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http://www.entv.dz/tvar/video/index.php?t=JT20H_20-04-2014
Invité de l'émission Forum de la radio régionale de Constantine, diffusée en direct hier et qui a mis en débat ce thème, en profitant de l'opportunité de l'évènement de Youm El Ilm qui est célébré pendant un mois (avril) sur tout le territoire national, cet écrivain spécialisé dans l'histoire contemporaine de la région, a réalisé et fait paraître dernièrement 6 ouvrages sur le principal animateur de l'association des Oulémas musulmans algériens. Mais il reconnaîtra néanmoins que le legs de l'Imam réformateur, religieux, culturel et politique, voire militant, reste encore assez mal connu des générations actuelles. «Jusqu'à présent, l'œuvre de Abdelhamid Benbadis n'a pas eu la part qu'elle mérite dans les études et recherches, notamment au niveau universitaire», soutiendra-t-il. Ceci en dépit du fait que nous avons maintenant dans chaque grande ville un centre universitaire et même quatre grandes universités si nous citons le cas de Constantine, la ville natale de l'Imam, ajoutera-t-il. «Malheureusement, a déploré le professeur Filali, il n'existe dans aucune université algérienne une unité de recherche sur la pensée de Benbadis». D'autre part, a-t-il poursuivi, en 14 ans d'existence de la Fondation Abdelhamid Benbadis, qui a été créée en 2000, celle-ci n'a fait éditer et diffuser que 32 écrits sur la vie et l'œuvre de l'Imam. Mais depuis les trois dernières années, une politique nouvelle a été mise en place au sein de la fondation et cette politique visant à concentrer tous les efforts sur le travail de recueil et d'encouragement de la recherche à mener pour mettre en valeur et enrichir le legs laissé par Abdelhamid Benbadis, a donné ses fruits : 5 ouvrages sont parus en 2012, 4 en 2013 et 6 autres sont sous impression et vont être publiés cette année 2014. «Mais cela reste quand même insuffisant et nous souhaitons que les chercheurs soient plus nombreux à explorer la pensée de Benbadis pour la faire connaître sous ses différents aspects et la mettre en valeur. Et ils pourront trouver facilement de la matière à travers ses écrits journalistiques publiés dans la presse de l'association des Oulémas musulmans de l'époque». Car, a-t-il signalé, Benbadis était avant tout un homme de presse qui communiquait ses idées à travers ses écrits journalistiques et cet aspect est très important pour les travaux de recherche. Evoquant encore la quantité d'écrits produits sur Benbadis, que ce soit au niveau national ou au niveau de quelques pays du Maghreb, comme la Tunisie et le Maroc, le président de la Fondation Benbadis a jugé qu'il reste beaucoup à faire dans ce domaine pour connaître vraiment la pensée de Benbadis. Malheureusement, dira-t-il, à part les subventions qu'elle reçoit de l'Assemblée populaire nationale, de l'Assemblée populaire de Wilaya ou de l'Assemblée populaire communale de Constantine, la Fondation Benbadis n'a aucune autre ressource. Et pour illustrer l'indigence de la fondation, l'orateur indiquera que celle-ci possède quelque 10.000 ouvrages traitant de divers sujets sur l'Islam et la civilisation islamique qu'elle veut mettre à la disposition des chercheurs et des lecteurs, mais elle ne possède pas de bibliothèque assez grande pour les contenir. Car, il faut le dire, la fondation ne possède même pas de local propre et conforme à ses ambitions étant encore abritée dans les locaux de l'ancienne Médersa de la rue Larbi Ben M'hidi de Constantine (Trik Djedida) qui va être transformée en musée des personnalités historiques.
Ainsi, sur un chantier de construction de logements de la nouvelle ville de Ali Mendjeli, un maçon, a été victime d'une chute du 2ème étage d'un bâtiment en réalisation, à l'unité de voisinage (UV) n°20. Cet accident a causé, à la victime, des blessures dans différentes parties du corps et particulièrement au bassin, ce qui a nécessité, selon la cellule de communication de la Protection civile, son évacuation d'urgence à l'hôpital de Ali Mendjeli, pour de plus amples soins et ce, après lui avoir dispensé les premiers secours sur place. La deuxième victime d'une chute d'immeuble, est un homme habitant à la cité Zouaghi Slimane qui est tombé du balcon de son domicile, situé au 1er étage.
Là, également, le blessé qui souffrait surtout du bassin, a reçu l'aide et l'assistance sur place avant d'être transporté au Centre hospitalo-universitaire Benbadis, de Constantine. L'enquête, diligentée parallèlement par la police, devrait déterminer les circonstances exactes de ces deux chutes.
Selon la même source de la Protection civile, pas moins de 11 blessés légers ont été enregistrés, au cours de la même journée d'avant-hier, samedi, dans 4 accidents de la circulation qui se sont produits, surtout l'après-midi et dans des axes de grand trafic routier (les RN 03 et 79) Les victimes, âgées entre 1 et 71 ans ont bénéficié des premiers secours sur les lieux des accidents et conduites aux centres de santé et polycliniques les plus proches.
Les marcheurs, représentant le premier groupe, étaient des étudiants et militants du mouvement pour l'autonomie de la Kabylie (MAK) qui scandaient des slogans propres à leur tendance, à savoir l'autonomie de la Kabylie, et le rejet de «l'arabisation à pas forcés, absurde et effrénée, qui a fait tant de victimes».
Le deuxième carré était représenté par des militants du mouvement culturel berbère (MCB), toutes tendances confondues, et mettait en exergue l'officialisation de langue amazighe, et son enseignement obligatoire, au même titre que la langue arabe. Ils rejettent, en outre, son caractère facultatif imposé qu'ils trouvent aberrant. Une fois arrivés à la hauteur de l'esplanade qui fait face au siège de la wilaya, les marcheurs ont observé une halte, pour se diverger ensuite vers le théâtre en plein air, de la Maison de la Culture Ali Zamoum', dont ils ont garni les gradins. Des prises de paroles ont été effectuées, en ce lieu. Des rumeurs ont circulé faisant cas de la volonté des manifestants d'aller saccager la statue de l'Emir Abdelkader qui se trouve à quelques centaines de mètres plus bas, exactement au carrefour du pont Sayah'. Sous prétexte que les autorités devaient penser à édifier des statues représentant des figures ou des martyrs qui appartiennent à la région. Finalement il n'en fut rien et les marcheurs se sont dispersés dans le calme absolu. Des informations ont fait savoir qu'avant le déroulement de la marche, des arrestations à titre préventif ont été opérées par les forces de l'ordre, pour parer à toute tentative d'atteinte à l'ordre public. Il a été fait cas de 6 manifestants qui ont été arrêtés, à la hauteur d'une gare routière, pendant qu'ils proféraient des cris opposés au pouvoir.
A Tizi Ouzou, les forces anti-émeute de la police ont empêché le déroulement, hier matin, d'une marche «non autorisée», à laquelle a appelé le Mouvement culturel berbère (MCB) pour la célébration du 34ème anniversaire du «Printemps berbère», du 20 avril, a constaté un journaliste de l'APS. Les manifestants, dont le nombre se situait entre 200 et 300, parmi lesquels de nombreux militants du MAK, se sont ébranlés à partir du campus universitaire de Hasnaoua, avant d'être stoppés dans leur procession par les forces anti-émeutes à une centaine de mètres du lieu de départ. Les premiers carrés des marcheurs, formés, essentiellement de militants du MAK, reconnaissables aux slogans scandés et à leurs banderoles, ont tenté, en vain, de forcer le passage. Des échanges de jets de pierres ont eu lieu entre les deux antagonistes, avant que les manifestants ne se réfugient dans l'enceinte universitaire.
De nombreux anciens militants du MCB, dont Saïd Khelil, Saïd Boukhari, Mouloud Lounaouci et Arezki Abbout, avaient pris part au départ de la marche, avant de quitter les lieux dès le déclenchement des échauffourées. Les slogans du MAK, appelant notamment à la création d'un «état kabyle» avaient supplanté ceux du MCB qui appelait à la célébration du 34ème anniversaire du «20 avril» sous le signe de revendications de «libertés démocratiques» et de «l'officialisation de Tamazight». Selon une source sécuritaire, «aucune demande n'a été formulée pour l'autorisation de la marche», qui a été, de ce fait, «empêchée par les forces de sécurité, par crainte de débordements».
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وقالت الوكالة إنها نشرت تهنئة رسمية من قابوس بن سعيد، سلطان عمان، إلى بوتفليقة بمناسبة الفوز، إلا أن من قام بالاختراق حرف نص التهنئة، وضمنها عبارات وصورا مسيئة للرئيس الجزائري.وبحسب التهنئة، التي احتوت على سب للرئيس الجزائري وتهكما على فوزه بولاية رابعة وتضمنت التهنئة المسيئة ألفاظا تحمل سخرية وإساءة للشعب الجزائري.
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Cinq blessés suite au renversement d’un bus
Lundi, 21 avril 2014 00:00
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Cinq blessés suite au renversement d’un bus
Un bus assurant la liaison Annaba-Bouchegouf, s’est renversé hier, matin au niveau de la commune d’El-Bouni, plus précisément, à proximité du concessionnaire de voitures dudit lieu. L’accident serait dû à la chaussée glissante provoquée par les premières chutes de pluies d’hier. Le bus, à son bord une dizaine de passagers, a quitté la chaussée avant de se renverser. Parmi les victimes figurent une femme enceinte et un homme âgé, transférés aux urgences du CHU Ibn Rochd avec au moins trois autres blessées. Les policiers arrivés sur le lieu ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de l’accident.
Boufessioua Sofiane
UV 20 ET CITÉ GERIC
Le constat d’échec
Lundi, 21 avril 2014 00:00
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Le constat d’échec
Peut-on parler de l’échec de l’opération relative au nettoiement et à l’assainissement de la ville de ses déchets ? Une question que l’on se pose légitimement, sans alarmisme aucun, suite à un constat sans appel : nos quartiers ne sont pas totalement nettoyés. C’est un spectacle ahurissant et écœurant qu’offrent aujourd’hui nos cités. Les points de ramassage de nos déchets ménagers ne sont toujours pas respectés. Nos ordures sont éparpillées dans l’anarchie totale. Il suffit de faire un tour à travers la ville pour se rendre compte de ce constat d’échec. Un échec que tout le monde partage, en particulier le citoyen. Sans lui, faut-il encore une fois le rappeler, toute initiative serait vouée à l’échec. Sans son adhésion à cette opération et à d’autres, s’inscrivant dans le même registre, le problème de la « saleté » de la ville reste entier. Pour reprendre les propos d’un universitaire, spécialiste dans la sociologie de la ville, ‘’le problème est dans les mentalités des gens qu’il faudra impérativement changer’’. Face à l’incivisme de certaines « personnes », il ne faut surtout pas s’attendre, a-t-il-tenu à préciser, à ce que les objectifs recherchés, par ce genre d’opération, soient effectivement concrétisés. A ces initiatives, il fallait songer, également, à un travail de sensibilisation et d’accompagnement de la collectivité qui s’étalera sur plusieurs années, ajouta notre interlocuteur. Il ne s’agit nullement pas, poursuit-il, d’un « miracle », mais plutôt d’une vérité devant laquelle il faudra, tôt ou tard, s’incliner. C’est de cette manière, et uniquement de cette manière, qu’on pourra aspirer voir, un jour, nos quartiers et nos différentes artères propres. Un long chemin à parcourir avant d’atteindre ce résultat, conclut-il. Et pour rejoindre toujours les arguments de ce sociologue, il est, en effet, nécessaire de responsabiliser toutes les parties concernées quant à l’importance d’une opération, dont les retombées sur d’autres secteurs d’activité ne sont plus à démontrer. Si les touristes étrangers ont opté pour d’autres destinations, c’est aussi à cause de l’insalubrité de nos villes. Et sur ce plan beaucoup reste à faire. Les élus locaux ont certainement du pain sur la planche.
M. Kherrab
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الاخبار العاجلة لحدوث صراعات سياسية بين جماعات بوتفليقة بحثا غن الغنائم الانتخابية فجماعة القبائل تهدد جماعة تلمسان بمظاهرات الربيع الامازيغي في منطقة القبائل وجماعة سلال تطالب باعادتها الى منصب رئيس الحكومة وجماعة تلمسان تريد انقلابا سياسيا على جماعات القبائل الكبري باعلان حكومة الغربالجزائري بزعامة ابناء وهران الباهية والاسباب مجهولة
http://www.entv.dz/tvar/video/index.php?t=JT20H_20-04-2014
par A. Mallem
Le professeur
Abdelaziz Filali, président de la Fondation Benbadis, a appelé hier les
écrivains et les chercheurs universitaires à se pencher sur la pensée
réformiste et politique de l'Imam «afin d'élaborer, pourquoi pas, une véritable
encyclopédie de la pensée de Abdelhamid Benbadis et son rôle dans l'éveil de la
conscience du peuple algérien», a-t-il soutenu.
