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أثارت خليدة تومي وزيرة الثقافة جدلا واسع النطاق بآرائها في الدين الإسلامي وأركانه .. في نصوص صادمة من كتابها - خليدة جزائرية واقفة - وهو عبارة عن حوار بينها وبين الصحفية الفرنسية إليزابيث شملة. وصفت في هذا الحوار، الصلاة بأنها "إهانة" لكرامة الإنسان، حيث يضع المسلم رأسه على الأرض أثناء الصلاة، وهو ما يعد أكبر إهانة له، على حد قولها.
وأضافت في كتاب لها يحمل عنوان "خليدة مسعودي جزائرية واقفة": "قررت ألا أصلي صلاة المسلمين، وحتى القرآن لا يوجد به ذكر للصلوات الخمس، ولأن وضع الرأس على الأرض أكبر إهانة للإنسان، ولأن هذه الصلاة المجسدة للعبودية فكرة من ابتكار بدو السعودية النخاسين، فقد قررت أن أؤدي صلاة غير صلاة المسلمين، فقد طويت سجادتي ووضعتها في قفة وقررت بذلك التخلص من الأكاذيب والنفاق".
وتابعت في عبارات نقلتها وسائل إعلام أوروبية عن الكتاب: "أفضل أن أستغل أموال الحج في بناء قاعات سينمائية وتشجيع الفن، أنا أتأسف على الأموال التي تضيع هناك في الحج التي كان من المفترض أن تنفق على بناء قاعات سينما".
موجة الغضب وصلت إلى القنوات الدينية حيث قال الداعية المصري خالد عبد الله في برنامجه " مصر الجديدة" الذي يقدمه على قناة الناس: إن حديث وزيرة الثقافة خليدة تومي، بشأن الصلاة ورفضها لها، يضعها في بند "كافرة". وتابع: "لدينا في مصر علمانيون ممكن يكونوا مثل الوزيرة في جلساتهم الخاصة، ولكنهم يخفون ذلك عن العامة خوفًا من المجتمع الذي مازال محافظا على طبعه الإسلامي".
وفي أول رد فعل ندد حزب الصحوة الحرة لما ورد في هذا الكتاب، حيث قال رئيس الحزب عبد الفتاح زراوي حمداش أنه يجب أن لا نسكت عندما تمس عقائدنا".
غير أن الملفت للانتباه هو الوقت الذي أثيرت فيه الضجة باعتباره أن الاستجواب حّل إلى كتاب بين سنتي 1996 – 1999 ، فمن له مصلحة في الجدل؟.
م.ج
« De tels inconvénients peuvent arriver dans n'importe quel pays du monde et il est exclu d'impliquer la qualité du médicament, car tout vaccin, qu'il soit administré à un enfant ou à un adulte, peut provoquer des complications. La chose est connue partout à travers le monde», nous a déclaré, rassurant, le docteur Khelifi-Touhami Tahar, pédiatre à Constantine, à propos des 12 enfants du CEM Djamel-Eddine El Afghani du Chalet des Pins qui ont été hospitalisés jeudi après avoir été vaccinés contre la diphtérie. Cette situation, que beaucoup d'autres spécialistes ont qualifié de «normale», car le corps humain peut, parfois,«réagir mal à l'administration sous cutanée d'un médicament», a pourtant provoqué beaucoup d'appréhension, voire un désarroi, au sein des familles dont les enfants sont scolarisés dans cet établissement et qui ont déjà été vaccinés. Le CEM en question compte plus d'une cinquantaine d'élèves qui ont été vaccinés. Et, d'une façon générale, c'est le même sentiment d'inquiétude qui prévaut chez toutes les familles qui ont appris l'information. De sorte que, durant le week-end, le sujet était dans toutes les conversations et beaucoup de gens ont incriminé l'unité de dépistage scolaire (UDS) qui aurait administré aux enfants des vaccins périmés ou «avariés». Et en l'absence d'informations officielles provenant des organismes concernés la rumeur ne cesse de grossir et prend des proportions démesurées. Toutefois, des informations collectées à différentes sources fiables mais que nous n'avons pas pu vérifier ni auprès de la Direction de la Santé ni au CHU au motif que les responsables étaient injoignables, affirment que des doses du vaccin incriminés ont été remis à la DSP pour être acheminés, dès aujourd'hui dimanche, à l'Institut Pasteur d'Algérie (IPA) aux fins d'examens de laboratoires. Entre-temps, les autorités sanitaires ont pris la décision de stopper le programme de vaccination dans l'établissement indiqué en attendant les résultats de ces examens. Rappelons que les douze enfants -dont dix fillettes- qui ont été indisposés par le vaccin ont été acheminés d'urgence au CHU de Constantine mercredi matin dès l'apparition des symptômes (baisse de la tension artérielle, vomissements, gestes lents, etc). Ils ont été examinés par des médecins spécialisés et reçu les soins appropriés à leur état de santé. Après avoir été gardés en observation pendant 48h, ils ont été autorisés à rentrer chez eux. Mais cette décision n'a pas eu le don de plaire aux familles concernées qui s'étaient présentées à l'hôpital. Elles ont élevé de vives protestations, estimant que leurs enfants devaient bénéficier d'une plus longue période d'observation.
Mais les autorités hospitalières ont rétorqué qu'ils ne pouvaient pas garder plus longtemps ces enfants dont l'état de santé ne présente pas d'inquiétude et qu'il fallait libérer les lits pour d'autres malades dont l'état est autrement plus grave.
D'autres habitants nous ont contactés hier en début d'après-midi pour nous signaler qu'ils ont appris qu'un programme d'amélioration urbaine de plus d'une vingtaine de milliards de centimes vient d'être lancé dans leur quartier et, en réaction à cette perspective, ils ont estimé qu'il n'en est rien. «C'est de la poudre aux yeux ! ont-ils rétorqué, et les autorités de la commune et de la daïra nous ont habitué à ce genre de promesses destinées à nous faire patienter. Il y a peu de temps, par exemple, nous avons entendu que des projets d'ouverture de routes destinés à désenclaver la cité allaient être lancés. Mais il n'y a toujours rien. Les autorités ont évoqué le mauvais temps qui ne facilite pas ce genre de travaux.
Mais le soleil est revenu et avec lui le beau temps, mais on ne voit rien venir». Contacté hier même par nos soins, le président de l'Assemblée populaire communale de Hamma-Bouziane, M. Atrous Mokhtar, nous a confirmé que le plan d'amélioration urbaine touchant la 3ème tranche de la cité de Bekira a été lancé «il y a une vingtaine de jours par la Direction de l'urbanisme et de la construction (DUC)». Il a précisé encore que le programme porte sur les travaux de voirie, l'assainissement, l'électrification dont la valeur globale peut atteindre une trentaine de milliards de centimes.
Toutefois, le P/APC a cru bon de remarquer que «l'implantation des chantiers n'a pas encore commencé» et que «la procédure administrative est relativement longue et s'accompagne de certaines règles comme celle concernant la période impartie aux éventuels recours, le temps que prendra la délivrance des ordres de service (ODS) aux entreprises retenues, etc», a expliqué M. Atrous. Le président de l'APC a ajouté que le lancement des travaux d'amélioration urbaine concernant la 3ème Tranche se fera parallèlement à celui qui touchera la route principale de la cité qui s'élance vers les hauteurs de la cité depuis la RN 3. «Et le chantier des travaux sur la portion de route menant à la 3ème Tranche à partir du terminus des bus commencera dans une semaine tout au plus, car nous attendons le signal du contrôle financier qui examine les contrats et donne le feu vert pour la délivrance des ODS», a affirmé le maire.
En terminant, M. Atrous a signalé que le même genre de programme touche également la cité Djebli-Ahmed, plus connue sous le nom de «Kantoli». Il ajoutera enfin, qu'en parallèle, une opération d'aménagement d'espaces verts va toucher 8 quartiers du chef-lieu de daïra et de commune en citant les noms de ces quartiers et en précisant que le délai de réalisation de ces espaces ne dépassera pas les deux mois. A charge aussi pour l'entreprise réalisatrice l'entretien de l'espace vert durant une période de six mois, car cette clause est contenue dans le contrat qu'elle a signé avec la DUC.
Sur l’une de banderole on pouvait lire : « Rendez nous notre pays. Djazair Hora, libre et démocratique ». Des militantes venues d’Alger ont également pris part à ce rassemblement.
Munis de pancartes sur lesquelles ont pouvait lire : Résident Evil. Non au Feraoun, on veut un Etat de droit. Non au quatrième mandat ». Des slogans hostiles au système ont été scandés. « Système dégage. Y’en marre de ce Pouvoir. Ulac Smah Ulac, Tab Jnanek Bouteflika. Ya Said ya Sellal système à la poubelle. Fakakir Fakakir, Fako Fako El Fakakir ». Hormis la présence de policiers des services de renseignements (RG), aucun cordon de service de sécurité n’a été déployé sur place, a-t-on constaté sur place.
