الثلاثاء، فبراير 11

الاخبار العاجلة لاكتشاف الجزائريين بوادر الحرب الجنسية السياسية بين العشائر الجزائرية والقبائل الاعلامية علىاجساد نساء السلطة الجزائرية والاسباب مجهولة

اتهمه بالفساد ونهب اموال الشعب والمثلية الجنسية

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سعيد بوتفليقة يرفع دعوة ضد هشام عبود
الاثنين 10 فيفري 2014 الخبر أونلاين


قرر سعيد بوتفليقة الأخ الشقيق للرئيس ومستشاره الخاص رفع دعوى قضائية ضد الصحافي هشام عبود، الضابط السابق في الاستخبارات، والذي اتهمه بـ "الفساد"، وذلك حسب موقع "تي أس أ" المهتم بالشأن الجزائري، وقال الموقع إنه تلقى رسالة من سعيد بوتفليقة يؤكد من خلالها قراره رفع دعوى ضد عبود، معتبرا "اتهاماته" بأنها "خطيرة" وأنها "موجهة لكافة الشعب الجزائري وبالتالي فإنه مسؤول أمامه".

"جزائر بوتفليقة: نهب وعيب وفساد"

وهذه أول مرة يتحدث فيها شقيق الرئيس بصورة رسمية منذ تولي عبد العزيز بوتفليقة الرئاسة في 1999. وغالبا ما تتحدث الصحافة الجزائرية عن سعيد بوتفليقة على أنه "مستشار في الرئاسة من دون وظيفة رسمية". وحتى عبود في رسالته التي نشرها "تي أس أ" خاطبه مستخدما كلمة "المستشار الخاص عبد العزيز بوتفليقة".  وكان الموقع نشر الأحد رسالة قال إن عبود بعثها لسعيد بوتفليقة في 6 فيفري طالبا منه التعليق على معلومات رصدها في إطار تأليفه كتابا يحمل عنوان "جزائر بوتفليقة: نهب وعيب وفساد"، وتتهمه بالتورط في عدة قضايا فساد أبرزها "[شركة النفط] سوناطراك وخليفة والطريق السريع شرق-غرب". وقال عبود مخاطبا سعيد بوتفليقة: "كثيرون يشهدون بأنك متورط بكبرى قضايا (فساد) مثل سوناطراك والطريق السريع شرق-غرب وفيليب موريس وخليفة.. ما يشكل دليلا على إفلات شكيب خليل [وزير الطاقة السابق المقرب من الرئيس] وعمر غول [وزير النقل الحالي ووزير الأشغال العمومية السابق] عن القضاء.

سعيد بوتفليقة و"المثلية الجنسية"

وفي رسالته التي نشرها موقع "تي أس أ"، يقول هشام عبود لسعيد بوتفليقة إنه يريد منه توضيحات حول معلومات بحوزته ومفادها أن شقيق الرئيس الجزائري قد "مارس علاقات جنسية مثلية مع دبلوماسي مغربي" عندما كان طالبا في فرنسا. وكان القضاء الجزائري حظر صحيفتي "جريدتي" الناطقة بالعربية ونسختها بالفرنسية "مون جورنال"، التي يملكها هشام عبود، في ماي 2013 بعد نشرهما ملفا حول "تدهور صحة" الرئيس بوتفليقة الذي كان يعالج يومها في مستشفى "فال دو غراس" في باريس. كما أنه تم فتح تحقيق قضائي ضد عبود بسبب إدلائه بتصريحات لوسائل إعلام "أجنبية" منها "فرانس 24 " قال فيها إن الرئيس الجزائري نقل إلى "فال دو غراس" "في حالة غيبوبة عميقة".
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1 - amir
london
2014-02-10م على 13:57
في زوج كيف كيف اكبرو شويا
2 - مراد
الجزائر
2014-02-10م على 13:41
الله يرحم الشهداء تحيا الجزائر
3 -
2014-02-10م على 13:47
لقد دخلنا في مسلسل تبادل التهم والمحاكمة يروح ضحية الشعب والوطن لقد صدق محمد صلى الله في قوله اناس من جلدتنا ويتكلمون بألسنتنا , سيخرجون في فترة من التاريخ الاسلامي , كما بينه الحديث الصحيح الذي رواه الشيخان البخاري ومسلم : عن حذيفة بن اليمان
4 - العاتري
الشرق الجزائري
2014-02-10م على 13:40
هذه أول مرة يتم فيها ذكر الأشياء بمسمياتها وبطريقة مباشرة ..اذ أن أخو الرئيس الذي اختفى قبل الحراك العربي خوفا من يصيبه ما أصاب عائلة بن علي ...ولكن بعذ استتباب الأمن عاد من جديد يعمل في الخفاء ومن وراء جحاب ليستعأضر بالحكم ولو على حساب وحدة البلاد...وما يعداني الا بوق من أبواق السعيد ...
5 - AHMED
BECHAR
2014-02-10م على 13:51
حرام عليك
6 - سليم
الجزائر
2014-02-10م على 14:17
الله يصلح حال المسلمين.
7 - hamid
alger
2014-02-10م على 14:50
je soutiens les homme comme aiboud,ncahhallah ytih said bouteflika
8 - محمد
كند
2014-02-10م على 14:37
بدأة الحرب و الله غير السعيد راه وراء كل شئ الان لان الريس غائب و شبه ذالك
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Des plaques de zinc, volées à Constantine, récupérées à Aïn M'lila
par A. E. A.
La brigade de gendarmerie de Ouled Rahmoune a reçu, le 30 janvier dernier, la représentante juridique de l'APC de la même commune venue déposer une plainte contre X, suite au vol de plusieurs plaques de zinc du cimetière municipal et a déclaré ne pas avoir connaissance ni de leur nombre ni de la date de l'acte en question.

Par la suite, la brigade a reçu une communication téléphonique des éléments de la sûreté d'Aïn M'lila, faisant état de l'interception d'une voiture de marque Mazda couverte qui transportait des plaques de tôle de zinc et à bord de laquelle se trouvaient trois individus habitant la ville d'El-Khroub. Les gendarmes se sont alors rendus le même jour à Aïn M'lila pour récupérer les individus impliqués, à savoir BK, BO et HC âgés respectivement de 20, 22 et 44 ans.

Ces derniers seront arrêtés et lesdites plaques de zinc récupérées. Au cours de l'interrogatoire, les suspects ont reconnu avoir transporté les plaques du cimetière de Ouled Rahmoune à Aïn M'lila pour les revendre. Présentés au parquet compétent d'El-Khroub, pour association de malfaiteurs, de vol qualifié commis de nuit, ils ont été placés en détention préventive.

Par ailleurs, les gendarmes de la wilaya de Constantine ont mené plusieurs opérations coups-de-poing et ont arrêté 10 individus, impliqués dans des affaires de port d'armes prohibées et de drogue (09 écroués et un seul a bénéficié de la liberté provisoire.) Il est noté l'exemple de l'affaire traitée par les gendarmes de Messaoud Boudjeriou, qui ont arrêté trois dealers en possession de 19 comprimés psychotropes aux alentours d'un restaurant de ladite commune.
Après Toufik, attaques contre Saïd Bouteflika : Où va l'Algérie ?
par Yazid Alilat
Sur la scène médiatique nationale, de graves jacqueries politiques, sur fond de guerre de l'ombre, sont offertes, sur un plateau, au peuple, à deux mois et quelques jours de l'élection présidentielle, d'avril prochain. Après donc la charge de Amar Saâdani, secrétaire général du FLN, contre le patron des Services de sécurité algérien, le général de corps d'Armée Mohamed Mediène dit «Toufik», voilà que surgit une autre attaque, frontale et violente, contre un des personnages les plus importants, au sommet de l'Etat, Said Bouteflika, frère cadet du président et conseiller spécial à la présidence de la République.

Hichem Aboud, journaliste et écrivain, ancien patron des quotidiens, aujourd'hui, interdits «Mon Journal» et «Jaridati», compte publier un livre sur la famille Bouteflika et leur passage au pouvoir. C'est sous le titre de «L'Algérie des Bouteflika: vol, vice et corruption» que Hicham Aboud, qui a déjà publié un livre sur «La mafia des généraux», compte intituler son second ouvrage. Mais, l'insolite est que Aboud a rendu publiques quelques passages de ce livre, en les envoyant, tout simplement, au frère du président, Said, pour «qu'il confirme certaines informations le concernant» et contenues dans un chapitre qui lui est consacré dans cet ouvrage. Aboud, dont le quotidien «Mon Journal» a été interdit et lui-même objet de poursuites judiciaires, après avoir annoncé que le Président Bouteflika avait été évacué dans un état comateux, à Paris, en avril dernier, écrit dans sa lettre, transmise à Said Bouteflika via les services de la présidence de la République: «apportant les dernières touches à un ouvrage littéraire que je consacre à l'Algérie, sous le régime des Bouteflika, j'ai recueilli une masse d'informations et de témoignages, vous concernant. Dans leur quasi-totalité, ces informations ne vous sont guère favorables». «Aussi, le chapitre qui vous est consacré comporte certaines informations relatives à votre enfance, votre vie d'étudiant et votre vie familiale», poursuit-il dans cette lettre reprise par le site d'informations TSA. Sur le volet de la corruption, Aboud écrit que «ils sont nombreux à témoigner que vous êtes impliqué dans les plus grosses affaires dont celle de Sonatrach, l'autoroute Est-Ouest, Philippe Morris et bien d'autres. C'est ce qui explique l'impunité dont jouissent les Chakib Khelil, Amar Ghoul et consorts. Vous seriez, également, impliqué dans l'affaire Khalifa et vous touchez sur les gros marchés, dont ceux des grands travaux routiers, confiés à l'ETRHB dont vous avez fait du patron, Ali Haddad, un associé de facto qui vous verse plus de 50% de ses bénéfices». Selon cette missive reçue par Said Bouteflika, il est questionné par Hicham Aboud qui lui demande: «pouvez-vous nous dire quelle a été la note de l'hôtel Meurisse qui a abrité votre famille, durant le séjour hospitalier de votre frère à Paris ? Certaines sources indiquent que vous aviez gonflé la note d'un commun accord avec le patron de l'établissement pour détourner une bonne somme, qui s'élèverait à près d'un million d'euros que vous avez placé dans une banque suisse. À propos des banques suisses, des sources proches de votre entourage estiment votre fortune avec celle de votre frère président à plus de neuf milliards de francs suisses». Au site TSA, Aboud précise que son livre sur les Bouteflika «n'est pas un livre à charge ! C'est un bilan des 15 ans de règne du Président. Un livre pour faire connaître sa personnalité, sa famille et son entourage». Pour écrire son livre, Aboud, ancien officier du DRS, affirme s'être déplacé au Canada, au Maroc et en France, notamment, pour mener ses investigations. « J'ai été voir tous ceux qui ont connu Bouteflika et sa famille depuis son enfance jusqu'à maintenant. C'est un livre qui est fait sur la base des témoignages recueillis». Hichem Aboud compte publier cet ouvrage «probablement, après l'élection présidentielle et quel que soit le résultat. Pour que personne ne l'exploite. Enfin, pour que ça ne fasse pas le jeu de certains», affirme-t-il toujours, au site TSA. Hicham Aboud a été accusé d'atteinte à la sécurité de l'Etat, après avoir publié des informations sur l'état de santé du Président Bouteflika, lors de son évacuation à Paris, au mois d'avril 2013. Il a été même interdit de sortie du territoire national, et avait, à la suite de ces tracasseries, affirmé que «c'est Said Bouteflika qui dirige le pays». Le frère du président, qui a été, également, accusé de comportements immoraux et de trafic de drogue, a confirmé, dimanche, avoir reçu cette lettre et ordonné qu'elle soit publiée intégralement, en dépit de la gravité des accusations rapportées par Aboud, pour «prendre l'opinion publique à témoin». «J'ai reçu cette lettre et j'ai décidé de la rendre publique intégralement», affirme-t-il, jugeant «inacceptables » les accusations de Hicham Aboud, contenues dans cette lettre.

« Les accusations portées dans cette lettre sont tellement graves qu'elles ne touchent plus uniquement à ma personne, mais portent atteinte à tout un peuple qui n'accepterait pas que le frère du Président puisse avoir de tels comportements», dit-il, avant d'annoncer que «je ne vais pas me taire et (je vais) porter plainte contre Hicham Aboud que je n'ai jamais eu à connaître ». Voulant clore, immédiatement, cette parenthèse, Said Bouteflika affirme qu'il ne va pas répondre à Hicham Aboud «considère qu'il est comptable devant le peuple algérien».

AVANT ABOUD, SAADANI

Curieusement, cette diatribe, sinon ces accusations graves contre la famille Bouteflika, et donc contre la hiérarchie directe de l'Etat algérien, interviennent, non seulement, en pleins préparatifs de la présidentielle d'avril 2014, mais, surtout, après un semblant de retour du calme après la tempête médiatique déclenchée par le «patron» du FLN contre celui de la toute puissante sécurité militaire. On se rappelle que Amar Saadani avait, dès le début du mois de novembre dernier, envoyé une première salve contre le général Toufik. Contre le patron du DRS, il avait notamment assuré refuser «l'interférence de la sécurité intérieure dans les affaires du parti. Nous l'invitons à s'occuper des questions sécuritaires. La place des militaires est dans la caserne. Que fait un colonel au Sénat ? De quel droit assiste-il aux réunions du Comité central d'un parti ? » avait-il déclaré à un site électronique algérien. «Je l'ai dit et je le répète. Aucun département n'a le droit de s'impliquer dans la vie politique, la justice et la presse. Il faut en finir avec le pouvoir parallèle», a-t-il, encore, ajouté. Il a par ailleurs, relevé, en faisant un bilan du DRS, que «ce service a multiplié les échecs. Malheureusement, au lieu de s'occuper de la sécurité du pays, ce département s'est occupé des affaires des partis politiques, de la justice et de la presse». A mon avis, Toufik aurait dû démissionner après ces échecs«, a-t-il indiqué. Et puis, Saâdani, en pleine tempête au plus haut sommet de l'Etat, ajoute: «je milite pour la séparation des pouvoirs. Pour un Etat civil. Je dis, par contre, que si un mal m'arrive, ce sera l'œuvre de Toufik».      

Du côté du DRS, une information laconique est donnée: il y aura plainte devant la justice algérienne contre les propos de Saâdani, contre le DRS et son patron. Bien sûr, la société civile et plusieurs partis politiques ne sont pas restés insensibles à cette guerre de tranchées, même si leur réaction a été, quelque peu, lente, et qui a globalement pris faits et cause pour... le patron du DRS. L'épisode des graves accusations contre la famille Bouteflika, dans cette guerre feutrée, par presse interposée était-il programmé ?

Le Transrhumel sera-t-il achevé dans les temps ?
par A. Mallem
A l'approche de l'échéance d'avril 2014, au vu du défilé de ministres qui viennent visiter les chantiers en cours dans la ville des ponts et à l'écoute des informations rapportées par les médias à propos des retards enregistrés par les projets inscrits dans le programme, les citoyens constantinois ne cessent de poser des questions et de se demander si tous les délais annoncés seront respectés. Et à l'évidence, le chantier du Transrhumel qui ne peut passer inaperçu tant il est situé en plein centre-ville, devant le regard de tous, occupe la majorité des discussions. Et à ce sujet, l'achèvement de ce projet est entouré d'un mystère total ces derniers temps. Mystère accentué par le rythme des travaux sur le pont qui, visiblement, semble avoir ralenti d'une façon considérable. Aussi, au moment où les autorités concernées, y compris le maître d'œuvre, la DTP, se murent dans un silence équivoque, des ouvriers et des cadres, s'exprimant sous le sceau de l'anonymat, ne cessent de tirer la sonnette d'alarme sur le «coup d'arrêt qui a été, selon eux, imprimé à certaines parties de l'ouvrage, notamment la finition du tablier du pont où il reste uniquement quelque 4 mètres à terminer pour relier l'ensemble de l'ouvrage. Et dans cette atmosphère, la rumeur s'installe. «Les Brésiliens ont stoppé tout parce que, paraît-il, ils n'ont pas été payés par les services gouvernementaux concernés», disent les uns. «Non, c'est un mauvais calcul d'ajustement qui fait que la dernière partie du pont n'a pas été reliée», affirment les autres, en se prévalant d'informations sûres recueillies auprès d'ingénieurs algériens travaillant sur le chantier. Mais, assurément, la plus grande inquiétude est celle qui règne auprès du collectif de travailleurs algériens dont le nombre se réduit comme une peau de chagrin. «Hier seulement, 90 ouvriers locaux ont été mis en congé d'office», nous a déclaré hier lundi un cadre algérien travaillant sur le chantier, en rappelant le cas des 120 ouvriers, dont les contrats ont expiré il y a une vingtaine de jours, laissés sur le carreau. Vont-ils reprendre le travail à la fin du congé? «Au vu des travaux qui restent encore à accomplir, je ne pense pas», a considéré notre interlocuteur qui a requis l'anonymat. Et il nous a demandé avec insistance de nous rendre sur place pour effectuer «une enquête et prendre des photos», en assurant que, maintenant, les ouvriers portugais ramenés par la société brésilienne Andrade Guttierez sont plus nombreux que leurs collègues algériens. «Ceci, sans parler de ceux qui travaillent dans l'administration et qui sont aussi nombreux», ajoute-t-il. Pour être fixés sur toutes ces informations, nous avons demandé audience hier au directeur des travaux publics (DTP), M. Bouhamed. Ce dernier nous a reçus dans son bureau, mais il s'est dit désolé de ne pouvoir nous donner la moindre information sur le chantier, du moins pour ce jour-là qui était réservé à la réception du public (!). «Revenez un autre jour et on pourra discuter longuement du chantier du pont Transrhumel», a promis le DTP. Le chef de la section syndicale, lui non plus, n'a pas voulu s'exprimer, malgré notre insistance, et nous a donné rendez-vous «pour bientôt», a promis aussi M. Soualmia. Et le mystère ne fait que grandir en laissant libre cours à la rumeur publique. «Vous voyez bien que tout le monde, y compris le syndicat, veut garder le silence ! », ont rétorqué à la fin des cadres algériens du chantier en guise de commentaire.

