Lettre à ceux qui régentent l’Algérie
Mots clés :
Bouteflika,
Pouvoir,
Algerie,
Répression,
Manipulation,
Fraude,
Etat
Messieurs,
ces derniers temps, trop de jeux et de rumeurs continuent, comme depuis
1962, à alimenter l’actualité, donnant à voir une pauvre Algérie
privatisée, réduite aux jeux dangereux d’appareils et d’hommes évacuant
toute dimension citoyenne, pensant que sans eux, le pays irait à sa
perte. C’est presque déjà fait.
Kaid Ahmed avait vu juste en disant déjà
dans les années 1960 que l’Algérie était devant un précipice et qu’elle
avait fait un pas en avant, prophétisant les risques de déliquescence
de l’Etat, d’ailleurs hérité de l’espace colonial. La question ne se
pose nullement en termes de reconduction de Bouteflika, malade, dans une
«élection»-désignation dont le résultat était déjà tranché dans des
bureaux clos, mais de la nécessaire revendication pour la mise en œuvre
d’un Etat démocratique où disparaitraient ces pratiques trop peu amènes,
en contradiction avec tout système républicain. La presse joue
maladroitement le jeu de la pourriture en reprenant ces conflits
d’appareils, vrais ou faux, et d’hommes qui, les uns comme les autres,
ne s’inscrivent nullement dans une logique de rupture, mais reproduisent
les mêmes schémas. Ce qui s’est passé le 17 avril est un révélateur de
la nature réelle du bloc gouvernant marqué par les jeux de rente, les
affaires et la corruption. L’argent sale est devenu un espace essentiel
du fonctionnement de la société. La fraude qui n’a jamais disparu depuis
la colonisation est tout à fait naturelle dans un système cherchant par
tous les moyens à se maintenir. Mais ce qui est nouveau et
régénérateur, c’est l’émergence d’embryons de résistance pouvant mettre à
mal pacifiquement un système en déliquescence ayant, par des pratiques
répressives et archaïques, contribué à l’aggravation du processus
d’érosion de l’Etat. Ayant visité un certain nombre de bureaux de votes,
il est tout à fait impossible d’atteindre le chiffre officiel de 51%.
Les Algériens ont fortement déserté les bureaux de vote. Des sources de
l’opposition ayant appelé au boycott du "vote", ayant fait leurs propres
calculs, à la suite de la surveillance des bureaux de vote, avancent
des chiffres différents : de 10 à 15%. Le taux de participation est
devenu le véritable enjeu de cette "élection". Apparemment, on ne saura
jamais les véritables chiffres.
L’Algérie n’est, certes, pas un cas
unique, tous les pays arabes suivent le même parcours ambigu, ambivalent
marqué par un système ni républicain ni monarchique. C’est
essentiellement pour cela que les choses vont mal dans tous les pays
arabes dirigés depuis longtemps d’une main de fer par des pouvoirs sans
légitimité, s’accordant tous les droits et suspectant tous les «peuples»
depuis les indépendances, faisant et défaisant tous les appareils,
privatisant l’Etat et matraquant une société apeurée, vivant
l’innommable. Les nouveaux pouvoirs issus de ce qu’on a paresseusement
appelé des «révolutions», reproduisent les mêmes pratiques tout en
cherchant, souvent en vain, à produire un autre discours marqué par une
logique néolibérale protégeant les puissances de l’argent et de la
finance.
On ne peut comprendre cette situation
qu’en convoquant l’Histoire. Le passage de la période coloniale à l’ère
postcoloniale s’est fait sans une réelle interrogation des territoires
et des structures étatiques et institutionnels de la colonisation,
reproduisant ses discours et ses pratiques. D’ailleurs, une lecture
attentive des textes et des déclarations politiques donnerait à
constater de nombreuses similitudes entre les discours et les pratiques
de la période coloniale et ceux d’après les indépendances. Le discours
colonial est marqué par la profusion de champs lexicaux de la répression
et de la violence, souvent teinté de paternalisme et de mépris à
l’égard d’une foule réduite à l’état primaire. "Le peuple algérien ne
sait que casser, détruire…" disait, il y a quelques mois à la télé
gouvernementale, un ministre algérien, avec un mépris non dissimulé,
rejoignant ainsi le discours algérianiste des années 20. Ce qui est
paradoxal, c’est la reproduction du modèle colonial où l’élément
militaire et l’espace policier occupent une place prépondérante. Ce qui
se fait aujourd’hui au Yemen, en Syrie où s’opposent deux
totalitarismes, l’un au pouvoir, l’autre dans l’opposition, à Bahreïn et
en Lybie du temps de Kaddafi ou d’après correspondent aux exactions
coloniales. Mais paradoxalement, les fausses révolutions mises au gout
d’un mortel "printemps", enfantant morts et cataclysmes et provoquant de
graves régressions deviennent un véritable repoussoir, favorisant un
discours et des pratiques néolibérales condamnant le "peuple", chair à
canon malléable à merci, à se faire continuellement cocufier, mais ce
qui est nouveau, collatéral, c’est désormais ce désir de désacraliser
les "pouvoirs" en place, "rois" et "présidents". Certes, notre pays,
encerclé par des pays instables, dirigés par des hommes, servant
essentiellement les intérêts de ceux qui les ont installés,
pourrait-être touché par ce vent de déstabilisation qui risquerait
d’engendrer de tragiques violences. Cela devrait vous inciter à regarder
les choses autrement en entamant un processus de décolonisation et de
«déprivatisation» de l’Etat et de la société. Les dirigeants sont-ils
condamnés à triturer indéfiniment des textes constitutionnels d’ailleurs
jamais réellement appliqués. C’est pour cela que tous les débats sur
tel ou tel texte législatif ou constitutionnel risquerait d’être vain.
Il serait temps, avant que ce ne soit trop tard, d’arrêter de considérer
le «peuple» comme une foule peu apte à toute pratique démocratique ou
de réflexion et de reproduire ainsi le même regard du colonisateur sur
le colonisé le considérant bon à civiliser, à se faire confectionner des
présidents, des lois sans sa participation. Il faudrait aussi éviter
dorénavant cette pratique qui fait de l’Algérie l’otage d’une secte dont
les membres considèrent que, sans eux, le pays irait à la dérive. Il
faudrait rendre l’Etat à la société tout en arrêtant de choisir, à la
place du «peuple» des hommes pour gouverner le pays. Est-ce possible
aujourd’hui que les politiques et les affairistes font jonction
défendant souvent des intérêts antagoniques avec le bien public ? Toutes
ces affaires de corruption sont l’expression de cette opacité et de
cette privatisation de l’Etat.
Les dernières rumeurs de la politique
évoquant le limogeage de tel ou tel général, des conflits supposés ou
avérés entre les services et la présidence, la candidature pour une
énième fois de Bouteflika via un texte constitutionnel réadapté, la non
réunion à temps du conseil des ministres, l’inexistence pratique des
assemblées, la centralisation des pouvoirs, l’absence d’élections
réelles, l’instrumentation de la presse, de la justice et des «partis»,
le manque de prérogatives concrètes à un premier ministre réduit à la
fonction de garde-champêtre, le déficit en contre-pouvoir(s), surtout
avec l’inexistence d’assemblées élues», fonctionnant comme des appareils
à applaudir et à «soutenir» donnent à voir, depuis 1962, la présence
d’un pouvoir unique, excluant toute voix citoyenne, muant le «peuple» en
un ensemble de sujets amorphes, en rupture avec les «appareils» de
gouvernement considérés comme étranges et étrangers mais dans le
contexte actuel, la «foule» pourrait, si on croit Wilhelm Reich (La
psychologie de masse du fascisme, Payot, 1999), se muer en force
déstabilisatrice, réveillant une violence latente qui, en l’absence d’un
contre-pouvoir organisé, pourrait provoquer des situations
imprévisibles annihilant toutes les structures de contrôle.
Dans un pays où le wali décide de tout,
évacuant toute fonction « élective », allant jusqu’à dissoudre une
assemblée ou à relever de ses fonctions un maire, où les recteurs sont
désignés, où le simple chef de daïra est nommé par le haut, il n’est
nullement opératoire de parler de jeux démocratiques. Nous ne sommes pas
en République, mais dans un système monarchique autoritaire. Comme au
Maroc par exemple. Il est temps pour les pouvoirs publics de se
réconcilier avec le «peuple» et d’accepter des changements pacifiques
pouvant faire émerger le sentiment que chacun de nous participe à la
prise de décision et à la gestion. Les dernières affaires de corruption
ont encore davantage creusé le fossé.
L’Algérie, comme les autres pays arabes,
obéissent à ce schéma. Certes, chaque pouvoir en place a ses
particularités. Plus de cinquante ans après les indépendances, se
dessine un processus de redécolonisation qui semble atteindre tous les
pays arabes, alors que dans un autre contexte, cela a permis, la mise en
œuvre de nouvelles attitudes et l’installation de pouvoirs plus proches
de leurs peuples en Amérique Latine, après le passage par des
dictatures sanguinaires.
Messieurs, savez vous pourquoi les gens
du peuple entretiennent une relation d’étrangeté avec l’Etat assimilé au
Beylik ? Ce mouvement est perceptible en Algérie, dans la relation
qu’entretiennent les populations avec les pouvoirs publics interpellés
par des pronoms impersonnels (eux,ils). Nous retrouvons paradoxalement
le même regard porté par les colonisés sur le corps du colonisateur,
jamais nommé. Dans les cafés, les marchés et les lieux de travail.
Contrairement à ce qui se dit dans certains cercles, ayant vécu dans
quelques pays arabes, je ne peux que relever de nombreuses similitudes
entre l’Algérie et de nombreuses sociétés arabes, notamment la Tunisie,
la Syrie et l’Egypte. La Libye et les monarchies du Golfe, usant d’une
cruelle fermeture, sont des cas à part. La seule façon de fermer la voie
aux appétits voraces des forces étrangères en pleine crise
internationale est de consolider le front intérieur, en s’ouvrant à tous
les secteurs de la société et en évitant de la rendre prisonnière de
schémas préétablis, comme cette constitution triturée par cinq
personnages du bloc gouvernant.
Certains responsables de ce qu’on
appelait communément «l’alliance présidentielle», le PT, Tedj, MPA et
l’UGTA (ce ne sont que des sigles, tant que nous ne disposons pas de
géographie électorale, compte tenu de l’absence d’élections sérieuses),
prompts à célébrer une illusoire nation arabe la rejette dès qu’il
s’agit de gérer des situations délicates en n’arrêtant pas de crier que
l’Algérie n’est nullement la Tunisie ou l’Egypte. Cette manière de faire
a déjà été pratiquée par les dirigeants égyptiens avant d’être broyés
par cette lame de fond mettant en cause toutes les structures en place,
dénuées de légitimité. Les autorités yéménites, marocaines, soudanaises
et jordaniennes tentent, elles aussi, d‘entreprendre quelques
replâtrages, des concessions qu’elles ont régulièrement refusées jusqu’à
ces moments de contre-violence légitimées d’ailleurs par ce déni
d’existence des populations. Le gouvernement algérien se réveille
subitement en 2011, à la faveur du processus de déstabilisation de
certains pays arabes, annonçant la levée de l’état d’urgence et la
«libération» illusoire des média en reconduisant, bien entendu, les
mêmes hommes et les mêmes femmes, alors que le monde change et que les
«peuples» exigent désormais une refondation intégrale du système
politique. Partout, l’idée de la nécessité de la mise en place d’une
assemblée constituante, synonyme d’une redécolonisation de la société et
d’une reprise d’un moment historique censuré par les dirigeants en
1963, gagne du terrain.
Ce processus est désormais
indispensable, surtout aujourd’hui, où le taux des populations
scolarisées est relativement élevé, permettant aux uns et aux autres
d’acquérir un savoir les aidant à lire les réalités politiques et
culturelles et à revendiquer une place réelle dans leur société. La
scolarisation et l’instruction, à côté de la libre information sur la
Toile Internet sont des facteurs essentiels dans l’émergence de ce
mouvement que ne semblent pas comprendre les dirigeants et les polices
arabes et d’Europe, pris de vitesse par l’ampleur du mouvement et la
qualité des revendications. Les choses ne seront jamais comme avant.
Ainsi, messieurs, il faudrait
décoloniser les élites et la société pour paraphraser le titre d’un des
livres de Mohamed Chérif Sahli :
1- Nécessité d’une redécolonisation :
Dans des pays comme le nôtre, c’est la rencontre tragique avec la
colonisation qui nous a fait découvrir l’Etat au sens «moderne» du
terme. Les choses s’étaient faites surtout d’elles-mêmes dans la mesure
où le colonisateur considérait l’Algérie comme française et n’était donc
que le prolongement logique de la métropole. L’Algérien a
fragmentairement intériorisé les nouvelles formes de représentation
symbolique, mais sans souvent se délester de ses représentations
«traditionnelles», ni interroger ces structures coloniales trop
suspectes et chargées de significations tragiques. Ce qui provoque un
sérieux problème et un véritable choc au niveau du fonctionnement des
structures étatiques après l’indépendance, parce que, quoiqu’en disait
Boumediene qui parlait sans relâche de l’édification d’un Etat qui
survivrait aux hommes et aux événements, l’Etat «syncrétique» paradoxal
(lieu où cohabitent deux attitudes dissemblables et peu compatibles,
l’une ancrée dans la culture «autochtone», l’autre marquée par le regard
occidental) caractérisait le fonctionnement de cette société, lieu et
enjeu de comportements et de pratiques ambivalents.
Messieurs, le mal est antérieur à 1962,
dans un pays où les coups d’Etat se succèdent depuis le putsch contre le
GPRA, en passant par l’arrêt de la constituante, juin 1965 jusqu’à
présent. L’Algérie est devenue le lieu idéal de coups d’Etat permanents.
L’indépendance acquise, les nouveaux dirigeants n’ont fait finalement
que remplacer ceux qui détenaient les postes administratifs et de
pouvoir de l’appareil colonial sans chercher à redéfinir les contours de
cette réalité qui allait engendrer d’innombrables et tragiques
malentendus. La gandoura se met à se prendre pour le costume-cravate de
l’administrateur colonial. C’est pour cette raison que l’Etat «moderne»
n’est en fin de compte qu’une création charriant, entre autres
phénomènes, les stigmates du discours colonial. Ainsi, la même relation
de méfiance des populations à l’égard des pouvoirs est restée vivante,
même après l’indépendance. Le vocabulaire utilisé par les populations
suggère la présence d’un rapport d’étrangeté et d’étrangéité par rapport
aux pouvoirs publics. Il n’est pas étonnant que les gens cultivent une
sorte de méfiance par rapport aux espaces de pouvoir assimilés à des
lieux où dominent corruption, passe-droit et clientélisme. Ce serait
utile de consulter les déclarations de certains ministres après les
dernières émeutes et les cas de torture enregistrés depuis 1962. C’est
pour cette raison qu’un travail de redécolonisation est nécessaire. On
pensait que la fameuse commission de réforme de l’Etat mise en place par
le président actuel allait réfléchir sur la question, mais elle semble
avoir ignoré les éléments essentiels d’une refondation de l’Etat et de
sa redécolonisation.
