الاثنين، مارس 14

الاخبار العاجلة لمطالبة نساء قسنطينة من الخبير النفساني رابح لوصيف بطرح مشاكلهن العاطفية والجنسية عبر الخطوط الهاتفية الداخلية والارقام الهاتفية الشخصية للخبير النفساني لوصيف وسكان قسنطينة يكتشفون ان الفضائح الجنسية والمشاكل العاطفية من ابرز مشاكل نساء قسنطينة السرية وللعلم فان رفض نساء قسنطينة طرح مشاكلهن النفسية على امواج اثير قسنطينة يثير تساؤلات اعلامية خطيرة علما ان خبراء علم النفس يؤكدون بان طرح المشاكل النفسية اداعيا سوف يعالج الامراض النفسية المجهولة لدي مستمعي البرامج الاداعية ويدكر ان بث خبر وفاة لمدة 3دقائق في الاداعة يجند شعب جنائزي وعرض قضية نفسية لمدة 5دقائق تحرر شعبنفسيا وهكدا تاتي فضيحة رفض نساء قسنطينة طرح مشاكلهن النفسية على امواج اداعة قسنطينة من ابرز الفضائح العاطفية لسكان قسنطينة التائهون عاطفيا والجائعون جنسيا وشر البلية مايبكي

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الاخبار  العاجلة   لمطالبة  نساء قسنطينة من الخبير النفساني   رابح لوصيف   بطرح مشاكلهن   العاطفية والجنسية  عبر  الخطوط  الهاتفية  الداخلية والارقام الهاتفية الشخصية  للخبير النفساني لوصيف  وسكان قسنطينة  يكتشفون ان   الفضائح  الجنسية والمشاكل   العاطفية  من ابرز مشاكل نساء قسنطينة  السرية وللعلم فان  رفض نساء  قسنطينة طرح مشاكلهن النفسية  على امواج اثير قسنطينة يثير تساؤلات   اعلامية خطيرة   علما ان  خبراء علم النفس   يؤكدون بان طرح  المشاكل  النفسية  اداعيا   سوف  يعالج الامراض النفسية  المجهولة لدي مستمعي    البرامج  الاداعية ويدكر ان  بث خبر وفاة  لمدة 3دقائق في الاداعة يجند  شعب  جنائزي وعرض قضية  نفسية لمدة 5دقائق  تحرر  شعب نفسيا  وهكدا تاتي فضيحة رفض نساء قسنطينة طرح مشاكلهن  النفسية  على امواج اداعة قسنطينة  من ابرز الفضائح  العاطفية   لسكان قسنطينة  التائهون  عاطفيا والجائعون جنسيا وشر البلية مايبكي
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Effondrement à Souika

Plus de 20 personnes se retrouvent à la rue

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le 13.03.16 | 10h00 Réagissez

Une bâtisse s’est effondrée hier matin dans l’un des quartiers de Souika, non loin du pont de Sidi Rached.

Cet effondrement de la maison n°06 située dans la rue Mohamed Benzeggouta est survenu à 7h du matin, suite aux fortes intempéries qui ont frappé ces dernières 48 heures la wilaya de Constantine. Toute la bâtisse, abritant 7 familles dont la moins nombreuse compte 3 personnes, s’est écroulée, fort heureusement sans faire de victimes, mais les habitants ont échappé de peu à la mort. «De forts claquements du plafond et des murs nous ont réveillé d’un profond sommeil. A un moment donné, on a cru que c’était la fin du monde. Je n’ai jamais imaginé que je pourrai sortir vivante. Les habitants ont eu du réflexe et ils ont fait sortir d’abord les enfants à moitié endormis», nous a raconté une habitante sur place. De sa part, Noura Merrah, a affirmé qu’elle et tous les résidents ne ferment plus l’œil la nuit. La peur et la panique font depuis longtemps partie de leur quotidien. Hier, plus de 20 personnes étaient sur place sous les pluies ne sachant pas où se réfugier. Des femmes pleuraient et des jeunes tentaient de récupérer ce qui reste de leurs affaires. «Les éléments de la Protection Civile nous ont averti, il y a une semaine, que cette maison présente un danger pour ses habitants. Ils nous ont demandé de quitter les lieux, après l’effondrement d’un mur la semaine écoulée.
Mais pour aller où avec 5 enfants ? Les pompiers ont établi un rapport et l’ont envoyé aux services de la daïra et de la commune afin de les informer de l’état délicat de ces maisons. Les autorités locales ont fait la sourde oreille», ajoute Noura en retenant ses larmes. «La situation s’est aggravée à cause du manque du sens de responsabilité et de conscience des autorités locales», a fulminé Zin-elabidine Bey, un autre résident. Il a ajouté qu’on leur a demandé de patienter, sous prétexte que le relogement aura lieu en juin prochain. Ces familles, désormais SDF, ont déploré aussi l’absence des autorités locales dans une situation pareille, même pas pour un soutien moral. D’après leurs dires, à part les éléments de la Protection Civile et deux autres éléments de la sûreté de wilaya, personne n’est venu les voir. Deux éléments de la commune sont venus pour marquer leur présence, rien de plus.

