنظيم دورات تكوينية لفائدة الأميار و التي احتضنتها ولاية وهران مؤخرا لرسكلة  المنتخبين و اطلاعهم على مختلف النصوص التنظيمية و القانونية  للتسيير الأمثل للبلديات ومن خلالها الابتعاد عن أية تجاوزات






http://www.elbilad.net/media/upload/38(1).jpg




http://www.elwatan.com/dessins-du-jours/img/HIC/2014/20141009.jpg






وهران

المصور :

بــقلـم :  آمال.ع
يـــوم :   2014-10-09
بعد توقيف المير السابق لاستغلال الوظيفة و منتخبة بتهمة التعدي على الملكية العقارية
تنصيب رئيس بلدية بوسفر الجديد

أشرف مدير التنظيم و الشؤون العامة آيت أحسن رابح أمس على تنصيب رئيس بلدية بوسفر الجديد بن عمر السعيد خلفا للمير السابق الذي تم توقيفه لمتابعته قضائيا بتهمة استغلال الوظيفة  علما أن هذا يعد ثاني تغيير لرئيس المجلس الشعبي البلدي في ظرف سنة ،دون أن ننسى الإشارة إلى المنتخبة التي تم إنهاء مهامها بذات البلدية لمتابعتها قضائيا بتهمة التعدي على الملكية العقارية لترتفع  بذلك سلسلة حصيلة التوقيفات داخل المجالس المحلية بعد أن مست العديد من البلديات خلال الفترة الماضية و التي عرفت تغيير ميران بالكرمة و عين الترك  و سيدي الشحمي و منتخبين آخرين تورطوا في قضايا الفساد و التعدي على الملك العام و استغلال الوظيفة و لم يحافظوا على المهمة  التي تقلدوها و التي منحها إياهم سكان ولاية وهران لتمثيلهم و الدفاع عن حقوقهم و متابعة مصالحهم و تسيير المشاريع التنموية و من خلالها القضاء على معاناتهم و انشغالاتهم.
هذه المتابعات القضائية و الانسدادات داخل المجالس المحلية المنتخبة جعلت المسؤول الأول عن الولاية عبد الغني زعلان يشدد في عديد الاجتماعات التنسيقية التي يعقدها مع أعضاء الهيئة التنفيذية على ضرورة الابتعاد عن الخلافات الداخلية و الاهتمام بمصالح المواطن و تسيير المشاريع التنموية باعتبار ان هذه المجالس  ركيزة التنمية المحلية ،و يأتي هذا أيضا في الوقت الذي عكفت فيه وزارة الداخلية و الجماعات المحلية على تنظيم دورات تكوينية لفائدة الأميار و التي احتضنتها ولاية وهران مؤخرا لرسكلة  المنتخبين و اطلاعهم على مختلف النصوص التنظيمية و القانونية  للتسيير الأمثل للبلديات ومن خلالها الابتعاد عن أية تجاوزات



http://www.eldjoumhouria.dz/Images/Articles/2014-10-09/P3-apc-bousfer.jpg

بــقلـم :  ابن عاشور
يـــوم :   2014-10-09
جراء غلق مركز الردم لبلدية السور بمستغانم
100 طن من النفايات اليومية تحاصر حي 600 مسكن

 سكان حي 600 مسكن ، طلبة ، أساتذة وعمال جامعة مستغانم  طرحوا مؤخرا على مسؤولي الولاية مشكل التخلص من النفايات اليومية التي فاق وزنها الـ 100 طن ، حيث لم تجد مصالح بلدية مستغانم بعد غلق مركز ردم النفايات لبلدية السور إلا منطقة خروبة التي تقع بالقرب من حي 60 مسكن وإلى جانب القطب الجامعي الذي تحيط به العديد من الكليات و الإقامات الجامعية ، رمي النفايات بهذه المنطقة بالذات بات يشكّل خطورة كبيرة على حياة كل من يعيش في هذا المحيط المفتوح ، الأمر لم يتوقف عند رمي النفايات وإنما هناك أشخاص يتعمدون حرقها لجمع عدد المواد لإسترجاعها ، مما يتسبب في انبعاث الدخان والروائح الكريهة على مدار اليوم  ، هذه الجريمة البيئية تحدث في الوقت الذي باتت المصالح البيئية وبلدية مستغانم مكتوفتي الأيدي ، فلا مكان بديل لرمي النفايات ولا قرارات ردعية لتوقيف ظاهرة حرق النفايات المنزلية ، هذه الظاهرة  دفعت بسكان الحي خلال الأسبوع الماضي إلى الخروج للشارع و قطع الطريق للحظات قبل أن يتدخل العقلاء و يتم فك الانسداد ، دون أن تجد السلطات المحلية حلا مقنعا خصوصا و أن عملية الرمي العشوائي لا تزال مستمرة تزامنا و مصادر من بلدية مستغانم تؤكد على أنه سيتم تحويل هذه النفايات اليومية إلى بلدية ماسرة في الوقت الذي تبقى فيه الجهات الوصية مطالبة بإنشاء مراكز للردم التقني في ظرف عاجل




http://www.eldjoumhouria.dz/Images/Articles/2014-10-09/4-7.jpg



مادام دليلة في ديوان الترقية لبومرداس
الخميس 09 أكتوبر 2014 elkhabar
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يشهد ديوان الترقية والتسيير العقاري لبومرداس حالة غليان جراء التسلط الذي تمارسه مسؤولة الموارد البشرية والوسائل العامة، حيث قام العمال في المدة الأخيرة بإمضاء عريضة وجهت للمدير، ولأن هذا الأخير اكتفى بدور المتفرج راح العمال في خطوة جديدة يهددون بشن إضراب عام عن العمل ما لم يضع المدير حدا لمسؤولته التي بات يطلق عليها “مادام دليلة”، فمن يقف وراءها يا ترى؟
-






بــقلـم :   يومدين بن عياد
يـــوم :   2014-10-09
المؤرخ صادق بن قادة يكشف في ندوة «الجمهورية» المزيد عن دموية منظمة الجيش السري:
اليد اليهودية في مأساة عشية الاستقلال
المصور :

* هكذا اغتيل الزوج فوضيل والمهندس مهاجي وعائلة لوباز
* جنون الدمويين طال 235 ضحية في رمضان 1962

