الاخبار العاجلة لتحطيم سيارة سياحية من عنابة الستار الحديدي لجسر سيدي راشد وسكان السويقة السفلي يعيشون الرعب الجسيدي خوفا من سقوط العمود الحديدي على سكنات ضريح سيدي الراشد المنهارة والاسباب مجهولة
الاخبار العاجلة لتحطيم سيارة سياحية من عنابة الستار الحديدي لجسر سيدي راشد وسكان السويقة السفلي يعيشون الرعب الجسدي خوفا من سقوط العمود الحديدي على سكنات ضريح سيدي الراشد المنهارة والاسباب مجهولة
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الاخبار العاجلة لتحطم الاعمدة الحديدية لجسر سيدي راشد عشية الجمعةالاسلامية بسبب اصطدام سيارة سياحية قادمة من عنابة بالجدار الحديدي التاريخي لجسر سيدي راشد واوساط سياسية تؤكد ان تهديم طريق الرود فرانس وتهديم طريق واكتشاف انزلاق ارضي في اعمدة الجسر العملاق ناحية الشالي من معالم مشروع تهديم الحجارة التاريخية لمدينة قسنطينة والاسباب مجهولة
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الاخبار العاجلة لاحتجاج المستمعة فاطمة من النعامة في حصة رمضانية على غلق هواتف اداعة قسنطينة امام المستمعات من طرف المديعتان معتز وسلمي ويدكر ان المستمعة فاطمة من النعامة كشقتان اعاقتها البصرية لم تمنعها في ممارسة وظيفة في المستشفي كما اكدت انها تستعين بوالدتها عبر توجهها الى محلات الطاكسيفون الاتصال باداعة قسنطينة والاسباب مجهولة
http://a398.idata.over-blog.com/3/98/47/25/Photos-volees/pont-sidi-rached.jpg
http://www.echoroukonline.com/ara/articles/210093.html
فتوى علماء المسلمين اقتنع بها الجزائريون آنذاك
عبادو لـ "الشروق": لا أتصور مجاهدا صام خلال الثورة ومن قال صمت فليس بمجاهد
وهيبة سليماني
2014/07/10
(آخر تحديث: 2014/07/10 على 18:57)
هشماوي: كنا نأكل الخبز اليابس بالزيت فكيف نصوم؟
أكد الأمين
العام لمنظمة المجاهدين السعيد عبادو لـ "الشروق"، إن قادة جبهة التحرير
الوطني خلال الثورة التحريرية اضطروا إلى طلب فتوى إفطار شهر رمضان من
جمعية العلماء المسلمين، وهذا نظرا إلى الظروف الصعبة التي كانوا يعيشونها.
وقال إن مجاهدي الثورة الحقيقيين الذين عايشوا معاناة الجبال لم يصوموا
بين سنتي 1954 و1962، مشيرا إلى أن الجزائريين تعاملوا مع فتوى "أكل" رمضان
من طرف المجاهدين بقناعة لإيمانهم القوي بهدف الكفاح المسلح ضد الاستعمار
الفرنسي.
يرى عبادو أن الثورة ألزمت المجاهدين بالإفطار، حيث بعد انعقاد مؤتمر الصومام يوم 20 أوت 1956، تلقى قادة الثورة تعليمات مرفقة بفتوى لعلماء الجزائريين تلزمهم بالإفطار في رمضان، حتى ينجح مشروع الثورة، وأن القناعة بتلك الفتوى تعززت بعد تأييدها من أئمة ورجال دين ومفكرين.
وعن آخر رمضان إبان الثورة، أكد الأمين العام للمجاهدين أنه كان سنة 1961، وصادف شهر جوان أين كان متواجدا في الصحراء بالمنطقة السادسة الناحية الثالثة، ولم يصم يوما من رمضان على غرار باقي المجاهدين.
من جهته، أكد مصطفى هشماوي مجاهد ووزير سابق، لـ "الشروق"، أنه كان متواجدا في الحدود الجزائرية التونسية بالقرب من سوق أهراس، ضمن الفرقة الـ 14، وأن أكلهم كان أصلا خبزا "يابسا" وزيتا. ويذكر أن بعض المجاهدين في بلاد القبائل كانوا يصومون ويفطرون على زيت الزيتون ورغيف. وقال إن الفتوى التي تبيح عدم الصيام استقبلت بقناعة لأن فكرة تحقيق الاستقلال للجزائر لا تحتاج إلى أجساد منهكة. قال صاحب كتاب "جذور أول نوفمبر"، رمضان 1957، لا يزال مطبوعا في ذاكرته لأن الفصل كان حارا والنشاط الثوري كان أكثر منه حرارة.
بعض المجاهدين كانوا أطفالا ولم يحتاجوا إلى فتوى تبيح أكل رمضان، على غرار المجاهد بكموش عمار ابن منطقة سطيف وهو من مواليد 1947، حيث تذكر آخر رمضان قبل الاستقلال كان طفلا في الـ 14سنة، أين فقد ذراعه في غارة جوية من الاستعمار الفرنسي على أحد جبال سطيف.
Nous, heureux parents d’un bébé-éprouvette
le 11.07.14 | 10h00
1 réaction
Ne pas concevoir son enfant «naturellement» demeure un tabou, et les couples vivent très mal cet état.
Cependant les avancées médicales permettent aujourd’hui de donner de
l’espoir aux couples stériles et les faire revivre, à travers la
fécondation in vitro (Fiv), une technique de la procréation médicalement
assistée (PMA). Depuis la naissance, le 25 juillet 1978, de Louise
Brown, premier bébé éprouvette, la Fiv est désormais considérée comme un
progrès important pour tous les couples stériles qui désirent devenir
parents. El Watan Week-end a rencontré trois mamans de bébés éprouvette
qui racontent le long chemin parcouru pour enfin pouvoir donner la vie.
«Il faut y croire»
Karim 32 ans et Nadia 29 ans. Après une stérilité de 4 ans, aujourd’hui ils sont parents d’une fille de 14 mois. Elle est née par la Fiv après deux tentatives IMSI (fécondation in vitro avec micro-injection). Nadia raconte : «Une année après mon mariage, les pressions de la belle-famille commencent. Pour la belle-mère, il était insensé qu’elle ne soit pas encore grand-mère. Je veux voir mes petits-enfants avant de mourir, ne cessait-elle de répéter. J’ai fini par développer un complexe par rapport à ma situation. C’est à partir de là que nous avons décidé de consulter. Verdict : les analyses et les radios confirment que Karim a un problème. Un choc pour toute la famille.
Culpabilité, désespoir. Pour notre couple, l’horizon commençait à s’assombrir. Nos tentatives de traitement chez des spécialistes sont restées sans résultats jusqu’à ce que l’un d’eux me parle de la fécondation in vitro. Dernière chance à saisir en dépit des prix exorbitants. Un peu réticente au début par méconnaissance de cet acte. Mais une seule chose me poussait à le faire, l’envie d’être maman. On a décidé alors d’entrer dans le monde de la procréation médicalement assistée. Pour moi, c’était la grande aventure. Les choses ont commencé par un long traitement suivi d’une première tentative. Sans résultat. A trois semaines de grossesse, je perds l’embryon. Déception et déprime. Puis vient la volonté de reprendre mes soins et de retenter le coup. Sans grande conviction, j’ai accepté les consignes du médecin, sans un grand espoir. Surprise ! Je suis enceinte. Ma fille Sabrina a aujourd’hui 14 mois et je suis la maman la plus heureuse au monde.»
«Après la Fiv, j’ai eu un autre enfant naturellement !»
Mounir 39 ans et Sonia 35 ans. Mariés depuis six ans, ils viennent d’Oran pour leur traitement. Aujourd’hui, ils sont parents d’un garçon de 3 ans grâce à la Fiv.«L’envie d’être maman est précoce chez moi. Je commençais à m’inquiéter avant même que nous bouclions une année de mariage. Et j’ai d’ailleurs bien fait de m’inquiéter si tôt. Mounir a de sérieux soucis de fertilité. Après le diagnostic, notre médecin nous a immédiatement orientés vers un centre de procréation médicalement assistée. Pour lui, il y a plus de chances d’avoir un bébé par un moyen naturel.
Sans savoir ce qu’est une fécondation in vitro ou encore la procréation médicalement assistée, nous avons décidé de nous aventurer. La démarche est entamée sans qu’aucun membre de notre famille ne soit au courant. Notre société a un regard plein de préjugés envers les enfants nés de la Fiv. Cela reste tabou. Le traitement était long et fatiguant, mais cela méritait toutes les souffrances. Quand on pense à l’envie d’être maman ou papa, tout devient facile et acceptable. Après deux tentatives échouées, la troisième a donné ses fruits. Surprise : aujourd’hui, je suis encore enceinte sans aucun autre traitement ou technique.»
«Ne vous privez pas du bonheur d’enfant»
Rachid 38 ans et Fatima 32 ans. Marié depuis 10 ans, ils commencent les soins deux ans après le mariage. «J’ai commencé à me soigner lorsque j’avais 23 ans. Pendant deux longues années, je ne me consacrais qu’à mes soins qui n’ont finalement rien donné. Par le biais d’un ami à mon mari, qui lui aussi a eu recours à cette technique, nous avons décidé de changer de médecin et de tenter la Fiv, car selon lui, notre couple avait peu de chances d’avoir un enfant dans des conditions normales, sans l’intervention de la science. J’avais beaucoup d’espoir dans la mesure où j’étais encore jeune. Et ça a marché à la première tentative, un succès rare. La chose la plus dure dans cette épreuve, c’était la pression extérieure. Car notre entourage n’était pas au courant de notre recours à la fécondation in vitro. Les femmes qui veulent opter pour cette méthode ne doivent faire attention qu’à elles et ne doivent pas se priver de ce bonheur. Mon bonheur à moi est venu au monde, il s’appelle Mohamed.»
