الجمعة، مارس 25

الاخبار العاجلة لاكتشاف دورة قسنطية العالمية لسباق الدراجات الشعراء والفنانين والمحللين الرياضين ومنشط حفلة الجوائز يكشف عن رفاهية الفنادق ودهشةالجوائز ويدكر ان شركة طونيك خصصت شاحنة للاخراج التلفزيوني مستوردة من امريكا كما تحولت العاب الاطفال هدايا للفائزين وامست حمي القمصان حلم المكرمين يدكران دراجي قطر سيطروا على دورة قسنطيننة رغم هشاشة طرقات قسنطينة وشرالبلية مايبكي





 
 
 
 
        


 
 
 
 
 
 
 
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2016-03-24 14:11:12
GTAC-2016/Tour International de Constantine (2e étape) : L’espagnol Rubio vainqueur, Vaitkus en jaune
Le cycliste espagnol Jesus Rubio de l’équipe NASR Dubaï a remporté jeudi, la 2e étape du Tour International de Constantine, 8e épreuve du Grand Tour d’A...
 
 
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2016-03-21 16:26:03
Remerciements de l’ambassadeur d’Autriche au président de la FAC et au directeur du GTAC-2016
Son Excellence l’ambassadeur plénipotentiaire de la République d’Autriche a adressé une lettre de remerciements au Président de la fédération a...
 
2016-03-01 10:29:15
Bouira : éradication des ralentisseurs sur la RN 5 en prévision du GTAC 2016
Une opération d’éradication de tous les ralentisseurs mis sur le long de la route nationale n° 5 traversant la wilaya de Bouira, a été lancée depuis que...
 
2016-03-01 10:24:22
Liste des cyclistes algériens retenus pour le GTAC-2016
Le staff technique national a arrêté la liste des cyclistes algériens retenus pour le GTAC-2016 (Voir photo)  
 
2016-03-01 10:20:06
Grand Tour d’Algérie de Cyclisme (GTAC-2016) : Désignation des commissaires
La commission réglementation et qualification (CRAD) de la Fédération Algérienne de Cyclisme a procédé à la désignation des commissaires deva...
 
 
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Le Classement Général
1
VAITKUS Tomas - NASR Dubaï
06h53’30
2
RUBIO Jesus - NASR Dubaï
06h54’15
3
ABELOUACHE Essaid - NASR Dubaï
06h54’40
4
BARBARI Adil - NASR Dubaï
06h58’31
Le Classement par Etapes
Etape n° 02
Tour International de Constantine (Constantine - Oum El Bouaghi - Constantine)
1
RUBIO Jesus - NASR Dubaï
03h47’54
2
ABELOUACHE Essaid - NASR Dubaï
03h47’54
3
VAITKUS Tomas - NASR Dubaï
03h47’54
4
HAMZA Yacine - Sél. Ouest Algérie
03h52’55
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http://www.algeria-watch.org/fr/article/eco/corruption/groupe_pression.htm