قدم الدكتور الصادق بقادة أمس خلال استضافته بندوة «الجمهورية» المحاور الإشارية التي تضمنها بحثه في تاريخ الثورة التحريرية بمنطقة وهران والذي يكشف فيه عن مواطن ما وراء الأحداث المؤلمة التي ظلت إلى وقت قريب مجرد أحداث بعناوين عريضة بلا تفاصيل..
وقد فضل الدكتور بقادة بدور مقدمات الكشف عن عصارة بحثته الميداني حول المرحلة الأكثر دموية قبيل الاستقلال والتي شهدت تأسيس منظمة الجيش السري الإرهابية من قبل مجموعة من الإنقلابيين على دوغول ولفيف من أنصار فدرالية الجزائر الفرنسية (الفاف) من أنصار البش آغا بوعلام.
وقد تناول ضيف الجمهورية ظروف تأسيس هذه المنظمة الإرهابية الدموية على مستوى وهران بتكليف من السفاح صالان الذي اختار الجنرال جوو من مواليد بلدة بوسفر لمعرفته الدقيقة بطوبوغرافيا المدينة وما جاورها، وقد اختير يوم 20 أوت 1961 لتجنيد هذه العصابات الإجرامية الشبيهة بعصابات الهاغانا التي شرّدت الفلسطينيين من وطنهم في 1948 وقد تم ذلك بحضور عناصر من الموصاد ووجوه يهودية بارزة بوهران أخذت على عاتقها تأسيس (أو.آ.أس) يهودية بهذه المدينة المجاهدة التي دفعت 1100 شهيد تمت تصفيتهم فرديا وجماعيا في فترة لا تتعدى السنة.
وأكد الدكتور الصادق بقادة في هذا الشأن أن جنون (الأو.آ.أس) إنما صعد من دمويته بعد وقف إطلاق النار في 19 مارس 1962 حيث ركزت المجموعات الدموية الفاشية على الاغتيال العشوائي لكل فئات الشعب الجزائري وكذا المساندين لفكرة الاستقلال من الأوروبيين أنفسهم وذكر ضيف الجمهورية في هذا الصدد بعائلة لوباز صاحبة المخبزة بشارع تلمسان التي فقدت 3 من أفرادها على أيادي منظمة الجيش السري مثلما اغتيل المهندس المعماري الجزائري مهاجي محمد والطيبين الزوجين فوضيل مصطفى وعباسية بعيادة واجهة البحر بوهران فيما تبقى مجازر رمضان 1962 (شهر فيفري) الأعنف والأكثر دموية 235 ضحية.
شهداء تم توثيقهم في وقت تعذر قيدُ آخرين على السجلات الرسمية للحالة المدنية فيما استحال الكشف عن هوية الكثيرين لفظاعة هذه الأعمال الجبانة شهداء بأسماء مجهولة.
وفي الأخير فلم يفوت الدكتور بقادة هذه الندوة دون الإدلاء بشهادته الشخصية يوم اكتشف غداة الاستقلال جثة شهيد منكلة داخل مدخنة المنزل الذي غادره رفقة عائلته لفظاعة المشهد...
houari :
salamalykom mes freres vraiment avec une trés grande douleur que toujours j'entends que nos fréres et parents qui sont mort pour la cause de l'indépance par une main sale et celle des juifs algérien que maintenant que l'etat algérien veut travailer avec eux au nom de mondialisation pourquoi vous don




http://www.wilayaoran.org/31/images/stories/oran/indep.jpg

Historique de la ville d'Oran



Il existe plusieurs hypothèses sur la graphie et le sens étymologique de ce nom d'origine Berbère, prononcé tantôt WIHRAN tantôt WAHRAN. Nous en reproduisons ci-après deux.
Oror2

