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Evènement capitale de la culture arabe 2015
De nouvelles caméras de surveillance
le 02.02.14 | 10h00
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L’œil de la sécurité est tout grand ouvert, à l’affût de tout fait suspect.
Un nouveau projet de renforcement de la sécurité dans la ville de
Constantine sera lancé incessamment, a-t-on appris auprès du chef de la
sûreté de wilaya de Constantine, Mustapha Benaïni, en marge de la
cérémonie de remise des prix verts des quartiers les plus propres de la
wilaya, organisée jeudi dernier au siège de la sûreté de wilaya.
Selon le même responsable, ce projet consiste à installer de nouvelles caméras de surveillance dans la ville du Vieux Rocher, en plus de celles déjà existantes au centre-ville, dans le souci de mieux contrôler les principales artères en prévision de la manifestation «Constantine, capitale de la culture arabe» qui sera lancée au mois d’avril 2015. Nous ignorons encore le nombre et l’emplacement de ces caméras. Le chef de sûreté se contentera de nous affirmer que l’étude de ce projet est déjà achevée et que les travaux seront lancés prochainement. Nous saurons par la même occasion qu’un important déploiement de ce système sera concrétisé dans les semaines à venir au niveau de la nouvelle ville Ali Mendjeli.
Une mesure qui s’impose après les vagues d’émeutes qui ont secoué cette mégacité, notamment l’unité de voisinage n°14 où de violents affrontements entre les ex-habitants des bidonvilles de Oued El Had et Fedj Errih, ont lieu de manière cyclique depuis le mois de juin de l’année écoulée, rendant le quotidien cauchemardesque pour des riverains, dont bon nombre d’entre eux ont quitté les lieux en attendant des jours plus calmes. Cette violence devenue endémique a même gagné d’autres quartiers à l’exemple de l’UV8 où des émeutes ont éclaté suite au meurtre d’un jeune homme de 19 ans. Le climat d’insécurité marque désormais la vie quotidienne des résidents de ces lieux où une sorte de couvre-feu est imposé dès la tombée de la nuit.
Selon le même responsable, ce projet consiste à installer de nouvelles caméras de surveillance dans la ville du Vieux Rocher, en plus de celles déjà existantes au centre-ville, dans le souci de mieux contrôler les principales artères en prévision de la manifestation «Constantine, capitale de la culture arabe» qui sera lancée au mois d’avril 2015. Nous ignorons encore le nombre et l’emplacement de ces caméras. Le chef de sûreté se contentera de nous affirmer que l’étude de ce projet est déjà achevée et que les travaux seront lancés prochainement. Nous saurons par la même occasion qu’un important déploiement de ce système sera concrétisé dans les semaines à venir au niveau de la nouvelle ville Ali Mendjeli.
Une mesure qui s’impose après les vagues d’émeutes qui ont secoué cette mégacité, notamment l’unité de voisinage n°14 où de violents affrontements entre les ex-habitants des bidonvilles de Oued El Had et Fedj Errih, ont lieu de manière cyclique depuis le mois de juin de l’année écoulée, rendant le quotidien cauchemardesque pour des riverains, dont bon nombre d’entre eux ont quitté les lieux en attendant des jours plus calmes. Cette violence devenue endémique a même gagné d’autres quartiers à l’exemple de l’UV8 où des émeutes ont éclaté suite au meurtre d’un jeune homme de 19 ans. Le climat d’insécurité marque désormais la vie quotidienne des résidents de ces lieux où une sorte de couvre-feu est imposé dès la tombée de la nuit.
Yousra Salem et S. Arslan
CAC
Démantèlement des sources radioactives
le 02.02.14 | 10h00
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Effectué par des experts de la société canadienne Best Théra Promix, le démantèlement des sources radioactives de l’ancienne installation du centre anticancer est en cours, nous apprend le directeur du centre hospitalo-universitaire, Ibn Badis de Constantine, Abdesselam Rouabah.
Cette opération s’étalera sur 15 jours, en attendant l’arrivée des conteneurs spécifiques pour le rapatriement de ces sources.
Notre interlocuteur déclare: «C’est une phase extrêmement délicate qui suppose des mesures sécuritaires draconiennes en raison des risques potentiels de fuite de la radioactivité de cette source, le cobalt, en l’occurrence. Cette technologie date de plusieurs décennies, ce qui l’a rend inefficace, notamment avec le nombre sans cesse croissant des malades.
Ces installations, vétustes, comportent des risques de fuite de radioactivité et il était temps d’opter pour la technologie des accélérateurs, plus efficiente et moins contraignante du point de vue risque».
Pour le directeur du CHUC, c’est le bout du tunnel d’une opération qui a, certes, accusé un retard de deux années, mais la spécificité de sa dangerosité et l’apport d’experts étrangers, outre, le transport d’une matière radioactive, ont été, les principales raisons de ce retard.
Notre interlocuteur déclare: «C’est une phase extrêmement délicate qui suppose des mesures sécuritaires draconiennes en raison des risques potentiels de fuite de la radioactivité de cette source, le cobalt, en l’occurrence. Cette technologie date de plusieurs décennies, ce qui l’a rend inefficace, notamment avec le nombre sans cesse croissant des malades.
Ces installations, vétustes, comportent des risques de fuite de radioactivité et il était temps d’opter pour la technologie des accélérateurs, plus efficiente et moins contraignante du point de vue risque».
Pour le directeur du CHUC, c’est le bout du tunnel d’une opération qui a, certes, accusé un retard de deux années, mais la spécificité de sa dangerosité et l’apport d’experts étrangers, outre, le transport d’une matière radioactive, ont été, les principales raisons de ce retard.
N. B.
Le conseil de wilaya du tourisme et de l’artisanat en hibernation
le 02.02.14 | 10h00
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Le conseil de wilaya du tourisme et de l’artisanat, installé, au mois d’avril de l’année écoulée, dans le cadre de la manifestation Constantine capitale de la culture arabe 2015, est en sommeil, c’est ce que nous a été affirmé par plusieurs membres dudit conseil.
Composé d’une trentaine d’élites de la ville, tous domaines confondus,
le conseil a été installé à l’hôtel Cirta, le 25 avril 2013, en présence
de son président Hacène Lebbad, directeur de wilaya du tourisme et de
l’artisanat. Lors de cette installation, suffisamment, médiatisée grâce à
la presse locale, plusieurs objectifs ont été tracés. Ces objectifs se
résument essentiellement dans l’amélioration de l’aspect environnemental
de la ville du Vieux Rocher et la mise en place d’un programme
touristique et culturel, adéquat à l’occasion de l’événement 2015.
Depuis, peu de choses ont été réalisées, selon les affirmations des uns
et des autres.
O.-S.Merrouche
Nouvelles de Constantine
le 02.02.14 | 10h00
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Des habitants sans téléphone depuis deux mois
Plusieurs familles de la rue Bensihamdi Brahim (ex-Cherbonneaux), située près la rue Kitouni Abdelmalek, sont privés de téléphone depuis
deux mois. «Malgré toutes nos réclamations auprès des services d’Algérie Télécom, on ne cesse de nous renvoyer d’un responsable
à un autre, alors que nous nous sommes acquittés de nos frais d’abonnement, mais nous sommes encore privés de téléphone et d’Internet depuis le mois de novembre dernier, c’est inacceptable», s’insurge un habitant qui a pris attache avec notre bureau. Selon les habitants, des sous-traitants d’Algérie Télécom sont venus il y a quelques semaines «tripoter» dans l’armoire téléphonique du quartier, mais ils n’ont rien pu faire et la situation «d’isolement» persiste toujours dans ce quartier. S. A.
CITÉ DU 20 AOÛT 1956 : Des marchands squattent la voie publique
Des commerçants dans les deux marchés sis à la cité 20 août squattent d’une manière anarchique le trottoir. Les produits exposés sur des étals en dehors des magasins et même sur la route, causent beaucoup de désagréments aux habitants de la cité en question. «C’est très dangereux même pour les enfants qui se faufilent un peu partout, car, puisque le trottoir n’est pas libre, ils sont contraints d’emprunter la route» dit une riveraine. Ces vendeurs exgèrent; quelques-uns exposent leurs articles dans des cageots au milieu de la route ! Nous habitons un quartier connu pour sa propreté et par la bonne conduite deses résidants, malheureusement, cette situation dure depuis longtemps. Une cité pas aussi propre qu’on le dit, la propreté, c’est relatif… Y. S.
