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http://www.passionsante.be/index.cfm?fuseaction=sectie&group_id=15
Cette étude canadienne (université de Toronto) a été déclinée en trois phases, concernant au total quelque 30.000 personnes suivies pendant une très longue période. Bien d’autres recherches se sont penchées sur le lien entre la qualité de la relation de couple et la fréquence des relations sexuelles. Celle-ci apporte sa contribution au débat, en nuançant fortement l’affirmation selon laquelle plus ils font l’amour, plus les partenaires se portent mieux.
L’analyse des questionnaires remplis à intervalles périodiques montre en fait – il s’agit d’une observation générale ! – que le bien-être au sein du couple augmente effectivement avec le nombre de relations sexuelles, mais que cette association atteint une sorte de pic avec une fréquence moyenne d’une fois par semaine : au-delà, la satisfaction de l’homme ou de la femme, jeune ou moins jeune, mariés ou pas, ne croît plus. Ceci ne signifie évidemment pas que des relations plus fréquentes nuisent au couple – pour autant que ce soit ce que l’un et l’autre souhaitent -, mais on a atteint un palier.
« Ces résultats n’impliquent pas que les couples doivent s’efforcer d’augmenter ou de ralentir la fréquence des relations sexuelles », expliquent les auteurs. « Les partenaires ont simplement à discuter librement et ouvertement de leurs attentes et de leurs besoins. » Pour les personnes vivant seules, la situation est très différente : l’association entre la fréquence des relations sexuelles et le bien-être personnel est bien moins significative que pour les couples, et elle est influencée par des paramètres particuliers (circonstances de la rencontre, nature de la relation, désir de s’engager ou non…).
Un dernier point : l’un des volets de cette étude montre qu’une sexualité épanouie est considérée comme plus importante, pour le bonheur du couple, que le fait de gagner davantage d’argent.
http://www.lesoir.be/1159825/article/debats/2016-03-23/mes-excuses-lettre-mon-fils-ma-fille
Mais après la colère et la tristesse, le temps est venu pour moi de te présenter mes excuses. De te demander pardon.
Cela fait 20 ans que je te mens. Je n’ai qu’une excuse : cela fait 20 ans que je crois mon mensonge. Je t’ai vendu ce monde comme celui des possibles, du grand voyage, de ces espaces que tu allais, toi, pouvoir arpenter, de ces peuples que tu allais, toi, rencontrer. Moi qui avais pris l’avion pour la première fois à 15 ans, moi qui avais vu l’Amérique à 22 ans, moi qui avais appris l’anglais en cours de route et le néerlandais quand il fallait.
Moi qui étais certaine que nous t’avions épargné la guerre, en la rangeant dans les livres d’histoire ou dans les anecdotes que ta grand-mère ou ton grand-père te racontait depuis leur village natal. Nous étions tellement certains de les avoir enterrés, les démons qui avaient fait les camps de concentration, les génocides, le napalm, le goulag. Goulag ? Tu as même cru que je parlais d’un plat hongrois. On en a tant ri, tu te souviens ?
Pourquoi aurions-nous eu peur? Nos parents l’avaient faite, eux, la guerre, mais ils avaient aussi, dans la foulée, fait la paix. Elle avait même pris la forme de cette Europe qui devait être le garde-fou en béton de nos folies, de nos dérives. Ce monde que nous t’avons promis, nous y croyions vraiment, pour la bonne raison que nous l’avions vu advenir.
Nous avons vu tomber les murs, les idéologies, les barrières et pas que commerciales. Moi, ta mère, j’ai profité de l’égalité croissante avec les hommes, de ces droits conquis et transcrits en lois. Moi, ton père, je n’ai pas dû faire mon service militaire dont j’ai vécu les derniers spasmes. Car l’heure n’était plus aux armées, mais aux consciences. L’heure n’était plus à envahir le voisin pour le soumettre, mais à y séjourner, à y séduire, à apprendre la langue de l’autre, en tente, en caravane ou en camping-car d’abord, sac à dos façon Routard ensuite et puis sous le couvert de cet Erasmus que tu devrais – devais ? – enfourcher dans quelques mois.
Nous avions vaincu les haines – « plus jamais ça », c’était plus qu’un slogan, c’était devenu une charte, une convention, des lois, le droit.
Nous avions vaincu les diktats de l’Eglise et de la religion – l’avortement, l’euthanasie avaient gagné petit à petit droit de cité.