2- La présence trop formelle de l’Etat :
L’Etat est un mythe, souvent confondu avec le chef ou le gouvernement.
Ce qui correspond aux jeux d’un régime autocratique. L’Etat,
paradoxalement démuni de ses prérogatives essentielles et de certaines
de ses règles de fonctionnement, va graduellement abandonner de
nombreuses fonctions à un discours oral, manichéen, mais peu clair. Ce
qui provoque de multiples malentendus et permet une sorte de confusion
trop pernicieuse entre Etat et pouvoir d’Etat. Cet amalgame réduit
l’Etat à une simple fonction de police répressive comme si les appareils
idéologiques le constituant étaient tout simplement exclus de sa
composante. Tout ce qui se passe aujourd’hui n’est que l’expression de
cette réalité confondant Etat et Président affublé de tous les pouvoirs à
tel point que de nombreux «partis» se déterminent par rapport à un
mythique «programme du président», jamais défini.
L’Etat privatisé, c’est-à-dire doté d’un
pouvoir ne tirant pas son autorité de fondements juridiques mais se
confondant avec les qualités et les traits particuliers du chef,
investit le paysage et engendre une forte et préjudiciable distance avec
les populations méfiantes et percevant l’autorité comme un espace trop
peu crédible. D’où l’usage de termes comme «El Beylik» ou «El houkouma»
trop marqués sémantiquement et idéologiquement, provoquant une certaine
distance.
Ainsi, la constitution, même s’il existe
un conseil constitutionnel chargé théoriquement de veiller à son
application, ne pourrait pas, compte tenu, des relations trop marquées
par l’oralité et les démarches personnelles, être opératoire ni
pertinente. D’ailleurs, le choix du président de cette structure et de
ses membres a toujours obéi à une logique clientéliste. Ce qui rend les
relations institutionnelles peu claires et trop ambiguës. Les
prérogatives confuses des uns et des autres où plusieurs cercles se
chevauchent et s’entrechoquent ne permettent pas une sérieuse
administration de la chose publique. La profonde césure entre les
détenteurs du pouvoir politique et la société avec ses élites
parallèles, non reconnues ou marginalisées, est réelle d’autant plus que
les partis politiques, encore fonctionnant à leur tour comme de
véritables tribus, ne semblent pas représentatifs de la scène sociale,
fonctionnant toujours comme des entités syncrétiques donnant à voir un
Etat trop mouvant et complexe dépouillé de légitimité, donc voué à être
l’instrument d’une fragile légalité.
Jamais jusqu’à présent, ni l’APN ni le
gouvernement ou le parti unique FLN d’avant 88 ou les autres
partis-appareils de la «coalition» (RND et HAMAS ou le PT qui est un
espace de cette mouvance) n’ont fonctionné comme des lieux réels de
pouvoir ou de décision. Les assemblées «élues» (Sénat, APN, APW et APC),
copie conforme du système institutionnel français, mais sans autonomie
ni responsabilité, ont une existence virtuelle, consommant énormément
d’argent. Nées pour donner l’illusion d’une responsabilité collective et
fonctionnant pratiquement comme des espaces d’illustration du pouvoir
en place, les «assemblées élues» ne sont pas encore intériorisées dans
l’imaginaire populaire qui limite la responsabilité au président et au
wali assimilés à des cheikhs de zaouias, neutralisant toute possibilité
démocratique. D’ailleurs, trop peu d’Algériens connaissent la fonction
et les prérogatives réelles de telles chambres investies d’espaces
illusoires de gouvernement ou de délibérations et se limitant à une
répétition du discours officiel, s’éloignant sérieusement des jeux de la
représentativité populaire. Même les responsables des différents
exécutifs n’accordent aucune importance aux députés, sénateurs ou
autres, les considérant comme des espaces d’illustration, trop peu
importants. Les urnes fonctionnent comme illusion du réel et espace de
dénégation des marques de souveraineté du «peuple» ainsi brimé de sa
citoyenneté, engendrant une profonde césure. Les gens ne connaissent de
cette assemblée ni députés ni sénateurs, ni présidents d’APW mais
ressassent tout simplement cette question des salaires qui a tant
décrédibilisé une assemblée populaire nationale et un sénat dont ils
ignorent la fonction réelle sauf qu’il sert parfois à caser certains
anciens responsables et qu’il reproduit un schéma existant dans quelques
pays «occidentaux», notamment la France. Le Sénat qui donne la
possibilité au président de désigner le tiers de ses membres était
perçu, à l’origine comme un espace de censure et de police pouvant
bloquer un groupe majoritaire dans l’assemblée s’il est considéré comme
politiquement peu correct.
Même les ministres restent encore hors
les sentiers de l’efficacité. Il y a d’ailleurs ministres et ministres
en fonction de leur proximité avec le chef. Même le «premier ministre»
n’est souvent pas réellement le premier. Ils sont vus comme des
représentants d’entités symboliques peu réelles. D’ailleurs, le
fonctionnement des différents gouvernements confirme justement cette
impression donnant à voir la structure gouvernementale comme une entité
abstraite au même titre que l’Etat transformé en un lieu mythique à tel
point que ce sont les espaces informels qui prennent sérieusement le
dessus sur les structures formelles ou légales. Il faudrait savoir que
le gouvernement se réunit de manière très irrégulière en conseil des
ministres, ce qui montre le peu d’intérêt, de sérieux et de poids
accordé à cette instance. Il n’existe pas de structures-tampon,
intermédiaires entre les hauts lieux du gouvernement et la société.
L’Etat est à redéfinir. L’Algérie n’a
pas connu des élections normales depuis la nuit coloniale. C’est une
succession de fraudes mettant entre parenthèses la notion de
citoyenneté, exclue des travées de l’activité sociale et politique.
3- La prééminence du président et de l’armée :
Jamais, depuis l’indépendance, l’Algérie (comme d’ailleurs tous les
pays arabes) n’a connu un président élu dans les règles. Ce qui pose
sérieusement problème. Ici et dans les autres territoires arabes, le
président qui se comporte en monarque n’a de compte à rendre à personne :
l’Etat, c’est lui, pour paraphraser Louis XIV.
Le président se trouve à la fois espace
d’allégeance «traditionnelle» et lieu de pratiques «modernes». Le cheikh
et le président se mettent en concurrence. Le cheikh arrive à se
substituer au président. Le président ou le cheikh est l’homme autour
duquel s’articule toute la réalité du pouvoir. En attendant souvent les
«élections» présidentielles, tout est bloqué, tout est en attente
jusqu’à l’arrivée de cet «homme providentiel» qui a pour fonction de
régler tous les problèmes de la société. Le président, lui-même,
découvrant des groupes de pression constitués de militaires et de civils
influents dans et en dehors de la sphère apparente du pouvoir, crée
lui-même son propre «réseau» constitué de la famille et des proches.
Boutros Boutros Ghali expliquait que les choses changeraient si les gens
au pouvoir s’abstenaient de placer leurs frères, leurs cousins et leurs
proches à tous les hauts postes de responsabilité. C’est cette
république des cousins et des nouveaux alliés qui désarticule l’Etat.
Messieurs, le pouvoir dans les régimes
présidentiels autocratiques s’exerce dans l’anonymat marqué par
l’empreinte de l’entourage du président que ne connaissent que les
hommes du gouvernement et les proches du sérail. Ces hommes n’ont aucune
légitimité, mais ce sont souvent eux qui détiennent les véritables
leviers de la décision à tel point qu’on se pose parfois des questions
sur la place et les fonctions du gouvernement. Ils détiennent le pouvoir
du seul lien avec le Président qui n’arrête pas de s’emparer de
dossiers du gouvernement pour les soumettre à une de ses équipes pour
les traiter comme d’ailleurs les fameuses commissions sur la réforme de
la justice et de l’école, la nomination des recteurs, des magistrats,
des walis, des ambassadeurs… Le président est le centre du pouvoir. Le
cousin, le frère ou le fils sont les lieux centraux de la «république
monarchique». Cette pratique n’est pas nouvelle, elle traverse toute la
société depuis l’indépendance. Les nominations à des postes de
responsabilité obéissent toujours à des considérations claniques,
familiales et clientélistes à tel point que le pays se retrouve régenté
pour reprendre Bouteflika par dix personnes et Ben Bella qui parle de
trente Borgeaud.
4- Les partis politiques, le syndicat et les associations à caractère social et culturel :
Nés ou légalisés durant une période particulière, après les événements
d’Octobre 1988 où les uns et les autres, dans les cercles de
gouvernement faisaient et défaisaient les textes en fonction de leurs
calculs, ces instances partisanes sont souvent réduites à de simples
appareils, à tel point qu’on se pose des questions sur les conditions
présidant à leur naissance dans un pays. C’est pour cette raison
justement qu’il faudrait revoir profondément l’appareil législatif tout
en prenant la décision, une fois pour toutes, de rendre les sigles FLN
et UGTA à l’Histoire, patrimoine commun. Cette confiscation des symboles
de la glorieuse lutte de libération par les nouveaux dirigeants de
l’Algérie après 1962 est un déni de l’Histoire, les premiers dirigeants
du FLN historique avaient promis la restitution de tous les sigles, une
fois l’indépendance acquise, le FLN devenant un espace commun que
personne ne devrait reprendre à son profit. Le mouvement associatif
reste trop marqué par sa dépendance.
5- Les jeux médiatiques, la pensée unique et l’exclusion de la société :
Jamais, l’Algérie n’a connu une véritable liberté de presse et
d’expression. Parce que parler ne veut rien dire. Quand le dire n’est
pas pris en considération, il côtoie le vide. C’est vrai que les
journaux privés dont les contours restent encore à définir, critiquent
différents pouvoirs tout en restant paradoxalement prisonniers de
l’institutionnel et de la fascination des cercles des différents
pouvoirs, notamment la proximité du capital financier. Certaines
expériences au temps de Ben Bella, de Boumediene ou de Chadli étaient
paradoxalement beaucoup plus ouvertes, sauf que depuis l’indépendance,
mépris ou fausse condescendance, aucun dirigeant suprême de ce pays n’a
accordé d’interview à un journaliste algérien. Selon, les dirigeants
algériens qui voudraient tout régenter, les médias lourds ne devraient
pas fonctionner de manière autonome, le «peuple» ne serait pas mûr,
seuls les chefs ont le droit de décider du niveau de maturité de leurs
populations. Profond fossé entre dirigeants et société profonde
condamnée à une complète aphonie. Les journaux de la presse
gouvernementale sont les plus pauvres du pays, à tirage trop réduit,
mais bénéficiant paradoxalement de plusieurs pages de publicité,
offertes par les autorités à contre-courant de la logique économique. La
télévision, la radio et les organes de la presse écrite sont autant de
lieux d’articulation d’un discours univoque, prenant en charge une
parole du gouvernement se conjuguant au futur antérieur.
Aujourd’hui, avec la parabole, Internet
(facebook, twitter…) et les nouvelles technologies de l’information,
l’Algérien regarde le monde en direct, tout en ayant la possibilité de
présenter sa véritable image. Ainsi, «l’infra-citoyen» se donne la
possibilité d’une certaine autonomie, produisant son propre discours
désacralisant la parole des différents pouvoirs. Se soigner à l’étranger
pour un responsable, c’est tout simplement un grave constat d’échec.
Comment peut-on administrer un pays avec des responsables qui méprisent
les structures de ce territoire, reconnaissant ainsi l’échec patent de
leur gestion ? Dernièrement, le PDG d’Air Algérie a préféré prendre un
avion des Emirats au lieu de celui d’Air Algérie.
Le jeu de la latence permet le réveil
d’attitudes, de réminiscences et d’agressions enfouies qui se libèrent
vite, au contact de la foule ou d’une ultime injustice. A la poste, dans
les bus et ailleurs, les jeunes et les moins jeunes expriment leur
mécontentement, leur désillusion et révèlent la longue distance les
séparant des pouvoirs en place qui devraient entamer une pacifique
transition vers le changement. En sont-ils capables ? On retrouve les
mêmes préoccupations chez de nombreux Algériens, ceux qui usent des
émeutes (plus de 10000 par an en 2010, 2011 et 2012) et ceux qui
marchent. Ayant vécu dans quelques pays arabes, y compris la Tunisie, la
Libye et la Syrie, je retrouve les mêmes gestes et les mêmes attitudes
enfouies, attendant le moment propice pour une éventuelle
transformation.
6- La légitimité, la répression et les jeux exquis de la corruption :
La rente pétrolière reste l’espace fondamental caractérisant les
territoires peu amènes de l’économie algérienne. Les appétits sont
tellement gargantuesques qu’on a pris la décision de vendre la
SONATRACH, c’est-à-dire l’Algérie, avec l’assentiment d’«élus» qui, sans
l’intervention de dirigeants étrangers, aurait été broyée par des
multinationales étrangères. Le «scandale» de la Sonatrach de cette
année, Khalifa, Pasteur ou l’autoroute Est-Ouest est une affaire
ordinaire. La corruption est la chose la mieux partagée par quelques uns
qui se dissimulent derrière ce slogan tendancieux et dangereux : «Tous
pourris», à tel point que l’ancien ministre de la justice, répondant à
une question sur la composante de la « commission anti-corruption »
avait cru bon de dire que le président n’avait pas trouvé 5 ou 6 hommes
intègres. Grave dans la mesure où il réduit l’Etat à un conglomérat de
personnes gravitant autour du président, excluant du coup la multitude
et les élites éloignées des jeux de la corruption et du pouvoir. Cette
privatisation de l’Etat est l’espace privilégié d’une absence tragique
de légitimité. La corruption est devenue monnaie courante. La légalité
supplée la légitimité. Les choses ne semblent pas si simples, même si
pour tous les partis politiques et les observateurs de la vie publique
nationale, la corruption demeure le mal fondamental qui ronge notre
société. Ce phénomène n’est pas récent dans notre pays. Déjà, au temps
de la colonisation, l’administration proposait des privilèges contre de
l’argent ou des biens de consommation. Mais bien avant, l’occupation
française, la corruption marquait le quotidien. Chez nous, la
colonisation n’a pas arrangé les choses en en faisant une véritable
ligne de conduite. Juste après l’indépendance, certains avaient commencé
à marchander pour occuper des «biens vacants». C’était la belle
aubaine. Certes, les moyens n’étaient pas conséquents, mais déjà, on
entamait le jeu de la débrouille qu’une société, trop rurale, marquée
par des habitudes peu commodes, acceptait facilement. Et au lendemain de
l’indépendance, certains responsables grossissaient à vue d’œil à tel
point qu’on avait parlé de trafic et de vol du fameux «Sandouk
ettadamoun». Ainsi, la corruption inaugurait une Algérie délivrée de la
colonisation.