Yousra Salem


تحول الهرمونات الأنثوية إلى ذكرية و تسبب السرطان
أطباء و مختصون يحذرون من حنة "كف مريم"
حذر أطباء ومختصون في مجال أمراض النساء والتوليد وكذا أمراض الجلد بوهران من خطورة اقتناء بعض الأعشاب الطبية التي تتداول وتباع في الأسواق بأسعار متفاوتة، والتي تشهد إقبالا من قبل المواطنين من كلا الجنسين، كونها تشكل خطورة كبيرة على صحة المواطنين ومن شأنها أن تلحق أضرارا كبيرة بهم، إذ تحوّل بعض هاته الأعشاب الهرمونات الأنثوية إلى ذكرية أو العكس وأخرى تتسبب في الإصابة بسرطان الثدي، إضافة إلى أعشاب أخرى مخدرة وسامة.
حسب ذات المصادر فإن من بين هذه الأعشاب حنة �كف مريم� التي تستخدم في علاج عقم النساء، حيث تتسب


Une journée de revendication de droits devenue simple fête

Comment le 8 mars a été vidé de sa substance

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le 10.03.16 | 10h00 Réagissez

Comme chaque année,  mauvais goût et mièvrerie ont été au programme  du 8 Mars, une Journée internationale des droits des femmes détournée de ses objectifs. Chronique d’un hold-up.