Nous avions vaincu les tabous et les morales étroites – tu peux être homosexuel(le), te marier, te pacser, adopter.
Nous avions vaincu les préjugés et les racismes – à quelques pas d’ici réside le Centre pour l’égalité des chances qui protège les hommes/femmes des maléfices d’autres hommes/femmes.
En grandissant, j’ai assisté, incrédule mais extatique, à l’incroyable croisade qui faisait d’un Noir l’égal d’un Blanc, avec des droits égaux. « One man one vote » : on a marché pour les rêves de Martin Luther King, on a boycotté les oranges d’Afrique du Sud. C’était juste magique : un combat débouchait sur une victoire, le monde se déplaçait inexorablement du pire au meilleur. Imagine, on t’offrait sur un plateau, comme la promesse d’éternité de ce nouveau monde que nous avions bâti, Obama et Mandela, présidents ! C’était pas beau ça ? C’était pas grand ? Mais qu’est-ce qui pouvait bien tourner mal ? On l’avait décrochée, la timbale, non ! Obama et l’Europe, Prix Nobel de la Paix. On était les rois du pétrole ! Alleluyah !
Alors, non ! Je ne voulais pas que tu voies ces corps déchiquetés, ces chairs explosées station Maelbeek. Maelbeek, à deux pas de chez toi, Maelbeek, centre de Bruxelles, au nom qui sonne comme une blague, un rendez-vous, un plan drague : « on se voit à Maelbeek », « tu descends à Maelbeek », « on s’est embrassé à Maelbeek » ?
Alors, non ! Je ne voulais pas que tu entendes, hier, les cris de cet enfant terrorisé, dans la fumée de l’explosion, seul fil conducteur dans l’horreur, menant vers la sortie de ce métro éventré, déchiqueté, assassiné.
Alors, non ! Je ne voulais pas que tu penses qu’on pouvait mourir dans ta ville et que ton innocence s’arrête à cette date – 22 mars 2016–, à ces ceintures de la mort, à ces détonateurs tenus dans la main de garçons perdus qui, et c’est là tout le tragique, ont ton âge.
Ta détresse me transperce, ta peur surtout. Mais plus que tout, ton calme, la manière dont tu fais face, la retenue que tu t’imposes me rendent fière et triste. Le fait aussi que tu ne me lances pas à la tête ce « putain de monde » qui est le tien. Tu as cette grâce, mon fils. Tu as cette force, ma fille. D’autant que quand tu m’interroges, même si je n’arrive pas à te le dire, tu le sais : je n’ai pas les solutions.
Nous allons essayer de fixer ce b…, mais cela nous paraît de plus en plus clair : tu ne pourras y échapper, tu vas devoir te battre. Au moment où j’écris ces lignes, je croise simplement les doigts pour que ce ne soit pas au sens premier du terme. Comme avant…
La guerre? Je me refuse à prononcer le mot, je me refuse à dire que c’est notre état aujourd’hui. Je me refuse à tomber dans la haine, je me refuse à désigner les boucs émissaires que les prêcheurs de haine, dans les deux camps, nous proposent et imposent.
C’est tout ce que j’ai à t’offrir aujourd’hui : être à tes côtés et te protéger du bouclier des valeurs auxquelles je crois et que nous devrons tous protéger.
Nous devrons être forts, mon fils. Nous devrons être résistants, ma fille.
Cher toi,
Après la colère, la tristesse, le temps est venu pour moi de te présenter mes excuses. De te demander pardon. Mais de te dire aussi que te sentir là, à mes côtés, me force à redresser la tête.
Et à croire à demain.
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http://www.passionsante.be/index.cfm?fuseaction=sectie&group_id=15
Sexualité du couple : une fois par semaine, c’est très bien
news La sexualité est déterminante pour le bien-être du couple. La fréquence joue un rôle important, mais relatif : un rythme d’une fois par semaine semble répondre aux attentes des partenaires.Cette étude canadienne (université de Toronto) a été déclinée en trois phases, concernant au total quelque 30.000 personnes suivies pendant une très longue période. Bien d’autres recherches se sont penchées sur le lien entre la qualité de la relation de couple et la fréquence des relations sexuelles. Celle-ci apporte sa contribution au débat, en nuançant fortement l’affirmation selon laquelle plus ils font l’amour, plus les partenaires se portent mieux.