Son directeur a été mis jeudi sous mandat de dépôt

Tonic Emballage, un groupe sous pression

El Watan, 6 mai 2007
L’incarcération, jeudi dernier, de Djerrar Abdelghani, PDG de Tonic Emballage, est intervenue après le dépôt d’une requête par les avocats de la Badr, auprès du juge d’instruction près le tribunal d’Alger, a-t-on appris de source judiciaire.
La requête porte sur « les anomalies » relevées dans la gestion de la Sarl Tonic et qui, à en croire la banque, « compromettent » le remboursement des créances. Ce constat était prévisible, affirment nos sources, dans la mesure où l’échéance accordée par la banque à la société venait d’expirer à la date du 30 avril dernier. « Le délai imparti par la Badr à Tonic, dans le cadre de la dernière convention portant sur les échéances de paiement de la dette a pris fin le 30 avril et la société n’a pas respecté ses engagements. Ce qui a poussé la banque à déposer sa requête auprès du juge. C’est cela l’élément nouveau qui a fait réagir le magistrat instructeur », déclare notre interlocuteur. D’autres sources affirment que c’est la Banque d’Algérie qui a accéléré les événements en actionnant la justice contre ce qu’elle a appelé le groupe Tonic avec l’ensemble de ses filiales. Il est reproché à ce dernier d’avoir bénéficié de crédits « sans garanties suffisantes » alors que la plainte de la Badr ne concerne que la Sarl Tonic. A ce titre, les mêmes sources affirment qu’une mission de contrôle est actuellement au niveau de la Caisse d’épargne et de prévoyance (Cnep), qui a racheté une partie des dettes de Tonic garantie par la Badr. La mission est chargée de passer au peigne fin les dossiers de crédits dont ont bénéficié les filiales de Tonic. Contacté, Me Zeraïa, avocat de Djerrar, estime que les deux conventions signées avec la badr portent sur de nouvelles échéances, dont la dernière a pris fin le 30 avril. « Mais un arrangement à l’amiable a été trouvé entre les deux parties pour que les crédits soient remboursés à long terme et non à court terme. Il n’y a aucun élément nouveau qui permet de précipiter les événements et de donner un autre tournant à la situation », révèle l’avocat. Il reconnaît cependant qu’effectivement la Badr a déposé une requête faisant état de l’impossibilité du remboursement de la dette par Tonic. « La banque ponctionne 15% des recettes de la Sarl, et c’est le PDG, désigné en tant que séquestre judiciaire qui est chargé de cette opération. L’incarcération de Djerrar ne réglera pas le problème. Bien au contraire, elle ne fera que compliquer davantage la crise », déclare Me Zeraïa. Par ailleurs, une cellule de crise a été installée hier au niveau de la Badr pour suivre de près cette affaire, dans la mesure où l’incarcération du premier responsable de Tonic sous-entend la saisie-arrêt sur l’ensemble des biens de la société. Une éventualité à ne pas écarter, même si les gestionnaires et propriétaires de la société privée comptent respecter le vœu de Djerrar Abdelghani, consistant à inaugurer coûte que coûte ce qu’ils qualifient comme étant la plus grande unité de production de papier dans le monde arabe et en Afrique, à Bou Ismaïl, jeudi prochain, en présence de la presse nationale. Cette unité, déclare Djerrar Mohamed, le frère de Abdelghani, « a été créée avec les ressources propres de la société, en dépit de la grave crise financière qu’elle traverse. Néanmoins, nous restons confiants en la justice, en espérant que le droit triomphera à la fin ». Il est important de signaler que le montant des crédits à court terme accordés à Tonic, entre 2000 et 2005, est de 65,5 milliards de dinars. Selon la famille, entre 2005 et 2006, une somme de 11 milliards de dinars a été déjà remboursée, alors que le reste le sera, dans le cadre d’un échéancier grâce aux activités de la nouvelle unité, devant être inaugurée jeudi prochain. Une grande partie des biens de Djerrar Abdelghani a déjà été saisie par la Badr, laquelle avait déposé plainte, en septembre 2005, auprès du parquet d’Alger. Quatre personnes, dont trois cadres de la Badr, parmi lesquels l’ex-PDG, ainsi que le patron de Tonic, ont été mises sous contrôle judiciaire.
Salima Tlemçani
 

Parcours d’un opérateur du papier

Créé en 1985 par Abdelghani Djerrar, PDG actuel de la société, et doté d’un capital de 760 millions de dinars, Tonic Emballage, situé à 40 kilomètres d’Alger, sur les hauteurs de Bou Ismaïl, s’est spécialisé au tout début de son activité dans la commercialisation du papier et la récupération des déchets.
Le passage à l’industrie de l’emballage a connu ses débuts vers 1988 à la faveur de l’acquisition d’une première station de tri de déchets. En 1998, Tonic opte pour la multiplication des investissements orientés essentiellement vers la production du carton ondulé. Dès l’année 2000, l’entreprise s’équipe en outils de production de dernière génération grâce à un prêt bancaire de 11 milliards de dinars octroyé par la Badr. Ce qui permet à l’entreprise, dès 2004, d’investir le marché de l’exportation et de réaliser, une année après, un chiffre d’affaires de 17 milliards de dinars. Evoluant avec une capacité de production non-stop qui tourne à hauteur de 300 000 tonnes par an de produits finis, l’entreprise inaugure, en 2005, un complexe papetier implanté sur 25 hectares à Bou Ismaïl, ayant nécessité un investissement de l’ordre de 40 millions d’euros. Près de 60% du marché de l’emballage sont ainsi assurés par ce fabricant privé qui élargit au fur et à mesure sa gamme d’emballages allant de la fabrication et la transformation du carton ondulé à l’emballage en carton compact, boîtes à fromage, différents gobelets, papiers alimentaires, etc. Employant au début quelques centaines de travailleurs, l’entreprise est passée de 3500 personnes en 2005 à plus de 5000 avec la réception du complexe papetier. Elle compte augmenter ce chiffre à 10 000 travailleurs grâce au lancement d’une autre usine de papier ondulé dont l’inauguration devait avoir lieu jeudi prochain. La capacité de production de cette usine est de 145 000 tonnes/an. Les deux usines, alimentées en grande partie par les déchets papetiers récupérés et recyclés, ont permis à Tonic de tisser un réseau de récupération déployé sur l’ensemble du territoire national. Beaucoup de jeunes se sont lancés ainsi dans la collecte des déchets revendus à Tonic à des prix, somme toute, attractifs. Il convient de souligner que l’usine de papier tissu mise en place par Tonic est la première en Algérie et la seconde en Afrique après celle de l’Afrique du Sud.
Lyes Malki
 

