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Journée mondiale des télécommunications
En cette occasion, La Direction de wilaya de la poste et des technologies de l’information et de la communication de Constantine en collaboration avec la Direction opérationnelle des télécommunications (D.O.T) et Mobilis organisent plusieurs manifestations au niveau de la wilaya. Il s’agit, entre autres, d’une initiation en informatique au profit des femmes et jeunes filles par des cadres féminins de la DW-PTIC à la maison de jeunes Azeddine Medjoubi Nouvelle ville Ali Mendjli, commune d’El-Khroub durant la journée.
De même que des portes ouvertes sont organisés par la Direction Opérationnelle des Télécommunications au niveau des Actels et des Dictels de : Coudiat – Martyres – Daksi – Hamma Bouziane – Khroub – Didouche Mourad - Ali Mendjeli et Dictel de Zighoud Youcef. Quant à l’opérateur Mobilis, il organise une exposition commerciale au niveau de l’université Mentouri.
Mohamed El Habi
Nouvelle ville Ali Mendjeli
Notons qu'un programme de mise à niveau a été lancée le 15 setepmbre dernier necessitant une enveloppe de 18 milliards de dinars dans le cadre du programme d'urgence pour le lancement de l'ensemble des projets inscrits. C’est le programme-défi que l’administration locale doit relever en respectant les délais d’exécution notamment, le wali a avancé le délai de juin 2013 comme rendez-vous où un point de situation sur les projets doit être fait avant de formuler la demande auprès de pouvoirs centraux d’accorder à Ali Mendjeli, la deuxième tranche du programme de la mise à niveau.
la première tranche de cette mise à niveau de la nouvelle ville Ali-Mendjeli comprend la réalisation, entre autres, de deux lycées, de quatre collèges d’enseignement moyen (CEM), de dix-huit groupes scolaires, d’une polyclinique, de sept sûretés urbaines, d’une sûreté de daïra, d’un stade de football de 3.000 places, de deux complexes sportifs de proximité (CSP), d’une salle omnisports, de quatre maisons de jeunes et d’une auberge de jeunes.
En matière d’hydraulique, il sera procédé à la réalisation d’un réservoir de 50.000 m3, d’une station de pompage, de 6 km de conduites, d’une station d’épuration, d’un collecteur principal, d’un réseau de distribution d’eau potable et de deux réservoirs de 5.000 m3. Le programme d’urgence de mise à niveau de la nouvelle ville Ali-Mendjeli «contribuera à coup sûr à l’amélioration des conditions de vie des 180.000 âmes qui y résident à l’heure actuelle » selon le wali.
«Il n’existe pas de solution sécuritaire fiable, même si l’on doit réquisitionner toutes les forces du pays, le citoyen et ses représentants doivent impérativement s’impliquer et le noyau familial doit contribuer significativement, car, en fait, c’est vous qui subissez les contrecoups de cette insécurité», a expliqué le wali face aux représentants de la société civile. Il a aussi averti : «L’Etat est fort et dispose de tous les moyens pour sévir, il le fera avec toute la rigueur que lui impose le droit.»
(N. Benouar)
EL FELLAG 2
le 05.04.14 | 08h54
nail
le 04.04.14 | 23h37
tarek-to-verso
le 04.04.14 | 18h50
CONTREPOUVOIR
le 04.04.14 | 17h42
Installation de caméras de surveillance à Constantine
Le responsable de la DLEP a précisé, par ailleurs, que les essais seront effectués entre le mois d’avril et le mois de mai et que les équipements ont été installés selon le choix de la commission de sécurité de la wilaya.
Notons qu’il a été décidé depuis le début de l’année 2014 de doter la wilaya de Constantine par un système de télésurveillance. Celui-ci devrait être installé dans plusieurs quartiers du chef-lieu de wilaya ainsi que dans ses 12 communes. Ce projet consiste à installer de nouvelles caméras de surveillance dans la ville du Vieux Rocher, en plus de celles déjà existant au centre-ville, dans le souci de mieux contrôler les principales artères en prévision de la manifestation « Constantine capitale 2015 de la culture arabe ».
Le but de cette opération était d’assurer « une meilleure sécurisation des personnes et de leurs biens », notamment au niveau de la nouvelle ville Ali Mendjeli qui connait un fort taux de criminalité et une multiplication inquiétante des agressions.