وصل سعر حلاقة الشعر 200دج والذقن إلى 100دج

أسعار حلاقة الرجـــــــــــــال تلتـــــهب

 



تفاجأ مواطنو مدينة عنابة من الزيادات المدهشة المتوالية في ظرف زمني وجيز في أسعار حلاقة الرجال   في مختلف أحياء المدينة على غرار ،حي لاكولون، وسط المدينة احياء الجهة الشمالية ،حي الصفصاف.... الذي قفز به سعر حلاقة الشعر في بعض المحلات الى 200 دج وحلاقة الذقن «اللَحية» 100دج،أما عن سعر حلاقة الاطفال فوصل الى 150دج.بينما تبقي الاسعار متضاربة في البلديات المجاورة حيث عبر عدد من المواطنين ممن إلتقت بهم «آخر ساعة» في الأحياء السالفة الذكر عن مدى تفاجئهم بزيادة سعر حلاقة الرجال  المتوالية في فترة وجيزة حيث قال بعض المواطنون انهم منذ شهر تقريبا كانت اسعار حلاقة الشعر لا تتعدى 150 دج وحلاقة الذقن 70 دج، متسائلين حول هذه الاخيرة هل هي زيادات قانونية أم انها زيادات عشوائية؟ ، بينما  ذهب مواطنون اخرون للتعليق عن هذه الزيادات بقولهم «حتى الحفافة زادت» في اشارة منهم الى الزيادات الاخيرة في بعض المواد الغذائية مثل مسحوق الحليب ....، بينما أرجع بعض الحلاقين السبب في غلاء ادوات  ومواد الحلاقة بالإضافة الى غلاء اسعار ايجار المحلات ناهيك عن التكاليف التي تثقل كاهلهم على غرار الضرائب وغيرها، وللاستفسار اكثر حول الموضوع اتصلنا بالأمين الولائي للتجار والحرفيين بعنابة «موسى قشي» الذي استنكر هذه الزيادات وقال يجب ان تكون هذه الزيادات  مدروسة وفق شروط قانونية ،ولا تكون عشوائية مشيرا الى ان هناك هئيات مختصة في المراقبة وتحديد الاسعار .وتجدر الاشارة أن هناك بعض المحلات تنعدم بها أدنى شروط النظافة .

مازوز بوعيشة

Une assemblée générale extraordinaire est convoquée pour aujourd’hui

Le FCE sommé de se prononcer sur le 4e mandat !

Par : Meziane Rabhi
L’organisation patronale tient aujourd’hui une assemblée générale extraordinaire pour décider de soutenir ou non Abdelaziz Bouteflika pour un 4e mandat. Sauf que le premier concerné ne s’est pas encore prononcé.
Le Forum des chefs d’entreprise, qui organise aujourd’hui une assemblée générale extraordinaire à l’hôtel El-Aurassi, va-t-il s’exprimer en faveur d’un 4e mandat pour le président Bouteflika ? En tout cas, les pressions dans ce sens ne manquent pas, affirment nos sources. Pour rappel, en décembre dernier, interrogé lors du “Direct” de la Web radio de Maghreb Emergent, Réda Hamiani avait indiqué qu’en tant que président du FCE, il s’appuie sur les organes de l’association. “Le moment venu, on va convoquer l’assemblée générale. On va procéder à un vote, comme on l’a fait en 2004. C’est la seule façon de donner une tendance à notre mouvement”, avait-il précisé. Réda Hamiani rappelle que le choix initial de l’organisation, à sa création, “était de dire que le forum n’a pas à s’impliquer dans des joutes électorales et des soutiens accordés aux uns et aux autres”. Pour lui, “c’est une question logique. C’est une question personnelle”. Mais “curieusement, certains membres du forum ont estimé le contraire”, avait-il indiqué. En 2009, le FCE de Réda Hamiani avait déjà soutenu la candidature de Bouteflika. À l’époque, le FCE avait apporté “à l’unanimité de ses membres son soutien total” à la candidature du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, pour un troisième mandat. Dans un communiqué, la plus importante organisation patronale avait expliqué que la candidature de Abdelaziz Bouteflika “confortera les objectifs communs d’approfondissement du progrès économique et social de la nation”.
Les membres du FCE, qui ont eu à débattre de la situation économique du pays, ont relevé “avec satisfaction, les réalisations enregistrées dans le cadre du programme présidentiel de relance économique, notamment la création de richesses et d’emplois”. Mais le contexte de cette année 2014 est différent de celui qui a prévalu en 2009. D’abord le premier concerné, Abdelaziz Bouteflika, ne s’est pas encore prononcé sur sa candidature. Par la suite, il n’y aurait pas de consensus sur sa candidature, contrairement aux trois précédents mandats. Le président du FCE, même s’il avait indiqué préférer attendre que Bouteflika se prononce sur son éventuelle candidature pour un 4e mandat, et soumettre la décision finale de le soutenir ou pas à l’approbation des organes de l’association patronale, a défendu la politique menée par le président de la République. “À l’heure actuelle, la politique menée par le président Bouteflika nous convient, hormis la règle des 51/49 et l’introduction de la lettre de crédit pour les importations”, avait-il affirmé. “Le pragmatisme de Sellal, l’ouverture économique, la concertation nous conviennent. Le problème, la traduction sur le terrain se fait attendre”, a-t-il ajouté, relevant l’absence de grandes divergences en matière de programme. “Il y a beaucoup d’avancées qui nous satisfont”, a soutenu M. Hamiani.
“Si un programme pareil est maintenu en l’état, on ne va pas jouer dans l’opposition politique”, a-t-il prévenu. Le président du FCE a été au moins écouté sur la lettre de crédit. Le gouvernement vient de rétablir la remise documentaire comme second moyen de paiement des importations avec le crédit documentaire, dont l’instauration en 2009 n’a pas permis une régulation optimale des opérations du commerce extérieur. Mais pour le reste, ses suggestions ne sont pas prises en compte et certaines décisions du gouvernement surprennent, parce que les patrons ne sont pas consultés.

M R

ali 10-02-2014 15:06
merci cher ami salem tu as vraiment tout dit en quelques mot et de quelle belle maniére
 
 
#6 Idaouribet... 10-02-2014 15:03
Et voici le ridicule algérien dans toute sa splendeur!!!
Rien n'échappe à la brosse dans ce bled y compris les patrons qui apparemment,eux aussi sont crés sur mesure à l'image du régime!!
Tout ce qui bouge ou essaie de bouger un peu sur la scène nationale est une création du pouvoir qui a interdit l'existence de tout ce qu'il n a pas créé lui et uniquement lui tout seul !!!
Le gouvernement actuel de la Tunisie a publié récemment un livre appelé((livre noir)) dans lequel il souligne que ben Ali a créé tous les comités et tous les partie politiques y compris ceux de l'opposition pour les manipuler à sa guise le moment voulu !!!
Même scénario en Algérie et pire,l'organisa tion patronale est une création du régime...alors, BON SOUTIEN,Mrs les patrons au 4ème mandat du président dans l'ignorance totale de la volonté du concerné...dema in ça sera le tour des habitants d' AL ALIA d'apporter leur soutien à Bouteflika!!!
 
 
#5 Guest 10-02-2014 14:19
Mr Hamiani, comment débattre la question du soutien ou non au 4e mandat quand vous ne savez même pas si l'intéressé a l'intention de se presenter comme candidat. Vous dites que sa politique vous satisfait. doit-on comprendre qu'elle vous arrange personnellement ou que c'est la meilleure pour le pays. Avez-vous connaissance des programmes économiques des autres candidats et partis?
 
 
#4 Salem 10-02-2014 12:30
Un jour, un homme que tout le monde croyait fou, s'est rendu dans un cimetière où on le voit gesticuler devant chaque tombe en criant : "réveillez-vous !!! allez debout ! je sais que vous n'êtes pas morts puisque les vivants qui sont on ne peut plu morts que vous, attendent toujours votre retour !!!! " Comme quoi, les fous ne sont pas toujours ceux qu'on croit, et surtout, n'est pas fou qui veut en ce bled où même les patrons des morts vivants, vivent par les morts et pour les morts. Qu'est-ce-que tu ne nous fais pas faire, soupe de la rente quand tu nous tiens !!! Sacrés vivant va !!!
 
 
#3 LE PATRIOTE 10-02-2014 12:03
Bonjour,
Avec 98% de PIB de la rente des hydrocarbures. Je ne vois pas à quoi il sert le FCE SI c’est pour le FORUM DES CHEFS DE BRADERIES, et avec ces entreprise de produits manufacturés, qui importe toute la matière première de l’étranger :agroalimentair e, chimie alimentaire, chimie industrielle, machines ext…pour façonné soit disant une production nationale qui est en réalité 100% étrangère et encourage l’émergence des entreprise étrangère de gestion alors que dans les année 70 ont étais le fleurant de l’Afrique et des pays arabe et même du tiers monde…fermé districh pour importer de la camelote chinoise !!!!!!!!!!!!!!!!
Ou bien faire appel à des sociétés de catering étrangère pour préparer du COUSCOUS et de la RECHTA a la sonatrach … ;)))) !!!!!!!!!!!!!!! !!! OU VA CETTE PAUVRE ALGERIE ????????????????????!!!!!!!!!!!!!!! !!!!
 
 
#2 BERBERE 10-02-2014 11:12
" le premier concerné ne s’est pas encore prononcé". Sauf que,
« Qui ne dit mot consent " dit l'adage .
Bouteflika n'a ni besoin de voter pour lui, et encore moins d'être candidat pour être Président.
En 2009, il a jeté son bulletin de vote à la poubelle. Ce qui ne l'a pas empêché d'être élu. Fini les faux-semblants pour amuser la galerie. Depuis qu'il s'est taillé une constitution à la hauteur de ses ambitions, il est Président à vie!
Toute l’agitation du sérail autour de sa candidature n'est que de la courtisanerie.
Ses attaques contre les forces vives de l’armée visent à pérenniser le pouvoir de sa dynastie. C’est une bataille de succession qui ne remet pas en cause le trône du monarque sur l’Algérie jusqu’à sa mort.
 
 
#1 SUPER-TIGRE 10-02-2014 10:07
MOI JE CONSEILLERAIS AU PATRON DE LA F C E QUIL FERAIT MIEUX DE SOCCUPER DE SES AFFAIRES DE TEXTILES ET NON PAS DE LA POLITIQUES !!! EN ETRAINANT LES CHEF DENTREPRISES QUI SONT TRES BIEN TRAITER PAR LE POUVOIR ACTUELLE
 
 
Culture Lundi, 10 Février 2014 09:50 Facebook Imprimer Envoyer Réagir

ZOHRA DRIF-BITAT RÉAGIT AUX PROPOS POLÉMIQUES DE YACEF SAÂDI

“Ces lettres, c’est très clairement des lettres écrites par l’action psychologique”

Par : Sara Kharfi
La Semaine culturelle de l’Anep — qui se poursuivra jusqu’au 13 février prochain au centre culturel Mustapha-Kateb — s’est ouverte, hier matin, avec une conférence-débat de la moudjahida Zohra Drif-Bitat, qui a évoqué ses mémoires parues aux éditions Chihab, et qui a surtout réagi aux attaques portées contre elle par Yacef Saâdi qui l’accusait d’avoir rédigé et envoyé deux lettres à Hassiba Ben Bouali, lui demandant de se rendre à l’Armée française.

Au cours d’une conférence organisée, hier matin à Alger, Zohra Drif-Bitat a réagi aux accusations portées contre elle par le chef de la Zone autonome, Yacef Saâdi, concernant deux lettres qu’elle aurait écrites en septembre 1957 à Hassiba Ben Bouali, et dans lesquelles elle lui aurait demandé de se rendre à l’Armée française. La moudjahida a tenu à préciser que concernant ces deux lettres “que deux historiens français ont publiées en 2004 alors qu’elles n’étaient pas mises à la disposition du public”, elle a été la première en Algérie à en parler, puisqu’elle en parle vers la fin de son ouvrage, Mémoires d’une combattante de l’ALN. Zone autonome d’Alger (éditions Chihab, novembre 2013). “Ces lettres font partie des archives de l’Armée française qui se trouvent à Vincennes, et ces archives-là ne pouvaient être rendues publiques que 50 ans après, c'est-à-dire en 2012. Et jusqu’en 2012, il fallait des autorisations spéciales avec des conditions spéciales ; ceux à qui on donnait les autorisations n’avaient le droit ni de les photocopier ni de les réécrire. C’est une historienne, Mme El- Korso, qui m’a donné ces détails ; je ne suis pas historienne et je ne suis pas allée aux archives de Vincennes”, a expliqué Mme Drif-Bitat. Et d’ajouter : “Elle m’a expliqué qu’elle avait ces lettres depuis déjà trois ou quatre ans. Et elle m’a dit où elle les a trouvées. Mme El-Korso l’a dit publiquement dans une intervention au quotidien El Khabar et dans une contribution très large à Liberté. Elle dit : j’ai vu, j’ai trouvé ces deux lettres dans une boîte portant la mention ‘Action Psychologique’.” La conférencière a fait savoir que Mme El-Korso a trouvé, en plus des deux lettres, “les restes de papiers que j’avais brûlés — on préparait une grande manifestation de femmes pour protester contre la torture, la mort, etc. Et au moment où ils sont venus nous arrêter, nous étions dans un abri où on laissait nos archives, donc il y avait les noms de ces femmes”. Toujours à propos de ces deux lettres, Mme Drif-Bitat a relevé que l’une des nombreuses contradictions relatives à ces lettres est que “je ne peux pas avoir écrit à Hassiba alors que je n’étais pas arrêtée et que nous vivions ensemble tous les jours, tous les soirs et que c’était pour un travail que je me trouvais dans la maison de Fatiha Bouhired, et que Hassiba et Ali se trouvaient en face”, d’autant que dans leur livre, Mohamed Harbi et Gilbert Meynier disent que “ces lettres, dont ils publient le contenu, auraient été écrites probablement l’une le 18 et l’autre à la mi-septembre, alors que les historiens ont comme règle la rigueur”. Et de soutenir : “Le 18 et la mi-septembre, j’étais en liberté et j’étais avec Hassiba, avec Ali, avec le Ptit Omar, avec Mahmoud (Allah Yerhamhoum), et je ne vois pas pourquoi, alors que j’étais en liberté, j’aurais écrit à Hassiba pour lui dire de se rendre aux Français.” Pour Zohra Drif-Bitat, le contenu de ces lettres révélé est “la preuve de ce qui a été la cause de la destruction, de la chute de la Zone autonome, et qui s’est étendu à la Wilaya III et à la Wilaya IV, et que l’Armée française avait appelé Bleuite”.
Elle estimera d’ailleurs que l’opération Bleuite a commencé à Alger, et que si elle condamne certains “Bleu-de-chauffe”, “il y a eu certains frères qui ont été torturés à mort et qui ont été retirés de la mort pour précisément les mettre en bleu-de-chauffe et les sortir dans La Casbah, arme psychologique, pour dire aux gens : voilà vos moudjahidine, ils sont tous là, ils travaillent pour nous. Je pense en particulier à Ali Fertchoukh, ‘Alilou’, qui a été un grand moudjahid, et qui a été arrêté alors que cela faisait plus de trois mois qu’il avait été mis en veilleuse parce qu’il était recherché par toutes les polices de France, parce qu’il était l’un des collaborateurs les plus proches du responsable de la Zone autonome d’Alger. Et quand Alilou a été arrêté, il ne savait absolument plus rien de l’évolution de la Zone autonome. Ils l’ont torturé de manière à ce qu’il ne meurt pas.” Selon Mme Drif-Bitat, “la Bleuite a démarré de La Casbah, ils l’ont commencée avec nous, et quand ils ont détruit la Zone autonome, ils ont continué dans la Wilaya III et la Wilaya IV”.
Et de conclure : “Ces lettres, c’est très clairement des lettres écrites par l’action psychologique qui était un département important.” Revenant sur le chapitre écriture de l’histoire et ce qui est considéré par beaucoup comme la faillite dans l’écriture de l’histoire, l’oratrice a souligné que pour écrire l’Histoire, “il faut toujours un certain recul et il faut sortir des anecdotes”, relevant que dans son ouvrage, elle raconte son “expérience”.  “Mon expérience est tributaire du lieu où j’ai fait cette expérience et du moment — 1956/1957, où, pour la première fois, la question algérienne a été posée au niveau de l’ONU, un moment où les responsables de notre action voulaient l’internationalisation du problème algérien”, a-t-elle signalé. Pour elle, “l’Histoire, pour son écriture, demande quand même un certain recul et elle a besoin d’avoir des documents pour être le plus précis des réalités qu’on veut rendre, pour dire comment les choses se sont passés.
Il y a des règles à travers le monde pour, précisément, garantir l’objectivité de l’écriture de l’Histoire. Il y a des lois dans tous les pays du monde pour mettre les archives sous séquestre pour des périodes plus où moins longues, selon la nature de l’archive (30, 50 et même 100 ans). Parce que les États pensent à leur pays, à l’intégrité de l’État et du pays, et à éviter de créer des fractures en révélant certaines choses, et c’est la preuve que tous les pays façonnent leur Histoire”. Au début de la conférence, Mme Drif-Bitat a évoqué ses mémoires, et les raisons qui l’ont poussée à les écrire, relevant qu’elle voulait rendre compte “de ce que j’ai vu, ce que j’ai entendu, ce que j’ai vécu”.
S K



oness 10-02-2014 15:34
La fameuse bleuite dont vous parlez a décimé surtout la wilaya 3 car Amirouche a manqué de discernement. Elle a atteint également la wilaya 4 de si M'hamed. La wilaya 2 de Ali Kafi fut épargné car le commandement de cette wilaya ne s'est pas fait avoir par les services psychologiques du colonisateur. On aimerait connaitre les raisons des différentes attitudes de ces wilayas historiques.
 
 
#2 moh touil 10-02-2014 12:18
Bravo mme vous nous avez libéré de la plus féroce oppréssion de ce siecle.L'orsque j'entends ces individus d europe parler de valeurs; je comprends qu ils furent plus féroces que les yennes.
 
 
#1 Khelil 10-02-2014 11:33
si on va remettre en cause les archives du destructeur francais. alors comment va t-on faire. eh bien tout simplement c'est de verifier cette lettre
par un specialiste des ecries. comparer l'ecriture de cette dame avec la lettre en question comme ça ou pourrais se prononcer
 
 
توعده بالطرد من شركة الخطوط الجوية الجزائرية
والي معسكر يهين قائد طائرة في وهران
الثلاثاء 11 فيفري 2014 وهران: ل. بوربيع





 وجهت مديرية الخطوط الجوية الجزائرية، أمس الأول، استفسارا لقائد الطائرة “ع. م”، حول ما حدث في رحلة باريس شارل ديغول نحو وهران ليوم السبت 25 جانفي الماضي، وهذا بعد تلقيها تقريرا من والي ولاية معسكر.

وتعيش أسرة الطيارين في شركة الخطوط الجوية الجزائرية غليانا هذه الأيام، بعد حادثة تلك الرحلة على الساعة التاسعة ليلا، في مركز العمليات بمطار السانية بوهران، عندما دخلها والي معسكر، أولاد صالح زيتوني، يبحث عن ربان الطائرة، وهو في حالة من الهيجان. ويروي قائد الطائرة “ع. م” لـ”الخبر” ما حدث له بأسف كبير: “لقد لاحظ زملائي في مطار شارل ديغول، قبل أن نقلع نحو وهران، شابين يحملان خمس حقائب كبيرة الحجم في رواق الطائرة، ولما قالوا لهما إنه يجب أن يضعا حقائبهما في الحيز المخصص للأمتعة، رفضا بحجة أنهما حجزا في المرتبة الأولى”، كما يقول قائد الطائرة. ويضيف: “تدخلت لإقناعهما بأنهما مخالفان للقانون، ورفضت استدعاء مصالح أمن المطار الفرنسي، مثلما كان يجب أن أفعل. ورغم كل محاولاتي إلا أنهما أصرا على ترك حقائبهما في الرواق. وأكثر من ذلك تصرف أحدهما معي ومع زملائي بطريقة غير محترمة”.