Les manifestations se sont dispersées dans le calme vers 12H.
cristalazaroud
le 12.04.14 | 13h38
mazagran1957
le 12.04.14 | 13h15
EL FELLAG 2
le 12.04.14 | 13h15
Ce n'est d'ailleurs pas mon objectif tant il est vrai que, à mon avis, les bilans doivent être faits en public et soumis, nécessairement, au verdict des citoyennes et des citoyens. Je dois tout simplement vous dire que les positions que vous avez prises depuis quelques mois m'interpellent, en tant que citoyen algérien, à plus d'un titre.
Après une absence de plusieurs années, vous qui aviez occupé de hautes responsabilités dans les institutions de l'Etat algérien, vous êtes rentré en Algérie pour vous porter candidat à la candidature aux élections présidentielles du 17 avril 2014. Au cours de votre exil suisse, vous vous êtes enrôlé dans un parti politique et vous en êtes même devenu une vedette à un moment donné.
Certes, vous avez intégré ce parti, le Parti Radical de Cologny en l'occurrence, parce qu'il répond, dans le contexte suisse, à vos visions et convictions libérales. Mais, vous n'avez pas hésité à le quitter en l''accusant d'être " islamophobe " pour rejoindre un autre, le Parti Libéral Radical dont vous n'êtes plus, naturellement, membre. Vous avez même crée, en Suisse, l'Association suisse des Musulmans pour la Laïcité (ASML). Il faut dire que vous avez mis beaucoup de temps pour faire votre choix de l'Algérie - en matière d'engagement politique bien entendu-, mais, comme la gestion du temps obéit à des critères souvent irrationnels, je me contenterai de reprendre à mon compte un vieil adage : mieux vaut tard que jamais.
En Algérie, faut-il le rappeler, celle-ci que vous aspirez à présider, vous n'avez jamais appartenu à un parti politique. De prime abord, cela peut sembler compréhensible puisque, en plus de la culture politique algérienne basé essentiellement sur la prééminence du chef, les visions et les approches politiques de nos partis sont souvent illisibles à tel point qu'il est pénible, même pour les analystes les plus fins, de faire la distinction entre tel et tel autre parti autrement qu'à travers leurs dénominations.
Ceci, et je vais être parfaitement d'accord avec vous, est une très bonne raison pour ne pas prendre au sérieux le paysage politique national. Néanmoins, le peuple algérien auquel j'appartiens ne se souvient nullement d'une position prise par Monsieur Ali Benouari en sa faveur, en faveur de la démocratie ou en faveur de l'Algérie d'une façon générale, au cours de ces vingt dernières années. Votre retour au bercail relève-t-il, pour ainsi dire, d'un mea culpa à l'adresse des Algériennes et des Algériens? Je ne saurais le dire. Néanmoins une analyse sérieuse de votre démarche politique depuis que vous êtes rentré au pays m'en donne une image absolument incohérente. D'abord, vous avez décidé individuellement, ou peut-être avec le concours de quelques uns de vos proches collaborateurs, de vous porter candidat à la candidature aux élections présidentielles de 2014. Si votre décision est fondée du point de vue de la loi, il n'en demeure pas moins que, moralement, elle relève d'un mépris actif pour l'activité militante à laquelle vous déniez indirectement toute pertinence politique. En fait, en inscrivant votre candidature dans une optique non partisane, non-militante, non-populaire, vous ne faites que légitimer la logique du pouvoir en place qui privilégie les " candidats indépendants ", lesquels candidats sont faciles à manipuler et, par essence, non comptable devant " leur " base militante puisque ils n'en ont pas, dans l'objectif de déqualifier ad vitam aeternam l'activité politique. Ensuite, vous affichez un mépris encore plus prononcé pour le peuple algérien dont vous ne semblez solliciter ni la sympathie, ni le soutien. En effet, la démocratie à laquelle vous appelez mais dont vous ne semblez pas bien imprégné consiste, par essence, à permettre au peuple de choisir d'abord ses candidats, ensuite ses élus. Or, en déniant le premier droit aux Algériennes et aux Algériens, à savoir celui de choisir leurs candidats, vous ne leur donnez aucune garantie de respecter le deuxième, c'est-à-dire celui de choisir leurs élus. Bien au contraire.
Vous êtes libéral, favorable à une rupture radicale avec le système en place et vous l'assumez pleinement, ce qui est presque une première dans les annales de la jeune démocratie algérienne. En effet, face à des partis politiques et à des personnalités versatiles pour lesquels l'incohérence est synonyme de tactique, l'opacité est synonyme de prudence, l'entêtement est synonyme de conviction, la couardise est synonyme de sagesse, l'inefficacité est synonyme de complot, l'éloge du statu-quo est synonyme de vision à long terme, etc., votre franchise, votre clarté et votre pragmatisme valent bien leur pesant d'or. Bien que vous ayez été loin de l'Algérie des années durant, vous y êtes resté très attaché et c'est visible dans votre façon de faire étalage, à chaque fois que l'occasion vous est donnée, des problèmes et des problématiques auxquels font face, au quotidien, les Algériennes et les Algériens. Votre capacité à identifier les blocages qui paralysent, depuis au moins un quart de siècle, l'Algérie, votre aptitude à cerner la crise algérienne dans ses diverses dimensions, sont indéniables. En écrivant, dans votre lettre au Président de la Commission Européenne, au Président des Etats-Unis et au Secrétaire Général de l'ONU, qu'il faut rompre avec la gestion autoritaire ", " la dépendance de notre économie des hydrocarbure ", vous ne risquez pas de vous faire contredire par les Algériennes et les Algériens, encore moins les " experts " que vous évoquez. Néanmoins, à la lettre, il manque l'esprit. Pour, au moins, deux raison essentielles.
Premièrement, après avoir échoué à faire valider votre candidature à l'élection présidentielle de 2014 auprès du Conseil Constitutionnel, vous avez dénoncé une partialité de celui-ci prétextant que le pouvoir aurait " peur de vous ". Possible. Vous avez par la suite rejoint le staff du candidat Ali Benflis. C'est un engagement qui a, tout au moins, le mérite de donner de vous l'image d'un intellectuel en mouvement. Cependant, vous n'êtes pas sans savoir que votre lettre à José Manuel Dura?o Barroso, Barak Obama et Ban Kimoon est susceptible d'être interprétée comme étant un appel au soutien de l'Union Européenne, des Etats-Unis et de toute la communauté internationale à votre candidat, Monsieur Ali Benflis, et non pas l'avènement d'un " régime démocratique " en Algérie dont vous parlez. De plus, vous gratifiez l'Europe, et l'Occident d'une façon générale, d'une crédibilité dont vous êtes, me semble-t-il, le seul à voir les manifestations. Si, en effet, il est vrai que les régimes occidentaux sont essentiellement démocratique, il n'en demeure pas moins que ceux-ci se sont construit sur la paupérisation, l'exploitation et l'humiliation de plusieurs peuples du monde, dont le notre, et que la solidarité internationale au nom de laquelle vous les appelez à " encourager la démocratie en Algérie " n'est qu'un instrument de mise à mort des souverainetés nationales et de fragmentation des Etats-nations qui a déjà été expérimenté ailleurs, en Yougoslavie, au Soudan, au Congo, en Centrafrique, au Mali, en Irak, etc. Donc, de grâce Monsieur Ali Benouari, soyez franc comme vous l'avez toujours été : votre objectif est-il de mobiliser la communauté internationale en faveur de votre candidat, Monsieur Ali Benflis ?
Deuxièmement, vous parlez dans votre lettre d'une Algérie fragile qui, " au terme du prochain mandat présidentiel (2019), risque de ne même plus pouvoir nourrir sa population, qui se sera accrue, entre-temps, de 4 millions d'âmes. " Vous évoquez également un " pouvoir dictatorial qui " est une source de déstabilisation pour toute la région euro-méditerranéenne." Bien que je ne partage pas tout à fait votre terminologie, je souscris totalement à votre constat que je trouve clair, net et précis. La nécessité d'aller vers un régime plus démocratique, plus transparent, plus sérieux, d'aller vers une Algérie plus ambitieuse, plus libre et plus responsable, vous l'évoquez avec des mots justes et ces mots, on peut les entendre dans la bouche de plusieurs centaines de milliers, voire de millions d'Algériennes et d'Algériens. Ce faisant donc, vous n'innovez pas, Monsieur Ali Benouari. Vous ne faites que reprendre pour votre compte un combat qui compte, à l'heure où écrivez, des milliers de martyrs. Vous êtes ainsi une voix qui s'ajoute au chœur des partisans, de plus en plus nombreux, d'une Algérie démocratique et républicaine, et tant mieux. Je ne vais pas vous accuser d'usurpation parce que vous avez une voix plus audible que la mienne et que celle de plusieurs autres militants. Je n'en ai ni la volonté, ni le droit. Tout au contraire, je suis heureux de voir des Algériens de votre trompe s'engager politiquement.