Les annonces des spectacles musicaux ou «déjeuners-gala» organisés à l’occasion de la Journée internationale des droits de la femme donnent la température : «C’est votre fête mesdames, sortez !»
Cette journée en est ainsi réduite à des clichés : nombre d’infographes n’ont pas lésiné sur le rose clinquant pour élaborer les affiches, les chebs ont été appelés à la rescousse pour rendre hommage comme il se doit, semblent-ils croire, aux femmes et les roses rouges ont envahi l’espace. On pourrait même la confondre avec la fête des mères voire la St valentin qui fait une entrée timide mais bien réelle dans le calendrier DZ ces dernières années. Les annonces d'événements sur les réseaux sociaux - inabordables pour la plupart des femmes algériennes - sont légion. Force est de constater que Cheb Yazid n’est plus seul sur la scène.
Lui qui compte arrêter les spectacles chantant les louanges de la femme, pour se mettre au service des enfants, peut désormais compter sur une pléthore de successeurs. De nombreuses boîtes d'événementiels ont surfé sur la vague de la «fête de la femme» pour consacrer un sacro-saint idéal féminin.
Plus que tout, le marketing se met de la partie. On y trouve, entre autres événements, un «déjeuner spectacle et thé dansant avec, en option, un tatouage oriental pour la modique somme de 4800 DA/personne, un tirage au sort pour gagner des places au défilé» de la Algiers fashion week, un massage asiatique traditionnel à 3800 DA au lieu de 4800 DA ou des spectacles musicaux de Houari Manar, cheba Sousou ou cheb Wahid.
Le chanteur Allaoua est aussi appelé à honorer les femmes au chapiteau du Hilton. La représentante de Triana Prod, l'agence qui organise l'événement se voit interrogée, lundi 7 mars, sur un plateau de Canal Algérie sur la raison pour laquelle ce spectacle est payant. «J’avoue, répond-elle, que je suis gênée par rapport à cette question, mais on va y penser à l’avenir.» Elle présente ainsi son projet : «C’est comme un 'ars' (une fête de mariage), il y aura des gâteaux, de la musique et pleines d’autres surprises.» Le mot est lâché. Cette notion de mariage on la retrouve aussi, en filigrane, dans beaucoup d'événements liés au 8 Mars.
Au Salon international de la femme EVE, il est aussi question de gâteaux de fête, de coiffure, de cosmétique, de bijoux, de tenues traditionnelles et de produits de beauté et d'hygiène corporelle. Bref : des trucs de «filles» dans ce que le mot a de plus péjoratif. Même la Société nationale des transports ferroviaires (SNTF) – de même que d’autres compagnies et entreprises en tout genre – s’en mêle, annonçant une «distribution de roses aux voyageuses dans les gares et à bord des trains». «La commémoration de la Journée internationale de la femme sera célébrée à travers une offre spécifique destinée aux femmes par une gratuité sur les voyages effectués ce jour, couvrant tous les trains de banlieue au niveau du réseau ferroviaire national», a indiqué la SNTF. Il y a certes de la bienveillance, mais aussi beaucoup de clichés.
Ce n’est pas faire honneur aux femmes que de leur offrir des chocolats enrobés de condescendance et de mépris.
Du côté des associations féminines proches du pouvoir en place, l’opération de dévoiement d’une journée de revendication de droits en fête a commencé depuis quelques années. Cette fois, l’Union nationale des femmes algériennes s’est contentée d’un «festival», à l’occasion de cette journée, louant les efforts du chef de l’Etat pour consacrer la parité hommes-femmes dans la Constitution avant de faire place à la danse et à la musique.
Sur les ondes de la Chaîne III, un présentateur semble ravi d’annoncer, pour ce samedi 12 mars au centre de la radio Aïssa Messaoudi, un tournoi de jeux vidéos réservé aux filles. Jusque-là, rien de déplaisant dans la mesure où il s’agit là d’un domaine généralement réservé à la gent masculine. Sauf que le tournoi est aussi l’occasion, pour les concepteurs du projet, d’organiser un «Cupcake gaming challenge», soit un concours de gâteaux ainsi qu’un atelier de maquillage. «Ben quoi, les femmes se maquillent, non ?», dit l’intervenant, s’essayant aux blagues de mauvais goût, avant de préciser qu’il s’agit en réalité d’un maquillage de Cosplay (destiné aux déguisements des fans de manga). Là aussi, l’intention de rendre hommage à la femme algérienne est sans doute louable.
Peut-être même que tous ceux qui participent à ce grand n’importe quoi ne se rendent pas compte du tort qu’ils causent à cette journée de revendication. Il faut sans doute rappeler que le 8 Mars n’est pas une «fête» mais la Journée internationale des droits de la femme. Les mots ont un sens et ce glissement sémantique n’est pas fortuit. La journée est aussi riche en récupération politique. Le vernis féministe que se donnent les responsables des partis politiques s'écaille dès que l’on prête une oreille attentive à quelques discours prononcés.
La secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, a, elle, choisi de ne pas tenir d’activité publique, estimant qu’il était inutile de rajouter une couche à ce qu’elle considère comme une «perversion» qui touche une journée qui est celle de la «femme travailleuse». Fort heureusement, il est encore des voix pour rappeler que la lutte pour l’égalité des droits est encore longue.
Celles-ci, il faut le souligner, sont présentes tout au long de l’année. Portées par le réseau Wassyla, par NADA, le Ciddef, l’Observatoire de la violence contre les femmes et bien d’autres encore, on y parle de violences contre les femmes, de parité dans la Constitution algérienne, de l’égalité des chances, de la recomposition des rapports homme-femme dans la famille algérienne, de l’image des femmes véhiculée dans les médias. Parviendront-elles un jour à se faire entendre dans le brouhaha des youyous et de la zarnadjia ?

Amel B.

Grève des transporteurs privés à Batna

Un coup de force sur la route

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le 12.03.16 | 10h00 Réagissez

Les transporteurs privés de la ville de Batna ont observé une grève de deux jours pour exiger la bonne organisation du transport urbain.