وعندما وصلت الطائرة إلى مطار وهران في حدود الثامنة والنصف ليلا، “جاءت سيارة تابعة للقاعة الشرفية للمطار وامتطاها الشابان. وتوجهت مع زملائي إلى مركز العمليات لإنهاء إجراءات الرحلة. وبعد حين دخل شخص في قمة الغضب، يبحث عن الربان، فقلت له أنا هو. فرد علي بأنه والي ولاية معسكر وأنني لم أحترم ابنه. وحاولت أن أشرح له ما حدث. إلا أنه تمادى في الصراخ، ووصل إلى حد تهديدي بأن يجرني في الأرض وتوعدني بالطرد من شركة الخطوط الجوية، ناهيك عن الألفاظ النابية التي أسمعها إيانا وكنا سبعة أشخاص، ومعنا مسؤول الرحلات بمطار وهران”. علما أن القانون يمنع أي مدني من الوصول إلى مركز العمليات.

ولقد تأكدت “الخبر” أن مصالح أمن مطار وهران الثلاث لم تحرر تقارير بخصوص هذه الحادثة، لكون الإدارة الجهوية لشركة الخطوط الجوية الجزائرية لم تقدم تقريرا حولها. ومع ذلك فإنها تثير سخطا كبيرا في صفوف الطيارين عموما ونقابتهم، ومستخدمي هذه الشركة في مطار وهران.

ويؤكد قائد الطائرة “ع. م” الذي دخل أمس من رحلة من الخارج، أنه سيجيب عن استفسار إدارة شركته ويدعمه بشهادة زملائه الذين كانوا معه في الطائرة والعاملين في مطار وهران.

الحامة بوزيان سكان حي 1 نوفمبر ينتظرون التفاتة من السلطات المحلية
يعاني سكان حي 1 نوفمبر 1954 ببلدية الحامة بوزيان بقسنطينة من مشكل تدهور وضعية الطرقات المؤدية للحي وهذا بالنظر إلى كثرة الحفر والبرك ،إذ يصعب على أصحاب السيارات تجاوزها . وهو مشكل أضحى يؤرقهم حسب تصريحاتهم للجريدة الجمهور وهذا في ظل غياب الزيارات الميدانية للمسئولين المحليين . فالداخل لحي 1 نوفمبر بذات البلدية يندهش من كثرة الحفر و البرك بالرغم من الشكاوي المقدمة للمجلس الشعبي البلدي لبلدية الحامة بوزيان من أجل اتخاذ الإجراءات اللازمة ،لكن لغاية كتابة هذه الأسطر لم يحرك المسؤولون ساكنا . ومن جهة أخرى أعرب سكان الحي عن تذمرهم الشديد اتجاه هذه الوضعية المزرية حيث سئموا من الحفر وانتقدوا الوضعية وخاصة في فصل الشتاء التي تتحول إلى برك مائية .هذا ما يعرقل السير الحسن للمرور و يجعلهم يتعرضون لأعطاب تصيب سياراتهم . للعلم أن هذا الحي ظهر للوجود في سنة 1993 ولم يعرف الصيانة منذ فترة طويلة . ع.د



أستهوى القطريون وأقبلوا على صيده
الاماراتيون يطلقون 1000 طائر حبار في سماء البيض هذا الخريف

> بلواسع.ج
11-02-2014
* 1793 طائر دعّم به المركز الإماراتي لتكاثر الحبار الطبيعة بالبيض بين 2012 و 2013
* سعر بيضة الحبّار يتجاوز 3000 دينار والفرخ 7000 دينار

    
كثرالحديث خلال السنوات الأخيرة عن  أهمية طائر الحبار وكيفية تكاثره ببلدية الأبيض سيدي الشيخ بولاية البيض وتهاف الأجانب عليه قصد السياحة وكذا إستغلاله في إطار الإستثمار كما هو الشأن بالمركز الإماراتي لتكاثر طيور الحبار الذي أنجز بالأبيض سيدي الشيخ ..هذه الطيور النادرة عرفت إنقراضا ملحوظا خلال السنوات الأخيرة من القرن الماضي لاسيما فترة التسعينيات إلى هذه الألفية والحبار طيور برية تعيش بالمناطق شبه الصحراوية تحديدا على مستوى شمال إفريقيا يكثر تواجدها بمصر،المغرب ،ليبيا وخصوصا الجزائر أي بالجنوب الغربي الصحراوي ونظرا لأهمية منطقة الأبيض سيدي الشيخ التي إحتضن موقعها الإستراتيجي إنشاء مركز لتكاثر طيور الحبار بموجب قرار وزاري مشترك بين وزارة الفلاحة ووزارة الموارد المائية ،وزارة المالية تحت رقم 330 المؤرخ في 20 جانفي 2006 وكذلك بقرار ولائي لترخيص منح قطعة ارض في إطار الإمتياز لصالح المركز الإماراتي لتكاثر طيور الحبار.

يعمل المركز جاهداً على المحافظة على طيور الحبار المهددة بالإنقراض بالجزائر لاسيما بمناطق الجنوب الغربي والعمل على إنشاء أماكن لتربية وتفقيس ورعاية هذه الطيور والأهمية البالغة التي يجسدها هذا المشروع (المركز ) وتنويع الأبحاث العلمية لخريجي الجامعات والمعاهد حول تكاثر الحبار ولقد زاره الكثير من الدكاترة والطلبة من جامعة الأغواط وبوزريعة وغرداية.. لهدف إنجاز مذكرات علمية في هذا الجانب ،علاوة على توفير مناصب شغل وكذا نقل الخبرات للسكان المحليين وهذا حسب ما أشار إليه رئيس إقليم الغابات بالأبيض سيدي الشيخ السيد (م.ج) من خلال حديثه مع جريدة الجمهورية الذي قدم لنا شروحات قيمة ومحدودة حولضرورة حماية شتى أنواع الطيور والحيوانات النادرة والمهددة بالإنقراض بالجهة..و في هذا السياق أكد محدثنا أنه خلال الدوريات لاسيما قبل سنة 2005 لاحظوا تراجعاً كبيراً لأهم أنواع الحيوانات والطيور التي كانت تزدهر بها مناطق دائرة الأبيض سيدي الشيخ على غرار المناطق الأخرى منها الغزال ـ الريم   والكودري ...وطيور "القطا" والصقور ،الحبار..

* مجهودات وتخصص
ويرجع المختصون لتراجع التكاثر الطبيعي لهذه الحيوانات والطيور إلى عدة عوامل منها عبث الإنسان ثمّ موجة الجفاف التي ضربت المناطق شبه الصحراوية خلال أكثر من عقدين من الزمن لاسيما السنوات الأخيرة من القرن الماضي أما مشروع المركز الإماراتي لتكاثر طيور الحبار فله أهمية كبيرة في عودة هذه الطيور إلى صحراء منطقة الأبيض سيدي الشيخ على وجه الخصوص التي تعد محطة كبيرة لهذا التنوع البيولوجي مما جعلها منطقة سياحية بإمتياز ولقد كانت بداية إنطلاق تكاثر طيور الحبار بالمركز علميا خلال سنة 2006 .. وتجدر الإشارة إلى أنّ المشروع إعتمد في أول مراحله على تجنيد فرق مختصة وكذا تشجيع المواطنين على جلب طيور الحبار من الصحراء وجمع بيوضها وأعشاشها من الطبيعة أي من المراعي وكذلك جمع فراخ الحبار حيث وصل سعر البيضة 3000 دج والفرخ الواحد  7000 دج وهذه الإستراتيجية كانت ناجحة لتشجيع المواطنين لاسيما سكان البدو الرحل كمساهمة فعالة في إنجاح مشروع مركز تكاثر طيور الحبار بالأبيض سيدي الشيخ وهذه الحملات ساهمت بقدر كبير في إنطلاق عمل المركز الذي بدأ بحوالي 240 حبارة تم جمعها من الصحراء حيث سهر خبراء ومختصون أجانب على إنطلاق دراسة وتحضير تكاثر هذه الطيور النادرة بالمركز وبعد 3 سنوات تم إطلاق كمرحلة أولى في عمر هذا المركز ما يزيد عن 495 طير من الحبار بصحراء الأبيض سيدي الشيخ سنة 2009 وهذا بعد مراعاة الموقع الإستراتيجي لإطلاق طيور الحبار بالصحراء جنوبا كالكلأ وتوفر عدد من المعطيات ،المناخ الملائم للطيور ،الأمن الى جانب خلوّ المكان من البدو الرحل وكذلك من تحركات المواطنين في الصحراء لتجنب صيده وهذا من اجل حماية الحبار ومساعدته على الطيران خلال مرحلة الإطلاق التي تكون صعبة من أجل تنقل أسراب الحبار بحرية تتبع بحملات مراقبة واسعة في الصحراء من قبل مصالح الغابات منهم مختصون حتى يتمكن الحبار من أن يعيش وينتشر بالصحراء.

* نتائج راقية
وقد يحدث وأن تتكاثر الطيور طبيعيا ولقد أكد لنا محدثنا أنّه عند عملية الإطلاق توضع بأرجل هذه الطيور علامات نحاسية (خلاخل ) وذلك للتفرقة بين الحبار المتكاثر عن طريق المركز والحبار المتكاثر طبيعيا خلال دوريات المراقبة التي تتم في الكثير من الأوقات وقد تم إطلاق 800 طير حبار في الصحراء كمرحلة ثانية سنة 2012 وبعد سنة تمّت المرحلة الثالثة أي في 2013 كما تم إطلاق 993 طير حبار ولا تزال العمليات متواصلة ومتزايدة سنويا في الأعداد المتكاثرة وكثيرا ما تتم هذه العمليات خلال كل فصل خريف أي أثناء شهر سبتمبر ..
وحسب رئيس إقليم الغابات هناك تحضيرات كبيرة لإطلاق عدد أكبر من طيور الحبار كمرحلة رابعة خلال الخريف القادم يفوق عددها 1000 طير ذلك أنّ مشروع مركز تكاثر طيور الحبار أعطى نتائجاً جيدة مشجعة في ظرف وجيز من خلال الأرقام المعطاة ميدانيا ومن خلال هذه الأهداف المحققة ..منطقة الأبيض سيدي الشيخ بحاجة إلى إنشاء محميات ومراكز مماثلة قصد حماية الحيوانات الأخرى المهددة بالإنقراض كثروة الغزال منها نوع الريم والسوين ..وبغض النظر عن الحيوانات الأخرى التي تراجعت أعدادها بشكل ملحوظ على وجهة البيئة .وفي الأخير لقد حاولنا زيارة المركز الإماراتي لتكاثر طيور الحبار ،طلبت منا إدارته تقديم طلب رسمي إلى المدير العام لمركز تكاثر طائر الحبار بحيدرة (الجزائر العاصمة ) وقدمنا الطلب لكننا إنتظرنا طويلا لمدة أكثر من 15 يوما  ولم نتمكن من أي رد أو إجابة لإجراء تحقيق ميداني حول تكاثر هذه الطيور من اجل تنوير الرأي العام حول هذا المشروع...و نلمس عديد الانتقادات حول إقدام الأجانب وخاصة القطريون على صيد طائر الحبار خاصة عندما تحلق الصقور لاصطياد كل ما هو طائر الى جانب الأرانب والثعالب بالصحراء.

* التوازن البيولوجي
وتتكاثف جهود الكثير من المختصين والجمعيات والسكان الذين يعرفون ما تجود به صحراء الأبيض سيدي الشيخ على مدار السنين بالتنسيق مع المصالح المعنية والمختصة وأعيان المنطقة إلى جانب تحفيزات الدولة ستساهم بقدر كبير في عودة التوازن البيولوجي الذي كان مزدهرا بمناطق ولاية البيض قبل سنوات الجفاف.. وعلى هذا السياق أضاف رئيس إقليم الغابات بان هذه المناطق الصحراوية تعرف إنتعاشة من حيث الغطاء النباتي مقارنة بالسابق ومن المعروف بان مناطق ولاية البيض كانت تشتهر خلال العقود الماضية وتزخر بمواقع بيولوجية وطبيعية نظرا لشساعة مساحتها لاسيما تنوع الحيوانات البرية والطيور النادرة بإفريقيا خصوصا طيور الحبار والقطا ..الأمر الذي جعل هذه الأخيرة محطة أنظار الأجانب منهم الأماراتيين الذين قام بعضهم  بالإستثمار في تكاثر طيور الحبار بالأبيض سيدي الشيخ التي تعد من اكبر المناطق من حيث التنوع في ثروة الحيوانات و الطيور التي معظمها إنقرضت خلال السنوات الماضية   بسبب الجفاف والصيد العشوائي وقلة الإهتمام بالصحاري والمراعي والبراري بمناطق ولاية البيض من حدود ولاية بشار إلى ولاية الأغواط وغرداية والنعامة مما إضطر بالكثير من الجمعيات إلى دقّ ناقوس الخطر لحماية الثروة الحيوانية المهددة بالإنقراض وحسب ما اشار إليه الكثير من كبار المنطقة في وقت سابق فمثلا قطعان الغزلان كانت ترعى على مشارف مدينة الأبيض سيدي الشيخ علاوة على الطيور مثل القطا و الحبار، الحجل ...

أما خلال السنوات الأخيرة فقد أصبحت الطيور بالأبيض سيد الشيخ حكايات يتداولها السكان وأصبح المواطن بالأبيض سيدي الشيخ يسمع حكاية عن الطيور مثلها مثل جميع الحيوانات التي مرت على المنطقة ومرت من هنا وعاشت الدهر البعيد بصحراء الجنوب .. وفي سياق متصل أكدت جمعية الصيادين بالأبيض سيدي الشيخ بان معظم الطيور تراجعت بشكل ملحوظ مقارنة بالسنوات الماضية نظرا لقلة الإهتمام وبسبب الصيد العشوائي وكذلك تراجع نشاط معظم الجمعيات الناشطة في مجال حماية الطيور لأسباب عدة منها وجود الأجانب الذين يمنعون السكان المحليين بالتجوال في الكثير من المراعي ويجوبون بكل حرية صحراء البيض من وادي صقر إلى أقصى جنوب الولايات الجنوبية كتندوف وبشار الأمر الذي جعل الرأي العام المحلي ينتقد هذه التصرفات ويطالب بوضع حد لتنقل النشطاء المحليين على مستوى منطقة الأبيض سيدي الشيخ التي كانت صحاريها تعج بشتى أنواع الطيور والحيوانات النادرة كالغزال .. وأهم ما تطالب به   بعض الجمعيات هو تأسيس مجموعة للدرك الوطني في الصحاري كما كان الشأن خلال العقود الماضية من اجل حماية الثروة الحيوانية والطيور خاصة مراقبة تنقل المواطنين سواء كانوا رعاة أو ضيوف الجزائر في عملية إطلاق أسراب طيور الحبار تتزامن سنويا مع حلول وفود القطرين بصحراء البيض الأمر الذي ترك الكثير من علامات الإستفهام بالمنطقة .



Zohra Drif : « J’ai écrit ce livre pour que les jeunes puissent mettre un contenu dans le mot colonisation »

 

Zohra Drif dédie son livre-témoigage : «Mémoires d’une combattante de l’ALN… », pour « la jeunesse algérienne qui est l’avenir de ce pays ». Paru en janvier 2014, le livre se veut avant tout d’après son auteure « un récit vivant de ce qu’était la colonisation ».

 L’auteure a donc voulu rendre compte de la réalité quotidienne telle que vécue  par les « indigènes ». À l’époque, les algériens ne jouissaient d’aucun statut et surtout  « nous étions rien » insiste Zohra Drif qui veut peut être à travers son livre faire prendre conscience aux jeunes algériens de la valeur de leur passé et donc de leur pays et surtout rafraichir les mémoires sur un passé  douloureux  où la négation faisait endurer aux algériens le pire.
Nous avons rencontré Zohra Drif Bitat au centre culturel Mustapha Kateb à Alger où dimance 9 février, elle a organisé une séance de vente-dédicace à l'occasion de la parution de son livre «Mémoires d’une combattante de l’ALN… »:

Hamida Mechaï
 
 
Vos réactions 6
Juba II   le 10.02.14 | 19h40
Rappelez les fi-fi de 1945 des dernières
Je fais seulement référence aux FFI Français de 1945 de la dernière minute qui avaient semés la tireur à Paris, portant quelques minutes avant ils étaient pratiquement tous Collabos. De ce faite je me souviens du 19 mars 1962 de la confusion à Alger même, dont il suffit d'avoir une veille tenue de l'armée dont on s’en fou de l’Origine, de sortir dans la rue de crier haut et four TAHIA!!! te voila Modjahed, surtout s'il y a des complices. Voila pourquoi en 1962 ils y avaient tant de modjaheds à Alger et alentour. Mais les vrais Modjaheds la grande majorité étaient encore cachés dans les villages ou encore dans les montagnes le faite que le téléphone portable n'existait pas. Maintenant que Zohra Drif prétend qu'elle avait participé à la révolution , c'est son problème le faite qu'on ne peu vérifier l'exactitude de son récit. Aussi en allant dans de cette Dame, à savoir la révolution Algérienne était usurpée par le coup d’État de Ben-Bella et ses acolytes en faisant assassinés la plupart des vrais leaders de la révolution, et aussi en mettant fuite à l’étranger le reste, en particulier Boudiaf et Ait Ahmed. Donc à mon avis cette Dame qui revendique sa participation au grand jour, je pense qu'elle doit savoir beaucoup sur le complot perpétrer à partir de l’Égypte sous le commandement de Gamal Abdelnacer qui avait tirer les ficelles des marionnettes vidés de cervelles, le faite qu'elle est partisane de oligarchie vidée de toute moralité,
A partir de 1962 une fois que le coup de d'État était commis par clique le Glas était sonné sur l'avenir de l’Algérie, sur tout point de vu, en l'occurrence les archives la plupart sont brûles par le régime, d'ailleurs à ce propos on peu se rappeler de se sinistre agissement de Boumedien, aussitôt devenu président en mettant aux arrêts son acolyte Ben-Bella, sa première décision si de déterrer la dépouille du colonel Amirouche et faire disparaître ces ossements et instaurer une négation totale de la participation Kabyle. Dont je rajoute la trahison de la Kabylie par le commandant Mohand Oulhadj avait beaucoup aider la fourberie de d'Ahmed Ben-Bella et ses acolytes,
(Je peu comprendre que ma prose ne doit pas plaire à certains, mais pour une fois soyez honnête et remettez vous dans le contexte)
 
D.B   le 10.02.14 | 15h38
nous attendons la suite du livre
Nous attendons, chère Madame Bitat, que vous nous écriviez un livre sur les nouveaux colons, dont vous êtes, qui ont fait main-basse sur notre pays. Pour nous expliquer comment vous avez remplacé ceux qui ont été chassés.
 
tata5   le 10.02.14 | 15h04
La mystification du présent
par l'étalement du passé.
Certes, vous avez le droit comme tout un chacun, mais pas davantage, de parler de votre participation à la lutte pour la libération.
Mais, nous vous attendions (à dire vrai pas vraiment) à commencer à révéler quelques uns des multiples scandales dont vous avez connaissance. Et vous en savez beaucoup beaucoup. Votre feu époux Bitat était bien près, pour ne pas dire dans, les chcayar. Pourriez vous nous dire quelques mots sur les opposants de gauche disparus sous Boumédienn-Kasdi, et sous les yeux pétillants de Bélaïd.
Ce passé devenu une rente qui saigne le pays ne durera pas toujours. Et il est heureux qu'il soit démystifié par certains de ses "acteurs", comme toute marchandise le fait d'elle même en dénonçant les "qualités" de toutes ses concurrentes.
Nous avons patientés, en sachant que tout a une fin. Même le néo colonialisme.
Bien évidemment, Madame, ces mots ne vous sont pas exclusivement adressés.
Et nous savons aussi que nous prêchons dans le désert. Aussi, si vous daignez les lire, ce que nous n'attendons pas, sachez que nous n'espèrons aucune réponse. Celle-ci viendra d'ailleurs, nous en sommes convaincus, et sera nécessairement adressée aux artisans du régime, auquel vous appartenez, "malgré moi" nous direz vous.
Sans faire appel aux "supercalculateurs" de " LeCercleDesPoètesDisparus", notre météo national, héritage de la française, nous annonce un tsunami. SI, si, Madame, et Oued El Harrach va prendre d'autres couleurs. C'est la météo qui dit, Ouach!
 
ben barek   le 10.02.14 | 14h35
colonisation
Mais Madame Drif nous ne sommes toujours rien. ni pour nos politiques ni pour les Français, ni pour le reste du monde.
J'ai votre âge, madame Drif et j'ai combattu dans la katiba 312. Je me demande encore au vu des résultats si je n'ai pas fait le mauvais choix.
 