Les situations de rente liées au jeu de
la corruption favorisent l’avènement d’«intellectuels» du pouvoir,
glorifiant et illustrant le discours dominant ou participant de toutes
les zerdas-festivals organisées par le ministère de la culture
gaspillant des dizaines de millions d’euros et des centaines de millions
de dinars. Les membres de la squelettique « Union des écrivains » et
bien d’autres artistes, écrivains, cinéastes et peintres se positionnent
apparemment dans cette direction. Après l’année de l’Algérie en France,
Alger, capitale de la culture arabe et le PANAF et de Tlemcen, capitale
islamique, c’est au tour de Constantine de consommer des milliards sans
aucun bénéfice symbolique ou matériel. On joue encore avec l’argent
public pour des festivités trop peu bénéfiques, mais qui pourraient
rapporter gros à certains. Au moment où les espaces culturels sont en
déficit chronique, le ministère de la culture se permet de fêter
l’absence, avec l’argent public, généreusement dépensé pour des actions
trop peu rentables sur le plan culturel.
7- Les mots volubiles du discours politique algérien :
Les jeux de simulacre du langage politique et l’absence d’économie
linguistique traversent la communication des responsables politiques
usant souvent de termes et d’expressions redondants. Cette inflation de
formules répétitives exprimerait un sérieux déficit en matière de
gestion de la vie courante et mettrait en lumière l’absence de
perspectives et de projets concrets. La multiplication de clichés et de
stéréotypes témoignerait de la déroute du langage et d’une
parcellisation du territoire de la culture de l’ordinaire trop marquée
par une série de résistances mettant en scène la présence de plusieurs
Algérie s’excluant les unes les autres. Le discours des membres du
gouvernement et de leur relais principal, la télévision, est marqué par
une absence presque totale du «dit» et du «dire» au profit d’une
«parole» bavarde qui nie toute relation avec une société et une autre
Algérie, profonde et manquant tragiquement d’espaces de représentation
légitimes. Ainsi, nous sommes en présence de champs lexicaux
s’entrechoquant et s’opposant continuellement, reflétant cette profonde
césure caractérisant la société profonde trop éloignée des bruits de
parole de gouvernants employant à profusion le futur antérieur comme
espace de justification d’une ambiguïté et d’une ambivalence servant
paradoxalement d’outil de gestion et répétant à outrance des mots vidés,
à force d’être rabâchés, de leur sens originel. Les différents
gouvernants, depuis l’indépendance, ont signé des milliers de textes
qui, souvent, sont produits en fonction des humeurs et des règlements de
compte du moment. Les analogies linguistiques et langagières sont
frappantes à tel point qu’on se dit qu’on a uniquement reproduit les
«papiers» de cette période. Les titres, les «attaques» (le début), les
«chutes» (la fin) et les arguments sont identiques. Le discours
politique ne se renouvelle pas, malgré les changements et les
traumatismes subis par la société.
La démocratie est, dans ce contexte
particulier, semblable à un moulin de paroles. Le grand linguiste
américain, Noam Chomsky a raison de définir ainsi la démocratie : «Une
caractéristique des termes du discours politique, c’est qu’ils sont
généralement à double sens. L’un est le sens que l’on trouve dans le
dictionnaire, et l’autre est un sens dont la fonction est de servir le
pouvoir- c’est le sens doctrinal. (…) Mais le sens doctrinal de
démocratie est différent- il désigne un système dans lequel les
décisions sont prises par certains secteurs de la communauté des
affaires et des élites qui s’y rattachent. Le peuple n’y est qu’un
«spectateur de l’action» et non pas un «participant» comme l’ont
expliqué d’éminents théoriciens de la démocratie (dans ce cas, Walter
Lippmann). Les citoyens ont le droit de ratifier les décisions prises
par leurs élites et de prêter leur soutien à l’un ou l’autre de leurs
membres, mais pas celui de s’occuper de ces questions- comme par exemple
l’élaboration des politiques d’ordre public- qui ne sont aucunement de
leur ressort. Lorsque certaines tranches du peuple sortent de leur
apathie et commencent à s’organiser et à se lancer dans l’arène
publique, ce n’est plus de la démocratie.».
La situation actuelle nécessite la mise
en œuvre d’une sérieuse refondation politique permettant une véritable
redécolonisation d’un pays trop piégé par les attitudes autoritaires et
les jeux d’allégeance. L’Algérie devrait redevenir le pays de tous les
Algériens. C’est pour cette raison que toute exclusion est mortelle.
C’est peut-être le moment d’entamer la construction de la première
véritable république, avec comme point nodal la mise en œuvre d’une
assemblée constituante ou d’un vrai débat pluriel, prélude à des
élections réelles et à un retour de l’élan patriotique. Cette élection a
encore davantage approfondi les blessures et divisé sérieusement un
pays qui risquerait si on ouvrait pas un débat sérieux et serein de
vivre un grave processus de dépeçage et de partition.
A.C.
http://www.lematindz.net/news/14218-lettre-a-ceux-qui-regentent-lalgerie.html
Algérie : Hichem Aboud " Said Bouteflika, perversion sexuelle, homosexualité, alcool et drogue "
Dans un entretien accordé aux deux versions de son édition « Mon Journal », Hichem Aboud, qui se trouve actuellement en Suisse, a porté de graves accusations à
Pis encore, il qualifie Saïd Bouteflika d’être « un personnage qui n’a pas d’existence légal dans l’Etat algérien et qui a vite transformé celle-ci en une propriété privée dans laquelle il se pavane comme un voyou, tout ce qu’il possède est un carnet de famille prouvant son état de frère du Président de la République. »
Dans ce chapitre, Hichem Aboud a indiqué qu’il est en train de préparer un livre sur Abdelaziz Bouteflika. Il promet des révélations fracassantes sur le Président de la République.
Hichem Aboud apporte, également, de graves accusations contre le journaliste et directeur du quotidien arabophone Ennahar, patron d’une chaîne d’information privée, qu’il traite de « fils d’adultère. » Il révèle que le père de ce dernier est « un harki qui a échappé au lynchage à El-Bayadh grâce à sa mère. »
Le directeur de « Mon Journal » accuse également Anis Rahmani de se mettre « à plat ventre devant Said Bouteflika, pour se faire pardonner ses positions véhémentes prises à l’encontre Président Bouteflika en 2004 sur Khalifa TV, avec la même férocité qu’on lui connait».
Les accusations de Hicham Aboud contre Said Bouteflika (Actualisé)
Hichem Aboud apporte les dernières touches à son nouvel ouvrage intituléL’Algérie des Bouteflika : vol, vice et corruption. L’auteur de La mafia des généraux a
ainsi envoyé, le 6 février dernier, une lettre au frère du président de
la République, Said Bouteflika, dont nous détenons une copie, pour
vérifier certaines informations le concernant. L’ancien capitaine du DRS
porte de graves accusations à l’encontre de Said Bouteflika.
« Apportant les dernières touches à
un ouvrage littéraire que je consacre à l’Algérie sous le régime des
Bouteflika, j’ai recueilli une masse d’informations et de témoignages
vous concernant. Dans leur quasi-totalité, ces informations ne vous sont
guère favorables », écrit Hicham Aboud dans sa lettre dont nous
publions l'intégralité. « Aussi, le chapitre qui vous est consacré
comporte certaines informations relatives à votre enfance, votre vie
d’étudiant et votre vie familiale », poursuit-il.
« S’agissant de la corruption, ils
sont nombreux à témoigner que vous êtes impliqué dans les plus grosses
affaires dont celle de Sonatrach, l’autoroute Est-Ouest, Philippe Morris
et bien d’autres. C’est ce qui explique l’impunité dont jouissent les
Chakib Khelil, Amar Ghoul et consorts. Vous seriez également impliqué
dans l’affaire Khalifa et vous touchez sur les gros marchés, dont ceux
des grands travaux routiers confiés à l’ETRHB dont vous avez fait du
patron, Ali Haddad, un associé de facto qui vous verse plus de 50% de
ses bénéfices ».
Plus loin, Hicham Aboud ajoute :
« pouvez-vous nous dire quelle a été la note de l’hôtel Meurisse qui a
abrité votre famille durant le séjour hospitalier de votre frère à
Paris ? Certaines sources indiquent que vous aviez gonflé la note d’un
commun accord avec le patron de l’établissement pour détourner une bonne
somme, qui s’élèverait à près d’un million d’euros que vous avez placée
dans une banque suisse. À propos des banques suisses, des sources
proches de votre entourage estiment votre fortune avec celle de votre
frère président à plus de neuf milliards de francs suisses ».
Contacté, Hicham Aboud, confirme
l’envoi de cette lettre et affirme : « Ce n’est pas un livre à charge !
C’est un bilan des 15 ans de règne du Président », tient-il à préciser
d’emblée. « Un livre pour faire connaitre sa personnalité, sa famille et
son entourage », explique notre interlocuteur.
L’ancien patron de Mon Journal et de Djaridati,
deux quotidiens aujourd’hui disparus, dit avoir mené une investigation
pour écrire son livre. « J’ai été voir tout ceux qui ont connu
Bouteflika et sa famille depuis son enfance jusqu’à maintenant. C’est un
livre qui est fait sur la base des témoignages recueillis »,
raconte-t-il. Pour ce faire, Hichem Aboud affirme s’être notamment
déplacé au Maroc et en France. « Quand on a une information, on doit la
vérifier et la recouper, c’est pour cela que je lui ai envoyé une lettre
(à Said Bouteflika) », rappelle-t-il.
Après avoir évoqué les sujets
abordés dans le livre concernant le frère du Président, il poursuit :
« Je serai heureux de vous voir m’intenter un procès devant les
tribunaux algériens ou français. Je ne pourrai pas souhaiter meilleure
publicité à cet ouvrage ». Cette lettre sera présentée à son éditeur
français et figurera dans son ouvrage. « Maintenant, s’il ne répond pas,
ça veut dire qu’il consent. Le silence est signe de consentement !
Pour La mafia des généraux, je n’ai eu aucun démenti, il y va de ma crédibilité », estime Hichem Aboud.
M. Aboud compte publier son livre,
« probablement », après l’élection présidentielle et « quel que soit le
résultat ». « Pour que personne ne l’exploite. Enfin, pour que ça ne
fasse pas le jeu de certains », affirme-t-il. « Et puis, je tiendrai
compte des derniers développements dont les déclarations de Saâdani, la
mise à la retraite (de certains officiers, NDLR) », ajoute-t-il.
Contacté, Said Bouteflika a confirmé
tard dans la soirée, avoir reçu la lettre. Malgré la gravité des
propos, le frère cadet du Président « ne voit aucun inconvénient à la
publication de la lettre pour prendre l'opinion publique à témoin ».
L'intégralité de la lettre
8 commentaires :
- Si grave ya Hicham, vous avez choquer les gens avec ses declarations. Rabbi yastare !Répondre
La chaise ce quelle fait...... - Anonyme10 février 2014 20:26je ne comprends pas du tout ce que vous faites Mr Hichem; est ce que vous pensez que ces déclarations vont vous servir ? Non, je suis désolé, vous ne faites que vous profaner l'image; normalement comme vous, doit défendre l'Algérie , préserve la paix , la solidarité!!! Je pense qu'un véritable Algérien à ce qu'on appelle "NIF", et la vous ne touchez pas uniquement à la personne du président mais à toute l'Algérie!!! EST C'EST " EL K O U R S I" qui vous pousse à se comporter de la sorte? je pense ardemment que votre opiniâtreté va nous acculer tous sans exceptionnnn!!! vous NE POURRAI ÊTRE ALGÉRIEN , je suis DÉSOLERépondre
- Anonyme18 février 2014 07:53Dommage pour l'Algérie qui se donne en spectacle sous les yeux du monde entiers. Je ne prend partie pour personne mais dans ce qui dit Hicham Aboud il y a certainement du vrai. Ma question pourquoi avoir attendu jusqu'à maintenant pour faire son livre, sachant que même les prédécesseurs de Bouteflika se sont bien servi et qu'il était au courant de part sa fonction. Ce n'est pas ainsi que vous rendez justice au peuple Algérien qui une fois de trop est toujours victime.Répondre
MOULOUD. B - Anonyme14 avril 2014 21:26j/espere bien que s/est hommes sont connues des politiciens des serveurs des peuples algeriens c/est dommages pour euxRépondre
http://debats.terrafemina.com/monde/1246-le-sahara-occidental-a-t-il-le-droit-a-lindependance/73271-le-mois-davril-est-proche-la-folle-desinformation-reprend-lagerie-vend-de-lillusion
N’y a-t-il plus d’hommes pour que Saïd Bouteflika abuse de l’Algérie ?
Il faut être dupe ou simple d’esprit pour croire que le président
Abdelaziz Bouteflika est capable d’assumer ses fonctions depuis son AVC
du 27 avril dernier. L’application de l’article 88 de la Constitution
s’imposait d’elle-même. Mais vu l’état dans lequel se trouve,
aujourd’hui, l’Algérie après un règne sans partage de Bouteflika, il
s’imposait aux décideurs de laisser le mandat actuel du président
arriver à son terme.
Cependant, laisser Bouteflika aller au bout de son mandat ne doit pas
signifier qu’il doit léguer à son frère cadet les clés de la maison
Algérie. C’est de notoriété publique : Saïd Bouteflika, très porté sur
l’alcool et les stupéfiants, n’a aucun sens de la responsabilité pour
qu’il se substitue à son frère aîné.
Pour avoir enquêté sur le personnage au Maroc, à Paris et à Genève dans le cadre d’un ouvrage consacré aux 15 ans de bouteflikisme, j’ai pu recueillir tous les éléments nécessaires qui indiquent que cet individu est indigne d’agir au nom de l’Algérie ou de s’impliquer dans la gestion des affaires du pays. D’ailleurs, son implication dans les scandaleuses affaires de corruption et de détournements de deniers publics n’est plus qu’un secret de Polichinelle. Sa complicité avec Chakib Khelil, qui bénéficie d’une inexplicable impunité, est plus qu’évidente.
L’action de cet individu qui s’est autoproclamé prince dans une république ne se limite pas aux affaires scabreuses qui lui permettent de s’assurer une retraite dorée à l’étranger une fois le mandat de son frère arrivé à échéance. Insatiable ou peut-être soucieux d’assurer ses arrières une fois son frère éloigné du pouvoir, il cherche à jouer un rôle qui ne lui sied guère. Il s’improvise décideur politique en choisissant le successeur de son frère qui lui garantirait l’impunité et pourquoi pas une place au palais d’El-Mouradia comme conseiller de l’ombre. Une façon de poursuivre son œuvre destructrice. C’est pourquoi il foule aux pieds toutes les lois de la république et les institutions, y compris le conseil de l’Etat pour parvenir à ses fins. C’est ainsi qu’il s’est permis de détruire l’un des symboles de la libération du pays, le Front de libération nationale, en menant en son sein une scission où des voyous payés à 10.000 DA la journée ont transformé les réunions du Comité Central en arènes de combats où les cailloux et l’arme blanche étaient de la partie.