L’analyse des questionnaires remplis à intervalles périodiques montre en fait – il s’agit d’une observation générale ! – que le bien-être au sein du couple augmente effectivement avec le nombre de relations sexuelles, mais que cette association atteint une sorte de pic avec une fréquence moyenne d’une fois par semaine : au-delà, la satisfaction de l’homme ou de la femme, jeune ou moins jeune, mariés ou pas, ne croît plus. Ceci ne signifie évidemment pas que des relations plus fréquentes nuisent au couple – pour autant que ce soit ce que l’un et l’autre souhaitent -, mais on a atteint un palier.
« Ces résultats n’impliquent pas que les couples doivent s’efforcer d’augmenter ou de ralentir la fréquence des relations sexuelles », expliquent les auteurs. « Les partenaires ont simplement à discuter librement et ouvertement de leurs attentes et de leurs besoins. » Pour les personnes vivant seules, la situation est très différente : l’association entre la fréquence des relations sexuelles et le bien-être personnel est bien moins significative que pour les couples, et elle est influencée par des paramètres particuliers (circonstances de la rencontre, nature de la relation, désir de s’engager ou non…).
Un dernier point : l’un des volets de cette étude montre qu’une sexualité épanouie est considérée comme plus importante, pour le bonheur du couple, que le fait de gagner davantage d’argent.
Attentats de Bruxelles: heureusement, le call center de la société de taxi a mal compris les terroristes…
Publié le - Mis à jour le
Belgique
Les trois hommes du commando de Zaventem avaient réservé une camionnette à la société de taxi. Mais ils n'ont eu qu'une berline.
Que serait-il arrivé si toutes les charges explosives retrouvées lors de la perquisition à Schaerbeek avaient été emmenées à Zaventem par les terroristes ? On ne le saura heureusement jamais. La société de taxi contactée par les kamikazes a en effet mal compris la demande de ces clients mal intentionnés, selon nos informations. Résultat: lorsqu'ils ont vu arriver la berline plutôt que la camionnette, les terroristes n'ont certainement pas pu emmener toutes les charges explosives préparées. La preuve : la perquisition qui s'est déroulée mardi soir à Schaerbeek a permis de retrouver d'autres charges, dont une 4e bombe très puissante qu'il a fallu désamorcer avec précaution.
Cette troisième bombe, ajoutée la 3e qui a été retrouvée à Zaventem, auraient pu souffler le reste du hall d'entrée de l'aéroport, voire le pâté de maisons de Schaerbeek si le service de déminage n'avait pas réussi à la désamorcer. On peut d'ailleurs souligner leur sang froid et leur excellent travail. D'autant plus que cette charge était "instable" et de "plusieurs kilos", toujours selon nos sources. Cette charge était en fait une variante artisanale de TNT.
Taxis à Zaventem: "Certaines compagnies envisagent le chômage économique"
Le trafic des taxis, après une saturation mardi à la suite des attentats sanglants de Bruxelles, se normalise tout doucement, indique Pierre Steenberghen, secrétaire général du Groupement national des entreprises de voitures de taxis et de location avec chauffeur (GTL-Taxi). A Zaventem, "le travail est différent que d'habitude évidemment. L'aéroport est fermé et certaines compagnies envisagent même le chômage économique pour leurs chauffeurs placés à Zaventem". Arnaud Feist, le CEO de Brussels Airport a annoncé via un tweet mercredi que l'aéroport resterait encore fermé jeudi. "A l'aéroport, les taxis ne peuvent même plus stationner. Ils ont parfois des demandes pour aller à l'étranger mais l'essentiel de la mobilisation des taxis est évidemment à Bruxelles où nous avons beaucoup de demandes. Ça roule donc beaucoup dans la ville mais bien", indique M. Steenberghen.
Les centrales téléphoniques sont plus joignables que mardi. "Il n'y a plus l'effet de surprise donc les centrales sont plus organisées. La mobilisation des taxis est en tout cas complète".
Mardi, les chauffeurs solidaires, avaient proposé des courses gratuites pour aider la population à rentrer chez elle. "Cela a eu une ampleur énorme, même en dehors de Bruxelles. Certains ont été jusque Gand ou Anvers". Cette initiative était sur base volontaire, pour aider l'évacuation. Elle n'est plus d'actualité mercredi.