«Il faut y croire»
Karim 32 ans et Nadia 29 ans. Après une stérilité de 4 ans, aujourd’hui ils sont parents d’une fille de 14 mois. Elle est née par la Fiv après deux tentatives IMSI (fécondation in vitro avec micro-injection). Nadia raconte : «Une année après mon mariage, les pressions de la belle-famille commencent. Pour la belle-mère, il était insensé qu’elle ne soit pas encore grand-mère. Je veux voir mes petits-enfants avant de mourir, ne cessait-elle de répéter. J’ai fini par développer un complexe par rapport à ma situation. C’est à partir de là que nous avons décidé de consulter. Verdict : les analyses et les radios confirment que Karim a un problème. Un choc pour toute la famille.
Culpabilité, désespoir. Pour notre couple, l’horizon commençait à s’assombrir. Nos tentatives de traitement chez des spécialistes sont restées sans résultats jusqu’à ce que l’un d’eux me parle de la fécondation in vitro. Dernière chance à saisir en dépit des prix exorbitants. Un peu réticente au début par méconnaissance de cet acte. Mais une seule chose me poussait à le faire, l’envie d’être maman. On a décidé alors d’entrer dans le monde de la procréation médicalement assistée. Pour moi, c’était la grande aventure. Les choses ont commencé par un long traitement suivi d’une première tentative. Sans résultat. A trois semaines de grossesse, je perds l’embryon. Déception et déprime. Puis vient la volonté de reprendre mes soins et de retenter le coup. Sans grande conviction, j’ai accepté les consignes du médecin, sans un grand espoir. Surprise ! Je suis enceinte. Ma fille Sabrina a aujourd’hui 14 mois et je suis la maman la plus heureuse au monde.»
«Après la Fiv, j’ai eu un autre enfant naturellement !»
Mounir 39 ans et Sonia 35 ans. Mariés depuis six ans, ils viennent d’Oran pour leur traitement. Aujourd’hui, ils sont parents d’un garçon de 3 ans grâce à la Fiv.«L’envie d’être maman est précoce chez moi. Je commençais à m’inquiéter avant même que nous bouclions une année de mariage. Et j’ai d’ailleurs bien fait de m’inquiéter si tôt. Mounir a de sérieux soucis de fertilité. Après le diagnostic, notre médecin nous a immédiatement orientés vers un centre de procréation médicalement assistée. Pour lui, il y a plus de chances d’avoir un bébé par un moyen naturel.
Sans savoir ce qu’est une fécondation in vitro ou encore la procréation médicalement assistée, nous avons décidé de nous aventurer. La démarche est entamée sans qu’aucun membre de notre famille ne soit au courant. Notre société a un regard plein de préjugés envers les enfants nés de la Fiv. Cela reste tabou. Le traitement était long et fatiguant, mais cela méritait toutes les souffrances. Quand on pense à l’envie d’être maman ou papa, tout devient facile et acceptable. Après deux tentatives échouées, la troisième a donné ses fruits. Surprise : aujourd’hui, je suis encore enceinte sans aucun autre traitement ou technique.»
«Ne vous privez pas du bonheur d’enfant»
Rachid 38 ans et Fatima 32 ans. Marié depuis 10 ans, ils commencent les soins deux ans après le mariage. «J’ai commencé à me soigner lorsque j’avais 23 ans. Pendant deux longues années, je ne me consacrais qu’à mes soins qui n’ont finalement rien donné. Par le biais d’un ami à mon mari, qui lui aussi a eu recours à cette technique, nous avons décidé de changer de médecin et de tenter la Fiv, car selon lui, notre couple avait peu de chances d’avoir un enfant dans des conditions normales, sans l’intervention de la science. J’avais beaucoup d’espoir dans la mesure où j’étais encore jeune. Et ça a marché à la première tentative, un succès rare. La chose la plus dure dans cette épreuve, c’était la pression extérieure. Car notre entourage n’était pas au courant de notre recours à la fécondation in vitro. Les femmes qui veulent opter pour cette méthode ne doivent faire attention qu’à elles et ne doivent pas se priver de ce bonheur. Mon bonheur à moi est venu au monde, il s’appelle Mohamed.»
Djelloul Amarouche. Spécialiste en médecine et biologie de reproduction : Un enfant né d’une PMA est tout à fait normal
-Quand est-ce que la PMA ou la Fiv est conseillée ?La PMA ou la FIV est indiquée quand la stérilité commence à peser sur le couple, quand il y a une maladie génique familiale ou par exemple le syndrome des ovaires micropolykystiques. C’est le cas des femmes qui n’ovulent pas ou ovulent mal, ce qui crée un problème d’hyperstimulation ovarienne. Il existe des protocoles pour éviter cela, on peut agir soit sur les ovocytes, soit sur les embryons par congélation rapide appelée vitrification.
-Est-ce que l’âge de la femme joue un rôle dans cet acte médical ?
Plus la femme est jeune, moins il y a de problèmes et plus ça marche. Les femmes doivent savoir que les aides à la procréation, en général, ne donnent plus d’aussi bons résultats quand l’âge est avancé, comme on enregistre une augmentation de risque d’avortement et beaucoup d’anomalies, comme la trisomie 21. Une décision mondiale affirme qu’à partir du premier jour de la 43e année, aucune Fiv ne doit être faite. Dans le cas contraire, soit la fécondation ne marche pas, soit elle engendre de sérieux problèmes sur la femme.
-Quel est le taux de réussite de la fécondation in vitro ?
Le taux de réussite est estimé entre 35 et 40% (un taux qui peut diminuer dans le cas de la Fiv classique, ndlr). Cela dépend de l’âge de la femme aussi, car quand l’ovocyte est jeune, il peut se défendre et peut même réparer les dégâts de l’ADN du spermatozoïde. Si on arrive à avoir des blastocystes pour toutes les femmes, le taux de réussite peut aller jusqu’à 60%. Il y a des centres de PMA qui ne prennent pas en charge les femmes de plus de 39 ans -un choix que je trouve aberrant-, ces derniers peuvent obtenir jusqu’à 50% de résultats. A mon avis, nous avons une population diverse et nous sommes obligés d’aider tous les cas, parce que nous sommes médecins.
-Les enfants de la FIV sont-ils plus sujets à des malformations ?
Après toutes les études qui ont été faites, aucun enfant n’est né avec une malformation majeure. Au moment de l’accouchement, on peut faire face à plusieurs ennuis basiques, comme l’accouchement de longue durée ou d’autres petits problèmes qu’on peut retrouver chez tous les enfants conçus «normalement».
-Plusieurs personnes pensent que cet acte est interdit par la religion…
Il n’y a aucun problème avec la religion concernant toutes les techniques de la PMA pratiquées en Algérie. Un dossier administratif doit être fourni par le couple, avec consentement et signatures. Il faut que le couple présent soit marié, que les deux conjoints soient d’accord pour franchir cette épreuve et avoir un enfant. Il est aussi important de préciser que tout ce qui est don de gamètes (spermatozoïdes, ndlr) est strictement interdit, et par la loi et par notre religion musulmane.
Docteur Djelloul Amarouche est aussi directeur scientifique du Centre de fertilité et de fécondation in vitro El Walidayn et vice-président de la Société algérienne de médecine de reproduction (Samere)
Ryma Maria Benyakoub
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froufrou
le 11.07.14 | 12h35
Partie
Ne peut être considéré comme une partie de nous que celui conçu dans les entrailles de sa maman....
أوقع بحوالي 20 فتاة قاصر في عنابة
قصة ما فعله العجوز الفرنسي “باروش” في بنات الجزائريين
الجمعة 11 جويلية 2014 إعداد: نبيل شحتي
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عرفت مدينة عنابة، العام الماضي، جريمة أخلاقية اهتز لها الرأي العام المحلي، على خلفية تورط عجوز فرنسي يدعى “جون ميشال باروش” في الزج بأكثر من 20 فتاة قاصر في غياهب الفسق والدعارة، مستغلا العوز والفقر اللذين كانا يعانين منه لإشباع غريزته الحيوانية واغتصاب جماعي للضحايا القصر بمساعدة من جزائريين، من مسؤولين محليين وأشباه المراسلين الصحفيين.
تعود وقائع هذه القضية، حسب ما ورد في قرار الإحالة، إلى ماي 2012، عندما تقدّمت الضحية “ماجدة”، وهي فتاة شابة تجاوزت سنّ الحداثة خلال جلسة المحاكمة، بشكوى لمصالح الأمن الوطني تفيد بوجود شبكة تقوم باغتصاب جماعي للقصّر والمساس بالأخلاق يقودها رعية فرنسي اسمه “جون ميشال باروش” صاحب وكالة وهمية لعارضات الأزياء والسياحة بالحي الراقي خليج المرجان ببلدية عنابة. وأنكر جميع المتهمين الأفعال المنسوبة إليهم، بداية بالمتهم الرئيسي الرعية الفرنسي “باروش”، الذي بدا واثقا من كلامه خلال جلسة سماعه بمحكمة الجنايات في درء التهم عنه، حيث تحدّى هيئة محكمة الجنايات بأن تقدّم ولو دليلا صغيرا يدينه بارتكابه أفعال الاغتصاب الجماعي في حق 13 فتاة قاصر، مصرحا بأنه على استعداد أمام الحاضرين، من قضاة ومحامين ورجال أمن، بالنزول عند رغبته في عرض لقطات الفيديو والصور المزعومة التي وضعت له في ملف الإحالة على الضبطية القضائية وغرفة الاتهام، كونها صورا لا يدري من أين تمّ الإتيان بها. وذكر جون ميشال باروش” لهيئة المحكمة أن “الشاكية ماجدة” حاكت له مكيدة مع جهات مجهولة للإيقاع به، “بعدما شعرت بأني تخليت عنها، وتزوجت من فتاة أخرى وفق الشريعة الإسلامية”، بعد اعتناقه للإسلام، على حد قوله، حيث استغلت غيابه عن الشركة لتستولي على بعض أغراضه الشخصية بمساعدة المتهمة في القضية “الموظفة السابقة بالولاية”، التي كانت تعمل مراسلة صحفية، حيث سلّمت لها ذاكرة جهاز حاسوب فيه صور ولقطات فيديو مع زوجته، وصرّح باروش أن “المراسلة الصحفية السابقة هي العقل المدبّر للمكيدة التي تعرّض لها، جراء تسريبها لأغراضه الشخصية من أجل ابتزازه”، وأثناء تصريحه بهذه المعطيات أجهش باروش مرتين بالبكاء أمام هيئة المحكمة، التي التمس منها الحصول على عقوبة غير نافذة تمكّنه من مغادرة الجزائر.