Après une trêve de huit mois imposée par la maladie de son frère, Saïd Bouteflika revient à la rescousse et organise une réunion du comité central selon sa propre conception en foulant aux pieds les décisions du conseil de l’Etat. Tout ça pour imposer l’un des symboles de la corruption qu’ont engendré les quinze années de gouvernance de Bouteflika. Un ancien agent de sécurité dans une station d’essence, joueur de derbouka sans morale et sans aucun niveau d’instruction, occupe par la grâce de Saïd Bouteflika la plus haute fonction du parti fondé par les héroïques Benboulaïd, Boudiaf, Ben M’hidi, Bitat et leurs compagnons. Quelle guerre de clans ?
Pourquoi toutes ces misères faites à l’Algérie ? Comment cet individu se permet-il d’abuser de tout un pays et de ses symboles sans que personne ne lève le petit doigt ? N’y aurait-il plus d’hommes en Algérie pour rappeler à l’ordre ce triste individu qui doit savoir qu’être frère du président ne lui confère aucun droit de se substituer à lui dans la gestion des affaires du pays ? Certains simples d’esprit invoquent la guerre des clans au pouvoir pour expliquer les agissements de Saïd Bouteflika. Quelle guerre des clans ? Et quels sont ces clans qui se font la guerre ou plutôt qui est ce clan qui fait la guerre aux Bouteflika ?
Si vraiment cette guerre des clans existait, Saïd Bouteflika n’aurait pas eu le courage de faire le dixième de ce qu’il a fait jusqu’ici. Dans une guerre il y a action et réaction. L’action vient de Saïd Bouteflika qui passe tel un rouleau compresseur sur tout ce qui entrave son chemin. Il dégomme l’ambassadeur d’Algérie à Paris et le remplace par un autre alors que tout le monde sait que le président qui se trouvait aux Invalides était incapable de signer le moindre document ni de prendre pareille décision qui ne semble pas relever de la priorité des priorités. Il se joue des institutions de la république et de ses symboles comme expliqué plus haut. Il instrumentalise la justice à sa guise pour jouer au tyran au point où il emmène l’Algérie tout droit vers une condamnation par la commission des droits de l’homme de l’ONU sans se soucier du préjudice moral qu’il lui cause. Et j’en passe. Face à toutes ces actions qui mettent en péril la sécurité et la stabilité de l’Etat tout en se jouant de la crédibilité de ses institutions, y a-t-il eu réaction ? Celui qui en a vu une, qu’il lève le doigt.
Où est-il ce clan opposé à celui de Saïd Bouteflika pour qu’on puisse parler de guerre des clans ? Certains parlent du DRS et de son patron, le général de corps d’armée Mohamed Mediène dit Tewfik.
Pourquoi ce dernier entrerait-il en guerre contre Bouteflika ou ce qu’on appelle le clan présidentiel mené par Saïd ? Pour l’observateur avisé de la scène politique algérienne, le général Tewfik était parmi les plus fervents partisans de la candidature de Bouteflika en 1999 quand elle avait été proposée par feu Larbi Belkheir aux décideurs de l’époque.
Il penchait pour cette candidature selon l’un de ses proches car, comme beaucoup d’officiers de l’ALN, il gardait encore de Bouteflika l’image du brillant compagnon de feu Houari Boumediene, bâtisseur de l’Algérie moderne.
En 2004, alors qu’une partie du cabinet noir s’était retournée contre Abdelaziz Bouteflika pour lui barrer la route d’un second mandat, le général Tewfik avait joué la carte de la loyauté en se rangeant du côté du président sortant en soutenant que le service qu’il dirigeait a pour mission de veiller sur la sécurité et la stabilité du pays. Des arguments mal digérés par feu le général Mohamed Lamari, venu le solliciter pour soutenir la candidature d’Ali Benflis contre Bouteflika.
En 2009 et alors que Bouteflika procédait de manière illégale à l’amendement de la Constitution pour se permettre de briguer un troisième mandat, le général Tewfik, qui aurait pu jouer la carte de la légalité en torpillant la manœuvre illégale du président de la République, a laissé faire en préférant, toujours, jouer la carte de la loyauté.
Le général Tewfik est-il un homme de clans ?
Cette attitude du général Tewfik reflète parfaitement sa personnalité. Alors qu’au début des années 1990, une véritable guerre des clans faisait rage dans les arcanes du pouvoir et qui a été marquée par les événements d’octobre 1988 et le déclenchement d’une guerre civile qui a duré plus d’une dizaine d’années, j’avais interrogé feu le général Lakehal Ayat, l’ancien patron de la Sécurité Militaire, sur le rôle que jouait le général (à l’époque il était colonel) Tewfik dans cette guerre que livraient les anciens sous-officiers déserteurs de l’armée française aux officiers issus de l’Armée de libération nationale et dont faisait partie le général Tewfik.
Le général Lakehal commençait par rectifier en précisant qu’il n’y avait pas seulement deux clans qui s’affrontaient, mais plusieurs. Les alliances entre les clans se faisaient et se défaisaient au gré des conjonctures. Il se pourrait que deux clans s’allient le soir contre un autre mais le lendemain matin ils se déclareraient la guerre si jamais les données de la veille changent. « Il y a des cercles dans lesquels évoluent les clans » me dit-il. Et je demande : « Et dans quel cercle se place Tewfik ? ».
Le général Lakehal Ayat qui a bien connu le général Tewfik durant de longues années pour l’avoir eu, surtout, sous sa coupe comme sous-directeur de la sécurité de l’armée au sein de la Direction centrale de la Sécurité Militaire durant les années 1980, cernait parfaitement le personnage. A ma question, il répond en commençant par dessiner un cercle en me disant : « Dans ce grand cercle il y a des clans et dans chaque clan, il y a de petits cercles dont les pions sont interchangeables. Untel passe d’un clan à un autre selon la conjoncture, ses intérêts et son utilité pour les clans. Mais, les chefs de clans ne bougent pas. Tewfik, lui, est en dehors des cercles. Il se place au milieu. Tous les clans lorgnent vers lui et le courtisent. Personne n’arrive à évaluer sa force qui réside, en fait, dans son silence. Il ne dit jamais ce qu’il pense. Il écoute et garde pour lui la décision qu’il envisage de prendre. Tout le monde cherche à lui tendre la main. Lui, il tend la sienne au plus fort du moment. Il n’appartient à aucun clan et ne prend jamais l’initiative d’entrer en conflit. Il préfère toujours attendre. Il n’aime pas la confrontation. Il préfère la stabilité. »
Ce portrait du général Tewfik brossé par l’ancien patron de la SM est, toujours, d’actualité. Si au plus fort de la guerre des clans, le patron du DRS a su ne pas s’y impliquer, pourquoi le ferait-il aujourd’hui, surtout que celui qu’on veut lui présenter comme adversaire est en fin de parcours ? Si vraiment il était en guerre contre Bouteflika, il aurait profité de sa longue maladie pour faire appliquer l’article 88 et il s’en serait lavé les mains. Il n’aurait jamais laissé un homme sans fonction agir dans l’illégalité pour abuser de l’Algérie et de ses hommes dans le seul but d’assurer une impunité à ses actes malveillants. Toutefois, l’impassibilité du général Tewfik devant la tyrannie et les abus de Saïd Bouteflika lui fera endosser une part de responsabilité des conséquences de l’irresponsabilité du frère du président. C’est bien beau d’être loyal mais l’Algérie doit être placée au-dessus de toute considération. Saïd Bouteflika ne se soucie guère des conséquences de ses actes irresponsables. Il n’a pas la stature ni l’étoffe du général Tewfik pour que ce dernier le laisse faire sans qu’il ne réagisse.
Hichem Aboud
Pour avoir enquêté sur le personnage au Maroc, à Paris et à Genève dans le cadre d’un ouvrage consacré aux 15 ans de bouteflikisme, j’ai pu recueillir tous les éléments nécessaires qui indiquent que cet individu est indigne d’agir au nom de l’Algérie ou de s’impliquer dans la gestion des affaires du pays. D’ailleurs, son implication dans les scandaleuses affaires de corruption et de détournements de deniers publics n’est plus qu’un secret de Polichinelle. Sa complicité avec Chakib Khelil, qui bénéficie d’une inexplicable impunité, est plus qu’évidente.
L’action de cet individu qui s’est autoproclamé prince dans une république ne se limite pas aux affaires scabreuses qui lui permettent de s’assurer une retraite dorée à l’étranger une fois le mandat de son frère arrivé à échéance. Insatiable ou peut-être soucieux d’assurer ses arrières une fois son frère éloigné du pouvoir, il cherche à jouer un rôle qui ne lui sied guère. Il s’improvise décideur politique en choisissant le successeur de son frère qui lui garantirait l’impunité et pourquoi pas une place au palais d’El-Mouradia comme conseiller de l’ombre. Une façon de poursuivre son œuvre destructrice. C’est pourquoi il foule aux pieds toutes les lois de la république et les institutions, y compris le conseil de l’Etat pour parvenir à ses fins. C’est ainsi qu’il s’est permis de détruire l’un des symboles de la libération du pays, le Front de libération nationale, en menant en son sein une scission où des voyous payés à 10.000 DA la journée ont transformé les réunions du Comité Central en arènes de combats où les cailloux et l’arme blanche étaient de la partie.
Après une trêve de huit mois imposée par la maladie de son frère, Saïd Bouteflika revient à la rescousse et organise une réunion du comité central selon sa propre conception en foulant aux pieds les décisions du conseil de l’Etat. Tout ça pour imposer l’un des symboles de la corruption qu’ont engendré les quinze années de gouvernance de Bouteflika. Un ancien agent de sécurité dans une station d’essence, joueur de derbouka sans morale et sans aucun niveau d’instruction, occupe par la grâce de Saïd Bouteflika la plus haute fonction du parti fondé par les héroïques Benboulaïd, Boudiaf, Ben M’hidi, Bitat et leurs compagnons. Quelle guerre de clans ?
Pourquoi toutes ces misères faites à l’Algérie ? Comment cet individu se permet-il d’abuser de tout un pays et de ses symboles sans que personne ne lève le petit doigt ? N’y aurait-il plus d’hommes en Algérie pour rappeler à l’ordre ce triste individu qui doit savoir qu’être frère du président ne lui confère aucun droit de se substituer à lui dans la gestion des affaires du pays ? Certains simples d’esprit invoquent la guerre des clans au pouvoir pour expliquer les agissements de Saïd Bouteflika. Quelle guerre des clans ? Et quels sont ces clans qui se font la guerre ou plutôt qui est ce clan qui fait la guerre aux Bouteflika ?
Si vraiment cette guerre des clans existait, Saïd Bouteflika n’aurait pas eu le courage de faire le dixième de ce qu’il a fait jusqu’ici. Dans une guerre il y a action et réaction. L’action vient de Saïd Bouteflika qui passe tel un rouleau compresseur sur tout ce qui entrave son chemin. Il dégomme l’ambassadeur d’Algérie à Paris et le remplace par un autre alors que tout le monde sait que le président qui se trouvait aux Invalides était incapable de signer le moindre document ni de prendre pareille décision qui ne semble pas relever de la priorité des priorités. Il se joue des institutions de la république et de ses symboles comme expliqué plus haut. Il instrumentalise la justice à sa guise pour jouer au tyran au point où il emmène l’Algérie tout droit vers une condamnation par la commission des droits de l’homme de l’ONU sans se soucier du préjudice moral qu’il lui cause. Et j’en passe. Face à toutes ces actions qui mettent en péril la sécurité et la stabilité de l’Etat tout en se jouant de la crédibilité de ses institutions, y a-t-il eu réaction ? Celui qui en a vu une, qu’il lève le doigt.
Où est-il ce clan opposé à celui de Saïd Bouteflika pour qu’on puisse parler de guerre des clans ? Certains parlent du DRS et de son patron, le général de corps d’armée Mohamed Mediène dit Tewfik.
Pourquoi ce dernier entrerait-il en guerre contre Bouteflika ou ce qu’on appelle le clan présidentiel mené par Saïd ? Pour l’observateur avisé de la scène politique algérienne, le général Tewfik était parmi les plus fervents partisans de la candidature de Bouteflika en 1999 quand elle avait été proposée par feu Larbi Belkheir aux décideurs de l’époque.
Il penchait pour cette candidature selon l’un de ses proches car, comme beaucoup d’officiers de l’ALN, il gardait encore de Bouteflika l’image du brillant compagnon de feu Houari Boumediene, bâtisseur de l’Algérie moderne.
En 2004, alors qu’une partie du cabinet noir s’était retournée contre Abdelaziz Bouteflika pour lui barrer la route d’un second mandat, le général Tewfik avait joué la carte de la loyauté en se rangeant du côté du président sortant en soutenant que le service qu’il dirigeait a pour mission de veiller sur la sécurité et la stabilité du pays. Des arguments mal digérés par feu le général Mohamed Lamari, venu le solliciter pour soutenir la candidature d’Ali Benflis contre Bouteflika.
En 2009 et alors que Bouteflika procédait de manière illégale à l’amendement de la Constitution pour se permettre de briguer un troisième mandat, le général Tewfik, qui aurait pu jouer la carte de la légalité en torpillant la manœuvre illégale du président de la République, a laissé faire en préférant, toujours, jouer la carte de la loyauté.
Le général Tewfik est-il un homme de clans ?
Cette attitude du général Tewfik reflète parfaitement sa personnalité. Alors qu’au début des années 1990, une véritable guerre des clans faisait rage dans les arcanes du pouvoir et qui a été marquée par les événements d’octobre 1988 et le déclenchement d’une guerre civile qui a duré plus d’une dizaine d’années, j’avais interrogé feu le général Lakehal Ayat, l’ancien patron de la Sécurité Militaire, sur le rôle que jouait le général (à l’époque il était colonel) Tewfik dans cette guerre que livraient les anciens sous-officiers déserteurs de l’armée française aux officiers issus de l’Armée de libération nationale et dont faisait partie le général Tewfik.
Le général Lakehal commençait par rectifier en précisant qu’il n’y avait pas seulement deux clans qui s’affrontaient, mais plusieurs. Les alliances entre les clans se faisaient et se défaisaient au gré des conjonctures. Il se pourrait que deux clans s’allient le soir contre un autre mais le lendemain matin ils se déclareraient la guerre si jamais les données de la veille changent. « Il y a des cercles dans lesquels évoluent les clans » me dit-il. Et je demande : « Et dans quel cercle se place Tewfik ? ».