Pierre Steenberghen demande enfin qu'une "discrétion totale soit observée" par rapport au taximan qui a aidé la police dans son enquête. "Le chauffeur a fait son travail de citoyen, c'est un peu un héros sans le vouloir. Nous devons le protéger. Lui, tout ce qu'il veut, c'est rester tranquille".
Que serait-il arrivé si toutes les charges explosives retrouvées lors de la perquisition à Schaerbeek avaient été emmenées à Zaventem par les terroristes ? On ne le saura heureusement jamais. La société de taxi contactée par les kamikazes a en effet mal compris la demande de ces clients mal intentionnés, selon nos informations. Résultat: lorsqu'ils ont vu arriver la berline plutôt que la camionnette, les terroristes n'ont certainement pas pu emmener toutes les charges explosives préparées. La preuve : la perquisition qui s'est déroulée mardi soir à Schaerbeek a permis de retrouver d'autres charges, dont une 4e bombe très puissante qu'il a fallu désamorcer avec précaution.
Cette troisième bombe, ajoutée la 3e qui a été retrouvée à Zaventem, auraient pu souffler le reste du hall d'entrée de l'aéroport, voire le pâté de maisons de Schaerbeek si le service de déminage n'avait pas réussi à la désamorcer. On peut d'ailleurs souligner leur sang froid et leur excellent travail. D'autant plus que cette charge était "instable" et de "plusieurs kilos", toujours selon nos sources. Cette charge était en fait une variante artisanale de TNT.
Taxis à Zaventem: "Certaines compagnies envisagent le chômage économique"
Le trafic des taxis, après une saturation mardi à la suite des attentats sanglants de Bruxelles, se normalise tout doucement, indique Pierre Steenberghen, secrétaire général du Groupement national des entreprises de voitures de taxis et de location avec chauffeur (GTL-Taxi). A Zaventem, "le travail est différent que d'habitude évidemment. L'aéroport est fermé et certaines compagnies envisagent même le chômage économique pour leurs chauffeurs placés à Zaventem". Arnaud Feist, le CEO de Brussels Airport a annoncé via un tweet mercredi que l'aéroport resterait encore fermé jeudi. "A l'aéroport, les taxis ne peuvent même plus stationner. Ils ont parfois des demandes pour aller à l'étranger mais l'essentiel de la mobilisation des taxis est évidemment à Bruxelles où nous avons beaucoup de demandes. Ça roule donc beaucoup dans la ville mais bien", indique M. Steenberghen.
Les centrales téléphoniques sont plus joignables que mardi. "Il n'y a plus l'effet de surprise donc les centrales sont plus organisées. La mobilisation des taxis est en tout cas complète".
Mardi, les chauffeurs solidaires, avaient proposé des courses gratuites pour aider la population à rentrer chez elle. "Cela a eu une ampleur énorme, même en dehors de Bruxelles. Certains ont été jusque Gand ou Anvers". Cette initiative était sur base volontaire, pour aider l'évacuation. Elle n'est plus d'actualité mercredi.
Pierre Steenberghen demande enfin qu'une "discrétion totale soit observée" par rapport au taximan qui a aidé la police dans son enquête. "Le chauffeur a fait son travail de citoyen, c'est un peu un héros sans le vouloir. Nous devons le protéger. Lui, tout ce qu'il veut, c'est rester tranquille".
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Tram, bus, métro : ce qui roule à Bruxelles ce mercredi
Les transports en commun bruxellois reprennent du service.
Les dernières informations en direct
Après les attentats qui ont frappé la capitale bruxelloise, les transports en commun commencent à reprendre du service à Bruxelles. Le point sur ce qui roule ce mercredi.
Pour la ligne de métro 1, les métros s’arrêteront dans les stations Stockel, Roodebeek, Montgomery et Schuman d’une part et les stations Gare Centrale, de Brouckère et Gare de l’Ouest d’autre part.
Des navettes de bus seront mises en place entre Schuman et la Gare centrale.
Pour la ligne 5, les métros s’arrêteront dans les stations Delta, Pétillon et Schuman d’une part et les stations Gare centrale, de Brouckère, Gare de l’Ouest, Saint Guidon et Erasme d’autre part.
Les lignes 3-4 sont exploitées normalement à l'exception des stations Horta, Parvis de Saint-Gilles, Porte de Hal, Lemonnier, Anneessens, Bourse et Rogier.