Ils ont perturbé la circulation durant toute la journée de jeudi en garant 51 bus de part et d’autre de la route parallèle à celle de Biskra, laissant une seule voie de passage pour les usagers.  Cette action, qui a ralenti le trafic au centre-ville, n’a vraisemblablement pas gêné les autorités, puisqu’ aucun policier n’est venu inquiéter les grévistes. Karim Maroc, président de l’APC de Batna, s’est déplacé sur les lieux aux environs de 18h et a invité les protestataires à son bureau, où il a écouté leurs doléances.
Ces derniers se sont plaints de la désorganisation qui règne dans le secteur, notamment sur la ligne Selsabile-Ouled B’china. Par ailleurs, ils ont soulevé le problème de la saturation de la ligne en question, avec 56 bus affectés. D’autre part, ils considèrent que les bus de l’Entreprise de transport urbain de Batna (ETUB) sont privilégiés par les autorités quant aux arrêts, alors qu’eux (les privés) sont quotidiennement harcelés par les agents de police. «Chaque jour, trois bus au minimum sont envoyés en fourrière», nous dira le représentant syndical des transporteurs privés. Ne pouvant pas se substituer au responsable des transports de la wilaya, le président de l’APC a prié les grévistes de dégager la route et leur a promis de convoquer le directeur des transports ce dimanche pour une réunion en leur présence, pour essayer de trouver ensemble une solution à ce problème.
Lounès Gribissa

Des projets à la traîne et d’autres en attente de démarrage
Le développement victime de l’amateurisme des entreprises
Le manque du savoir-faire et même les moyens dérisoires du travail de certains investisseurs locaux et étrangers freinent l’avancement de plusieurs projets qui sont pourtant classés comme très importants, car lancés dans le cadre du développement local et même la préservation du patrimoine historique.
Le wali d’Oran Abdelghani Zaâlane n’a pas voulu perdre de temps en mettant en garde ces entreprises défaillantes. Selon nos sources, sur les 150 projets actuellement répartis à travers la wilaya dans différents secteurs, 70 chantiers sont encore en attente du lancement des travaux, tandis que d’autres sont à peine lancés.
Des retards qui ne sont pas passés inaperçus pour le chef de l’exécutif, qui a commencé par les mises en demeure, avant de passer au retrait du projet, même si cette action, selon lui: «nécessite une longue période pour les procédures du nouvel appel d’offres, et du coup, encore un temps perdu pour la livraison du projet, mais les services compétents seront obligés de récupérer des assiettes foncières octroyées, dans le cadre du développement de l’investissement, à des promoteurs qui ont fait du retard dans le lancement de leurs projets».
Cette mesure vise à réguler l’investissement et lutter contre la spéculation.
Une enquête menée dernièrement a révélé que des projets, dont les porteurs ont bénéficié d’assiettes foncières de l’Etat dans des zones d’activités et autres, n’ont pas été lancés, en dépit de toutes les facilités, notamment, en ce qui concerne le permis de construire.
Le premier responsable de l’exécutif de la wilaya a indiqué qu’un délai de trois mois a été accordé aux retardataires pour entamer les projets sous peine de voir les assiettes retirées et les décisions d’affectation annulées. Cette situation, qui fausse les calculs des responsables de la wilaya, porte également atteinte à l’histoire et au patrimoine culturel de la wilaya, à travers des monuments et des bâtisses mythiques qui souffrent du manque de savoir-faire, à l’image des deux symboles de la ville, en l’occurrence, l’Hôtel de Ville et la Grande-Poste d’Oran, dont les travaux de restauration ont été remis aux calendes grecques, après le choix des entreprises qui était loin d’être judicieux.
Jalil Mehnane

