تشييد أكواخ قصديرية بقلب المدينة الجديدة علي منجلي
تشهد المدينة الجديدة علي منجلي بولاية
قسنطينة انتشارا كبيرا للتجارة الفوضوية التي لم تعد تمارس على الأرصفة فقط
،بل داخل أكواخ قصديرية أنشئت عبر مختلف الأحياء الجديدة ما شوه المنظر
العام وجعل الوحدات الجوارية لا تختلف في ملامحها عن الأحياء القصديرية.
حيث يصدم أي زائر للوحدات الجوارية على اختلاف مواقعها سيما التي تم
تعميرها في السنتين الأخيرتين، بمشاهد الطاولات المنتشرة عبر الطرقات وفي
المداخل على وجه الخصوص، في مشهد يكاد يتطابق مع ما نراه بأحياء دقسي واد
الحد و القماص وغيرها من بؤر التجارة الفوضوية بقسنطينة، وبنفس تفاصيل
العشوائية والضوضاء التي تعايش معها المواطنون في أحيائهم الأصلية و
لاحقتهم حيث رحلوا بمختلف الأحياء الجديدة، ما أغرق الوحدات الجوارية في
المزابل وخلف مظاهر مشينة. وهي ظاهرة فرضها انعدام نشاط تجارية
بالوحدات الجوارية رقم 14 و 17 و18 وَ19 كون المحلات التجارية الواقعة أسفل
العمارات لم تستغل بعد لعزوف التجار عن العمل بأحياء لا تزال جديدة، لكن
ومع مرور الوقت أخذ الأمر منحى أكثر تعقيدا كون التجارة الفوضوية عادة ما
يصعب التحكم فيها وإزالتها تتطلب تقديم البديل. وهو ما يعني بأن مشاريع
الأسواق الجوارية لن تسع كل تلك الأعداد من الشباب القادمين من مختلف
الأحياء والذين أكد عدد منهم أنهم قد قاموا بمحاولات تسجيل لدى مصالح بلدية
قسنطينة للاستفادة من محلات رفضت كونهم لا يقطنون علي منجلي، ما يعني بأن
تلك الأسواق لن تحل مشكلة التجارة الموازية إلا جزئيا، وربما تجد البلدية
نفسها في مواجهة احتجاجات تعيدها إلى سيناريو إزالة السوق الفوضوية التي
نشأت بقلب المدينة عند بداية تعميرها، كون معظم من إستثنيوا من مشروع دقسي
ومن طردوا من مختلف الأحياء لجأوا إلى علي منجلي اعتبارا من كونها المدينة
الأكبر ديموغرافيا. ولا يتوقف الأمر بعلي منجلي عند تلك الطاولات التي
تعرض عليها مختلف السلع وتختفي عند مغادرة البائع ،إنما أصبحت تعرف بظاهرة
أكثر سواء وهي بناء ما يشبه الأكواخ القصديرية في أركان مختلفة، وفي زوايا
تسمح بذلك بواسطة الأخشاب والقضبان الحديدية ومكونات أخرى من الصفيح
والبلاستيك وحتى الآجر والطوب، لخلق حيز تجاري يسمح بممارسة النشاط بشكل
دائم دون الحاجة إلى وضع طاولة. وهو ما لاحظناه بالوحدة الجوارية رقم 14
خصوصا، أين تنتشر العشرات من تلك الأكواخ المسماة بـ"البرارك"، كبديل عن
انعدام تام للتجارة بالحي ،وهو وضع مشابه لما وجدناه بالوحدة الجوارية
رقم17 وكذلك 18 و19 ،لكن بدرجات أقل كون الوحدة الجوارية رقم14 تشهد وضعا
أمنيا هشا سمح بتزايد حجم الظاهرة، تحاشيا لتأزيم الوضع بحي يكفي أبسط سبب
لتحريكه. وقد اعتبر السكان التجارة الفوضوية في تلك الأسواق، التي نجدها
بمداخل بعض الأحياء، أو الممارسة داخل الأكواخ القصديرية الحل الوحيد
لحالة من الغياب التام لأدنى مرافق التسوق بتلك الأحياء المعزولة ، حيث
أكد لنا مواطنون أن التنقل من إحيائهم إلى أقرب وحدة جوارية لاقتناء كيس
حليب أو خبز يتطلب دفع مبلغ كبير لصاحب سيارة فرود لنقص وسائل التنقل،
معتبرين التجارة الفوضوية الحل الأنسب مؤقتا، لكن ما أريد له أن يكون مؤقتا
أصبح يشكل مظهرا جديدا من مظاهر التدهور بمدينة يقال عنها أنها جديدة، و
إلى درجة يصعب معها التحكم في الأمر حتى بعد فتح تلك الأسواق. وقد تضطر
السلطات إلى برمجة أسواق أخرى لامتصاص هذا الكم الكبير من الباعة
الفوضويين والتخلص من فطريات نبتت داخل أحياء جديدة، أريد لها أن تكون
نموذجية من حيث التهيئة والمساحات الخضراء وتوفر فضاءات للعب، لكنها أصبحت
نسخة مطابقة للأصل مع أحياء هشة اعتقدت السلطات أنها قد تخلصت منها بتلك
البرامج السكنية الضخمة. مصدر من بلدية الخروب أفاد أن الظاهرة مقلقة
،لكنها أمر واقع فرضه فراغ في الفضاءات التجارية، وأشار أنه وفي حال تسليم
محلات الأسواق الشبانية ستتم الإزالة وتطهير الوسط الحضري من الظاهرة.