L’extension du réseau de caméras de télésurveillance vers d’autres communes a été décidée dans le sillage des préparatifs de cette manifestation culturelle qui se tiendra en 2015. il a été indiqué également que l’élargissement du réseau de caméras de télésurveillance de la ville de Constantine vers Ali Mendjeli, constitue « une suite logique du processus de mise à niveau de la nouvelle ville qui sera incessamment dotée de postes de police, en attendant la création des six (6) suretés urbaines et d’une sûreté de daïra ».
http://www.reporters.dz/chlef-laffaire-du-detournement-de-la-prime-de-scolarite-devant-la-justice/92
وحسب السكان فإنهم رغم أنهم أمطروا مسؤوليهم بآلاف الشكاوي لتخليصهم من تلك المعاناة التي طال أمدها غير أنهم أداروا لهم ظهورهم و لم يلتفتوا إليهم بحلول تذلل تلك الصعوبات مما تحولت حياتهم إلى جحيم شتاءا خاصة منهم فئة الأطفال الدين يجدون صعوبة كبيرة في عبور تلك الطرق المؤدية إلى مؤسساتهم التعليمية وقال المحتجون في هذا الإطار أنهم استفادوا من مشروع لتهيئة الطريق الرابط بين المشتة و البلدية في وقت سابق وهذا بعد جلسات مرطونية مع السلطات المحلية و احتجاجات متكررة غير أن هذا المشروع لم يأت أكله على أرض الواقع فحسبهم أن تلك الملايير التي تم صرفها على تهيئة هدا الطريق ذهبت أدراج الرياح ليبقى في حالته الأولى التي وصفها المحتجون بالكارثية بسبب اعتماد السلطات البلدية على سياسة البريكولاج كما أسماها المحتجون لإصلاح الطريق من خلال استعمال الحصى و الحجارة التي تصلح للمسالك الفرعية عوض الخرسانة حيث أكدوا في هدا السياق أنها تزول بمجرد تساقط الأمطار على المنطقة مما يدفع هدا الأمر بالسلطات البلدية لإعادة وضعها من جديد دون أن تجد الحل النهائي لهدا المشكل وهدا لمدة عامين كاملين وهي النقطة التي أثارت غضب المحتجين وقال المحتجون من جهة أخرى أن العملية لن تقف عند الاعتصام أمام مقر الولاية بل سيكون هناك تصعيد من لغة الاحتجاج في الأيام القادمة إذا لم يتم الاستجابة لمطلبهم وفي لقائه مع المحتجين أكد والي ميلة السيد عبد الرحمان كاديد للمحتجين على أنه سيأمر بوقف أشغال المشروع الأول و استبداله بالمشروع الذي طالبوا به في أقرب
الاخبار العاجلة لاعلان سكان قسنطينة المعارضة السياسية لسياسة تهديم مدينة قسنطينة اثناء الزيارة السياحية للداي حسين الى بايلك قسنطينة والداي حسين يعلن عبر ميكروفون ازدهار عن استدعاء القوة العمومية لطرد سكان القصبة الرافضين لترميم سكناتهم التاريخية العثمانية والاسباب مجهولة
Journée mondiale des télécommunications
L'informatique pour les femmes
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16 mai 2012
14:07
Le Thème choisi par l’Union internationale des télécommunications pour célébrer, cette année, la journée mondiale des télécommunications, le 17 mai 2012, est : « Les femmes et les jeunes filles dans le secteur des TIC ».
En cette occasion, La Direction de wilaya de la poste et des technologies de l’information et de la communication de Constantine en collaboration avec la Direction opérationnelle des télécommunications (D.O.T) et Mobilis organisent plusieurs manifestations au niveau de la wilaya. Il s’agit, entre autres, d’une initiation en informatique au profit des femmes et jeunes filles par des cadres féminins de la DW-PTIC à la maison de jeunes Azeddine Medjoubi Nouvelle ville Ali Mendjli, commune d’El-Khroub durant la journée.