De nouvelles unités de la Protection civile
De nouvelles unités de proximité de la Protection civile seront opérationnelles durant le mois de mars prochain, a-t-on appris auprès du capitaine Abderrahmane Lagraâ, chef de service à la direction de wilaya de cette instance. Ces unités ont été réalisées à Aïn Abid,
à la zone industrielle Palma (la réhabilitation du centre avancé), et un autre poste à Hamma Bouziane, dont l’avancement
des travaux est estimé entre 80 et 90%, sans oublier que d’autres projets seront lancés incessamment en 2014 à savoir, une unité à Zighoud Youcef, une autre principale à Guettar El Aiche. Notons que des travaux de réhabilitation ont été engagés dans les unités de Sissaoui, Boumaza, et Didouche Mourad, ainsi que le siège de la direction générale. «Par ailleurs, et toujours au cours de l’année 2014, à Ali Mendjeli, un centre d’entraînement et de formation pour les éléments de la Protection civile,sera réalisé.» Y. S.
Plusieurs familles de la rue Bensihamdi Brahim (ex-Cherbonneaux), située près la rue Kitouni Abdelmalek, sont privés de téléphone depuis
deux mois. «Malgré toutes nos réclamations auprès des services d’Algérie Télécom, on ne cesse de nous renvoyer d’un responsable
à un autre, alors que nous nous sommes acquittés de nos frais d’abonnement, mais nous sommes encore privés de téléphone et d’Internet depuis le mois de novembre dernier, c’est inacceptable», s’insurge un habitant qui a pris attache avec notre bureau. Selon les habitants, des sous-traitants d’Algérie Télécom sont venus il y a quelques semaines «tripoter» dans l’armoire téléphonique du quartier, mais ils n’ont rien pu faire et la situation «d’isolement» persiste toujours dans ce quartier. S. A.
CITÉ DU 20 AOÛT 1956 : Des marchands squattent la voie publique
Des commerçants dans les deux marchés sis à la cité 20 août squattent d’une manière anarchique le trottoir. Les produits exposés sur des étals en dehors des magasins et même sur la route, causent beaucoup de désagréments aux habitants de la cité en question. «C’est très dangereux même pour les enfants qui se faufilent un peu partout, car, puisque le trottoir n’est pas libre, ils sont contraints d’emprunter la route» dit une riveraine. Ces vendeurs exgèrent; quelques-uns exposent leurs articles dans des cageots au milieu de la route ! Nous habitons un quartier connu pour sa propreté et par la bonne conduite deses résidants, malheureusement, cette situation dure depuis longtemps. Une cité pas aussi propre qu’on le dit, la propreté, c’est relatif… Y. S.
De nouvelles unités de la Protection civile
De nouvelles unités de proximité de la Protection civile seront opérationnelles durant le mois de mars prochain, a-t-on appris auprès du capitaine Abderrahmane Lagraâ, chef de service à la direction de wilaya de cette instance. Ces unités ont été réalisées à Aïn Abid,
à la zone industrielle Palma (la réhabilitation du centre avancé), et un autre poste à Hamma Bouziane, dont l’avancement
des travaux est estimé entre 80 et 90%, sans oublier que d’autres projets seront lancés incessamment en 2014 à savoir, une unité à Zighoud Youcef, une autre principale à Guettar El Aiche. Notons que des travaux de réhabilitation ont été engagés dans les unités de Sissaoui, Boumaza, et Didouche Mourad, ainsi que le siège de la direction générale. «Par ailleurs, et toujours au cours de l’année 2014, à Ali Mendjeli, un centre d’entraînement et de formation pour les éléments de la Protection civile,sera réalisé.» Y. S.
Présidentielle : Bouteflika n’a pas retiré les formulaires de collecte de signatures
le 02.02.14 | 11h46 | mis à jour le 02.02.14 | 14h18
6 réactions
« Le président Bouteflika n’a présenté aucune lettre officielle au ministre de l’Intérieur dans laquelle il exprime sa volonté de présenter sa candidature ».
Le président Bouteflika n’a pas retiré les formulaires de collecte de signatures comme annoncé par certains médias.
« Le président Bouteflika n’a présenté aucune lettre officielle au ministre de l’Intérieur dans laquelle il exprime sa volonté de présenter sa candidature », a déclaré ce dimanche, le ministre de l’Intérieur Tayeb Belaiz, en marge de la cérémonie de clôture de la session d’automne du Parlement.
La loi électorale algérienne exige des candidats pour la présidentielle de recueillir 60 000 signatures dans 25 wilaya ou les parrainages de 6 000 élus. Avant de pouvoir retirer les formulaires de collecte de signatures, les candidats doivent au préalable déposer une demande officielle au niveau du ministère de l’Intérieur.
« Le président Bouteflika n’a présenté aucune lettre officielle au ministre de l’Intérieur dans laquelle il exprime sa volonté de présenter sa candidature », a déclaré ce dimanche, le ministre de l’Intérieur Tayeb Belaiz, en marge de la cérémonie de clôture de la session d’automne du Parlement.
La loi électorale algérienne exige des candidats pour la présidentielle de recueillir 60 000 signatures dans 25 wilaya ou les parrainages de 6 000 élus. Avant de pouvoir retirer les formulaires de collecte de signatures, les candidats doivent au préalable déposer une demande officielle au niveau du ministère de l’Intérieur.
Farouk Djouadi
Vos réactions 6
samourais
le 02.02.14 | 12h35
MYTHOMANE
Fameux Discours d'un Mythomane qui a vecu 20 ans chez les bédouins du Golfe
c'était a Sétif MAI 2012
" TAB JNANA "
Monsieur Boutef, si vous êtes capable de nous expliquer cette phrase ,
c'était a Sétif MAI 2012
" TAB JNANA "
Monsieur Boutef, si vous êtes capable de nous expliquer cette phrase ,
Le 4em mandat
Monsieur Boutef ne pourra plus diriger le pays. Il est malade
en plus de son age. Mais ces vautours autour de lui, qui veulent à
tout prix, le garder comme président,devront savoir que tout fini dans
la vie. Assez de vous ridiculiser et d'humilier le peuple. respectez mr
Boutef. Le monde nous observe. Ne faites pas cette erreur,laisser le
président dans la tranquillité pour s soigner. que la santé lui
revienne.
mabrouk s'en va en guerre.
boutef n'attend qu'un signal de son frere pour decider d'un
4e mandat.ils veulent amender la dynastie buteflikene a vie.mais ils se
trompent car l'algerie n'est pas le maroc et le peuple ne fera jamais le
baise main pour son altesse boutef.le clan tlemcenien et tout ce qui
gravite autour seront juges par le peuple un jour ou l'autre.
un monteur boutif et vous avec
Boutif sera president d algerie et meme quand il sera mort il
sera toujours president d algerie les clients de 1962 qu'elle honte
pour l agerie que des mensonges comme pour les expulsé des syrien vous
aller combien de temps a se tenir se régime ne ponsse qu'à sa poches
avec les militaires a tous les algerien il faut sortire dans les rues
et dite non a se régime en peut pas faire
Une omelette sont cassé des oeufs
Une omelette sont cassé des oeufs
election presidentielle
je pense que le président de la république est très conscient
de ces personnes qui demande le 4eme mandant au fond de lui même il les
connait très bien pourquoi ils insistent,donc si vraiment il respecte
le peuple algerien du fond de son coeur il faut qu'il arrete ,et la
caravane passe,CES GENS LA NE VEULENT QU DU MAL POUR CE PAYS
Il le fera
Il le fera cinq jours avant la date butoir .
N'ayez crainte !
N'ayez crainte !
El Khabar passe à 15 dinars à partir de samedi
le 30.01.14 | 14h40
9 réactions
« Nous n’avons pas peur de la concurrence. Nous misons sur la qualité de notre produit ».
Le quotidien El Khabar (arabophone) a annoncé, ce jeudi, sa décision
d’augmenter le prix de vente du journal à 15 dinars à partir du premier
février prochain.