للإشارة فإن التجارة الفوضوية بعلي منجلي لا تقتصر على الأحياء الجديدة فقط
،فوسط المدينة تنتشر به الكثير من طاولات بيع الخضر والفواكه في نقاط
متعددة رغم توفر الحيز على مرافق تسوق أصبحت وجهة لمواطنين من مدن أخرى في
تراب الولاية وحتى ولايات مجاورة.
نرجس.ك * تصوير: الشريف قليب
Un accident spectaculaire perturbe le trafic du tramway
par A. Z.
Le trafic sur les
lignes du tramway a été perturbé, hier dans la matinée, aux environs de 9
heures 30 minutes, à la suite du dérapage d'un véhicule de marque Clio Campus
qui s'est écrasé, après une chute sur une pente d'une vingtaine de mètres,
presque à l'entrée du tunnel de Zouaghi, non loin de la station principale.
Dans sa folle
descente, la voiture a piqué de l'avant tout droit vers l'entrée du tunnel,
sans faire de victimes, fort heureusement. Le chauffeur est sorti
miraculeusement indemne de cet accident, selon les déclarations de la
protection civile, mais on ne manque pas de frémir d'effroi si par malheur le
véhicule avait, dans sa chute, percuté une rame du tramway. Les conséquences
auraient été tout simplement dramatiques. Cet accident pose avec acuité la
problématique des bordures de sécurité, inexistantes en plusieurs endroits de
la ligne du tramway ou, si elles existent, ne sont pas très solides. Le danger
est bien réel, surtout si l'on se réfère au nombre important d'accidents de
véhicules qui dérapent sur cette route de Zouaghi - presque deux à trois dérapages
de voitures par jour.
Le constat
devrait inciter les parties concernées à prendre des mesures adéquates à
travers l'installation de solides barrières de sécurité qui pourraient amortir
le choc et stopper tout véhicule qui dérape près de la ligne du tramway,
estiment des avis largement partagés par les usagers de ce nouveau moyen de
locomotion et les usagers de la route. Enfin, la circulation des rames du
tramway n'a repris qu'au bout d'une heure, après l'intervention du camion de
dépannage qui a remonté vers la route le véhicule accidenté.
Aucune date pour la livraison du stade Benabdelmalek
par A. Mallem
Pour les citoyens
de la ville des ponts, notamment le mouvement sportif qui souffre du manque
d'infrastructures dans plusieurs disciplines, le retard pris dans la livraison
du nouveau stade Benabdelmalek-Ramdane est un véritable mystère. Pour rappel,
il y a quelques mois, l'APC qui est le maître d'œuvre du projet, avait prévu
d'effectuer un dernier contrôle au chantier pour vérifier s'il n'y avait pas de
réserves à faire avant de signer le procès-verbal de réception du stade. Et le
maire et ses adjoints ont programmé à cet effet une sortie sur le terrain.