Toutefois, Monsieur Ali Benouari, je ne saurais m'empêcher de douter de la pertinence du choix de vos interlocuteur, à savoir le Président de la Commission Européenne, le Président des Etats-Unis et le Secrétaire Général de l'ONU et, à travers eux, l'Europe, les USA et la communauté internationale toute entière. Vous écrivez que " le peuple algérien se prépare a? assumer ses responsabilités en descendant dans la rue, au lendemain du scrutin, pour exprimer pacifiquement son attachement a? l'alternance politique ", mais, juste après, vous affirmez, sans ambages, vos " craintes d'éventuels dérapages ", prenant ainsi le peuple algérien pour exactement ce qu'il refuse obstinément d'être : un peuple de mineurs. Vous ne vous arrêtez pas là, Monsieur Ali Benouari. Vous poussez le bouchon plus loin en appelant " le père " que les Algériennes et les Algériens s'évertuent à tuer depuis des années, à les " protéger ". Vous vous garder, éthique " niffienne " algérienne oblige, d'appeler cela de l'ingérence. Et pourtant, il ne peut s'agir que de cela et vous le savez mieux que quiconque. Vous vous efforcez à noyer votre analyse dans la conjoncture électorale actuelle, faisant mine d'oublier que les relations internationales ne sont pas une histoire de détails et d'humeurs mais de grands enjeux et de stratégies. Pris dans un élan d'exubérance " démocratisationnelle ", vous faites délibérément dans la fuite en avant et vous refusez d'admettre que les relations entre les Etats relèves de confrontations continues d'intérêts et que, selon toute évidence, comme dirait le philosophe, " il n'y a pas de modèle démocratique universel " et que " seul le capitalisme est universel ". En gros, en récusant aux pays occidentaux que vous appelez à " démocratiser " l'Algérie, eux qui ont par le passé échoué à la " civiliser ", le droit de s'abriter derrière la " raison d'Etat ", vous mettez l'Etat algérien en jeu et vous offrez à ces derniers, " démocratiseurs malgré eux ", l'opportunité de mettre le genou en vous abritant derrière " la raison démocratique ". Ce n'est peut-être pas votre intention, Monsieur Ali Benouari, mais le remède que vous proposez est, à mon avis, pire que le mal.
Ceci étant dit, je ne saurais terminer ma lettre sans vous inviter à retirer celle que vous avez envoyée au Président de la Commission européenne, au Président des Etats-Unis et au Secrétaire Général de l'ONU, à vous excuser auprès d'eux- auprès du peuple algérien- en leur disant simplement que vous vous êtes trompé de destinataires et à réécrire cette même lettre à l'adresse, cette fois-ci, des Algériennes et des Algériens, notamment les élites politiques et intellectuelles. Car, contrairement à ce que vous pensez, seule une synergie citoyenne entre les Algériennes et les Algériens, qu'ils soient au pouvoir ou dans l'opposition, leur mobilisation permanente, sont en mesure de préparer l'avènement d'un régime véritablement démocratique et républicain en Algérie. La démocratie, Monsieur Ali Benouari, ne se décrète, ni ne s'importe, ni ne s'achète. Elle se construit et ça a un prix.
*Journaliste Indépendant
H.R (Pour la Rédaction WEB de "Liberté
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بالفيديو .. صحفية "النهار" تكشف على المباشر أنها اختبرت المرشح بن فليس
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أوضحت الزميلة الصحافية، حبيبة
محمودي،أنها تعمدت إستفزاز كل من المرشحين الذين إستضافهم التلفزيون
الجزائري خلال الأيام القليلة الماضية لإختبار قدرتهم على إدارة شؤون الحكم
ومدى تقبلهم للأراء والمواقف المناهضة لهم. وقالت حبيبة محمودي، في كلمة
توضيحية مقتضبة خلال إستضافة التلفزيون الجزائري للمترشحة للرئاسيات
المقررة الخميس المقبل السيدة لويزة حنون، أنها تعمدت إستفزاز المرشح علي
بن فليس، لتكشف للرأي العام مدى قدرته على إدارة أراء مختلفة وتساءلت
محمودي كيف لمرشح لا يستطيع تقبل حوار صحفي مع أربعة صحافيين من إدارة بلد
كبير بحجم الجزائر.وكانت أسئلة الزميلة حبيبة محمودي ، حول علاقة المترشح
علي بن فليس مع الملياردير عبد المومن خليفة قد أثارت غضب المترشح علي بن
فليس الذي فقد أعصابه قبل أن يبادر في اليوم الموالي إلى توجيه باقة ورد
للصحافية محمودي بعد أن شعر بأن الصحفية إستفزته لتختبر قدرته على تسيير
شؤون البلاد لا أكثر.
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مصباح حمو لـ "الحرية": غرداية تحترق وأشباه الساسة منهمكون في الرئاسيات Featured
قتيلان وعشرة جرحى بـ بريان
ارتفعت حدة أعمال العنف والمواجهات بغرداية بين شباب الولاية، ليلة الجمعة إلى السبت، عبر مختلف أحياء وادي ميزاب، لاسيما بمنطقة بريان التي تبعد عن غرداية بـ 45 كلم، حيث أودت بحياة شابين ميزابيين وتسببت في إصابة عشرة آخرين من بينهم شرطيين.
ويتعلق الأمر بالشاب ناصر بالناصر البالغ من العمر 22 سنة الذي لقي مصرعه بعدما أصيب بـ "قذفات حديدية"، ليلة الجمعة 11 أفريل، بعد اندلاع مناوشات بين مجموعات من الشباب، عقب صلاة الجمعة بمنطقة بريان. أما الضحية الثانية فهو المدعو حسان الهادي شعبان البالغ من العمر ما بين 22 و25 سنة، وقتل بعد تلقيه طعنات، حسب ما أفاد به عضو لجنة التنسيق والمتابعة باحمد باباو موسى.
وقد كانت عديد أحياء بلديات كل من غرداية وبنورة وضاية بن دحوة الواقعة بسهل ميزاب، وكذا بريان مسرحا لهذه الأحداث التي عرفت أعمال عنف وتخريب ونهب وحرق، إثر اشتباكات متفرقة بين مجموعات من الشباب.
في هذا الصدد، أفاد الأمين الفدرالي الأول مصباح حمو، أمس السبت، في تصريح لـ "الحرية"، أن "غرداية تحترق للشهر الرابع على التوالي وأشباه الساسة منهمكون في الرئاسيات"، مضيفا إن "السلطة ليست لها إرادة لإطفاء نار الفتنة في هذه الفترة، وتصريح سلال دليل على هذا"، مذكرا بما قاله مدير الحملة الانتخابية للمرشح الحر عبد العزيز بوتفليقة حين قال "انتخبوا بوتفليقة وسأكون هنا مباشرة بعد 17 أفريل أمكث لأيام إن استدعى الأمر لطي الملف".
وعما عاشته عاصمة سهل وادي ميزاب، أكد محدثنا أن "سكان غرداية عاشوا الجحيم، خلال الساعات الماضية، مما أسفر عن سقوط ضحايا وتخريب ونهب ممتلكات بالعشرات واليوم غرداية أصبحت مدينة أشباح".
هذا، ومنذ يوم الاثنين، سجلت إصابة قرابة المائة شخص بجروح، منذ عودة هذه الأحداث، وفق مصادر من ولاية غرداية. كما تعرّض نحو 50 محلا ذي طابع تجاري وسكني وأربع حظائر للعتاد المتحرك ومقر محطة المعهد الوطني لحماية النباتات ونحو 20 سيارة و30 غابة نخيل للنهب والتخريب، قبل أن يضرم النيران بها شباب عبر أحياء غرداية وبنورة وضاية بن دحوة.
وأثارت مشاهد المحلات التجارية المنهوبة والسيارات المحطمة والسكنات المتفحمة بفعل النيران قلق وفزع زوار وسكان غرداية ككل.
وقد كانت منطقة غرداية منذ نهاية السنة الماضية مسرحا للمناوشات المتكررة بين مجموعات من الشباب التي كانت تتراشق بالزجاجات الحارقة والحجارة وغيرها من المقذوفات. وتعرف حاليا هذه الأحداث التي تميزت بفترات من الهدوء حدة في أعمال العنف والتخريب والنهب والتحطيم وحتى الحرق.
وقد تم نهب وتخريب أكثر من 700 محل ذي طابع تجاري قبل أن يتم إضرام النيران بها خلال المناوشات المتكررة التي عرفتها غرداية منذ جانفي الأخير.
كما ترتب عن هذه الأحداث هلاك 8 أشخاص وإصابة أكثر من مائة آخرين إلى جانب إحراق أكثر من خمسين سيارة خاصة. واتخذت عديد المبادرات الرامية لإحلال واستتباب الأمن والسكينة بالمنطقة من خلال إرساء الحوار والتقريب ما بين المتخاصمين من طرف مختلف الشخصيات السياسية والرياضية والدينية.