LeCercleDesPoètesDisparus   le 10.02.14 | 14h07
A beau mentir qui vient de loin...
Mémoire d’une combattante de l’ALN ?

Vous avez ya Madème zappé deux générations pour vous épancher. Je m’interroge si le moment est bien choisi ou si des mémoires d’outre-tombe n’auraient pas été plus indiquées.
Quelle humilité, mais quelle modestie ! Vous avez attendu que la quasi majorité des révolutionnaires et des témoins meurent pour venir rafraichir nos mémoires d’amnésiques patentés. Madame vous qui n’êtes pas qu’une ancienne moudjahida mais une moudjahida rémanente, il vous a fallu 52 ans de rallonges et d’aboutage pour témoigner ?

Voyons donc : vous avez, nous dit-on, 76 ans aujourd’hui : soit, si mes supercalculateurs, empruntés à la météo française, sont bons, 16ans en 1954, cela vous a suffit largement pour vous autoproclamer témoin de l’histoire ?
 
tsitsitas   le 10.02.14 | 13h42
MERCI À VOUS
Mais personnellement heureusement que je n'ai pas attendu votre livre pour comprendre ce qu'est la colonisation et ce qu'à été la guerre d'Algérie, depuis nous avons traversé une guerre civile! 




يعملون بأجور بخسة ويذلون

عبيــــد في بيــــوت أثريــاء الجزائــر

وسيلة لعموري

من قال إن زمن الرّق قد مرّ وتلاشى مع العبد الأسود بلال بن رباح الذي كرّمه الإسلام وحوّله إلى أول مؤذن في الإسلام، فزمنهم قد ولّى مع عائلات ثرية تفرض منطقها على من لا حول لهم ولا قوة، وتحوّلهم إلى عبيد داخل قصورهم المزركشة.

أثرياء يتباهون بمداخل قصورهم وفيلاتهم الراقية، ويصرفون الملايير على تأثيثها وتجهيزها بأحدث الأثاث المستورد، في الوقت الذي يصرفون الملايين على وجبة غذاء أو عشاء واحدة، يرمى ثلثها في الزبالة، أمام أعين خدم لا يقوون على أخذ ما تبقى من الطعام لأولادهم المحرومين، بل وحتى لا يتناولون فتات ما تبقى خشية من متكبرين ومتعالين يهينونهم كل ما سمحت لهم الفرصة، ويعاملونهم على أساس عبيد في بيوتهم، بعيدا عن الجانب الإنساني الذي يغيب عن أثرياء كانوا يوما ما في فقر مدقع تفرعنوا بمجرد ولوجهم عالم الترف وامتلاكهم لفيلات وسيارات فاخرة.

زوجة أوم دافار تتفـن في مرمدة خادماتها
إن كانت السيدة سمية في عقدها الرابع، تصرف مليون سنتيم على مانيكير أظافرها فهي استغلت المليون على خادمة تتولى كامل أشغال منزلها الكبير ذي الأربع طوابق، ورعاية أطفالها الأربعة، فضلا عن تحضير وجبات الغداء، ولمجات الأطفال الصباحية والمسائية، ناهيك عن أشغال الكي والغسيل التي لا تنتهي طوال اليوم، وميناج كامل للجدران والأسقف مرة في الـ15 يوما، هي الشروط التي وضعتها السيدة المرفهة، لدى تقدم إحدى السيدات لفيلاتها بغية البحث عن عمل، أين قوبلت بقائمة من الأشغال المنزلية الكثيرة، على أن تبتدئ الخادمة العمل منذ الثامنة صباحا، ولا تغادر إلا بعد الرابعة، في الأيام العادية، وفي حال قدوم ضيوف فإن تواجدها في الفيلا يستمر إلى غاية مغادرتهم، كل هذا مقابل أجرة لا تفوق المليون سنتيم، وهو ما لم يعجب مليكة التي فضّلت إعالة نفسها وعائلتها بشهرية والدها المتقاعد، على أن تمدّ يدها لصدقة السيدة المتكبرة التي وحسب تصريحاتها لضحيتها الأخيرة، أنها عملت على طرد كل خادمة تجلبها للعمل في منزلها كون أغلبهن لا تتقنن العمل على حد تعبيرها ويحتجن على كل عمل إضافي تطلبه منهن، متلذذة باستغلالهن وتكليفهن بأعمال فوق طاقتهن والتمتع بطردهن وإهانتهن.

قاضية تحوّل قاصرا إلى سجينة في فيلاتها
لم تتوان سيدة ثرية أخرى تتباهى بقصرها المزركش الكائن بالقبة، وهي زوجة رجل أعمال يملك شركات وعقارات، في تحويل طفلة قاصر من ولاية بومرداس إلى سجينة في منزلها، بأجرة شهرية لا تزيد عن الـ8 آلاف دينار، فرغم تغنيها بالنضال عن الحق ونصرة المظلوم، كونها قاضية تمارس القانون، غير أنها لم ترأف لحالة قاصر انتشلتها من حضن عائلتها وحولتها إلى خادمة، حارمة إياها من رؤية عائلتها، سوى مرة على الأكثر شهريا، في الوقت الذي تقوم الطفلة المسكينة بكامل الأشغال المنزلية من تنظيف لكامل الطوابق، إلى غسل الأواني، وتحضير الأكل وهي لم تكمل عامها السابع عشر، في القوت الذي تتكفل ذات الضحية بتربية طفل السيدة المحترمة التي تدرس داخل قبة المحكمة ملفات المتورطين في قضايا الإجرام وتتفحصها حالة بحالة، في الوقت الذي تخرق هي قانونا إنسانيا باستغلال قاصر، هذه الأخيرة التي جرتها ظروف عائلتها الصعبة إلى العمل بعد أن غادرت مقاعد الدراسة في سن مبكرة أمام عجز الوالد عن تدبر مصاريفها هي وإخوتها الستة، لتجد نفسها حبيسة في فيلا فاخرة، لا ترى النور إلا مرّة في الشهر، محبوسة من طرف من تدّعي ممارستها للقانون.

تجبرها على غسل رجليها
من جهتها، لم تتردد سيدة ثرية أخرى من إجبار خادمتها على غسل رجليها، وفي حال رفضها لذلك تهددها بفصلها عن العمل وطردها من الشقة التي تشغلها هي وزوجها وطفليها في الطابق الأرضي، متحمّلة مذلة لا مثيل لها من سيدة غابت عنها معاني الإنسانية، وحوّلت عائلة بأكملها إلى عبيد استعبدتهم مقابل منحهم تلك الشقة التي لا يراها النور ولا الضياء في عز النهار، وتهددهم باستمرار بالطرد إذا تخلّفوا عن تلبية حاجة من حاجياتها التي لا تنتهي، رامية عليهم فتات من بقايا ما تأكل هي وزوجها وطفلها الوحيد الذي ينعم بمفرده في فيلا فاخرة تسع لعشر عائلات.

تتّهمها بالسرقة وتوصلها للعدالة
لم تكفي نعيمة ذات 45 ربيعا، الأشغال الشاقة التي تكلفها بها سيدتها الثرية، من تنظيف داخلي وخارجي لفيلاتها بدالي براهيم وأشغال غير منتهية طوال اليوم، قابلتها تهمة ثقيلة بسرقة مبلغ 4 ملايين سنتيم من المطبخ، بعد أن اقتنى الشوفور برفقة الخادمة أغراضا للمنزل، ووضع المبلغ على طاولة المطبخ، قبل أن تكتشف السيدة أن المبلغ غير موجود، لتتهم خادمتها المسكينة التي تعمل لسد رمقها بعد أن بقيت وحيدة بعد طردها من قبل أخواتها المتزوجين ونعتوها بالبايرة، وجدت نفسها متهمة بالسرقة في منزل قصدته لتسترزق منه، في الوقت الذي كشفت جلسة محاكمة المسكينة التي طردت شر طردة من الفيلا، أن السارقة الفعلية للمبلغ تكون ابنة أخت السيدة الثرية، والتي كانت متواجدة ساعة اختفاء المبلغ، وهو ما لم تعترف به الضحية المزعومة، وحاولت إلصاق التهمة بخادمتها التي برأها غياب الدليل المادي عن قضاء 3 سنوات سجنا نافذا.

تسكت عن تحرشات زوج سيدتها خشية من فقدان عملها
قصة أخرى حدثت مع إحدى السيدات وهي مطلقة ولديها طفل، تعمل لأجله ليلا ونهارا، وفضلت التضحية بعملها في شركة خاصة مقابل البقاء بالقرب منطفلها، أين عملت عند إحدى جاراتها وهي سيدة ثرية، تعمل في سلك المحاماة، عمدت إلى تشغيل خادمة ببيتها تتولى رعاية طفليها الاثنين، وتنظيف المنزل، قبل أن تجد نفسها لقمة صائغة بين يدي زوجها المسن الذي لم يتردد في مضاجعة الخادمة المسكينة التي رضخت للأمر الواقع، أمام ابتزازاته الجبانة بتلفيقها تهمة السرقة، ما جرّها للصمت طويلا لغاية اكتشاف الأمر من قبل سيدة المنزل، التي لم تسكت عن الأمر وعملت على طرد الخادمة التي خانت ثقتها بها وطعنتها في الظهر، ولم تترك لها فرصة الدفاع عن نفسها وشرح موقفها من الزوج الخائن الذي اقتنص الفرصة ولم يتردد في إشباع نزواته الحيوانية مستغلا ظرف الخادمة المسكينة التي خسرت العمل، وخسرت معه شرفها الذي لا يعوضه شيء.



Zohra Drif à El Watan : Les lettres qui m’accusent sont des faux

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le 10.02.14 | 10h00 24 réactions
zoom | © Photo : B. Souhil
 

La moudjahida Zohra Drif, 76 ans, était hier l’invitée de la première semaine culturelle de l’Agence nationale de communication, d’édition et de publicité (ANEP) au centre Mustapha Kateb d’Alger. Elle revient, dans cet entretien accordé à El Watan, sur la polémique soulevée par Yacef Saâdi, ancien commandant de la Zone autonome d’Alger, qui a affirmé que Zohra Drif aurait envoyé (en septembre 1957) deux lettres à Hassiba Ben Bouali, qui était dans une cache à La Casbah d’Alger, pour lui demander de se rendre aux français.
 

- Pourquoi Yacef Saâdi évoque-t-il ces deux lettres aujourd’hui ? Pourquoi insiste-t-il sur cette question ?

Honnêtement, celui qui peut répondre, c’est bien lui. Je ne peux faire que des suppositions. Par intégrité intellectuelle, il est toujours difficile d’émettre des hypothèses. Ce n’est pas dans mon caractère. Ce que je peux dire, me concernant, et dire à mon peuple : je n’ai jamais écrit ces deux lettres. De surcroît, ces deux lettres portent en elles-mêmes la preuve de leur fausseté. Et là, je me réserve le droit d’exposer ces idées dans la sérénité et le calme, et de démontrer que ces deux lettres sont fausses.

- Une démonstration par écrit ?

Je me réserve ce droit. Je veux insister pour dire que je n’ai jamais écrit ces deux lettres. J’ai été toujours responsable de ce que j’ai vu et vécu. Et je suis capable de reconnaître mes erreurs, mais pour ces lettres, je peux déclarer qu’elles ont été fabriquées. Je vais bientôt publier cette démonstration.

- N’allez-vous pas déposer plainte contre Yacef Saâdi ?

Pensez-vous que cela présente de l’intérêt pour la Révolution algérienne et pour notre pays ?

- Yacef Saâdi vous a accusé de trahison, c’est tout de même une grave accusation…

Je ne me sens pas du tout concernée ou atteinte. C’est vrai que c’est grave dans l’absolu, mais cela ne m’atteint pas parce qu’il s’agit d’une contrevérité.

- Avant vous, Yacef Saâdi s’était attaqué à Louisette Ighilahriz, en mai 2011. Saâdi a-t-il un problème avec les moudjahidate ou avec l’histoire ?

Vous devriez lui poser la question. Il s’est attaqué à moi, à Louisette, je ne sais pas s’il l’a fait pour les combattants de la Zone autonome d’Alger (ZAA). Dans mon livre (Mémoires d’une combattante de l’ALN, paru aux éditions Chihab), j’ai voulu être la plus honnête possible, la plus proche de la réalité. J’ai fait un témoignage de ce que j’ai vécu. Il n’était pas dans mon propos de dire que les uns était meilleurs que les autres. J’ai dit la vérité et j’ai senti une certaine obligation à faire ce témoignage. Je crois avoir témoigné sur l’engagement total, absolu des femmes de La Casbah. Cet engagement était au niveau de tout le territoire national. Les femmes avaient constitué la base arrière sur laquelle les combattants de l’ALN s’étaient appuyés. Elles avaient été aussi des actrices actives à tous les niveaux. En 1954, il n’était pas imaginable dans notre société, une société patriarcale, qu’une femme se mêle aux les hommes, quitte le foyer familial et aille se battre les armes à la main. Les femmes avaient été toujours partie prenante de l’histoire de leur pays. L’Emir Abdelkader se battait soutenu par la smala, les femmes, Lala Zohra. Elles apportaient l’aide qu’il fallait aux hommes qui allaient au combat, préparaient les armes, etc.

- Vous avez rendu un hommage particulier aux femmes de La Casbah d’Alger dans votre livre…

J’ai rendu hommage à Khalti Baya, à Lalla Tassaadit et à d’autres femmes qui étaient dans le cœur de l’action. Quand nous étions hébergés dans ces maisons, lesquelles étaient devenues moins sûres, les moudjahidine quittaient les lieux. Et quand les escouades de parachutistes venaient investir les lieux, les femmes leur faisaient face. Elles étaient là, stoïques, subissant les tortures. Vous n’avez pas idée de la brutalité et de la sauvagerie des paras. Les femmes étaient supposées vivre loin de l’espace public. C’était el horma dans le véritable sens. El horma était essentiel dans la mentalité de Khalti Baya, de Lalla Tassaadit… Toutes ces dames s’étaient retrouvées face à l’ennemi, souvent dans des situations difficiles. Elles continuaient à apporter leur aide aux moudjahidine quand elles le pouvaient. Peut-être que d’avoir témoigné avec force de ce que j’ai vécu et vu, cela dérange-t-il ? Je ne sais pas.

- Fatiha Bouhired (Oukhiti) a été également attaquée par Yacef Saâdi. Elle est morte et ne peut pas se défendre. Qui défendra la mémoire de cette dame ?

C’est la raison pour laquelle je suis révoltée, indignée, je ne trouve pas les termes pour exprimer ce que je ressens. Oser s’attaquer à une personne morte ! Fatiha était jeune, elle avait notre âge, avait cinq enfants en bas âge, l’aîné était âgé de dix ans (vers 1955). Son dernier était encore au sein. Elle avait vu son mari Mustapha se faire assassiner devant la maison où elle habitait : la tête éclaté d’un tir de mitraillette, sa cervelle et son sang avaient giclé sur le mur. Cette femme, malgré ce qu’elle avait vécu et l’état dans lequel elle était, nous soutenait. Nous étions dans une situation extrêmement difficile. Le passage des troupes de Massu (le général Jacques Massu était le chef de la 10e division de parachutistes durant la guerre de Libération nationale, ndlr) dans La Casbah était quelque chose que vous ne pouvez pas imaginer. Ils ont tué, torturé, jeté des gens dans les puits…Vous n’imaginez pas le nombre de maisons où les cadavres n’ont pas encore été découverts. Ils ont tué et jeté des Algériens dans la baie d’Alger. A ce jour, plus de 3000 familles n’ont pas fait le deuil de leurs enfants. Durant cette période, il était difficile de trouver un hébergement. Les refuges n’étaient pas sûrs. Dans cette terreur généralisée, Oukhiti avait accepté de donner sa maison pour en faire un refuge connu de nous seulement (5, impasse de la Grenade, puis 3, rue Caton à La Casbah d’Alger). Quand nous n’avions pas où aller, nous allions chez Oukhiti. Plus que cela, elle a été arrêtée et torturée alors que nous étions chez elle. Elle avait passé une nuit sous la torture des paras. Plus que la douleur, il y avait l’humiliation. Face à eux, vous êtes nus et ils se permettaient tout (Massu avait été, entre autres, accusé par Louisette Ighilahriz d’avoir couvert les tortures pratiquées par ses hommes). Le capitaine Chabane lui avait proposé de collaborer avec l’armée française et lui avait demandé d’indiquer dans quel quartier se trouvaient Zohra Drif et Hassiba Ben Bouali. Oukhiti, qui était d’une intelligence exceptionnelle, lui avait dit oui car elle avait peur de craquer. Dès son retour, elle nous a tout répété. Yacef a sauté sur l’occasion en disant : «Fantastique, nous allons avoir une cache protégée par l’armée française !» Yacef avait demandé alors à Oukhiti de retourner chez le capitaine Chabane pour lui demander un papier attestant de sa prétendue «collaboration» car, à l’époque, la maison des Bouhired était ciblée. A chaque fois, les militaires venaient tout casser. Oukhiti avait dit à Chabane que les bérets rouges étaient venus visiter sa maison après avoir été relâchée, alors il lui avait fourni le papier qui, pour nous, était de l’or en barre. Nous étions désormais dans une maison que l’armée française protégeait ! Il fallait tout le génie de Oukhiti pour le faire et l’assumer. Alors, venir aujourd’hui dire que cette dame a trahi, c’est inacceptable, indigne.