hotel
Berbère, prononcé tantôt WIHRAN tantôt WAHRAN. Nous en reproduisons ci-après deux
Explications possibles:
La première (1), donne la définition suivante:  WI: préfixe qui est le pluriel de WA ayant une valeur de démonstratif "celui de ...; l'endroit à ...; aux ...; HR: Marque du pluriel en berbère comme "en".
C'est donc littéralement par "endroit aux lions" qu'on peut traduire ce terme, hypothèse qui se trouve par ailleurs confirmée par le fait que Djebel Aghar (Ahar) situé au Nord-Est d'Oran, a été dénommé "la montagne aux lions". Ces animaux, attirés par le cadre primitif abondamment boisé et pourvu d'eau, devaient être nombreux dans la région.
En langue berbère en Algérie et au Maroc , le lion se traduit généralement par "IZEM".
Mais dans le dialecte berbère du M'ZAB , le lion se dit: "air" pluriel "air en" et dans le SOUSS (Agadir, Goulimine, Anti-Atlas) le lion est appelé "IFIS pluriel  IFASIOUN.
La deuxième hypothèse, citée dans une conférence donnée au centre culturel d'Oran par MR. Abdelhamid Benachenhou le 25.6.71, prête au terme WAHRAN pluriel de AHRI,
le sens de: entrepôts , abris, magasins, etc ...
PERIODE    902-903 (290DE L’HIGIRE)ville-d-Oran
La ville d’Oran , qui existait en tant que bourgade située de part et d’autre de l’Oued Er Rhi aujourd’hui souterrain, habitée par des éléments berbères les Nafza et les Beni Yesguen, deux factions issues de la tribu Azadja, fut fondée aux environs de 902-903 (soit 290 de l’Hégire) sous le règne de Khazer El Maghraoui, prince appartenant à la grande tribu berbère Maghraoua qui s’étendait de la plaine de Miliana à l’Est jusqu’à celle de l’Oued Tafna à l’Ouest.
LA PENETRATION ARAB   (903-910)   - FONDATION D’ORAN
A l’époque de la pénétration arabe , les Maghraoua avaient pour chef  Saoulat Ibn El
Maghraoui, qui dit-on, fut accueilli par le khalif Othman Ibn Affan El Oumaoui auprès duquel
il se convertit à l’Islam. Il fut ensuite nommé chef de la tribu et installé à Chleff.
Oran et sa région furent donc sous l’influence du khalif de Cordoue. Mais les tribus
berbères, les Zénata, Maghraoua et Beni Ifrène, deux frères ennemis d’une part, les
Sanhadja de la montagne d’autre part, allaient se disputer le pouvoir sur cette province,
considérée à juste titre comme la plus riche de la zone de l’Ouest.
Oran en cette période de la naissance de la dynastie Chiite et depuis sa création qui
remontait alors à 7 ans, vivait paisiblement, cherchant à développer ses relations
commerciales avec les Andalous. Abou Obeid Allah El Bekri nous apprend qu’en 910 la cité
se développa, et prit un grand essor économique.
Des conséquences fâcheuses de cette rivalité ne tardèrent pas à se faire sentir.
(1) Source: Bulletin du Centre de Recherche et de Documentation . Université d'Oran n° 1.1969 - MR. Mohamed
HASSANI TALEB.
Oran constituait à cette époque une place fort importante. La valeur stratégique de sa
position dépassait alors celle d’Alger et de Tlemcen. Abou Abdallah Mohamed El Idrissi
géographe né à Ceuta (1099-1165) nous en donne la description suivante:
«Oran est bâtie sur les bords de la mer. Elle est entourée d’un rempart solide, en pisée.
Elle a des marchés achalandés et possède des métiers nombreux, un commerce intense s’y
pratique. Elle fait face à la ville d’Alméria sur la côte andalouse. La largeur de la mer entre
les deux villes est de deux courants, d’Oran, on peut apercevoir la côte andalouse.
A l’entrée d’Oran, il y a un petit port abritant peu de vaisseaux, mais à deux miles se
trouve le grand port (Mer El Kebir) qui protège les grands navires et les bâtiments au long
cours. Aucun autre port ne lui est comparable sur la côte barbaresque».
Il semble qu’à cette époque Oran n’avait plus l’importance qu’elle avait auparavant sous
les Mourabitoune qui s’en servaient comme plaque tournante entre l’Ifrikia et l’Espagne. Ce
rôle fût joué par Rabat ou Salé la Neuve.
Elle était érigée, à cette époque, en République maritime qui élisait ses magistrats,
recevait des impôts et se comportait en principauté détachée du royaume Abdelouadite.
PERIODE ESPAGNOLE (1505)
espa
Ce fut la période de la “Reconquista espagnole”, c'est à dire à partir de 1492 date de la
prise de Grenade par les rois Ferdinand et Isabelle. Oran qui donnait vue sur la mer, en
face de l’Espagne qu’à l’intérieur au pays,  se trouvait particulièrement menacée. Il fallait
pour les espagnols s’implanter solidement sur la côte barbaresque, après avoir chassé
d’Espagne les musulmans andalous: les Maurinos.
A la suite d’un accord tacite conclu entre les Espagnols et les Portugais sous la
bénédiction du Pape de Rome, les premiers nommés devaient occuper la côte
méditerranéenne et les autres la côte atlantique.
Quasi indépendante vis à vis du pouvoir Ziyanide et assez rapprochée de la côte
espagnole, Oran devait être ainsi la première victime de l’invasion espagnole qui se
produisit en 1509. Elle fut prise par le cardinal Ximénies Cicéros archevêque de Tolède
après Mers El Kébir occupé en 1505 sous prétexte que les deux ports étaient des repaires
de corsaires.
DEUX CIECLE ET DEMI D’OCCUPATION ESPAGNOLE
Les  Espagnols s’implantèrent à Oran et dans sa périphérie. Il édifièrent de nouveaux
ports presque inexpugnables qui devaient les protéger contre les incursions continuelles
des tribus des environs. Les Oranais allaient connaître plus de deux siècles et demi
l’occupation espagnole , une occupation très dure, de combats, de guerres, de razzias,
souvent même de sièges.
L’occupation d’Oran par les Espagnols sera la plus grande erreur que l’histoire ait
enregistré à l’égard de l’Espagne. Ce fut à cause de cet orgueil connu des Musulmans
andalous, que ces occupants sont restés pendant deux siècles et demi en perdant des
fortunes colossales et des vies humaines sans nombre tant musulmanes que chrétiennes.
Il fallait déposer ses armes avant d’entrer à Mers El Kebir et l’on procedait même à des
fouilles.
«Oran est une grande cité abritant six mille feux environ. Elle fut édifiée par les anciens
africains sur la côte de la mer méditerranée, moitié en plaine et en montagne. Elle est bien
fournie en édifices et en toutes choses nécessaires à la bonne cité tels que collèges,
hôpitaux, études et hôtelleries. Elle est entourée de belles murailles ».
Oran souffrit en ces années d’une grande disette. Les Espagnols n’avaient rien à acheter
ni même à piller. Le gouverneur, le compte d’Alcaudite qui était un homme réaliste, proposa
à l’empereur l’évacuation d’Oran. Mais ce fut peine perdue.
A la fin du XVIIème siècle, Moulay Ismail El Alaoui, sultan du Maroc, attaque à plusieurs
reprises Oran pour essayer de s’en emparer. Il se heurta tantôt aux troupes espagnoles
tantôt aux soldats turcs.
En 1693, il fut défait par le duc de Canzano, gouverneur d’Oran. A la suite de cet échec,
le sultan dit d’Oran «Oran est une vipère à l’abri d’un rocher, de là elle blesse l’homme
sans s’exposer à recevoir le moindre coup».
Mais les Espagnols tenaient à récupérer Oran. Aussi, le 6 Juin 1732, avec plus de 525
vaisseaux, 30 000 Hommes et un millier de canons, reprirent-ils Oran. L’immense armada
occupa Oran et Mers El Kebir, défendus par 2 000 combattants musulmans qui lâchèrent
prise devant le nombre et la puissance de feu de l’ennemi.
PERIODE TURQUE 1795turq
Le siège du beylik fut transféré de Mascara à Oran, en raison de l’importance de la ville
et de sa région. Oran occupa désormais le rang de troisième ville de la régence d’Alger,
venant après Alger et Constantine.
Le Bey d’Oran avait son armée qu’il recrutait dans les tribus arabes des Béni Amer, des
Emoules, des Douaîrs et des Hachem du Ghris.
Le port d’Oran sous les beys qui se sont succédés à partir de 1795, avait acquis une
telle importance que tout le trafic de l’Ouest se faisait par son intermédiaire. Il était en
relation avec les ports d’Espagne quand l’Algérie était en paix avec elle, avec Marseille,
Gêne, Livourne, Venise, etc.
Ce fut dans cette situation de prospérité que la ville fut prise en 1831 par le général
Boyer qui débarqua le 4 Janvier et se mit à faire des incursions autour d’Oran, poussant
des pointes à l’intérieur du pays. L’avance ennemie devenait de plus en plus dangereuse,
suivie de destructions.
Le bey d’Oran, Hassan, le consultait sur les questions politiques délicates qu’il ne
pouvait régler lui-même. Ses avis étaient toujours suivis. Sa maison de Guetna comprend
une zaouîa et une médersa, où les élèves étaient hébergés et instruits.
Ils y passaient le temps qu’ils voulaient en assistant aux cours du maître et y faisaient
leurs dévotions, Sidi Mahieddine était très renommée dans toutes les tribus de l’oranie et
même au delà. Son fils cadet, Abdelkader, né le 6 Septembre 1808, étudia sous sa direction
et quand il acquit suffisamment de sciences, il l’envoya à Oran pour étudier auprès de
maîtres connus pour leur savoir.
PERIODE FRANCAISE 1830-1962:
DE 1830-1954
Oran1855
C’est le 10 Décembre 1830, que la ville d’Oran est occupée pour la première fois par les
troupes du général Clauzel. Le 6 Février 1831 fut signé là Alger une convention qui nommait
bey d’Oran, le fils de Sidi Mustapha frère du bey de Tunis que les français avaient nommé
bey de Constantine. Le nouveau bey reconnaissait l’occupation française de Mers El Kebir,
et devait observer à l’égard de la domination française les mêmes rapports de dépendance
qu’observaient les anciens beys d’Oran vis à vis du bey.
Mais cette tentative de domination française du beylik d’Oran par l’intermédiaire d’un
bey tunisien échoua ; le nouveau bey trouva, en effet, Oran abandonnée par sa population,
les tribus du beylik passées du côté du parti de la résistance.
La ville passe de nouveau sous le contrôle français le 17 Août 1831. Désormais, Oran fait
partie des établissements français du Nord de l’Afrique. La ville est isolée de son arrière
pays jusqu’à la fin de la résistance de l’Emir Abdelkader le 27 Décembre 1847.
Dans la ville, la vie coloniale s’organise, en 1833, on comptait 3 800 habitants dont
seulement 400 Algériens. Le général commandant La Place s’installe dans le palais du bey
que son successeur n’abandonnera qu’en 1962.
Durant cette première moitié du 19éme siècle, la ville va vivre au rythme des résistances.
Dans la seconde moitié du 19e siècle, devenue chef-lieu de préfecture elle sert de base de
départ de la répression coloniale. C’est une petite ville de province dont la population
européenne s’accroît régulièrement.
Par leur présence particulièrement forte, les Ouled Cadi, les Bendaoud, Belgaid Hadj
Hassen, Kaid Omar rappellent qu’il existe aussi à Saint Louis (Sidi El Houari) au Derb et à
Mdina Jadida une population algérienne minoritaire dans sa ville (30 % au maximum de la
population totale jusqu’en 1948).
Au lendemain de la 1ère Guerre Mondiale, l’influence politique du mouvement «Jeunes
Algériens» dont l’Emir Khaled était le leader, se fait sentir parmi l’élite du Département de
la ville.
En 1932, au cours d’une manifestation de conscrits contre le service militaire de trois
ans, imposé aux Algériens, le jeune Lahouari Souiah s’éveille à la conscience politique
jusqu’alors seuls les syndicats offraient un espace d’organisation et d’expression.
En 1936, avec le rassemblement national autour du congrès musulman qui regroupait
l’ensemble des forces politiques algériennes, derrière le Cheikh Ben Badis et le Dr
Bendjelloul, les Algériens pénètrent en force dans le camp politique.
Autour du Cheikh Bachir Brahimi et du Cheikh Said Zahiri, derrière les frères Hadj Hassen
Bachtarzi, avec Kaddour Belkhaim et les premiers militants de l’Etoile Nord Africaine dont
Turki Kaddour que Messali Hadj avait convaincu lors de son passage à Oran en Décembre
1936, la population oranaise fait la preuve de son adhésion au renversement du système
colonial.
Djamîat El Falah où enseigne Cheikh Miloud Mohamed-Brahim, le cercle Emir Khaled à
El Hamri, le mouvement formant ceux qui plus tard allaient prendre la tête du mouvement
national et parmi eux Hamou Boutlelis.
C’est dans les dures conditions de la clandestinité durant la 2ème Guerre Mondiale alors
que toute activité était interdite que le PPA se reconstruit, Hamou Boutlelis prend la tête
de l’organisation spéciale et participe activement aux manifestations du 1er Mai 1945 avec
Souilah Lahouari.
En 1949, les membres du PPA clandestin attaquent la poste d’Oran pour préparer le
déclenchement de la lutte armée.
En Mars 1950, l’organisation spéciale est démantelée, Hamou Boutlelis est arrêté, il ne
sortira de prison qu’en Octobre 1957 pour être assassiné. Tous les militants MTLD sont
arrêtés, parmi eux Bakhti Nemiche.
En 1952, les dockers d’Oran refusent de charger les bateaux à destination de l’Indochine
et affrontent les forces de police. La tension monte à Oran.
DE 1954-1962
ahmed_zabana                                                                                           la_batalle_de_sidi