أمال بابا
حملـة انتخــابية للاحتفال بأعياد الميلاد السياحة و"الـــزردات"
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سلال يدفع أزرار بدلاته ثمنا لاقترابه من حشود المواطنين - بن فليس: احتجزته الزوابع الرملية وتاه في عين تموشنت - عبد العزيز بلعيد: يريد الاستثمار في النعناع - موسى تواتي: كل يوم زردة في دار - لويزة حنون: تحتفل بعيد ميلادها الـ60 في جيجل
سلال يدفع أزرار «كوستيماته» ثمنا لاقترابه من المواطنين.. بن فليس يضيع في زوابع ورڤلة و«يتبحر» في عين تيموشنت.. حنون تحتفل بعيد ميلادها على الهواء مع معجبيها وتحول الحملة إلى خرجات سياحية لالتقاط الصور مع المعجبين.. بلعيد متأثر بزمن الحضارة الرومانية ويطلق اسم القلعة على كل الولايات التي يزورها وموسى تواتي «وين يروح معروض».. هي أبرز طرائف الحملة الإنتخابية التي تنتهي اليوم 13 من أفريل قبل الإقتراع بثلاث أيام.
سلال يدفع أزرار «الكوستيمات» ثمن التقرب من المواطنين
ومن بين أهم الطرائف التي صنعها، عبد المالك سلال، مدير الحملة الإنتخابية للمترشح عبد العزيز بوتفليقة في غالب تجمعاته، كسر كافة البروتوكولات، حيث سلك الطرق التي لم تكن ضمن مخطط سيره خاصة خلال دخوله قاعات التجمعات، أين يصر على المرور بالقرب من المواطنين، ما يجعل حرسه في حالة استنفار الأمر الذي دفعه يوما بالقول «تعرضت لخدوش جراء مصافحتي للمواطنين وذهبت كل أزرار بدلاتي». ومن طرائف أخرى، تفاجأ من بعض المواطنين الذي يتعهدون له أنهم سينتخبون عليه يوم 17 أفريل، وفي إحدى التجمعات الشعبية أصيب سلال على مستوى شفتيه لما أطلق عيارات البارود الخاصة ببندقية الفنتازيا.
موسى تواتي كل يوم زردة في دار
"ماتقطعوش هذي الورقة تاع الزوالية "، «اليوم المباتا هنا»، هي العبارات التي رافقت شفاه المترشح للرئاسيات، موسى تواتي، طيلة حملته الانتخابية التي فضل من خلالها العمل الجواري على تنظيم تجمعات على غرار باقي المترشحين لا لسبب سوى لأنه «فقير» ولا يملك المال الكافي. حملة موسى تواتي الانتخابية التي قادها ببرنامج فارغ أظهرت أنه «مسمار» ولا يحبذ أبدا «تبذير الأموال» على حد تعبيره، خاصة أنه كان يطمع في المواطنين من أجل دعوته على العشاء لأنه كان يتيقن أن الجزائريين لا يمكن لهم ترك الضيوف يبيتون جوعا أو يبيتون في العراء .
"طورطة" الجيجليين لحنون وعسل"المدانيين" لعلاج أحبالها الصوتية
فضل سكان ولاية جيجل التعبير عن مساندتهم لمرشحة حزب العمال، لويزة حنون، بالاحتفال بعيد ميلادها، وتحضير طورطة في عز الحملة الانتخابية، حيث ظهرت مترشحة حزب العمال في كامل سعادتها بقاعة «أبركان» بولاية جيجل على هامش تنشيطها لتجمع شعبي بالولاية، احتفالا بإطفاء شمعتها الـ60 على وقع زغاريد النسوة اللائي اعتبرن ذلك «فال» خير على المترشحة. ولم تخل خرجات حنون إلى عدد من الولايات في إطار حملتها الانتخابية من المواقف الطريفة التي خففت الضغط على حنون، حيث استقبل مواطنو ولاية المدية مرشحة حزب العمال لرئاسيات 17 أفريل المقبل بالعسل، بعد أن بحّت حبالها الصوتية طلية أيام الحملة الانتخابية. وتحولت العديد من خرجات المترشحة في إطار الحملة إلى خرجات سياحية، أين تسابق العديد من المواطنين لأخذ صور تذكارية مع رئيسة حزب العمال ورئيستهم المستقبلية في حال تم تزكيتها، إلى درجة أنها أصيبت بنفخ واحمرار على مستوى يديها، الأمر الذي اعتبرته حنون طاقة كامنة للتغيير الحقيقي نحو الأفضل.
عبد العزيز بلعيد يستثمرفي "النعناع"
أطلق المترشح الحر للرئاسيات، عبد العزيز بلعيد، اسم القلعة التاريخية على كل الولايات التي زارها، إلى أن وصل إلى ولاية برج بوعريريج أين أخذ يتغنى بخيرات هذه الولايات، ليصل بالقول إلى أن إحدى الدول الإفريقية تحقق مداخيل كبيرة من حشيش النعناع، ولم لا نكون مثلهم نستغل كل الإمكانيات التي تزخر بها الجزائر. وما جعل الكل يطلق على ولاية برج بوعريريج بقلعة النعناع التاريخية، هو إطلاق بلعيد اسم القلعة التاريخية على الولاية مباشرة بعد حديثه عن النعناع، فآثر كل الطاقم الصحفي المرافق للمترشح بتسمية ولاية برج بوعريريج بقلعة النعناع التاريخية، في الوقت الذي حول كل ولايات الجزائر إلى قلاع وكأن الجزائر لا تزال في عهد الحضارة الرومانية. وفي خرجة أخرى طريفة لمدير حملة المترشح عبد العزيز بلعيد بولاية وهران، أقدم هذا الأخير على تقديم هدية إلى مترشحه على الطريقة الوهرانية مثلما قال، والتي كانت على شكل تبريحة كما عرف في أغاني الراي الوهراني، أين قال أنا أيضا «غادي نبرح وهادي هدية من عندي لمرشحنا بلعيد»، ومنحه هدية رمزية عبارة عن مفتاح خشبي.
بن فليس تحتجزه الزوابع في ورڤلة و«يتبحر» في عين تموشنت
من بين الطرائف التي عاشها المترشح الحر، علي بن فليس، خلال حملته الانتخابية وكان طرفا فيها الوفد المرافق له، تجربة خاصة جدا مع الزوابع الرملية التي كادت أن تلغي تجمعا له بولاية الوادي وكذا «الزردات» التي كانت تقام على شرفه أينما حل وارتحل. تسببت الزوابع الرملية التي تعرفها منطقة الجنوب الجزائري مطلع كل ربيع، في احتجاز المترشح الحر علي بن فليس في بهو القاعة الشرفية لمطار ورڤلة، لمدة تجاوزت الساعتين من الزمن، حيث لم تتمكن الطائرة المخصصة لنقل المترشح علي بن فليس والوفد المرافق له إلى ولاية الوادي لتنشيط تجمع له هناك. وخلال اليوم الأول من الحملة الانتخابية، تسبب أحد المرافقين للمترشح الحر علي بن فليس في «ضياع» المترشح بالطريق المؤدي من ولاية معسكر إلى عين تموشنت، أين فقد الوفد كل الإشارات المؤدية إلى الولاية لتنشيط تجمع هناك، وبقي في حالة من التيه إلى غاية ساعة متأخرة من المساء، قبل أن يجد الوفد الطريق المؤدي إلى ولاية عين تموشنت. وكان من بين المواقف الطريفة للمترشح الحر هي «الزردات» والولائم التي كانت تقام على شرفه في كل ولاية يحل بها، وهو ما يتسبب في تأخره عن مخاطبة أنصاره في العديد من التجمعات. وكان من بين المواقف التي عاشها المترشح الحر علي بن فليس خلال أحد تجمعاته عندما فاجأه أحد الشباب بقوله «زوجونا»، وهو ما جعل المترشح يرد عليه «بلعقل برك ما تتقلقش» جعلت كل من حضر القاعة يضحك.