سقوط بناية من طابقين والسكان يطالبون بالترحيل

سويقة قسنطينة تنهار.. والترميمات متوقفة

انهارت، صباح أول أمس، بناية مكونة من طابقين بحي السويقة في قلب قسنطينة تقيم بها 7 عائلات، ما أثار حالة من الذعر في أوساط المتضررين وسكان المدينة القديمة عموما، الذين طالبوا بتفعيل عملية ترحيلهم، خاصة أنهم يحوزون وصولات الاستفادة ودفعوا مستحقات الشطر الأول.
بدت البناية صباح أمس أطلالا، حيث لم يبق منها سوى الردوم وأخشاب العرعار التي كان الأتراك يفضلون بناء سكناتهم بها. و أبانت الزيارة التي قادتنا لمكان الحادثة عن التأكد من أن عدة سكنات مهددة هي الأخرى بالانهيار بين عشية وضحاها، حسب ما أكده لنا سكانها الذين فضل الكثير منهم مغادرتها واللجوء عند الأقارب خوفا من وقوع كارثة. وتحدث عمي العربي بشيء من الحسرة، مبرزا أن كل سكنات السويقة لم تعد صالحة للسكن، خاصة أن الترميمات التي تحدث عنها المسؤولون كثيرا وزارها كل وزراء الثقافة المتعاقبين منذ مجيء الرئيس بوتفليقة إلى الحكم، توقفت، وحتى الزوايا التي شهدت عمليات ترميم لما كانت خليدة تومي تشرف على القطاع لم تكتمل بها الأشغال كما هو حال زاوية حفصة، مشيرا في سياق حديثه أن الحل يكمن اليوم في ترحيل السكان وجعل السويقة فضاء مفتوحا على النشاط التجاري والصناعات التقليدية إن أراد فعلا المسؤولون الحفاظ على هذا الإرث التاريخي الهام.  وسرد متضررون أنهم لجأوا إلى الشارع منذ السابعة من صباح أول أمس، مهرولين بعد بداية الانهيارات. ولحسن الحظ أنها لم تحدث والناس نيام، حيث ذكروا أنهم سارعوا إلى الخروج رفقة الأطفال مخافة تعرضهم إلى إصابات، بعدما شاهدوا بأم أعينهم سقف البناية وهو ينهار، قبل أن يبلغوا مصالح الحماية المدنية الذين تنقلوا إلى عين المكان رفقة عناصر الأمن لمعاينة الوضع. وطالب سكان البناية ممثلي البلدية الذين عاينوا الأضرار بضرورة إعادة النظر في برنامج الترحيل ومنحهم الأولوية في العملية، على اعتبار أنهم يملكون وصولات الاستفادة وسددوا مستحقات الشطر الأول. كما أن سكناتهم جاهزة   بالوحدة الجوارية رقم 20 بالمدينة الجديدة علي منجلي، خاصة أن السلطات المحلية كانت قد قدمت وعودا بمنحهم السكنات الصيف الماضي وترحيل 4500 عائلة بالمدينة القديمة، وهو ما لم يتحقق لأسباب يجهلونها. والمتجول في السويقة اليوم تهزه البنايات المهددة فعلا بالانهيار، وأن السكن بها صار بالفعل خطرا يهدد المقيمين، وهو ما يستدعي الإسراع في ترحيلهم قبل حدوث الكارثة، خاصة أن سنة 2015 شهدت انهيار ثلاث بنايات، وصمود السكنات لم يعد ممكنا بمجرد سقوط الأمطار كما يحدث منذ الجمعة بقسنطينة، حيث لم تتوقف الأمطار على مدار ثلاثة أيام كاملة.




Constantine - Réhabilitation d'une bâtisse à la rue Bouderbala: Des travaux qui s'éternisent
par Abdelkrim Zerzouri
Les différents chantiers de réhabilitation engagés dans le cadre de la manifestation « Constantine capitale de la culture arabe » peinent encore à voir le bout du tunnel. Qu'il s'agisse de trottoirs au centre-ville, d'anciennes mosquées, ravalement et restauration de vieilles bâtisses, partout les choses font du surplace, et ce qui est vraiment déconcertant, c'est le cas de cette vieille bâtisse située au 9 rue Bouderbala (ex-rue Petit). Car, elle se trouve occupée par des familles et des commerces en dessous qui vivent sous la menace d'un écroulement des murs encore debout, sans parler des habitants qui, du jour au lendemain, se sont retrouvés dans la précarité totale. Les entrepreneurs ont pratiquement démoli cette vielle bâtisse sans la remettre d'aplomb.

Le bureau de notre confrère « le Soir d'Algérie », situé au sein de cet immeuble, est fermé depuis plus d'une année. « Nous sommes devenus SDF », nous dira avec dépit le chef du bureau. Stressé par ces travaux qui s'éternisent, ce dernier tire la sonnette d'alarme au sujet des risques d'effondrement qui menace non seulement les habitants, mais aussi les passants et les commerces installés au bas de l'immeuble en question. L'immeuble a été franchement « défiguré », il ne reste plus que le cadre extérieur, trompeur, qui reste debout et qui laisse croire qu'il y a une vie derrière ces murs.

Hélas, il n'y en a plus. Les familles qui vivent là se faufilent entre les déblais du chantier pour monter des escaliers obscurs et rentrer chez eux. Et ceux qui ont d'autres endroits où habiter ont carrément quitté ces lieux, devenus inhabitables, alors que ceux qui restent, y logent la mort dans l'âme.