Invité de l'émission Forum de la radio régionale de Constantine, diffusée en direct hier et qui a mis en débat ce thème, en profitant de l'opportunité de l'évènement de Youm El Ilm qui est célébré pendant un mois (avril) sur tout le territoire national, cet écrivain spécialisé dans l'histoire contemporaine de la région, a réalisé et fait paraître dernièrement 6 ouvrages sur le principal animateur de l'association des Oulémas musulmans algériens. Mais il reconnaîtra néanmoins que le legs de l'Imam réformateur, religieux, culturel et politique, voire militant, reste encore assez mal connu des générations actuelles. «Jusqu'à présent, l'œuvre de Abdelhamid Benbadis n'a pas eu la part qu'elle mérite dans les études et recherches, notamment au niveau universitaire», soutiendra-t-il. Ceci en dépit du fait que nous avons maintenant dans chaque grande ville un centre universitaire et même quatre grandes universités si nous citons le cas de Constantine, la ville natale de l'Imam, ajoutera-t-il. «Malheureusement, a déploré le professeur Filali, il n'existe dans aucune université algérienne une unité de recherche sur la pensée de Benbadis». D'autre part, a-t-il poursuivi, en 14 ans d'existence de la Fondation Abdelhamid Benbadis, qui a été créée en 2000, celle-ci n'a fait éditer et diffuser que 32 écrits sur la vie et l'œuvre de l'Imam. Mais depuis les trois dernières années, une politique nouvelle a été mise en place au sein de la fondation et cette politique visant à concentrer tous les efforts sur le travail de recueil et d'encouragement de la recherche à mener pour mettre en valeur et enrichir le legs laissé par Abdelhamid Benbadis, a donné ses fruits : 5 ouvrages sont parus en 2012, 4 en 2013 et 6 autres sont sous impression et vont être publiés cette année 2014. «Mais cela reste quand même insuffisant et nous souhaitons que les chercheurs soient plus nombreux à explorer la pensée de Benbadis pour la faire connaître sous ses différents aspects et la mettre en valeur. Et ils pourront trouver facilement de la matière à travers ses écrits journalistiques publiés dans la presse de l'association des Oulémas musulmans de l'époque». Car, a-t-il signalé, Benbadis était avant tout un homme de presse qui communiquait ses idées à travers ses écrits journalistiques et cet aspect est très important pour les travaux de recherche. Evoquant encore la quantité d'écrits produits sur Benbadis, que ce soit au niveau national ou au niveau de quelques pays du Maghreb, comme la Tunisie et le Maroc, le président de la Fondation Benbadis a jugé qu'il reste beaucoup à faire dans ce domaine pour connaître vraiment la pensée de Benbadis. Malheureusement, dira-t-il, à part les subventions qu'elle reçoit de l'Assemblée populaire nationale, de l'Assemblée populaire de Wilaya ou de l'Assemblée populaire communale de Constantine, la Fondation Benbadis n'a aucune autre ressource. Et pour illustrer l'indigence de la fondation, l'orateur indiquera que celle-ci possède quelque 10.000 ouvrages traitant de divers sujets sur l'Islam et la civilisation islamique qu'elle veut mettre à la disposition des chercheurs et des lecteurs, mais elle ne possède pas de bibliothèque assez grande pour les contenir. Car, il faut le dire, la fondation ne possède même pas de local propre et conforme à ses ambitions étant encore abritée dans les locaux de l'ancienne Médersa de la rue Larbi Ben M'hidi de Constantine (Trik Djedida) qui va être transformée en musée des personnalités historiques.
par A. M.
Selon le bilan
exhaustif qui nous a été communiqué hier par la direction des statistiques de
la Protection civile de Constantine, portant sur les cas d'asphyxie dus à
l'inhalation du monoxyde de carbone, survenus au cours du premier trimestre
2014, on constate une baisse sensible des personnes qui ont été victimes de ce
genre d'accidents de l'ordre de 39,62% et ce, en comparaison avec la même
période de l'année 2013. «Durant le premier trimestre de l'année en cours, nous
a indiqué le lieutenant Benharzallah, chargé du service indiqué plus haut, nous
avons enregistré 34 interventions pour secourir 32 personnes. Parmi lesquelles
20 femmes, 9 hommes et 3 enfants». Et durant le 3e trimestre de 2013, il a été
enregistré un nombre de 31 interventions pour secourir 53 personnes. A titre
d'information, notre interlocuteur a signalé que durant l'année passée, ses
services ont enregistré, malheureusement et dans le même cadre, le décès de 4
personnes pour un chiffre global de 81 personnes secourues durant toute cette
année. Selon le lieutenant Benharzallah, ce bilan à la baisse n'a été rendu
possible que grâce aux nombreuses campagnes de sensibilisation soutenues qui
ont été lancées par la Protection civile avec la collaboration des services de
la Sonelgaz et la radio régionale à travers des émissions périodiques diffusées
en direct sur le plateau pour vulgariser les risques provenant d'une mauvaise
utilisation du gaz domestique en donnant les consignes à suivre pour prévenir
et éviter les accidents. «Campagne que nous avons menée sans arrêt au niveau
des groupements d'habitations éparses, en faisant le porte-à-porte parmi ceux
qui ont été raccordés récemment au gaz naturel, etc. Et nous pouvons dire à
juste titre, a soutenu notre interlocuteur, que ces campagnes ont obtenu un
assez large écho auprès des populations visitées. Et le résultat s'est exprimé
par une baisse des secourus, comme nous venons de l'expliquer». Donnant ensuite
quelques détails des statistiques établies par ses services, le représentant de
la Protection civile a indiqué que la plupart des accidents enregistrés se sont
produits au niveau des communes de Constantine (14 cas d'asphyxies) et
d'El-Khroub (15 cas), ainsi que dans la commune d'Ibn Ziad où se sont produits
4 cas. Il fera observer à la fin que, dans ce même cadre, des communes comme
Aïn Abid, Hamma Bouziane et Didouche Mourad n'ont connu aucun cas de ce genre
durant le premier trimestre de l'année en cours.
par A. Z.
La visite du
ministre des Affaires religieuses à Constantine, programmée initialement le 10
mars dernier et reportée pour une date ultérieure, aura finalement lieu
aujourd'hui. Le programme de cette virée qui a été annoncée hier par la wilaya,
a gardé les mêmes lignes esquissées lors du premier rendez-vous annulé. Le
ministre devrait en premier lieu s'enquérir des travaux de consolidation
initiés au niveau de la mosquée Emir Abdelkader, lesquels travaux ont été
justement lancés le 10 mars dernier par une entreprise algéro-espagnole et
devraient s'étaler sur 11 mois. Selon le maître d'œuvre, la DLEP en
l'occurrence, le coût total de l'opération a été évalué à 500 milliards de
centimes. Pour l'instant, apprend-t-on auprès des mêmes sources, seuls les
travaux de la première tranche consistant en la réhabilitation de l'esplanade
au dessous de laquelle des écoulements d'eau ont été constatés, viennent de
démarrer. Par la suite, on compte reprendre carrément, et dans sa globalité,
tout le réseau de drainage. La mosquée Emir Abdelkader qui tiendra certainement
un rôle capital lors de la manifestation « Constantine, capitale de la culture
arabe 2015 » doit se préparer à accueillir les activités contenues dans le
programme concocté dans ce cadre par le secteur des Affaires religieuses. Elle
doit, donc, subir un lifting presque général. Ainsi, à côté des travaux de
consolidation, il y aura des travaux d'embellissement, de réhabilitation des
espaces verts, de changement des revêtements en marbre, de la réorganisation du
parking, d'équipement de la mosquée et de l'université d'un système de
climatisation central et de changement total du système d'éclairage public.
Ensuite, il est prévu que le ministre se rende à Ali-Mendjeli où il aura à
visiter plusieurs projets en chantier dont celui du Centre culturel islamique
ainsi que deux autres chantiers de construction de mosquées dans les UV 7 et
17. La visite du ministre sera clôturée par une rencontre, à l'hôtel Hocine à
Ali-Mendjeli, qui sera consacrée à un exposé du programme de son secteur dans
le cadre de l'évènement «Constantine capitale 2015 de la culture arabe».
par A. E. A.
Deux personnes
ont été victimes de chutes des étages supérieurs d'immeubles (à Ali Mendjeli et
à Zouaghi) et 11 autres ont été blessées, dans 4 accidents survenus sur les
routes de la wilaya, dans la journée d'avant-hier, samedi.
Ainsi, sur un chantier de construction de logements de la nouvelle ville de Ali Mendjeli, un maçon, a été victime d'une chute du 2ème étage d'un bâtiment en réalisation, à l'unité de voisinage (UV) n°20. Cet accident a causé, à la victime, des blessures dans différentes parties du corps et particulièrement au bassin, ce qui a nécessité, selon la cellule de communication de la Protection civile, son évacuation d'urgence à l'hôpital de Ali Mendjeli, pour de plus amples soins et ce, après lui avoir dispensé les premiers secours sur place. La deuxième victime d'une chute d'immeuble, est un homme habitant à la cité Zouaghi Slimane qui est tombé du balcon de son domicile, situé au 1er étage.
Là, également, le blessé qui souffrait surtout du bassin, a reçu l'aide et l'assistance sur place avant d'être transporté au Centre hospitalo-universitaire Benbadis, de Constantine. L'enquête, diligentée parallèlement par la police, devrait déterminer les circonstances exactes de ces deux chutes.
Selon la même source de la Protection civile, pas moins de 11 blessés légers ont été enregistrés, au cours de la même journée d'avant-hier, samedi, dans 4 accidents de la circulation qui se sont produits, surtout l'après-midi et dans des axes de grand trafic routier (les RN 03 et 79) Les victimes, âgées entre 1 et 71 ans ont bénéficié des premiers secours sur les lieux des accidents et conduites aux centres de santé et polycliniques les plus proches.
par Farid Haddouche
Une marche s'est ébranlée, hier, à partir de 11h, du siège de
l'Université «Akli Mohand Oulhadj» de Bouira, vers le siège de la wilaya.
Les marcheurs, représentant le premier groupe, étaient des étudiants et militants du mouvement pour l'autonomie de la Kabylie (MAK) qui scandaient des slogans propres à leur tendance, à savoir l'autonomie de la Kabylie, et le rejet de «l'arabisation à pas forcés, absurde et effrénée, qui a fait tant de victimes».
Le deuxième carré était représenté par des militants du mouvement culturel berbère (MCB), toutes tendances confondues, et mettait en exergue l'officialisation de langue amazighe, et son enseignement obligatoire, au même titre que la langue arabe. Ils rejettent, en outre, son caractère facultatif imposé qu'ils trouvent aberrant. Une fois arrivés à la hauteur de l'esplanade qui fait face au siège de la wilaya, les marcheurs ont observé une halte, pour se diverger ensuite vers le théâtre en plein air, de la Maison de la Culture Ali Zamoum', dont ils ont garni les gradins. Des prises de paroles ont été effectuées, en ce lieu. Des rumeurs ont circulé faisant cas de la volonté des manifestants d'aller saccager la statue de l'Emir Abdelkader qui se trouve à quelques centaines de mètres plus bas, exactement au carrefour du pont Sayah'. Sous prétexte que les autorités devaient penser à édifier des statues représentant des figures ou des martyrs qui appartiennent à la région. Finalement il n'en fut rien et les marcheurs se sont dispersés dans le calme absolu. Des informations ont fait savoir qu'avant le déroulement de la marche, des arrestations à titre préventif ont été opérées par les forces de l'ordre, pour parer à toute tentative d'atteinte à l'ordre public. Il a été fait cas de 6 manifestants qui ont été arrêtés, à la hauteur d'une gare routière, pendant qu'ils proféraient des cris opposés au pouvoir.
A Tizi Ouzou, les forces anti-émeute de la police ont empêché le déroulement, hier matin, d'une marche «non autorisée», à laquelle a appelé le Mouvement culturel berbère (MCB) pour la célébration du 34ème anniversaire du «Printemps berbère», du 20 avril, a constaté un journaliste de l'APS. Les manifestants, dont le nombre se situait entre 200 et 300, parmi lesquels de nombreux militants du MAK, se sont ébranlés à partir du campus universitaire de Hasnaoua, avant d'être stoppés dans leur procession par les forces anti-émeutes à une centaine de mètres du lieu de départ. Les premiers carrés des marcheurs, formés, essentiellement de militants du MAK, reconnaissables aux slogans scandés et à leurs banderoles, ont tenté, en vain, de forcer le passage. Des échanges de jets de pierres ont eu lieu entre les deux antagonistes, avant que les manifestants ne se réfugient dans l'enceinte universitaire.
De nombreux anciens militants du MCB, dont Saïd Khelil, Saïd Boukhari, Mouloud Lounaouci et Arezki Abbout, avaient pris part au départ de la marche, avant de quitter les lieux dès le déclenchement des échauffourées. Les slogans du MAK, appelant notamment à la création d'un «état kabyle» avaient supplanté ceux du MCB qui appelait à la célébration du 34ème anniversaire du «20 avril» sous le signe de revendications de «libertés démocratiques» et de «l'officialisation de Tamazight». Selon une source sécuritaire, «aucune demande n'a été formulée pour l'autorisation de la marche», qui a été, de ce fait, «empêchée par les forces de sécurité, par crainte de débordements».