رابط الموضوع : http://www.ennaharonline.com/ar/latestnews/204369-%D8%AD%D9%85%D9%84%D9%80%D8%A9-%D8%A7%D9%86%D8%AA%D8%AE%D9%80%D9%80%D8%A7%D8%A8%D9%8A%D8%A9-%D9%84%D9%84%D8%A7%D8%AD%D8%AA%D9%81%D8%A7%D9%84-%D8%A8%D8%A3%D8%B9%D9%8A%D8%A7%D8%AF-%D8%A7%D9%84%D9%85%D9%8A%D9%84%D8%A7%D8%AF-%D8%A7%D9%84%D8%B3%D9%8A%D8%A7%D8%AD%D8%A9-%D9%88%26quot%3B%D8%A7%D9%84%D9%80%D9%80%D9%80%D8%B2%D8%B1%D8%AF%D8%A7%D8%AA%26quot%3B.html#.U0pINKBq_t0#ixzz2ykiG2Y9S
تم إنشاءه بتاريخ الأربعاء, 17 أفريل 2013 22:52
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أثارت خليدة تومي وزيرة الثقافة جدلا واسع النطاق بآرائها في الدين الإسلامي وأركانه .. في نصوص صادمة من كتابها - خليدة جزائرية واقفة - وهو عبارة عن حوار بينها وبين الصحفية الفرنسية إليزابيث شملة. وصفت في هذا الحوار، الصلاة بأنها "إهانة" لكرامة الإنسان، حيث يضع المسلم رأسه على الأرض أثناء الصلاة، وهو ما يعد أكبر إهانة له، على حد قولها.
وأضافت في كتاب لها يحمل عنوان "خليدة مسعودي جزائرية واقفة": "قررت ألا أصلي صلاة المسلمين، وحتى القرآن لا يوجد به ذكر للصلوات الخمس، ولأن وضع الرأس على الأرض أكبر إهانة للإنسان، ولأن هذه الصلاة المجسدة للعبودية فكرة من ابتكار بدو السعودية النخاسين، فقد قررت أن أؤدي صلاة غير صلاة المسلمين، فقد طويت سجادتي ووضعتها في قفة وقررت بذلك التخلص من الأكاذيب والنفاق".
وتابعت في عبارات نقلتها وسائل إعلام أوروبية عن الكتاب: "أفضل أن أستغل أموال الحج في بناء قاعات سينمائية وتشجيع الفن، أنا أتأسف على الأموال التي تضيع هناك في الحج التي كان من المفترض أن تنفق على بناء قاعات سينما".
موجة الغضب وصلت إلى القنوات الدينية حيث قال الداعية المصري خالد عبد الله في برنامجه " مصر الجديدة" الذي يقدمه على قناة الناس: إن حديث وزيرة الثقافة خليدة تومي، بشأن الصلاة ورفضها لها، يضعها في بند "كافرة". وتابع: "لدينا في مصر علمانيون ممكن يكونوا مثل الوزيرة في جلساتهم الخاصة، ولكنهم يخفون ذلك عن العامة خوفًا من المجتمع الذي مازال محافظا على طبعه الإسلامي".
وفي أول رد فعل ندد حزب الصحوة الحرة لما ورد في هذا الكتاب، حيث قال رئيس الحزب عبد الفتاح زراوي حمداش أنه يجب أن لا نسكت عندما تمس عقائدنا".
غير أن الملفت للانتباه هو الوقت الذي أثيرت فيه الضجة باعتباره أن الاستجواب حّل إلى كتاب بين سنتي 1996 – 1999 ، فمن له مصلحة في الجدل؟.
م.ج
التعليقات
0
#8
tazoult batna —
شرفي عمر
2014-03-15 18:28
سبحانك ربي اللهم اني كنت
من الضالمين .توصل العلماء من خلال الرقم الدهبي ان مكة هي نقطة تمركز
الارض سبحان الله ....من اين لك هدا يا خليدة ...ربي يهديك
اقتباس
0
#7
تنبيه —
2014-02-15 13:17
بوتفليقة لا يستغفل الشعب
الجزائري، الشعب الجزائري مغفّل بالفطرة، والرّجلة فيه انتحرت من زماااان،
ولوكان البلاد فيها رجال ما تكونش هاد الـــ...... وزيرة "ثقافة"
+2
#5
hf;g^dk —
2013-11-06 05:42
عندنا المراة التي تسفر عن شعرها وتتناول التبغ والكحول تعد استثناء..وشذوذا لان المراة الجزارية امازيغية او عربية لها مايميزها...المش كلة
عندنا النظام عندما يستعين بما شذ عن امهاتنا واخواتنا وازواجنا...بهذه
العملة الحقيرة ويجعلها مثالا للمراة الجزائرية ....هنا يكمن الخلل
+6
#4
عضم الله اجركم —
2013-06-12 18:56
عضم الله اجركم يا شعب الجزائر فقد ماتت ثقافتكم بوجود مثل هاؤولائي الملحدين في السلطة وفي كرسي ليس كباقي الكراسي في كرسي الثقافة
+6
#3
رد: تحميل أناشيد افراح اليرموك الاسلامية كاملة mp3 —
2013-05-13 14:47
ماذا أقول على ****بكل
المقاييس فالصلاة تعبر عن الطهارة والسجود لله قمة العبادة والتذلل لله
ولكن اذا غضب الله على عبدا من عباده حوله الى شيطان والعياذ بالله
+9
#2
حسبي الله و نعم الوكيل —
2013-05-07 15:45
وحدة كيما هادي ما تستاهلش تكون وزيرة الثقافة في بلادنــــــــــ ــــا
الجزائر المسلمة كيفاش يخلوها في هاذ المنصب بعد هاد الهدرة اللي قالتها
O.o بلادنا راحت فيها خلااص لا حولا و لا قوة إلا بالله.......
+7
#1
جزائري مسلم —
2013-04-19 20:20
لن أضع اللوم على ملحدة مثلها
اللوم يقع على رئيس الجمهورية الذي يضعها في منصب الثقافة
ودااااااااااااا ااعا يالجزائر
اللوم يقع على رئيس الجمهورية الذي يضعها في منصب الثقافة
ودااااااااااااا ااعا يالجزائر
par A. Mallem
« De tels inconvénients peuvent arriver dans n'importe quel pays du monde et il est exclu d'impliquer la qualité du médicament, car tout vaccin, qu'il soit administré à un enfant ou à un adulte, peut provoquer des complications. La chose est connue partout à travers le monde», nous a déclaré, rassurant, le docteur Khelifi-Touhami Tahar, pédiatre à Constantine, à propos des 12 enfants du CEM Djamel-Eddine El Afghani du Chalet des Pins qui ont été hospitalisés jeudi après avoir été vaccinés contre la diphtérie. Cette situation, que beaucoup d'autres spécialistes ont qualifié de «normale», car le corps humain peut, parfois,«réagir mal à l'administration sous cutanée d'un médicament», a pourtant provoqué beaucoup d'appréhension, voire un désarroi, au sein des familles dont les enfants sont scolarisés dans cet établissement et qui ont déjà été vaccinés. Le CEM en question compte plus d'une cinquantaine d'élèves qui ont été vaccinés. Et, d'une façon générale, c'est le même sentiment d'inquiétude qui prévaut chez toutes les familles qui ont appris l'information. De sorte que, durant le week-end, le sujet était dans toutes les conversations et beaucoup de gens ont incriminé l'unité de dépistage scolaire (UDS) qui aurait administré aux enfants des vaccins périmés ou «avariés». Et en l'absence d'informations officielles provenant des organismes concernés la rumeur ne cesse de grossir et prend des proportions démesurées. Toutefois, des informations collectées à différentes sources fiables mais que nous n'avons pas pu vérifier ni auprès de la Direction de la Santé ni au CHU au motif que les responsables étaient injoignables, affirment que des doses du vaccin incriminés ont été remis à la DSP pour être acheminés, dès aujourd'hui dimanche, à l'Institut Pasteur d'Algérie (IPA) aux fins d'examens de laboratoires. Entre-temps, les autorités sanitaires ont pris la décision de stopper le programme de vaccination dans l'établissement indiqué en attendant les résultats de ces examens. Rappelons que les douze enfants -dont dix fillettes- qui ont été indisposés par le vaccin ont été acheminés d'urgence au CHU de Constantine mercredi matin dès l'apparition des symptômes (baisse de la tension artérielle, vomissements, gestes lents, etc). Ils ont été examinés par des médecins spécialisés et reçu les soins appropriés à leur état de santé. Après avoir été gardés en observation pendant 48h, ils ont été autorisés à rentrer chez eux. Mais cette décision n'a pas eu le don de plaire aux familles concernées qui s'étaient présentées à l'hôpital. Elles ont élevé de vives protestations, estimant que leurs enfants devaient bénéficier d'une plus longue période d'observation.
Mais les autorités hospitalières ont rétorqué qu'ils ne pouvaient pas garder plus longtemps ces enfants dont l'état de santé ne présente pas d'inquiétude et qu'il fallait libérer les lits pour d'autres malades dont l'état est autrement plus grave.
par A. M.
Les habitants de Bekira 3ème tranche attendent depuis des années que les
autorités locales se penchent sur leur situation. Que de fois ils sont montés
au créneau pour se plaindre de l'état des routes, de l'absence d'éclairage
public, d'eau et de gaz en se considérant comme des laissés pour compte des
programmes de développement lancés par la commune de Hamma-Bouziane de laquelle
dépend cette nouvelle agglomération construite sur le flanc d'une colline et
traversée en son milieu par la voie du chemin de fer de la ligne
Constantine-Skikda et Annaba. «A l'instar des nouvelles cités que l'on
construit un peu partout en Algérie, Bekira est une immense cité-dortoir,
dépourvue de tout», nous a expliqué hier A.C. Kamel, un habitant de ce quartier
sans nom que l'on continue à appeler encore «3ème tranche» et qui est situé
dans la partie supérieure de la colline.