« Nous avons décidé d’augmenter le prix parce que nous ne pouvons pas continuer à travailler avec une marge bénéficiaire dérisoire », a indiqué Cherif Rezki, directeur de la publication d’El Khabar dans une déclaration à Elwatan.com. Il a expliqué que sur les dix dinars représentant le prix de vente actuel, 6 dinars vont à l’imprimerie et le reste est partagé entre le journal et les distributeurs. Selon lui, cette augmentation permettra de « doubler la marge bénéficiaire des distributeurs ». En contrepartie, « les diffuseurs vont faire plus d’efforts pour couvrir les régions difficiles d’accès et qui ne sont pas couvertes convenablement à présent », a-t-il assuré en rappelant que le prix du journal n’a pas évolué depuis 1995 quand il est passé de 4 à 7 dinars puis à 10 dinars.
El Khabar n’a pas contacté les autres titres arabophones au sujet de cette augmentation. « On les a approchés (quotidiens arabophones ndlr) il y’a de cela trois années mais certains titres ont refusé de suivre pour des raisons politiques. Nous sommes un journal indépendant alors que ces titres sont des alliés du pouvoir », explique le premier responsable d’El Khabar.
Interrogé sur l’impact de cette augmentation du prix sur les ventes du quotidien au moment où ses concurrents continuent à vendre leur produit à 10 dinars, Cherif Rezki répond : « Nous n’avons pas peur de la concurrence. Nous misons sur la qualité de notre produit ». Le prix de 15 dinars, dit-il encore, « permettra à El Khabar d’assurer la formation de ses journalistes pour qu’ils puissent donner un rendement meilleur ».
Dans son édition parue aujourd’hui, El Khabar s’est dit « contraint de sortir de l’équilibre financier fragile qu’il vit depuis des années ». Il a rappelé que le prix de la tonne du papier a augmenté sur le marché international, la valeur du dinar s’este dégradée et le pouvoir d’achat des Algériens est érodé par l’inflation.
Les quotidiens El Watan et Liberté ont augumenté le prix de vente de 10 à 15 dinars en novembre 2011. Les deux titres francophones ont été rejoint plus tard par Le Quotidien d’Oran.
« Nous avons décidé d’augmenter le prix parce que nous ne pouvons pas continuer à travailler avec une marge bénéficiaire dérisoire », a indiqué Cherif Rezki, directeur de la publication d’El Khabar dans une déclaration à Elwatan.com. Il a expliqué que sur les dix dinars représentant le prix de vente actuel, 6 dinars vont à l’imprimerie et le reste est partagé entre le journal et les distributeurs. Selon lui, cette augmentation permettra de « doubler la marge bénéficiaire des distributeurs ». En contrepartie, « les diffuseurs vont faire plus d’efforts pour couvrir les régions difficiles d’accès et qui ne sont pas couvertes convenablement à présent », a-t-il assuré en rappelant que le prix du journal n’a pas évolué depuis 1995 quand il est passé de 4 à 7 dinars puis à 10 dinars.
El Khabar n’a pas contacté les autres titres arabophones au sujet de cette augmentation. « On les a approchés (quotidiens arabophones ndlr) il y’a de cela trois années mais certains titres ont refusé de suivre pour des raisons politiques. Nous sommes un journal indépendant alors que ces titres sont des alliés du pouvoir », explique le premier responsable d’El Khabar.
Interrogé sur l’impact de cette augmentation du prix sur les ventes du quotidien au moment où ses concurrents continuent à vendre leur produit à 10 dinars, Cherif Rezki répond : « Nous n’avons pas peur de la concurrence. Nous misons sur la qualité de notre produit ». Le prix de 15 dinars, dit-il encore, « permettra à El Khabar d’assurer la formation de ses journalistes pour qu’ils puissent donner un rendement meilleur ».
Dans son édition parue aujourd’hui, El Khabar s’est dit « contraint de sortir de l’équilibre financier fragile qu’il vit depuis des années ». Il a rappelé que le prix de la tonne du papier a augmenté sur le marché international, la valeur du dinar s’este dégradée et le pouvoir d’achat des Algériens est érodé par l’inflation.
Les quotidiens El Watan et Liberté ont augumenté le prix de vente de 10 à 15 dinars en novembre 2011. Les deux titres francophones ont été rejoint plus tard par Le Quotidien d’Oran.
Farouk Djouadi
Vos réactions 9
zohir10
le 31.01.14 | 09h46
C'est le prix d'une cigarette
El Khabar est le quotidien le plus sérieux de tous les
journaux arabophones ou francophone.C'est un journal de professionnels
et non à ragots.Aune information n'est diffusée avant vérification des
faits.Bravo un quotidien qui dépasse de loin le meilleur des quotidiens
égyptien ! Zohir
el khabar
El khabar devrait mieux selectionner les articles de ses
correspondants régionaux (entre autres) qui écrivent n'importe quoi et
se permettent de porter des jugements sur autrui en utilisant un langage
inculte, servile et au service d"autorités" locales et même nationales
qui les ignore.
neutralité et professionalité obligent
avant de réfléchir à la formation technique des journaliste
il vous faut beaucoup déformation en matière de déontologie. pour
exemple vos correspondant à Ghardaia et son partie pris pour une
communauté. cela a été visible depuis son engagement dans votre journal
et encore plus avec les derniers événements. c'est honteux pour un
journal de large diffusion comme El Khabar.
Sans...
Sans l'artiste Monsieur Ayoub, le prix devait baisser a 5 DA.
amazigh
Franchement je trouve qu'il les vaut largement ce prix là.Valable journal je pense.Ne soyons pas ingrats!
lazhar ville de Quebec
Le Guardian ou Le New York Times , en principe gratuit .On
ne peut pas acheter les divagations de Bouokba a 15 dinars . C'est lui
qui doit donner 150 millions de centimes pour chaque pollution écrite.
Vous n'aimez pas la critique je sais .
recommandation
comme le fmi je recommande a l'etat d'arreter de subventionner
les journaux.avec la nouvelle generation qui ne lit pas en
francais,c'est de la pure perte.un sondage non bidonné revelera beaucoup
de choses.
C'est légitime
cette augmentation sert sans doute à améliorer encore plus ce
journal qualitativement et quantitativement , la qualité du papier
entre autres ce qui explique donc cette augmentation; cela dit la chaine
info TV KBC tarde à ouvrir , quelle est la raison.
meme le papier coute plus
que dix dinar. On ne peut meme pas acheter une boita chema avec 10 dinar!
ضربوا بقوانين دفتر الشروط عرض الحائط
سكان بلقايد مستاؤون من خدمات حافلات خط "31"
> ج.بوحسون
02-02-2014
استاء
العديد من المواطنين من الخدمات المتدنية التي بات يقدمها خط النقل "31"
هذا الأخير الذي من المفترض أن يربط وسط المدينة بمنطقة بلقايد إلا أن
السائقون رسموا خطا خاصا بهم يخدمهم بالدرجة الأولى عِوْض أن يقدم خدمات
للركاب هؤلاء الذين لم يجدوا من ينصفهم، إذ أضحت هاته الحافلات تربط حي
قمبيطة ببلقايد فقط ، فضلا عن هذا وضعت لنفسها محطة أخيرة قرب ثانوية
"الحاج محمد بن عمرو الطمار" الكائنة ببلقايد ، التي تصطاد منها الزبائن،
ضاربة القوانين التي ينص عليها دفتر الشروط عرض الحائط .علما أن هذا يحدث
في ظل غياب المراقبة وتطبيق الاجراءات الردعية على هؤلاء المخالفين الذين
بات همهم الوحيد هو جمع المال فقط على حساب المواطن الذي قد يجهل أحيانا
الجهات الصحيحة التي يشتكي إليها.
ومن جهته أبرز أحد المواطنين أن هذه الوضعية المزرية التي يعيشون فيها تستمر قبل انطلاق أشغال تهيئة الطريق الولائي رقم 75 الرابط مفترق طرق كناستيل ومنطقة بلقايد على مسافة 4 كلم.
وبالتالي يبقى مستعملو حافلات "31 " يعتمدون على خطوط أخرى إذا ما أرادوا التوجه الى وسط المدينة بما فيها خط "11"، فيما يتّكلون على أرجلهم عند المحطة النهائية التي سطرها السائقون والمحاذية لثانوية "الحاج محمد بن عمرو الطمار"، وفي الجهة المقابلة تجدر الاشارة الى أن هذه الحافلات باتت تشكل ازعاجا للمتمدرسين بذات الثانوية لاسيما وأنها تتوقف أمام مدخل هذه المؤسسة التربوية، الأمر الذي جعل أولياء التلاميذ نداءاتهم الى مديرية التربية للقضاء على هذه الظاهرة التي باتت تشوه المنظر العام لهذا الهيكل التربوي.