             

                AHMED ZABANA
Le 31 Octobre 1954, sous les ordres de Larbi Ben M’Hidi qui avait pour adjoint Hadj Ben
Alla et Abdelhafid Boussouf, des groupes de militants pour la plupart issus de l’O.S, dirigés
par Chariat Ali Chérif, Ahmed Zabana, Ramdane Benabdelmalek se lancent à l’assaut de la
citadelle colonialiste à Oran et sur d’autres points de la région.
Tout au long de la guerre de libération, les Fidas s’attaqueront à tout ce qui représente
le système coloniale jusqu’à la libération du pays.
En 1956, de violentes manifestations secouent la ville, Hadj Ben Alla est arrêté, Mdina
El Djadida et El Hamri sont régulièrement isolés du reste de la ville. Le quartier des
Planteurs subit non moins régulièrement les assauts de l’armée coloniale. Les réseaux
tombent (Baghdadi Abdelkader en 1958) et se reforment.
En 1960, le 10 Décembre, après Ain Témouchent, Oran s’embrase, la répression contre
les manifestations est féroce d’autant plus qu’Alger et les autres villes suivent.
Au cours de l’année 1961, l’OAS qui se constitue multiplie les assassinats d’algériens. La
ville est coupée en deux. Le 28 Février 1962, une voiture piégée explose sur l’Esplanade
(Tahtaha) faisant plus d’une cinquantaine de morts.
Le 19 Mars 1962, les troupes du colonel Othmane encerclent la ville et le Capitaine
Bakhti Nemiche prend position avec ses éléments à l’intérieur de la ville. La politique de
la terre brûlée pratiquée par l’OAS entraîne des destructions sauvages qui atteint son point
culminant avec l’incendie du port d’Oran en Mai 1962.
Le 5 Juillet 1962, les derniers OAS provoquent d’attentats qui donnent lieu à des
débordements et des exécutions sommaires. L’intervention des troupes du Capitaine Bekhti
Nemiche également membre du Comité de Réconciliation, aux côtés de Fouques-Duparc
maire de la ville, rétablissent l’ordre et la sécurité, mais ce n’est qu’en 1968 que l’armée
française évacue Mers El Kebir.indep
ORGANISATION TERRITORIALE
LE MILLIEU PHYSIQUE
LE RELIEF
Le relief de la wilaya d’Oran est présenté selon six composantes naturelles, comme suit:
a) La bordure côtière: On distingue:
• Les côtes rocheuses s’étalant des monts d’Arzew jusqu’à  Mers El Kebir à l’Ouest et
du Cap Lindles jusqu’à Cap Sigal, limite administrative de la wilaya.
• Les plages sableuses de la basse plaine de Bousfer-les Andalouses et de la baie
d’Arzew.
b) Les collines du Sahel: constituées par:
• Les monts d’Arzew: Ensemble de hautes collines bordant toutes les falaises abruptes
allant d’Arzew à Canastel (Est d’Oran).
• Le Murdjadjo et ses prolongements à l’Ouest: son versant septentrional fortement
escarpé domine la plaine de Bousfer-les Andalouses avec ses prolongements lesdjebels Djorf et Lindles et à l’Est le djebel Santon.
c) La basse plaine littoral de Bousfer-Les Andalouses:
• Ensemble pénéplan déclinant vers le Nord, très abrité par les collines sahéliennes
disposées en amphithéâtre. Un seul cours d’eau important draine cette basse plaine
à l’Ouest, l’oued Sidi Hammadi près du complexe touristique des Andalouses.
d) Le plateau d’Oran-Gdyel:
• S’étendant sur une vaste superficie, des piémonts du Murdjadjo, jusqu’au Sahel
d’Arzew. Ce plateau  est marqué par une absence de drainage et de nombreuses
dépressions plus ou moins salées: la grande Sebkha d’Oran  qui marque la limite du
Plateau à l’Ouest, la Daya Morsli, le lac Télamine, les Salines d’Arzew limite du plateau
à l’Est.
e) La partie orientale de la plaine de la M’leta:
• Coincée entre les piémonts Sud de Tessala, les  côteaux de la forêt de Moulay Ismail
et la bordure immédiate de la grande Sebkha. Le relèvement léger du relief aux abords
de la sebkha fait que plusieurs cours d’eau y ont formé d’importantes dayate (daiet
OumEl Rhelaz, daiet Sidi M’Hamed, daiet El Bagrat ).
f ) La grande sebkha d’Oran et les salines d’Arzew:
• La grande sebkha d’Oran est une dépression située à 80 m  d’altitude et d’une
étendue dépassant les 30 000 Ha  (près de 1/6 de la surface de la wilaya).
• Les salines d’Arzew s’étendant au pied de la forêt de Moulay Ismail, d’orientation
similaire à celle d’Oran.
GEOLOGIE ET TOPOGRAPHIE
a) GEOLOGIE
Caracterisation-et-etat
Le territoire de la wilaya d’Oran est constitué par les unités suivantes:
• Un sillon littoral septentrional, étroit, disloqué par les effondrements quaternaires
(graben de Mers El Kebir), prolongé vers l’Est par les plateaux de Mostaganem.
• Un massif  (le Murdjadjo) qui domine à l’Ouest la ville d’Oran très techtonisé,
fracturé, érodé, métamorphisé et schistosité. A l’Est, le massif a son équivalent les
monts d’Arzew.
• Un sillon méridional, occupé essentiellement par la grande sebkha d’Oran,
prolongement du vaste synclinal du chéliff où des épaisseurs de néogène dépassant
3000 m ont été reconnues par forages pétroliers.
b) TOPOGRAPHIE
                    preview006
La carte des pentes identifie 04 classes: 1. La classe de 0 à 3 %: Plaines ou plateaux sur lesquels l’intensification de
l’agriculture peut se faire sans contraintes à la mécanisation.
Les zones de plaines regroupent les plaines littorales et sub-littorales à fort potentiel
agricole (plaine de Bousfer, de Misserghin, d’Es Senia, de Boufatis, d’Oued Tlelat, la
zone des Hassi, la plaine de Béthioua dont une grande partie est prise par le complexe
industriel de la SONATRACH).
Les zones de plateaux qui regroupent le plateaux d’Oran et le plateaux de Gdyel.
2. La classe de 3 à 12,5 %: Bas piémonts où les pratiques culturales doivent tenir
compte du phénomène d’érosion, et où l’on peut rencontrer par endroit des
problèmes de mécanisation.
Les zones de piémonts  regroupent les piémonts de Tessala et les piémonts de la forêt
de Bou Ismail.
3. La classe de 12,5 %  à 25 %: Hauts piémonts où l’agriculture n’est pas anti-érosive.
4. La classe supérieure à 25 %: Les montagnes dont la vocation naturelle est avant
tout sylvicole, pastorale ou sylvo-pastorale.
Les massifs forestiers regroupent les massifs côtiers à l’ouest.
La carte des altitudes montre que l’essentiel du territoire de la wilaya se situe entre 0
et 200 m par rapport au niveau de la mer. Les altitudes supérieures à 400 m concernent
principalement les massifs forestiers et la région de Tessala.
HYDROLOGIE :
Caracterisation-et-etat-de-connaissance-du-bassin-de-la-grande-Sebkha-d-Oran16
Dans la Wilaya d’Oran on dénombre deux grandes unités hydrogéologiques:
La nappe de la M’Leta partie orientale (Tafraoui - Oued Tlélat)
Le complexe du Murdjadjo.
a) La nappe de la Mléta
Elle appartient sur le plan structural au sillon central occupé par la grande Sebkha
d’Oran. La nappe du Miopliocène est la plus profonde mais aussi c’est celle qui a fourni
les résultats les plus intéressants. Sa grande puissance (130 à 140 m) ainsi que son
extension latérale présumée en font un bon réservoir potentiel de type en charge (Etude
ANRH).
b) Le complexe du Murdjadjo
Dans le versant Nord du Djebel Murdjadjo, la nappe d’eau souterraine occupe la plaine
côtière d’Ain El Turck jusqu’aux Andalouses. Cette nappe s’ouvre vers la mer dans laquelle
elle se déverse.
Dans le versant Sud, ils renferment une nappe importante qui s’étend de Ras El Ain à l’Est jusqu’à Boutlélis à l’Ouest. Elle peut contenir une nappe artésienne jaillissante la dont
la source de Brédéah ne présenterait qu’un point de débordement.
La direction des écoulements est le plus souvent divergente, donc peu favorable aux
accumulations locales de grandes quantités d’eau.
Le gradient de la nappe varie de 0,04 à 5 %.