D'autres habitants nous ont contactés hier en début d'après-midi pour nous signaler qu'ils ont appris qu'un programme d'amélioration urbaine de plus d'une vingtaine de milliards de centimes vient d'être lancé dans leur quartier et, en réaction à cette perspective, ils ont estimé qu'il n'en est rien. «C'est de la poudre aux yeux ! ont-ils rétorqué, et les autorités de la commune et de la daïra nous ont habitué à ce genre de promesses destinées à nous faire patienter. Il y a peu de temps, par exemple, nous avons entendu que des projets d'ouverture de routes destinés à désenclaver la cité allaient être lancés. Mais il n'y a toujours rien. Les autorités ont évoqué le mauvais temps qui ne facilite pas ce genre de travaux.
Mais le soleil est revenu et avec lui le beau temps, mais on ne voit rien venir». Contacté hier même par nos soins, le président de l'Assemblée populaire communale de Hamma-Bouziane, M. Atrous Mokhtar, nous a confirmé que le plan d'amélioration urbaine touchant la 3ème tranche de la cité de Bekira a été lancé «il y a une vingtaine de jours par la Direction de l'urbanisme et de la construction (DUC)». Il a précisé encore que le programme porte sur les travaux de voirie, l'assainissement, l'électrification dont la valeur globale peut atteindre une trentaine de milliards de centimes.
Toutefois, le P/APC a cru bon de remarquer que «l'implantation des chantiers n'a pas encore commencé» et que «la procédure administrative est relativement longue et s'accompagne de certaines règles comme celle concernant la période impartie aux éventuels recours, le temps que prendra la délivrance des ordres de service (ODS) aux entreprises retenues, etc», a expliqué M. Atrous. Le président de l'APC a ajouté que le lancement des travaux d'amélioration urbaine concernant la 3ème Tranche se fera parallèlement à celui qui touchera la route principale de la cité qui s'élance vers les hauteurs de la cité depuis la RN 3. «Et le chantier des travaux sur la portion de route menant à la 3ème Tranche à partir du terminus des bus commencera dans une semaine tout au plus, car nous attendons le signal du contrôle financier qui examine les contrats et donne le feu vert pour la délivrance des ODS», a affirmé le maire.
En terminant, M. Atrous a signalé que le même genre de programme touche également la cité Djebli-Ahmed, plus connue sous le nom de «Kantoli». Il ajoutera enfin, qu'en parallèle, une opération d'aménagement d'espaces verts va toucher 8 quartiers du chef-lieu de daïra et de commune en citant les noms de ces quartiers et en précisant que le délai de réalisation de ces espaces ne dépassera pas les deux mois. A charge aussi pour l'entreprise réalisatrice l'entretien de l'espace vert durant une période de six mois, car cette clause est contenue dans le contrat qu'elle a signé avec la DUC.
Rassemblement de Barakat à Bouira
le 12.04.14 | 12h56
4 réactions
Une vingtaine de militants du mouvement Barakat anti 4ème mandat se sont rassemblés ce samedi 12 avril 2014 au niveau de la place publique de la ville de Bouira.
Sur l’une de banderole on pouvait lire : « Rendez nous notre pays. Djazair Hora, libre et démocratique ». Des militantes venues d’Alger ont également pris part à ce rassemblement.
Munis de pancartes sur lesquelles ont pouvait lire : Résident Evil. Non au Feraoun, on veut un Etat de droit. Non au quatrième mandat ». Des slogans hostiles au système ont été scandés. « Système dégage. Y’en marre de ce Pouvoir. Ulac Smah Ulac, Tab Jnanek Bouteflika. Ya Said ya Sellal système à la poubelle. Fakakir Fakakir, Fako Fako El Fakakir ». Hormis la présence de policiers des services de renseignements (RG), aucun cordon de service de sécurité n’a été déployé sur place, a-t-on constaté sur place.
Les manifestations se sont dispersées dans le calme vers 12H.
Amar Fedjkhi
Vos réactions 4
kazadi
le 12.04.14 | 17h05
Barakat ou oulach smah
Chaque personne à droit d'exprimer son opinion, mais cela
doit être dans le respect de la loi et de la morale public. Car nous
sommes dans un pays qui possède des institutions et des responsables.
Ces derniers sont ce qu'ils sont, bon ou mauvais, moi je les acceptes
car je suis algérien comme eux et je leur fait une confiance aveugle.
Bref, reste cette histoire de barakat et oulach smah, dite nous sommes
musulman, Allah notre seigneur et notre dine dans le chemin du prophète
Mohamed prône le pardon et la repentance. Nous lisons chaque le corans
et ont découvre chaque fois le peuple qui faillait au pardon et opte
pour la voie de la mécréance et de l'idolaterie. C'est le peuple
hébreux-sioniste qui a même défié notre seigneur Allah. Nous autres
algériens musulmans, on ne se reconnait pas dans cette frange des
peuples du monde. Au contraire, nous somme conscient des calculs et des
coup bas qui se trime contre nous. Sachez une chose que si nos parents
et grands parents ont donné un chiffre comptabilisé de 1,5 millions de
martyrs, nos autres on donnera 10 fois ce chiffre. Pardons mêmes les
fourmis de ce pays prendrons les armes même jusqu'à notre
extermination.L'essentiel on vivera un jours comme des Coq mais jamais
toute une vie comme des poules. Alors ces charlatans sionistes de
Barakat et compagnie ne ferons pas taches d'huile. Et nous somme là là
là là là là là là là. Jusqu'à la fin du temps. Je préférè être gouverné
par un bourricot algérien que par un lion qui vient d'ailleurs. Nous
sommes au courant et nous souffrons des séquelles de 132 ans de
colonialisme franco-juif. Nous sommes pas prêt à oublié et on n'oubliera
jamais. Ait Menguellette disais: s'il y aura une personne des notres
qui survivera elle dira la vérité et elle se vengera un jour. Souvenez
vous après 132 ans, on vous a fait quitté de par Allah et sa force
supprême.
Fin de citation
Fin de citation
la résonance...
Ce mouvement qui ne présente aucun programme n'a existé que
par une résonance amplifiée de manière démesurée et le dérapage de ceux
qui ont pour mission d'informer objectivement leurs lecteurs, en se
positionnant comme acteur et partie prenante de cette poignée de
citoyens qui sont dans leur droit d'exprimer leurs idées et opinions.
Pas d'agresser ceux qui ne partagent pas leurs idées. Et il se trouve
encore des personnes qui les assimilent à tout le peuple Algérien. Elle
est belle notre démocratie.
le mouvent n'est pas representatif
Une vingtaine de personne, le mouvement s’essouffle comme une
peau de chagrin,je l'ai déjà dis ce mouvement ne tiendra pas 3 mois,car
il ne revendique pas les vrais problèmes du simple citoyen.
BRAVO CHAMPION
Tous le peuple intègre est avec vous;courage la victoire est
pour trés bientot; ne laissons pas notre destin a une poignet de voleurs
corrompus;
par Amar Ingrachen*
Je dois vous dire
que je ne vous connais pas vraiment et je ne peux pas faire le bilan de votre
parcours, ni ici en Algérie ni en Suisse.
Ce n'est d'ailleurs pas mon objectif tant il est vrai que, à mon avis, les bilans doivent être faits en public et soumis, nécessairement, au verdict des citoyennes et des citoyens. Je dois tout simplement vous dire que les positions que vous avez prises depuis quelques mois m'interpellent, en tant que citoyen algérien, à plus d'un titre.
Après une absence de plusieurs années, vous qui aviez occupé de hautes responsabilités dans les institutions de l'Etat algérien, vous êtes rentré en Algérie pour vous porter candidat à la candidature aux élections présidentielles du 17 avril 2014. Au cours de votre exil suisse, vous vous êtes enrôlé dans un parti politique et vous en êtes même devenu une vedette à un moment donné.
Certes, vous avez intégré ce parti, le Parti Radical de Cologny en l'occurrence, parce qu'il répond, dans le contexte suisse, à vos visions et convictions libérales. Mais, vous n'avez pas hésité à le quitter en l''accusant d'être " islamophobe " pour rejoindre un autre, le Parti Libéral Radical dont vous n'êtes plus, naturellement, membre. Vous avez même crée, en Suisse, l'Association suisse des Musulmans pour la Laïcité (ASML). Il faut dire que vous avez mis beaucoup de temps pour faire votre choix de l'Algérie - en matière d'engagement politique bien entendu-, mais, comme la gestion du temps obéit à des critères souvent irrationnels, je me contenterai de reprendre à mon compte un vieil adage : mieux vaut tard que jamais.