- Pourquoi Yacef Saâdi s’attaque-t-il à Fatiha Bouhired justement ?

J’ai été aussi surprise comme tout le monde par ces propos. Cela ne me touche pas plus parce que je sais et il sait. Et tout le monde sait !

- L’action psychologique du colonialisme peut-elle se poursuivre cinquante ans après l’indépendance de l’Algérie ?

Cette action du colonialisme n’a jamais cessé et vous le savez. Les jeunes d’aujourd’hui sont plus vulnérables que nous l’étions. Très jeunes, on nous avait appris à nous méfier et à nous dire que la France utilisait toutes les méthodes pour arriver à ses fins. Nous étions mieux formés. Je peux citer l’exemple de ce qui s’est passé à Marseille (rencontres organisées par l’hebdomadaire Marianne en avril 2012, ndlr). J’y suis allée de bonne foi discuter, cinquante années après l’indépendance, j’ai eu le sentiment d’être tombée dans un piège. On me disait de déclarer à partir de la France que notre Révolution était une cause juste mais que les moyens que nous avions employés étaient condamnables. Cela voulait dire que je devais publiquement, à partir de la France, condamner la Révolution algérienne. Cela veut dire quoi ? Il faut que les jeunes le comprennent : la guerre continue. Et vous savez quels en sont les enjeux. Notre devoir, votre devoir, vous qui êtes la génération de l’indépendance, qui avez eu la chance d’avoir une formation et une connaissance des réalités, vous devez faire prendre conscience à nos jeunes que l’indépendance du pays doit être protégée. Protégée par le travail, par le respect de son Etat, par l’engagement de tous les jours pour consolider cet Etat, par le fait de donner à chaque chose son véritable poids et de comprendre les enjeux. L’indépendance n’est pas acquise si on ne la défend pas. Il est vrai qu’il existe des problèmes dans la construction de chaque Etat. Il faut qu’ensemble, nous nous organisions pour affronter et régler ces problèmes. C’est de notre responsabilité à tous. Il s’agit de combats politiques. Aux Algériens de connaître leur histoire. Que les Algériens se mettent à lire leur histoire. C’est le meilleur bouclier qu’on puisse avoir pour répliquer aux attaques contre l’Algérie.

- Comment expliquez-vous le silence de l’Organisation nationale des moudjahidine (ONM) qui ne fait rien pour défendre la mémoire des anciens combattants de la guerre de Libération nationale ?

Il faut leur poser la question. L’ONM a bien un secrétaire général, je ne peux répondre pour elle.


Fayçal Métaoui
 
 
Vos réactions 24
Loukan   le 10.02.14 | 11h42
les lettres
le problème est l'existence de ces 2 lettres dans les archives, pas ceux qui les ont révélées, qui ne font que des devoirs d'historien.
Si leur analyse (écriture ...etc) doit être faite pour prouver soit la chose soit son inverse. C'est M. Harbi et G. Meynier (et non B. Stora) qui en ont parlé au vu de ce qu'ils ont lu et analysé. A d'autres de prouver que ce sont des faux y compris la concernée. Personnellement je ne vois pas la raison de faire des faux, qu'on les trouve dans les archives, et quand exactement ! La fabrication des faux peut servir en temps de guerre pour la manipulation et le chantage, mais pourquoi les garder dans les archives ?
 
simsim   le 10.02.14 | 11h29
symboles!
Personnellement,je n'ai pas compris pourquoi zohra drif et yacef saadi s'accusent?Ne défendaient-ils pas la meme cause noble?Ne combattaient-ils pas le meme ennemi,hier?Aujourd'hui,on est en droit de se poser un tas de questions sur ce sujet.
 
saadeddine   le 10.02.14 | 11h23
que reproche t'on aux lettres
yacef saadi s'est montré trop offensif dans ses déclarations jusqu'à traiter mmeZohra drif de harki , pourquoi s'attaque t'il aussi facilement à ses femmes résistantes bouhired,louisette ) ,le silence des uns et des autres n'est pas propice et ne sera pas du tout d'un grand apport pour l'entretien de notre mémoire
l'interview de mme zhora n'apporte aucun élément nouveau ,sa reponse est molle et sans relief et nous laisse dans notre soif à connaitre la vérité.
que reproche t'on au contenu des lettres attribuées à raison ou à tort à mme zhora ? complicité avec l'ennemi ,trahison ou simplement sentiment de protection ,moment de faiblesse dicté par des évènements trop lourds à porter et a supporter .
les moudjahidines sont avant tout des êtres humains avec leur forces et leurs faiblesses. arrêtons de cultiver les amalgames 60 ans après le déclenchement de la révolution
 
Machiavel1   le 10.02.14 | 11h16
Tant que.....
L'Histoire Algérienne sera confiée entre les mains du planqué du 11ème arrondissement de Paris Mohamed Harbi et de son parrain Benjamin Stora, nous n'aurons que des fables et fariboles! 


Vos réactions 24
froro_42   le 10.02.14 | 14h25
Les vrais héros ne sont pas connus!
ILS NE SONT PAS CONNUS PARSQU'ILS SONT TOMBES AU CHAMPS D'HONNEUR ET SOUS LA TORTURE.Allez voir dans les douars et méchtats éloignées vous trouverez des femmes et des hommes d'un âge trés avancé vivants jusqu'a l'heure actuelle dans une grande misére et loin des salons feutrés, ils vous raconteront l'enfer qu'ils ont enduré durant la révolution avec les ratissages le napalm les paras les harkas les bombardements le froid la neige la faim;n'ayez pas peur d'aller les voire ils ne sont ni ventars ni fonfaronts ils sont si modestes et si hospitalier que vous vous sentirez si petits et que vous oublierez cette guéguerre par presse interposée.N'AVIONS NOUS PAS DIT QUE NOUS VOULIONS L'INDEPENDANCE MEME SI ONT DOIT MANGER DES PIERRES?CE N'EST NI ZID NI BOUZID QUI DIMINURA DU RESPECT QUE NOUS ACCORDONS A NOS MERES,FEMMES EN TOUTES CIRCONSTANCE.
 
slaouti   le 10.02.14 | 13h38
Vérités et contre vérités.
Je ne comprends absolument pas pourquoi et quel est l’objectif de Yacef Saadi de nature à ternir l’image de la Moudjahidat Zohra Drif, sachant qu’elle est capturée alors qu’ils se cachaient tout deux au numero 3 de la Rue Caton chez la veuve de Mustapha Bouhired.
Va-t-il encore nier qu’il s’est de tout temps entouré de Ali la pointe assistée de Hassiba, Hattab Abderrahmane, Debih Chérif, Hadj Othmane, Djamel Bouhired et Zohra Drif.
Si c’est le cas désormais je ne croirais plus les propos de Yacef Saadi, qu’il aille les raconter ailleurs ?
 
aminelicia   le 10.02.14 | 13h10
L'indépendance confisquée.
Tout cela, c'est de la dissertation. Mme Zohra Drif nous dit qu'il faut défendre notre indépendance et condamner le colonialisme. J'aurais bien aimé la voir dénoncer le "Président" qui va se soigner dans les hôpitaux français, c'est-à-dire propriétés du colon d'hier. Pourquoi, elle n'a pipé mot quand les avions français, sur autorisation du colon d'aujourd'hui et ordre de Fabius, ont survolé impunément notre territoire pour aller bombarder les populations maliennes. Ces mêmes avions qui ont brûlé au napalm des centaines de mechtas et des milliers de vrais moudjahidines, et non les moudjahidines de pacotille qui nous gouvernent. Quand cesseront ce cinéma et cette mascarade ? L'illustre écrivain Mouloud Feraoun a bien dit que vos ennemis d'aujourd'hui seront pires que ceux d'hier. En d'autres termes, je ne vois aucune différence entre les généraux d'hier et les généraux d'aujourd'hui.
 
boudir   le 10.02.14 | 13h09
RIDICULES !
Quand on sait les tortures infligés aux uns et aux autres lors de leurs arrestations, on ne peut qu'avoir la chair de poule malgré la distance qui nous sépare de ces sept ans de barbarie. Même des hommes les plus robustes intellectuellement et physiquement ont craqué. Alors M. Yacef, même si (admettons) que Mme Drif a trahit surtout qu'il s'agit d'une femme fragile, on a pas le droit de trainer dans la boue une moudjahida qui a eu le courage de combattre à vos côtés en cette période sombre de notre histoire .
 
ange   le 10.02.14 | 12h44
ragots
J'apprécie hautement l'attitude sereine de la moudjahida Zohra Drif, face à ce qui me semble être des racontars colportés.
 
csad10   le 10.02.14 | 12h25
Qui a raison ,qui a tort
Aujourd'hui en Algérie il y a beaucoup de faux Moudjahidines,il faut une vraie commission de tri,certains étaient collabos,maintenant ils tiennent des postes clés dans le Pays.
 
froufrou   le 10.02.14 | 12h15
Titre
Moudjahid ! moudjahida...
Très très discutable....Si ce n'est autre chose de très probable......
 
Nenuphar   le 10.02.14 | 12h03
Personnellement, j'en ai marre
de lire et d'entendre parler des ces moujahids.

Voilà plus de 50 ans que la guerre est terminée et on nous parle encor de ces combattants parmi lesquels bon nombre sont des faux et qu'on décore encore, leur attribuant des mérites et des diplômes qu'ils ne méritent peut être pas.

Au lieu de parler avenir du pays, on nous parle encore de leurs faits d'armes même inventés.

Au lieu de développer le pays, on distribue des cagnottes à ces "combattants" et on désigne même un ministre pour s'occuper de leurs petites affaires.

Franchement le temps n'est-il pas venu de les laisser terminer leur vie car pour bon nombre ils sont âgés d'au moins 75 ans.

Passez à autre chose au lieu d'occuper votre temps à nous parler du passé.
 
Langiri   le 10.02.14 | 12h03
Les crépuscules désenchantés
Ni plus ni moins que le règlement de compte intéressé entre des opérationnels de la bataille d'Alger qui a nécessité le recrutement de gens douteux pour accomplir les basses besognes, comme il y en a toujours dans ce genre de guerre.
Ceux qui ont compté réellement sont tombés sous les balles de l'armée française fascisante d'alors sous gouvernement socialiste, et ont des noms glorieux qui ne souffrent d'aucun anathème quand à leur loyauté et la grandeur de leur sacrifice.
Donner ses frères après 24 heures de torture c'est donner quand même, je ne dis pas que je ne l'aurai pas fais personnellement, mais après cela le moins que l'on puisse demander c'est le silence à jamais, n'est ce pas monsieur Saadi.
Et effectivement, comme certains semblent le dire, il est dommage que l'histoire de la guerre d'Algérie soit suspendue aux recherches d'un algérien expatrié "sous influence" occidentale, Mr Harbi, et à un juif d'origine Algérienne Mr Stora, qui n'a toujours pas daigné nous expliquer la haute trahison que constituait le décret Crémieu qui octroya la nationalité française aux seuls juifs d'Algérie pendant que leurs "frères" demeuraient indigènes pour des décennies encore, avec tout ce que cela impliquait d'apartheid et de spoliation.
La théorie française sur ce conflit est connue et bien relayée, le temps faisant son effet, reste la version algérienne qui a été tellement galvaudée par les pouvoirs successifs en Algérie qu'on ne distingue plus le vrai du faux, leur seul objectif étant de confisquer la révolution pour se servir et se maintenir aux commandes.
Ce travail historique aurait sûrement atténué les crises que l'on connait en Algérie depuis 1962 et aurait permis à ce peuple de se reconstruire pour affronter l'avenir.
Malheureusement le travail de recherche est insuffisant et les gens sont plus intéressés par un visa pour la France que de réclamer les archives algériennes d'avant la colonisation et celles d'après y compris auprès d'institution internationnale.
 
mousquito   le 10.02.14 | 12h03
LE GRAND HARKI
POURQUOI YACEF SAADI REPROCHE A ZOHRA DRIF D'AVOIR ÉCRIT À HASSIBA DE SE RENDRE, ALORS QUE LUI, IL S'EST RENDU. c'EST LUI LE HARKI.... 


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Loukan   le 10.02.14 | 11h42
les lettres
le problème est l'existence de ces 2 lettres dans les archives, pas ceux qui les ont révélées, qui ne font que des devoirs d'historien.
Si leur analyse (écriture ...etc) doit être faite pour prouver soit la chose soit son inverse. C'est M. Harbi et G. Meynier (et non B. Stora) qui en ont parlé au vu de ce qu'ils ont lu et analysé. A d'autres de prouver que ce sont des faux y compris la concernée. Personnellement je ne vois pas la raison de faire des faux, qu'on les trouve dans les archives, et quand exactement ! La fabrication des faux peut servir en temps de guerre pour la manipulation et le chantage, mais pourquoi les garder dans les archives ?
 
simsim   le 10.02.14 | 11h29
symboles!
Personnellement,je n'ai pas compris pourquoi zohra drif et yacef saadi s'accusent?Ne défendaient-ils pas la meme cause noble?Ne combattaient-ils pas le meme ennemi,hier?Aujourd'hui,on est en droit de se poser un tas de questions sur ce sujet.
 
saadeddine   le 10.02.14 | 11h23
que reproche t'on aux lettres
yacef saadi s'est montré trop offensif dans ses déclarations jusqu'à traiter mmeZohra drif de harki , pourquoi s'attaque t'il aussi facilement à ses femmes résistantes bouhired,louisette ) ,le silence des uns et des autres n'est pas propice et ne sera pas du tout d'un grand apport pour l'entretien de notre mémoire
l'interview de mme zhora n'apporte aucun élément nouveau ,sa reponse est molle et sans relief et nous laisse dans notre soif à connaitre la vérité.
que reproche t'on au contenu des lettres attribuées à raison ou à tort à mme zhora ? complicité avec l'ennemi ,trahison ou simplement sentiment de protection ,moment de faiblesse dicté par des évènements trop lourds à porter et a supporter .
les moudjahidines sont avant tout des êtres humains avec leur forces et leurs faiblesses. arrêtons de cultiver les amalgames 60 ans après le déclenchement de la révolution
 
Machiavel1   le 10.02.14 | 11h16
Tant que.....
L'Histoire Algérienne sera confiée entre les mains du planqué du 11ème arrondissement de Paris Mohamed Harbi et de son parrain Benjamin Stora, nous n'aurons que des fables et fariboles! 


Le Transrhumel sera-t-il achevé dans les temps ?
par A. Mallem
A l'approche de l'échéance d'avril 2014, au vu du défilé de ministres qui viennent visiter les chantiers en cours dans la ville des ponts et à l'écoute des informations rapportées par les médias à propos des retards enregistrés par les projets inscrits dans le programme, les citoyens constantinois ne cessent de poser des questions et de se demander si tous les délais annoncés seront respectés. Et à l'évidence, le chantier du Transrhumel qui ne peut passer inaperçu tant il est situé en plein centre-ville, devant le regard de tous, occupe la majorité des discussions. Et à ce sujet, l'achèvement de ce projet est entouré d'un mystère total ces derniers temps. Mystère accentué par le rythme des travaux sur le pont qui, visiblement, semble avoir ralenti d'une façon considérable. Aussi, au moment où les autorités concernées, y compris le maître d'œuvre, la DTP, se murent dans un silence équivoque, des ouvriers et des cadres, s'exprimant sous le sceau de l'anonymat, ne cessent de tirer la sonnette d'alarme sur le «coup d'arrêt qui a été, selon eux, imprimé à certaines parties de l'ouvrage, notamment la finition du tablier du pont où il reste uniquement quelque 4 mètres à terminer pour relier l'ensemble de l'ouvrage. Et dans cette atmosphère, la rumeur s'installe. «Les Brésiliens ont stoppé tout parce que, paraît-il, ils n'ont pas été payés par les services gouvernementaux concernés», disent les uns. «Non, c'est un mauvais calcul d'ajustement qui fait que la dernière partie du pont n'a pas été reliée», affirment les autres, en se prévalant d'informations sûres recueillies auprès d'ingénieurs algériens travaillant sur le chantier. Mais, assurément, la plus grande inquiétude est celle qui règne auprès du collectif de travailleurs algériens dont le nombre se réduit comme une peau de chagrin. «Hier seulement, 90 ouvriers locaux ont été mis en congé d'office», nous a déclaré hier lundi un cadre algérien travaillant sur le chantier, en rappelant le cas des 120 ouvriers, dont les contrats ont expiré il y a une vingtaine de jours, laissés sur le carreau. Vont-ils reprendre le travail à la fin du congé? «Au vu des travaux qui restent encore à accomplir, je ne pense pas», a considéré notre interlocuteur qui a requis l'anonymat. Et il nous a demandé avec insistance de nous rendre sur place pour effectuer «une enquête et prendre des photos», en assurant que, maintenant, les ouvriers portugais ramenés par la société brésilienne Andrade Guttierez sont plus nombreux que leurs collègues algériens. «Ceci, sans parler de ceux qui travaillent dans l'administration et qui sont aussi nombreux», ajoute-t-il. Pour être fixés sur toutes ces informations, nous avons demandé audience hier au directeur des travaux publics (DTP), M. Bouhamed. Ce dernier nous a reçus dans son bureau, mais il s'est dit désolé de ne pouvoir nous donner la moindre information sur le chantier, du moins pour ce jour-là qui était réservé à la réception du public (!). «Revenez un autre jour et on pourra discuter longuement du chantier du pont Transrhumel», a promis le DTP. Le chef de la section syndicale, lui non plus, n'a pas voulu s'exprimer, malgré notre insistance, et nous a donné rendez-vous «pour bientôt», a promis aussi M. Soualmia. Et le mystère ne fait que grandir en laissant libre cours à la rumeur publique. «Vous voyez bien que tout le monde, y compris le syndicat, veut garder le silence ! », ont rétorqué à la fin des cadres algériens du chantier en guise de commentaire.

L'appel des diabétiques
par A. El Abci
Des personnes souffrant du diabète nous ont contactés pour lancer un appel de détresse aux autorités concernées et aux responsables du suivi des malades du diabète afin de les alerter sur un manque criard dans leur prise en charge. Et nos interlocuteurs d'insister, particulièrement, sur l'absence de permanence de nuit, des jours de fêtes et autres circonstances de réjouissance ainsi que des week-ends et ce, à l'effet d'éviter toutes les complications possibles aux malades du diabète.