ليبقى سكان منطقة بلقايد يناشدون الجهات الوصية بما فيها مديرية النقل بضرورة التدخل ووضع حد للمخالفات التي يتعمد فيها سائقو خط "31".
ومن جهته أبرز أحد المواطنين أن هذه الوضعية المزرية التي يعيشون فيها تستمر قبل انطلاق أشغال تهيئة الطريق الولائي رقم 75 الرابط مفترق طرق كناستيل ومنطقة بلقايد على مسافة 4 كلم.
وبالتالي يبقى مستعملو حافلات "31 " يعتمدون على خطوط أخرى إذا ما أرادوا التوجه الى وسط المدينة بما فيها خط "11"، فيما يتّكلون على أرجلهم عند المحطة النهائية التي سطرها السائقون والمحاذية لثانوية "الحاج محمد بن عمرو الطمار"، وفي الجهة المقابلة تجدر الاشارة الى أن هذه الحافلات باتت تشكل ازعاجا للمتمدرسين بذات الثانوية لاسيما وأنها تتوقف أمام مدخل هذه المؤسسة التربوية، الأمر الذي جعل أولياء التلاميذ نداءاتهم الى مديرية التربية للقضاء على هذه الظاهرة التي باتت تشوه المنظر العام لهذا الهيكل التربوي.
ليبقى سكان منطقة بلقايد يناشدون الجهات الوصية بما فيها مديرية النقل بضرورة التدخل ووضع حد للمخالفات التي يتعمد فيها سائقو خط "31".
Réhabilitation du centre-ville: Des bouleversements en perspective
par A. Mallem
A l'évidence, les grands projets de rénovation qui vont toucher le centre
de la ville des ponts et plus particulièrement la vieille ville qui regorge de
sites historiques, culturels et touristiques, pour préparer l'échéance de 2015,
vont entraîner des bouleversements dans certains secteurs. Et plus
particulièrement au niveau du transport et du stationnement des véhicules. Le
programme de préparation de l'évènement en question, nous ont indiqué jeudi des
cadres de l'APC, comporte de nombreux projets de rénovation des infrastructures
de base, de mise en valeur des lieux historiques et culturels de la vieille
ville et d'embellissement, qui vont être lancés incessamment dans le
centre-ville de Constantine, ne manqueront pas de compliquer davantage le
problème de la circulation et du stationnement. Le programme spécial de
rénovation de la vieille ville, qui est en préparation au niveau de l'annexe
constantinoise de l'Office national de la culture et de l'information (OCI), un
organisme placé sous l'égide du ministère de la Culture, va introduire de
grands changements au niveau des quartiers, notamment ceux de Rahbet Essouf et
de la rue Tatache Belkacem. «Entre autres, la cellule d'élaboration et de suivi
dépendant de l'OCI a proposé la suppression du parking pour véhicules de la rue
Tatache», nous a-t-on confié. Pour vérifier ces informations, nous avons
contacté hier M. Bouarroudj, le chef du service transport de l'APC et ce
dernier a confirmé implicitement la probable suppression du parking en question
et ce, en disant que «la commission communale de transport attend le rapport de
l'Office national de la culture et de l'information pour décider des mesures à
prendre». Toutefois, notre interlocuteur a confirmé que le dossier relatif à
l'organisation de la circulation et du stationnement au niveau de la rue
Tatache Belkacem figure effectivement à l'ordre du jour de la réunion de la
commission communale du transport qui se tiendra au courant de cette semaine.
«Ce sera lundi ou mardi prochains», a précisé M. Bouarroudj en soutenant que la
décision que prendrait la commission devra être communiquée à l'OCI, au plus
tard le mercredi 5 février et ce, pour lui permettre d'arrêter le calendrier de
lancement des travaux au niveau de la vieille ville, travaux qui toucheront le
pâté d'immeubles longeant la rue Tatache Belkacem où se trouve le parking en
question. «Dans le cas où la commission tranche pour la suppression de ce
parking qui abrite quotidiennement entre 300 et 400 véhicules appartenant en
majorité aux riverains, nous serions dans l'obligation de trouver un autre
endroit à proposer aux habitants pour le stationnement de leurs véhicules»,
dira notre interlocuteur. Mais, apparemment, il n'existe actuellement aucune
alternative à proposer. «Où trouver une autre aire de stationnement ?»
C'est la question que s'est posé ce cadre de l'APC en considérant que ce ne sera pas du tout facile, d'autant plus que le parking voisin de Rahbet Essouf est saturé, tout comme les espaces du centre-ville en général.
| عطب كهربائي يوقف حركة ترامواي قسنطينة |  |
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عدد القراءات: 242
توقفت مساء أمس حركة عربات جهاز ترامواي
بولاية قسنطينة بشكل اضطراري بسبب عطل كهربائي وقع بعمود بمدخل حي زواغي
بمنطقة عين الباي.
حيث فوجئ مستعملو الجهاز بعدم تحرك العربات من المحطتين الرئيسيتين بملعب
ابن عبد المالك وزواغي كما تم إنزال الركاب قبل بلوغ الوجهة المطلوبة،
وذلك بعد حدوث شرارة كهربائية أدت إلى انخفاض في شدة التيار وفق ما تم
تداوله في أوساط الركاب، وقد لوحظ تقنيون ومسؤولون بالشركة المسيرة
لترامواي على مستوى السكة بمرتفعات عين الباي وتحديدا بمحاذاة مديرية
البيئة أين كانت تجري عملية معاينة وإصلاح للأعمدة الكهربائية.
مصدر من مؤسسة سيترام أكد أن المشكل له علاقة بعطب كهربائي نتج عن سقوط كوابل من أحد الأعمدة بمدخل محطة زواغي بينما أفاد عمال على مستوى المحطات أن الحركة توقفت إثر انخفاض شدة التيار الكهربائي. ن/ك |
| رسائل مجهولـة كشفت عنها عقب زيارة الوزير الأول | |
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عدد القراءات: 229
تحقيقات أمنية حول اتهام منتخبين بتجنيد شبان للمطالبة برحيل والي أم البواقي
كشفت أمس مصادر موثوقة للنصر بأن تحقيقات
أمنية انطلقت خلال الأسابيع القليلة المنقضية في قضية يشتبه أن يكون
منتخبون محليون وفي مقدمتهم رؤساء بلديات متورطون فيها، وتتعلق أساسا
باتهامات موجهة لهم بتجنيد شباب للمطالبة برحيل والي ولاية أم البواقي محمد
الصالح المانع أثناء زيارة الوزير الأول عبد المالك سلال للولاية منتصف
شهر نوفمبر من السنة الماضية.
المصادر أكدت بأن التحقيقات انطلقت بعد ورود رسائل مجهولة لديوان والي
الولاية، أين طلبت الأخيرة التحقيق في فحوى رسالتين مجهولتين وردت مصالحه،
الأولى اتهمت بشكل مباشر رئيس بلدية قصر الصبيحي نوري إبراهيم صاحب الخمس
عهدات متتالية على رأس بلديته بوقوفه وراء تجنيد شبان في أكثر من حافلتين
بمقابل مادي نظير نقلهم لعاصمة الولاية والمطالبة برحيل الوالي في المحطات
التي ينزل بها عبد المالك سلال.