En Algérie, faut-il le rappeler, celle-ci que vous aspirez à présider, vous n'avez jamais appartenu à un parti politique. De prime abord, cela peut sembler compréhensible puisque, en plus de la culture politique algérienne basé essentiellement sur la prééminence du chef, les visions et les approches politiques de nos partis sont souvent illisibles à tel point qu'il est pénible, même pour les analystes les plus fins, de faire la distinction entre tel et tel autre parti autrement qu'à travers leurs dénominations.
Ceci, et je vais être parfaitement d'accord avec vous, est une très bonne raison pour ne pas prendre au sérieux le paysage politique national. Néanmoins, le peuple algérien auquel j'appartiens ne se souvient nullement d'une position prise par Monsieur Ali Benouari en sa faveur, en faveur de la démocratie ou en faveur de l'Algérie d'une façon générale, au cours de ces vingt dernières années. Votre retour au bercail relève-t-il, pour ainsi dire, d'un mea culpa à l'adresse des Algériennes et des Algériens? Je ne saurais le dire. Néanmoins une analyse sérieuse de votre démarche politique depuis que vous êtes rentré au pays m'en donne une image absolument incohérente. D'abord, vous avez décidé individuellement, ou peut-être avec le concours de quelques uns de vos proches collaborateurs, de vous porter candidat à la candidature aux élections présidentielles de 2014. Si votre décision est fondée du point de vue de la loi, il n'en demeure pas moins que, moralement, elle relève d'un mépris actif pour l'activité militante à laquelle vous déniez indirectement toute pertinence politique. En fait, en inscrivant votre candidature dans une optique non partisane, non-militante, non-populaire, vous ne faites que légitimer la logique du pouvoir en place qui privilégie les " candidats indépendants ", lesquels candidats sont faciles à manipuler et, par essence, non comptable devant " leur " base militante puisque ils n'en ont pas, dans l'objectif de déqualifier ad vitam aeternam l'activité politique. Ensuite, vous affichez un mépris encore plus prononcé pour le peuple algérien dont vous ne semblez solliciter ni la sympathie, ni le soutien. En effet, la démocratie à laquelle vous appelez mais dont vous ne semblez pas bien imprégné consiste, par essence, à permettre au peuple de choisir d'abord ses candidats, ensuite ses élus. Or, en déniant le premier droit aux Algériennes et aux Algériens, à savoir celui de choisir leurs candidats, vous ne leur donnez aucune garantie de respecter le deuxième, c'est-à-dire celui de choisir leurs élus. Bien au contraire.
Vous êtes libéral, favorable à une rupture radicale avec le système en place et vous l'assumez pleinement, ce qui est presque une première dans les annales de la jeune démocratie algérienne. En effet, face à des partis politiques et à des personnalités versatiles pour lesquels l'incohérence est synonyme de tactique, l'opacité est synonyme de prudence, l'entêtement est synonyme de conviction, la couardise est synonyme de sagesse, l'inefficacité est synonyme de complot, l'éloge du statu-quo est synonyme de vision à long terme, etc., votre franchise, votre clarté et votre pragmatisme valent bien leur pesant d'or. Bien que vous ayez été loin de l'Algérie des années durant, vous y êtes resté très attaché et c'est visible dans votre façon de faire étalage, à chaque fois que l'occasion vous est donnée, des problèmes et des problématiques auxquels font face, au quotidien, les Algériennes et les Algériens. Votre capacité à identifier les blocages qui paralysent, depuis au moins un quart de siècle, l'Algérie, votre aptitude à cerner la crise algérienne dans ses diverses dimensions, sont indéniables. En écrivant, dans votre lettre au Président de la Commission Européenne, au Président des Etats-Unis et au Secrétaire Général de l'ONU, qu'il faut rompre avec la gestion autoritaire ", " la dépendance de notre économie des hydrocarbure ", vous ne risquez pas de vous faire contredire par les Algériennes et les Algériens, encore moins les " experts " que vous évoquez. Néanmoins, à la lettre, il manque l'esprit. Pour, au moins, deux raison essentielles.
Premièrement, après avoir échoué à faire valider votre candidature à l'élection présidentielle de 2014 auprès du Conseil Constitutionnel, vous avez dénoncé une partialité de celui-ci prétextant que le pouvoir aurait " peur de vous ". Possible. Vous avez par la suite rejoint le staff du candidat Ali Benflis. C'est un engagement qui a, tout au moins, le mérite de donner de vous l'image d'un intellectuel en mouvement. Cependant, vous n'êtes pas sans savoir que votre lettre à José Manuel Dura?o Barroso, Barak Obama et Ban Kimoon est susceptible d'être interprétée comme étant un appel au soutien de l'Union Européenne, des Etats-Unis et de toute la communauté internationale à votre candidat, Monsieur Ali Benflis, et non pas l'avènement d'un " régime démocratique " en Algérie dont vous parlez. De plus, vous gratifiez l'Europe, et l'Occident d'une façon générale, d'une crédibilité dont vous êtes, me semble-t-il, le seul à voir les manifestations. Si, en effet, il est vrai que les régimes occidentaux sont essentiellement démocratique, il n'en demeure pas moins que ceux-ci se sont construit sur la paupérisation, l'exploitation et l'humiliation de plusieurs peuples du monde, dont le notre, et que la solidarité internationale au nom de laquelle vous les appelez à " encourager la démocratie en Algérie " n'est qu'un instrument de mise à mort des souverainetés nationales et de fragmentation des Etats-nations qui a déjà été expérimenté ailleurs, en Yougoslavie, au Soudan, au Congo, en Centrafrique, au Mali, en Irak, etc. Donc, de grâce Monsieur Ali Benouari, soyez franc comme vous l'avez toujours été : votre objectif est-il de mobiliser la communauté internationale en faveur de votre candidat, Monsieur Ali Benflis ?
Deuxièmement, vous parlez dans votre lettre d'une Algérie fragile qui, " au terme du prochain mandat présidentiel (2019), risque de ne même plus pouvoir nourrir sa population, qui se sera accrue, entre-temps, de 4 millions d'âmes. " Vous évoquez également un " pouvoir dictatorial qui " est une source de déstabilisation pour toute la région euro-méditerranéenne." Bien que je ne partage pas tout à fait votre terminologie, je souscris totalement à votre constat que je trouve clair, net et précis. La nécessité d'aller vers un régime plus démocratique, plus transparent, plus sérieux, d'aller vers une Algérie plus ambitieuse, plus libre et plus responsable, vous l'évoquez avec des mots justes et ces mots, on peut les entendre dans la bouche de plusieurs centaines de milliers, voire de millions d'Algériennes et d'Algériens. Ce faisant donc, vous n'innovez pas, Monsieur Ali Benouari. Vous ne faites que reprendre pour votre compte un combat qui compte, à l'heure où écrivez, des milliers de martyrs. Vous êtes ainsi une voix qui s'ajoute au chœur des partisans, de plus en plus nombreux, d'une Algérie démocratique et républicaine, et tant mieux. Je ne vais pas vous accuser d'usurpation parce que vous avez une voix plus audible que la mienne et que celle de plusieurs autres militants. Je n'en ai ni la volonté, ni le droit. Tout au contraire, je suis heureux de voir des Algériens de votre trompe s'engager politiquement.
Toutefois, Monsieur Ali Benouari, je ne saurais m'empêcher de douter de la pertinence du choix de vos interlocuteur, à savoir le Président de la Commission Européenne, le Président des Etats-Unis et le Secrétaire Général de l'ONU et, à travers eux, l'Europe, les USA et la communauté internationale toute entière. Vous écrivez que " le peuple algérien se prépare a? assumer ses responsabilités en descendant dans la rue, au lendemain du scrutin, pour exprimer pacifiquement son attachement a? l'alternance politique ", mais, juste après, vous affirmez, sans ambages, vos " craintes d'éventuels dérapages ", prenant ainsi le peuple algérien pour exactement ce qu'il refuse obstinément d'être : un peuple de mineurs. Vous ne vous arrêtez pas là, Monsieur Ali Benouari. Vous poussez le bouchon plus loin en appelant " le père " que les Algériennes et les Algériens s'évertuent à tuer depuis des années, à les " protéger ". Vous vous garder, éthique " niffienne " algérienne oblige, d'appeler cela de l'ingérence. Et pourtant, il ne peut s'agir que de cela et vous le savez mieux que quiconque. Vous vous efforcez à noyer votre analyse dans la conjoncture électorale actuelle, faisant mine d'oublier que les relations internationales ne sont pas une histoire de détails et d'humeurs mais de grands enjeux et de stratégies. Pris dans un élan d'exubérance " démocratisationnelle ", vous faites délibérément dans la fuite en avant et vous refusez d'admettre que les relations entre les Etats relèves de confrontations continues d'intérêts et que, selon toute évidence, comme dirait le philosophe, " il n'y a pas de modèle démocratique universel " et que " seul le capitalisme est universel ". En gros, en récusant aux pays occidentaux que vous appelez à " démocratiser " l'Algérie, eux qui ont par le passé échoué à la " civiliser ", le droit de s'abriter derrière la " raison d'Etat ", vous mettez l'Etat algérien en jeu et vous offrez à ces derniers, " démocratiseurs malgré eux ", l'opportunité de mettre le genou en vous abritant derrière " la raison démocratique ". Ce n'est peut-être pas votre intention, Monsieur Ali Benouari, mais le remède que vous proposez est, à mon avis, pire que le mal.