Le général Lakehal Ayat qui a bien connu le général Tewfik durant de longues années pour l’avoir eu, surtout, sous sa coupe comme sous-directeur de la sécurité de l’armée au sein de la Direction centrale de la Sécurité Militaire durant les années 1980, cernait parfaitement le personnage. A ma question, il répond en commençant par dessiner un cercle en me disant : « Dans ce grand cercle il y a des clans et dans chaque clan, il y a de petits cercles dont les pions sont interchangeables. Untel passe d’un clan à un autre selon la conjoncture, ses intérêts et son utilité pour les clans. Mais, les chefs de clans ne bougent pas. Tewfik, lui, est en dehors des cercles. Il se place au milieu. Tous les clans lorgnent vers lui et le courtisent. Personne n’arrive à évaluer sa force qui réside, en fait, dans son silence. Il ne dit jamais ce qu’il pense. Il écoute et garde pour lui la décision qu’il envisage de prendre. Tout le monde cherche à lui tendre la main. Lui, il tend la sienne au plus fort du moment. Il n’appartient à aucun clan et ne prend jamais l’initiative d’entrer en conflit. Il préfère toujours attendre. Il n’aime pas la confrontation. Il préfère la stabilité. »
Ce portrait du général Tewfik brossé par l’ancien patron de la SM est, toujours, d’actualité. Si au plus fort de la guerre des clans, le patron du DRS a su ne pas s’y impliquer, pourquoi le ferait-il aujourd’hui, surtout que celui qu’on veut lui présenter comme adversaire est en fin de parcours ? Si vraiment il était en guerre contre Bouteflika, il aurait profité de sa longue maladie pour faire appliquer l’article 88 et il s’en serait lavé les mains. Il n’aurait jamais laissé un homme sans fonction agir dans l’illégalité pour abuser de l’Algérie et de ses hommes dans le seul but d’assurer une impunité à ses actes malveillants. Toutefois, l’impassibilité du général Tewfik devant la tyrannie et les abus de Saïd Bouteflika lui fera endosser une part de responsabilité des conséquences de l’irresponsabilité du frère du président. C’est bien beau d’être loyal mais l’Algérie doit être placée au-dessus de toute considération. Saïd Bouteflika ne se soucie guère des conséquences de ses actes irresponsables. Il n’a pas la stature ni l’étoffe du général Tewfik pour que ce dernier le laisse faire sans qu’il ne réagisse.
Hichem Aboud
Anonyme2 janvier 2014 20:41
la
vraie dictaturagerie e en algerie; je n'ai jamais un gamin comme
said bouteflika gouverner un pays de un millon et un demi millon de
chouhadas et c'est l'algerie.ou sont les fils et les vrais hommes de
l'algerie.vraiment c'est honteux.
Répondre
nternational
Abdelaziz Bouteflika réélu à 90,24%
- Moul Lhanout@Mounir Benmaamar
-
22 mars 2014, 11:13Moul Lhanout@Moul Lhanout
-
23 mars 2014, 22:19Moul Lhanout@Moul Lhanout
-
Réaction en attente de modération ou supprimée.
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23 mars 2014, 16:25Mounir Benmaamar@LEROI LionJe vous répondrai dans un autre débat ! Là, on discute de l'occupation du SAHARA OCCIDENTAL par le maroc. Rien d'autre !
-
23 mars 2014, 22:23Moul Lhanout@Mounir Benmaamar
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02 avril 2014, 19:00Boubker Ouarda@Moul Lhanoutcomme un petit chaton, y'a latif quelle fin....
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24 mars 2014, 11:12Moul Lhanout@Mounir Benmaamarnous on veut parler avec des sahraouis pas ave des algériens. avec vous on peut parler de ghardaya ou du 4eme mandat si ça vous chante
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23 mars 2014, 22:21Moul Lhanout@LEROI Lion
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24 mars 2014, 11:29Mounir Benmaamar@Moul LhanoutEh l'épicier ! Vous avez oublié les rois à vie du maroc !!!
Autre détail important: la carte que vous avez choisi montre bien qu'il y a un territoire délimité par des frontières. Ce pays, c'est le SAHARA OCCIDENTAL que vous occupez illégalement. Même en voulant fanfaronner, vous tombez dans l'absurde.
En conclusion: aucune carte n'accorde au maroc ses revendications farfelues.
Vous vous êtes piégé comme un ignorant ! -
24 mars 2014, 21:58Moul Lhanout@Mounir Benmaamarnon le sahara occidental n'est pas un pays sinon le camarade président abd al aziz aurait été classé dans ce top ten des dictateurs africains accros au pouvoir, 36 ans quand même
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27 mars 2014, 13:55Moul Lhanout@Moul Lhanouthttp://img.over-blog-kiwi.com/0/93/22/58/20140227/ob_f261e3_bebe-boutef.bmp
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23 mars 2014, 16:09Mansur Piazza@Mounir BenmaamarChiffrez vos "bénéfices" au lieu de vociférer. L'OCP perd de l'argent à Boukraa et vous osez parler de pillage. En revanche votre pays ne survit que grâce aux hydrocarbures. C'est une honte pour vous car vos brillants compatriotes sont obligés de s'exiler pour avoir la vie qu'ils méritent.
http://www.jeuneafrique.com/Articles/Dossier/JA2701p028_037.xml5/maroc-phosphate-mines-ocpmaroc-maoulainine-maoulainine-monsieur-phosphates-du-sahara.html
Quand on défend comme vous un régime qui a massacré 300 000 de ses compatriotes on doit d'abord faire le ménage chez soi avant d'aller chercher des poux à son voisin. Si vous voulez voir ce que cela veut dire "bafouer les droits de l'homme" allez au Congo-Kinshasa.
Enfin concernant la drogue elle est aussi en bas de chez moi ce qui ne m'oblige en rien à en acheter. C'est pareil pour vos compatriotes ainsi que tout le monde ici bas. Maintenant si vous cherchiez à savoir pourquoi vos compatriotes se réfugient dans la verte( chômage, pas d'avenir, argent public dilapidé au profit du polisario....)
En revanche pas un mot de votre part de la coke ramenée d’Amérique du sud par le polisario. Vous auriez pu être crédible en étant juste.
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23 mars 2014, 16:46Mounir Benmaamar@Mansur PiazzaMonsieur piazza,
Comme à l'accoutumée quand vous retrouvez votre connexion internet, vous bottez en touche. Vous êtes et vous resterez à côté de la plaque et hors sujet à chacune de vos interventions.
Votre rage de marocain contaminé par la propagande du makhzen va comme toujours vers l'Algérie que vous ne pouvez éviter.
Votre jalousie maladive vous gangrène l'âme et l'esprit à propos des richesses de vos voisins Algériens. Que diriez vous si je vous réplique le maroc survit grâce au tourisme et à l'aide Internationale notamment celle des états unis ?
Je ne suis pas ici pour défendre l'Algérie mais la cause du SAHARA OCCIDENTAL que votre pays le maroc, occupe par la force et spolie de ses droits comme de ses richesses, le peuple SAHRAOUI. C'est ça le vrai débat monsieur piazza ! Rien d'autre.
Par contre, vous me semblez bien au parfum à propos de la drogue et de ses différentes dénominations. Chapeau bas monsieur l'expert.
Pauvre Polisario. Bientôt, vous allez l'accuser de posséder l'arme atomique. Comme le ridicule ne tue pas, vous ne risquez pas votre vie encore une fois. -
23 mars 2014, 17:09Mansur Piazza@Mounir BenmaamarJe botte en touche alors que vous ne voulez parler des crimes de vos amis.
Vous n'avez jamais dit mot de Mustapha Salma, de Najm Allal, des deux personnes tuées par votre armée, des vidéos récemment diffusées par Laayoune TV et la liste est encore longue. Vous êtes capable de vous indigner pour la dispersion d'une manifestation par la police Marocaine au Sahara mais pas ailleurs. En revanche quand vos amis tuent vous ne dites rien mais ce sont les consignes qui vous ont été données.
Je suis d'origine Sicilienne et je peux vous dire que votre baratin fait une belle jambe à vos compatriotes que je peux voir se débrouiller à Palerme.
Vous dites défendre le Sahara Occidental mais vous ne le faites pas quand les mis en cause sont vos amis.
Vous mentez et je vous le montre grâce à des éléments concrets. Mais vous continuez à en faire fi de peur de regarder la vérité en face.
Je vous donne une occasion d'être solidaire regardez un peu:
http://www.lemag.ma/Les-familles-de-sahraouis-tues-par-l-armee-algerienne-donnent-conference-de-presse-a-l-ONU_a81856.html
Si c'est faux montrez le moi et allez le dire à ses familles. -
23 mars 2014, 17:27Mansur Piazza@Mansur PiazzaCorrection: "à ces familles".
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Réaction en attente de modération ou supprimée.
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23 mars 2014, 22:47Moul Lhanout@Mounir Benmaamarhttp://www.hazteoir.org/sites/default/files/styles/large/public/images/Fidel%20y%20%20RAUL%20Castro.jpg?itok=AWxHdEEH
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Réaction en attente de modération ou supprimée.
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24 mars 2014, 11:41Mounir Benmaamar@LEROI LionVos maux sont connus. Je n'en veux pas du tout.
La mal éducation ne fera pas avancer le débat, au contraire, elle vous enfoncera dans l'absurde par manque d'argumentation.
Pour votre gouverne, on dit : gagne pain et non "gain pain" ! Si vous êtes poli avec moi, je vous apprendrez beaucoup de choses...
Allez sans rancune. -
24 mars 2014, 12:44LEROI Lion@Mounir BenmaamarA court d'arguments tu te la joues à la maîtresse de français maintenant ?
Pour ton info, Je réponds à tes mensonges et tes bêtises instantanément sans passer des heures à utiliser le correcteur automatique d'orthographe ou sur Google comme toi.
Je ne te cache pas que, comme tous les marocain du Tanger à Lagouira, je n'ai aucun respect, ni pour toi, ni pour les ingrats qui te paient pour cette sale besogne de propagandes et mensonges.
En plus, puisque la question du Sahara occidental marocain est entre les mains de l'ONU et que ton soi-disant pouvoir mafieux algérien n'est pas parti pris dans ce conflit Maroco-marocain, alors de quoi mêlez-vous ?
Comme dit l'expression Marocaine "la poule pond ses œufs et le coq a mal aux fesses" -
24 mars 2014, 23:04Mounir Benmaamar@LEROI LionDe quoi je me mêle ? C'est une très bonne question de débutant !
A ma connaissance, le site de Terrafemina a posé le problème comme il est et sans restriction aucune pour les intervenants. Il n'est mentionné nul part, que l'on doit jouir d'une certaine appartenance ou nationalité pour donner son avis ou débattre du sujet qui nous occupe et qui parle d'un certain SAHARA OCCIDENTAL occupé par le maroc.
Alors, ce n'est pas à vous, ni à slaoui de gérer les présences ici ou les autoriser.
Je comprends bien des fois que avez du mal à intégrer le mot démocratie dans votre raisonnement mais, vous n'êtes rien pour me poser cette question.
Autrement dit, le sujet est ouvert à tous, même à vous marocains expansionnistes.
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27 mars 2014, 21:06Mariagrazia Vianello@Mounir BenmaamarQui parle de démocratie ? Un Algérien? Vous en savez très peu! Sur le net on rit de la vidée où Bouteflika (qui marchait et parlait à cette époque)jette dans la poubelle son vote,comme celui des Algériens!
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30 mars 2014, 13:32Mounir Benmaamar@Mariagrazia VianelloQui se cache derrière cette adorable dame qui paraît innocente ? Un affidé ou escroc ?
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23 mars 2014, 22:25Moul Lhanout@Mansur Piazzahttp://www.lematindz.net/thumbnail.php?file=2014/03/Boutefl_Malade_434365340.jpg&size=article_large
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25 mars 2014, 09:42Moul Lhanout@Moul Lhanout
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23 mars 2014, 22:38Moul Lhanout@Mansur Piazza
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24 mars 2014, 11:46Mounir Benmaamar@Moul LhanoutEt alors, votre roi se balade aussi avec son frère non ?
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25 mars 2014, 20:31Moul Lhanout@Mounir Benmaamartout comme les castros c'est said boutef qui hérite du pouvoir
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26 mars 2014, 00:54Mounir Benmaamar@Moul LhanoutEt alors ! Votre momo 6 a bien hérité le pouvoir de son père H 2 qui l'a récupéré de M 5 et ainsi de suite...Vous connaissez bien la chanson et votre prochain souverain dans 50 ans non ?
Mais il vous manquera toujours ce bonheur de se sentir quelqu'un et mettre un bulletin dans une urne, même si les jeux sont faits d'avance comme dans tous les pays Africains,. Vous, vous ne pouvez pas jouir de ces moments, vous êtes soumis. -
26 mars 2014, 13:14Moul Lhanout@Mounir Benmaamarmohamed 6 est un roi, est ce boutef est un roi?
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26 mars 2014, 22:52Mounir Benmaamar@Moul LhanoutOui, le roi de son peuple...
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26 mars 2014, 23:19Naïm Slaoui@Mounir BenmaamarVous êtes devenu fou.
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27 mars 2014, 21:09Mariagrazia Vianello@Mounir BenmaamarMais vraiment,il y a des bêtises incroyables! Un président qui brigue un quatrième mandat,après avoir promis à la veille du troisième d'ouvrir aux jeunes et au changement,cela fait pleurer.Il est le roi de si Mounir Benmaamar!
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28 mars 2014, 23:08Mounir Benmaamar@Mariagrazia VianelloEncore un qui se travesti ? C'est minable !
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27 mars 2014, 22:28Moul Lhanout@Mounir Benmaamar
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23 mars 2014, 22:40Moul Lhanout@Mansur Piazza
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27 mars 2014, 11:20Mounir Benmaamar@Mansur Piazzahttp://www.yabiladies.com/articles/details/24445/casablanca-deux-marocaines-arretees-avec.html
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23 mars 2014, 00:08Naïm SlaouiSi Naïm Slaoui voici mon avis très succinct sur la question :
La Crimée qui est une péninsule est une question vitale pour la Russie.Vladimir Poutine, en bon patriote, a accéléré le processus d’intégration, voulue par la majorité des habitants de la Crimée, pour réparer l’erreur commise par le passé par l’ex Secrétaire général du Parti communiste Nikita Khrouchtchev (Ukrainien) qui l’avait offerte à sa terre natale l’Ukraine qui faisait partie alors de l’ex Union Soviétique.
La position de l’Occident entre dans la logique de la guerre froide qu’il na pas cessée de mener contre la Russie pour l’affaiblir en voulant lui couper l’accès à la mère noire et en voulant la priver de son importante base navale de Sébastopol. L’Union Européenne propose à la Crimée, dans un 1er temps, un traité d’adhésion à l’EU et dans un 2ème temps la Crimée se verra proposée par l'Occident d'être membre de l’OTAN.
La Russie non seulement serait privée alors de tout accès à la mer noire mais aurait l’OTAN à ses frontières.
Notre Sahara est une question vitale pour le Maroc, le priver de son Sahara revient à dire, le priver de tout accès terrestre vers l’Afrique tout en donnant à son adversaire, pour ne pas l’appeler « ennemi », un accès à la mer. -
23 mars 2014, 00:11Naïm Slaoui@Naïm SlaouiJ'appuie la réaction des Russes. Mais le Maroc n'est pas la Russie et c'est pour cette raison que vous ouvrez votre gueule...