Akkin i usuter s uneṣṣeb-is di tmendawt
Allalen atraren n tiknulujiya n yisallen (TIC)
ldin-d iberdan i
usnerni n tmaziɣt
Yal amulli n 20 yebrir ( tafsut imaziɣen), yettuɣal-d wawal ɣef usutur n uneṣṣeb n tmaziɣt di tmendawt n tmurt. « Tamaziɣt tutlayt taɣelnawt tunṣibt », d azref iɣef nnuɣen yimeɣnasen n Umussu Adelsan Amaziɣ (MCB) deg yiseggasen n tmanyin. Mbeɛd acḥal n yiseggasen n umennuɣ, tamaziɣt tuɣal tekcem ɣer uɣebaz d tesdawit d ttawilat n yisallen izuyaz (médias public). Ɣas yella-d waya, aɣerbaz ur yessaweḍ ara ad yezzuzer akken ilaq tamaziɣt di tmetti xersum di temnaḍin ideg tt-ttmeslayen, ula d ttawilat n yisallen ( ṛṛadyu d tilibizyu izuyaz) ur ssawḍen ara ad qamen akken ilaq s yes, imi tewwi-ten zzedwa n lfulkluṛ rnu ɣur-s lixṣaṣ n usileɣ n yineɣmasen d wid akk iqeddcen deg walɣagduden-a (masses medias), yerna tuget deg-sen ur lmiden ara tamaziɣt . Seg tama-nniḍen, akkin i tudsiwin (institutions) n ddula aṭas n yiberdan i d-yeldin i usnerni n tmaziɣt segmi i nnernan di tmurt n Lezzayer wallalen atraren n tiknulujiya n yisallen (TIC), ama d lantirnat neɣ d tikebbaniyin n tilifun tusligin (privées) d uḥric n tsenselkimt (informatique) s umata. Deg yiseggasen imezwura ideg d-leḥqen ɣur-neɣ ttawilat-a imaynuten, aṭas i d-yesbeggnen tugdi-nsen imi ttwalin allalen-a nnulfan-d akken ad snegren idelsan d tutlayin ur nsaɣ ara akken ilaq zdat n uzuzer n tutlayin timeqqṛanin yecban taglizit. Tugdi-ya tennerna segmi i d-yeffeɣ uneqqin n UNESCO deg useggas n 2007, ideg d-nubhen dakken aṭas n tutlayin n umaḍal i ara inegren deg taggara n tsuta (lqeṛn) ideg nella, tamaziɣt d yiwet seg tutlayin i d-yeddan deg lejrida-ya taberkant i d-tessufeɣ l’UNESCO . Mebla ccek llant tutlayin ara inegren seg tid i d-yeddan deg lejrida n UNISCO, ladɣa tutlayin umi ur tettunefk ara tegnit akken ad kecment ɣer unnar n tira, qqiment kan d timawiyin, yerna ur d-llethan ara deg-sent wid i tent-yettmeslayen. Tamaziɣt i ikecmen yakan annar n tira deg yiseggasen n 20, rnu ɣur-s leqdicat usnanen n unadi deg uḥric n tesnilest (linguistique), aya akk yessashel-as abrid akken ad tezger ɣer unnar atrar, annar n tiknulujiya n yisallen i as-yeldin iberdan akken ad teṭṭef amkan-is zdat n tutlayin-nniḍen. Ass-a, di lantirnat llan d imeyyaten n wadegen (sites) ileḥḥun s tmaziɣt, mebɣir ma neḥseb imdanen i tt-yessexdamen ladɣa deg yiẓeḍwan imettiyen (réseaux sociaux) yecban facebook d twitter.
usnerni n tmaziɣt
Yal amulli n 20 yebrir ( tafsut imaziɣen), yettuɣal-d wawal ɣef usutur n uneṣṣeb n tmaziɣt di tmendawt n tmurt. « Tamaziɣt tutlayt taɣelnawt tunṣibt », d azref iɣef nnuɣen yimeɣnasen n Umussu Adelsan Amaziɣ (MCB) deg yiseggasen n tmanyin. Mbeɛd acḥal n yiseggasen n umennuɣ, tamaziɣt tuɣal tekcem ɣer uɣebaz d tesdawit d ttawilat n yisallen izuyaz (médias public). Ɣas yella-d waya, aɣerbaz ur yessaweḍ ara ad yezzuzer akken ilaq tamaziɣt di tmetti xersum di temnaḍin ideg tt-ttmeslayen, ula d ttawilat n yisallen ( ṛṛadyu d tilibizyu izuyaz) ur ssawḍen ara ad qamen akken ilaq s yes, imi tewwi-ten zzedwa n lfulkluṛ rnu ɣur-s lixṣaṣ n usileɣ n yineɣmasen d wid akk iqeddcen deg walɣagduden-a (masses medias), yerna tuget deg-sen ur lmiden ara tamaziɣt . Seg tama-nniḍen, akkin i tudsiwin (institutions) n ddula aṭas n yiberdan i d-yeldin i usnerni n tmaziɣt segmi i nnernan di tmurt n Lezzayer wallalen atraren n tiknulujiya n yisallen (TIC), ama d lantirnat neɣ d tikebbaniyin n tilifun tusligin (privées) d uḥric n tsenselkimt (informatique) s umata. Deg yiseggasen imezwura ideg d-leḥqen ɣur-neɣ ttawilat-a imaynuten, aṭas i d-yesbeggnen tugdi-nsen imi ttwalin allalen-a nnulfan-d akken ad snegren idelsan d tutlayin ur nsaɣ ara akken ilaq zdat n uzuzer n tutlayin timeqqṛanin yecban taglizit. Tugdi-ya tennerna segmi i d-yeffeɣ uneqqin n UNESCO deg useggas n 2007, ideg d-nubhen dakken aṭas n tutlayin n umaḍal i ara inegren deg taggara n tsuta (lqeṛn) ideg nella, tamaziɣt d yiwet seg tutlayin i d-yeddan deg lejrida-ya taberkant i d-tessufeɣ l’UNESCO . Mebla ccek llant tutlayin ara inegren seg tid i d-yeddan deg lejrida n UNISCO, ladɣa tutlayin umi ur tettunefk ara tegnit akken ad kecment ɣer unnar n tira, qqiment kan d timawiyin, yerna ur d-llethan ara deg-sent wid i tent-yettmeslayen. Tamaziɣt i ikecmen yakan annar n tira deg yiseggasen n 20, rnu ɣur-s leqdicat usnanen n unadi deg uḥric n tesnilest (linguistique), aya akk yessashel-as abrid akken ad tezger ɣer unnar atrar, annar n tiknulujiya n yisallen i as-yeldin iberdan akken ad teṭṭef amkan-is zdat n tutlayin-nniḍen. Ass-a, di lantirnat llan d imeyyaten n wadegen (sites) ileḥḥun s tmaziɣt, mebɣir ma neḥseb imdanen i tt-yessexdamen ladɣa deg yiẓeḍwan imettiyen (réseaux sociaux) yecban facebook d twitter.
Microsoft d facebook rran tamaziɣt d tutlayt n useqdec
Aṭas seg yisertiyen neɣ aggagen (intellectuels) yellan di tmurt, ttwalin tamaziɣt mazal-itt d taleqqaqt akken ad tuɣal d tunṣibt di yakk taɣulin (domaines) n tudert am nettat am taɛṛabt d tefṛansist. Aya ahat sseba-s d tamuɣli n nnaqes i sɛan yimdanen zdat n tutlayt-a yuɣalen di rrif seg waṭas-aya, amzun akken ur tesɛi ara tazmert akken ad d-tessenfali ɣef kra yellan.
Tamuɣli-ya n meḥyaf ger tutlayin ur telli ara ɣer wid iqeddcen deg uḥric n tsenselkimt (informatique) d wallalen n tiknulujiya n yisallen s umata imi ɣur-sen yal tameslayt i tebɣu tili yella wamek ara ad tekcem deg wahilen n yiseɣzanen (logiciels) d yisnasen inemḍanen (applications numériques). Aya sbegnent-id yimḍebbṛen n tkebbanit Microsoft, i yegren tamaziɣt deg wahil-is amaynut, anagraw n wammud (système d’exploitation) Windows 8 deg useggas n 2012. S Windows 8, tuɣal tmaziɣt d tutlayt i s-yezmer yiwen ad yesselḥu ahilen n uselkim am nettat am tutlayin-nniḍen. Ɣef temsalt-a ladɣa yenna-yaɣ-d pṛufisur Madani Khoudir s yisem-is d amnadi di temsal n tewnaḍt akked yidles : « Ɣas ma iswi agejdan n tkebbanit Microsoft mi tger tamaziɣt di Windows 8 d tjaṛa, maca tɛawen aṭas tutlayt-a imi i as-tefka allal n tallit ara uḥwaǧen wid i tt-yesseqdacen ama di Lezzayer neɣ di tmura-nniḍen n Tmazɣa » . Aseggas kan i iɛeddan ɣef ufares (produit) amaynut n Microsoft i yeskecmen tamaziɣt deg wahil-is, imḍebbṛen n tkebbanit n uẓeṭṭa imetti facebook, uɣalen ula d nutni qeblen akken ad rnun s wudem unṣib tamaziɣt ɣer lejrida n tutlayin i s ileḥḥu wadeg-nsen. Annect-a yella-d ɣef wakken i d-xebbṛen s timmad-nsen yimḍebbṛen n facebook, imi d luluf n yimdanen seg wid i yesseqdacen tamaziɣt deg uẓeṭṭa-ya imetti i sen-yuran isutren akken ad setɛeṛfen s tutlayt-a. Seg wass ɣer wayeḍ yettnernay umḍan n yisebtar yuran s tmaziɣt deg uẓeṭṭa-ya imetti isaɣen s waṭas deg umaḍal, mebɣir ma neḥseb amḍan n wadegen yuran s tmaziɣt i yezgan yettnernay deg uẓeṭṭa n lwab s umata. Ula d imusnawen imuzzag (spécialistes) n tutlayt d yidles amaziɣ ladɣa wid n tmura tibeṛṛaniyin, taggara-ya rran lwelha-nsen ɣer wayen i d-yetteffɣen s tmaziɣt di lantirnat. Daniela Merolla taselmadt di tesdawit n Leyde n tmurt n Hulunda (Pays-Bas), tga yiwet n tezrawt s wazal-is ɣef usexdem n lantirnat ilmend n usiẓreg n tsekla timawit tamaziɣt. Deg tezrawt-is Daniela Merolla tura-d : « Lantirnat mačči kan yessawseɛ tignatin n uzuzer n tsekla imi yessemlal imyura n temnaḍin timazɣawalin (régions amazighophones) yemxalafen akked wid yettidiren di lɣeṛba ; daɣen lantirnat iɛawen tasekla tamaziɣt akken ad d-teffeɣ seg timawit ɣer tira acku aṭas i yessexdamen ttawil-a akken ad jerrden ama d timucuha neɣ d isefra akked yinzan d temseɛṛaq » . ( Ẓeṛ : Daniela Merolla, Existe-t-il un système littéraire berbère ? Des genres oraux à l’espace internet, le champ de la recherche aujourd’hui, Revue des Etudes Berbères, volume 01, CRB-INALCO, 2009). Ula d aseqdec n tmaziɣt deg yiẓeḍwan imettiyen rran ɣur-s lwelha-nsen yimnadiyen n tmura n beṛṛa, amedya n Khadija Chennoufi-Gilkes, yellan d yiwet n tnelmadt yessewjaden dduktuṛa n tesnilest tamaziɣt deg Uɣerbaz n Tezrawin ɣef Tmura n Usammar d Tefriqt ( School of Oriental and African Studies) n tesdawit n Lundun n tmurt n Langliz. Nfuṛes tagnit nemlal akked tnelmadt-agi mi d-terza ɣer Lezzayer deg wagur n fuṛaṛ iɛeddan, nesteqsa-tt ladɣa ɣef yiswi n tezrawt-ines, atan wayen i aɣ-d-tenna : « Nekk iswi-w d tazrawt n yinawen (discours) i d-ssaẓragen yimazɣawalen deg yiẓeḍwan imettiyen ladɣa facebook, imi ass-a tamagit d tutlayt tamaziɣt ur teqqim ara kan deg unnar n usuter s ubrid n tmesbaniyin (manifestations) maca s ttawil n lantirnat tɛedda ɣer unnar n usemres, d umbaddal n yisallen d tektiwin ger yimezdaɣ n temnaḍin yemxalafen n Tmazɣa » .
Amawal n tmaziɣt yuɣal s talɣa Android
Tasenselkimt (l’informatique) yellan d taɣessa iɣef rsen yakk wallalen n tiknulujiya n yisallen ɣur-s azal d ameqqṛan deg usenfaṛ-a n usenfali n tmaziɣt. Tasenselkimt tefka-d tifrat i s yezmer yiwen ad yejmeɛ d luluf n yidlisen deg yiwen n usdaw anemḍan (fichier numérique) i ara yazen ma yebɣa ɣer yal tiɣmert n umaḍal. S usemres n usnas (application) amaynut umi ssawalen « Android », yessaweḍ umnadi di tmaziɣt n tmurt n Libya Mohammed Oumadi s lemɛawna n Tesbeddit Tiregwa yellan di tmurt n Kanada ad d-yejmeɛ akk imawalen n tmaziɣt akken ad ten-yer d asdaw (aficyi) i yezmer ad yawi umdan di tilifun-puṛṭabl-ines. S wakka amdan yesɛan amawal-a s talɣa Android di tilifun-ines, yezmer yal taswiɛt ad inadi ama s taɛṛabt neɣ s tefṛansist ɣef yisem amaziɣ n yakk tiɣawsiwin n tudert, imi amawal-a yesɛa ula d awalen imaynuten (néologismes) i werǧin llan di tantaliwin yemxalafen n tmaziɣt. Tixuṭṭeṛt (l’importance) n tsenselkimt deg usnerni n tmaziɣt d tutlayin s umata, yemmeslay-aɣ-d fell-as Mass Djamal Nehali, s yisem-is d amnadi deg uḥric n tesnilest-tasenselkimt (linguistique-informatique) di tesdawit n Bgayet, netta yenna-yaɣ-d : « Asekcem n tmaziɣt deg uḥric n tsenselkimt, yefka-yaɣ-d aṭas n tifrat i wuguren i nettemlil deg unnar, d amedya asekcem n yisekkilen n tmaziɣt deg unagraw n wammud windows 8 d ayen ara ɣ-iɛiwnen mliḥ, ladɣa imi aya ad d-yaf tifrat i tira n tmaziɣt deg yiseɣzanen(logiciels). Deg yiseggasen iɛeddan nettemlil uguren di tira n tmaziɣt deg yiseɣzanen imi ineggura-ya ur qebblen ara isekkilen uzzigen(caractères spéciaux) i s tettwaru tmaziɣt yecban (ɣ) umi nezga nettarra deg umkan-is(gh), tura akka s windows 8, inelmaden-nneɣ zemren ad arun ayen bɣan war ugur ». Ad nesmekti daɣen dakken aḥric-a n tsenselkimt yefka tagnit i waṭas n yimnadiyen akken ad d-snulfun aṭas n leṣnaf n tsefsayin (polices de caractères) i tira n tmaziɣt ama s talatinit neɣ s tfinaɣ.