من جهة أخرى، فإن اتهام باروش للمراسلة الصحفية بأنها هي من كانت وراء الإيقاع به جعل المحاكمة تعرف منعرجا خطيرا في تبادل التهم بين جميع الأطراف، فبداية بالمراسلة الصحفية، التي صرحت بأنها كانت ضحية تلاعب من قِبل بعض الصحفيين الذين لم يتم استدعاؤهم للتحقيق، على الرغم من علاقتهم الوطيدة بجون ميشال باروش، حيث تنقلوا إلى منزله وتناولوا عدة مرات وجبات العشاء معه وشاهدوا كل ما كان يجري داخل الفيلا من هرج ومرج دون أن يتم التحقيق معهم، إضافة إلى حصولهم، حسبها، على مزايا غير مستحقة وأموال سلمت لهم لكتابة مقالات إشهارية لم تنشر. وأضافت المتهمة رفقة المتهم الآخر (نائب رئيس البلدية السابق) بأنهما تعرّضا لمؤامرة حيكت ضدهما من قِبل جهات كانت تسيّر الملف عن بعد، جراء رفضهما تسهيل مهمة الفرنسي “جون ميشال باروش” في الإيقاع بالعديد من الشخصيات والمسؤولين النافذين محليا ومركزيا، واستدراجهم لارتكاب أخطاء جنائية يتم بموجبها ابتزازهم والحصول على ما كانوا يصبون إليه.
قضية باروش كادت تعصف ببيت جبهة التحرير الوطني
صمد حزب جبهة التحرير الوطني بعنابة أمام الهزات التي رافقت مسار الحملة الانتخابية بولاية عنابة، من داخل وخارج الحزب، أكبرها تلقي قواعده صدمة كبيرة عند سماع خبر إلقاء مصالح الأمن، مع بداية الانتخابات، القبض على خامس مرشح ضمن قائمة الحزب العتيد في البرلمان، متلبسا في تكوين شبكة للدعارة المنظمة يقودها الفرنسي جون ميشال باروش المحبوس حاليا بسجن عنابة. وأبدى العديد من مناضلي حزب جبهة التحرير الوطني، حينها، تذمرهم الشديد من وقع هذه الفضيحة الأخلاقية التي وقعت كالصاعقة على رؤوس قادة ومناضلي الحزب، بعد أن استبشروا خيرا في بادئ الأمر باختيار المحافظ ترأس القائمة محمد الشريف براهمية، قبل أن يوقع خبر تورط أحد المترشحين في هذه الفضيحة كالقنبلة مست بمصداقية الحزب لدى العامة، بالرغم من أن هؤلاء حمّلوا المعني لوحده مسؤولية أفعاله. وعلى الرغم من ذلك فقد أعطى مناضلو الأفالان والمتعاطفون معه درسا في الوفاء والولاء للحزب العتيد، بعد أن منحوه، رغم هذه الهزات الداخلية، أصواتهم، التي حصل من خلالها على نصف المقاعد المتنافس عليها بولاية عنابة، والمقدرة بـ08 مقاعد.
اللواء هامل فنّد الاستنجاد بــ”آف بي آي” في تشفير حواسيب “باروش”
فنّد المدير العام للأمن الوطني، اللواء عبد الغاني هامل، خلال إحدى زياراته لولاية عنابة، استنجاد المديرية العامة للأمن الوطني بخبراء أجانب من المكتب الفيدرالي للتحقيقات الأمريكية لتشفير الوسائل والعتاد الإلكتروني المحجوز في قضية الفرنسي جون ميشال باروش، والمتمثل في أجهزة إعلام آلي. وذكر أن أجهزة الأمن الجزائري لها من الإطارات ذات الكفاءة العلمية العالية في مجال الجريمة المعلوماتية، والعاملين بالمخبر المركزي للشرطة العلمية والتقنية بالعاصمة، ما يمكّنها من إجراء التفتيشات الإلكترونية الدقيقة على مستوى أي جهاز إلكتروني، مهما كانت التعقيدات المعلوماتية التي تستخدم فيه.
إمام مسجد الإسراء والمعراج
”شككت في نوايا باروش في اعتناق الإسلام”
وصف إمام مسجد “الإسراء والمعراج”، بن عبد الكريم محمد، المعروف بكفاءته وحسن أخلاقه، بأن ما تعرض له من تهجم على شخصه، وتصنيفه ضمن قائمة المتورطين في فضيحة شبكة الدعارة التي أنشأها الفرنسي جون ميشال باروش ابتلاء من عند اللّه، على الرغم من أن استدعاءه إلى المحكمة كان للإدلاء بشهادته في ما يخص اعتناق الرعية الفرنسي للإسلام.
وذكر إمام مسجد “الإسراء والمعراج” أنه استبشر خيرا عندما وجد، إلى جانبه، مسؤولي القطاع، مركزيا ومحليا، وجميع أئمة مساجد عنابة الذين وقفوا سندا له بإصدار بيانات استنكار وتنديد بالحملة المغرضة التي طالت شخصه وسمعة الأئمة.
وقال الإمام: “كنت أشك بنوايا باروش في اعتناق الإسلام ما إن شاهدته أول مرة عند قدومه إلى مسجد الإسراء والمعراج يوم 19 فيفري الماضي، وشروعه في الحديث. أحسست في قرارة نفسي أن محاولة اعتناقه الإسلام ليست مبنية على أي قناعة بشرائع الدين الإسلامي، وإنما مجيئه كان من منطلق الحصول على غطاء ديني يمكّنه من الولوج إلى ما كان يخطط له”. إضافة إلى استظهاره منذ البداية صورة لفتاة تبلغ من العمر 19 سنة ادّعى بأنه مقبل على الزواج منها، حيث استظهر، حينها، وثائق رسمية من وزارة الداخلية تتضمن “طلب الزواج” من هذه الفتاة الجامعية، الأمر الذي لم يستسغه الإمام، بسبب غياب الكفاءة العمرية بينه وبين هذه الفتاة الجزائرية، خاصة وأن سنه قارب 68 سنة، ما عجّل بطرح علامات استفهام.
ويضيف الإمام: “ومنحت المديرية رقم هاتفي المحمول للرعية الفرنسي، الذي اتصل بي، طالبا المجيء إلى المسجد للقيام بإجراءات اعتناق الإسلام، فتم تحديد يوم 20 فيفري بعد صلاة الظهر موعدا لذلك، حيث لم يتخلف باروش عن الموعد، وتقدّم إلى المسجد رفقة شخصين يبلغان من العمر حوالي 25 سنة، للإدلاء بشهادتهما الشرعية والقانونية في اعتناق “باروش” للإسلام”.
واستهل الفرنسي، حسب الإمام، حديثه بثقة زائدة، بالحديث عن أنه من الشخصيات الفرنسية البارزة دوليا، وله علاقات بكبار المسؤولين في العالم، وأن آخر محطة استثمر فيها كانت تونس، التي قدم منها في أواخر 2011. ولم يتوقف الرعية الفرنسي جون ميشال باروش عند هذا الحدّ، حسب الأمام، بل عرض عليه المجيء وزيارة مقر شركته “غلامور آربين تالن” بحي وادي القبة، التي تعنى بالسياحة واكتشاف مواهب ملكات الجمال، فكان لزاما على الإمام وضع حدّ لتمادي هذا الشخص، في حديثه عن أمور لا علاقة له بها. حينها صدق حدس الإمام بوجود نوايا خبيثة يقف وراءها هذا الشخص فكان لزاما إخطار الإمام لمسؤولي مديرية شؤون الدينية حول مجريات المقابلة، التي تم خلالها تحرير محاضر رسمية تتضمن توقيع الرعية الفرنسي والشهود، ونطق باروش حينها، وفق الشرع، بالشهادتين داخل مسجد “الإسراء والمعراج”، مصرحا أثناءها بأن سبب اعتناقه الإسلام جاء من منطلق بأن “المسيحية لم تعد الدين المناسب له، بالنظر إلى الانقسامات والتفرع، في حين أن الإسلام دين التسامح والإخاء”. وأضاف الإمام بأنه تفاجأ في يوم 21 فيفري، بعد مرور 24 ساعة من نطق الرعية الفرنسي بالشهادتين، بقدوم أحد الشهود، الذي طلب سحب شهادته، وتبرئة ذمته من الشهادة التي أدلى بها، لأنه شاهد الرعية الفرنسي في الليلة نفسها يتناول الخمر ويلتقي بالفتيات القصر. وفي اليوم الموالي قدم الشاهد الثاني الذي تخلى هو الآخر عن شهادته، فكان لزاما إخطار إدارة الشؤون الدينية لاتخاذ الإجراءات المناسبة ببطلان ملف الرعية الفرنسي “جون ميشال باروش”. وفي 22 فيفري الماضي، تم إخطار الفرنسي بإلغاء ملفه، حينها يقول الإمام: “انهال على هاتفي بوابل من الاتصالات فاقت 20 اتصالا، لم أرد عليها، لأتفاجأ بعد فترة، أي بتاريخ 09 أفريل 2014، باستدعاء من الأمن الوطني للحضور جلسات الاستجواب كشاهد في قضية دعارة متورط فيها الفرنسي جون ميشال باروش”.