On est déjà vainqueur. -
23 mars 2014, 16:51Mounir Benmaamar@Naïm SlaouiOn débat du SAHARA OCCIDENTAL occupé par le maroc monsieur slaoui. Arrêtez de copier des articles quand vous n'avez rien à dire. Vous serez plus respecté en étant muet que faire l'écho des coupures de presse.
Et comme vous ne faites pas la différence entre la mer et l'océan, je n'ai pas autre chose à rajouter.
A bon entendeur... -
23 mars 2014, 23:44Naïm Slaoui@Mounir Benmaamar@Mounir Benmaamar
Vous avez la mer mais vous n'aurez jamais l'océan. Le Sahara est vital pour le Maroc et nul ne pourra nous en déposséder.
Mon pauvre type, on n'est pas obligé de sortir d'une grande école ou être spécialiste pour comprendre la réaction Russe que j'approuve tout à fait.
Au fait les prochaines destinations de notre Roi sont semble t il la Chine et la Russie de Poutine. -
29 mars 2014, 22:50Moul Lhanout@Mounir Benmaamar
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23 mars 2014, 16:05moundirBonjour à tous mes compatriotes Marocains...
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23 mars 2014, 16:49LEROI Lion@moundirBienvenu parmis nous
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23 mars 2014, 16:51LEROI Lion@LEROI LionBienvenu parmi tes frères unionistes marocains
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29 mars 2014, 22:52Moul Lhanout@LEROI Lion
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23 mars 2014, 18:49moundir@LEROI Lionmerci
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23 mars 2014, 23:48Naïm Slaoui@moundirVotre profil doit être rectifié.
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23 mars 2014, 23:46Naïm Slaoui@moundir@moundir
Bonjour mon frère.Vous apparaissez en bleu ce qui signifie que vous défendez les Algériens. -
24 mars 2014, 11:44Mounir Benmaamar@Naïm SlaouiLa panique vous envahit ? défendre qui ?
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24 mars 2014, 12:09moundir@Naïm SlaouiBonjour Naïm Slaoui.Merci beaucoup. Je viens d'arriver et dans un but très précis, celui de faire tout ce que je peux pour défendre, avec mes moyens, mon pays le Maroc de Tanger à Lagouira. Quant aux Algériens, je les aime bien chez eux. Ils ont assez à faire.
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25 mars 2014, 22:11Naïm Slaoui@moundir@moundir
Vos propos patriotiques me font ressentir une fierté et une joie indescriptible. Bienvenu à bord. -
26 mars 2014, 00:02moundir@Naïm SlaouiMerci Monsieur Naïm. Mes propos reflètent ceux de la quasi-majorité des Marocains, pour ne pas dire de tous les Marocains. Grâce à Dieu notre pays est en bonne voie ; et notre moral est au beau fixe.
J'ai un peu parcouru vos contributions et j'ai trouvé que vous êtes tous bienveillants; d'autant plus que vous avez en face des gens très agressifs,et qui plus est, armés d'une idéologie meurtrière. Bon courage. L3youne 3ayniyya... -
26 mars 2014, 00:58Mounir Benmaamar@moundirBienvenue parmi nous cher internaute. Soyez rassuré, on ne vous que bien. Celui de retourner chez vous et laisser les SAHRAOUIS construire leur avenir.
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26 mars 2014, 11:18moundir@Mounir BenmaamarMerci pour l’accueil. Ne vous inquiétez pas ! Me vouloir du bien en me donnant du plat de la langue, et dès où j’ai le dos tourné, vous me poignardez avec votre rhétorique héritée d'un autre temps, c’est bon... Tout le monde a compris votre manège qui n’a que trop duré.
Permettez-moi de traduire Le mot "Sahraoui" aux internautes qui peuvent lire nos contributions. Sahraoui est un mot Arabe qui se traduit par "Désertique » . Dois-je comprendre que c’est une nouvelle identité que vous attribuez aux mercenaires que vous engraissez à Tin-d-uf ?
Autrement,puis-je me permettre de vous rappeler que le Maroc; c’est de Tanger à Lagouira .En outre, permettez-moi,au passage,de partager avec vous,la bonne nouvelle de ce matin : Le parlement Danois a refusé sa reconnaissance à la république de mercenaires inventée par la junte Algérienne. -
26 mars 2014, 12:15Mounir Benmaamar@moundirBien ! Vous vous êtes déjà fait une certaine idée pour ne pas dire cliché sur moi.
Je vais faire avec mais, je vous promet que je ne poignarde jamais dans le dos. D'ailleurs, je ne l'ai jamais fait. Vous pouvez "dormir" tranquillement.
Sinon, permettez moi de vous reprendre et vous contredire. Votre propre interprétation du mot: Sahraoui, est non seulement erronée, mais contre productive. Vous voulez qu'on aille dans la sémantique ? Je suis prêt et disposé !
Sahraoui ne veut pas dire désertique, mais un habitant du Sahara. Ne vous lancez pas comme la plus part de vos concitoyens dans la surenchère inutile si vous n'avez pas rien de concret à dire.
Merci pour le partage de l'information. Je partagerai aussi volontiers avec vous, l'info qu'aucun pays au monde ne vous reconnait le droit d'annexion du SAHARA OCCIDENTAL et que la cour international de justice vous a rabroué là dessus depuis très longtemps...
J'ajoute que les nations unies, considèrent encore à ce jour ce territoire, comme un question de décolonisation.
Enfin, je constate que vous adoptez un langage agressif dès votre première intervention, vous qui vous plaignez de l'agressivité des autres. Alors, on fait quoi ? Gentils ou méchants ? -
26 mars 2014, 14:11Naïm Slaoui@Mounir BenmaamarMounir Toulait ou la propagande mensongère et diffamatoire.
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26 mars 2014, 17:15moundir@Mounir BenmaamarL’agressivité ne fait pas partie de mon langage .Si la réponse à vos question constitue à vos yeux une quelconque virulence, je vous prie de me croire que ce n’est que passion et devoir.
Le mot Sahara signifie désert en langue arabe. En langue Amazighe le désert c’est "Tin- Iri » qui signifie: Celle-de la soif. Vous avez inventé cette appellation pour désigner vos mercenaires, soit.
Quand en 1956 nous avons recouvré une partie de notre territoire , nous n'avons pas annexé le Maroc, nous avons juste retrouvé notre liberté sur une partie du Maroc. Quand nous avons récupéré Tarfaya du colonisateur espagnol, nous l’avons pas annexée, nous avons tout simplement retrouvé nos compatriotes d'Aït Baamran. Idem pour nos provinces du sud. Et ça sera la même chose pour nos villes du Nord dans le futur proche.
Je vous l’accorde, on est longs… Mais efficaces. Vous savez que nos autres Marocains, on a une très très longue histoire commune avec nos voisins espagnoles et nous avons tendance à faire autrement avec eux.
Pour ce qui est de La Cour Internationale de justice, organisme des Nations unies. Je ne doute pas un instant de votre connaissance de ce dossier. Je vous renvoie au lien pour rappel, au cas où vous l’auriez oublié:http://saharadumaroc.net/spage.asp?rub=2&Txt=250&parent=&parent2=
Le plan d’autonomie Marocain, qui est une proposition sérieuse, comme vous le savez certainement, est traité dans le cadre des Nations unies. Je vous informe que 153 membres sur 193 approuvent ce plan.
La prochaine fois,in cha llah, je vous inviterais, tant qu’on y est, à ce qu’on ait une discussion sur la partie Est marocaine. Vous savez cette partie que le colonisateur d’alors avait amputée à notre pays pour la rattacher à son département qui était l’Algérie. J’ai le Larousse géographique de 1882 dans lequel on voit bien notre Maroc. -
26 mars 2014, 23:20Mounir Benmaamar@moundirJe vous prie à mon tour de croire que ce qui m'anime, est ma passion des questions justes, et mon devoir envers les peuples voisins opprimés.
Voyez vous ? Je souhaite de cœur que votre pays récupère les provinces du nord un jour...peut être...j'espère aussi que ce jour là, les Malouines redeviendront Argentines, que la Corse ne sera plus française, et que Gibraltar retrouvera son Espagne !
Et comme chacun est libre d'avoir sa part de rêve dans ce bas monde, les bandes dessinées ne se sont jamais autant bien portées.
Pour ce qui est de ce que vous appelez timidement la partie est du maroc, je vous informe que vos aînés ont déjà essayé de discuter le sujet avec les miens, et ça ne s'est pas bien passé. Je parle de l'année 1963 ! Donc, il n'y a rien à discuter !
En plus, le bourbier dans lequel vous vous êtes fourrés est assez révélateur de de vos capacités à gérer les chimères.
Vous, vous rêvez. Nous, on vit notre présent.
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27 mars 2014, 17:46moundir@Mounir BenmaamarMonsieur, vous me voyez très déçu par votre réaction, qui, à mon sens fut, une fois de plus, chargée de nombreux stéréotypes de termes, qu'il n'est pas facile de vous convaincre d'abandonner. En effet, vous usez de mots tels que : Rêves, Bourbier, Fourré, Chimères, Bandes Dessinées... Mots qui illustrent in fine votre attachement à un système de pensée qui appartient à un monde englouti...
Je vais vous dire,
Ma présence ici en tant que citoyen Marocain traduit ma volonté persistante à contribuer, même à une très modeste échelle, à montrer aux internautes qui lisent nos contributions, que notre cause nationale qui est l'intégrité territoriale du Maroc, est juste. À ce que je vois, vous, vous êtes là pour faire des menaces récurrentes et pour essentiellement diviser.
Diviser, à l'heure où, partout dans le monde, les peuples s'unissent,ce n'est pas bien. Une telle attitude relève d'un manque criant de responsabilité. Charles Percy Snow, Écrivain Britannique disait : « Toute tentative en vue de diviser quoi que se soit par deux devrait, a priori, nous inspirer une extrême méfiance. ».
Je vous fais remarquer, Monsieur, que vous avez balayé d'un revers de main le problème lié à nos frontières communes, en me traitant de timide. Problème que vos dirigeants de l'époque, ont esquivé en contestant notre souveraineté dans le Sud Marocain. En fait, vos ainés n'ont pas tenu leur parole qui consistait à revenir aux frontières de l'État du Maroc, seul pays indépendant du Maghreb au 19e siècle. Mais, apparemment,discuter avec ses voisins de leur droit n'est pas de votre tasse de thé.
Autre chose, Monsieur.
J'aurai bien aimé que vous eussiez souhaité que notre plan d'autonomie, pour nos provinces du sud, en premier lieu, soit appliqué,au lieu de parler de Corse et de Navarre, pour qu'enfin, on puisse construire ensemble Le Grand Maghreb. Votre mauvaise foi est manifeste.
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29 mars 2014, 00:06Mounir Benmaamar@moundirSi vous pensiez cher monsieur Moundir que j'allais acquiescer vos rêves, eh ben, vous m'en voyez désolé pour vous. Votre déception reflète votre crainte de perdre le SAHARA OCCIDENTAL que votre pays occupe. Je vous ai compris !
Je décèle dans vous propos une certaine manière de vouloir imposer vos idées par n'importe quelle stratagème.
Je vais vous dire à mon tour,
Ma présence ici en tant qu'être humain sensible à une cause juste, la cause qui nous divise (ce n'est pas moi qui le veut justement), est une nécessité à la propagande d'une certaine idée diffusée par le maroc sur son intégrité territoriale et j'en passe.
Votre intégrité territoriale cher monsieur, s'arrête là où commence celle des autres pays ou territoires.
Au fil des siècles, les cartes géographiques de par le monde, ont été modifiées plusieurs fois soit, par des unions, soit par conquêtes. Il y eu des guerres et des soumissions.
Vous parlez de menaces ? Lesquelles ? Qui menace qui ?
Je vais vous dire encore,
C'est à vous d'abandonner vos basses besognes expansionnistes ! C'est à vous de réfléchir sur l'avenir que vous voudriez dessiner pour vos enfants et leurs rejetons !
L'Algérie a payé très cher son indépendance ! Ses enfants n'hésiteront pas à aller au sacrifice suprême et à chaque instant, pour défendre le moindre pousse territorial !
Si vous pensez que c'est là des menaces, libre à vous d'interpréter le cri de mes entrailles comme bon vous semble. Il n'y a rien à discuter là dessus ! Vous pouvez vous asseoir sur votre orgueil, cela soignera vos spasmes !
Je vais vous dire pour terminer là dessus,
Nous avons chacun (pays) de son côté, ses propres problèmes de pauvreté, d'éducation civique, de développement, de démocratie et j'en passe...il me semble et il est plus raisonnable, d'aller à la conquête du comment vaincre nos faiblesses et nos lacunes, avant de vouloir le grand Maghreb. Quand on aura dépassé tout cela, et que chacun accepte son présent (surtout votre pays), il y aura peut être alors des prémices de rapprochement constructif.
Enfin,
Les terres que vous occupez, ce que vous appelez (vos provinces du sud), étaient à un moment données, à un tiers, des provinces Mauritaniennes ! Comment se fait-il que votre pays accepte de céder une partie de ses provinces à un autre pays sans contrepartie et pendant quelques années ? Elle est bizarre la logique du néo-colonialisme ! Vous voyez ce que je veux dire ? L'invasion, le partage, le renoncement et retrait Mauritanien, une autre découverte de provinces marocaines plus au sud...! Même dans les histoires des mille et une nuit, on ne trouve pareille conte.
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29 mars 2014, 19:02moundir@Mounir BenmaamarJe me permets ici, de faire un bref rappel historique de la situation géographique du Maroc à l'aune de l'année 1956, sans remonter à l'époque Almoravide. Feu Mohamed 5 avait fait une compagne de revendications territoriales pour retrouver l'intégrité du territoire national en ayant présenté des arguments historiques et culturels qui faisait des provinces du sud Marocain, y compris la Mauritanie, partie intégrante du Royaume chérifien.
La Mauritanie a accédé à l'indépendance en 1960, je ne m'étalerai pas sur ce moment, mais dieu en a voulu ainsi. Pendant dix ans, le gouvernement Marocain et la ligue Arabe, dont l'Algérie était pays signataire, ont mené une compagne diplomatique très active contre la reconnaissance du nouvel État. D'ailleurs, ce n'est qu'en 1970 que Rabat eut échangé les ambassadeurs avec Nouakchott, et que la Mauritanie a accepté de participer aux négociations, sur la libération des provinces sud du Maroc, avec l'Espagne. Le 14 novembre 1975, un accord a été conclu par les parties concernées, Espagne, Mauritanie, Maroc.
Le 11 décembre, l'accord a été confirmé par L' ONU.
Servez-vous du web, il peut vous en dire plus.
Je constate avec beaucoup de regrets qu'en votre compagnie ; je n'ai rien appris.
J'en déduis tout simplement en vous lisant, que vous défendez des mercenaires, des terroristes ; tandis que moi, je défends l'intégrité de mon pays. Deux positions opposées.