Comment se fait-il qu'on reste près deux ans coincé dans un chantier de réhabilitation d'une petite bâtisse ? La réponse est à chercher du côté des entreprises en charge de cette mission. « Mieux vaut parler de bricoleurs », lancent des habitants. « A chaque fois, des ouvriers arrivent sur le chantier, engagent de menus travaux, puis repartent sans aucun résultat qui puisse laisser penser que le chantier avance », ajoutent nos interlocuteurs. Le problème, selon les concernés, c'est que le wali a été saisi au sujet de ce « désastreux » chantier, et il a bien donné des instructions pour que les choses soient reprises en main sérieusement, mais rien n'a bougé en aval (!?). La vie de paisibles citoyens est devenue « infernale » à cause de cette restauration qui a usé leur patience. « Faut-il attendre pour agir qu'il y ait des dégâts humains, ou que les gens investissent la rue pour manifester leur colère ? », se sont interrogés nos interlocuteurs.

بسبب التقلبات الجوية التي شهدتها قسنطينة


انهيار جدار بوسط المدينة و سقوط حجارة بالطريق الاجتنابي للسيار
تسببت الأمطار الغزيرة المتهاطلة على قسنطينة خلال اليومين الأخيرين، في انهيار جدار الدعم الحجري لساحة شيتور وسط المدينة صباح أمس، بعد أزيد من ثلاث سنوات من غلقها أمام حركة المرور، كما أدت التقلبات الجوية إلى وقوع انهيار جزئي بمنحدر صخري يقع بالطريق الاجتنابي للطريق السيار شرق- غرب، على مستوى منطقة جبل الوحش.
واستيقظ سكان مدينة قسنطينة على خبر سقوط جدار الدعم لساحة شيتور عمار المطلة على شارع زعبان بوسط المدينة، و التي يتواجد بها مقر دار النقابة و المركز الثقافي عبد الحميد بن باديس، بالإضافة إلى محطة لسيارات الأجرة، قبل أن يتم غلقها في شهر فيفري 2013، وقد عرف المكان حضور العشرات من الفضوليين، كما طوق عناصر الأمن و الحماية المدينة الساحة و منعوا الراجلين من العبور عليها. و ذكر شهود عيان، بأن الجدار المشيد بأحجار من الحجم الكبير انهار على الساعة الثامنة صباحا، و لحسن الحظ لم تسجل أية إصابات في أوساط المارة، باعتبار أن الرصيف أغلق من طرف مصالح البلدية التي كانت تعلم بأن الإنهيار سيحدث في أية لحظة. و أكد مصدر مطلع من بلدية قسنطينة، بأن مصالح البلدية أغلقت الساحة منذ ثلاث سنوات بعد تسجيلها لإنزلاقات بالمكان، بسبب تسربات مائية  قد تكون نابعة من شبكات الصرف التي لم تجدد منذ الحقبة الإستعمارية، حيث أرجع أسباب الإنهيار إلى ما أسماه بالإهمال و عدم تحمل المسؤولية من طرف مسيري البلدية السابقين.
و أوضح محدثنا بأن البطاقة التقنية للمشروع لا تحتوي إلا على أوراق و مراسلات بين البلدية و مخبر الأشغال العمومية للشرق و مصالح الولاية و الأشغال العمومية، و لا تتضمن، حسبه، أية دراسة تقنية أو صفقات تعاقدية سواء مع المقاولات أو مكتب الدراسات، مشيرا إلى أن الوالي أعطى في بداية السنة الفارطة، تسخيرة لمنح الصفقة بالتراضي البسيط للمؤسسة العمومية لدراسة و إنجاز المنشآت الفنية «سيرو آست”، لكن القرار بقي مجرد حبر على ورق، كما ينتظر حسبه أن يمنح اليوم تسخيرة أخرى للمير الحالي من أجل مباشرة الأشغال بصفة استعجالية من طرف المؤسسة المذكورة، باعتبارها الوحيدة المؤهلة لترميم الجدار، بحسب تأكيده. و انتشرت بسرعة عبر العديد من مواقع التواصل الإجتماعي الخاصة بالمدينة، صور انهيار الجدار، حيث انتقد ناشطون ما أسموه بتماطل السلطات في عملية ترميمه، و عبروا عن تذمرهم، كما طالبوا بمحاسبة المتسببين في الحادثة التي ما كانت لتقع في حال مباشرة الأشغال في وقتها، و قد حاولنا الاتصال برئيس بلدية قسنطينة، لكنه لم يرد على اتصالاتنا المتكررة.
من جهة أخرى، اضطرت الفرق التقنية العاملة على مستوى الطريق الاجتنابي للطريق السيار بالقرب من مزرعة “براهمية»، لغلق حركة المرور جزئيا في وجه المركبات القادمة من منطقة «الكنتور» نحو جبل الوحش، حيث اقتصر السير على خط واحد، بسبب تراكم حجارة بعضها كبير الحجم، بعد أن سقطت من منحدر صخري على الطريق نتيجة الأمطار المتهاطلة، حيث تم وضع حواجز بلاستيكية، مع تثبيت إشارة تبين خطر سقوط الحجارة.
و قد أوضح المدير الجهوي للوكالة الوطنية للطرق السريعة، أن التكفل بالمقطع المذكور جار، حيث من المنتظر أن تقوم مؤسسة الأشغال العمومية “كوسيدار» بنزع الصخور المرشحة للسقوط، مع وضع سياج على طول المنحدر، و ذلك لمنع تكرر مثل هذه الانهيارات، في الأيام القليلة القادمة.
لقمان.ق/ عبد الله.ب