الشابة ماجدة أوقعت بباروش
لم يحضر المحاكمة سوى أربعة من الضحايا، هن فتيات تجاوزن منذ عام سن الحداثة، من بين 13 ضحية، حيث تمسّكت اثنتان منهن بتصريحاتهما أمام القضاء، عن تعرضهما للاغتصاب وإرغامهما على الإجهاض في مصحات خاصة واستهلاك المخدرات، في حين تراجعت الباقيتان عن تصريحاتهما.
وذكرت الضحية ماجدة أنه بتاريخ 17 أفريل من السنة الماضية تقدمت إحدى ضحايا باروش بشكوى إلى مصالح أمن عنابة، تعرّضت فيها لهتك عرضها من قِبل الرعية الفرنسي، الذي تعرفت عليه قبل 6 أشهر من القبض عليه، عندما شاهدت مطبوعات إشهارية لوكالة مختصة في تكوين عارضات الأزياء، فأغريت بالفكرة، واتصلت هاتفيا بالرقم المدون على المطبوع الإشهاري، فردّ عليها، حسب تصريحاتها، شخص من خلال كلامه تبين لها بأنه أجنبي، حيث طلب منها التنقل إلى مقر الوكالة بحي خليج المرجان، وبعد مرور 3 أيام من البحث عن هذا المقر لم تجده فعاودت الاتصال مجددا به، وأثناء ذلك طلب منها الانتظار بالقرب من مصحة معروفة، حيث تقدّم منها الحارس الخاص للرعية الفرنسي على متن سيارة فأوصلها إلى فيلا. وصرحت الضحية، أنه بمجرد أن شاهدها قام بمدح ملامحها وقوامها، مؤكدا لها بأنه سيجعل منها “عارضة أزياء عالمية محترفة” شريطة إحداث تغيير على مظهرها، وأنه يجب عليها الحضور يوميا من أجل متابعة دروس في اللغة الفرنسية.
واعترفت الضحية، التي كانت سببا في الإيقاع بجون ميشال باروش وجماعته، بأنها كانت تسمع يوميا ضجيجا وأصواتا تنبعت من الطابق العلوي للفيلا يثبت تواجد فتيات، إلى حين أتيحت لها الفرصة بمشاهدة العديد من الفتيات لا يتعدى سنهن 20 سنة، وكان يمنحها يوميا مبلغ 5000 دينار. وأضافت بأنه بعد ذلك اقترح عليها المبيت بمسكنه فقبلت. ليلتها قدم لها قرص دواء أكد لها بأنه مسكّن للآلام، وبمجرد أن تناولته فقدت وعيها، وهي الطريقة نفسها التي استعملها مع 12 فتاة أخريات قبل اغتصابهن.
وتوبع المتهمون الثمانية، منهم المتهم الرئيسي الرعية الفرنسي جون ميشال باروش، الذي التمست له رفقة متهمين آخرين من جنسية جزائرية هما “س.أ” منتخب سابق في بلدية عنابة، فضلا عن “ب.ر” طبيب مختص في طب النساء والتوليد في هذه القضية بـ10 تهم خطيرة، منها جناية هتك العرض وإنتاج وتوزيع أفلام إباحية والتحريض على الفسق والاغتصاب وتحويل قصر وجنحة الإغراء على الفسق، إضافة إلى حيازة منزل مفروش من أجل ممارسة الدعارة وعرض بطريقة غير مشروعة مخدرات ومؤثرات عقلية على قصر بهدف الاستهلاك وجنحة الإجهاض.
عدد القراءات : 27287 | عدد قراءات اليوم : 26836
أنشر على
1 - محمد
الجزائر
2014-07-11م على 1:05
اللهم احفظ بناتنا وبنات المسلمين.
من واجبنا التنبيه بضرورة الحذر من امثاله ولجريدة الخبر الشكر على تناولها مثل هاته المواضيع لعلى وعسى تاخذ منها العبرة
2 -
2014-07-11م على 3:39
الركود السياسي بالجزائر دفع صحافتنا الموقرة للعودة لعادتها القديمة و النبش في قضايا المحاكم لملأ الصفحات
3 - mohamed hassene daouadji
algerie
2014-07-11م على 4:20
إن هذه القصة لا تختلف كثيرا عن عشرات القصص التي تحدث يوميا في بلدنا و لكن العادات و التقاليد و طبيعة المجتمع تحولا لكشف عنها لكن الملفت في هذه القصة أنه لا يمكن لهذا الشخص ان يقوم بكل هذا دون معرفة لأجهزة الأمن التي تتبع كل صغيرة و كبيرة عن الاجانب فضلا عن امكانية الجوسسة من خلال محاولة الاطاحة بمسؤولين و ابتزازهم
4 - محمد
ميلة
2014-07-11م على 5:31
عن أي لاروش وكلام فارغ تتكلمون عنه .
بل قولوا لاحظوا الفسق الذي أصاب بنات الجزائر بسبب تخلي الأولياء عن التربية .
ما معنى أغر بها والكلام الفارغ ؟
نحن في منطقتنا لما فتاة ( سواء كانت فاصرا أو غير قاصر) تتقدم لعمل تذهب رفقة أبيها أو أخيها .
أما من يترك إبنته إلى الذئاب فلا يأتي و يشتكي .
5 - الاوراس
باتنة
2014-07-11م على 9:56
الشنق للجميع
6 - rachida habani
boumerdes
2014-07-11م على 10:35
يجب تطبيق أقصى العقوبات على كل من ساهم في هذه الجرائم الفظيعة من قريب أو من بعيد إنها قضايا الشرف لو يحرق هذا الشيطان أمام الجميع ( قليل فيه ) ،استغفر الله اللهم احفظ بناتنا و أبنائنا يا رب
7 - chabeb boutabba
alerie
2014-07-11م على 10:24
الحمد لله رب العالمين
8 - ahmed.s
dz
2014-07-11م على 11:48
اقترح عليها المبيت فقبلت ...; كان يجب حبس الفتيات ايضا فهو لم يجبرهن على المبيت ,الطماع في يد الكذاب , الغريب ان عنابة اصبحت رائدة في الاجرام اين الوازع الديني اين النخوة?
9 - rabia
algerie
2014-07-11م على 11:23
يا للعار اين الرعاة
10 - عمر
لجزائر
2014-07-11م على 11:08
الامر غريب حدا فتاة تبيت عند شخص اجنبي ماذا تنتظر ات يرتل عيها صورة البقرة من المفروض ان الفتيات هن من يسحن بدلا عن هذا الشخص
11 - DOLY
2014-07-11م على 12:06
لم أكن أتصور الفتيات العنابيات بهاته السذاجة و الأهل أين هم ؟
كما أحيي شجاعة ماجدة لأنه لولا شجاعتها لاستمرت هاته العصابة في عملها بدون عقاب
12 - farid16
algerie
2014-07-11م على 12:08
كل هذا جري في بلاد العزة والكرامة !
et ce n'est que la partie visible de l'iceberg !!
13 - bragui
alger
2014-07-11م على 13:27
les fruit de bouteflika
14 -
2014-07-11م على 14:40
كل الفتياة التي يعرفهم المتهم ماهم الا فتياة مومس اي انهم يمتهن الدعارة بمقابل وهم معروفون لدى السلطاة الامنية و السكان .. كفاكم بالحديث عن الشرف و البراءة
15 - خبير
القل سكيكدة
2014-07-11م على 14:27
شكرا جزيلا لجريدة الخبر على غيرتها وعرضها لمواضيع
تخدم المواطن الجزائري ليحذر الشياطين من خبثهم و شرورهم و قد يكون بعض كبار الرؤساء و الملوك العرب يعيشون تحت التهديد لأن الأعداء يملكون ضدهم أشرطة لمناظر مخزية و لهذا نرى حكام العرب خائفين و جبناء و قراراتهم ضد الدين و ضد شعوبهم و هي لصالح الأعداء دائما و أقسم على ذلك ( فاعتبروا يا أولي الألباب
16 - عبد الله
الجزائر
2014-07-11م على 15:05
كل هذه الامور تحدث و سترون اكبر امورا اخرى اكبر منها في المستقبل نتيجة مساهمة الدولة في بعد مجتمعنا عن التعاليم الاسلامية التي تحث على القناعة بما قسم الله لكل عبد من عباده و الدليل فتح مراقص و ملاهي و مخامر ليلية و تصريحات قانونية لممارسة الدعارة ما يجعل الفتيات يتجهن الى المتاجرة باجسادهن و شرفهن للحصول على المال و تكوين ثروة هائلة في مدة وجيزة . فكل ما هو حاصل اليوم في الجزائر سببه الرئيس الحكومة الجزائرية و الاولياء . و نحن كا شعب لا يسعنا إلا أن نقول ( حسبنا الله و نعم الوكيل ) .
17 - kabyle
l'algerie libre
2014-07-11م على 15:19
bien sur c sa le resultat appel aux parents de bien edduquer leur enfants . et meme la fille est pauvre et bien eduquée personne ne peut jouer avec elle .
elkhobz walma warass fissama
-
Farid Bouchène. Vice-président de la Société algérienne de psychiatrie
800 psychiatres pour tout le pays, c’est insuffisant
le 11.07.14 | 10h00
1 réaction
|
© El Watan Weekend
Alors que la ministre de la Solidarité nationale s’inquiète d’une augmentation du nombre de personnes atteintes de troubles mentaux, Farid Bouchène, psychiatre, estime que ce nombre est stable, mais que les conditions de prise en charge des malades peuvent être améliorées.
-La ministre de la Solidarité nationale a évoqué cette
semaine une augmentation du nombre de malades mentaux. Avez-vous
constaté un tel fait ?