Malheureusement, cette sortie avait été empêchée par les fortes intempéries qui
s'étaient abattues sur la ville au cours de cette période. Le 4 mars dernier,
le président de l'APC, M. Rihani, nous avait indiqué que l'entreprise en charge
du chantier n'avait pas repris les travaux qui étaient à l'arrêt pour une
question de non-règlement de situation financière par les services financiers
de la mairie et que ces situations venaient de lui être versées. Enfin,
contacté tout juste hier matin 19 avril, le vice-président de l'APC chargé de
l'éducation, de la culture et des sports et loisirs, le Dr. Messaï, nous a
affirmé que l'entreprise en question n'avait repris son travail que depuis une
quinzaine de jours seulement. «Il reste quelques menus travaux à réaliser, du
côté des vestiaires notamment, ainsi que le démarrage de l'opération
d'essaimage de la pelouse par la gomme synthétique pour rendre le terrain plus
souple», a ajouté notre interlocuteur qui considère qu'il ne reste que quelques
travaux de finition à faire dans cette enceinte pour qu'elle soit remise à
l'APC. Et de nous orienter vers les services techniques de la mairie pour le
reste des informations. Aussi, contacté hier, le vice-président de l'APC chargé
des réalisations, a confirmé les informations données par le Dr. Messaï,
ajoutant que ce dossier va être relancé à partir de cette semaine, notamment en
ce qui concerne les travaux de finition afin de préparer une visite
d'inspection et l'élaboration de la procédure de réception. Il se gardera
toutefois d'avancer la moindre information quant à la date de la réception
définitive du stade.
Rappelons que
cette infrastructure était programmée pour recevoir des meetings rentrant dans
le cadre de la campagne électorale pour les présidentielles du 17 avril
dernier. Mais en dernier ressort, des élus se sont opposés à cette idée. Des
sportifs rencontrés hier à proximité du stade nous ont confié leur désir de
pouvoir disposer de ce stade complètement reconstruit à neuf. «Les services
concernés ne communiquent pas, ont-ils fait remarquer, et nous restons dans le
flou quant à la date de réception de cette infrastructure dont la réalisation a
connu déjà beaucoup de retard».
Commentaires
Après l’élection de Bouteflika pour un 4e mandat
De quoi sera fait demain ?
Par : Azzeddine Bensouiah
Les Algériens se sont réveillés,
au lendemain du scrutin, dans la même ambiance d’avant. Rien n’a
changé, en apparence, et tout plaide pour la continuité. Le changement
attendra, mais il y aura du changement, ou des changements, quoi que
l’on pense. Le président Bouteflika, amoindri physiquement,
aura tout un monde, si Dieu lui prête vie, pour engager le reste des
réformes politiques, mais aussi économiques dont on connaît une partie.
Le premier chantier qui l’attend devrait être celui de la révision de la
Constitution, prévue avant l’élection présidentielle, mais reportée, en
raison de la dégradation de sa santé, le printemps dernier. Cette
révision devrait permettre notamment la création d’un poste de
vice-président. Ce dernier devrait pallier l’absence du chef de
l’État et faire office de véritable remplaçant. Cette perspective a fait
couler beaucoup d’encre et de salive et, parmi les partisans du
président Bouteflika, beaucoup estiment que ce poste leur reviendrait de
droit. L’activisme débordant du Premier ministre de l’époque,
Abdelmalek Sellal, qui sillonnait le pays, dans une campagne électorale
prématurée, et qui multipliait les déclarations, laissait penser qu’il
serait l’héritier désigné. Mal lui en a pris, puisque le patron imposé à
la tête du FLN, Amar Saâdani, s’en est pris à lui, avec une rare
violence, et lui a rappelé que c’est au FLN que devrait revenir ce
privilège, tout comme celui de présider le gouvernement. Abdelkader
Bensalah, le patron du RND, n’est pas resté en marge de cette guerre de
positionnement, puisqu’il a rappelé aux uns et aux autres que la
candidature du président Bouteflika était l’affaire de tous, et pas
exclusivement du FLN. Même s’il est fort à parier que Sellal reprenne
son poste de Premier ministre, la question de la vice-présidence, elle,
pourrait être retardée, et même abandonnée, sachant que le Président,
même malade, et même absent, a réussi à rester le seul maître à bord et
s’est même permis une campagne électorale par procuration. Le
président Bouteflika n’a jamais concentré autant de pouvoirs entre ses
mains que durant sa convalescence. De retour de son séjour au
Val-de-Grâce et aux Invalides, il a opéré un profond remaniement au sein
du DRS et a hissé le chef d’état-major de l’armée en véritable rempart
contre toute velléité de putsch ou de résistance au sein de la
hiérarchie militaire. Il reste à savoir, maintenant, comment seront
gratifiés les soutiens de Bouteflika. À commencer par Amar Saâdani,
qu’on a envoyé au front pour lancer les premières et plus dangereuses
attaques. Contesté au sein de son parti, ce dernier attend sa
récompense, tout comme Amar Ghoul et Amara Benyounès. Mais tout ce
beau monde risque d’être déçu, sachant que le Président a rappelé, en
dernière minute, et pour les besoins de sa campagne, deux anciens
baroudeurs, Ahmed Ouyahia, qu’il a nommé chef de cabinet, et Abdelaziz
Belkhadem, comme ministre d’État. Ces deux personnalités, écartées à un
moment donné du circuit, sont revenues par la grande porte et devraient
fausser tous les calculs, en prévision de la création du poste de
vice-président, ou en cas de vacance du pouvoir. Du côté de
l’opposition, les partisans du boycott vont tenter de fructifier le
faible taux de participation en leur faveur. Pour une fois, démocrates
et islamistes ont mis de côté leurs divergences idéologiques pour mener
un même combat. Ce dernier devrait se poursuivre, pour signifier au
pouvoir en place qu’il ne pourra plus agir seul, comme bon lui semble.