Arrestation du directeur général de Tonic Emballage

L’inquiétude gagne les industriels

La mise sous contrôle judiciaire de Abdelghani Djerrar, patron du groupe Tonic Emballage, écroué depuis jeudi dernier à la prison de Serkadji, au motif d’un surendettement auquel sa firme ne pourrait faire face, a jeté le trouble dans la corporation des hommes d’affaires algériens.
Le Forum des chefs d’entreprise (FCE), auquel adhère ce patron de l’une des plus importantes sociétés privées algériennes, a accueilli avec consternation cette nouvelle, avec l’inquiétude à peine voilée que cette action augure de mauvais jours pour d’autres confrères. Leur étonnement, nous a affirmé un des membres les plus influents du forum, est que cette arrestation soit motivée par l’insolvabilité du groupe Tonic qui aurait accumulé une lourde dette auprès d’une de nos banques publiques. Un argument qui, selon notre interlocuteur, ne tient pas du tout la route, ne serait-ce qu’au regard de l’importance des actifs du groupe (un énorme complexe industriel et 41 hectares de terrain à Bou Ismaïl, d’importants équipements de transport et de manutention, une usine de dessalement d’eau de mer, une usine d’électricité, ainsi que des filiales toutes solidaires pour rembourser la dette du groupe auquel elles appartiennent). Une importante chaîne de production de papier kraft devant mettre définitivement fin à l’importation ruineuse de cette matière, devait même être inaugurée dans le courant de ce mois en présence de plusieurs de nos ministres. Le complexe Tonic Emballage de Bou Ismaïl est, au regard des experts, un chef-d’œuvre du genre. Il est appelé à recycler 200 tonnes de déchets de papiers collectées chaque jour, sa consommation d’eau devait provenir de sa propre usine de dessalement d’eau de mer qui devait entrer très prochainement en activité, de même qu’elle devait assurer sa propre production d’électricité à partir d’une usine spécialement réalisée à cet effet. Au regard de l’importance de ces équipements susceptibles de servir d’hypothèques, le prétexte du surendettement ne semble, à l’évidence, pas tenir la route. Les raisons du problème seraient donc à chercher ailleurs, selon un des membres du Forum des chefs d’entreprise, qui pose également la question de savoir pourquoi on s’est empressé d’écrouer et de mettre sous contrôle judiciaire ce chef d’entreprise, avant que les deux cabinets d’audit et de contrôle engagés à l’effet de faire un diagnostic complet du groupe ne terminent leur travail, du reste largement avancé.
Nordine Grim