Ooridoo d Djezzy ssawalen s tmaziɣt
Ahat llan yimdanen i werɛad slan dakken wid yessexdamen imeswuriyen (les opérateurs) n tilifun-purṭabl Ooriddoo (umi sawalen zik Nedjma) d Djyzzy GSM, zemren ad fernen tamaziɣt d tutlayt n useqdec-nsen deg ubeṭṭay n umeslay (serveur vocal) ! Nenna-d aya imi tuget n yimazɣawalen i yessexdamen tilifun snen tutlayin-nniḍen ama d taɛṛabt neɣ d tafṛasist. Ma d wid neɣ tid ur neɣri ara ladɣa timɣarin, tuget deg-sent ula d nnimeṛwat n tilifun ur ssinent ara ad tent-sɛeddint. Maca aṭas seg yimdanen i yestṛeḥben s usekcem n tmaziɣt deg yibeṭṭayen n umeslay n Ooridoo d Djezzy. Akken ad nesmekti, ameswuri Djyzzy GSM yeslul-d deg useggas n 2012 ayen umi isemma « Ammas n yisawalen s tmaziɣt - Amazigh Call Center ». Iswi n tkebbanit-a ɣef wakken i d-txebbeṛ deg wulɣu i d-tessufeɣ di tɣamsa, « d aseqṛeb n umeswuri Djezzy ɣer yimectariyen-is ladɣa wid yellan seg-sen ttmeslayen s tmaziɣt », (ẓeṛ DDK n 23 yulyu 2012). Aseggas mbeɛd tirmit i yexdem Djezzy, ameswuri Ooridoo yerna tamaziɣt ɣer tutlayin n ubeṭṭay n umeslay ɣer yidis n taɛṛabt akked tefṛansist. S wakka win yessexdamen ameswuri Ooridoo, yezmer ad yefren tutlayt tamziɣt akken ad yekcem ɣer tnafutin (services) yemxalafen yellan di tilifun-ines. « Ɣas ma ur d-yeffiɣ ara lexbeṛ di tɣamsa asmi i yebda yesseqdac Ooridoo tamaziɣt, maca aṭas i yeslan s yisalli-ya, d amedya nekk, mi lliɣ sfentwiceɣ deg tilifun-inu, ur ttakiɣ armi i sliɣ di taɣect n ubeṭṭay n umeslay dakken ma klikiɣ ɣef wuṭṭun 3 zemreɣ ad selḥuɣ tilifun-inu s tmaziɣt, dɣa seg yimiren ala s tmaziɣt i ssexdameɣ tilifun-inu, am nekk am temdukal-iw », ta d cchada i yaɣ-d-tefka Soraya yellan d tanelmadt di tesdawit . Amedya-nniḍen, d Karim netta d aselmad deg tesnawit, yenna-yaɣ-d dakken « Bdiɣ ssexdameɣ Ooridoo segmi i sliɣ dakken tella deg-s tmaziɣt, aya d ayen i yessefṛaḥen aṭas imi ass-a zemreɣ ad sxedmeɣ tilifun-inu s tutlayt-iw tayemmat ». S termit-a n yimeswuriyin n tilifun-puṛṭabt, Ooridoo akked Djezzy, tamaziɣt tekcem ɣer unnar ameqqṛan n taywalt (communication), ara s-yefken tagnit ad tennerni, ad tenfali. Di tmurt n Lmeṛṛuk, sennig n usexdem n tmaziɣt deg ubeṭtay n umeslay n Maroc Telecom, takebbanit Sony Erecsson, tessufeɣ-d ɣer ssuq yiwen n tilifun i yesɛan deg wahil-is isekkilen n tfinaɣ, i s yezmer umdan ad yaru ama d iznen (messages) neɣ ismawen n yimsawlen (contacts) s tmaziɣt.
S wayen akk i d-nebder, ad nwali dakken allalen atraren n tiknulujiya n yisallen, ldin-d iberdan i tutlayt tamaziɣt akken ad tennerni ama s ttawil n tira neɣ n umeslay. Aya d ayen ara yessiǧehden amkan-is di tmetti d tudert n yal ass di tallit n tesmaḍalt ( mondialisation), ideg ttwakksent tlisa d wuguren n taywalt ger yigduden. Ɣas ma aneṣṣeb n tmaziɣt yesɛa tixuṭṭeṛt deg ayen yeɛnan izrfan d uṛessi n tmagit taɣelnawt, maca anerni n tmaziɣt yuḥwaǧ aseǧhed n unadi ladɣa ilmend n unawi-s (standardisation) d usekcem-is deg tsenselkimt, akken ad taɣ amkan-is ugar di ttawilat atraren n taywalt.
Aṭas seg yisertiyen neɣ aggagen (intellectuels) yellan di tmurt, ttwalin tamaziɣt mazal-itt d taleqqaqt akken ad tuɣal d tunṣibt di yakk taɣulin (domaines) n tudert am nettat am taɛṛabt d tefṛansist. Aya ahat sseba-s d tamuɣli n nnaqes i sɛan yimdanen zdat n tutlayt-a yuɣalen di rrif seg waṭas-aya, amzun akken ur tesɛi ara tazmert akken ad d-tessenfali ɣef kra yellan.
Tamuɣli-ya n meḥyaf ger tutlayin ur telli ara ɣer wid iqeddcen deg uḥric n tsenselkimt (informatique) d wallalen n tiknulujiya n yisallen s umata imi ɣur-sen yal tameslayt i tebɣu tili yella wamek ara ad tekcem deg wahilen n yiseɣzanen (logiciels) d yisnasen inemḍanen (applications numériques). Aya sbegnent-id yimḍebbṛen n tkebbanit Microsoft, i yegren tamaziɣt deg wahil-is amaynut, anagraw n wammud (système d’exploitation) Windows 8 deg useggas n 2012. S Windows 8, tuɣal tmaziɣt d tutlayt i s-yezmer yiwen ad yesselḥu ahilen n uselkim am nettat am tutlayin-nniḍen. Ɣef temsalt-a ladɣa yenna-yaɣ-d pṛufisur Madani Khoudir s yisem-is d amnadi di temsal n tewnaḍt akked yidles : « Ɣas ma iswi agejdan n tkebbanit Microsoft mi tger tamaziɣt di Windows 8 d tjaṛa, maca tɛawen aṭas tutlayt-a imi i as-tefka allal n tallit ara uḥwaǧen wid i tt-yesseqdacen ama di Lezzayer neɣ di tmura-nniḍen n Tmazɣa » . Aseggas kan i iɛeddan ɣef ufares (produit) amaynut n Microsoft i yeskecmen tamaziɣt deg wahil-is, imḍebbṛen n tkebbanit n uẓeṭṭa imetti facebook, uɣalen ula d nutni qeblen akken ad rnun s wudem unṣib tamaziɣt ɣer lejrida n tutlayin i s ileḥḥu wadeg-nsen. Annect-a yella-d ɣef wakken i d-xebbṛen s timmad-nsen yimḍebbṛen n facebook, imi d luluf n yimdanen seg wid i yesseqdacen tamaziɣt deg uẓeṭṭa-ya imetti i sen-yuran isutren akken ad setɛeṛfen s tutlayt-a. Seg wass ɣer wayeḍ yettnernay umḍan n yisebtar yuran s tmaziɣt deg uẓeṭṭa-ya imetti isaɣen s waṭas deg umaḍal, mebɣir ma neḥseb amḍan n wadegen yuran s tmaziɣt i yezgan yettnernay deg uẓeṭṭa n lwab s umata. Ula d imusnawen imuzzag (spécialistes) n tutlayt d yidles amaziɣ ladɣa wid n tmura tibeṛṛaniyin, taggara-ya rran lwelha-nsen ɣer wayen i d-yetteffɣen s tmaziɣt di lantirnat. Daniela Merolla taselmadt di tesdawit n Leyde n tmurt n Hulunda (Pays-Bas), tga yiwet n tezrawt s wazal-is ɣef usexdem n lantirnat ilmend n usiẓreg n tsekla timawit tamaziɣt. Deg tezrawt-is Daniela Merolla tura-d : « Lantirnat mačči kan yessawseɛ tignatin n uzuzer n tsekla imi yessemlal imyura n temnaḍin timazɣawalin (régions amazighophones) yemxalafen akked wid yettidiren di lɣeṛba ; daɣen lantirnat iɛawen tasekla tamaziɣt akken ad d-teffeɣ seg timawit ɣer tira acku aṭas i yessexdamen ttawil-a akken ad jerrden ama d timucuha neɣ d isefra akked yinzan d temseɛṛaq » . ( Ẓeṛ : Daniela Merolla, Existe-t-il un système littéraire berbère ? Des genres oraux à l’espace internet, le champ de la recherche aujourd’hui, Revue des Etudes Berbères, volume 01, CRB-INALCO, 2009). Ula d aseqdec n tmaziɣt deg yiẓeḍwan imettiyen rran ɣur-s lwelha-nsen yimnadiyen n tmura n beṛṛa, amedya n Khadija Chennoufi-Gilkes, yellan d yiwet n tnelmadt yessewjaden dduktuṛa n tesnilest tamaziɣt deg Uɣerbaz n Tezrawin ɣef Tmura n Usammar d Tefriqt ( School of Oriental and African Studies) n tesdawit n Lundun n tmurt n Langliz. Nfuṛes tagnit nemlal akked tnelmadt-agi mi d-terza ɣer Lezzayer deg wagur n fuṛaṛ iɛeddan, nesteqsa-tt ladɣa ɣef yiswi n tezrawt-ines, atan wayen i aɣ-d-tenna : « Nekk iswi-w d tazrawt n yinawen (discours) i d-ssaẓragen yimazɣawalen deg yiẓeḍwan imettiyen ladɣa facebook, imi ass-a tamagit d tutlayt tamaziɣt ur teqqim ara kan deg unnar n usuter s ubrid n tmesbaniyin (manifestations) maca s ttawil n lantirnat tɛedda ɣer unnar n usemres, d umbaddal n yisallen d tektiwin ger yimezdaɣ n temnaḍin yemxalafen n Tmazɣa » .
Amawal n tmaziɣt yuɣal s talɣa Android
Tasenselkimt (l’informatique) yellan d taɣessa iɣef rsen yakk wallalen n tiknulujiya n yisallen ɣur-s azal d ameqqṛan deg usenfaṛ-a n usenfali n tmaziɣt. Tasenselkimt tefka-d tifrat i s yezmer yiwen ad yejmeɛ d luluf n yidlisen deg yiwen n usdaw anemḍan (fichier numérique) i ara yazen ma yebɣa ɣer yal tiɣmert n umaḍal. S usemres n usnas (application) amaynut umi ssawalen « Android », yessaweḍ umnadi di tmaziɣt n tmurt n Libya Mohammed Oumadi s lemɛawna n Tesbeddit Tiregwa yellan di tmurt n Kanada ad d-yejmeɛ akk imawalen n tmaziɣt akken ad ten-yer d asdaw (aficyi) i yezmer ad yawi umdan di tilifun-puṛṭabl-ines. S wakka amdan yesɛan amawal-a s talɣa Android di tilifun-ines, yezmer yal taswiɛt ad inadi ama s taɛṛabt neɣ s tefṛansist ɣef yisem amaziɣ n yakk tiɣawsiwin n tudert, imi amawal-a yesɛa ula d awalen imaynuten (néologismes) i werǧin llan di tantaliwin yemxalafen n tmaziɣt. Tixuṭṭeṛt (l’importance) n tsenselkimt deg usnerni n tmaziɣt d tutlayin s umata, yemmeslay-aɣ-d fell-as Mass Djamal Nehali, s yisem-is d amnadi deg uḥric n tesnilest-tasenselkimt (linguistique-informatique) di tesdawit n Bgayet, netta yenna-yaɣ-d : « Asekcem n tmaziɣt deg uḥric n tsenselkimt, yefka-yaɣ-d aṭas n tifrat i wuguren i nettemlil deg unnar, d amedya asekcem n yisekkilen n tmaziɣt deg unagraw n wammud windows 8 d ayen ara ɣ-iɛiwnen mliḥ, ladɣa imi aya ad d-yaf tifrat i tira n tmaziɣt deg yiseɣzanen(logiciels). Deg yiseggasen iɛeddan nettemlil uguren di tira n tmaziɣt deg yiseɣzanen imi ineggura-ya ur qebblen ara isekkilen uzzigen(caractères spéciaux) i s tettwaru tmaziɣt yecban (ɣ) umi nezga nettarra deg umkan-is(gh), tura akka s windows 8, inelmaden-nneɣ zemren ad arun ayen bɣan war ugur ». Ad nesmekti daɣen dakken aḥric-a n tsenselkimt yefka tagnit i waṭas n yimnadiyen akken ad d-snulfun aṭas n leṣnaf n tsefsayin (polices de caractères) i tira n tmaziɣt ama s talatinit neɣ s tfinaɣ.