Une sorte de contre-pouvoir soft, mais qui est présent et qui devrait
l’être davantage, en vue de peser dans les choix futurs. Mais la
nouveauté devrait venir d’Ali Benflis, qui devrait créer un parti
politique. Fort de ses soutiens durant la campagne électorale, et ayant
constaté qu’il jouissait d’une certaine popularité, l’homme ne veut pas
refaire l’erreur de 2004 où il s’est éclipsé au lendemain de sa défaite.
Mais Benflis ne devrait pas être le seul à penser ainsi. Des
personnalités politiques, comme Mouloud Hamrouche, qui se sont exprimées
avant le début de la campagne et qui ont des projets de sortie de crise
à proposer, devraient, elles aussi, entrer en jeu et faire en sorte que
la configuration du champ politique change. Car, force est de
reconnaître que l’actuelle architecture politique est telle que bon
nombre de formations politiques ne sont là que pour le décor et qu’elles
n’ont aucune prise, ni sur la société, encore moins sur le cours des
choses. La reconduction du président Bouteflika devrait, en ce sens,
pousser tous les hommes politiques capables d’apporter leurs
contributions à sortir de leur réserve et à préparer l’avenir et ne pas
attendre 2019 pour s’exprimer.
A. B |
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J'ai honte d'appartenir à ce peuple, j'ai honte de faire parti des hommes et des femmes de ce pays, qui perdent leurs âmes, leurs honneurs et leur dignité, comment accepter d'être diriger par une mafia, corruptrice sans réaction, comment accepter être gouverner par des par des hommes qui sont poursuivis devant les tribunaux étrangers, comment soit disant une armée vaillante accepte-t-elle se faire insultée par un homme qui quelques jours après son insulte à l'égard de cette armée, la presse étrangère dévoile que cette homme venait d'acheté deux appartements dans le quartiers les plus chic de Paris, déposé trois cent millions d'Euros d'une banque Française.
moins de 8 jours après ces déclarations faites par un journal, le peuple Algérien va élire un homme à qui il va servir de soutient et insulté l'armée Algérienne, interprété cela comme il vous plaira, mais pour moi l'Algérie n'existe plus, France parait-il elle a occupée l'Algérie à cause de ses corsaires, aujourd'hui l'Algérie ceux que le peuple ont met en place où qu'ils ont laissée prendre le pays en otage, sont entrain de solder l'Algérie aux plus offrants, le seul regret que j'ai c'est que quatre membres de ma famille aient donnés leurs vies pour ce soit diriger par des mafieux et des traitres.
Une image révélatrice,du futur de cette nation,pas de souci la relève est assurée;nous avons encore pour longtemps sous la monarchie;BOUTE FLIKA CHAKIB. ceux qui ont compris la scène sont parti ailleurs, et les applaudisseurs continuaient a savouré leurs victoire;la victoire des corrompus;des voleurs et des délinquants;bie ntot on 'aura meme pas les moyens pour acheter du lait a l'étranger;sauf pour la classe des décideurs;vous avez applaudit par le passer le colonialisme;AL LAH vous a récompenser par nouveau système pire que l'ancien c'est le sang des chouhadas morts pour des pruneaux:M'AZEL ALLIKOUM. M'AZEL HADI EL BIDIA