Non. Le nombre de personnes atteintes de troubles mentaux est plus important, mais c’est une conséquence de la démographie. La proportion reste stable. On ne peut donc pas dire que le phénomène est en augmentation. On a surtout tendance à confondre la maladie mentale et les inadaptés sociaux. Les SDF ne sont pas des malades mentaux. Toutes les personnes dans la rue ne sont pas forcément des malades. Les causes de ces problèmes sociaux sont multiples. Il s’agit du chômage, de la violence, des événements de la décennie noire, du déracinement, du démembrement des familles et de la diminution de la solidarité. Mais il ne faut pas faire d’amalgame. Les gens ont également l’habitude d’associer la violence à la maladie mentale, mais c’est une erreur, chacun de nous peut être violent, cela ne signifie pas être atteint de troubles mentaux.
-Lors d’une visite dans un centre médico-pédagogique pour enfants, la ministre s’est étonnée de l’absence de médecins. Le personnel soignant du secteur de la santé mentale est-il en effectif suffisant dans le pays ?
Aujourd’hui, il y a environ 800 psychiatres, tout mode d’exercice confondu sur le territoire national. Il n’y a donc pas assez de personnel soignant. A Laghouat par exemple, il n’y a qu’un seul psychiatre privé et un au sein de l’hôpital pour toute la wilaya. A Ghardaïa, ils sont deux à exercer dans le privé, dont l’un a perdu son cabinet dans les dernières violences, et deux à trois à l’hôpital public. Il n’y a pas suffisamment de places d’internat mais les médecins préfèrent également s’orienter vers d’autres spécialités.
-Et dans les hôpitaux ?
En 1962, l’Algérie était pourvue de 3000 lits d’hospitalisation dans le pays. Aujourd’hui, il y en a moins de 1500. C’est insuffisant pour la prise en charge. Certains malades sont censés être hospitalisés, on les retrouve alors dans la rue. Cependant, il y a des améliorations. Chaque wilaya a désormais au moins un psychiatre d’exercice privé et une vingtaine d’hôpitaux psychiatriques sont en construction. Malgré tout, la construction d’hôpitaux n’est pas l’unique solution, car les tendances de la psychiatrie moderne sont de limiter les hospitalisations. Les médecins décident d’une hospitalisation lorsque les patients peuvent représenter un danger, et même dans ces cas, on essaye de réduire la durée du séjour à l’hôpital. Plus le patient est hospitalisé, plus il est marginalisé.
Or notre objectif est de permettre sa réinsertion dans la société. La prise en charge des patients doit d’abord consister à donner un traitement pour endiguer les symptômes, les délires ou les hallucinations par exemple. Ensuite, il faut faire en sorte que le patient continue à prendre son traitement, car les médicaments utilisés en psychiatrie ont souvent des effets secondaires désagréables. Et puis il y a ce que nous appelons la psychothérapie institutionnelle qui consiste en une multiple prise en charge. Il existe ainsi des centres dans les grandes villes du pays dans lesquels un patient peut rencontrer un psychologue, une infirmière, une assistante sociale… Cette étape a pour objectif d’aider le patient à se réinsérer dans la société. Quelqu’un qui souffre d’un cancer, d’une infection, on le soigne. La maladie mentale doit être prise en charge comme les autres maladies.
-Il y a une dizaine d’années, les patients hésitaient à consulter un psychiatre, les choses ont-elles évolué ?
Oui, la psychiatrie n’est plus taboue. Il y a 10 ans, je prenais en charge des patients avec de gros troubles mentaux, qui souffraient de délires ou de troubles du comportement. Les gens attendaient que le niveau de souffrance psychique soit très élevé. Aujourd’hui, nous accueillons des patients qui souffrent d’anxiété. Ils consultent d’abord un psychologue, qui les écoute, et quand la souffrance est trop importante, ils viennent nous consulter. C’est également la mode de faire une rokia. Parfois ça marche, parce que la lecture du Coran peut provoquer un sentiment d’apaisement. Mais pas toujours.
On dit souvent que les patients en psychiatrie sont avant tout concernés par un traumatisme conséquent à la décennie noire. Qu’en est-il ?
A la fin des années 1990, 25% de mes consultations avaient un rapport direct ou indirect avec les violences de ces années-là. Aujourd’hui, je n’ai plus que quelques patients qui souffrent de syndrome post-traumatique. Il n’existe aucune étude qui permette de savoir combien d’individus souffrent encore de séquelles psychiques liées à cette période.
-Avez-vous constaté des évolutions dans les pathologies dont souffrent les patients ?
Au sein de ma consultation, il y a une augmentation du nombre de patients touchés par des pathologies liées au vieillissement, comme la démence ou la maladie d’Alzheimer. Je prends également en charge plus de troubles anxieux et notamment de phobies et de troubles obsessionnels compulsifs (TOC). Cela est le résultat des aléas de la vie contemporaine, des difficultés sociales, de l’inactivité. Nous sommes dans une période de bouleversements sociaux, ce qui peut provoquer un mal-être. Depuis quelques années, l’un des facteurs de consultation psychiatrique est également l’addiction aux drogues, que ce soit au cannabis, comme aux psychotropes ou aux drogues dures.
-Au quotidien, votre travail a-t-il changé?
Nous devons toujours être à l’écoute des patients, car c’est leur histoire, le contexte de leur souffrance psychique, qui nous permet de savoir comment les soigner. Cela implique d’être un peu psychologue, un peu psychiatre, un peu assistante sociale et même de tenter de faire le lien avec d’autres secteurs pour aider à leur réinsertion. Actuellement, nous tentons de nous former à des sur-spécialités, comme les thérapies cognitivo-comportementales ou la prise en charge des addictologies. Aujourd’hui, nous voulons approfondir les thérapies interpersonnelles qui permettent de prendre en charge la dépression. Ces formations ne sont possibles que grâce aux laboratoires pharmaceutiques.
-Les médicaments utilisés dans le traitement de troubles psychiques sont-ils disponibles ?
Les médicaments existent. Il y a même de nombreux génériques. Le seul souci que nous avons est l’absence de sel de lithium, utilisé pour le traitement des troubles bipolaires.
Non. Le nombre de personnes atteintes de troubles mentaux est plus important, mais c’est une conséquence de la démographie. La proportion reste stable. On ne peut donc pas dire que le phénomène est en augmentation. On a surtout tendance à confondre la maladie mentale et les inadaptés sociaux. Les SDF ne sont pas des malades mentaux. Toutes les personnes dans la rue ne sont pas forcément des malades. Les causes de ces problèmes sociaux sont multiples. Il s’agit du chômage, de la violence, des événements de la décennie noire, du déracinement, du démembrement des familles et de la diminution de la solidarité. Mais il ne faut pas faire d’amalgame. Les gens ont également l’habitude d’associer la violence à la maladie mentale, mais c’est une erreur, chacun de nous peut être violent, cela ne signifie pas être atteint de troubles mentaux.
-Lors d’une visite dans un centre médico-pédagogique pour enfants, la ministre s’est étonnée de l’absence de médecins. Le personnel soignant du secteur de la santé mentale est-il en effectif suffisant dans le pays ?
Aujourd’hui, il y a environ 800 psychiatres, tout mode d’exercice confondu sur le territoire national. Il n’y a donc pas assez de personnel soignant. A Laghouat par exemple, il n’y a qu’un seul psychiatre privé et un au sein de l’hôpital pour toute la wilaya. A Ghardaïa, ils sont deux à exercer dans le privé, dont l’un a perdu son cabinet dans les dernières violences, et deux à trois à l’hôpital public. Il n’y a pas suffisamment de places d’internat mais les médecins préfèrent également s’orienter vers d’autres spécialités.
-Et dans les hôpitaux ?
En 1962, l’Algérie était pourvue de 3000 lits d’hospitalisation dans le pays. Aujourd’hui, il y en a moins de 1500. C’est insuffisant pour la prise en charge. Certains malades sont censés être hospitalisés, on les retrouve alors dans la rue. Cependant, il y a des améliorations. Chaque wilaya a désormais au moins un psychiatre d’exercice privé et une vingtaine d’hôpitaux psychiatriques sont en construction. Malgré tout, la construction d’hôpitaux n’est pas l’unique solution, car les tendances de la psychiatrie moderne sont de limiter les hospitalisations. Les médecins décident d’une hospitalisation lorsque les patients peuvent représenter un danger, et même dans ces cas, on essaye de réduire la durée du séjour à l’hôpital. Plus le patient est hospitalisé, plus il est marginalisé.
Or notre objectif est de permettre sa réinsertion dans la société. La prise en charge des patients doit d’abord consister à donner un traitement pour endiguer les symptômes, les délires ou les hallucinations par exemple. Ensuite, il faut faire en sorte que le patient continue à prendre son traitement, car les médicaments utilisés en psychiatrie ont souvent des effets secondaires désagréables. Et puis il y a ce que nous appelons la psychothérapie institutionnelle qui consiste en une multiple prise en charge. Il existe ainsi des centres dans les grandes villes du pays dans lesquels un patient peut rencontrer un psychologue, une infirmière, une assistante sociale… Cette étape a pour objectif d’aider le patient à se réinsérer dans la société. Quelqu’un qui souffre d’un cancer, d’une infection, on le soigne. La maladie mentale doit être prise en charge comme les autres maladies.
-Il y a une dizaine d’années, les patients hésitaient à consulter un psychiatre, les choses ont-elles évolué ?
Oui, la psychiatrie n’est plus taboue. Il y a 10 ans, je prenais en charge des patients avec de gros troubles mentaux, qui souffraient de délires ou de troubles du comportement. Les gens attendaient que le niveau de souffrance psychique soit très élevé. Aujourd’hui, nous accueillons des patients qui souffrent d’anxiété. Ils consultent d’abord un psychologue, qui les écoute, et quand la souffrance est trop importante, ils viennent nous consulter. C’est également la mode de faire une rokia. Parfois ça marche, parce que la lecture du Coran peut provoquer un sentiment d’apaisement. Mais pas toujours.