الرسالة المجهولة ذكرت بأن جل الشبان الحاضرين خاصة في محيط مركز التسلية والترفيه العلمي ودار الثقافة نوار بوبكر ينحدرون من بلدية قصر الصبيحي وبلدية عين الزيتون، هاته الأخيرة التي اتهمت رسالة ثانية رئيسها كباش معوش صراحة بوقوفه وراء المحافظ السابق للأفلان والسيناتور السابق العضو الحالي للجنة المركزية للحزب العتيد رشيد عساس في تجنيد شبان من عين الزيتون للهتاف بطلب وحيد هو "يا سلال نحي الوالي". الرسالة الثانية كشفت بأن المحافظ الولائي الذي تم إخراجه من مقر محافظته بالقوة العمومية في ظل تمسكه بقرار بقائه على رأس المحافظة الولائية يكون وراء تجنيد أتباعه وعلى رأسهم "مير" عين الزيتون الحالي الذي عينه المحافظ السابق محافظا مؤقتا لتسيير شؤون المحافظة، فحوى الرسالة أكدت بأن الطرفين جندا أزيد من حافلتين من شبان عين الزيتون الذين تقاضوا مبالغ مالية متفرقة جراء وقوفهم الطويل أمام المرافق التي دشنها الوزير الأول بمدينة أم البواقي ومنها السوق الجواري ومركز التسلية العلمي ورددوا طويلا هتافات مطالبة برحيل الوالي. مصالح الأمن من أعوان شرطة وفرق للدرك الوطني باشرت تحقيقات موسعة في فحوى الرسالتين المجهولتين ودققت مطولا فيها وأعدت تقارير معززة بصور فوتوغرافية وأشرطة فيديو، وهي التقارير التي تكشف قدوم القوافل الشبانية بالصور من مدينة قصر الصبيحي ولم يؤكد مصدرنا التقاط صور لقوافل أخرى قدمت في حافلات من عين الزيتون، مصدر النصر أوضح بأن التقارير الأمنية المصورة رفعت لوالي الولاية ولم نعلم بعد الإجراء الذي سيتم اتخاذه كمرحلة تلي مرحلة التحقيقات الأمنية. هذا ونشير بأن زيارة عبد المالك سلال لولاية أم البواقي التي كانت يوم الأربعاء 13 نوفمبر 2013 جرت في ظروف عادية ميزها التنظيم المحكم ماعدا تعرض سيارة ضمن موكب سلال كان على متنها الوزير المكلف بإصلاح الخدمة العمومية محمد الغازي للرشق بالحجارة في حادثة عرضية في أولى نقاط الزيارة بالقطب الجامعي بعين البيضاء، واختتمت آخر نقاط الزيارة بتجند قوافل شبانية طيلة أزيد من 3 ساعات من الزمن في محيط السوق الجواري ومركز التسلية ودار الثقافة للمطالبة برحيل الوالي ولم تمنعهم الأمطار المتهاطلة بغزارة عن طلبهم. وكان الوزير الأول آنذاك قد صرح في حديث هامشي لوسائل الإعلام المحلية بأنه يعلم جيدا من يقف وراء تجنيد الشبان، ومن جهة ثانية كان والي الولاية قد صرح في عديد المناسبات عشية زيارة الوزير الأول بأن سياسته المنتهجة على رأس الولاية بغلق جميع منافذ الفساد ووضع حواجز أمام الطرق الملتوية للاستفادة من سكنات وعقارات لم تعجب الكثيرين ومن بينهم إطارات منتخبة. رئيس بلدية قصر الصبيحي نوري إبراهيم كشف للنصر بأنه علم بفحوى الرسالة المجهولة مؤكدا إعداد مصالح الأمن تقارير مفصلة في فحواها، مشيرا بأن عمره 62 سنة وله 5 عهدات على رأس بلديته و أعمال كهذه لا يقوم بها متهما بأن الذي يقف وراءها هم نواب برلمانيون لم ينتخب عليهم في الانتخابات التشريعية الأخيرة ولم يقف معهم في حملاتهم الانتخابية، محدثنا أشار بأن مثل هذه الأعمال مهام الطفيليين ومقامه لا يسمح له بالقيام بها. من جهته رئيس بلدية عين الزيتون كباش معوش أكد علمه بالرسالة المجهولة من دون أن يطلع عليها، نافيا نفيا قاطعا ما جاء فيها ومؤكدا بأن مصالح الدولة يدها طويلة وعريضة حسب تصريحه ومصالح الأمن تحوز قرصا مضغوطا عن الشبان المنادون برحيل الوالي،مبينا بأنه مستعد لتحمل المسؤولية إذا ثبت بأن شخصا واحدا ينحدر من عين الزيتون، متسائلا من أكون حتى أجند شبابا للمطالبة برحيل الوالي ،مشيرا بأن أصحاب الرسالة من أم البواقي ونواب في البرلمان هم من جندوا الشبان ،مؤكدا بأن أشخاصا رأت عملية التجنيد عشية الزيارة، وحسبه كذلك فالرسالة اتهمت رئيس بلدية في الشمال وآخر في الجنوب والأشخاص المعنيون بالتخلاط هم في الوسط متخفين. ممنوع التسول في سكيكدة
أحمد ذيب
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| رسائل مجهولـة كشفت عنها عقب زيارة الوزير الأول | |
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عدد القراءات: 229
تحقيقات أمنية حول اتهام منتخبين بتجنيد شبان للمطالبة برحيل والي أم البواقي
كشفت أمس مصادر موثوقة للنصر بأن تحقيقات
أمنية انطلقت خلال الأسابيع القليلة المنقضية في قضية يشتبه أن يكون
منتخبون محليون وفي مقدمتهم رؤساء بلديات متورطون فيها، وتتعلق أساسا
باتهامات موجهة لهم بتجنيد شباب للمطالبة برحيل والي ولاية أم البواقي محمد
الصالح المانع أثناء زيارة الوزير الأول عبد المالك سلال للولاية منتصف
شهر نوفمبر من السنة الماضية.
المصادر أكدت بأن التحقيقات انطلقت بعد ورود رسائل مجهولة لديوان والي
الولاية، أين طلبت الأخيرة التحقيق في فحوى رسالتين مجهولتين وردت مصالحه،
الأولى اتهمت بشكل مباشر رئيس بلدية قصر الصبيحي نوري إبراهيم صاحب الخمس
عهدات متتالية على رأس بلديته بوقوفه وراء تجنيد شبان في أكثر من حافلتين
بمقابل مادي نظير نقلهم لعاصمة الولاية والمطالبة برحيل الوالي في المحطات
التي ينزل بها عبد المالك سلال.
الرسالة المجهولة ذكرت بأن جل الشبان الحاضرين خاصة في محيط مركز التسلية والترفيه العلمي ودار الثقافة نوار بوبكر ينحدرون من بلدية قصر الصبيحي وبلدية عين الزيتون، هاته الأخيرة التي اتهمت رسالة ثانية رئيسها كباش معوش صراحة بوقوفه وراء المحافظ السابق للأفلان والسيناتور السابق العضو الحالي للجنة المركزية للحزب العتيد رشيد عساس في تجنيد شبان من عين الزيتون للهتاف بطلب وحيد هو "يا سلال نحي الوالي". الرسالة الثانية كشفت بأن المحافظ الولائي الذي تم إخراجه من مقر محافظته بالقوة العمومية في ظل تمسكه بقرار بقائه على رأس المحافظة الولائية يكون وراء تجنيد أتباعه وعلى رأسهم "مير" عين الزيتون الحالي الذي عينه المحافظ السابق محافظا مؤقتا لتسيير شؤون المحافظة، فحوى الرسالة أكدت بأن الطرفين جندا أزيد من حافلتين من شبان عين الزيتون الذين تقاضوا مبالغ مالية متفرقة جراء وقوفهم الطويل أمام المرافق التي دشنها الوزير الأول بمدينة أم البواقي ومنها السوق الجواري ومركز التسلية العلمي ورددوا طويلا هتافات مطالبة برحيل الوالي. مصالح الأمن من أعوان شرطة وفرق للدرك الوطني باشرت تحقيقات موسعة في فحوى الرسالتين المجهولتين ودققت مطولا فيها وأعدت تقارير معززة بصور فوتوغرافية وأشرطة فيديو، وهي التقارير التي تكشف قدوم القوافل الشبانية بالصور من مدينة قصر الصبيحي ولم يؤكد مصدرنا التقاط صور لقوافل أخرى قدمت في حافلات من عين الزيتون، مصدر النصر أوضح بأن التقارير الأمنية المصورة رفعت لوالي الولاية ولم نعلم بعد الإجراء الذي سيتم اتخاذه كمرحلة تلي مرحلة التحقيقات الأمنية. هذا ونشير بأن زيارة عبد المالك سلال لولاية أم البواقي التي كانت يوم الأربعاء 13 نوفمبر 2013 جرت في ظروف عادية ميزها التنظيم المحكم ماعدا تعرض سيارة ضمن موكب سلال كان على متنها الوزير المكلف بإصلاح الخدمة العمومية محمد الغازي للرشق بالحجارة في حادثة عرضية في أولى نقاط الزيارة بالقطب الجامعي بعين البيضاء، واختتمت آخر نقاط الزيارة بتجند قوافل شبانية طيلة أزيد من 3 ساعات من الزمن في محيط السوق الجواري ومركز التسلية ودار الثقافة للمطالبة برحيل الوالي ولم تمنعهم الأمطار المتهاطلة بغزارة عن طلبهم. وكان الوزير الأول آنذاك قد صرح في حديث هامشي لوسائل الإعلام المحلية بأنه يعلم جيدا من يقف وراء تجنيد الشبان، ومن جهة ثانية كان والي الولاية قد صرح في عديد المناسبات عشية زيارة الوزير الأول بأن سياسته المنتهجة على رأس الولاية بغلق جميع منافذ الفساد ووضع حواجز أمام الطرق الملتوية للاستفادة من سكنات وعقارات لم تعجب الكثيرين ومن بينهم إطارات منتخبة. رئيس بلدية قصر الصبيحي نوري إبراهيم كشف للنصر بأنه علم بفحوى الرسالة المجهولة مؤكدا إعداد مصالح الأمن تقارير مفصلة في فحواها، مشيرا بأن عمره 62 سنة وله 5 عهدات على رأس بلديته و أعمال كهذه لا يقوم بها متهما بأن الذي يقف وراءها هم نواب برلمانيون لم ينتخب عليهم في الانتخابات التشريعية الأخيرة ولم يقف معهم في حملاتهم الانتخابية، محدثنا أشار بأن مثل هذه الأعمال مهام الطفيليين ومقامه لا يسمح له بالقيام بها. من جهته رئيس بلدية عين الزيتون كباش معوش أكد علمه بالرسالة المجهولة من دون أن يطلع عليها، نافيا نفيا قاطعا ما جاء فيها ومؤكدا بأن مصالح الدولة يدها طويلة وعريضة حسب تصريحه ومصالح الأمن تحوز قرصا مضغوطا عن الشبان المنادون برحيل الوالي،مبينا بأنه مستعد لتحمل المسؤولية إذا ثبت بأن شخصا واحدا ينحدر من عين الزيتون، متسائلا من أكون حتى أجند شبابا للمطالبة برحيل الوالي ،مشيرا بأن أصحاب الرسالة من أم البواقي ونواب في البرلمان هم من جندوا الشبان ،مؤكدا بأن أشخاصا رأت عملية التجنيد عشية الزيارة، وحسبه كذلك فالرسالة اتهمت رئيس بلدية في الشمال وآخر في الجنوب والأشخاص المعنيون بالتخلاط هم في الوسط متخفين.