Vous refusez toutes les propositions concrètes que je vous ai faites. Vous déclinez toute discussion qui pourrait rapprocher nos points de vue. Vous repoussez la construction du Grand Maghreb aux calendes grecques en attendant de chasser la pauvreté et de rétablir la démocratie, quand moi je vous suggère le Grand Maghreb pour vaincre nos misères, l'union contre la fragmentation. L'ouverture contre la fermeture.
Je conclus par une citation des mille et une nuits :" « qui parle de choses qui ne le regardent point entend ce qui ne lui plaît pas. »
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30 mars 2014, 11:01Naïm Slaoui@moundirMounir, moundir,
Vous avez fait un résumé succinct mais assez claire des thèses marocaines et Algériennes. Nous en avons parlé pendant presque deux années sur ce site.
Mais les algériens qui se succèdent nous ont appris ce que vous déduisez:"J'en déduis tout simplement en vous lisant, que vous défendez des mercenaires, des terroristes ; tandis que moi, je défends l'intégrité de mon pays. Deux positions opposées".
J'ajouterai qu'ils utilisent des traîtres marocains tel que Haidar et Almarakchi qui a été renié par son père. -
30 mars 2014, 13:20Mounir Benmaamar@moundirMonsieur,
Vous vous permettez des rappels historiques ? Ben, s'ils peuvent atténuer l'intensité des douleurs que vous inflige la nostalgie de l'expansionnisme chérifien, je vous soutiens.
Le problème avec vous (marocains), c'est que vous n'avez pas fait le saut dans le vingt et unième siècle. Vous rêvez encore de royaume et de provinces comme au dix huitième.
Réveillez vous ! Secouez vous !
C'est ainsi que vous réalisez que vous n'apprenez rien avec moi et dieu m'en préserve.
Comme tous ceux qui défendent la cause expansionniste du maroc, vous réduisez mon adhésion à celle des SAHRAOUIS, à une simple défense d'un groupe de mercenaires. C'est dire, votre phobie et celle de vos congénères, que la vérité éclate.
Vous n'êtes pas sans ignorer monsieur que, l'espoir fait vivre non ? Alors, très longue vie à vous...
Et puis,
Qui suis-je moi pour accepter vos propositions concrètes ? Et à quel sujet ?
Quand au grand chimérique Maghreb, personnellement, je le rejette !
1- Tant que le maroc n'a pas enterré la hache de guerre à propos du tracé des frontières.
2- Tant que le maroc occupe un autre territoire par la force.
3- Tant que le maroc produit et protège l'exportation de la drogue vers le Maghreb justement.
Alors, à choisir en l'union et la fragmentation, l'ouverture et la fermeture, le choix est vite fait. Je dirai même qu'il s'impose de lui même.
Si le jeu des citations et des proverbes vous amuse, et surtout s'il vous permet d'étayer vos posts, je peux vous guider vers un lien du web.
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30 mars 2014, 16:15moundir@Mounir BenmaamarJe n'ai pas besoin de votre aide pour effectuer des recherches sur le Web. Je sais utiliser les moteurs de recherches. Merci.
Pour embellir mes dires et donner du sens à mes argumentations, je ne me fais aucun complexe d'aller copier des citations, voire des exemples et autres compendiums, sur les sites qui y sont dédiés. Ceci dans un but trivial qui consiste à démêler et expliquer. J'ai mes méthodes et mon style.Le style fait l'homme. Vous avez cité, dans votre commentaire, le livre de" mille et une Nuits" Je vous ai répondu par une citation, du même livre, en guise de clin d'œil.
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30 mars 2014, 16:48moundir@Mounir BenmaamarVous avez dit : "qui suis-je ?"
Ici, vous êtes le représentant d'une opinion marxiste, le porte-drapeau d'une idéologie qui appartient au passé, celle qui consiste se prosterner devant le monument, l'ancien temple, le parti unique.Je peux comprendre votre position. Vous êtes mal à l'aise. Vous ne voulez pas prendre la responsabilité de vos actes. Assumez...Vous avez créer un problème,et vous ne savez plus comment le résoudre. Nous pouvons vous aider en discutant.
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31 mars 2014, 11:11Mounir Benmaamar@moundirDont acte !
"Qui ne me suit pas, ne m'aime pas" semblez-vous dire ?
Eh bien, mal vous en prendra. Voyez-vous ? Qui de nous deux est le plus disposé génétiquement à la prosternation ? Qui de nous deux est le sujet de quelqu'un d'autre au point de l'adorer ? Qui de nous deux est asservi à vie et depuis des siècles ?
Pas moi ! Je vous le confirme !!
Je ne suis pas mal à l'aise, au contraire, je suis et reste droit dans mes bottes.
Ma responsabilité est ce soutien que j'apporte au peuple que votre (état nation) opprime par la force, non pas ce que vous rapportez et colportez comme mensonges. Vous êtes les seuls responsables et créateurs du conflit. Nous les Algériens, nous soutenons ce peuple écrasé par l'expansionnisme que vous incarnez. Honte à vous de nous accuser d'être la cause du conflit. -
31 mars 2014, 13:32moundir@Mounir BenmaamarJe suis fier d'être le sujet de sa majesté Mohamed 6. Je ne suis pas le seul à être le sujet d'un souverain. Mon héros, Bond, James bond l'est aussi. Les Canadiens, les Australiens, et j'en passe... Des millions d'êtres humains sont dans mon cas. Dois-je comprendre que vous êtes jaloux ou bien Massinissa vous manque ?
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01 avril 2014, 00:00Mounir Benmaamar@moundirQuel est ce modèle démocratie ou de liberté qui me ferait rougir au point de vous jalouser ? Mais vous rigolez ou quoi ? Je vous crois quand vous dites que êtes fier de votre pays, mais j'ai tendance à déceler beaucoup d'hypocrisie dans les propos de ceux qui, comme vous, affirment qu'ils sont fiers d'être des sujets. Je ne vous crois pas !
Vous êtes des "malgré vous" au maroc. Vous n'avez pas le choix de votre avenir comme celui votre présent.
Le domptage exercé par H2 pendant son règne, vous oblige à craindre l'ombre qui vous suit par une journée ensoleillée. La moindre entorse vous coûte "bon bagne" en ce moment sur ordre de momo 6.
Permettez-moi de vous dire une dernière chose:
La comparaison avec de très grandes nations démocratiques avant tout, vous va très bien ! Je m'incline...pas devant le roi...mais face à ce bobard foudroyant ! -
Réaction en attente de modération ou supprimée.
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02 avril 2014, 19:14Naïm Slaoui@Mounir BenmaamarQuelle mauvaise foi! J'ai honte pour vous. Imaginez que vous dégagez de ce conflit. Si vous n'avez pas la réponse, moi ,je l'ai.
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30 mars 2014, 20:31moundir@Mounir BenmaamarMonsieur,
Vous rejetez l'idée de la création du Grand Maghreb. Union qui pourrait nous tirer vers le haut et faire de l'Afrique du Nord un ensemble cohérent avec un poids stratégique et géopolitique non-négligeable. Mais, la géopolitique ce n'est pas une pratique dans laquelle vous excellez. Le Maroc, État Nation, est beaucoup plus au fait de ces pratiques, vu son histoire millénaire.
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31 mars 2014, 11:32Mounir Benmaamar@moundirVous les marocains, vous voulez une partie de notre territoire, une autre de la Mauritanie, coloniser le SAHARA OCCIDENTAL par la force, peut être aussi une bande terrestre du Mali et du Sénégal, et prônez l'idée d'un grand Maghreb uni !
C'est ça votre géopolitique ?
Je vous l'accorde. Votre état nation qui a une histoire millénaire (à vous lire, l'Afrique et les autres pays du Maghreb, n'ont pas d'histoire, encore une ignominie véhiculée par votre makhzen et sa presse affidée) excelle dans l'art de faire passer les mirages pour de réalités. Et puis la géopolitique, c'est aussi des bases militaires étrangères installées sur votre territoire pour surveiller et écouter les voisins. La géopolitique, la votre, c'est des prisons secrètes étrangères installées sur votre sol et gérées par une puissante organisation du renseignement.
Et puis, comme disait un de vos maîtres de l'époque: moulek smail:
Qu'ils me haïssent, pourvu qu'ils me craignent !
A bon entendeur... -
31 mars 2014, 13:59moundir@Mounir BenmaamarCalmez-vous monsieur, vous dérapez vers la dégradation morale et l'insulte. Je condamne avec la plus grande fermeté votre comportement qui dévoile votre méconnaissance du dossier des provinces du sud Marocain. Il est déplorable que vous perdiez votre sang-froid et votre flegme. Restez serein et poli, des internautes, dont de nombreux étudiants, lisent nos échanges. Vous êtes Algérien, et votre statut de voisin observateur ne vous donne pas le droit de me calomnier.
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31 mars 2014, 14:12moundir@moundirJ'ajouterai que votre commentaire du 31 mars 2014, 11:32 n'a pas plus de valeurs qu'un caleçon au pôle Nord.
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31 mars 2014, 22:47Mounir Benmaamar@moundirAllez dire cela à vos congénères d'abord !
Ensuite, si vous êtes monsieur propre, proférez les mêmes conseils à ceux qui nous entourent puisque de nombreux étudiants (le reste vous en avez rien à cirer apparemment), nous lisent. Si ceux là sont si intelligents que vous, ils feront vite la différence.
Maintenant de là à dire que je vous calomnie, ils est de votre seul droit de refuser la vérité aussi amère fusse t-elle. -
Réaction en attente de modération ou supprimée.
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02 avril 2014, 19:21Naïm Slaoui@Mounir BenmaamarSi je résume le contenu de votre intervention, j'en conclus que la Maroc est très bien protégé par les puissants de ce monde, il est dans son Sahara, il en est le maître absolu, il n'a donc a rien à craindre.
Vous devez donc bien réfléchir à la proposition qu'il vous fait, vous aurez tout à gagner. -
03 avril 2014, 01:05Mounir Benmaamar@Naïm SlaouiJe n'ai rien contre le fait que le maroc soit protégé par X ou par Y puissance.
Seulement, il n'est pas le maître du SAHARA OCCIDENTAL, il en est l'occupant illégal !
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30 mars 2014, 21:01moundir@Mounir BenmaamarMonsieur,
Creer une entité artificielle, et faire de Tin-d-uf une prison à ciel ouvert, pour leurrer son peuple, il faut être complètement... Méchant. Ne pas accepter que votre voisin vive dans un royaume, comme vive de nombreux humains sous le régime monarchique dans de nombreux pays, c'est encore, beaucoup plus... Méchant.
Vous devez vous y faire. Nous aimons notre patrie avec son histoire. Nous aimons notre pays avec ses montagnes de l'Atlas, sa neige, sa forêt, son désert, son océan, sa mer. Nous aimons nos provinces du sud,
vous devez vous y faire... -
31 mars 2014, 11:47Mounir Benmaamar@moundirEn fin de compte, comme le ridicule ne tue point, vous vous lancez dans des diatribes et des loufoqueries sans hésitation aucune.
Que le lecteur sache,
Que Tindouf est une ville du sud ouest Algérien. Cette ville abrite dans ses alentours, les camps de réfugiés SAHRAOUIS chassés par la guerre et l'oppression de l'occupant marocain. Ces pauvres gens ont fui le Napalm et le Phosphore blanc utilisés par le régime exterminateur de l'époque du criminel Hassan 2.
Que ces populations déplacées par la force et à cause de la férocité des militaires marocains, ne demandent qu'une seul chose, pouvoir rentrer chez eux. Le mur de la honte qui leur barre la route du retour, est un obstacle majeur.
Que ces gens là, ne veulent pas de votre régime monarchique. Ces gens veulent leur liberté spoliée et point barre. Ce régime monarchique dont vous êtes fier, survit par la force de : La méthode alaouite: le pouvoir par l'argent, la violence et la corruption.
Il n'y a plus rien à comparer avec les autres monarchies modernes dans le monde entier, à part, vos cousins Saoudiens, Qataris etc...
Aimez votre patrie, nous mourrons pour la notre.
-
31 mars 2014, 21:24moundir@Mounir BenmaamarQu'est-ce qui vous rend si nerveux que ça ? Vous frôlez la déprime. Reprenez-vous, on est là pour un bon moment. La ville de Tin-d-uf, dont vous ignorez la toponymie qui vous stress tant, et vous donne des migraines noires ?
Vous débitez des...monsenges .
Le Napalm, le phosphore blanc, vous vous croyez où ? Apocalypse Now. Vous êtes au cœur des ténèbres monsieur, ressaisissez-vous.
Et puis, quand vous écrivez des mots, faites attention à l'importance et la portée de leur signification. Les gens ne sont pas dupes. Vous avez des preuves sur les propos que vous avancez ? Vous avez des sources, plusieurs témoignages attestés et recoupés. Vous avez des images qui montrent des brulés ? Si me sortir le témoignage isolé d'un photographe, qui, un beau jour d'été, a fait un tour dans le désert, cela ne peut pas être crédible.
Je ne fais confiance à personne! C'est les ouvrages juridiques qui restent,pour moi,une valeur sûre.
Remballez.
Vous incriminez feu Hassan II que dieu ait son âme , et vous applaudissez le régime, de votre État, qui a massacré plus de 150 000 mille personnes, et a fait disparaitre des milliers d'autres, en plus d'un million de personnes déplacées et des dizaines de milliers d'exilés.
On est vraiment des enfants de chœur à côté de vous.
-
31 mars 2014, 23:35Mounir Benmaamar@moundirQuand vous et vos concitoyens, affirmez avec force conviction (attention des étudiants nous lisent), que le régime a massacré 150.000 citoyens Algériens (300.000 pour certains d'entre vous), cela vous semble crédible et vous fait pavoiser même.
Mais bien entendu, ces affirmations utilisées dans un contexte conflictuel qui vous est très cher, donne sa dimension horrifiante, aux chiffres des différentes victimes du conflit armé contre une horde de sauvages salafistes et criminels.
Nous, nous n'avons jamais caché que le régime Algérien, l'armée nationale en tête, a lutté contre la nébuleuse terroriste et la conspiration étrangère qui était derrière.
Laissez moi vous dire cher monsieur, une seul victime, et c'est une de trop !
Les Algériens n'ont pas massacré d'autres Algériens (pour vos étudiants aux esprits immaculés). L'armée Algérienne, la police, la gendarmerie, des patriotes, ont pris leur responsabilité pour éviter au pays le chaos et par ricochet, la région entière.
Pour votre gouverne, je n'applaudis pas l'état Algérien et ses responsables en tant que tels. J'applaudis les hommes qui pour beaucoup ont donné leur vie pour éviter le pire.
D'ailleurs, vous devriez en faire autant. Vous ne savez pas ce qui aurait pu arriver à la région entière au cas où...
Et en ce qui concerne les armes utilisées au SAHARA OCCIDENTAL que vous avez occupé par la force, vous savez très bien de quoi je parle et vous faites semblant de vous offusquer.
Lisez les témoignages de certains hauts gradés Espagnols de l'époque de la conquête, qui sous leurs yeux se sont déroulés les faits. S'ils ont menti, je suis leur complice.