On dit souvent que les patients en psychiatrie sont avant tout concernés par un traumatisme conséquent à la décennie noire. Qu’en est-il ?
A la fin des années 1990, 25% de mes consultations avaient un rapport direct ou indirect avec les violences de ces années-là. Aujourd’hui, je n’ai plus que quelques patients qui souffrent de syndrome post-traumatique. Il n’existe aucune étude qui permette de savoir combien d’individus souffrent encore de séquelles psychiques liées à cette période.
-Avez-vous constaté des évolutions dans les pathologies dont souffrent les patients ?
Au sein de ma consultation, il y a une augmentation du nombre de patients touchés par des pathologies liées au vieillissement, comme la démence ou la maladie d’Alzheimer. Je prends également en charge plus de troubles anxieux et notamment de phobies et de troubles obsessionnels compulsifs (TOC). Cela est le résultat des aléas de la vie contemporaine, des difficultés sociales, de l’inactivité. Nous sommes dans une période de bouleversements sociaux, ce qui peut provoquer un mal-être. Depuis quelques années, l’un des facteurs de consultation psychiatrique est également l’addiction aux drogues, que ce soit au cannabis, comme aux psychotropes ou aux drogues dures.
-Au quotidien, votre travail a-t-il changé?
Nous devons toujours être à l’écoute des patients, car c’est leur histoire, le contexte de leur souffrance psychique, qui nous permet de savoir comment les soigner. Cela implique d’être un peu psychologue, un peu psychiatre, un peu assistante sociale et même de tenter de faire le lien avec d’autres secteurs pour aider à leur réinsertion. Actuellement, nous tentons de nous former à des sur-spécialités, comme les thérapies cognitivo-comportementales ou la prise en charge des addictologies. Aujourd’hui, nous voulons approfondir les thérapies interpersonnelles qui permettent de prendre en charge la dépression. Ces formations ne sont possibles que grâce aux laboratoires pharmaceutiques.
-Les médicaments utilisés dans le traitement de troubles psychiques sont-ils disponibles ?
Les médicaments existent. Il y a même de nombreux génériques. Le seul souci que nous avons est l’absence de sel de lithium, utilisé pour le traitement des troubles bipolaires.
Parcours :
Farid Bouchène, 60 ans, fait ses études à l’hôpital Mustapha Bacha (Alger) et obtient son diplôme de psychiatre en 1983. Après un service civil à El Goléa (Ghardaïa), il exerce en tant que psychiatre privé à Laghouat de 1988 à 2006. Il est actuellement président de l’Association algérienne des psychiatres d’exercice privé et vice-président de la Société algérienne de psychiatrie.Leila Berrato
Vos réactions 1
renks frenks
le 11.07.14 | 11h22
sujet tabou
En algerie nul n est a l abri d une depression pire encore
les malades mentaux sont condamner a vivre la pluparts chez leurs
famille biensur avec l etiquette de mahboul rien n est fait du cote de l
etat pour une prise en charge de ces derniers quand ce monsieur dit
que les centres peuvent dtrd ameliofer mais de kel centres il veut
parler notre pays est en manque flagrant des centres de prise en charge
psychologique et psychatrique j ai ai l occasion de visiter 2 centres
spécialisé dans ce domaine dans les bdr franchement cest un autre monde
par rapport a drid hocine ou de blida donc a mon avis ce n est pas les
psy qui manquent chez nous c est les infrastructures chers monsieur
4 recettes pour alléger le ftour
le 11.07.14 | 10h00
Réagissez
A base d’herbes, de fruits et de légumes frais, la cuisine méditéranéenne est considérée comme l’une des plus saines au monde. Notre spécialiste nous propose quelques plats tirés du terroir algérien.
-Sardines et courgettes :
Ingrédients : 1 kg de filet de sardines, 2 grosses courgettes coupées en bâtonnets et rondelles, 2 gros oignons coupés en rondelles, 3 gousses d’ail hachées, 3 cuillères à soupe de thym frais effeuillé, 80 g environ de fromage râpé, 4 œufs battus, 1 verre et demi de lait, sel et une pincée de poivre blanc et 2 cuillères à soupe d’huile d’olive.
Préparation : chauffez 1 cuillerée à soupe d’huile dans une poêle. Ajoutez les oignons et l’ail et faire revenir 2 à 3 mn. Ajoutez les courgettes et laisser cuire 5 mn ou jusqu’à ce qu’elles soient dorées. Incorporez deux cuillerées à soupe de thym. Mettez la moitié des oignons et des courgettes au fond d’un grand plat allant au four. Garnir des filets de sardine et de la moitié du fromage râpé. Recouvrez du reste d’oignons et de courgettes et saupoudrez du thym restant. Mélangez les œufs avec le lait dans un saladier. Salez et poivrez. Versez ce mélange sur les légumes et les sardines dans le plat. Saupoudrez du reste de fromage. Cuire dans un four préchauffé à 180° (th6) 20 à 25 mn. Servir très chaud.
Conseil : Pour nettoyer les sardines, il faut les écailler au-dessus d’une passoire sous un filet d’eau. Avec le pouce et l’index, enlever la tête et les viscères puis, en glissant le long de l’arête centrale, ouvrer la sardine. Enlever l’arête, couper la queue, poser sur un papier absorbant.
-Galette aux carottes et aux graines de fenouil :
Ingrédients : 4 belles carottes, 1 c à s de graines de fenouil, 200 g de semoule moyenne, 150 g de semoule fine et 50 g de son. Un demi-verre à thé d’huile d’olive, 1 cuillère à café de levure chimique, une demie botte de menthe fraîche hachée très finement, 1 cuillère à café de sel et eau.
Préparation : lavez et épluchez les carottes et les mettre à cuire pendant 20 mn à la vapeur. Une fois cuites, mixer le tout très fin en rajoutant de l’huile d’olive, les graines de fenouil et la menthe hachée. Une fois refroidies, les mélanger à la semoule et n’oubliez pas de bien sabler la galette avec le mélange carotte, rajoutez la levure, le sel et en dernier ajoutez l’eau petit a petit jusqu’à formation d’une boule et laissez reposer environ 20 mn. Faites des abaisses de disque selon le choix plus ou moins épais. Faites dorer les deux faces, la cuisson est rapide.
Conseil : Les galettes peuvent se déguster telle quelle, avec de la chorba ou accompagnées d’un thé ou café. N’oubliez pas de bien mixer la carotte jusqu’à ce qu’elle devienne veloutée.
-Brik ou triangle au concombre :
Ingrédients : 400 g de concombre, une demie botte de persil, 8 feuilles de brik, 30 g de farine, 1 verre et demi d’huile ordinaire, 1 verre de lait, 1 verre de crème fraîche, 30 g de margarine, 1 œuf et du sel.
Préparation : pelez le concombre, coupez-le en deux dans le sens de la longueur. Retirez les graines à l’aide d’une petite cuillère. Coupez la chair en dés. Portez à ébullition une casserole d’eau salée, ajoutez le concombre, faites-le blanchir 6 mn. Egouttez-le. Le mettre dans une casserole. Ajoutez la crème fraîche, salez. Laissez mijoter sur feu doux pendant 15 mn, le concombre doit rester ferme. Retirez du feu. Faites chauffer la margarine dans une casserole à fond épais. Ajoutez la farine, mélangez puis versez petit à petit le lait sans cesser de fouetter. Laissez cuire sur feu doux pendant 20 mn. Battez l’œuf. Ajoutez le concombre et l’œuf battu à la sauce. Mettez au réfrigérateur. Etalez les feuilles de brik sur le plan de travail, répartissez la préparation refroidie. Repliez les bords des feuilles. Faites chauffer l’huile dans une poêle déposez les briks et faites-les dorer sur chaque face.
-Cocktail d’agrumes et carottes :
Ingrédients : 1 orange, 2 citrons, 4 carottes, 1 yaourt sucré ou nature, eau.
Préparation : râpez légèrement les zestes de l’orange et des citrons. Epluchez les carottes, coupez-les en deux, les mettre à cuire à la vapeur. Bien faire cuire l’orange et les citrons. Une fois cuits, coupez en morceaux pour pouvoir les mixer. Rajouter du sucre (facultatif) et de l’eau, environ 1 litre et vous pouvez y incorporer un yaourt suivant les goûts. Mettre quelques feuilles de menthe fraîche. Bien mélanger et mettre au frais.
Ingrédients : 1 kg de filet de sardines, 2 grosses courgettes coupées en bâtonnets et rondelles, 2 gros oignons coupés en rondelles, 3 gousses d’ail hachées, 3 cuillères à soupe de thym frais effeuillé, 80 g environ de fromage râpé, 4 œufs battus, 1 verre et demi de lait, sel et une pincée de poivre blanc et 2 cuillères à soupe d’huile d’olive.
Préparation : chauffez 1 cuillerée à soupe d’huile dans une poêle. Ajoutez les oignons et l’ail et faire revenir 2 à 3 mn. Ajoutez les courgettes et laisser cuire 5 mn ou jusqu’à ce qu’elles soient dorées. Incorporez deux cuillerées à soupe de thym. Mettez la moitié des oignons et des courgettes au fond d’un grand plat allant au four. Garnir des filets de sardine et de la moitié du fromage râpé. Recouvrez du reste d’oignons et de courgettes et saupoudrez du thym restant. Mélangez les œufs avec le lait dans un saladier. Salez et poivrez. Versez ce mélange sur les légumes et les sardines dans le plat. Saupoudrez du reste de fromage. Cuire dans un four préchauffé à 180° (th6) 20 à 25 mn. Servir très chaud.