Ooridoo d Djezzy ssawalen s tmaziɣt
Ahat llan yimdanen i werɛad slan dakken wid yessexdamen imeswuriyen (les opérateurs) n tilifun-purṭabl Ooriddoo (umi sawalen zik Nedjma) d Djyzzy GSM, zemren ad fernen tamaziɣt d tutlayt n useqdec-nsen deg ubeṭṭay n umeslay (serveur vocal) ! Nenna-d aya imi tuget n yimazɣawalen i yessexdamen tilifun snen tutlayin-nniḍen ama d taɛṛabt neɣ d tafṛasist. Ma d wid neɣ tid ur neɣri ara ladɣa timɣarin, tuget deg-sent ula d nnimeṛwat n tilifun ur ssinent ara ad tent-sɛeddint. Maca aṭas seg yimdanen i yestṛeḥben s usekcem n tmaziɣt deg yibeṭṭayen n umeslay n Ooridoo d Djezzy. Akken ad nesmekti, ameswuri Djyzzy GSM yeslul-d deg useggas n 2012 ayen umi isemma « Ammas n yisawalen s tmaziɣt - Amazigh Call Center ». Iswi n tkebbanit-a ɣef wakken i d-txebbeṛ deg wulɣu i d-tessufeɣ di tɣamsa, « d aseqṛeb n umeswuri Djezzy ɣer yimectariyen-is ladɣa wid yellan seg-sen ttmeslayen s tmaziɣt », (ẓeṛ DDK n 23 yulyu 2012). Aseggas mbeɛd tirmit i yexdem Djezzy, ameswuri Ooridoo yerna tamaziɣt ɣer tutlayin n ubeṭṭay n umeslay ɣer yidis n taɛṛabt akked tefṛansist. S wakka win yessexdamen ameswuri Ooridoo, yezmer ad yefren tutlayt tamziɣt akken ad yekcem ɣer tnafutin (services) yemxalafen yellan di tilifun-ines. « Ɣas ma ur d-yeffiɣ ara lexbeṛ di tɣamsa asmi i yebda yesseqdac Ooridoo tamaziɣt, maca aṭas i yeslan s yisalli-ya, d amedya nekk, mi lliɣ sfentwiceɣ deg tilifun-inu, ur ttakiɣ armi i sliɣ di taɣect n ubeṭṭay n umeslay dakken ma klikiɣ ɣef wuṭṭun 3 zemreɣ ad selḥuɣ tilifun-inu s tmaziɣt, dɣa seg yimiren ala s tmaziɣt i ssexdameɣ tilifun-inu, am nekk am temdukal-iw », ta d cchada i yaɣ-d-tefka Soraya yellan d tanelmadt di tesdawit . Amedya-nniḍen, d Karim netta d aselmad deg tesnawit, yenna-yaɣ-d dakken « Bdiɣ ssexdameɣ Ooridoo segmi i sliɣ dakken tella deg-s tmaziɣt, aya d ayen i yessefṛaḥen aṭas imi ass-a zemreɣ ad sxedmeɣ tilifun-inu s tutlayt-iw tayemmat ». S termit-a n yimeswuriyin n tilifun-puṛṭabt, Ooridoo akked Djezzy, tamaziɣt tekcem ɣer unnar ameqqṛan n taywalt (communication), ara s-yefken tagnit ad tennerni, ad tenfali. Di tmurt n Lmeṛṛuk, sennig n usexdem n tmaziɣt deg ubeṭtay n umeslay n Maroc Telecom, takebbanit Sony Erecsson, tessufeɣ-d ɣer ssuq yiwen n tilifun i yesɛan deg wahil-is isekkilen n tfinaɣ, i s yezmer umdan ad yaru ama d iznen (messages) neɣ ismawen n yimsawlen (contacts) s tmaziɣt.
S wayen akk i d-nebder, ad nwali dakken allalen atraren n tiknulujiya n yisallen, ldin-d iberdan i tutlayt tamaziɣt akken ad tennerni ama s ttawil n tira neɣ n umeslay. Aya d ayen ara yessiǧehden amkan-is di tmetti d tudert n yal ass di tallit n tesmaḍalt ( mondialisation), ideg ttwakksent tlisa d wuguren n taywalt ger yigduden. Ɣas ma aneṣṣeb n tmaziɣt yesɛa tixuṭṭeṛt deg ayen yeɛnan izrfan d uṛessi n tmagit taɣelnawt, maca anerni n tmaziɣt yuḥwaǧ aseǧhed n unadi ladɣa ilmend n unawi-s (standardisation) d usekcem-is deg tsenselkimt, akken ad taɣ amkan-is ugar di ttawilat atraren n taywalt.
Mokrane Chikhi
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قرصنة وإساءة للجزائر
تعرض موقع وكالة الأنباء العمانية الرسمية، مساء أول أمس، على الإنترنت لعملية اختراق، نشر منفذوها تهنئة مسيئة للرئيس الجزائري عبد العزيز بوتفليقة، ذو الـ77 عاما، بمناسبة إعادة انتخابه، الخميس الماضي، رئيسا للجزائر لولاية رابعة لخمس سنوات.وقالت الوكالة إنها نشرت تهنئة رسمية من قابوس بن سعيد، سلطان عمان، إلى بوتفليقة بمناسبة الفوز، إلا أن من قام بالاختراق حرف نص التهنئة، وضمنها عبارات وصورا مسيئة للرئيس الجزائري.وبحسب التهنئة، التي احتوت على سب للرئيس الجزائري وتهكما على فوزه بولاية رابعة وتضمنت التهنئة المسيئة ألفاظا تحمل سخرية وإساءة للشعب الجزائري.
هامل يطمئن على صحة أحد أقدم صحفيي ولاية سطيف
في التفاتة إنسانية، أجرى رئيس خلية الاتصال والعلاقات العامة بأمن ولاية سطيف رفقة إطارات شرطة وبعض قدماء الصحافة المكتوبة بإيعاز من مدير إدارة الإتصال والعلاقات العامة، زيارة إطمئنــان لأحد أقدم رجال الإعلام الذي كان قد أدخل مؤخرا المستشفى بسبب المرض. يتعلق الأمر مار شبلي صحافي سابق بيومية النصر وأحد قدماء الإعلام الوطني والمحلي المتواجد حاليا بالمركز الاستشفائي الجامعي سعادنة محمد عبد النور بسطيف من أجل العلاج، الذي أبلغه إطارات الشرطة تحيات المدير العام للأمن الوطني، اللواء عبد الغاني هامل، وتمنياته له بالشفاء.
Par Dalil Saïche
| Il ya 8 heures 50 minutes |
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Célébration du 34ème anniversaire du Printemps berbère
Marche pour l’officialisation de tamazight à Béjaïa...
Pari
réussi pour les militants de la cause Amazighe, hier, à Béjaïa !
Scindés en trois carrés, des milliers de citoyennes et de citoyens (15
000 en tout, selon les organisateurs) ont défilé, hier, dans les rues du
chef-lieu de la wilaya à l’occasion de la célébration du 34ème
anniversaire du 20 avril 1980.
La procession humaine s’est élancée, vers 11h, à partir du campus universitaire Targua Ouzemmour vers la cité CNS, à quelques dizaines de mètres du siège de la wilaya, en scandant à gorges déployées, «Imazighen, Assa Azekka tamazight thela thela» et en déployant des banderoles sur lesquelles on pouvait lire «Pour le respect des libertés démocratiques» ou bien «Tamazight langue nationale et officielle». Arrivée à la cité CNS, la foule a observé une minute de silence à la mémoire des martyrs de la cause Amazighe, avant qu’une gerbe de fleurs ne soit déposée au pied de la plaque commémorative érigée à la mémoire de deux jeunes de ladite cité, tombés en martyrs lors de événements sanglants de 2001. Prenant la parole, les animateurs du Mouvement Culturel Berbère ont, tour à tour, réitéré leurs revendications, à savoir l’officialisation de tamazight et le respect des libertés démocratiques.
La procession humaine s’est élancée, vers 11h, à partir du campus universitaire Targua Ouzemmour vers la cité CNS, à quelques dizaines de mètres du siège de la wilaya, en scandant à gorges déployées, «Imazighen, Assa Azekka tamazight thela thela» et en déployant des banderoles sur lesquelles on pouvait lire «Pour le respect des libertés démocratiques» ou bien «Tamazight langue nationale et officielle». Arrivée à la cité CNS, la foule a observé une minute de silence à la mémoire des martyrs de la cause Amazighe, avant qu’une gerbe de fleurs ne soit déposée au pied de la plaque commémorative érigée à la mémoire de deux jeunes de ladite cité, tombés en martyrs lors de événements sanglants de 2001. Prenant la parole, les animateurs du Mouvement Culturel Berbère ont, tour à tour, réitéré leurs revendications, à savoir l’officialisation de tamazight et le respect des libertés démocratiques.
«Notre combat va continuer, car nous
sommes, et nous l’avons prouvé aujourd’hui, solidaires et unis», a
déclaré Aziz Tari, ex-détenu du 1980, avant de dénoncer la répression de
la marche du MCB dans la wilaya de Tizi-Ouzou. «Nous n’allons pas
répondre à l’insulte qu’ils nous ont fait subir, car nous sommes dignes
et fiers», a-t-il enchaîné, en réaffirmant la détermination de tous les
militants de la cause Amazighe que le chemin à parcourir pour la
consécration de tamazight langue nationale et officielle reste long.
«Nous nous battrons pour notre langue », a-t-il lancé à la foule qui lui
répondait en chœur : «L’Algérie n’est pas arabe, corrigez l’histoire».
Aziz Tari s’est également félicité de la large mobilisation des citoyennes et citoyens de Béjaïa qui sont venus en masse prendre part à l’appel trans-partisan du MCB.
Aziz Tari s’est également félicité de la large mobilisation des citoyennes et citoyens de Béjaïa qui sont venus en masse prendre part à l’appel trans-partisan du MCB.
«Nous sommes là pour dire que la Kabylie
est unie et nous le resterons pour déjouer toutes les manœuvres»,
a-t-il dit. Un autre militant du MCB, Djamel Ikhloufi, a, quant à lui,
insisté sur le caractère trans-partisan de la marche d’hier, en
martelant devant des milliers de personnes que «tamazight, langue
nationale et officielle, nous unit». Il a souligné au passage :
«Qu’ils le veuillent ou pas, il viendra le jour où tamazight sera langue nationale et officielle». «Soyons vigilants et mobilisés, car nous avons beaucoup donné pour ce pays», a-t-il encore dit, en invitant la presse locale à venir assister à l’inauguration de la place «Saïd Mekbel», le 3 mai prochain, journée internationale de la liberté de la presse, car, selon lui, Mekbel appartient au peuple et non à l’administration. En cette occasion, le carrefour Deouadji a été baptisé «carrefour du 19 mai 1981».
Dans un communiqué diffusé, hier, les animateurs du MCB de Béjaïa ont énergiquement dénoncé «l’empêchement à Tizi-Ouzou de la manifestation qui devait se tenir dans un cadre unitaire, rassembleur et pacifique», estimant qu’il s’agissait d’un «acte grave portant atteinte au 20 avril, date historique et symbole du combat amazigh et des libertés démocratiques».
Les rédacteurs du communiqué imputent «l’entière responsabilité de cette agression au pouvoir», soulignant que «l’ensemble des militants de la cause Amazighe, toutes tendances confondues, a une large concertation pour dégager les voies et moyens à même d’imposer notre combat».
Il est à signaler que des affrontements entre des dizaines de jeunes et des policiers anti-émeute ont éclaté au terme de la manifestation d’hier.
La police a dû user de gaz lacrymogène pour disperser les manifestants et libérer la rue de la Liberté à la circulation.
«Qu’ils le veuillent ou pas, il viendra le jour où tamazight sera langue nationale et officielle». «Soyons vigilants et mobilisés, car nous avons beaucoup donné pour ce pays», a-t-il encore dit, en invitant la presse locale à venir assister à l’inauguration de la place «Saïd Mekbel», le 3 mai prochain, journée internationale de la liberté de la presse, car, selon lui, Mekbel appartient au peuple et non à l’administration. En cette occasion, le carrefour Deouadji a été baptisé «carrefour du 19 mai 1981».
Dans un communiqué diffusé, hier, les animateurs du MCB de Béjaïa ont énergiquement dénoncé «l’empêchement à Tizi-Ouzou de la manifestation qui devait se tenir dans un cadre unitaire, rassembleur et pacifique», estimant qu’il s’agissait d’un «acte grave portant atteinte au 20 avril, date historique et symbole du combat amazigh et des libertés démocratiques».