Effondrement à la rue Tatache Belkacem

La DTP à la rescousse

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le 08.03.16 | 10h00 Réagissez

Plus d’une année après l’affaissement survenu sur une partie de la rue Tatache Belkacem, située à quelques mètres du lycée Reda Houhou, les travaux du confortement du mur n’ont pas été lancés à ce jour. L’entreprise de réhabilitation n’a pas même été désignée.

Pourtant, l’effondrement a eu lieu le 26 janvier 2015. Quelques jours après, la cellule de communication de la commune de Constantine avait affirmé à El Watan qu’une étude a été lancée pour déterminer les causes de cet effondrement et les travaux à mener pour éviter d’autres dégâts. La même source avait précisé que les travaux de confortement de la chaussée seront entamés avant la fin du mois de février 2015, et affirmé que la durée de réalisation de cette opération ne devrait pas dépasser un mois.
Le projet a été accordé à l’entreprise Sero-Est, avec un budget jugé raisonnable. Et après ? Une année s’est écoulée et il n’y a toujours pas d’étude ni travaux. Les services de la commune ont fini par faire appel à la direction des travaux publics (DTP), pour prendre le problème en charge. «Nous avons engagé un laboratoire pour établir un diagnostic de la situation. Il ne s’agissait pas d’un glissement de terrain ; il y avait des fuites d’eau ce qui a causé l’effondrement. Actuellement elles ont été réparées», a rassuré Salim Zahnit, le DTP de la wilaya de Constantine.
Le même responsable, interrogé par El Watan, a déclaré aussi que même les travaux à mener sont très simples, et que n’importe quelle petite entreprise pourra les réaliser en un peu de temps. «Ce sont de simples travaux de maçonnerie et de béton, rien de plus. Le mur sera comme avant, et ça nécessite pas de faire intervenir une entreprise spécialisée. Mais nous allons assister les travaux pour suivre leur avancement», a-t-il ajouté.
Y. S.

Nourredine Khelfi, architecte

«D’autres effondrements vont suivre»

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le 14.03.16 | 10h00 Réagissez

En moins de 24 heures, deux effondrements sont venus déranger la quiétude relative qui caractérise la ville depuis quelques mois.