Dans le même sillage, ils n'ont pas manqué de souligner le déficit sinon l'inexistence d'infirmiers en mesure de traiter les blessures propres au diabète avec utilisation de techniques modernes, aussi bien dans les polycliniques que dans les Etablissements de santé de proximité. Les personnes souffrant de cette maladie chronique sont souvent désespérées et livrées à elles-mêmes, ajouteront-ils, ne sachant quoi faire lorsqu'elles ont besoin de traitement urgent pendant la nuit, les périodes des fêtes ou les jours de fin de semaine. Et d'affirmer que de nombreuses complications peuvent être évitées, si des permanences étaient, ainsi, adoptées et en vigueur avec la présence de personnel paramédical qualifié, dans les prises en charge des malades en question, ainsi que leur disponibilité en nombre suffisant au sein des établissements et structures de santé de proximité. Nos vis-à-vis n'ont pas manqué non plus de saisir l'occasion pour lancer, également, un autre appel à l'endroit des autorités et responsables du secteur de la santé, concernant le pourvoi des services de diabétologie dans les différents hôpitaux et au CHU Benbadis, de cardiologues et de spécialistes en tension artérielle pour un suivi de ces maladies qui présentent les plus graves complications pour le diabétique. A plusieurs reprises, nous avons essayé de prendre contact avec le directeur de la santé de la wilaya de Constantine ou de son chef de service, pour prendre leur version et réaction, mais en vain. Les diabétiques espèrent, en tout cas, que les responsables du secteur de la santé tiennent compte de cet appel de détresse et améliorent les conditions de leur prise en charge au niveau des structures de santé publique.
Les chauffeurs de taxi montent au créneau
par A. Mallem
Réunis hier à Constantine, les transporteurs par taxi de la région est, affiliés au Syndicat national des taxis transporteurs (Sntt-Ugta) ont avancé plusieurs revendications parmi lesquelles l'instauration de la licence administrative, la définition du statut du conducteur de taxi, l'annulation des dettes fiscales accumulées depuis l'époque de la «décennie noire» et enfin la réactivation de la commission technique nationale gelée depuis quinze ans. «Les problèmes des taxieurs sont identiques à travers le territoire», a considéré M. Bendilmi Younès, vice-coordinateur régional qui a présidé la rencontre, et qui a mis un accent particulier sur la réactivation de la commission nationale technique qui était installée au niveau du ministère des Transports et qui se trouve gelée depuis bientôt 15 ans. «A travers cette commission compétente au niveau national dont fait partie notre syndicat, nous pourrons régler pas mal de problèmes car elle est compétente pour porter nos problèmes et nos aspirations au niveau de l'APN, en demandant l'amendement de décrets exécutifs touchant à la profession, etc.

Comme, par exemple, le problème de la licence administrative qui ne peut être réglé au niveau local par les commissions de wilaya dont la création a été proposée par le ministère des Transports». Hier donc, les représentants de 15 wilayas de l'Est du Syndicat national des taxis transporteurs (Sntt-Ugta) se sont rencontrés à la maison du syndicat Abdelhak Benhamouda de Constantine pour prendre connaissance et débattre des recommandations issues des grandes assises nationales des transports qui se sont déroulées les 3 et 4 décembre 2013 à Alger. Et ils n'ont pas manqué d'exprimer leur avis quant aux propositions qui leur ont été soumises. Ainsi, à propos de leur statut, les taxieurs souhaitent être considérés comme des artisans et non des commerçants. «Artisan pour avoir des droits, explique un taxieur. Car, ajoute-t-il, si un jour on m'enlève la licence, je serais chômeur sans protection». Commentant leur préférence pour la licence administrative, un autre taxieur dira que la corporation veut avoir son indépendance par rapport à la licence d'ancien moudjahid.

«Pourquoi ne pas instaurer cette méthode en cours dans les pays européens et qui consiste à acheter la licence et non la louer, car ici, il n'y aura pas de propriétaire de la licence et le taxieur ne sera que plus indépendant», a considéré un autre. Le vice-coordinateur régional est intervenu ensuite pour poser le problème des dettes des taxieurs accumulées depuis la triste «décennie noire» en disant : «Aujourd'hui, la tutelle évoque la possibilité de réduction du taux de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), mais ce qui nous intéresse, c'est l'effacement des dettes contractées durant cette période où nous avions connu beaucoup de restrictions dans notre activité, en ce sens que les conditions sécuritaires de l'époque faisaient que notre recette journalière était réduite au strict minimum». Enfin, les conférenciers ont demandé au ministère des Transports des facilités pour l'achat et le paiement de véhicules neufs afin de renouveler leur parc roulant.

A la fin de la rencontre, les participants ont élaboré le rapport contenant leurs demandes et propositions pour l'ensemble des points qui leur ont été proposés à la discussion et l'enrichissement (28 au total) qu'ils ont transmis à la Fédération nationale des transports de l'UGTA. «A charge pour cette dernière de le remettre au ministère des Transports», a indiqué à la fin de la rencontre M. Bendilmi.

Candidature éventuelle du président Abdelaziz Bouteflika

Certificat de bonne santé et risque de fausse déclaration

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le 10.02.14 | 10h00 13 réactions
 

Présenter un certificat de bonne santé est certes chose aisée pour Abdelaziz Bouteflika, mais qui aura cette audace de le faire, notamment pour l’aptitude future ?

Après une convalescence prolongée et un quasi retrait de toutes les activités présidentielles, l’opinion publique s’interroge aujourd’hui sur l’état de santé de Abdelaziz Bouteflika et surtout sur qui est en mesure, aujourd’hui, de certifier que son état de santé lui permet de briguer un quatrième mandat. Parmi les conditions exigées pour les candidats pour prétendre être président de la République figure bien sûr le certificat de bonne santé en dehors des maladies chroniques inhérentes à l’âge (diabète, hypertension…).
Mais il est évident de se demander si, raisonnablement, les séquelles d’un accident vasculaire cérébrale motrices et psychique, dont la récupération semble très longue, sont compatibles avec la fonction de président de la République. Si Abdelaziz Bouteflika se porte candidat, il est ainsi contraint de présenter trois certificats médicaux délivrés par des médecins assermentés. Il s’agit donc d’un certificat de pneumo-phtisiologie attestant l’absence de tuberculose, un certificat de psychiatrie et un certificat sur l’aptitude physique.

Authenticité du certificat médical

Ce qui s’avère une lourde tâche pour masquer ce qui est aujourd’hui de notoriété publique.
Quel est le médecin algérien, puisqu’il s’agit d’un candidat algérien, qui pourra se porter garant de la bonne santé d’un Président «absent et qui ne s’est pas adresser à son peuple depuis plusieurs mois. D’ailleurs, si huit mois après il ne l’a pas fait, il ne le fera pas. Il y a eu atteinte du centre du langage», commente un spécialiste en médecine, qui estime que les Algériens ont le droit d’être informés de l’évolution de l’état de santé de leur Président. «La logique fait que la présidence de la République doit publier une fois par mois un communiqué sur son état de santé», a-t-il signalé.
Présenter un certificat en bonne santé et certes chose aisée pour Abdelaziz Bouteflika mais qui aura cette audace de le faire, notamment pour l’aptitude future, sachant que «le risque de récidive est là d’une part, et on n’a jamais une restitution ad integrante, c’est-à-dire qu’on ne revient pas à l’intégrité des territoires atteints par l’AVC. Lorsqu’une cellule du cerveau est morte, elle ne peut se régénérer et c’est pareil pour les neurones», explique un neurologue, tout en précisant que personne ne sait exactement comment il se porte sur le plan cardiovasculaire.Maintenant, dans le cas où ce fameux certificat serait préalablement acquis, il y a lieu de s’interroger sur son authenticité. D’ailleurs, des rumeurs ont déjà circulé sur l’obtention d’un certificat de bonne santé délivré par le centre hospitalier du Val-de-Grâce où il a été hospitalisé pendant quatre mois après l’attaque cérébrale.

Et le respect du serment d’hippocrate !

Sur les plans éthique et déontologique, un certificat médical établi par un médecin étranger, de surcroît militaire, est-il accepté dans le dossier d’un candidat algérien à la magistrature suprême ? Le conseil de l’Ordre, à qui revient le rôle justement de veiller au respect de l’éthique et de la déontologie, a les mains liées puisqu’il n’a pas le droit de s’autosaisir, sauf en cas de contestation.
Dans ce cas de figure, la question peut être tranchée. Et si ce certificat doit impérativement être signé par des médecins algériens (un groupe de trois), il serait considéré comme une fausse déclaration, donc tributaire d’un conseil de discipline par le conseil de l’Ordre des médecins et sanctionné par la justice. Quelle garantie et protection peut-on assurer à ces médecins qui seront désignés pour faire cette déclaration et prêter serment devant les hautes instances du pays, à savoir le Conseil constitutionnel et le ministère de la Justice ? Deux témoins, et pas des moindres, pour justement valider le dossier de candidature…

Djamila Kourta
 
 
Vos réactions 13
den haag(nl)   le 10.02.14 | 18h11
il n'a nullement besoin de certificat M
Croyez vous vraiment qu il a besoin d un certificat médical ???? pourquoi faire ????? pourquoi il retourne pas au invalide pour une cure vrais et se reposée à son âge qu est ce qu il espère encore merde
 
quiproquo   le 10.02.14 | 17h01
Aberration, à VOMIR!
Comment sommes-nous arrivées là?!
Je me demande finalement si ce n'est pas 'Nous' le peuple Algérien qui est malade. Sous d'autres cieux, le fait même d’évoquer une telle candidature est une aberration en soi, chez nous WALLOU, tout est possible. Nous sommes vraiment le pays des miracles.
Cdt;
 
samourais   le 10.02.14 | 16h15
qui est le veritable Boss ?
Faisant un état des lieux,ou un Audit Humain de nos dirigeants

en 2005 Bouteflika a été admis au VAL DE grâce discrètement ,pour subir une opération ,

depuis ,les Visites a l’étranger du président sont devenu rares, ainsi que les réunions ministérielles

ce qui nous amène a confirmer que le troisième Mandat était inutile

mais la ou le bas blesse, c'est l'AVC d'Avril 2013 , et qui a mis hors circuit Bouteflika de façon permanente

la question est pourquoi on a laisser le président en exercice après son opération en 2005 ,puisqu'il n’était plus aux commandes

qui a intérêt a faire perdurer Bouteflika ?

Qui sont les véritables patrons du pays ?
LE DRS ? les Généraux ,Said ? Les Lobbies financiers ? LA CIA ?
 
Langiri   le 10.02.14 | 14h16
Ils sont devenus fous?
La question n'est pas de savoir si il existe un médecin complaisant en Algérie pour faire perdurer cette mascarade, tout le monde connait la réponse!
La question est de savoir jusqu'à quand ces dirigeants incultes et sanguinaires vont nous faire prendre des vessies pour des lanternes sans rougir? combien de temps encore ce mépris va t il durer?
Après avoir "écarté" les opposants depuis 62, poussé les cadres à l'exil, exacerbé les régionalismes, créé des tensions religieuses, ruiné le pays qui devrait être dix fois plus riche en théorie (cf. trajectoire de la corée du sud...), il faudrait acquiescer une nouvelle fois au zaim, "celui qui a le cerveau qui fonctionne le mieux en Algérie"..., nul autre ne pouvant le remplacer même quand il est grabataire en robe de chambre depuis des mois...
Le président actuel a besoin de repos, de beaucoup de repos !!! l'histoire se chargera de lui octroyer un mérite s'il en a, et dieu s'occupera du reste...
 
amara1   le 10.02.14 | 14h00
El Nemr
Oui tafna-pierreduchat!
Ils le sont hélàs devenus!!!
Sinon comment expliquer tous ces abandons de principe et reniements divers et répétés (juste un ou deux ex: qualité de l'autoroute dite "du siècle", les hopitaux, etc, etc...).
Pauvre de nous!
Le bon sens est hélàs devenu la chôse la moins bien partagée chez nous et le manque de discernement a envahi la société.
 
Fetooh   le 10.02.14 | 13h42
vive Bouteflika
L'Algerie n'est pas un navet pour etre donner "democratiquement" aux mulets...ce pays a arrache son independance suite a de lourdes peines.
Au jour d'aujourd'hui le train de l'Algerie est mis sur les rails et a tout juste commence son elan vers le developpment... SVP n'entravez pas son parcours, laissez le marcher
 
azrem   le 10.02.14 | 13h25
sERMENT D´HYPOCRATTE DITES VOUSß
Que le lectorat d´el watan et celui des autres quotidiens francophones sache que depuis la fameuse RÉFORME de l´enseignement supérieur du temps de Benyahia, le cursus médical a été ramené à 6 ans au lieu des 7 admises universellement! Et que depuis cette réforme LE SERMENT D´HIPPOCRATE; DIEU DE LA MÉDECINE, A ÉTÉ TOUT SIMPLEMENT SUPPRIMÉ, non sans oublier la suppression de la soutenance de thése. Toutes ces amputations font que des milliers de médecins formés à la pelle, pour la pluspart, se foutent royalement du serment d´Hypocrate, avec à leur tête la majorité des professeurs nommés par décret et les autres qi ne connaissent pas le fameux SERMENT. Alors bouteflika peut sefraire délivrer autant de certificats médicaux pour présenter sa "candidature", l´A V C n´étent pas ironiquement écrit une contre indication à la magistrature suprême, même en cas d´aphasie et autres séquelles.....etc
 
tsitsitas   le 10.02.14 | 13h25
Un Président qui ne s'exprime pas
ne peut avoir aucun certificat de bonne santé, il est l'otage de sa propre clique.Aucun médecin ne prendrait le risque d'en établir un! Il est persona non grata de fait ainsi que son entourage!
 
raouf1941   le 10.02.14 | 12h11
Pas de problème!
le chef du service cardio du CPMC de Claival qui avait déja affirmé que la maladie du Président n'en été pas une mais un simple malaise dû à trop de travail, est certainement prêt à signer un certificat médical de bonne santé,voyons il ne va pas se contredire et puis les ordres sont les ordres et la carrière est en jeu et puis tant pis pour le fameux serment d'Hippocrate.
 
tafna-pierrreduchat   le 10.02.14 | 11h27
Navet de mauvais gout.
De qui se moque t-on?Comment un président peut-il être en bonne santé alors qu'il est incapable de se lever et encore moins de s'adresser au peuple.Les algériens sont-ils devenus des handicapes mentaux? 


Vos réactions 13
mouloud95   le 10.02.14 | 11h13
A QUOI BON TOUT CE REMUE MENAGE?
Pourquoi tant d'acharnement de par et d autre ? A qui tout cela profite t il? Qil aille se reposer et se soigner hors de ce climat. Si cest pour sauver son clan c est pour combien de temps?4ans encore et aprés ?et le justice de DIEU dans tout ca? Cest qui leur avocat devant Dieu. KHAF RABI YA CHEIKH.
 
muloudia   le 10.02.14 | 11h11
Les dirigeants dans l'ombre...
n'ont pas besoin de Boutef,ni de certificat de bonne santé.Les décideurs en politique vont certainement "fermer" le scrutin d'avril.Ainsi ils pourront diriger à leur guise et aussi se prémunir des poursuites judiciaires,car les corrompus continueront de maintenir en place les cadres qui sont de leur coté et qui leur obéissent.A MON avis les maffiosos sont dans les hauts cadres qui ont bénéficiés des prêts KHALIFA BANQUE,et qui ont refuser de comparaitre ou bien que la justice est à leurs ordres.Plus l'affaire Khelil-bedjaoui etc..
 
paco007   le 10.02.14 | 10h34
tout est possible
si on se confere aux précédentes élections n a t on pas entendu dire que les noms des morts figurent parmis les electeurs??donc pour un certificat de bonne sante c est 3 fois rien a mon avis 


Nouvelles de Constantine

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le 09.02.14 | 10h00 Réagissez


Trois morts et trois blessés graves sur la RN3

Trois hommes répondant aux initiales A.B., âgé de 58 ans, S.S., 50 ans et M.Q., 59 ans, ont trouvé la mort, ce vendredi vers 20h, dans un accident de la route sur la RN3, à proximité de la ferme Hacini, dans la commune de Zighoud Youcef, apprend-on auprès de la cellule de communication de la Protection civile. Selon la même source, les victimes sont mortes sur place suite à une collision entre un voiture de marque Hyundai type Accent et une autre de marque Chevrolet type Aveo.
Cet accident a causé aussi de graves blessures à d’autres trois personnes, dont deux hommes : Z.Z., 48 ans, qui est le conducteur du premier véhicule, l’autre M.Q., 21 ans, qui est le conducteur du deuxième véhicule, et une jeune femme L.S, âgé de 21 ans. Les blessés ont été transportés à l’hôpital de Zighoud Youcef, l’un d’eux, le chauffeur de la Hyundai a été évacué au CHU Dr Benbadis. Concernant les dépouilles mortelles, elles ont été déposées à la morgue de l’hôpital.            Yousra Salem


OUED EL HAD : l’anarchie au quotidien

L’anarchie est à son comble au boulevard de l’ALN, notamment au rond-point de la cité des Frères Abbès, plus connue par Oued El Had. Après l’ouverture de la trémie de Daksi, un véritable bouchon se forme chaque jour durant toute la journée, et devient plus important aux heures de pointe. La circulation dans ce lieu est devenue cauchemardesque au vu du désordre qui y règne, avec les arrêts non respectés des bus, le stationnement des vendeurs ambulants avec leurs camionnettes, et aussi la présence de chauffeurs de taxis clandestins qui n’hésitent pas à s’arrêter juste au milieu du rond-point. Pour les usagers de ce tronçon, la situation nécessite désormais des mesures urgentes avec la présence de policiers pour réguler une circulation qui se complique. La situation devient encore plus complexe à partir de 15h avec l’installation du fameux marché quotidien de Oued El Had.         S. A.


EL GUEMMAS : Un rond-point hors normes

Située à l’entrée de la cité d’El Guemmas, le rond-point installé dans le carrefour desservant les cités Bentchicou, Daksi, le 4ème Kilomètre et la route menant vers Boumerzoug, est devenu une véritable casse-tête pour les automobilistes, en raison de ses dimensions qui ne cadrent plus avec les normes du code de la route. Le lieu qui est aussi le seul accès vers El Guemmas, connaît un flux important de voitures, notamment parmi les usagers qui cherchent à éviter les encombrements de la route du Chalet-des-Pins, et ceux venant de l’autoroute est-ouest pour aller vers Ziadia et Djebel Ouahch.
Avec ce flux et l’étroitesse de ce passage, et en l’absence du moindre panneau de signalisation, c’est la loi du plus fort qui règne. Selon certains conducteurs, plusieurs accidents ont été enregistrés dans ces lieux, causés surtout par des chauffards. La question a été étudiée par les services de l’APC de Constantine qui ont annoncé, il y a quelques mois, qu’une étude a été lancée pour y remédier, mais les choses semblent traîner, faisant perdurer aussi bien les souffrances des habitants d’El Guemmas que les usagers de ce tronçon.            S. A.
 

Le mausolée de Sidi Mabrouk à l’abandon

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le 09.02.14 | 10h00 Réagissez
 

Alors que la ville de Constantine s’apprête à accueillir en 2015 la manifestation de la culture arabe, certains monuments culturels et cultuels, supposés être protégés par le ministère de la Culture, ont été tout simplement abandonnés.