Albert, Gare du Midi, de Brouckère et Gare du Nord sont ouvertes.
Les lignes 7 et 25 sont exploitées normalement à l'exception des stations Boileau, Georges Henri et Diamant.
La station Montgomery est ouverte.
Sur les lignes 7, 19 et 82, nous vous demanderons de rester à bord du véhicule en tunnel.
Sur les lignes 3, 4, 51, nous vous demanderons de descendre des véhicules avant leur traversée des tunnels.
Après les attentats qui ont frappé la capitale bruxelloise, les transports en commun commencent à reprendre du service à Bruxelles. Le point sur ce qui roule ce mercredi.
Les bus
Les bus 13, 34, 29, 46, 63, 64, 66, 71, 87, 89 et 95 commencent à rouler.Le métro
Le métro 1-5 roulera à partir de 7h.Pour la ligne de métro 1, les métros s’arrêteront dans les stations Stockel, Roodebeek, Montgomery et Schuman d’une part et les stations Gare Centrale, de Brouckère et Gare de l’Ouest d’autre part.
Des navettes de bus seront mises en place entre Schuman et la Gare centrale.
Pour la ligne 5, les métros s’arrêteront dans les stations Delta, Pétillon et Schuman d’une part et les stations Gare centrale, de Brouckère, Gare de l’Ouest, Saint Guidon et Erasme d’autre part.
Les trams
Les trams 3, 4, 7, 19, 25, 39, 44, 51, 55, 82, 92, 93, 94 et 97 commencent à rouler.Les lignes 3-4 sont exploitées normalement à l'exception des stations Horta, Parvis de Saint-Gilles, Porte de Hal, Lemonnier, Anneessens, Bourse et Rogier.
Albert, Gare du Midi, de Brouckère et Gare du Nord sont ouvertes.
Les lignes 7 et 25 sont exploitées normalement à l'exception des stations Boileau, Georges Henri et Diamant.
La station Montgomery est ouverte.
Sur les lignes 7, 19 et 82, nous vous demanderons de rester à bord du véhicule en tunnel.
Sur les lignes 3, 4, 51, nous vous demanderons de descendre des véhicules avant leur traversée des tunnels.
http://www.lesoir.be/1159825/article/debats/2016-03-23/mes-excuses-lettre-mon-fils-ma-fille
Mes excuses»: lettre à mon fils, à ma fille
Après la colère et la tristesse, le temps est venu pour moi de te présenter mes excuses. Cela fait 20 ans que je te mens. La chronique de Béatrice Delvaux.
cher toi,
Ce matin, j’ai hurlé, en traversant notre ville du nord au sud. Je ne pouvais arrêter mes larmes. Je voulais me boucher les oreilles, je n’en pouvais plus d’entendre les sirènes.Mais après la colère et la tristesse, le temps est venu pour moi de te présenter mes excuses. De te demander pardon.
Cela fait 20 ans que je te mens. Je n’ai qu’une excuse : cela fait 20 ans que je crois mon mensonge. Je t’ai vendu ce monde comme celui des possibles, du grand voyage, de ces espaces que tu allais, toi, pouvoir arpenter, de ces peuples que tu allais, toi, rencontrer. Moi qui avais pris l’avion pour la première fois à 15 ans, moi qui avais vu l’Amérique à 22 ans, moi qui avais appris l’anglais en cours de route et le néerlandais quand il fallait.
Moi qui étais certaine que nous t’avions épargné la guerre, en la rangeant dans les livres d’histoire ou dans les anecdotes que ta grand-mère ou ton grand-père te racontait depuis leur village natal. Nous étions tellement certains de les avoir enterrés, les démons qui avaient fait les camps de concentration, les génocides, le napalm, le goulag. Goulag ? Tu as même cru que je parlais d’un plat hongrois. On en a tant ri, tu te souviens ?
Pourquoi aurions-nous eu peur? Nos parents l’avaient faite, eux, la guerre, mais ils avaient aussi, dans la foulée, fait la paix. Elle avait même pris la forme de cette Europe qui devait être le garde-fou en béton de nos folies, de nos dérives. Ce monde que nous t’avons promis, nous y croyions vraiment, pour la bonne raison que nous l’avions vu advenir.