L’effondrement, samedi, d’une bâtisse à Souika et hier, d’un pan du mur de la rue Zaâbane, n’ont pas fait heureusement de victime, mais les deux allongent la série noire des effondrements qui rongent lentement mais (hélas) surement le centre urbain de Constantine. Il y a péril en la demeure et le danger semble être pris à la légère comme si nos responsables avaient la tête et les deux pieds en dehors de cette ville.
Le pire est que ces phénomènes risquent de se prolonger. «D’autres effondrement vont suivre», prédit l’architecte et expert Nourredine Khelfi.
Avec le sérieux qu’on lui connaît, Khelfi tire la sonnette d’alarme et prévoit des incidents similaires à Belouizdad, et sur le boulevard TatacheBelkacem, entre autres. Pour lui, l’éboulement survenu il y a une année près du lycée Redha Houhou est beaucoup plus important qu’on le croit.
Le retard irresponsable dans l’intervention des services concernés pour réparer la chaussée et conforter le mur ont certainement fragilisé davantage le site. Et c’est le cas partout et à chaque fois que des endroits montrent des signes avant-coureurs. N’est-ce pas que la réhabilitation d’un pan de la chaussée emporté par un éboulement sur le boulevard Zighout Youcef a pris près de deux ans ?
La réponse des autorités face à ces phénomènes est disproportionnée affirme Khelfi. Le travail des eaux souterraines et les coups de boutoir des intempéries sont plus importants que les réactions «au paracétamol» de la mairie et les autres services.
Khelfi explique que le réseau d’évacuation des eaux pluviales a été supprimé par endroits, alors que le réseau d’assainissement est vétuste dans la majeure partie du centre-ville. D’où l’infiltration de l’eau qui arrive aux fondations des immeubles (vieux de plus d’un siècle) et les poussées de terre qui provoquent des tassements différentiels et leurs corolaires, éboulements et effondrements.
Le tableau est noire, mais on ne peut plus se voiler la face. La situation appelle une réaction énergique et réfléchie et pas seulement de la part des services de la commune.
Les universitaires et les bureaux techniques doivent être consultés et associés à la démarche, une démarche globale qui doit être planifiée par l’exécutif de wilaya afin de poser le bon diagnostic et prescrire la bonne thérapie.  

Nouri Nesrouche

24 heures après l’incident de Souika

Spectaculaire effondrement sur l’avenue Zaâbane

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le 14.03.16 | 10h00 Réagissez
 
 L’ensemble du mur risque de s’écrouler
L’ensemble du mur risque de s’écrouler

Un spectaculaire éboulement du mur de la rue Zaâbane (ex-Viviani) a eu lieu, hier vers 8h. Des citoyens ont eu un gros choc ce dimanche.

Une partie de ce mur, qui fait plus de 4 mètres de haut, s’est effondrée d’un seul coup. Des pierres et de débris se sont retrouvés sur le trottoir. Ce mur de soutènement de l’artère, située derrière la clôture du square Bachir Bennacer, précisément en bas de la rue Chitour Amar, devait faire l’objet de réhabilitation il y a dix ans de cela.
Malheureusement, les autorités locales, particulièrement les services de la commune, n’ont pas bougé le petit doigt en dépit du danger, confirmant leur désintéressement face aux réels problèmes qui menacent la ville et les citoyens. Rappelons qu’au mois de février 2006, des travaux de réhabilitation de ce mur ont été annoncés, mais ils n’ont jamais été entamés. Apparemment les APC successives n’avaient pas l’intention ou plutôt étaient incapables d’apporter le bon diagnostic et le remède idoine à ce dangereux phénomène de glissement de terrain qui a provoqué l’éboulement du mur surplombant l’avenue Zaâbane.
En 2008, certains spécialistes ont avancé que les transformations seraient dues aux infiltrations des eaux souterraines à partir du square Bachir Bennacer, situé dans les allées Ben Boulaïd. D’ailleurs, les effets de ces fuites d’eau affectent, depuis des années, toute la partie qui s’étend jusqu’à l’unité de la Protection civile Boumaza, dont la clôture a subi de sérieuses déformations. Après dix ans, ce mur n’a pas pu tenir encore le coup. L’effondrement est devenu inévitable. Car les problèmes existants, au niveau des anciennes constructions coloniales, ont pris de l’ampleur à cause de la négligence et du manque des travaux de maintenance de ce genre d’édifices historiques.
Tout ce que l’APC a pu faire, c’est délocaliser les «taxieurs», desservant les cités Emir Abdelkader, Ziadia et Djebel Ouahch vers d’autres lieux, tout en empêchant les automobilistes de circuler sur la rue Chitour Amar.
«Heureusement qu’il n’y avait personne parce que ça aurait pu avoir des conséquences très graves. Ce mur devrait être démonté dans les tout prochains jours car il présente actuellement un grand danger et à n’importe quel moment, ce qui reste s’effondrera. Les autorités doivent s’estimer heureuses qu’il n’y ait pas eu de blessés», a déclaré un commerçant du voisinage. Les services communaux et les éléments de la sûreté de wilaya se sont rendus sur place pour sécuriser les lieux. Et maintenant que faire ? Relancer une autre étude ? Clôturer les lieux et attendre d’autres dégâts ?

Yousra Salem

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