Mais, pourquoi mentiraient t-ils ?
Enfin, les enfants de chœur se reconnaissent tous entre eux. a chacun sa version. -
01 avril 2014, 00:04moundir@Mounir BenmaamarVous n'avez aucune preuve,vous n'avez aucun témoin,vous n'avez pas une vidéo,un film...Je considère que vos propos sont frivoles.Des sornettes quoi ! Bonne nuit.
-
02 avril 2014, 19:47Naïm Slaoui@Mounir BenmaamarCe sont des musulmans très proches du Maroc que vous avez égorgés sans pitié. Pour vous justifier vous les avez assimilés à des terroristes. Ils avaient gagné les élections et vous les avez privés de leur victoire en les condamnant à mort.Vous êtes des criminels sans foi ni loi.
Hassan II, vous avait conseillé de les laisser diriger le pays et comme vos dirigeant avaient des choses à se reprocher, ils ont préféré la guerre civile. Vous êtes des monstres incultes.
Le Maroc vous donne actuellement la leçon: Ce sont des Islamistes arrivé au pouvoir démocratiquement qui ont refusé d'inclure la liberté de conscience dans la constitution, qui dirigent notre pays.
S'ils échouent, ils ne seront plus au pouvoir, c'est simple comme bonjour. -
02 avril 2014, 19:33Naïm Slaoui@moundirMerci, je n'avais pas encore vu votre contribution.
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02 avril 2014, 19:31Naïm Slaoui@Mounir BenmaamarRespectez la mémoire des morts. Vous accusez sans preuves, c'est ce que l'on appelle de la diffamation.
Terrafemina a déjà bloqué plusieurs de vos interventions maléfiques. Vous n'en avez pas tiré la leçon, c'est certainement dû à la très mauvaise éducation que vous avez reçue. Je comprend pourquoi vos anciens colonisateurs ont plus d'estime et de considération pour les marocains. -
30 mars 2014, 10:50Naïm Slaoui@Mounir BenmaamarJe vous ai qualifié de girouette et je vois que je ne me suis pas trompé.De l'optimisme vous passez directement à envisager la guerre."Ce qui est licite pour votre pays est illicite pour le nôtre"
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30 mars 2014, 13:23Mounir Benmaamar@Naïm SlaouiMonsieur propre,
Dorénavant, cantonnez vous à mettre des notes aux interventions dans ce débat. Je vous attribue ce rôle, car je pense qu'il vous ira comme un gant. -
Réaction en attente de modération ou supprimée.
-
30 mars 2014, 10:43Naïm Slaoui@moundirmoundir,
La qualité de vos interventions sera interprétée comme venant "d'un agent de la DST,fonctionnaire de sa majesté".
Les deux girouettes que nous avons en face de nous, en ce moment, ne sont pas des imbéciles mais ils agissent comme tel pour défendre une thèse stupide vouée à l’échec: l'indépendance du Sahara occidental marocain. Ils deviennent parfois schizophrènes, un peu comme les gens qui entourent Boutef. Allez comprendre pourquoi? A mon avis, ils veulent descendre notre régime, un point à la ligne. -
30 mars 2014, 13:28Mounir Benmaamar@Naïm SlaouiA partir d'aujourd'hui, vous devez seulement noter les interventions !
Un point à droite, un autre à gauche, c'est tout ! -
26 mars 2014, 23:28Naïm Slaoui@moundirBravo! Vous avez trouvé les mots justes pour faire enrager les Algériens qui ne se maîtrisent plus dès que l'on aborde le sujet des territoires marocains offerts par la France à l'Algérie Française. Leur plus grand ennemi est l'istiqulalien Chabat. Il les terrifient.
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26 mars 2014, 14:16Naïm Slaoui@moundir@moundir
Vous arrivez avec la bonne nouvelle.Merci.
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26 mars 2014, 15:07Naïm Slaoui
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26 mars 2014, 15:13Naïm Slaoui@Naïm SlaouiAlgérie libre et démocratique scandent les jeunes. Les Marocains de ce site disent la même chose.
Toulait et Mounir dégagez de ce site que vous polluez par vos mises en scènes abjectes. -
26 mars 2014, 23:30Mounir Benmaamar@Naïm SlaouiVous, vous dites la même chose ? Chiche ! Vous n'avez pas les c...assez solides pour scander la liberté et la démocratie chez vous.
Et par dessus tout, vous avez le culot de me demander de "dégager" de ce site ?
Est ce votre éducation ou bien vos habitudes militaires qui remontent ?
Je vous plains monsieur, j'ai presque pitié de vous mais je ne sais pas comment vous apprendre les bonnes manières. Peut être que le nouveau venu (Moundir) pourra vous venir en aide. -
30 mars 2014, 11:09Naïm Slaoui@Mounir Benmaamar@Mounir Benmaamar,
Dans mon pays on peut dire tout ce que l'on pense de ce que le système a de mauvais:
La corruption est combattue.
La justice doit être indépendante comme le prévoit la constitution.
La liberté de conscience est un principe des droits de l'homme qui doit figurer dans la constitution.
Quant à notre Roi, symbole de notre unité nationale, il répond toujours à l'attente de son peuple.
-
26 mars 2014, 15:32Naïm Slaoui@Mounir Bemaamar
Une grande victoire diplomatique du Maroc sur l'Algérie.http://www.yabiladi.com/articles/details/24435/sahara-camouflet-polisario-devant-parlement.html -
30 mars 2014, 13:33Ades sma bloqueurl occupant ç est ton payée diriger par tes généraux assassins et criminelles ..que tu continué a servir et être complices des massacres de tes propres frères femmes et enfants et vieillards massacré par ses mes personnes que tu continuer à propager leur mensonge .à l encontre d un payée souverain et multiethnique avec sa composante berbères arabes juifs le sud du Maroc n appartiens pas au arabes qui sont arrivés d Arabie il y a quelque siècle derrière leur troupeau de chameaux ..cette terres est une terres du peuples autochtones amazighe ( les sanhajis beni souse ..beni mzabe )( la convention de Genève droit du peuple sur leur terres) qui mentionne que le sud du maroc est amazhighe ..donc ta propagande et le rêve que tu essaye de vendre à certain ..ne sera j aimais réalisé ..puisque tu es l avocat ses arabes aide les à retourner sur les terres de leurs ancêtres en Arabie ..si on veux bien d eux ..
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oui
Salek Muftah
un citoyen sahraui, je suis active pour liberte du peuple sahraui ,communication
Rapport critique du département d’Etat au Congrès sur la violation des droits de l'homme par le Maro
oui
oui
non
Rabah Labied
President du collectif: "Nous Français issus de l'Immigration.." Membre de A.F.V.T
Appel à toute association ou ONG travaillant au Sahara.
oui
dimanche 23 mars 2014
Pourquoi votez Bouteflika !
Ce 17 avril 2014 je voterai Bouteflika et j’appelle tous les Algériens à
faire autant ! Suivez mon raisonnement et laissez vous convaincre,
enfin si vous n’êtes pas encore convaincu !
Avez-vous déjà demandé pourquoi choisir Bouteflika ? On vous le dit et
on vous le répète, il n’a pas besoin de vous parler ni durant la prise
d’otage de In-Amenas, ni durant le crache d’avion, ni même durant sa
compagne électorale. D’ailleurs pourquoi le faire ? Pourquoi vous
présenter un programme pour les 5 ans à venir ? Son passé et son présent
et ses actes parlent de lui, sans même citer ses larbin ! D’ailleurs
qui sommes nous pour oser demander de telles choses ! Insignifiants tel
que nous somme.
Mes ouvrez vos yeux, c’est évident que l’Algérie sans son sauveur qui
est là depuis 15ans serait dans les oubliettes de l’histoire ! Que
l’Algérie sans son excellence ne serait pas un pays jeune gouverné par
les jeunes ! Et il vous l’a promis en plus ! L’Algérie sans sa majesté
n’aurait jamais connue un tel progrès socio-économique ni même une
instabilité sécuritairo-politique ! Merde ! Bande d’aveugles, vous ne
voyez pas que l’Algérie sans le cousin de « Rab Edzayer » elle aurait
perdue sa souveraineté nationale et elle serait redevenue un pays
satellite ou un département d’un autre pays ! Soyez fier de notre
empereur, notre tsar, notre vaillant chef, fermez vos yeux et suivez ses
pas vers l’incertain, vers l’inconnu, mais c’est si délicieux de se
laisser faire et de ne plus réfléchir, puisqu’on a notre demi-dieu qui
le fait pour nous.
Bande d’ingrats, bande d’ignares, vous la bande de psychologiquement
déséquilibré à la solde de la main étrangère (Ennahar TV l’a si bien
démontré), ouvrez vos yeux, regardez cette belle Algérie en 2014,
regardez l’état de son administration, de sa bureaucratie, de la gestion
du pays, de l’état de la corruption, de sa justice, de ses hôpitaux, du
niveau de ses écoles, de ses routes, de la qualité de vie en Algérie,
regardez la vision avant-gardiste et de long terme que vous offre
Bouteflika, ressentez sa claire voyance et sa bienveillance divine,
alors VOTEZ pour notre héro, VOTEZ pour BOUTEFLIKA vivant, hospitalisé
ou même mort !
Mais sachez le, que dans le cas contraire, votre abstention, votre vote
pour un autre, ou même vos gesticulations enfantines ne servirons à
rien, car les dès son jetés et le pouvoir de sa majesté est
indétrônable.
Signé : Un larbin du service.
#Chitta #HumourNoir #BoutefDégage
Dz Du Coeur
http://avisdundz.blogspot.com/2014/03/pourquoi-votez-bouteflika_23.html
http://nouvelles3.fr/nouvelles/algerie-abdelaziz-bouteflika-reelu-dans-un-fauteuil-pour-un-la-voix-du-nord
Algérie – Bouteflika réélu mais avec un taux de participation en net recul
Le Monde 18/04/2014
Le taux de participation à l’élection présidentielle algérienne d’hier s’est établi à 51,7 %, selon les chiffres du ministère de l’intérieur.
Ce taux est en net recul par rapport à celui de 74 % annoncé en 2009. Le plus fort taux d’abstention a été enregistré en Kabylie (autour de 25 % de participation), où des incidents ont fait 70 blessés dans le département de Bouira.
Les électeurs de la capitale n’ont pas non plus été très nombreux à se rendre aux urnes, avec un taux de participation de seulement 37 % à Alger.
Outre la participation, c’est la fraude qui fait débat. Ali Benflis, ex-premier ministre et principal rival d’Abdelaziz Bouteflika, a affirmé après avoir voté que "la fraude [avait] déjà commencé".
PhotoAlgérie – Une chttp://resistanceinventerre.wordpress.com/2014/04/19/algerie-bouteflika-reelu-mais-avec-un-taux-de-participation-en-net-recul/
andidature "par procuration" : le "roi" Bouteflika s’accroche au pouvoir
Le "vrai-faux suspense" a été éventé. Au pouvoir en Algérie depuis 1999, Abdelaziz Bouteflika, 76 ans, sera bien candidat à sa succession, le 17 avril. Ce qui, dans la presse nationale, a suscité une cohorte de commentaires peu amènes.
"Quatrième mandat : il a osé !", s’exclame ainsi El Watan, critiquant le choix du "monarque" de rempiler, et ce "malgré son bilan politique désastreux et son état de santé incertain [il a subi un AVC au printemps 2013]".
Plus encore que le fond, c’est la manière dont cette annonce a été faite qui a soulevé l’indignation. M. Bouteflika, en effet, ne s’est pas déclaré personnellement, mais par la voix du premier ministre Abdelmalek Sellal, de surcroît… président de la Commission nationale de préparation de l’élection présidentielle.
Une candidature "par procuration" qui achève de discréditer la fonction suprême, déplore le quotidien Liberté. Pour Le Soir, le message sous-jacent est limpide : l’administration gouvernementale est pleinement engagée aux côtés du président sortant, annonçant une compétition électorale plus "fermée" que jamais. Les jeux sont faits. A telle enseigne que Le Quotidien d’Oran s’autorise à parler d’un quatrième mandat "en pilotage automatique". "Au sein du régime, l’option du statu quo est faite ; la crise, elle, pourra continuer à faire son œuvre", ajoute le journal.
Et les Algériens ? Selon un sondage réalisé par La Liberté, seules 46,4 % des personnes interrogées envisageraient de se rendre aux urnes au printemps, preuve d’une "dépolitisation" croissante.
Alors que le pays fait face à moult défis, à commencer par une sévère crise de l’emploi et de l’habitat, El Watan n’a pas de mots assez durs pour fustiger "le dernier caprice du roi". Quant à l’écrivain Kamel Daoud, il met en garde l’hôte du palais d’El-Mouradia : "Vous allez nous laisser un pays corrompu, exsangue, défait, ridicule, mort, sans don et humilié, et cette humiliation, on vous la rendra."
Le Monde 26/02/2014
Algérie – Bouteflika réélu mais avec un taux de participation en net recul
Le Monde 18/04/2014
Le taux de participation à l’élection présidentielle algérienne d’hier s’est établi à 51,7 %, selon les chiffres du ministère de l’intérieur.
Ce taux est en net recul par rapport à celui de 74 % annoncé en 2009. Le plus fort taux d’abstention a été enregistré en Kabylie (autour de 25 % de participation), où des incidents ont fait 70 blessés dans le département de Bouira.
Les électeurs de la capitale n’ont pas non plus été très nombreux à se rendre aux urnes, avec un taux de participation de seulement 37 % à Alger.
Outre la participation, c’est la fraude qui fait débat. Ali Benflis, ex-premier ministre et principal rival d’Abdelaziz Bouteflika, a affirmé après avoir voté que "la fraude [avait] déjà commencé".
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http://resistanceinventerre.wordpress.com/2014/02/26/algerie-une-candidature-par-procuration-le-roi-bouteflika-saccroche-au-pouvoir/
Monsieur Aboud tous les coups sont permis pour sauver son chef le DRS...
Tewfik a peur de Said??? Oui il a peur le pôvre , lui qui est si gentil,et qu n'est pour rien dans ce qui nous arrive......
Arrêtez,,vous n'avez aucune gêne,aucune honte,Si tewfik qui vous a muté en france vous offert deux journaux...comme il a offert Echoruk et Ennahar pour services rendus...
Comment se fait il que vous imprimez ENCORE vos journaux puisque Said les a interdits???
Said est un grand stratège qui a évincé les plus grands..lui ne parle pas,et ne s'expose pas,il est bien éduqué,par rapport à vous...Si seulement on pourrait comprendre réellemnt ce qui se passe...
Si said comme vous dites est corompus,et dirige l'Algérie,demandez à votre chef d'en fournir les preuves....Puisque c'est Rab edzair (estaghfirou Allah)....Loin de moi l'idée de soutenir Said...Donnez des preuves!!!!
Mais arrêtez votre cinéma,montrez vous réellement si vous êtes un Homme..Semraoui lui se tait aprés sa fin de missions...Lui au moins c'est un vrai agent ou espion...