Constantine capitale de la culture arabe

La thèse et l’antithèse

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le 08.10.14 | 10h00 2 réactions
 
	L’on ne sait même pas comment le budget est réellement géré.
| © El Watan
L’on ne sait même pas comment le budget est réellement...

Dans ce chantier grandeur nature, l’on ignore finalement qu’elle rôle est assigné aux élus locaux ou encore au wali.

Plus de 60 milliards de dinars, deux ministres, deux walis, trois commissaires, des partisans et des détracteurs, le tout sur fond d’opacité totale quant à l’évolution des préparatifs inhérents à la manifestation de 2015. En somme, ce rendez-vous événementiel constitue l’axe principal autour duquel tourne 24 heures sur 24 la planète Constantine pour que cette ville antique soit prête à accueillir ses invités sans avoir à en rougir. Le pari est-il pour autant gagné ? A six mois du lancement officiel de la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe», la manifestation suscite bon nombre d’interrogations et autant d’inquiétudes sachant que pas mal de projets en voie de réalisation accusent un retard certain sur les prévisions initiales.
Du coup, la pression est grande et inévitablement la course dans la précipitation à l’achèvement des travaux impactera la qualité. Pourtant le temps ne manquait pas et  l’argent non plus. L’Etat a alloué une enveloppe plus que généreuse pour que les projets jugés nécessaires pour le bon déroulement de cet événement soient achevés conformément aux délais impartis. Malgré cela, l’on assiste à des retards tous azimuts, des projets confiés de gré à gré loin de toute transparence. Comment la cagnotte débloquée pour 2015 est-elle réellement gérée? Par qui et comment? Les travaux engagés ont engendré un véritable embrouillamini.
Dans ce chantier grandeur nature qu’est devenu la ville de Constantine, entre réfection d’immeubles et de trottoirs, construction de nouveaux édifices, réhabilitation, colmatage et rénovation – les adjectifs ne manquent pas- l’on ignore finalement qu’elle rôle est assigné aux élus locaux ou encore au wali de Constantine. Ont-ils un droit de regard sur les modalités liées à l’octroi de projets aux nombreux entrepreneurs «recrutés» pour l’occasion et dont la plupart sont issus en dehors de la wilaya de Constantine, d’Alger particulièrement ?
Un modus operandi discutable
Par ailleurs, depuis la désignation de Constantine pour accueillir la manifestation en mars 2013, des changements ont été opérés à la tête du ministère de la Culture et de la wilaya de Constantine. Il y a eu également remplacement des deux premiers commissaires désignés pour suivre le bon déroulement des préparatifs. Forcément, l’on s’interroge si «l’esprit» originel conféré aux projets de 2015, est respecté par les différents successeurs, chacun à son niveau, d’autant qu’il y a un manque de communication criant de la part de ces derniers. Les visites d’inspection sont légion, certes, mais point de bilan, ne serait-ce que mensuel, visant à éclairer l’opinion publique et la presse, d’autant que cet événement fait partie actuellement de l’air qu’ils respirent, car cet air pollué, chargé de particules de ciment et de gravats le leur rappelle quotidiennement.
Cela étant, il serait toutefois inconvenant de ne pas relever qu’au-delà du modus operandi plus que discutable conféré à cette «joute» culturelle, certains projets en cours constituent une opportunité certaine pour la ville des ponts d’émerger de sa torpeur. Le Zénith et la salle des expositions, notamment, sont perçus comme une réelle expérience qui favorisera l’adéquation de l’antique Cirta avec les standards caractéristiques des grandes agglomérations.
Pour résumer le tout, il est patent que les 365 jours de 2015 sont d’ores et déjà intensément vécus et commentés. Partisans et détracteurs se disputent jusqu’à la pertinence de cet événement. Mais point de contributions et encore moins de polémique argumentée !
Quant à l’université, la tête pensante de la société, elle reste étrangement loin ou éloignée de cette manifestation. Pourtant, la quintessence de ce rendez-vous implique des débats en amont…

Lydia Rahmani
 
 
Vos réactions 2
azariw   le 08.10.14 | 17h14
Constantine...
Massinissa a été le premier roi de la Numidie unifiée. ,À la tête de sa fameuse cavalerie numide,(Chawis) il contribua largement à la victoire de Rome sur Carthage lors de la bataille de Zama
.Il a été le premier à dire : « L’Afrique aux Africains »
Son nom a été retrouvé dans son tombeau à Cirta, l'actuelle Constantine, sous la forme consonantique MSNSN (en amazigh, Mas nnsan :« Leur Seigneur »
Et voilà que l'Algérie tourne le dos à son histoire!
 