Nous avons vu tomber les murs, les idéologies, les barrières et pas que commerciales. Moi, ta mère, j’ai profité de l’égalité croissante avec les hommes, de ces droits conquis et transcrits en lois. Moi, ton père, je n’ai pas dû faire mon service militaire dont j’ai vécu les derniers spasmes. Car l’heure n’était plus aux armées, mais aux consciences. L’heure n’était plus à envahir le voisin pour le soumettre, mais à y séjourner, à y séduire, à apprendre la langue de l’autre, en tente, en caravane ou en camping-car d’abord, sac à dos façon Routard ensuite et puis sous le couvert de cet Erasmus que tu devrais – devais ? – enfourcher dans quelques mois.
Nous avions vaincu les haines – « plus jamais ça », c’était plus qu’un slogan, c’était devenu une charte, une convention, des lois, le droit.
Nous avions vaincu les diktats de l’Eglise et de la religion – l’avortement, l’euthanasie avaient gagné petit à petit droit de cité.
Nous avions vaincu les tabous et les morales étroites – tu peux être homosexuel(le), te marier, te pacser, adopter.
Nous avions vaincu les préjugés et les racismes – à quelques pas d’ici réside le Centre pour l’égalité des chances qui protège les hommes/femmes des maléfices d’autres hommes/femmes.
En grandissant, j’ai assisté, incrédule mais extatique, à l’incroyable croisade qui faisait d’un Noir l’égal d’un Blanc, avec des droits égaux. « One man one vote » : on a marché pour les rêves de Martin Luther King, on a boycotté les oranges d’Afrique du Sud. C’était juste magique : un combat débouchait sur une victoire, le monde se déplaçait inexorablement du pire au meilleur. Imagine, on t’offrait sur un plateau, comme la promesse d’éternité de ce nouveau monde que nous avions bâti, Obama et Mandela, présidents ! C’était pas beau ça ? C’était pas grand ? Mais qu’est-ce qui pouvait bien tourner mal ? On l’avait décrochée, la timbale, non ! Obama et l’Europe, Prix Nobel de la Paix. On était les rois du pétrole ! Alleluyah !
Alors, non ! Je ne voulais pas que tu voies ces corps déchiquetés, ces chairs explosées station Maelbeek. Maelbeek, à deux pas de chez toi, Maelbeek, centre de Bruxelles, au nom qui sonne comme une blague, un rendez-vous, un plan drague : « on se voit à Maelbeek », « tu descends à Maelbeek », « on s’est embrassé à Maelbeek » ?
Alors, non ! Je ne voulais pas que tu entendes, hier, les cris de cet enfant terrorisé, dans la fumée de l’explosion, seul fil conducteur dans l’horreur, menant vers la sortie de ce métro éventré, déchiqueté, assassiné.
Alors, non ! Je ne voulais pas que tu penses qu’on pouvait mourir dans ta ville et que ton innocence s’arrête à cette date – 22 mars 2016–, à ces ceintures de la mort, à ces détonateurs tenus dans la main de garçons perdus qui, et c’est là tout le tragique, ont ton âge.
Ta détresse me transperce, ta peur surtout. Mais plus que tout, ton calme, la manière dont tu fais face, la retenue que tu t’imposes me rendent fière et triste. Le fait aussi que tu ne me lances pas à la tête ce « putain de monde » qui est le tien. Tu as cette grâce, mon fils. Tu as cette force, ma fille. D’autant que quand tu m’interroges, même si je n’arrive pas à te le dire, tu le sais : je n’ai pas les solutions.
Nous allons essayer de fixer ce b…, mais cela nous paraît de plus en plus clair : tu ne pourras y échapper, tu vas devoir te battre. Au moment où j’écris ces lignes, je croise simplement les doigts pour que ce ne soit pas au sens premier du terme. Comme avant…
La guerre? Je me refuse à prononcer le mot, je me refuse à dire que c’est notre état aujourd’hui. Je me refuse à tomber dans la haine, je me refuse à désigner les boucs émissaires que les prêcheurs de haine, dans les deux camps, nous proposent et imposent.
C’est tout ce que j’ai à t’offrir aujourd’hui : être à tes côtés et te protéger du bouclier des valeurs auxquelles je crois et que nous devrons tous protéger.
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Cher toi,
Après la colère, la tristesse, le temps est venu pour moi de te présenter mes excuses. De te demander pardon. Mais de te dire aussi que te sentir là, à mes côtés, me force à redresser la tête.
Et à croire à demain.
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