أحمد ذيب
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http://www.newscirta.com/content/%D8%A7%D9%84%D8%AA%D8%AF%D8%B1%D8%AC-%D8%A7%D9%84%D8%AA%D8%A7%D8%B1%D9%8A%D8%AE%D9%8A-%D9%84%D8%AA%D8%B3%D9%85%D9%8A%D8%A9-%D9%82%D8%B3%D9%86%D8%B7%D9%8A%D9%86%D8%A9
قسنطينة
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التدرج التاريخي لتسمية قسنطينة
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كرتن CRTN
تعد
كرتن هي التسمية الاولى لمدينة قسنطينة، و التي تعني باللغة البونية
السامية المدينة او القلعة، وهذا ما ظهر على عملة البرونز القديمة التي عثر
عليها بضواحي المدينة والتي تحمل على وجهها راس امراة يعلوه تاج يأخذ شكل
برجيات( تصغير لبرج) مسننة في أعلاها تتخللها أبواب يعتقد بانها تشير الى
ابواب سيرتا القديمة اثناء حكم الملوك النوميديين. والى جانب الراس وجدت
كتابة بونية جديدة (Néo-Putanique) تتكون من اربعة احرف هي (ك.ر.ت.ن)
والتي تشير الى اسم كرتن او كرتة القديمة. و قد تكررت هذه الكلمة 'كرتن' في
العديد من القطع النقدية البرونزية غير أنه يلاحظ ان هذه العملة قد ضربت
في فترة الملك يوبا الأول او بزمن قليل قبله و هي بذلك تعود الى القرن
الأول قبل الميلاد ذلك لأنها كتبت بحروف من نوع الكتابة البونية الجديدة و
التي لم تتداول في شمال افريقيا على نطاق واسع الا خلال القرن الأول قبل
الميلاد و ذلك على خلاف الملوك النوميديين الاوائل الذين استعملوا الكتابة
البونية في سك قطعهم النقدية.
سيرتا Cirta
اما
تسمية سيرتا فما هي الا لفظ لكلمة كرتن أطلقه الرومان والذين تعذر عليهم
نطق الكلمة كما هي و بذلك تحول الاسم من كرتن الى سيرتا. و تعود بذلك
تسمية سيرتا الى بداية الاحتلال الروماني لنوميديا في سنة 46 قبل الميلاد
وذلك عندما صارت سيرتا عاصمة لاتحاد السيرتي الذي أنشأه المغامر سيتيوس (
P. Sittius) الذي وقف الى جانب قيصر في حروبه لبقايا البومبيين و حلبفهم
يوبا الاول ملك نوميديا في شمال افريقيا.
قسنطينة Constantine
قسنطينة
او Constantine هو اخر الاسماء التي اطلقت على هذه المدينة و التي استمرت
حتى يومنا الحالى. و ترجع هذه التسمية الى بداية القرن الرابع ميلادي نسبة
الى اسم قسطنطين الكبير ( Constantine le Grand) و الذي عمل اعادة بنائها و
ترميم اسورها وكذا تجميلها و من ثم اعطاها اسمه في سنة 313 قبل الميلاد. و
يذكر ان هذه المدينة قد عرفت دمارا هائلا أثناء الحرب التي نشبت بين
امبراطور روما كسانس ( Mascentieus) و الاسكندر (Alexandre) دومينيوس الذي
أعلن نفسه امبراطورا على شمال افريقيا و ذلك سنة 311 م و اتخذ سيرتا عاصمة
له غير مبال بالسلطة في روما
http://www.newscirta.com/content/%D8%A7%D9%84%D8%B1%D8%A6%D9%8A%D8%B3%D9%8A%D8%A9
UNE LARGE COMPAGNE DE
SENSIBILISATION ET D EXPLICATIONS AUPRES DE LA POPULATION PAR L
INTERMEDIAIRE DE LA RADIO DE CIRTA AUJOURD HUI A REDJAS AFIN D INCITER A
PARTICIPER MASSIVEMENT AU VOTE;POUR ALLER VOTER LE 09 AVRIL PROCHAIN.
Allez s'exprimer pour le choix d'un elu,c'est accomplir son devoir de citoyen et faire acte de civisme. le p/apc en direct à la chaine de la radio Commentaire d’une visite de la Radio Cirta F M DE Constantine S’agissant d’un événement inédit et très important caractérise par la radio Cirta F M de Constantine, qui vient de nous rendre visite au siège de l’assemblé communale de Oued Endja dans un but bien précis. La journaliste animatrice et son acolyte à leur y arrivée, ils ont été accueillis par le P/APC et ses adjoints .L’objectif de cette visite se limite dans le cadre des préparatifs des élections présidentielles prévues pour le 09/04/2009, date arrêtée par le président de la république et publiée dans les journaux nationaux .Cette préparation comme la stipule la loi électorale se précède d’abord par une révision exceptionnelles des listes électorales qui permet aux citoyens et citoyennes de s’inscrire sur les listes électorales soit la première fois pour ceux qui atteignent l’âge de 18 ans le jour du suffrage, soit pour ceux ayant changé leur lieux de résidence . Administrativement, c’est une opération d’assainissement des listes électorales .A cet effet ; et après une brève allocution de bienvenue prononcée par le P/APC de Oued Endja en l’honneur de la radio Cirta FM de Constantine, la journaliste animatrice s’est enquise d’abord de la préparation matérielle et humaine assignées à ce genre de manifestation politique nationale pour passer ensuite a interroger un échantillon de citoyens qui s’étant sur toutes les couches de la société pour tâter de ce qu’ils pensent de cet événement particulier qui est les élections présidentielles. Dans ce cadre ‘ la journaliste animatrice de l’émission n’a pas manqué de diriger l’entretien et la discussion dans le sens de l’importance que revêt ces élections dans la vie des citoyens et la nation en générale pour choisir le premier magistrat du pays .Cet événement ( classique) en quelque sorte donne la possibilité aux citoyens et citoyennes de marquer une pause et d’établir un bilan d’activité politique des politiciens qui nous président et gèrent nos affaires pour pouvoir les sanctionner négativement ou positivement autant qu’ils méritent. A l’évidence, et a mon avis et je vois que tout le monde s’abonde dans ce sens ; aller voter le jour de suffrage est un droit et un devoir pour tout un chacun qui s’érige en citoyen a part entière .bref, et quoi qu’elle soit a l’improviste, cette rencontre a effectivement réussi et a donné beaucoup d’enthousiasme a l’échantillon des citoyens président a cette émission qui a fini par prendre des photos souvenir ensemble souhaitant d’autres rencontres dans d’autres occasions similaires. LAIB ZIDANE http://azzouz23656.e-monsite.com/pages/content/article-cache/visite-de-la-radio-cirta-f-m-de-constantine.html
CONSTANTINE n° 272 28e BCC 2e compagnie
Livré au 1er bataillon du 512e RCC à Châlons.