Conseil : Pour nettoyer les sardines, il faut les écailler au-dessus d’une passoire sous un filet d’eau. Avec le pouce et l’index, enlever la tête et les viscères puis, en glissant le long de l’arête centrale, ouvrer la sardine. Enlever l’arête, couper la queue, poser sur un papier absorbant.
-Galette aux carottes et aux graines de fenouil :
Ingrédients : 4 belles carottes, 1 c à s de graines de fenouil, 200 g de semoule moyenne, 150 g de semoule fine et 50 g de son. Un demi-verre à thé d’huile d’olive, 1 cuillère à café de levure chimique, une demie botte de menthe fraîche hachée très finement, 1 cuillère à café de sel et eau.
Préparation : lavez et épluchez les carottes et les mettre à cuire pendant 20 mn à la vapeur. Une fois cuites, mixer le tout très fin en rajoutant de l’huile d’olive, les graines de fenouil et la menthe hachée. Une fois refroidies, les mélanger à la semoule et n’oubliez pas de bien sabler la galette avec le mélange carotte, rajoutez la levure, le sel et en dernier ajoutez l’eau petit a petit jusqu’à formation d’une boule et laissez reposer environ 20 mn. Faites des abaisses de disque selon le choix plus ou moins épais. Faites dorer les deux faces, la cuisson est rapide.
Conseil : Les galettes peuvent se déguster telle quelle, avec de la chorba ou accompagnées d’un thé ou café. N’oubliez pas de bien mixer la carotte jusqu’à ce qu’elle devienne veloutée.
-Brik ou triangle au concombre :
Ingrédients : 400 g de concombre, une demie botte de persil, 8 feuilles de brik, 30 g de farine, 1 verre et demi d’huile ordinaire, 1 verre de lait, 1 verre de crème fraîche, 30 g de margarine, 1 œuf et du sel.
Préparation : pelez le concombre, coupez-le en deux dans le sens de la longueur. Retirez les graines à l’aide d’une petite cuillère. Coupez la chair en dés. Portez à ébullition une casserole d’eau salée, ajoutez le concombre, faites-le blanchir 6 mn. Egouttez-le. Le mettre dans une casserole. Ajoutez la crème fraîche, salez. Laissez mijoter sur feu doux pendant 15 mn, le concombre doit rester ferme. Retirez du feu. Faites chauffer la margarine dans une casserole à fond épais. Ajoutez la farine, mélangez puis versez petit à petit le lait sans cesser de fouetter. Laissez cuire sur feu doux pendant 20 mn. Battez l’œuf. Ajoutez le concombre et l’œuf battu à la sauce. Mettez au réfrigérateur. Etalez les feuilles de brik sur le plan de travail, répartissez la préparation refroidie. Repliez les bords des feuilles. Faites chauffer l’huile dans une poêle déposez les briks et faites-les dorer sur chaque face.
-Cocktail d’agrumes et carottes :
Ingrédients : 1 orange, 2 citrons, 4 carottes, 1 yaourt sucré ou nature, eau.
Préparation : râpez légèrement les zestes de l’orange et des citrons. Epluchez les carottes, coupez-les en deux, les mettre à cuire à la vapeur. Bien faire cuire l’orange et les citrons. Une fois cuits, coupez en morceaux pour pouvoir les mixer. Rajouter du sucre (facultatif) et de l’eau, environ 1 litre et vous pouvez y incorporer un yaourt suivant les goûts. Mettre quelques feuilles de menthe fraîche. Bien mélanger et mettre au frais.
Pour des assises de la culture en Algérie
le 11.07.14 | 10h00
2 réactions
Timidement annoncées sur le site internet du ministère de la Culture,
les «Rencontres de la ministre de la Culture avec le monde de la culture
au cours du mois de Ramadhan» sont presque passées inaperçues. Dans la
présentation de ces rencontres, on pouvait lire que ces dernières
visaient à «établir un dialogue direct entre la ministre et ses
collaborateurs et les acteurs des différents secteurs d’activité
culturelle et artistique». L’information, et malgré son caractère
presque discret, dirions-nous, a très vite fait le tour des réseaux
sociaux, et ceci, à peine deux jours avant la fermeture des inscriptions
pour assister aux rencontres prévues au Palais de la culture à Alger.
Avant même leur lancement, des acteurs culturels de l’intérieur du pays ont dénoncé le caractère centralisé de l’initiative. D’autres ont tout simplement annoncé leur boycott. Si ces réactions démontrent que le fossé entre plusieurs acteurs culturels et le ministère est grand et qu’il faut donc aller les reconquérir dans leurs régions respectives, ces réactions prouvent surtout que ces rencontres sont trop importantes pour qu’elles soient improvisées, même s’il s’agit «principalement de commencer à faire ensemble un premier état des lieux du secteur concerné, d’identifier les principaux problèmes, et les urgences, de proposer des solutions», comme on peut toujours le lire dans le document de présentation.
Victimes de leur succès, des réactions négatives qu’elles ont suscitées et de l’improvisation, les rencontres ont été annulées, officiellement, suite au décès de l’artiste Abdelhamid Aroussi ! Bref. Même si, certes, à travers ces rencontres la ministre actuelle reconnaît l’existence de problèmes hérités de l’ancienne gestion catastrophique et qu’un état des lieux doit être établi, il reste qu’il faut inscrire ces rencontres dans un projet global et structurant qu’on appelle communément «assises de la culture».
Les assises de la culture sont une démarche participative entre le ministère, les citoyens, les associations et les professionnels du secteur, elles permettent, en plusieurs mois, de partager des expériences, de confronter des idées, de faire des propositions à travers des ateliers, de débats et de conférences. Le fruit de cet exercice collectif permet de livrer un document qui présente les grandes orientations qui guideront la politique culturelle nationale.
Avant même leur lancement, des acteurs culturels de l’intérieur du pays ont dénoncé le caractère centralisé de l’initiative. D’autres ont tout simplement annoncé leur boycott. Si ces réactions démontrent que le fossé entre plusieurs acteurs culturels et le ministère est grand et qu’il faut donc aller les reconquérir dans leurs régions respectives, ces réactions prouvent surtout que ces rencontres sont trop importantes pour qu’elles soient improvisées, même s’il s’agit «principalement de commencer à faire ensemble un premier état des lieux du secteur concerné, d’identifier les principaux problèmes, et les urgences, de proposer des solutions», comme on peut toujours le lire dans le document de présentation.
Victimes de leur succès, des réactions négatives qu’elles ont suscitées et de l’improvisation, les rencontres ont été annulées, officiellement, suite au décès de l’artiste Abdelhamid Aroussi ! Bref. Même si, certes, à travers ces rencontres la ministre actuelle reconnaît l’existence de problèmes hérités de l’ancienne gestion catastrophique et qu’un état des lieux doit être établi, il reste qu’il faut inscrire ces rencontres dans un projet global et structurant qu’on appelle communément «assises de la culture».
Les assises de la culture sont une démarche participative entre le ministère, les citoyens, les associations et les professionnels du secteur, elles permettent, en plusieurs mois, de partager des expériences, de confronter des idées, de faire des propositions à travers des ateliers, de débats et de conférences. Le fruit de cet exercice collectif permet de livrer un document qui présente les grandes orientations qui guideront la politique culturelle nationale.
Ammar Kessab : Expert en politiques culturelles
Vos réactions 2
Wabnitz Oscar
le 11.07.14 | 12h35
Tout est à faire...
En Algérie c'est toujours comme çà depuis quelques années!
Les assises de la culture, il en faudrait dans chaque région ou grandes villes comme vous le dîtes elle permettraient aux asso, aux artistes, aux directeurs de salles de festivals, de rencontres...de se parler de parler de leurs arts, de leurs situations etc...
Il faut prendre comme exemple les villes de Toulouse et Strasbourg où il y a reu des assises de la culture. les in fos setrouvent sur les sites de ces villes.
Mais il faut aussi qu'àprès les assises, il y ait un document avec l'existant, ce qui est à consolider, à créer et les moyens à mettre en oeuvre pour y arriver...
si à Toulouse, il y avait beaucoup à créer à faire et je pense que la municipalité socialiste de Pierre Cohen s'est mis au travail, il n'en est pas de même à Strasbourg où le budget de la culture est important, où la région Rhénane est riche en activités culturelles ( opéra, TNS, TJP et une multitude de salles )assez budgétivores étouffe le reste des associations qui ont du mal à s'en sortir.
Les assises de la culture à Strasbourg ont été un flop total, j'y ai participé complètement et en y organisant un café culture sur le thème de l'école de musique dans la cité...
en ce qui concerne le ministère, il faudrait déjà qu'il sache où aller ?
j'ai aussi participé le 23 juin 2014 à un colloque au Sénat à Paris sur le thème:"Les défis de l'éducation artistique et culturelles pour tous de la maternelle à l'université".Disponible sur le site de l'OPC ( Observatoire des Politiques Culturelles ) à Grenoble
Les problèmes existent partout, ce qui est interréssant c'est de choisir dans quel sens aller, puis y aller!
Le ministère de la culture doit aussi prendre en considération les travaux entrepris par tous les Algériens où qu'ils soient afin de profiter de leurs expériences, utiles pour s'orienter...En Algérie tout est à faire où refaire!
La dernière fois que j'ai participé à un évènement sur la culture, en Algérie c'était à l'invitation de Monsieur Lamine Béchichi ( je le salue )à l'occasion du congrès de musique Arabe, Alger de février 1981 ( en compagnie de Mounir Baschir, Monsieur El Bacha de la radio du Liban etc...) puis plus rien.
Les assises de la culture, il en faudrait dans chaque région ou grandes villes comme vous le dîtes elle permettraient aux asso, aux artistes, aux directeurs de salles de festivals, de rencontres...de se parler de parler de leurs arts, de leurs situations etc...