L'échotier   le 08.10.14 | 16h59
Nous avons
à la tête de notre ville la quintessence de l'incompétence et de la corruption. Vous mettez les points sur tout ce que ne va pas et le moins que l'on puisse dire et que cette cité n'est plus que l'ombre d'elle-même. Et ce n'est pas cette manifestation qui stoppera la descente aux enfers. Un Constantinois pur jus qui découvre combien cette cité est devenue un grand douar livré à tous les fléaux sociaux sous le regard indifférents de tous les prétendus dirigeants.
 

Tribune libre

Folklorique agitation

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le 09.10.14 | 10h00 Réagissez

Folklorique agitation de la scène culturelle sur la place de la Cité des Aigles, alors que les trésors de ma ville et sa mémoire, l’érigerait en Capitale Universelle du Savoir.

Constantine enfanta avant terme des «cultureux» qui se vautrent dans l’insatiabilité, piétinants ce que fût son épopée, sans aucun répit à la culture telle que définie. Depuis, le citoyen ne rêve qu’à l’année 2016, fin 2014, n’aura été qu’un cauchemardesque choc provoqué par le bruit. Nonobstant, l’anarchie poussiéreuse reste acceptable dans la mesure où nous l’espérons tous, donnera peau neuve à la cité. Ensuite, arrive le politiquement correct d’une façade tronquée. Il n’y a qu’à jeter un œil sur le cirque orchestré autour des visites de madame la ministre pour le constater.
Revenons à l’aspect qui mérite un peu plus de lignes couchées avec objectivité. Mais de quelle culture parlons-nous? Lors des différentes rencontres en amont des préparations, la direction de la culture a fait l’économie de dresser une liste des valeureuses personnes pouvant y contribuer. Quand on parle culture, l’ensemble des œuvres représentatives de la ville, toutes époques et toutes disciplines confondues, doivent être mis en exergue. Avez-vous oublié vos prérogatives culturelles, Monsieur ?
Quant au choix tardif du commissaire, ô combien consensuel, coupant l’herbe sous les pieds des prétendants artificiels, il n’a pas dérogé à la règle. Les consultations intéressées par les autoproclamés vérolés se sont vite installées. Le comble de l’innommable fût alors édifié. La production intellectuelle tant attendue fût alors commandée, car lors d’une réunion à huis-clos entre l’ex-ministre écrivaine et les universitaires assombries, le mot d’ordre a été : «Nous voulons 1500 livres pour l’événement !». C’est ainsi que les académiques confus, se sont improvisés en élus de la dernière heure voulue, occultant, «qu’il est aussi facile de rêver un livre qu’il est difficile de le faire…» (Honoré de Balzac) La progéniture, espoir d’un futur embrigadé a été laissé-pour-compte, édifiée malgré elle en ferment d’une culture de violence et de vulgarité.
Décrépitude des valeurs par des plagiaires diplômés à la culture terrassée, par ceux-là même qui avaient le savoir et le devoir de l’inculquer !
A la lecture de ce texte crayonné par un épris de sa ville bien aimée, beaucoup grinceront des dents, jacasseront certainement et les autres me haïront probablement. A ceux-là, je leur donne rendez-vous au milieu de l’événement. Toutefois, ma contribution se limitera à l’amour porté à ma Constantine jalousement, ma patrie l’Algérie aimée viscéralement et à l’enfance méprisée qui est ma raison d’exister éperdument. Résumant ma seule motivation, Ibn Arabi disait : «L’insondable faiblesse de l’homme laisse place aux désirs commandés par sa propre nature, l’inévitable solution est donc le combat moral aux passions.». A méditer…

Mohamed-Chérif Zerguine : Ecrivain


Instantané : Pas sur le dos de ma ville !

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le 09.10.14 | 10h00 Réagissez


Vous l’avez peut être remarqué, aucun des chantiers de préparation de l’évènement de 2015 ne porte le panneau règlementaire qui renseigne sur les caractéristiques du projet et l’identité des intervenants. C’est illégal. Illégal car en porte à faux avec le Décret exécutif n°91-176 du 28 mai 1991 fixant les modalités d’instruction et de délivrance des certificats d’urbanisme. Dans son article 51, ce décret stipule que durant toute la durée du chantier, le bénéficiaire des travaux doit fixer un panneau visible de l’extérieur indiquant les références du permis de construire, la nature des constructions, le nom du maître de l’oeuvre, du bureau d’études, l’entreprise de réalisation et le délai du projet avec les dates de démarrage et d’achèvement des travaux.
Ces informations déterminent la responsabilité de chacun et rendent visible le projet et pour le citoyen et aux yeux de la loi. On s’interroge alors, pour quelle raison les chantiers de Constantine échappent à cette règle élémentaire et obligatoire ? S’agit-il d’ignorance de la loi par les bureaux d’études et les entreprises chargées de ces projets, ou alors est-ce commandité par les autorités dans le but de cacher des procédés compromettants ? La manière avec laquelle les marchés ont été attribués ouvre la voie grande aux interrogations de l’opinion locale. Et considérant le nombre de projets, c’est une véritable autoroute de la corruption qu’on craint.
L’anonymat des chantiers vise-t-il à cacher une opération de détournement massif de l’argent public sous prétexte de l’urgence ? Les marchés sont octroyés en effet par simples coups de téléphone de hauts responsables qui imposent des opérateurs sans mérite. Ensuite, le gros poisson sous-traite avec le poids moyen qui sous-traite avec le menu fretin de l’Ansej. Idem pour les sociétés étrangères (étranges) dont l’activité est illégale et, qui ne sont pas nécessairement outillées pour faire mieux et vite et transférer leur savoir-faire. Il y a manifestement absence de transparence et les responsables doivent s’expliquer sur ces pratiques.

Nouri Nesrouche


Violation du secteur sauvegardé

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le 09.10.14 | 10h00 Réagissez

Sur la place de Charaâ, il est prévu la construction d’un parking à étages, et ce dans le cadre des projets inscrits pour l’évènement Constantine capitale de la culture arabe.