Ceci étant dit, je ne saurais terminer ma lettre sans vous inviter à retirer celle que vous avez envoyée au Président de la Commission européenne, au Président des Etats-Unis et au Secrétaire Général de l'ONU, à vous excuser auprès d'eux- auprès du peuple algérien- en leur disant simplement que vous vous êtes trompé de destinataires et à réécrire cette même lettre à l'adresse, cette fois-ci, des Algériennes et des Algériens, notamment les élites politiques et intellectuelles. Car, contrairement à ce que vous pensez, seule une synergie citoyenne entre les Algériennes et les Algériens, qu'ils soient au pouvoir ou dans l'opposition, leur mobilisation permanente, sont en mesure de préparer l'avènement d'un régime véritablement démocratique et républicain en Algérie. La démocratie, Monsieur Ali Benouari, ne se décrète, ni ne s'importe, ni ne s'achète. Elle se construit et ça a un prix.
*Journaliste Indépendant
Tout en appelant à une « abstention massive »
Le PST s’attaque à Barakat
Par : Fatma Baroudi
Dans
un communiqué rendu public ce samedi matin, et dont la Rédaction WEB de
« Liberté » a reçu une copie, le Parti Socialiste des travailleurs (PST)
appelle au rejet de l’élection présidentielle du 17 avril tout en
appelant la formation d’un assemblée constituante « représentative des
masses populaires ».
Intitulé « Contre la mascarade
électorale : Abstention massive », le texte signée par la direction
nationale du parti, revient sur la situation du pays « alors que le
rejet de la mascarade électorale d’avril 2014 s’amplifie, comme
l’attestent les dizaines de protestations populaires contre la tenue des
meetings électoraux, le régime préconise toujours le statut quo par le
biais du « 4e mandat ». le PST accuse le candidat-président, Abdelaziz
Bouteflika, de vouloir incarner « symboliquement un « modus vivendi »
permettant aux principales factions au pouvoir de respecter « la trêve »
et leur assurant le passage à l’après 17 avril sans mauvaise
surprise. »
Le PST
met l’accent sur les « limitations » des libertés démocratiques cause
pour laquelle « les masses populaires n’accorde aucune crédibilité à la
présidentielle de jeudi prochain. ».
La direction du parti considère dans ce
sens qu’aucune alternative ne puisse apporter de solution du moins pour
la situation actuelle « les masses populaires s’abstiennent de toute
aventure politicienne. » Le PST s’attaque également au mouvement
« Barakat » en l’accusant de faire « l’impasse sur les revendications
sociales des travailleurs, des chômeurs et des opprimés, ne peut pas
gagner l’adhésion des masses populaires. »
Concernant
la transition démocratique, le parti la considère comme un « consensus
pour le partage du pouvoir politique pour mieux s’accaparer les
secteurs juteux de l’économie et de nos richesses nationales »
A la fin du communiqué le PST, rejette
la légitimité du résultat du scrutin du 17 avril et propose «
l’élection d’une assemblée constituante représentative des intérêts des
travailleurs, des jeunes, des femmes et de tous les opprimés de notre
pays. ».
Commentaires
#6
12-04-2014 20:48
madame hanoune sait pertinemment que son avenir politique ne peut aller au dela du 1742014 en cas de victoire de MR BENFLIS.
l'existence de ce parti est liée uniquement a faire admettre a l'opinion internationale que nous avons une pseudo démocratie constituée d'une mosaique de parti et qui malheureusement n'ont aucun ancrage dans la société..
l'existence de ce parti est liée uniquement a faire admettre a l'opinion internationale que nous avons une pseudo démocratie constituée d'une mosaique de parti et qui malheureusement n'ont aucun ancrage dans la société..
#4
12-04-2014 18:56
" Accrochez vous quelque part "
Quand on ne représente RIEN . Et quand a jamais rien
représenté...Le mieux est de s’allier avec les autres de même
tendance et non à critiquer tout juste pour avoir une petite
place , sachant évidemment que vous ne représenterez pour le
restant d ' existence de votre parti que vos quelques adhérents .
Quand on ne représente RIEN . Et quand a jamais rien
représenté...Le mieux est de s’allier avec les autres de même
tendance et non à critiquer tout juste pour avoir une petite
place , sachant évidemment que vous ne représenterez pour le
restant d ' existence de votre parti que vos quelques adhérents .
#3
12-04-2014 17:46
parti socialite des travailleur de quel travailleur parle ton des chinoix ou des étranger qui travaille en algérie.
#2
12-04-2014 16:13
depuis quel date
existe il ce parti et qui est son president et de quel droit s attaque
il au mouvement BARAKAT pour lui demander les revendications sociales
des travailleurs, des chômeurs et des opprimés alors que lui doit avoir
des subventions de ces chefs et plus d experience
#1
12-04-2014 15:36
pour reprendre une
formule de mao, au pape jean 23, qui disait le mécontentement du
vatican.Le dirigeant chinois de lui répondre,le vatican c'est combien de
divisions. ?
SIt-in de Barakat à Batna (Diaporama-Vidéo)
Par : Rachid Hamatou
Un sit-in a été tenu ce samedi matin, à
Batna, par les militants et sympathisants du mouvement "Barakat"
Plusieurs dizaines de personnes étaient à "la place de la Liberté", au
centre ville. En plus des membres du mouvement, il y avait également des
jeunes du collectif "Aures Amokrane", des membres de l'association des
chômeurs, et d'autres représentants du mouvement associatif de la
région. Il est à noter que la porte parole de Barakat, Amira Bouraoui,
était parmi les manifestants.
H.R (Pour la Rédaction WEB de "Liberté
Commentaires
#5
12-04-2014 17:31
Et la corruption
qu'en faite vous Messieurs, tous ces scandales là, doivent etres traités
par une justice indépendante, pour pouvoir aller vers les accusés, et
dans un cadre de droit et liberté sans aucune intervention de qui que ça
soit. Une justice libre et indépendante est obligatoire, pour arriver à
un résultat juste et équitable. Sans cette dernière, toute autre chose,
est voué à l'échec.
#4
12-04-2014 16:26
BRAVO ON VEUT PLUS DE BOUTESRIKA VOIR VIDEO ALI KAFI LE TRAITANT DE MICROBE ET DE VOLEUR
AIT AHMED TRAITE BOUTEFLIKA D USURPATEUR ET DE VIOLEUR DE LA CONSTTUTION
LES TROIS AMARS ET SAID BOUTEFLIKA VEULENT METTRE LE PAYS A FEU ET A SANG ILS DOIVENT ETRE LIVRER A LA JUSTICE
AIT AHMED TRAITE BOUTEFLIKA D USURPATEUR ET DE VIOLEUR DE LA CONSTTUTION
LES TROIS AMARS ET SAID BOUTEFLIKA VEULENT METTRE LE PAYS A FEU ET A SANG ILS DOIVENT ETRE LIVRER A LA JUSTICE
#3
12-04-2014 15:34
Grande manifestation !!!!!!!!!
Quelques millions de personnes (pardon plusieurs dizaines ) ont manifestés. C'est beaucoup . Comme toujours vous soutenez la grande majorité des algériens. Bravo
Quelques millions de personnes (pardon plusieurs dizaines ) ont manifestés. C'est beaucoup . Comme toujours vous soutenez la grande majorité des algériens. Bravo
#2
12-04-2014 15:31
C'est vraiment
ridicule de vouloir coute que coute faire croire que ce mouvement de
barakat anti 4eme mandat est capable de basculer la balance, c'est au
pays de Ben flis que la claque est la plus douloureuse, Le tsunami de
Bouteflika ,le 17 va emporter et noyer la vermine et les bras cassés et
leurs complots tres loin dans le large, pour ne plus entendre les
calomnies et de ne plus voir tous ce qui contre nature.
#1
12-04-2014 15:19
Rachid Hamatou, merci
et bravo et vive EL MADHER, un enfant du pays, vive l'ALGERIE DE MON
AMOUR ET VIVE NOTRE BRAVE PEUPLE, celui du NIF, de la dignité et de
l'hôspitalité, un peuple à toutes les éoreuves du bien et de la
résistance, demandez le à vos maîtres de l'OTAN, ils gardent un souvenir
amère et une arrêtes à travers leur gorge plus de 50 ans après !!!
http://www.youtube.com/watch?v=mYT4iHuKnbI