Il faut prendre comme exemple les villes de Toulouse et Strasbourg où il y a reu des assises de la culture. les in fos setrouvent sur les sites de ces villes.
Mais il faut aussi qu'àprès les assises, il y ait un document avec l'existant, ce qui est à consolider, à créer et les moyens à mettre en oeuvre pour y arriver...
si à Toulouse, il y avait beaucoup à créer à faire et je pense que la municipalité socialiste de Pierre Cohen s'est mis au travail, il n'en est pas de même à Strasbourg où le budget de la culture est important, où la région Rhénane est riche en activités culturelles ( opéra, TNS, TJP et une multitude de salles )assez budgétivores étouffe le reste des associations qui ont du mal à s'en sortir.
Les assises de la culture à Strasbourg ont été un flop total, j'y ai participé complètement et en y organisant un café culture sur le thème de l'école de musique dans la cité...
en ce qui concerne le ministère, il faudrait déjà qu'il sache où aller ?
j'ai aussi participé le 23 juin 2014 à un colloque au Sénat à Paris sur le thème:"Les défis de l'éducation artistique et culturelles pour tous de la maternelle à l'université".Disponible sur le site de l'OPC ( Observatoire des Politiques Culturelles ) à Grenoble
Les problèmes existent partout, ce qui est interréssant c'est de choisir dans quel sens aller, puis y aller!
Le ministère de la culture doit aussi prendre en considération les travaux entrepris par tous les Algériens où qu'ils soient afin de profiter de leurs expériences, utiles pour s'orienter...En Algérie tout est à faire où refaire!
La dernière fois que j'ai participé à un évènement sur la culture, en Algérie c'était à l'invitation de Monsieur Lamine Béchichi ( je le salue )à l'occasion du congrès de musique Arabe, Alger de février 1981 ( en compagnie de Mounir Baschir, Monsieur El Bacha de la radio du Liban etc...) puis plus rien.
Bravo et merci
Voila une initiative que nous devons encourager, tant il est
vrai que toute culture, au sens large du terme, constitue LE FONDEMENT
DE L'ACTIVITE HUMAINE, qu'elle soit de nature religieuse, scientifique,
philosophique, ou autre. Nous autres Algériens qui avons connu
l'avènement raté de notre indépendance, ainsi que les affres de la
décennie noire,avons, plus que jamais, besoin de redécouvrir notre
propre culture, d'où nous pourront puiser nos propres valeurs et
principes qui nous guideront dans la vie. Ainsi pourront-nous RESISTER à
toute tentative de dépersonnalisation et échapper, ainsi, aux grands
prédateurs qui ont tissé leur toile meurtrière à travers le monde.
Batna : L’auteur des lettres anonymes condamné
le 09.07.14 | 10h00
1 réaction
Une affaire abracadabrante que celle de l’employé de la banque algérienne de développement rural (BADR) de Batna et qui a connu son dénouement lundi passé.
La Cour de justice a retenu 4 ans de prison ferme à l’encontre de Amara
Madhi Nouredine, la quarantaine, pour avoir tenté de salir plusieurs
personnalités en leur envoyant des lettres anonymes avec des chèques
comportant des sommes faramineuses et libellés à leurs noms. Il s’agit
entre autres du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, du wali de Batna,
du chef de sûreté de wilaya et de l’ex-président de la Cour suprême. Les
raisons de ces velléités restent sans réponse puisque le mis en cause a
nié en bloc les faits qui lui sont reprochés : vol, imposture,
falsification de documents bancaires et diffamation à l’encontre d’une
employée dans la même agence bancaire.
L’enquête entreprise par les services de police a d’abord opté pour la graphologie, pour ensuite faire appel à l’analyse de l’ADN contenue dans la salive qui a servi à coller les timbres et fermer les enveloppes. Confronté aux échantillons pris sur tous les employés de la banque, il a été établi que c’est bel et bien de lui qu’il s’agissait.
L’enquête entreprise par les services de police a d’abord opté pour la graphologie, pour ensuite faire appel à l’analyse de l’ADN contenue dans la salive qui a servi à coller les timbres et fermer les enveloppes. Confronté aux échantillons pris sur tous les employés de la banque, il a été établi que c’est bel et bien de lui qu’il s’agissait.
Lounes Gribissa
Vos réactions 1
L'échotier
le 11.07.14 | 11h13
C'est
une façon assez originale pour dénoncer la corruption car les
personnes visées sont les vrais remparts contre toute tentative de
lutte contre la corruption. Ce monsieur est victime du système. Ce n'est
pas lui que l'on doit embastiller mais ceux qui ont reçu les lettres.
https://www.youtube.com/watch?v=zQsiZxw4M1E
Viaduque de la ville de constantine, Le pond géant, état d'avancement - YouTube
http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/travaux-publics/il-sera-inaugure-le-16-avril-2014-09-09-2013-165111_295.php
Transrhumel de Constantine
Il sera inauguré le 16 avril 2014
Abonnez-vous au flux RSS des articles
09 sept. 2013
20:19
Le chantier du Transrhumel a constitué le deuxième point de la visite de travail et d’inspection du ministre des travaux publics Amar Ghoul aujourd’hui à Constantine.
Les travaux avancent de manière palpable et avec un rythme appréciable selon le ministre qui a affirmé que ce pont géant sera ouvert à la circulation en 2014 et que son inauguration officielle sera festive en choisissant la date symbolique du 16 avril pour fêter l’événement.Le taux d’avancement de ce projet dépasse les 70% pour le lot ouvrage et 50 % pour le lot route. Amar Ghoul a annoncé que plusieurs autres autoroutes seront réalisées afin de raccorder directement ce viaduc avec l’aéroport Mohamed Boudiaf et l’autoroute Est-Ouest.
Les travaux de réalisation d’une autoroute devant relier le pont géant à celle Est-Ouest seront donc lancés vers la fin de l’année en cours, selon le directeur des travaux publics (DTP) de la wilaya, Djamel Bouhamed.
Il s’agit en fait de la réalisation d’une liaison autoroutière sur 5,5 km dans un délai de 15 mois avec l’engagement d’une enveloppe financière de 9 milliards de dinars par la même entreprise de réalisation, soit l’entreprise brésilienne Andrade Guterrez avec la collaboration de l’entreprise nationale des grands ouvrages d’art ENGOA. Cette liaison joindra le viaduc à l’échangeur d’El Meridj, dans la daïra d’El Khroub.
M.E.H
نا صحفي ، إذاً أنا موجود
#البراويل_يبكي||>
كاميرا كأس العالم تركز على فتاة قبل وبعد النكسة .. من الفرحة إلى البكاء !!
كاميرا كأس العالم تركز على فتاة قبل وبعد النكسة .. من الفرحة إلى البكاء !!
http://bazoga.over-blog.com/article-photo-la-balustrade-endommagee-du-pont-sidi-rached-enfin-restauree-79489302-comments.html#anchorComment
Vendredi 15 juillet 2011
Cliquez sur la pho
Commentaires
Commentaire n°1
posté par
minariss
le 15/07/2011 à 12h43
Commentaire n°2
posté par
bibos
le 15/07/2011 à 15h25
Dimanche 20 février 2011
Commentaires
الجزائر الأولى عربيا بـ 4 جنرالات و7 وزيرات
مختصون يرون أن ترقية 3 نساء لرتبة جنرال في الجيش الجزائري، يعتبر في حد ذاته مؤشراً على حجم الانفتاح في مؤسسة حساسة كالجيش.
تحتل الجزائر المرتبة الأولى عربيا فيما يتعلق بإدماج النساء بمؤسسات الدولة ومناصب المسؤولية، خصوصاً بعد ترقية رئيس الجمهورية عبد العزيز بوتفليقة، لثلاث نساء إلى رتبة لواء، ليرتفع عددهن إلى أربع بعد تلك التي تمت ترقيتهن في 2010.
واعتبر مختصون في الشأن أن قرار ترقية 3 نساء لرتبة جنرال في الجيش الجزائري، يعتبر في حد ذاته مؤشراً على حجم الانفتاح في مؤسسة حساسة كالجيش.
مختصون يرون أن ترقية 3 نساء لرتبة جنرال في الجيش الجزائري، يعتبر في حد ذاته مؤشراً على حجم الانفتاح في مؤسسة حساسة كالجيش.
تحتل الجزائر المرتبة الأولى عربيا فيما يتعلق بإدماج النساء بمؤسسات الدولة ومناصب المسؤولية، خصوصاً بعد ترقية رئيس الجمهورية عبد العزيز بوتفليقة، لثلاث نساء إلى رتبة لواء، ليرتفع عددهن إلى أربع بعد تلك التي تمت ترقيتهن في 2010.
واعتبر مختصون في الشأن أن قرار ترقية 3 نساء لرتبة جنرال في الجيش الجزائري، يعتبر في حد ذاته مؤشراً على حجم الانفتاح في مؤسسة حساسة كالجيش.
https://ar-ar.facebook.com/anasohofi
https://www.youtube.com/watch?v=DW5fsjvZiAI
Constantine (Notre futur 1 ère partie) 1 قسنطينة مستقبلنا الجزء
https://www.youtube.com/watch?v=neTri1_TN78
Le pont Sidi Rached s'éffondre
http://sitesavisiter.com/s?as=foto&fp=655639
http://www.skyscrapercity.com/showthread.php?t=1437169&page=3
http://article.wn.com/view/2011/08/12/Probable_fermeture_du_pont_de_SidiRached/
http://far-maroc.forumpro.fr/t3661p120-decouvrir-le-maghreb-discover-the-maghreb
...tajine les excuses quoi !
Cela dit, il est clair que si nos "élus" faisaient un tour sur votre blog chaque matin, ils auraient déjà une feuille de route pour améliorer le quotidien des constantinois.
En vous remerciant pour cette initiative, j'apprécie vraiment le blog!
@+