C’est une aberration ! Pourquoi ? Parce que toute construction et toute démolition sur ces lieux est soumise à une loi spécifique. Il s’agit du décret exécutif n° 05-208 du 4 juin 2005 portant création et délimitation du secteur sauvegardé de la vieille ville de Constantine. Un texte juridique visant à sauvegarder le patrimoine architecturel, historique et archéologique de de la ville. Or, il se trouve que le projet de Charaâ comme beaucoup d’autres, est en violation de cette loi. Interrogé par El Watan à ce sujet, le wali Hocine Ouadah a fait montre d’une ignorance déconcertante des termes de la loi. «Vous ne croyez pas tout de même que nous délivrons des permis de construire pour des projets qui ne sont pas conformes à la réglementation générale. Le périmètre concerné par cette construction ne fait pas partie de la zone sauvegardée.» Edifiant!
Que dit le décret exécutif 05-208 ?

Art. 1- En application des dispositions de l’article 42 de la loi n° 98-04 du 20 Safar 1419 correspondant au 15 juin 1998, susvisée, il est créé un secteur sauvegardé dans la ville de Constantine dénommé «vieille ville».

Art. 2. — Le secteur sauvegardé de “la vieille ville de Constantine” est délimité, conformément au plan annexé à l’original du présent décret, comme suit :
— nord, nord-est et est : les gorges du Rummel ;
— nord-ouest et ouest : escarpements rocheux ;
— sud-ouest : centre culturel Mohamed Laïd El Khalifa situé à la Place du 1er Novembre 1954 ;
— sud : quartier Bardo.

O. -S. Merrouche

Constantine capitale de la culture arabe :

La thèse et l’antithèse

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le 09.10.14 | 10h00 Réagissez
 
	L’on ne sait même pas comment le budget est réellement géré.
| © El Watan
L’on ne sait même pas comment le budget est réellement...

Constantine capitale de la culture arabe La thèse et l’antithèse. Dans ce chantier grandeur nature, l’on ignore finalement qu’elle rôle est assigné
aux élus locaux ou encore au wali.

Plus de 60 milliards de dinars, deux ministres, deux walis, trois commissaires, des partisans et des détracteurs, le tout sur fond d’opacité totale quant à l’évolution des préparatifs inhérents à la manifestation de 2015. En somme, ce rendez-vous événementiel constitue l’axe principal autour duquel tourne 24 heures sur 24 la planète Constantine pour que cette ville antique soit prête à accueillir ses invités sans avoir à en rougir. Le pari est-il pour autant gagné ? A six mois du lancement officiel de la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe», la manifestation suscite bon nombre d’interrogations et autant d’inquiétudes sachant que pas mal de projets en voie de réalisation accusent un retard certain sur les prévisions initiales.
Du coup, la pression est grande et inévitablement la course dans la précipitation à l’achèvement des travaux impactera la qualité. Pourtant le temps ne manquait pas et  l’argent non plus. L’Etat a alloué une enveloppe plus que généreuse pour que les projets jugés nécessaires pour le bon déroulement de cet événement soient achevés conformément aux délais impartis. Malgré cela, l’on assiste à des retards tous azimuts, des projets confiés de gré à gré loin de toute transparence. Comment la cagnotte débloquée pour 2015 est-elle réellement gérée? Par qui et comment? Les travaux engagés ont engendré un véritable embrouillamini.
Dans ce chantier grandeur nature qu’est devenu la ville de Constantine, entre réfection d’immeubles et de trottoirs, construction de nouveaux édifices, réhabilitation, colmatage et rénovation – les adjectifs ne manquent pas- l’on ignore finalement qu’elle rôle est assigné aux élus locaux ou encore au wali de Constantine. Ont-ils un droit de regard sur les modalités liées à l’octroi de projets aux nombreux entrepreneurs «recrutés» pour l’occasion et dont la plupart sont issus en dehors de la wilaya de Constantine, d’Alger particulièrement ?
Un modus operandi discutable
Par ailleurs, depuis la désignation de Constantine pour accueillir la manifestation en mars 2013, des changements ont été opérés à la tête du ministère de la Culture et de la wilaya de Constantine. Il y a eu également remplacement des deux premiers commissaires désignés pour suivre le bon déroulement des préparatifs. Forcément, l’on s’interroge si «l’esprit» originel conféré aux projets de 2015, est respecté par les différents successeurs, chacun à son niveau, d’autant qu’il y a un manque de communication criant de la part de ces derniers. Les visites d’inspection sont légion, certes, mais point de bilan, ne serait-ce que mensuel, visant à éclairer l’opinion publique et la presse, d’autant que cet événement fait partie actuellement de l’air qu’ils respirent, car cet air pollué, chargé de particules de ciment et de gravats le leur rappelle quotidiennement.
Cela étant, il serait toutefois inconvenant de ne pas relever qu’au-delà du modus operandi plus que discutable conféré à cette «joute» culturelle, certains projets en cours constituent une opportunité certaine pour la ville des ponts d’émerger de sa torpeur. Le Zénith et la salle des expositions, notamment, sont perçus comme une réelle expérience qui favorisera l’adéquation de l’antique Cirta avec les standards caractéristiques des grandes agglomérations.
Pour résumer le tout, il est patent que les 365 jours de 2015 sont d’ores et déjà intensément vécus et commentés. Partisans et détracteurs se disputent jusqu’à la pertinence de cet événement. Mais point de contributions et encore moins de polémique argumentée !
Quant à l’université, la tête pensante de la société, elle reste étrangement loin ou éloignée de cette manifestation. Pourtant, la quintessence de ce rendez-vous implique des débats en amont…

Lydia Rahmani

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قسنطينة فيما حول مشروعي "المدرسة" و"الأروقة" للصينيين الوالي يأمر بسحب اعتماد مقاولات الكهرباء الرافضين لتسخيرة العمل
أمر والي ولاية قسنطينة "حسين واضح" مديرية الكهرباء والغاز بسحب اعتماد المقاولات الناشطة في مجال الكهرباء والرافضين لتسخيرة الوالي القاضية بمباشرة نزع الكابلات الكهربائية عن العمارات المعنية بتحسين واجهاتها. وفي هذا الصدد أعطى الوالي "حسين واضح" خلال الزيارة الميدانية الأسبوعية للمشاريع الثقافية وتحسين واجهات العمارات أوامر تقضي بسحب اعتماد 8مقاولات من مجموع 11 مقاولة معنية بتسخيرة الوالي بخصوص أشغال نزع الكوابل الكهربائية من خارج العمارات البالغة 443 عمارة معنية بتحسين واجهاتها، وهي المقاولات التي رفضت الاستجابة للتسخيرة وعدم مباشرة الأشغال مما أعاق شركات الإنجاز الموكل لها تحسين واجهات العمارات المشروع الذي رصد له 300مليار سنتيم في القيام بأشغالها، في سياق آخر قام مسؤول الجهاز التنفيذي بتحويل مشروعي متحف " الفن والشخصيات" المزمع إنشاؤه بمبنى "المدرسة" وكذا فضاء العرض والبيع للمنتوجات الحرفية والتقليدية الذي احتضنه مبنى "الأروقة" من مكتب الدراسات الفرنسي من أصل جزائري ومنحه لشركة صينية التي تقوم بأشغال ترميم فندق بانوراميك، بعد عدم التوافق على قيمة المشروع التي لم يتقيد فيها مكتب الدراسات الفرنسي بالعقد الذي أمضاه مع الجهة المعنية ومطالبته برفع قيمة المشروع بحوالي 28 بالمائة عن القيمة المتفق عليها، كما طالب الوالي مقابلة مسؤول سونلغاز لأجل حل مشكل المرافقة للمشاريع والتي في كل مرة تتأخر السونلغاز عن المرافقة بالتأخر عن إنجاز الأشغال الموكلة لها. محمود بن نعمون