Les rédacteurs du communiqué imputent «l’entière responsabilité de cette agression au pouvoir», soulignant que «l’ensemble des militants de la cause Amazighe, toutes tendances confondues, a une large concertation pour dégager les voies et moyens à même d’imposer notre combat».
Il est à signaler que des affrontements entre des dizaines de jeunes et des policiers anti-émeute ont éclaté au terme de la manifestation d’hier.
La police a dû user de gaz lacrymogène pour disperser les manifestants et libérer la rue de la Liberté à la circulation.
Dalil Saïche
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تجاوزات في جامعة باب الزوار
دعا الاتحاد العام للطلبة الجزائريين رئيس جامعة باب الزوار للتدخل العاجل، بعد حدوث ممارسات غير قانونية بعد الانتخابات، التي جرت بجامعة هواري بومدين للعلوم والتكنولوجيا، لاختيار ممثلي الطلبة في مجلس الإدارة. وكشف، أمس، تقرير، تحصلت عليه الجزائر يتعلق بانتخابات ممثلي الطلبة في مجلس الإدارة، صادر عن الاتحاد العام للطلبة الجزائريين خلية جامعة باب الزوار، التي جرت في الجامعة يوم 14 مارس الماضي، وذلك بعدما تم ترشيح ممثلين عن طلبة الدكتوراه والماستر، مؤكدة انه لم يسمح لطلبة الليسانس بالتقدم بطلب ترشحهم رغم أنهم يمثلون أكثر من 75 بالمائة من طلبة الجامعة.Félicitations à Air Algérie
Apres le retour des lieux saints de la omra organisée par
l’agence Badr Travel basée à Belcourt (Alger), un groupe des hadjis de
la région de Tiaret, au nombre de cinquante adresse une lettre de
remerciements aux responsables de l’agence touristique et à l’ensemble
du collectif d’Air Algérie.
«Tout d’abord, nous tenons à vous féliciter pour
l’organisation de notre séjour, la ponctualité et le professionnalisme
de tout le monde, avec le reportage sur la préparation des pèlerins
durant lequel il a été expliqué, l’organisation du hadj et la remise du
carnet de voyage et des guides des mains du chef de la délégation.
Ceci nous a permis de passer un très agréable séjour de deux semaines en
terre sainte avec des transferts en bus climatisé, les visites
religieuses à Médine et la Mecque. Nous n’avons qu’à féliciter les
pilotes et les hôtesses de l’équipage du vol Air Algerie assurant les
grandes lignes, ce qui a rendu ce vol particulièrement agréable et rien à
dire de négatif, globalement, un constat exceptionnel avec des
prestations impeccables de la première minute du décollage à
l’atterrissage. Chapeau bas pour la compagnie aérienne Air Algérie».
Hamzaoui Benchohra
ACCIDENT DE LA CIRCULATION
Cinq blessés suite au renversement d’un bus
Lundi, 21 avril 2014 00:00
Un
bus assurant la liaison Annaba-Bouchegouf, s’est renversé hier, matin
au niveau de la commune d’El-Bouni, plus précisément, à proximité du
concessionnaire de voitures dudit lieu. L’accident serait dû à la
chaussée glissante provoquée par les premières chutes de pluies d’hier.
Le bus, à son bord une dizaine de passagers, a quitté la chaussée avant
de se renverser. Parmi les victimes figurent une femme enceinte et un
homme âgé, transférés aux urgences du CHU Ibn Rochd avec au moins trois
autres blessées. Les policiers arrivés sur le lieu ont ouvert une
enquête pour déterminer les circonstances exactes de l’accident.
Boufessioua Sofiane
ACCIDENT DE LA CIRCULATION
Cinq blessés suite au renversement d’un bus
Lundi, 21 avril 2014 00:00
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Cinq blessés suite au renversement d’un bus
Un bus assurant la liaison Annaba-Bouchegouf, s’est renversé hier, matin au niveau de la commune d’El-Bouni, plus précisément, à proximité du concessionnaire de voitures dudit lieu. L’accident serait dû à la chaussée glissante provoquée par les premières chutes de pluies d’hier. Le bus, à son bord une dizaine de passagers, a quitté la chaussée avant de se renverser. Parmi les victimes figurent une femme enceinte et un homme âgé, transférés aux urgences du CHU Ibn Rochd avec au moins trois autres blessées. Les policiers arrivés sur le lieu ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de l’accident.
Boufessioua Sofiane
95% des cas de cancer sont constatés chez les hommes
Parmis les cancers, le cancer bronchique a le triste
privilège d’être à la fois en constante augmentation et en première
position en termes de mortalité.
Cette évocation et mise en garde a été faite, hier, par
le Dr Ameur Soltane, chirurgien thoracique, en marge des deuxièmes
journées de formation postuniversitaire organisées à l’amphithéâtre de
l’ex-service ORL du CHU Mustapha-Pacha. Si les femmes sont relativement
épargnées par cette tumeur, 95% des cancers bronchi-ques sont constatés
chez les hommes. Comme la plupart des maladies, ce type de cancer est
étroitement lié au tabagisme. Les hommes abusent dans ce sens. Les
conséquences ne sont pas tolérables. En effet, le pronostic du cancer
bronchique reste redoutable malgré les évolutions thérapeutiques. Ceci
renforce la nécessité d’une prévention du tabagisme et d’une bonne
connaissance par les médecins de cette pathologie pour aider au mieux
les patients et leurs familles. Combien de personnes décèdent des suites
de cette maladie bronchique? Les statistiques font défaut. «Depuis
2002, aucune enquête sérieuse n’a été faite sur le terrain», déplore le
Dr Soltane. Il convient de rappeler que 2 500 à 3 500 nouveaux cas de
cancer des poumons sont enregistrés chaque année. Dans le même
contexte, le professeur M. Riquet, spécialiste en pneumologie
interventionnelle en thoracoscopie, a déclaré qu’un fumeur risque de
contracter le cancer bronchique même après avoir arrêté la cigarette. En
France, dit-il, «90% des patients opérés ont fumé un paquet pendant 20
ans ou un paquet pendant 10 ans». Mondialement connu, ce professeur
s’est dit favorable à une collaboration avec le CHU Mustapha-Bacha pour
la transplantation pulmonaire. L’Algérie peut ainsi bénéficier de
l’expérience française qui n’est pas des moindres. La présence du Pr
Riquet durant cette journée de formation postuniversitaire est saluée
par l’ensemble des médecins présents. Le professeur de renom dira qu il
recoit des médecins algeriens en France pour des formations en
transplantation pulmonaire et cardiaque. C’est le cas du Dr Achour
Karima, qui a opéré plusieurs fois dans son service de l’hôpital
Georges-Pompidou. Pour cette édition consacrée à la plèvre, les orateurs
ont mis l’accent sur les dangers de l amiante. En effet le professeur
Chaouch Hocine, organisateur de cette rencontre scientifique, estime
qu’une campagne de sensibilisation pour prévenir contre les risques de
l’amiante s’impose et devient une urgence vitale. De son côté le Dr
Ameur Soltane affirme que la lutte contre l’amiante est la priorité de
tout plan cancer. Pour cet éminent chirurgien, le cancer de la plèvre
plus connu sous l’appellation de MISOTHERA fait des ravages
actuellement, surtout qu’il se manifeste apres 30 années d’exposition
à l’amiante.
R.S
UV 20 ET CITÉ GERIC
Deux hommes font une chute de plus de 5 mètres
Lundi, 21 avril 2014 00:00
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Les éléments de la protection civile ont signalé hier deux chutes d’immeubles, la première à l’UV 20 et la seconde à la cité G2RIC de Zouaghi. Ainsi à la nouvelle ville Ali Mendjeli un homme âgé de 65 ans a fait une chute d’une hauteur de 5 m d’un immeuble de cet UV. Les pompiers alertés se sont portés sur les lieux pour prendre en charge le blessé et l’évacuer vers l’hôpital d’Ali Mendjeli dans un état jugé très grave. Dans la même soirée d’hier un autre homme âgé de 45 ans est tombé d’un immeuble de la Cité GERIC à Zouaghi. Les éléments de la protection civile l’ont conduit au CHU Benbadis. Signalons par ailleurs que 4 accidents de la route survenus ces dernières heures ont fait 11 blessés âgés de 1 à 71 ans pour ne citer que les plus graves pris en charge par les pompiers.
A.B
Bonjour,
Le site ELMIHWAR est en maintenance ...
Il sera à nouveau opérationnel prochainement !
Merci de votre compréhension.
-
CAMPAGNE D’ASSAINISSEMENT ET DE NETTOIEMENTLe constat d’échec
Lundi, 21 avril 2014 00:00
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Le constat d’échec
Peut-on parler de l’échec de l’opération relative au nettoiement et à l’assainissement de la ville de ses déchets ? Une question que l’on se pose légitimement, sans alarmisme aucun, suite à un constat sans appel : nos quartiers ne sont pas totalement nettoyés. C’est un spectacle ahurissant et écœurant qu’offrent aujourd’hui nos cités. Les points de ramassage de nos déchets ménagers ne sont toujours pas respectés. Nos ordures sont éparpillées dans l’anarchie totale. Il suffit de faire un tour à travers la ville pour se rendre compte de ce constat d’échec. Un échec que tout le monde partage, en particulier le citoyen. Sans lui, faut-il encore une fois le rappeler, toute initiative serait vouée à l’échec. Sans son adhésion à cette opération et à d’autres, s’inscrivant dans le même registre, le problème de la « saleté » de la ville reste entier. Pour reprendre les propos d’un universitaire, spécialiste dans la sociologie de la ville, ‘’le problème est dans les mentalités des gens qu’il faudra impérativement changer’’. Face à l’incivisme de certaines « personnes », il ne faut surtout pas s’attendre, a-t-il-tenu à préciser, à ce que les objectifs recherchés, par ce genre d’opération, soient effectivement concrétisés. A ces initiatives, il fallait songer, également, à un travail de sensibilisation et d’accompagnement de la collectivité qui s’étalera sur plusieurs années, ajouta notre interlocuteur. Il ne s’agit nullement pas, poursuit-il, d’un « miracle », mais plutôt d’une vérité devant laquelle il faudra, tôt ou tard, s’incliner. C’est de cette manière, et uniquement de cette manière, qu’on pourra aspirer voir, un jour, nos quartiers et nos différentes artères propres. Un long chemin à parcourir avant d’atteindre ce résultat, conclut-il. Et pour rejoindre toujours les arguments de ce sociologue, il est, en effet, nécessaire de responsabiliser toutes les parties concernées quant à l’importance d’une opération, dont les retombées sur d’autres secteurs d’activité ne sont plus à démontrer. Si les touristes étrangers ont opté pour d’autres destinations, c’est aussi à cause de l’insalubrité de nos villes. Et sur ce plan beaucoup reste à faire. Les élus locaux ont certainement du pain sur la planche.
M. Kherrab
-
La France du général de Gaulle est tombée dans les mains du «parti américain» et du lobby sioniste
La France du général de Gaulle, la France anti-américaine
qui, du Québec au Cambodge, s’opposait à l’impérialisme yankee, la
France qui disait «non» à l’Otan, est tombée dans les mains du « parti
américain » et du lobby sioniste, celui du Crif – cette version de
l’Aipac à l’usage de l’Hexagone – et des BHL et autres Fabius.
Anatomie du «Parti américain» en France
Le «Parti américain» c’est ainsi que Jean Thiriart désignait dès 1962
les partis du Système dans toute l’Europe, de l’extrême-gauche à
l’extrême-droite atlantistes, toutes tendances confondues (Thiriart y
ajoutait comme «ennemis de l’Europe» les «petits-nationalismes» qui
assurent la division face à l’impérialisme). Et que le PCN les désigne
plus que jamais. Ce système qui, depuis un certain 6 juin 1944, assure
la colonisation de l’Europe. Qui n’est pas une puissance impérialiste –
comme certains à Paris la rêvent encore – mais bien la première et la
plus riche des colonies américaines. Le «Parti américain» c’est ainsi
que le général de Gaulle et les Gaullistes historiques nommaient à la
fois la sociale-démocratie française et leurs rivaux de droite, les
Giscards et Lecanuet. Cette droite atlantiste nostalgique de la sujetion
à l’OTAN. Ou encore cette démocratie-chrétienne tout aussi atlantiste.
L’ironie aura été que c’est de l’intérieur même du parti gaulliste,
tombé en décadence idéologique, qu’est venue la reprise de contrôle
politico-militaire de la France par les USA : Sarkozy et ses néocons à
passeports français, avec l’incapacitant et vassalisant retour dans
l’Otan.
Le rôle de l’Otan et la sujetion de l’UE
Car l’Otan ce n’est pas aujourd’hui que l’URSS n’existent plus, pas plus
qu’hier, le «bouclier de l’Europe» (sic). Mais son harnais. Un outil
politique, militaire et diplomatique de vassalisation et de contrôle.
Qui assure aux USA à la fois le dédoublement de ses moyens militaires –
l’OTAN c’est l’infanterie coloniale du Pentagone -, le contrôle de ses
industries d’armement - clé du développement industriel et scientifique
-, un marché continental pour le lobby militaro-industriel US, et enfin
la sujetion de la diplomatie et de la politique étrangère de l’UE à
celles de Washington. Et accessoirement à celles de son allié et
complice de Tel-Aviv. Le péché originel de l’UE, cette pseudo «Europe»
croupion – qui est tout sauf l’Europe -, est précisément la sujetion,
inscrite dès le Traité de Maastricht, de sa défense et de sa politique
extérieure à l’OTAN et à son hégémon américain. Et c’est cette sujétion
qui conduit à l’échec de l’UE. Qui l’empêche de devenir Etat et Empire
transnational. Et qui explique l’échec annoncé de l’Euro. Car la monnaie
unique et le marché unique doivent pour aboutir déboucher sur l’Etat
fédéral, voire unitaire (relire Thiriart). Faute d’assurer les pouvoirs
régaliens de défense et de désignation de l’ennemi (relire Karl
Schmitt), l’UE est incapable d’assumer durablement celui de battre
monnaie.