Versé au 28e BCC 2e compagnie le 28 août 1939.
Détruit à Flavion (B), le 15 mai 1940.
Equipage :
Chef de char : Sous-lieutenant Blanc
Pilote : Caporal-chef Juillard
Aide-pilote : Chasseur Bonfor
Radio : Chasseur Cauvet
http://www.chars-francais.net/new/index.php?option=com_content&task=view&id=192
http://www.chars-francais.net/new/index.php?option=com_frontpage&Itemid=1
Avec la participation de : Antoine MISNER, Webmestre depuis 1999 et :
Roger
AVIGNON, Jean-Pierre VALANTIN, Pierre TOUZIN, Olivier DEBRAS, Thierry
FAUCHERET, Robert FOUR, Laurent PROVOS, Emmanuel GORIOT, Claude
BALMEFREZOL, Laurent LECOCQ, David LEHMANN, Daniel RABBE, Jean-Philippe
UHRING.
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940 28e BCC - JMO
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28e BATAILLON DE CHARS DE COMBAT
Formé à Chalons sur Marne avec des éléments actifs du 512e R.C.C. et des réservistes provenant de nombreuses régions.
Au
cours de la campagne de 1940, il y eut deux 28e B.C.C. En 14 jours
de campagne en Belgique, la formation d'origine fut entièrement
décimée. Reformé une seconde fois, le nouveau bataillon eut à peu
près le même sort durant la campagne de France. La vie de ces deux
formations se divise en sept périodes.
I. 26 AOÛT 1939 - 10 MAI 1940
26 AOÛT
Le Bataillon est alerté et le noyau actif mobilisé.
27 AOÛT
18h30, l'ordre de départ est donné.
28 et 29 AOÛT
Les
trois compagnies s'embarquent à la gare de Chalons-sur-Marne et
après débarquement à Gibeauvoisin vont cantonner à Montauville et
Mamey en réserve de G.Q.G.
L'échelon B, mobilisé à Mourmelon rejoint par voie de terre.
1er SEPTEMBRE
L'arrivée de l'échelon B complète les unités.
2 SEPTEMBRE
Le stationnement s'étend à Blenodles-Ponts-à-Moussons. La 1/2 Brigade est constituée avec le 37e B.C.C.
10 SEPTEMBRE
Le
bataillon fait mouvement pour aller cantonner, P.C. et C.E. à Flins ;
1ère Compagnie à Glonville ; 2e Compagnie à Fontenay-la-Soutte ;
3e Compagnie à Domptail.
10 DÉCEMBRE
Transporté dans la région de St Marc-s/le-Mont en vue de son endivisionnement.
1er JANVIER 1940
La 1ère D.C.R. est constituée.
Nouveau
déplacement dans la région de Suippes. Le bataillon cantonne,
P.C, 1ère et 3e Compagnie Souain ; 2e Compagnie Mourmelon/Suipes.
La
région de Suippes-Mourmelon est bombardée. De nombreux combats
aériens ont lieu au-dessus de Souain et Tahure. Un avion allemand
atteint par la D.C.A. est descendu, le pilote est capturé. La 2e Cie
est bombardée dans son cantonnement.
II. 11 MAI - 25 MAI
11 MAI
Les
unités sont mises en mouvement. Les éléments chenilles embarqués à
Suippes et les éléments sur roues dirigés sur Laon par Reims et
Marchais. En cours de route le convoi est bombardé par avions à basse
altitude.
12 MAI
Débarquement des trains a lieu à Jumet
(nord de Charleroi). Les unités vont stationner, P.C., 1ère et 3e Cie., à Vieux-Campinaire.
5 heures. La colonne sur roues continue son mouvement par Sery, Stancourt et Urvilliers où elle parvient à 19 heures.
20 heures. Elle en repart par St-Quentin - Le Cateau - Maubeuge - Erquelines et Charleroi.
13 MAI
Au petit jour, la 2e Compagnie débarque et rejoint les boqueteaux sud-est de Fleurus.
14
heures. Les éléments sur roues arrivent après avoir été soumis à
des attaques d'avions durant tout leur déplacement. Dans la matinée
on apprend que l'ennemi a franchi la Meuse entre Namur et Dinant et y
a créé une tête de pont.
15 heures. La 1ère D.C.R. reçoit l'ordre de se porter sur la poche créée par les Allemands et de les contre-attaquer.
14 MAI
15h30,
le Bataillon se dirige sur Lambersart puis Fosse où sa mission est
précisée "se diriger d'urgence sur le sud jusqu'à Mettet"
Position de départ : Nord de Flavion en liaison au nord avec le 37e qui doit se porter sur Biert-l'Abbé.
18h15. Les compagnies atteignent leur position de départ.
1ère Compagnie à gauche au sud du bois de Biert-l'Abbé.
3e Compagnie à droite, 1 km. nord de Flavion.
2e Compagnie en réserve, protégeant le flanc droit à la corne du bois, 1500 m nord de Flavion.
Ce
déplacement s'exécute sans gêne appréciable, mais le 37e B.C.C.
ne sera en place qu'à 22 heures. Le déclenchement de la
contre-attaque est reporté au lendemain au petit jour.
22
heures. Des maisons de Flavion sont en flammes. L'angoisse devient
grandissante. Durant deux heures on entend un bruit considérable de
chenilles qui semble s'arrêter aux environs de Anthee. Puis un
silence troublant succède à ces bruits. Autre sujet d'inquiétude, le
ravitaillement d'essence n 'arrive pas et les chars n'ont plus une
heure de marche dans les réservoirs : ce qui fait modifier la mission
du bataillon. "Tenir coûte que coûte, interdire à l'ennemi le
franchissement de la ligne générale Ermeton/s/Biert - Flavion".
Durant
cette journée, la compagnie d'échelon qui stationne à Fleurus y
est bombardée. A 13 heures elle va s'établir au bois de Pironchamp et
à 19 heures la Section de dépannage rejoint Oret.
15 MAI
3h30
Les T.C. des Compagnies sont regroupés dans les bois entre Oret et
Florennes. Malgré tous leurs efforts, les chenillettes de
ravitaillement ne parviennent pas à atteindre les unités.
5h30.
Devant le front occupé par le bataillon, une compagnie de
tirailleurs se replie sans être attaquée. On a l'impression qu'aucune
troupe française n'existe devant le bataillon.
7
heures. Sur une longueur d'onde Inférieure au réseau, la 3e
Compagnie reçoit avec puissance une série de lettres et de chiffres.
Ce qui laisse supposer que l'émetteur est proche et ennemi.
8h10 Le silence est rompu par quelques rafales d'armes automatiques.
8h30
L'attaque allemande se déclenche d'Anthee sur Flavion. La 5e Panzer
Division dévale, déployée, les pentes d'Anthée et déferle sur
Flavion en direction de Philippeville. La 3e Cie ouvre le feu, de
nombreux chars ennemis sont touchés. Les PzKW III et IV entrent on
action. La lutte devient intense sur tout le front du Bataillon.
Le
tir des B est terriblement efficace, cependant, sans arrêt les
vagues des blindés allemands se succèdent, les brèches qui sont
faites sont immédiatement comblées. La 3e Compagnie est attaquée de
front par de nombreux engins. D'autres se dirigent sur Flavion pour le
contourner par le sud et la 3e Cie est lancée à la contre-attaque sur
Flavion et ses lisières ouest.
9 heures Le combat bat son plein. Sans relâche, les B tirent et luttent à 1 contre 15.