http://www.lematindz.net/news/2663-tonic-emballage-entre-ouyahia-et-la-mort.html

Tonic Emballage entre Ouyahia et la mort

Tonic Emballage entre Ouyahia et la mort
Le «premier grand complexe papetier d’Afrique», comme aimait à l’évoquer son ex-PDG, Abdelghani Djerar tombe en ruines mais reste un enjeu entre Ouyahia et le patronat.
L'usine qui s'étend sur 25 hectares de la zone industrielle de Bou Ismaïl, 45 kilomètres à l’ouest d’Alger et qui devait assurer la couverture de 60% des besoins du pays en papier, récupération de 500 tonnes/jour de papier, création de dizaines de milliers d’emplois indirects en plus des 4000 sur site, cette usine se meurt.
Endetté pour plus de 60 milliards de dinars (près de 850 millions de dollars) auprès de BADR Bank, banque publique de l’agriculture, le complexe est quasiment moribond. La BADR a actionné toutes ses garanties et récupéré par la vente publique, tout ce qu’elle pouvait, c’est-à-dire pas plus de 10% de sa mise. Il y a encore deux mois, la principale villa de la famille Djerrar était mise sous séquestre. Cet engrenage du recouvrement sur l’existant est arrivé à son terme. Aujourd’hui il faut créer de la valeur pour espérer une reprise du remboursement. La créance de la BADR et la tutelle à laquelle elle ouvre droit sur Tonic Emballage est devenue un obstacle devant une solution de remise en état de l’affaire». Le complexe n’a pas trouvé de repreneur étranger. Une piste avait été évoquée en 2007 au début de sa mise sous tutelle. Le bilan du management par l’administrateur pour le compte de la BADR est décrié de toutes parts, y compris par les 2000 travailleurs restants, qui lui reprochent d’enterrer l’activité.
Comment créer de la valeur ? Avec quel repreneur ?
Deux solutions se profilent.
L’organisation patronale FCE propose de «sauvegarder l’important outil de production Tonic Emballage, à travers un partenariat avec d’autres investisseurs privés algériens, à construire sur la base de l’élargissement de l’actionnariat du groupe Tonic.»
Cette proposition porte implicitement l’aval de la famille Djerar, actionnaire exclusive de Tonic emballage . En effet, ce sont les conclusions d’une étude commandée par les propriétaires de Tonic qui sont reprises par la lettre du FCE. Cette étude, conduite par le consultant spécialiste de la filière papier, Fructoso André, et partiellement dévoilée par le journal El Watan en août dernier, assure de la rentabilité du complexe sous condition de la reconquête rapide d’une «clientèle institutionnelle». Du côté du FCE, «c’est la rapide dégradation du site de production et de ses équipements» qui a justifié le ton solennel de l’interpellation. Les comptes de Tonic Emballage pour 2008 n’ont pas encore été rendus publics, mais les indicateurs de l’exploitation, durant l’année, attestent d’un nouveau recul des résultats, le quatrième de rang depuis 2005 : «Seul quatre des douze lignes de produits ont fonctionné et jamais à pleine charge» assure un technicien du complexe.
Reste la piste d’une nationalisation de l’entreprise pure et simple. Elle cadrerait avec la politique industrielle actuelle du gouvernement, qui veut créer des champions nationaux par filières d’activité. Le Trésor public rachèterait une partie de la dette du complexe et ferait de Tonic une entreprise publique économique (EPE) rattachée à une SGP (holding publique). Le plus probable est toutefois de maintenir la BADR, dans un futur de table ouverte à de nouveaux acteurs privés nationaux».
Le président Bouteflika ne voudra peut-être pas que la solution de sauvetage de Tonic Emballage profite à des grands privés algériens, tentés de s’émanciper de sa bienveillante protection politique. C’est notamment parce que la famille Djerar s’était exposée avec de puissants rivaux politiques du président Bouteflika, lors des présidentielles de 2004, que sa gestion litigieuse du méga-crédit BADR a été sanctionnée sans appel. «L’élargissement de l’actionnariat» de Tonic, suggéré par le FCE, ferait donc l’objet d’un casting serré. Mais cela ne suffira pas. Le complexe Tonic est cliniquement mort. Il faudra, pour le sauver, le réintroduire dans un réseau mondial et donc acheter le management qui saura le faire. Le projet des nouveaux actionnaires s’en trouve un peu plus compliqué.

Sce : Les Afriques


Samy Foura
J'ai de la peine à croire que le ver est dans le fruit, que le loup est dans la bergerie.Et nous pauvres crédules qui croyons que ces mafieux luttaient contre l'hydre islamiste pour la République.En réalité Ils ne sont là que pour le Koursi et leurs intérêts étroits.Tout s'explique donc, ils ne veulent pas de ceux qui créent des plus values, ils veulent seulement des importateurs d'objets prêts à être consommés.Bravo les décideurs et autre famille"révolutionnaire" qui les soutiènnent.Qu'avez-vous fait du pays de Abane, de Benmhidi et de Boudiaf?L'Histoire vous jugera pour tous vos méfaits.

nabila
je rejoins Mohand Seghir dans son discours en disant à tahar "grandi" grandissez et arrêtez de débiter des âneries, et "ghanima" "GET A LIFE" n'importe qui a la tête d'un empire tel une poule aux oeufs d'or s'offrirait des "4X4 hammer flambants neuf" a lui et a sa "progéniture"pour reprendre tes mots
sinon au lieu de tergiverser sur des sujets qui ne relatent qu'une jalousie maladive et une ignorance profonde de l'essence même du sujet, essayez de contribuer par vos idées et vos commentaires à sauvegarder une force de production nationale et a préserver 2000 foyers ouverts

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