De Mitterrand à Hollande :
Le «Parti américain» c’est aussi évidemment la sociale-démocratie – qui
n’a plus rien de «socialiste» depuis août 1914, depuis son ralliement
aux nationalismes petit-bourgeois et au parlementarisme bourgeois –
française et européenne. Celle des Mitterrand, Jospin, Hollande et
autres Valls – la gauche ouvertement américaine, en pamoison devant
Obama – ou Fabius.
Cette sociale-démocratie française et européenne qui a été de toutes les
aventures coloniales à l’extérieur et a soutenu toutes les sujétions
coloniales à l’intérieur. La France otanisée de Hollande, chien courant
de l’impérialisme américain au Sahel, en Afrique centrale ou au
Moyen-Orient, acharnée à abattre la Syrie, est l’héritière du Mitterrand
ministre de la IVe République qui guillotinait les militants du FLN. Ou
du Mitterrand de la Ve République qui engagea la France dans la
première guerre du Golfe – celle de Bush père – et dans le démantèlement
des seconde (Tito) et troisième Yougoslavie (Milosevic), contre les
alliés de la France qu’étaient Belgrade et Bagdad. Dans ces conflits
voulus par Washington que le grand géopoliticien autrichien Von Lohausen
(1) qualifiait fort justement de «guerres contre la Grande-Europe» (2).
«France - Etats-Unis, l’axe de guerre»
(dixit Libération)
L’actualité de la guerre contre la Syrie – car cette guerre est menée
par les USA, l’OTAN et leurs alliés du Golfe depuis les premiers jours
de 2011 et les frappes envisagées n’en seront que l’escalade – révèlent
la tragique sujétion de Paris à Washington. Voilà donc la France rebelle
du général de Gaulle devenue le plus fidèle caniche de l’impérialisme
américain. Ironie supplémentaire, au moment où Londres sous la pression
de la rue doit s’en éloigner … François Hollande a donc réaffirmé ce
vendredi 30 août sa «volonté (sic) d'agir militairement en Syrie au côté
des Américains» en dépit du "no" britannique, assurant «partager avec
Barack Obama la même certitude sur la responsabilité indubitable du
régime syrien dans l'attaque chimique du 21 août».
Le refus de la Grande-Bretagne d'intervenir en Syrie a placé la France
en position inédite d'allié principal des Etats-Unis. Mais il n'a rien
changé à la position de Paris qui souhaite une action "proportionnée et
ferme" contre Damas, a déclaré le président français dans un entretien
au journal Le Monde, le moniteur de l’américanisme en France. «Chaque
pays est souverain (resic) pour participer ou non à une opération. Cela
vaut pour le Royaume-Uni comme pour la France», a ajouté Hollande. Les
dirigeants français et américain se sont une nouvelle fois et longuement
entretenus vendredi de la réponse à apporter au soi-disant «massacre
chimique commis le 21 août dans la banlieue de Damas». Rappelant «la
grande détermination de la France à réagir et à ne pas laisser ces
crimes impunis», le président français «a senti la même détermination du
côté d'Obama», a confié son entourage. Obama joue habilement à la fois
de l’arrogance française due à la nostalgie de l’empire français et des
problèmes psychologiques de Hollande.
«L'alliance offensive américano-française constitue une situation
inédite dans la période contemporaine», analyse pour l’AFP Bruno
Tertrais, de la Fondation pour la recherche stratégique. «Américains et
Français ont déjà travaillé ensemble en première ligne dans la gestion
des crises comme par exemple au Liban dans les années 80 et 90, mais je
n'ai pas le souvenir d'une coalition offensive construite autour des
Etats-Unis et de la France sans la Grande-Bretagne», analyse le
chercheur.
Dix ans apres l'irak, renversement
complet de situation :
Voilà la France, jadis rebelle, qui porte les valises de Washington
«Ironie de l'histoire, cet engagement de la France aux côtés des
Américains intervient dix ans après la crise irakienne qui avait
provoqué une tension sans précédent entre Washington et Paris,
flamboyant opposant à l'invasion américano-britannique en Irak»,
commente l’AFP. Cette crise irakienne qui a vu précisément rougeoyer les
dernières braises de la flamboyante politique gaulliste des Années 60.
«On est dans la situation exactement inverse de 2003», souligne M.
Tertrais. «Les Etats-Unis n'ont besoin de personne sur le plan
militaire. Mais il est extrêmement important pour eux de ne pas être
seuls sur le plan politique», estime-t-il, ajoutant que «Français comme
Américains mettront aussi en avant le soutien de pays arabes à l'action,
car chacun veut éviter de donner l'impression qu'il s'agit d'une
intervention de l'Occident contre la Syrie». «La coalition s'appuiera
sur la Ligue arabe, qui a condamné le crime et a alerté la communauté
internationale», a précisé d'ailleurs M. Hollande. Une Ligue arabe
entièrement aux mains de Washington, Ryad et Doha. Et dont les figures
anti-occidentales ou laïques – Saddam Hussein, Kadhafi, Assad (expulsé),
les dernières figures du Nassérisme moribond comme en Egypte ou au
Yemen … — ont toutes été éliminées. Reste à savoir quel sera
l'engagement concret de la France et quels moyens elle mettra à la
disposition des Etats-Unis. Une source française proche du dossier,
citée par l’AFP, reconnaît que la non-participation des Britanniques
"obligera" la France, qui a la capacité de tirer des missiles de
croisière avec des avions de chasse ou des sous-marins, "à repenser sa
planification opérationnelle".
Un débat virtuel au Parlement francais
Si le Premier ministre britannique Cameron a dû s’incliner devant un
Parlement mis sous pression par une opinion publique montée contre la
guerre (3), Hollande lui s’apprête à jouer une comédie de débat devant
une assemblée nationale française impuissante. Si François Hollande
«exclut toute intervention avant le départ de Syrie des inspecteurs
onusiens samedi», il ne l'exclut «pas avant la réunion mercredi du
Parlement pour débattre de cette crise». Le débat - sans vote - pourrait
être houleux, «des opposants à toute intervention siégeant à la fois
sur les bancs de la gauche et de l'opposition» écrit l’AFP. «La France
ne peut agir à la légère et à la remorque de quiconque», a ainsi exhorté
l'ancien Premier ministre UMP François Fillon (qui oublie la sujétion
de Sarkozy lors de l’agression contre la Libye). A cela s'ajoute une
opinion publique très partagée sur une telle intervention française à en
croire deux récents sondages.
La politique de la France alignée
sur Washington
Sur les buts de guerre, la ligne est à Paris totalement décalquée sur
celle de Washington : «il ne s'agit pas de renverser le régime, mais de
sanctionner l'usage d'armes chimiques», une "ligne rouge" définie par le
président américain Barack Obama il y a un an, et "franchie
indéniablement" selon Hollande avec l'attaque du 21 août. Le président
français a estimé «qu'un coup d'arrêt doit être porté à un régime qui
commet l'irréparable sur sa population» (sic).
Les consequences géopolitiques :
La fin de l’alternative de «l’axe Paris-Moscou»
Tout cela à des conséquences géopolitiques importantes. C’est la fin -
définitive ou provisoire à long terme – de ce concept novateur qu’était
l‘«Axe Paris-Moscou». Un concept que j’avais été le premier à définir
dès les derniers jours de 1992 (4) pour le PCN, réfléchissant à une
alternative à la ligne de notre «Ecole géopolitique euro-soviétique»
(5), suite à l’effondrement de l’URSS. Ceci de nombreuses années avant
la reprise du concept par de Grossouvre notamment. Et qui offrait une
alternative à la construction d’une Europe véritable et indépendante.
(Suite de la page 4 )
J’ai souvent insisté dès l’avènement des Années Sarkozy, qui annonçait
clairement ses options atlantistes et philo-américaines, sur le fait que
la réintégration politico-militaire de la France dans l’OTAN mettait un
terme à la validité de ce concept. Sans politique réelle gaulliste –
hors de l’OTAN, contre Washington - plus d’Axe Paris-Moscou. Je suis
agacé de lire encore sous la plume d’amateurs sans culture historique ou
géopolitique la mise en avant de ce concept des années après la
trahison fondamentale de Sarkozy. Je suis encore plus agacé de lire en
ce moment des articles délirants sur une supposée «défaite des USA». Ou
sur l’échec de leurs projets du «Grand Moyen-Orient» (6). C’est une
lecture trop rapide, trop superficielle et totalement inexacte des
événements. De la propagande de guerre mais pas de l’analyse
géopolitique ! J’en dirai quelques mots car ce n’est pas mon sujet. Le
but des USA c’est depuis le début du nouveau siècle un préalable : le
remodelage du «Grand Moyen-Orient» - cette zone géopolitique
opérationnelle qui comprend Afrique du Nord, Proche-Orient, Sahel,
Afrique centrale et Asie centrale – par l’élimination de l’adversaire
principal de Washington et Tel-Aviv : les régimes nationalistes
révolutionnaires arabes. Nassérisme, Ba’athismes syrien et irakien,
socialisme jamahiryen de Kadhafi (7). Qu’en reste-t-il ? Irak et Libye
livrés au chaos. Syrie en guerre et détruite. Le reste, le sort des pays
de la zone, fragmentés et dévastés importe peu à Washington. L’horizon
ultime est la somalisation (8). Le but réel, final, de ce vaste plan
pour un « XXIe siècle américain» est la mise hors jeu de la Russie et de
la Chine. Avec l’alignement total de Paris sur Washington, voilà à la
fois le principal obstacle dans l’UE éliminé et l’alternative de l’Axe
Paris-Moscou étouffé.
Faut-il baisser les bras pour autant ?
«Là où il y a une volonté il y a un chemin» disait Guillaume d’Orange
(qui assura l’indépendance des Pays-Bas). Et le grand Nietzsche ajoutait
«l’Europe se fera au bord du gouffre». Ce gouffre est là devant nous,
béant, menaçant d’engloutir non seulement les Européens de Vladivostok à
Reykjavik, mais aussi nos frères arabes et africains. Et la situation
impose de ne pas renoncer, de ne pas subir. Ne pas subir aujourd’hui,
c’est défendre résolument les pays de la ligne de Front : Damas et
Moscou. !
Luc Michel
(1) Auteur du livre fondamental de géopolitique sur la Grande-Europe
«Mut zur Macht. Denken in Kontinenten» (Penser en continents), Jordis
Von Lohausen, général et géopolitologue autrichien (1907-2002), est un
ancien membre de l’Etat major du Maréchal Rommel, proche des patriotes
anti-nazis du 20 juillet 1944. Il s’inscrit comme moi dans la suite des
thèses géopolitiques de Jean Thiriart sur « l’Europe de Vladivostok à
Dublin ». Il a écrit des pages élogieuses concernant le projet européen
de Thiriart des Années 1960-75. Lohausen parle notamment de « l’Europe
de Madrid à Vladivostok ». Dans l’exemplaire offert par Lohausen à
Thiriart en 1983 (et qui m’a été légué avec sa bibliothèque en 1999)
figure la dédicace suivante : « En respectueux hommage à un grand
Européen ».
(2) Avec le concept de « Grande-Europe », nous concevons précisément la
Russie et l’Union européenne comme les deux moitiés de la Grande-Europe,
l’Europe-continent de Vladivostok à Reyjavik. Dans la ligne des travaux
d’avant-garde de notre Ecole « euro-soviétique » de géopolitique dans
les Années 1983-91.
Deux visions du futur de l’Europe se font face. La petite-europe
croupion de Bruxelles, l’UE, la première des colonies yankee, soumise à
Washington depuis plus de six décennies via l’OTAN. De l’autre, la
constitution d’un ensemble géopolitique et géo-économique eurasiatique
autour de Moscou. Le seul état européen véritablement indépendant et
libre, car en géopolitique seule la dimension confère la puissance, et
la puissance garantit la liberté. Demain Moscou sera le Piémont de la
future Grande-Europe, la Quatrième Rome !
J’ai théorisé le concept géopolitique fondamental de « Seconde Europe » à
propos de la Russie régénérée de Poutine dans notre revue francophone
LA CAUSE DES PEUPLES (Bruxelles-Paris, n° 31), dès décembre 2006.
(*) Texte disponible sur le site du PCN-NCP, sous le titre « Pourquoi
nous combattons. Contre Washington, l’OTAN et la fausse « Europe »
atlantiste de bruxelles : avec Moscou pour une autre Europe, grande et
libre, de Vladivostok à Reykjavik ! » :
Sur http://www.pcn-ncp.com/why/pourquoi1.htm
Ce concept est une révision actualisée des thèses de notre « Ecole
euro-soviétique » de géopolitique (1983-1992, d’où est aussi issu après
1991 le « néo-Eurasisme russe). En 1983, j’écrivais déjà dans la revue
CONSCIENCE EUROPEENNE « La Russie c’est aussi l’Europe» … L’Europe ne
se limite pas à l’Union européenne ! Ni même aux états qui lui sont
maintenant associés, comme la Moldavie ou la Serbie. La Russie, qui a
retrouvé son indépendance avec Vladimir Poutine est aussi l’Europe ! Une
SECONDE EUROPE, une AUTRE EUROPE eurasiatique se dresse désormais à
Moscou face à l’Europe atlantiste de Bruxelles.