11
heures L'attaque très durement éprouvée, fléchit. Le feu se
ralentit. De nombreux chars allemands sont immobilisés et brûlent. Le
calme semble revenir.
12
heures De nouvelles masses de chars apparaissent. La 7e Panzer entre
en ligne. Le combat reprend avec violence. L'attaque ennemie
progresse sur le flanc droit, menaçant les arrières du bataillon.
14
heures Le bataillon tient toujours. Les chars tirent quelquefois à
bout portant et les pertes qu'il subit amenuisent de plus en plus son
action. Pourtant à 17 heures, le Bataillon tient toujours et à 18
heures, la 1/2 brigade donne l'ordre de se replier sur Chastre et
Beaumont. Les postes radio ne reçoivent plus. Il faut transmettre
l'ordre par agent de liaison. Les rescapés qui peuvent être touchés
se replient par Stave - Oret et Chastre, tandis que les chars en
panne cloués sur place tirent jusqu'à l'épuisement de leurs
munitions.
19 heures On entend encore la voix des B en action dans la clairière de Flavion.
A
aucun moment, le bataillon n'a reçu le moindre appui, ni de
l'infanterie, ni de l'artillerie, ni d'autres chars, pas plus que de
l'aviation, alors que le champ de bataille a constamment été survolé
par l'aviation ennemie.
Dès 15 heures La S.D. se replie sur Fraire puis Beaumont et, ensuite, sur les Trois Pavés.
A 19 heures Les T.C. retraitent sur Castre - Walcourt - Cousoire - Berelles et Eccles.
Dans la nuit, quelques chars se regroupent à Solre-le-Château.
LE COMBAT DE FLAVION
Dans
ce baptême du feu les équipages ont fait preuve d'un sang-froid
remarquable, d'une bravoure raisonnée conjuguée de réflexes précis.
Les radios passent et reçoivent avec calme et sans erreur. Cependant,
la lutte est dure, les caisses résonnent sous les obus qui claquent
sur les blindages.
Dès
10h30, après deux heures de lutte, les pots d'échappement sont
percés ; les antennes arrachées ou cisaillées. Déjà le terrain est
parsemé de cadavres de chars ennemis. Sans arrêt les B tirent de tous
côtés en avant, en arrière, à droite et à gauche.
Devant
la 3e Compagnie, sept PzKW IV sont inertes. Six autres chars sont en
flamme devant le PHILIPPEVILLE. En un instant, le TAMATAVE et le
SOUSSE en détruisent chacun trois. La 1ère Compagnie aura plus de 3
appareils ennemis à son tableau de chasse.
Le
QUINCY, pris à partie par une quinzaine de PzKW III et PzKW IV a son
radiateur percé. Son moteur s'arrête. Et ce n'est que grâce à la
pente du terrain, en descendant "en roue libre", qu'il peut se
soustraire aux feux de ces adversaires. Son équipage est recueilli
par le TUNIS.
Le
TOMBOUCTOU, par suite d'une fuite d'huile au naeder, se trouve
immobilisé dans le bois où il est parvenu. Ses freins de direction
n'agissent plus. Le Chef de char veut entrer dans la lutte, demande à
son appareil un suprême effort, tente une sortie du couvert. Il se
trouve devant des pièces d'artillerie et derrière lui huit chars
ennemis ouvrent le feu sur lui. Le feu prend à bord, l'aide-pilote
réussit à éteindre le début d'incendie. La lutte reprend. Une
chenille du TOMBOUCTOU est atteinte et projetée à 20 mètres de lui.
Immobilisé, l'équipage sort, pistolet au poing, par la porte de
secours du plancher, mais est cueilli par l'infanterie. allemande qui
entoure le char ; l'équipage se doit de n'être fusillé par les
assaillants que grâce à l'intervention d'un Colonel de Blindés
allemand qui est touché de leur bravoure. (Ce Colonel n'est autre que
Rommel).
Le
BRAZZAVILLE est atteint par un coup direct de 150, son avant n'est
pas percé mais une gerbe d'éclats jaillit à l'intérieur. Sous le
feu, l'équipage évacue le char et ramène 3 blessés que le TUNIS et le
CASABLANCA recueillent.
Un
à un, à bout d'essence, les appareils s'immobilisent. Les munitions
s'épuisent, le feu se ralentit alors que l'attaque allemande est
toujours aussi violente. Sous le feu, la rage au coeur, les chars
sont abandonnés et mis en feu par leur équipage qui, en rampant,
traversent les formations ennemies. Quelques-uns seront fait
prisonniers, nombreux seront ceux qui au prix de mille dangers,
risquant leur vie, rejoindront plusieurs jours plus tard la division.
16 MAI
Au
matin, il ne reste plus que 7 chars qui défendent Beaumont et les
villages voisins. Toute la journée, ils tiendront l'ennemi en échec,
jusqu'à leur destruction par les anti-chars adverses.
La
Section de dépannage constamment harcelée par les attaques de
l'aviation, après cinq six heures de trajet, rejoindra péniblement la
Compagnie d'échelon dans la forêt de Nouvion.
12
heures. Un ravitaillement en essence part pour les Chars maintenus à
Beaumont. Il est détruit avant d'atteindre le village.
15 heures Les T.C. font mouvement sur Avesnes.
Au
soir, ils se replient sur la fourche des Trois Pavés d'Avesnes puis
sur la Capelle, deux B, quelques H 35 des 25e et 26e B.C.C. avec des
éléments du 5e Bataillon de Chasseurs.
22h30.
L'ennemi attaque Solre-le-Château, s'en empare et progresse sur
Avesnes (en flammes). Le TUNIS et le BASSETERRE avec une section du
25e B.C.C. et quelques éléments du 5e Chasseurs, reçoivent l'ordre de
se porter sur Etreungt, d'en interdire les accès nord et nord-est,
de retarder l'ennemi, et, ensuite, de se replier sur La Capelle ou
sur Guise.
Les convois de troupes et de réfugiés passent sans arrêt.
17 MAI
2 heures. Les convois cessent.
3
heures. Le TUNIS, qui n'a plus que 12 litres d'essence, décroche
suivi des H 35 et des Chasseurs, passe à Le Nouvion, Etreux,
St-Germain et Guise.
18 MAI
Le
mouvement de retraite entraîne les restes du bataillon jusque dans
la forêt de Traconne (région d'Esternay) où les rescapés, à la
limite de la résistance physique, peuvent être regroupés à Launat.
25 MAI
Ils sont dirigés sur Guyancourt (région de Versailles).
III. COMBAT SUR L'AISNE 18 - 24 MAI
18 MAI Compagnie Gaudet
Quelques
équipages des 28e, 37e et 15e B.B.C. ont rejoint Mourmelon avec les
matériels laissés au Parc n° 1, B1 et B1 bis. Une compagnie de marche
est constituée, sous le commandement du Lieutenant GAUDET du 37e
B.C.C.
S/Lieut. DECRETE (28e) B 1 n° 132 POITOU
S/Lieut. RAPP (28e) B1 n° 112 MULHOUSE S/Lieut. RUDOLPH (28e) B1 n° 122 ALSACE Sergent GRENNERAT (28e) B1 n° 127 JURA S/Lieut. LE CAIGNAC (28e) B1 bis n° 217 CANTAL S/Lieut. MALLET (28e) B1 bis n° 402 VILLERS BRETONNEUX S/Lieut. BLANIE (28e) B1 bis n° 246 TEMERAIRE
Ce
groupement improvisé, avec des effectifs très réduits jusqu'à
destruction complète le 24 mai, combat dans les rangs de la 14e D.I.
http://www.chars-francais.net/new/index.php?option=com_content&task=view&id=588&Itemid=71
CONSTANTINE n° 272 28e BCC 2e compagnie
Livré au 1er bataillon du 512e RCC à Châlons.
Versé au 28e BCC 2e compagnie le 28 août 1939.
Détruit à Flavion (B), le 15 mai 1940.
Equipage :
Chef de char : Sous-lieutenant Blanc
Pilote : Caporal-chef Juillard
Aide-pilote : Chasseur Bonfor
Radio : Chasseur Cauvet
Les informations non confirmées ou supposées sont en italique grisé
Avec la complicité de M. François Vauvillier
CHARS B1 bis non identifiés
galery/1936 b1bis-xhttp://www.chars-francais.net/new/index.php?option=com_content&task=view&id=524&Itemid=66 |
MAQUETTE B1 bis Aide au Montage
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