عـــــــــــون أمــــــــــن برتبــــــــــة وال
الخميس 09 أكتوبر 2014 elkhabar
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منع عون أمن بمركز المراقبة في مدخل  مقر ولاية تلمسان، دخول سيارة صحفي إلى حظيرة ديوان الولاية، أين كان يعقد لقاء حول تسيير مخاطر الفيضانات. لقاء دعا فيه المسؤول الأول عن الجهاز التنفيذي للولاية أسرة الإعلام للمشاركة والتغطية، ورغم كشف الصحفي ومرافقه عن  هويتهما لعون  الأمن، إلا أنه أصر على موقفه ضاربا صدره بكفه قائلا: “أنا هو  الباترون”، أي المسؤول هنا. يحدث هذا في الوقت الذي تتحدّث فيه وزارة الداخلية عن تطوير هياكل واستقبال  المواطنين.
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يصدر قانونا جديدا لمقابلته
الخميس 09 أكتوبر 2014 elkhabar
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تفاجأ الكثير من مواطني بلديات دائرة قجال التابعة لولاية سطيف، من تعليمة جديدة فرضها رئيس الدائرة، حيث يرفض استقبال المواطنين يوم الثلاثاء، باستثناء الذين مر على مقابلتهم شهر كامل، وما على المواطنين سوى انتظار دورهم لمدة شهر كامل لطرح انشغالاتهم. يحدث هذا في وقت يحث فيه وزير الداخلية على ضرورة استقبال المواطنين كل يوم ثلاثاء وبشكل دوري بغرض تقريب الإدارة من المواطن.
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أرنداوية” المدية توضح
الخميس 09 أكتوبر 2014 elkhabar
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أوضحت عضو المجلس الوطني للتجمع الوطني الديمقراطي، أنها لم تسئ أبدا لسكان المدية “الذين أكن لهم كل الاحترام والتقدير”، وذلك ردا على ما جاء في صفحة “سوق الكلام” بتاريخ 2 أكتوبر الجاري. وأضافت أنها فعلا اتهمت الأمين الولائي للحزب خلال الاجتماع الحزبي بـ”التحيّز لجهة معينة تخدم مصالحه الضيقة”، وأن “الضجة التي أثيرت ما هي إلا محاولة لتشويه صورتي أمام الرأي العام من أجل إبعادي من الساحة السياسية لعلمهم بمكانتي عند سكان المدية الذين انتخبوني بالمجلس الشعبي الولائي ومنحوني مسؤولية الحفاظ على بناتهم كوني أشغل منصب مديرة الإقامة الجامعية للبنات”.
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Téléphonie fixe: Des pannes et des désagréments
par A. Mallem
Selon des responsables à la direction opérationnelle des Télécommunications de la région ouest (DOT Ouest) de Constantine, les pannes de téléphonie fixe, devenues assez fréquentes, ces derniers temps, en touchant des quartiers entiers, ne relèvent pas de la responsabilité d'Algérie Télécom. Un cadre de cette entreprise nous a expliqué, en effet, hier, que ces inconvénients sont causés par les travaux de décrépissage et de ravalement des façades des immeubles lancés dans le cadre de la préparation de la ville de Constantine, notamment les quartiers du centre-ville, à l'accueil l'évènement «Constantine, capitale de la Culture arabe 2015».

Et de révéler que «ces pannes proviennent des ruptures de câbles courants le long des immeubles touchés par ces travaux. Et franchement, ces incidents nous fatiguent beaucoup car tous nos efforts quotidiens et notre énergie sont mobilisés pour réparer les dégâts causés. Algérie Télécom a signalé la situation au wali, en lui demandant d'intervenir auprès des opérateurs dans les divers chantiers d'embellissement pour les inviter à faire attention aux installations téléphoniques du réseau», ont ajouté nos interlocuteurs.

Ces explications nous ont été fournies, hier, dans l'après-midi, à la suite de la panne générale, intervenue hier, matin, dans le quartier de La Casbah et dans d'autres, notamment à Bab El Kantara où plusieurs citoyens et des propriétaires de taxiphones nous ont appelés pour signaler une panne quasi-totale sur leurs lignes téléphoniques fixes. Et cette panne a duré de 7 à 11h provoquant une grosse colère chez les abonnés.

Dans ce sillage, plusieurs propriétaires de taxiphones du centre-ville ont été tentés de se regrouper pour aller protester devant l'agence commerciale d'Algérie Télécom, exigeant des réparations pour le manque à gagner, provoqué par l'arrêt de leurs activités.


حـــــــريم السلطـــــــان” في الديـــــــوان
الخميس 09 أكتوبر 2014 elkhabar
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شدت منتخبة بالمجلس الشعبي الولائي بتلمسان، انتباه كل الحضور بقاعة الديوان في مقر الولاية في ثالث أيام عيد الأضحى بمناسبة لقاء التغافر، الذي يحضره إطارات الولاية والمنتخبون والمجتمع المدني. الانتباه الذي جلبته المنتخبة لم يكن بمستوى مداخلة أو موقف سياسي، وإنما بنوع الهندام الذي اختارته ممثلة الشعب والذي تجاوز في جرأته لباس ممثلات المسلسل  التركي حريم السلطان. الحاضرون استنكروا المشهد خاصة في حضور شيوخ زوايا وطلبة قرآن وأئمة مساجد، وعلق البعض متسائلا إن كان الوالي سيشترط في المستقبل الحضور بهندام محترم تفاديا لفتنة “حريم السلطان” في الديوان.
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1 - louizette
algerie
2014-10-09م على 7:12
C est dommage qu un journal aussi important ait laissé cette rubrique Souk devenir un fourre tout misogyne et qui rapporte souvent des informations de type concierge et qui n interessent pas la grosse majorité des lecteurs . L'information doit être credible , apporter un plus et ne pas se référer a des faits anecdotiques .cordialemt une lectrice assidue
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Constantine : Des habitants assiègent l’APC de Didouche Mourad

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le 09.10.14 | 10h00 Réagissez

Des habitants de Beni Mestina, une localité de la commune de Didouche Mourad, ont fermé, durant toute la matinée d’hier, le siège de l’APC de la commune précitée, tout en empêchant même les employés d’y accéder.

Les protestataires revendiquent l’extension urbaine de Beni Mestina devenue trop «exiguë» pour une population de près de 6.000 habitants qui vivent dans des conditions difficiles. Le représentant des habitants affirme avoir saisi les autorités de la commune à maintes reprises, mais ces dernières ont souvent avancé le déficit de terrains. Mais ce qui a provoqué la colère des habitants, est la décision de l’APC de vendre un terrain communal au profit d’un particulier pour lancer des travaux de construction. «Pourtant, il s’agit d’un terrain agricole», déclarent nos interlocuteurs qui dénoncent leur mise aux oubliettes par les responsables de l’APC de Didouche Mourad. Nous avons tenté à maintes reprises de joindre le P/APC de Didouche Mourad pour avoir sa version des faits, mais sans résultat.                                   

Yousra Salem

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