C’est le cas du mausolée de Sidi Mabrouk, situé au lieudit la Remonte, juste en contrebas du siège du commandement de la 5ème région de la Gendarmerie nationale. Au coin d’une artère menant vers Sidi Mabrouk inférieur et la cité Daksi, se trouve une ferme aux murs gris, érigée par les Français quelques années après la prise de Constantine en 1837. Dans cette ferme du style colonial, il y avait auparavant les écuries de la cavalerie de l’armée française durant l’occupation, avant de servir de ferme d’élevage et de reproduction de chevaux après l’indépendance, où elle dépendra ensuite du ministère de l’Agriculture.
Le site vient de faire l’objet il y a quelques mois d’une décision d’affection aux domaines de la 5ème région militaire. La plupart des responsables de la ville et même de nombreux Constantinois ignorent que cette ferme abrite aussi le mausolée d’un des saints de la ville. Il s’agit de Sidi Mabrouk, dont le nom a été donné à la cité. Selon les témoignages des riverains, le mausolée de Sidi Mabrouk existe toujours et il était bien entretenu par les habitants de cette ferme, parmi les descendants des anciens travailleurs, ayant bénéficié de maisons attribués à l’époque de l’administration coloniale. Mais depuis l’évacuation de ces familles, le mausolée se trouve à l’abandon.
Contrairement à celui de Sidi Rached, qui a été restauré il y a quelques années, à l’instar d’autres sites de la vieille ville, ce mausolée n’a bénéficié d’aucune réhabilitation. Il n’est même pas répertorié parmi les sites cultuels de la ville du Vieux Rocher. Il est désormais ignoré et «coincé», à l’abri des regards, au milieu d’une caserne militaire au mépris des lois régissant la sauvegarde et la protection des sites et monuments de la ville. Pour les connaisseurs de l’histoire de la ville, il est temps que les services du ministère de la Culture agissent pour intégrer ce mausolée dans le patrimoine de la ville et œuvrer à sa protection et sa réhabilitation à l’occasion de la manifestation de la culture arabe.                                   
F. Raoui et S.A.
 

Palais Ahmed Bey à Constantine : Un voyage à raconter

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le 08.02.14 | 10h00 1 réaction
 

La polychromie du beylicat de l’Est algérien orne, sur plus de 2000 m2, les murs du somptueux palais d’Ahmed Bey situé en plein cœur de la ville de Constantine.

Cette fresque constitue un authentique document de référence qui relate le récit d’un long périple du maître des lieux. Un lieu à même de servir de référence aux chercheurs universitaires, aux hommes de culture et aux historiens, estime Mlle
Chadia Benkhalfallah, directrice du Musée national public des arts et expressions populaires qui a pour siège le palais. Selon cette responsable, cette polychromie, qui n’a pas encore livré  tous ses secrets, permet la datation et la lecture des différents événements historiques tels que les batailles auxquelles avait pris part le bey aux côtés du dey d’Alger, ainsi que ses différents voyages au Moyen-Orient. Elle constitue, en fait, un document à faire valoir et à mettre au service  des universitaires, des étudiants, des historiens, des archéologues, des géographes, des urbanistes et autres architectes désirant acquérir des précisions en rapport avec l’époque et l’itinéraire parcouru et référencé par le dernier bey de Constantine, confie Mlle Benkhalfallah à l’APS.
Sur cette étonnante fresque qui rend compte du périple entrepris par Ahmed Bey pour arriver aux Lieux Saints de l’Islam, l’on peut admirer Tunis et la Goulette, Tripoli, le port d’Alexandrie où mouillaient de luxueuses frégates et Le Caire avec ses mosquées. Quoique altérée par la main intruse de l’administration coloniale qui y avait superposé six autres couches obstruant et dénaturant l’originalité de  la première, qui reproduit les splendeurs de l’architecture orientale, l’œuvre s’étale sur tous les murs intérieurs du palais, tel un album aux images riches et vives de bande dessinée grandeur nature et magnifiquement illustré.
Se contentant d’une interprétation de l’une des couches coloniales de  cette polychromie qu’elle a étudiée et parvenue à lire en deux mois avec l’aide de certains cadres du personnel du musée, Mlle Benkhalfallah affirme qu’«Ahmed Bey avait entamé son voyage de 15 mois en 1818, alors qu’il était seulement Khalifa»,  c’est-à-dire 7 ans avant d’être désigné à la tête du beylicat de l’Est. Il avait pris le départ de devant l’actuel pont de Sidi Rached, apparent sur la fresque, pour rejoindre La Goulette et la ville côtière de Radès, en Tunisie, puis Tripoli, en Libye, pour passer par l’île de Djebel Hassan en Arabie saoudite.
Les illustrations de cette œuvre d’art, digne des contes des Mille et Une Nuits, montrent 44 étendards et drapeaux, trois mosquées, 78 espèces d’arbres, 36 voiliers, 66 frégates, de nombreuses maisons et différents types de bâtisses, simples ou surmontées de dômes, 69 minarets, 55 coupoles, 134 palmiers, plusieurs  expressions écrites, dont 23 seulement sont lisibles, quatre espèces d’oiseaux, sept moulins à eau et à vent et quatre palais. L’on y distingue aussi les Lieux Saints de Médine et de La Mecque, ainsi que les villes de Djeddah, d’Alexandrie, d’Istanbul (reconnaissable par la Mosquée  Bleue aux six minarets) d’El Ismaïlia, d’El Qostas (Le Caire), l’île Khalki  et l’île Kandia sur la mer Egée.
 
 
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L'échotier   le 08.02.14 | 11h36
Hé oui
Le palais du Bey est l'arbre qui cache la forêt. En effet, le délabrement est la règle dans tout le reste des édifices culturels hérités de notre passé qu'elle qu'en soit l'origine : amazigh, romain, arable, turc ou français. L'inculture de ceux qui gèrent la ville n'a jamais atteint un tel niveau. Ils ne sont intéressés que par les affaires, le plus souvent malhonnêtes.
 

Session de l'Apc

Le maire sous les feux de la rampe

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le 05.02.14 | 10h00 1 réaction
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Encore une fois, la session de l’APC devient une occasion pour certains élus pour tirer à boulets rouge sur le maire.

Hier et lors de la tenue de la session ordinaire de l’assemblée, le P/APC a subi une attaque en règle de la part de deux membres qui l’ont accusé d’autoritarisme, d’abus de pouvoir, avec la volonté de décider des projets à lancer sans aviser les membres de l’APC, dont la plupart des membres des commissions chargés du suivi des travaux ne sont pas informés.
Selon Moudir Barka, un ex-vice P/APC, écarté par le maire, «le P/APC tente par tous les moyens d’éloigner certains membres de l’assemblée, plus particulièrement ceux qui s’opposent à ses choix, et qu’il ne veux informer sur les lieux de réunions, au siège de l’APC ou au siège de la wilaya. Tout simplement, il n’a pas respecté leur droit d’être informés à l’heure». Des accusations que le P/APC, Seifeddine Rihani, niera en bloc. «Ces problèmes sont beaucoup plus d’ordre administratif ; toutefois les portes de mon bureau vous sont été toujours ouvertes et je vous invite à venir pour n’importe quel problème, mais vous refusez tout dialogue ; pourtant, je vous ai contacté pour vous informer de la tenue de cette session», répliquera le maire.
Une situation qui renseigne sur le climat qui règne à l’APC de Constantine qui n’arrive toujours pas à trouver ses marques plus d’une année après son installation, en raison d’un conflit d’intérêts qui continue d’animer les débats dans une ville livrée à toutes les dégradations.   
Yousra Salem
 
 
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El Wattani   le 05.02.14 | 22h08
L' APC
C'est l'APC des shab chkara, un est en prison, les autres vont rentrer très bientôt. Ceux sont des assemblées (APC/APW de beznassia, c'est connu de tous aussi bien des civils que des autorités civiles et militaires. l'ancien wali de constantine a laissé la merde et il est ministre, que voulez vous? il y'a des dossiers pour au moins geler leurs activités, mais n'a été fait, et ne sera fait. Ont-ils soudoyé tout le monde ???
Au fait , les Constantinois et les Constantinoises ont beaucoup apprécier sincèrement les visites trés efficaces de Mme la Ministre de la culture Khalida Toumi à constantine (Suivi Projet de son secteur que l'ancien
wali n'a pas su lancer) et Que Mr Ouadeh le nouveau Wali tente de reprendre, à vraiment encourager. 

 
Régions Est Constantine
 

Constantine capitale de la culture arabe

Déjà, la réévaluation des projets

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le 09.02.14 | 10h00 Réagissez
 

Une rencontre a regroupé, hier, au siège de la wilaya, tous les responsables, exécutif et élus, pour donner une lecture succincte des projets entrant dans le cadre de l’événement Constantine capitale de la culture arabe, prévu pour 2015.

Si beaucoup de choses ont été dites à ce sujet, il convient de noter quelques remarques qui ont été faites par le wali de Constantine, Hocine Ouaddah, notamment celles ayant trait au travail en profondeur qui a été mené dès l’initiative de cette manifestation, il dira à ce sujet: «Pour un programme d’une telle ampleur et dans un temps extrêmement court, je dois saluer les efforts de tous quant aux résultats atteints.» Pour cela, il fera rappeler à l’assistance qu’entre la désignation de cette manifestation en décembre 2012, ainsi que toutes les démarches réglementaires qui doivent obéir à des calendriers stricts, entre inscription, notification et engagement, outre la particularité de la topographie de la ville qui ne dispose pas suffisamment d’assiette, la tâche est encore plus ardue.
Sur un autre registre, en matière de difficultés inhérentes à ces projets, notamment les études préliminaires, il révèlera ceci: «Rien que pour les deux premiers projets, celui de la salle de spectacles le Zénith et le pavillon des expositions, la réévaluation a atteint 15 milliards de dinars, à l’instar de toutes les opérations qui sont au nombre de 18». Il n’omettra pas d’évoquer l’autre échéance, encore plus proche, les élections présidentielles de 2014, pour qui, toutes les administrations seront ardemment sollicitées.
 


N. Benouar 
 

Maisons menaçant ruine à la vielle ville

Des dizaines de familles en danger

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le 09.02.14 | 10h00 1 réaction
zoom | © photo: el watan
 

Ce n’est pas une gageure, mais un devoir à accomplir le plus vite possible : sauver ces familles en danger de mort et sauvegarder ce patrimoine qui est l’identité même de la ville.

Depuis une dizaine d’années, les vieilles bâtisses dans la vieille ville, notamment dans le quartier Souika, séparé en deux par la rue Mellah Slimane, ne cessent de connaître une sérieuse dégradation. Une situation qui a été accélérée par la vague des démolitions entamées en février 2005. Un fait confirmé par les urbanistes et dont les conséquences sont encore perceptibles à ce jour. Dans ces maisons menacées, des familles nombreuses continuent d’y vivre.
Selon une étude réalisée à Constantine par un bureau spécialisé, présentée en 2012, lors d’une rencontre sur la stratégie retenue pour la réhabilitation de la vieille ville, l’on saura que 136 habitations menaçant ruine demeurent toujours occupées, ceci sans parler des commerces se trouvant à proximité. «Cette situation dure depuis plusieurs années, les fissures des murs extérieurs sont devenues importantes, alors que les toitures laissent passer les eaux de pluie ; nous vivons la peur au ventre, notamment durant l’hiver, où l’effondrement peut survenir à n’importe quel moment», nous dira un habitant du quartier d’Essayeda, traversé par la rue Abdellah Bey. Notre interlocuteur qui nous sert de guide nous invite à être témoin d’un cas insolite. Il s’agit de la maison dite Dar Bendali, devenue par la suite Dar Benbakir, plus connue actuellement par Dar El Mezabi, dont l’accès se trouve à l’impasse située à quelques pas de la mosquée Sidi Moghrof. «La construction à l’architecture arabo-mauresque a fait l’objet d’une opération de réhabilitation entamée en 2008, mais qui semble prendre beaucoup de temps. Selon les témoignages de ceux qui connaissent bien les lieux, la dégradation qui a touché cette maison a atteint un degré où toute tentative de réhabilitation est devenue délicate», nous dira notre guide. «La maison a subi les conséquences des infiltrations des eaux souterraines avant 2005 au point où des parties entières du sol se sont détachées; malgré tous nos appels à l’époque en direction des autorités pour sauver les lieux, nous n’avons eu aucune réponse», affirme un habitant du quartier d’Essayeda.

Des effondrements fréquents

Le plus grave est que cette bâtisse a vu l’effondrement d’une partie de sa façade du côté de la rue Abdellah Bey, alors que les échafaudages sont encore sur place. «Même les autres parties de la maison sont menacées, et cela risque de faire l’effet de dominos pour les maisons avoisinantes», nous indique un riverain qui nous invite à faire un tour du côté de la rue Cirta située juste à proximité, où l’on peut voir qu’un mur entier est supporté à l’aide de grands madriers. «C’est l’envers du décor», nous dira un riverain. «Comment voulez-vous que des familles entières continuent de vivre ici sous la menace et continuer d’attendre un relogement qui tarde à venir, malgré les victimes enregistrées ces deux dernières années», poursuit-il.
Ce décor est demeuré inchangé depuis des années dans les ruelles de la vieille ville. Les multiples rapports des services de la Protection civile, révélés suite aux multiples opérations de reconnaissance menées surtout suite aux intempéries, affirment que la situation a atteint un seuil critique. Des maisons continuent de hanter le quotidien des habitants à la rue Bekhouche Abdesslam (ex-Bedot), située au fameux Sabat El Bouchaibi, mais aussi à la rue des Cousins Kerouaz, dite Zenkat Lamamra, à la rue Benzgoutta, à Zenket El Mesk, Sidi Bzar, Echat, Sidi Abdelmoumene et dans d’autres sites comme Sidi Djeliss et Rahbet Essouf. Pour les comités de quartiers de ces lieux, la seule solution pour mettre fin au calvaire de ces dizaines de familles est de procéder à leur relogement ,surtout que ces dernières ont été déjà recensées et se sont vues remettre les bons d’affectation. Mais l’attente a trop duré.          
Arslan Selmane
 
 
Vos réactions 1
simsim   le 10.02.14 | 11h44
irresponsabilité!
Ce qui se passe actuellement à Constantine et plus particulièrement dans la vieille ville n'est que l'aboutissement d'un laisser aller flagrant de la part des responsables qui se sont succédé à Constantine.Il est impératif de sauver la vieille ville, du moins ce qui en reste, en faisant un véritable travail de restauration;l'argent existe. 


 

يعملون بأجور بخسة ويذلون

عبيــــد في بيــــوت أثريــاء الجزائــر

وسيلة لعموري

من قال إن زمن الرّق قد مرّ وتلاشى مع العبد الأسود بلال بن رباح الذي كرّمه الإسلام وحوّله إلى أول مؤذن في الإسلام، فزمنهم قد ولّى مع عائلات ثرية تفرض منطقها على من لا حول لهم ولا قوة، وتحوّلهم إلى عبيد داخل قصورهم المزركشة.

أثرياء يتباهون بمداخل قصورهم وفيلاتهم الراقية، ويصرفون الملايير على تأثيثها وتجهيزها بأحدث الأثاث المستورد، في الوقت الذي يصرفون الملايين على وجبة غذاء أو عشاء واحدة، يرمى ثلثها في الزبالة، أمام أعين خدم لا يقوون على أخذ ما تبقى من الطعام لأولادهم المحرومين، بل وحتى لا يتناولون فتات ما تبقى خشية من متكبرين ومتعالين يهينونهم كل ما سمحت لهم الفرصة، ويعاملونهم على أساس عبيد في بيوتهم، بعيدا عن الجانب الإنساني الذي يغيب عن أثرياء كانوا يوما ما في فقر مدقع تفرعنوا بمجرد ولوجهم عالم الترف وامتلاكهم لفيلات وسيارات فاخرة.

زوجة أوم دافار تتفـن في مرمدة خادماتها
إن كانت السيدة سمية في عقدها الرابع، تصرف مليون سنتيم على مانيكير أظافرها فهي استغلت المليون على خادمة تتولى كامل أشغال منزلها الكبير ذي الأربع طوابق، ورعاية أطفالها الأربعة، فضلا عن تحضير وجبات الغداء، ولمجات الأطفال الصباحية والمسائية، ناهيك عن أشغال الكي والغسيل التي لا تنتهي طوال اليوم، وميناج كامل للجدران والأسقف مرة في الـ15 يوما، هي الشروط التي وضعتها السيدة المرفهة، لدى تقدم إحدى السيدات لفيلاتها بغية البحث عن عمل، أين قوبلت بقائمة من الأشغال المنزلية الكثيرة، على أن تبتدئ الخادمة العمل منذ الثامنة صباحا، ولا تغادر إلا بعد الرابعة، في الأيام العادية، وفي حال قدوم ضيوف فإن تواجدها في الفيلا يستمر إلى غاية مغادرتهم، كل هذا مقابل أجرة لا تفوق المليون سنتيم، وهو ما لم يعجب مليكة التي فضّلت إعالة نفسها وعائلتها بشهرية والدها المتقاعد، على أن تمدّ يدها لصدقة السيدة المتكبرة التي وحسب تصريحاتها لضحيتها الأخيرة، أنها عملت على طرد كل خادمة تجلبها للعمل في منزلها كون أغلبهن لا تتقنن العمل على حد تعبيرها ويحتجن على كل عمل إضافي تطلبه منهن، متلذذة باستغلالهن وتكليفهن بأعمال فوق طاقتهن والتمتع بطردهن وإهانتهن.

قاضية تحوّل قاصرا إلى سجينة في فيلاتها
لم تتوان سيدة ثرية أخرى تتباهى بقصرها المزركش الكائن بالقبة، وهي زوجة رجل أعمال يملك شركات وعقارات، في تحويل طفلة قاصر من ولاية بومرداس إلى سجينة في منزلها، بأجرة شهرية لا تزيد عن الـ8 آلاف دينار، فرغم تغنيها بالنضال عن الحق ونصرة المظلوم، كونها قاضية تمارس القانون، غير أنها لم ترأف لحالة قاصر انتشلتها من حضن عائلتها وحولتها إلى خادمة، حارمة إياها من رؤية عائلتها، سوى مرة على الأكثر شهريا، في الوقت الذي تقوم الطفلة المسكينة بكامل الأشغال المنزلية من تنظيف لكامل الطوابق، إلى غسل الأواني، وتحضير الأكل وهي لم تكمل عامها السابع عشر، في القوت الذي تتكفل ذات الضحية بتربية طفل السيدة المحترمة التي تدرس داخل قبة المحكمة ملفات المتورطين في قضايا الإجرام وتتفحصها حالة بحالة، في الوقت الذي تخرق هي قانونا إنسانيا باستغلال قاصر، هذه الأخيرة التي جرتها ظروف عائلتها الصعبة إلى العمل بعد أن غادرت مقاعد الدراسة في سن مبكرة أمام عجز الوالد عن تدبر مصاريفها هي وإخوتها الستة، لتجد نفسها حبيسة في فيلا فاخرة، لا ترى النور إلا مرّة في الشهر، محبوسة من طرف من تدّعي ممارستها للقانون.