Une seconde Europe, qui attire à elle plusieurs anciennes républiques
soviétiques. La Russie a en effet mis en place un processus agrégateur
semblable à celui de l’Union Européenne, avec des unions autour des
organismes transnationaux qui se constituent autour de Moscou :
Communauté économique eurasiatique (CEEA : Biélorussie, Kazakhstan,
Kirghizie, Ouzbékistan, Russie et Tadjikistan), Organisation du Traité
de sécurité collective (OTSC de la Communauté des Etats indépendants,
alliance militaire du type de l'Organisation du Traité de Varsovie),
Organisation de coopération de Shanghai (OCS : Russie, Kazakhstan,
Kirghizie, Chine, Tadjikistan et Ouzbékistan. Le Pakistan, l'Iran,
l'Inde et la Mongolie y ont le statut d'observateur, la Chine et la
Russie y jouent des rôles clés), Espace économique unifié (EEU : Russie,
Biélorussie, Kazakhstan, Kirghizie et Tadjikistan). Le puissant soleil
noir de la Grande-Europe, celui de l’Etat continental et de
l’Europe-puissance (ce que ne sera jamais l’UE !), se lève à l’Est ! Et
c’est pourquoi nous écrivons depuis 40 ans « la Grande-Europe de
Vladivostok à Reykjavik » …
(3) Cfr. PCN-TV / LONDRES : MANIF CONTRE LA GUERRE DE L’OTAN EN SYRIE,
sur
http://www.syria-committees.org/pcn-tv-londres-manif-contre-la-guerre-de-lotan-en-syrie/
et l’opinion europeenne bascule contre la sale guerre de l’otan contre
la syrie sur,
http://www.lucmichel.net/2013/08/30/luc-michel-focus-lopinion-europeenne-bascule-contre-la-sale-guerre-de-lotan-contre-la-syrie/
(4)
Ce concept qui a été repris dans de très nombreux milieux influents,
celui de l’axe Paris-Moscou ou Paris-Berlin-Moscou, a été développé pour
la première fois – à partir de mes textes et éditos de fin 1992 et
1993 - à propos de THIRIART et du PCN dans un livre qui a été consacré
en 1993 au
NATIONALISME RADICAL EN FRANCE par Philippe HERTENS. Le chapitre qui
est consacré au PCN s’intitule « Paris-Moscou, les nationaux communistes
» :
Cfr. Philippe HERTENS, « Paris-Moscou : Les nationaux communistes », in
LE NATIONALISME RADICAL EN FRANCE, Ed. de Magrie, Paris, 1994
Le thème de l’axe Paris-Moscou a été popularisé pour la première fois
hors de la presse du PCN dans ce livre. C’est un livre de 1993. Il a
aussi été développé aussi par Henri DE GROSSOUVRE, mais dix ans après.
En 2006, avec le régime de Sarkozy et la réintégration militaire de la
France dans l’OTAN, j’ai développé un nouveau concept, celui de «
Seconde Europe », destiné à fournir une alternative au concept devenu
obsolète d’ « Axe Paris-Moscou ». Cfr. NOTE 2 supra.
(5) Au début des Années 80, THIRIART fonde avec José QUADRADO COSTA et
moi-même l'Ecole de géopolitique « euro-soviétique » où il prône une
unification continentale de Vladivostok à Reykjavik sur le thème de «
l'Empire euro-soviétique » et sur base de critères géopolitiques.
Théoricien de l'Europe unitaire, THIRIART a été largement étudié aux
Etats-Unis, où des institutions universitaires comme le « Hoover
Institute » ou l' « Ambassador College » (Pasadena) disposent de fonds
d'archives le concernant. Ce sont ses thèses antiaméricaines «
retournées » que reprend largement BRZEZINSKI, définissant au bénéfice
des USA ce que THIRIART concevait pour l'unité continentale eurasienne.
Sur l’Ecole de géopolitique euro-soviétique, cfr. :
(* ) José CUADRADO COSTA, Luc MICHEL et Jean THIRIART, TEXTES
EURO-SOVIETIQUES, Ed. MACHIAVEL, 2 vol. Charleroi, 1984 ; Ce recueil de
textes fut édité en langues française, néerlandaise, espagnole,
italienne, anglaise et russe.
Sur les thèses géopolitiques de Jean Thiriart, Cfr. :
(*) Luc MICHEL, CONCEPTIONS GEOPOLITIQUES DE JEAN THIRIART : LE
THEORICIEN DE LA NOUVELLE ROME, Conférence donnée pour la première fois à
Bruxelles le 19 septembre 2003, dans le cadre du CYCLE DE CONFERENCES «
JEAN THIRIART : L'HOMME, LE MILITANT ET L'œuvre », organisé par l' «
Institut d'Etudes Jean THIRIART » et l' « Ecole des Cadres Jean THIRIART
» (Départements de l'Asbl « Association Transnationale des Amis de Jean
THIRIART »),
A consulter sur :
http://www.pcn-ncp.com/Institut-Jean-THIRIART/cf/cf01.htm
(6) Sur le projet US du « Grand Moyen Orient », Cfr, :
Luc MICHEL, GEOPOLITIQUE / YEMEN : LE PROJET AMERICAIN DU « GRAND
MOYEN-ORIENT » EN ACTION …
2e réédition sur
http://www.lucmichel.net/2013/07/07/luc-michel-focus-geopolitique-yemen-le-projet-americain-du-grand-moyen-orient-en-action/
(7) Cfr. Luc MICHEL, L'AGRESSION AMERICANO-SIONISTE EST UNE GUERRE
IDEOLOGIQUE CONTRE LE NATIONALISME ARABE : APRES BAGDAD, DAMAS ET
TRIPOLI SONT EN LIGNE DE MIRE ! (2003)
Sur : http://www.pcn-ncp.com/editos/fr/ed-031007.htm
(8) Sur le concept fondamental de « Somalisation », Cfr. :
(*) Luc MICHEL / FOCUS / GEOPOLITIQUE : SOMALIE 2013, NOUVELLES DU
LABORATOIRE DU NOUVEL ORDRE AMERICAIN EN AFRIQUE ET AU « GRAND
MOYEN-ORIENT »,
sur
http://www.lucmichel.net/2013/03/19/luc-michel-focus-geopolitique-somalie-2013-nouvelles-du-laboratoire-du-nouvel-ordre-americain-en-afrique-et-au-grand-moyen-orient/
(*)
Luc MICHEL / FOCUS / GEOPOLITIQUE / SCENARIO SOMALIEN POUR LE YEMEN ?
http://www.lucmichel.net/2013/07/08/luc-michel-focus-geopolitique-scenario-somalien-pour-le-yemen/
سيدي الهواري .. الحي الذاكرة يحتضر |
الأحد, 20 أبريل 2014 18:38 |
أطلق
رئيس جمعية “ صحة سيدي الهواري “ الدكتور كمال بريكسي صرخة إنذار ونداء
استغاثة أمام “حالة الإهمال الكارثية “التي يوجد عليها هذا الحي الأسطوري
لمدينة وهران.
واعتبر
هذا المسؤول الذي يرأس إحدى أنشط الجمعيات المحلية أن “ المحافظة على هذا
الحي التاريخي القلب النابض لعاصمة الغرب ينبغي أن تكون أولوية والشغل
الشاغل للسلطات العمومية” . وقال في هذا الصدد “ ينبغي أن تكون المحافظة
على المركز التاريخي والثقافي والديني لوهران والمنطقة برمتها أولوية
وضرورة لأن هذه المنطقة تحتوي على ذاكرة الغرب والجزائر بصفة عامة” . “إننا
نجد فيه إلى يومنا هذا آثارا تعود إلى فترة ما قبل التاريخ مرورا بجميع
الحضارات” يصرح كمال بريكسي في حوار مع “وأج” .ويضم هذا الموقع الذي
يعتبر النواة الرئيسية لمدينة وهران العديد من المعالم الأثرية التي تجلب
السياح منها 70 آثارا غير مصنف و 14 آخر مصنفا وطنيا تشهد على فترات
تاريخية مختلفة مرت بها عاصمة غرب الجزائر . غير أن الوضع الحالي لهذه
المعالم الأثرية التي تعود الى القرن 19 مؤسف للغاية، حيث صارت تنهار أو
توشك على السقوط في أي وقت، ومنها مستشفى بودانس الذي هجر تماما وتعرض
للنهب و ساحة اللؤلؤة (ساحة بلانكا سابقا ) التي منها بدأ تشييد سيدي
الهواري والتي توجد في حالة يرثى لها كما أشير إليه.” إنه أمر محزن حقا،
إننا نستقبل الوفود الأجنبية على مدار السنة و يسألوننا لماذا تم إهمال
هذه المآثر ونحن لا نعرف ماذا نقول لهم “ يفيد الدكتور بريكسي. وبموقع
“سكاليرا” أول حي في وهران - بني في عام 1509- لم ينج سوى عدد قليل من
المنازل أمام عمليات الهدم التي جرت في السبعينيات و الثمانينات. كما أوشك
الدرب الذي شيد في عهد الباي محمد الكبير على الاندثار التام، إنها صروح
كاملة من التاريخ التي تندثر في ظل اللامبالاة “ يستطرد متأسفا . لقد هجر
السكان سيدي الهواري واستقروا في أماكن أخرى بأحياء “مراقد” لا يوجد
بها نبض الحياة، إنهم يشعرون كأنهم انقطعوا عن جذورهم ولا يقدرون على
استعادة بمواقع سكناهم الجديدة قيم التضامن والأخوة والتكافل التي تعودت
عليها العائلات الوهرانية . وبشارع ستالينغراد أفرغت عمارات بأكملها من
سكانها وأغلقت أبوابها، كما تزايدت الانزلاقات الأرضية مثلما هو الحال
بشارع الحدائق المغلق أمام حركة المرور منذ أكثر من عامين . وبدأت الأضرار
الناجمة عن مجارى المياه الجوفية التي تعبر أسفل المدينة مثل وادي روينة
ووادي رحي تظهر على السطح على مرآى العين . إنه وضع غير مقبول يقول الدكتور
بريكسي لافتا الى أنه على السلطات بولاية وهران أن تعي تماما هذا الوضع.
“التصريحات موجودة ولكن هذه الإرادة السياسة يجب أن تتبع بوضع أدوات عملية
للحفاظ على سيدي الهواري “ وفقا لذات المتحدث، داعيا إلى إنشاء “خلية
أزمة” لمناقشة الوضع وإيجاد الحلول المناسبة له. “ علينا إنشاء هيئة خاصة
بوسائل استثنائية للحفاظ على ما تبقى من الحي واستعادة ما يمكن ترميمه ـ
يضيف بريكسي الذي يرى “حتمية “ إشراك الجميع بما في ذلك السلطات المحلية
والجمعيات ولجان الأحياء والجامعيين والمؤرخين وحتى المواطنين. “ إن إرادة
المواطنة موجودة، فالجميع يريد إنقاذ سيدي الهواري” كما قال. ومن جهته
أشار السيد حواس بلمالوفي نائب رئيس جمعية صحة سيدي الهواري ومدير المدرسة
الورشة لذات الجمعية إلى الحالة المزرية لبعض المواقع . وأفاد بهذا الخصوص “
توجد مباني رائعة يمكن أن تكون وجهات سياحية بامتياز غير أنها في حالة
يرثى لها كما هو الحال بالنسبة لقصر العريشة الذي عاش فيه الشاب الأمير
عبد القادر لمدة أربع سنوات مع والده الحاج محي الدين أو مسجد سيدي محمد
الكبير الذي تعتبر مئذنته معلما مصنفا والذي تشوبه شقوق باتساع 30
سنتمترا”. وقد أبرز نفس المصدر الدور الذي تلعبه الجمعية في مجال تربية
الشباب في كل ما له صلة بالتراث والحفاظ عليه . “إن الشباب يشعرون بالغيرة
على تراثهم إنهم يتوقون لمعرفة المزيد عن ثقافتهم وهويتهم، وهذا الوعي في
حد ذاته خطوة نحو الحفاظ وحماية هذا التراث “ كما أضاف . وضمن هذا
المنظور تم إنشاء المدرسة الورشة المخصصة للتكوين في المهن المتصلة بالتراث
في عام 2003 من قبل الجمعية صحة سيدي الهواري وتقع بقلب الحي التاريخي
سيدي الهواري. وتتعلق المهن التي يتم تعليمها بهذه المدرسة الورشة التي تم
اعتمادها عام 2011 بالبناء التقليدي ونحت الحجر والحدادة والنجارة وبناء
الهياكل . “وتم تكوين ما يقارب 500 شاب في هذه المدرسة في هذه الحرف، حيث
تم توظيف حوالي نصفهم من قبل المؤسسات المكلفة بإعادة تأهيل البناء القديم
“ بوهران يقول بافتخار ذات المسؤول. “إننا نقوم بتكوين شباب الشوارع
والشباب المستبعد من المنظومة التربوية وقد أنجز تلاميذنا مسارا
إيجابيا للغاية للوصول إلى إدماجهم مهنيا، انه انتصار كبير بالنسبة لنا “
كما أضاف.
ق.ث/وأج
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