تجبرها على غسل رجليها
من جهتها، لم تتردد سيدة ثرية أخرى من إجبار خادمتها على غسل رجليها، وفي حال رفضها لذلك تهددها بفصلها عن العمل وطردها من الشقة التي تشغلها هي وزوجها وطفليها في الطابق الأرضي، متحمّلة مذلة لا مثيل لها من سيدة غابت عنها معاني الإنسانية، وحوّلت عائلة بأكملها إلى عبيد استعبدتهم مقابل منحهم تلك الشقة التي لا يراها النور ولا الضياء في عز النهار، وتهددهم باستمرار بالطرد إذا تخلّفوا عن تلبية حاجة من حاجياتها التي لا تنتهي، رامية عليهم فتات من بقايا ما تأكل هي وزوجها وطفلها الوحيد الذي ينعم بمفرده في فيلا فاخرة تسع لعشر عائلات.

تتّهمها بالسرقة وتوصلها للعدالة
لم تكفي نعيمة ذات 45 ربيعا، الأشغال الشاقة التي تكلفها بها سيدتها الثرية، من تنظيف داخلي وخارجي لفيلاتها بدالي براهيم وأشغال غير منتهية طوال اليوم، قابلتها تهمة ثقيلة بسرقة مبلغ 4 ملايين سنتيم من المطبخ، بعد أن اقتنى الشوفور برفقة الخادمة أغراضا للمنزل، ووضع المبلغ على طاولة المطبخ، قبل أن تكتشف السيدة أن المبلغ غير موجود، لتتهم خادمتها المسكينة التي تعمل لسد رمقها بعد أن بقيت وحيدة بعد طردها من قبل أخواتها المتزوجين ونعتوها بالبايرة، وجدت نفسها متهمة بالسرقة في منزل قصدته لتسترزق منه، في الوقت الذي كشفت جلسة محاكمة المسكينة التي طردت شر طردة من الفيلا، أن السارقة الفعلية للمبلغ تكون ابنة أخت السيدة الثرية، والتي كانت متواجدة ساعة اختفاء المبلغ، وهو ما لم تعترف به الضحية المزعومة، وحاولت إلصاق التهمة بخادمتها التي برأها غياب الدليل المادي عن قضاء 3 سنوات سجنا نافذا.

تسكت عن تحرشات زوج سيدتها خشية من فقدان عملها
قصة أخرى حدثت مع إحدى السيدات وهي مطلقة ولديها طفل، تعمل لأجله ليلا ونهارا، وفضلت التضحية بعملها في شركة خاصة مقابل البقاء بالقرب منطفلها، أين عملت عند إحدى جاراتها وهي سيدة ثرية، تعمل في سلك المحاماة، عمدت إلى تشغيل خادمة ببيتها تتولى رعاية طفليها الاثنين، وتنظيف المنزل، قبل أن تجد نفسها لقمة صائغة بين يدي زوجها المسن الذي لم يتردد في مضاجعة الخادمة المسكينة التي رضخت للأمر الواقع، أمام ابتزازاته الجبانة بتلفيقها تهمة السرقة، ما جرّها للصمت طويلا لغاية اكتشاف الأمر من قبل سيدة المنزل، التي لم تسكت عن الأمر وعملت على طرد الخادمة التي خانت ثقتها بها وطعنتها في الظهر، ولم تترك لها فرصة الدفاع عن نفسها وشرح موقفها من الزوج الخائن الذي اقتنص الفرصة ولم يتردد في إشباع نزواته الحيوانية مستغلا ظرف الخادمة المسكينة التي خسرت العمل، وخسرت معه شرفها الذي لا يعوضه شيء.


أستهوى القطريون وأقبلوا على صيده
الاماراتيون يطلقون 1000 طائر حبار في سماء البيض هذا الخريف

> بلواسع.ج
11-02-2014
* 1793 طائر دعّم به المركز الإماراتي لتكاثر الحبار الطبيعة بالبيض بين 2012 و 2013
* سعر بيضة الحبّار يتجاوز 3000 دينار والفرخ 7000 دينار

    
كثرالحديث خلال السنوات الأخيرة عن  أهمية طائر الحبار وكيفية تكاثره ببلدية الأبيض سيدي الشيخ بولاية البيض وتهاف الأجانب عليه قصد السياحة وكذا إستغلاله في إطار الإستثمار كما هو الشأن بالمركز الإماراتي لتكاثر طيور الحبار الذي أنجز بالأبيض سيدي الشيخ ..هذه الطيور النادرة عرفت إنقراضا ملحوظا خلال السنوات الأخيرة من القرن الماضي لاسيما فترة التسعينيات إلى هذه الألفية والحبار طيور برية تعيش بالمناطق شبه الصحراوية تحديدا على مستوى شمال إفريقيا يكثر تواجدها بمصر،المغرب ،ليبيا وخصوصا الجزائر أي بالجنوب الغربي الصحراوي ونظرا لأهمية منطقة الأبيض سيدي الشيخ التي إحتضن موقعها الإستراتيجي إنشاء مركز لتكاثر طيور الحبار بموجب قرار وزاري مشترك بين وزارة الفلاحة ووزارة الموارد المائية ،وزارة المالية تحت رقم 330 المؤرخ في 20 جانفي 2006 وكذلك بقرار ولائي لترخيص منح قطعة ارض في إطار الإمتياز لصالح المركز الإماراتي لتكاثر طيور الحبار.

يعمل المركز جاهداً على المحافظة على طيور الحبار المهددة بالإنقراض بالجزائر لاسيما بمناطق الجنوب الغربي والعمل على إنشاء أماكن لتربية وتفقيس ورعاية هذه الطيور والأهمية البالغة التي يجسدها هذا المشروع (المركز ) وتنويع الأبحاث العلمية لخريجي الجامعات والمعاهد حول تكاثر الحبار ولقد زاره الكثير من الدكاترة والطلبة من جامعة الأغواط وبوزريعة وغرداية.. لهدف إنجاز مذكرات علمية في هذا الجانب ،علاوة على توفير مناصب شغل وكذا نقل الخبرات للسكان المحليين وهذا حسب ما أشار إليه رئيس إقليم الغابات بالأبيض سيدي الشيخ السيد (م.ج) من خلال حديثه مع جريدة الجمهورية الذي قدم لنا شروحات قيمة ومحدودة حولضرورة حماية شتى أنواع الطيور والحيوانات النادرة والمهددة بالإنقراض بالجهة..و في هذا السياق أكد محدثنا أنه خلال الدوريات لاسيما قبل سنة 2005 لاحظوا تراجعاً كبيراً لأهم أنواع الحيوانات والطيور التي كانت تزدهر بها مناطق دائرة الأبيض سيدي الشيخ على غرار المناطق الأخرى منها الغزال ـ الريم   والكودري ...وطيور "القطا" والصقور ،الحبار..

* مجهودات وتخصص
ويرجع المختصون لتراجع التكاثر الطبيعي لهذه الحيوانات والطيور إلى عدة عوامل منها عبث الإنسان ثمّ موجة الجفاف التي ضربت المناطق شبه الصحراوية خلال أكثر من عقدين من الزمن لاسيما السنوات الأخيرة من القرن الماضي أما مشروع المركز الإماراتي لتكاثر طيور الحبار فله أهمية كبيرة في عودة هذه الطيور إلى صحراء منطقة الأبيض سيدي الشيخ على وجه الخصوص التي تعد محطة كبيرة لهذا التنوع البيولوجي مما جعلها منطقة سياحية بإمتياز ولقد كانت بداية إنطلاق تكاثر طيور الحبار بالمركز علميا خلال سنة 2006 .. وتجدر الإشارة إلى أنّ المشروع إعتمد في أول مراحله على تجنيد فرق مختصة وكذا تشجيع المواطنين على جلب طيور الحبار من الصحراء وجمع بيوضها وأعشاشها من الطبيعة أي من المراعي وكذلك جمع فراخ الحبار حيث وصل سعر البيضة 3000 دج والفرخ الواحد  7000 دج وهذه الإستراتيجية كانت ناجحة لتشجيع المواطنين لاسيما سكان البدو الرحل كمساهمة فعالة في إنجاح مشروع مركز تكاثر طيور الحبار بالأبيض سيدي الشيخ وهذه الحملات ساهمت بقدر كبير في إنطلاق عمل المركز الذي بدأ بحوالي 240 حبارة تم جمعها من الصحراء حيث سهر خبراء ومختصون أجانب على إنطلاق دراسة وتحضير تكاثر هذه الطيور النادرة بالمركز وبعد 3 سنوات تم إطلاق كمرحلة أولى في عمر هذا المركز ما يزيد عن 495 طير من الحبار بصحراء الأبيض سيدي الشيخ سنة 2009 وهذا بعد مراعاة الموقع الإستراتيجي لإطلاق طيور الحبار بالصحراء جنوبا كالكلأ وتوفر عدد من المعطيات ،المناخ الملائم للطيور ،الأمن الى جانب خلوّ المكان من البدو الرحل وكذلك من تحركات المواطنين في الصحراء لتجنب صيده وهذا من اجل حماية الحبار ومساعدته على الطيران خلال مرحلة الإطلاق التي تكون صعبة من أجل تنقل أسراب الحبار بحرية تتبع بحملات مراقبة واسعة في الصحراء من قبل مصالح الغابات منهم مختصون حتى يتمكن الحبار من أن يعيش وينتشر بالصحراء.

* نتائج راقية
وقد يحدث وأن تتكاثر الطيور طبيعيا ولقد أكد لنا محدثنا أنّه عند عملية الإطلاق توضع بأرجل هذه الطيور علامات نحاسية (خلاخل ) وذلك للتفرقة بين الحبار المتكاثر عن طريق المركز والحبار المتكاثر طبيعيا خلال دوريات المراقبة التي تتم في الكثير من الأوقات وقد تم إطلاق 800 طير حبار في الصحراء كمرحلة ثانية سنة 2012 وبعد سنة تمّت المرحلة الثالثة أي في 2013 كما تم إطلاق 993 طير حبار ولا تزال العمليات متواصلة ومتزايدة سنويا في الأعداد المتكاثرة وكثيرا ما تتم هذه العمليات خلال كل فصل خريف أي أثناء شهر سبتمبر ..
وحسب رئيس إقليم الغابات هناك تحضيرات كبيرة لإطلاق عدد أكبر من طيور الحبار كمرحلة رابعة خلال الخريف القادم يفوق عددها 1000 طير ذلك أنّ مشروع مركز تكاثر طيور الحبار أعطى نتائجاً جيدة مشجعة في ظرف وجيز من خلال الأرقام المعطاة ميدانيا ومن خلال هذه الأهداف المحققة ..منطقة الأبيض سيدي الشيخ بحاجة إلى إنشاء محميات ومراكز مماثلة قصد حماية الحيوانات الأخرى المهددة بالإنقراض كثروة الغزال منها نوع الريم والسوين ..وبغض النظر عن الحيوانات الأخرى التي تراجعت أعدادها بشكل ملحوظ على وجهة البيئة .وفي الأخير لقد حاولنا زيارة المركز الإماراتي لتكاثر طيور الحبار ،طلبت منا إدارته تقديم طلب رسمي إلى المدير العام لمركز تكاثر طائر الحبار بحيدرة (الجزائر العاصمة ) وقدمنا الطلب لكننا إنتظرنا طويلا لمدة أكثر من 15 يوما  ولم نتمكن من أي رد أو إجابة لإجراء تحقيق ميداني حول تكاثر هذه الطيور من اجل تنوير الرأي العام حول هذا المشروع...و نلمس عديد الانتقادات حول إقدام الأجانب وخاصة القطريون على صيد طائر الحبار خاصة عندما تحلق الصقور لاصطياد كل ما هو طائر الى جانب الأرانب والثعالب بالصحراء.

* التوازن البيولوجي
وتتكاثف جهود الكثير من المختصين والجمعيات والسكان الذين يعرفون ما تجود به صحراء الأبيض سيدي الشيخ على مدار السنين بالتنسيق مع المصالح المعنية والمختصة وأعيان المنطقة إلى جانب تحفيزات الدولة ستساهم بقدر كبير في عودة التوازن البيولوجي الذي كان مزدهرا بمناطق ولاية البيض قبل سنوات الجفاف.. وعلى هذا السياق أضاف رئيس إقليم الغابات بان هذه المناطق الصحراوية تعرف إنتعاشة من حيث الغطاء النباتي مقارنة بالسابق ومن المعروف بان مناطق ولاية البيض كانت تشتهر خلال العقود الماضية وتزخر بمواقع بيولوجية وطبيعية نظرا لشساعة مساحتها لاسيما تنوع الحيوانات البرية والطيور النادرة بإفريقيا خصوصا طيور الحبار والقطا ..الأمر الذي جعل هذه الأخيرة محطة أنظار الأجانب منهم الأماراتيين الذين قام بعضهم  بالإستثمار في تكاثر طيور الحبار بالأبيض سيدي الشيخ التي تعد من اكبر المناطق من حيث التنوع في ثروة الحيوانات و الطيور التي معظمها إنقرضت خلال السنوات الماضية   بسبب الجفاف والصيد العشوائي وقلة الإهتمام بالصحاري والمراعي والبراري بمناطق ولاية البيض من حدود ولاية بشار إلى ولاية الأغواط وغرداية والنعامة مما إضطر بالكثير من الجمعيات إلى دقّ ناقوس الخطر لحماية الثروة الحيوانية المهددة بالإنقراض وحسب ما اشار إليه الكثير من كبار المنطقة في وقت سابق فمثلا قطعان الغزلان كانت ترعى على مشارف مدينة الأبيض سيدي الشيخ علاوة على الطيور مثل القطا و الحبار، الحجل ...

أما خلال السنوات الأخيرة فقد أصبحت الطيور بالأبيض سيد الشيخ حكايات يتداولها السكان وأصبح المواطن بالأبيض سيدي الشيخ يسمع حكاية عن الطيور مثلها مثل جميع الحيوانات التي مرت على المنطقة ومرت من هنا وعاشت الدهر البعيد بصحراء الجنوب .. وفي سياق متصل أكدت جمعية الصيادين بالأبيض سيدي الشيخ بان معظم الطيور تراجعت بشكل ملحوظ مقارنة بالسنوات الماضية نظرا لقلة الإهتمام وبسبب الصيد العشوائي وكذلك تراجع نشاط معظم الجمعيات الناشطة في مجال حماية الطيور لأسباب عدة منها وجود الأجانب الذين يمنعون السكان المحليين بالتجوال في الكثير من المراعي ويجوبون بكل حرية صحراء البيض من وادي صقر إلى أقصى جنوب الولايات الجنوبية كتندوف وبشار الأمر الذي جعل الرأي العام المحلي ينتقد هذه التصرفات ويطالب بوضع حد لتنقل النشطاء المحليين على مستوى منطقة الأبيض سيدي الشيخ التي كانت صحاريها تعج بشتى أنواع الطيور والحيوانات النادرة كالغزال .. وأهم ما تطالب به   بعض الجمعيات هو تأسيس مجموعة للدرك الوطني في الصحاري كما كان الشأن خلال العقود الماضية من اجل حماية الثروة الحيوانية والطيور خاصة مراقبة تنقل المواطنين سواء كانوا رعاة أو ضيوف الجزائر في عملية إطلاق أسراب طيور الحبار تتزامن سنويا مع حلول وفود القطرين بصحراء البيض الأمر الذي ترك الكثير من علامات الإستفهام بالمنطقة .


EXCLUSIF Saïd Bouteflika réagit à la lettre de Hicham Aboud

 

Saïd Bouteflika affirme, dans une déclaration à TSA, avoir reçu la lettre de Hicham Aboud, par le biais de la présidence de la République et avoir « ordonné » de la rendre publique intégralement pour « prendre l’opinion publique à témoin ».
« J’ai reçu cette lettre et j’ai décidé de la rendre publique intégralement », affirme le frère cadet du président de la République qui sort ainsi de sa réserve après 15 ans de silence.
Saïd Bouteflika juge « inacceptables » les propos de Hicham Aboud contenus dans la lettre que nous avons publiée hier. « Les accusations portées dans cette lettre sont tellement graves qu’elles ne touchent plus uniquement à ma personne, mais portent atteinte à tout un peuple qui n’accepterait pas que le frère du Président puisse avoir de tels comportements ». « Je ne vais pas me taire et je vais porter plainte contre Hicham Aboud que j’ai jamais eu à connaître ». « Je n’ai pas à lui répondre et je considère qu’il est comptable devant le peuple algérien », ajoute Saïd Bouteflika.
Hier, le frère cadet du président de la République a assuré à TSA qu’il ne voyait aucun inconvénient à la publication de cette lettre. 












http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/5158-exclusif-said-bouteflika-reagit-a-la-lettre-de-hicham-aboud


مصدر مؤكد يكشف لـ "البلاد ": اللجنة الأمنية اجتمعت اليوم برئاسة "ڤايد صالح" وبحضور الجنرال 'توفيق"

اجتماع اللجنة خرج بقرارات هامة..
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آخر تحديث : 15:12 | 2014-02-10
الكاتب : رفيق شلغوم
اللجنة الأمنية يرأسها الفريق قايد صالح
كشف مصدر مؤكد لـ”البلاد” بأن اجتماع اللجنة الأمنية المشتركة عقد اليوم ابتداء من الساعة العاشرة صباحا كما انفردت بنشره يومية “البلاد”.
  وترأس الإجتماع  الفريق أحمد ڤايد صالح رئيس الأركان نائب وزير الدفاع الوطني، وبحضور المدراء المركزيين لوزارة الدفاع ورؤساء النواحي الستة.  كما عرف حضور الفريق محمد مدين “ توفيق “ مدير جهاز الاستعلامات والأمن، والذي تعرض مؤخرا لهجوم كاسح من طرف الأمين العام للأفلان، عمار سعداني، الأمر الذي جعل العديد من الشخصيات الحزبية والسياسية ترد بقوة على سعداني بل إن رئيس حزب “الأمبيا” عمارة بن يونس لم يتوان في وصف تصريحات سعداني بالكاذبة وتخدم أطرافا خارجية.
 وهو الذي يتقاسم مع سعداني دعوة الرئيس بوتفليقة لعهدة رابعة رفقة كل من عبد القادر بن صالح أمين عام الأرندي وعمر غول رئيس حزب تاج.
  وبالتالي يعقد هذا الإجتماع في ظرف سياسي جد حساس تمر به البلاد  يفرض على المؤسسة لعسكرية أخذ الكثير من الحيطة والحذر خاصة ما تعلق بالأمن القومي للبلاد ، وكذا نجاحها في الرهان الكبير الذي هو الآن على عاتقها لوحدها،  والمتمثل  في حماية الحدود البرية للبلاد من خطر العصابات الإرهابية والإجرامية .
 وتواصل اجتماع اللجنة الأمنية المشتركة إلى غاية الساعات الأخيرة ومن المرتقب أن تترتب عنه قرارات هامة على صلة بصلاحيات بعض المديريات التابعة لمديرية الأمن والاستعلامات كما قد تكون هناك قرارات أخرى.






 


هناك تعليق واحد:

غير معرف يقول...

http://cubba.yoo7.com/t1754-topic#9411
كلمة الدفاع الرئيسي والشاهد الاول من قاعة المحكمة العسكرية بالبليدة