De même que des portes ouvertes sont organisés par la Direction Opérationnelle des Télécommunications au niveau des Actels et des Dictels de : Coudiat – Martyres – Daksi – Hamma Bouziane – Khroub – Didouche Mourad - Ali Mendjeli et Dictel de Zighoud Youcef. Quant à l’opérateur Mobilis, il organise une exposition commerciale au niveau de l’université Mentouri.
Mohamed El Habi
Nouvelle ville Ali Mendjeli
Un avis d'appel d'offre international pour sa réhabilitation
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25 déc. 2012
16:03
En visite aujourd’hui à constnatine, le ministre de l’environnement et de l'aménagement du territoire Amara Benyounés a annoncé qu’un avis d'appel d'offre international va être lancer incessamment pour la réhabilitation de la nouvelle ville qu’il a qualifié de « "cité dortoir » avant de souligner " la nouvelle ville est une véritable catastrophe".
Notons qu'un programme de mise à niveau a été lancée le 15 setepmbre dernier necessitant une enveloppe de 18 milliards de dinars dans le cadre du programme d'urgence pour le lancement de l'ensemble des projets inscrits. C’est le programme-défi que l’administration locale doit relever en respectant les délais d’exécution notamment, le wali a avancé le délai de juin 2013 comme rendez-vous où un point de situation sur les projets doit être fait avant de formuler la demande auprès de pouvoirs centraux d’accorder à Ali Mendjeli, la deuxième tranche du programme de la mise à niveau.
la première tranche de cette mise à niveau de la nouvelle ville Ali-Mendjeli comprend la réalisation, entre autres, de deux lycées, de quatre collèges d’enseignement moyen (CEM), de dix-huit groupes scolaires, d’une polyclinique, de sept sûretés urbaines, d’une sûreté de daïra, d’un stade de football de 3.000 places, de deux complexes sportifs de proximité (CSP), d’une salle omnisports, de quatre maisons de jeunes et d’une auberge de jeunes.
En matière d’hydraulique, il sera procédé à la réalisation d’un réservoir de 50.000 m3, d’une station de pompage, de 6 km de conduites, d’une station d’épuration, d’un collecteur principal, d’un réseau de distribution d’eau potable et de deux réservoirs de 5.000 m3. Le programme d’urgence de mise à niveau de la nouvelle ville Ali-Mendjeli «contribuera à coup sûr à l’amélioration des conditions de vie des 180.000 âmes qui y résident à l’heure actuelle » selon le wali.
Mohamed El Habib
http://www.leconews.com/fr/regions/est/un-avis-d-appel-d-offre-international-pour-sa-rehabilitation-25-12-2012-161496_277.phpConstantine : La nouvelle ville déchirée par une guerre de clans
le 04.04.14 | 10h00
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|
© El Watan Weekend
Ci-contre : Fouaz Azzouz, 16 ans, raconte qu’un voyou de...
A la nouvelle ville Ali Mendjeli, à Constantine, des confrontations entre des habitants de même quartier ont fait plusieurs blessés. Huit jours de guerre de clans entre les relogés de Oued El Had et Fedj Errih. Des dizaines de familles ont quitté la cité.
Les murs des bâtiments sont carbonisés à coups de cocktails Molotov et
les fenêtres fracassées. Les quelques véhicules et baraques brûlés
laissent penser que le quartier a connu une guerre sans merci. A l’UV14
(Unité de voisinage n°14, ndlr) de la nouvelle ville Ali Mendjeli, les
traces des confrontations qui ont secoué le quartier pendant huit jours
et huit nuits sont toujours visibles. «Ce sont les voyous des deux côtés
qui se battent pour le contrôle du quartier, notamment le parking. Ici,
les opportunités de travail se font rares», explique un habitant de
Oued El Had, un des bidonvilles.
La présence d’enfants à l’extérieur ne signifie pas pour autant un retour au calme. L’UV14 est devenue une cité dangereuse, et les quartiers avoisinants s’en méfient. Ici, pour 2500 logements, il n’existe qu’une mosquée et deux cafétérias. Même les taxis clandestins du centre-ville de Ali Mendjeli refusent de vous y emmener. «Je ne peux pas prendre ce risque. Les gens s’entretuent là-bas, c’est dangereux !», assure un chauffeur de taxi. Certaines familles ont été jusqu’à déménager, d’autres ferment leurs balcons carrément avec des briques ou renforcent leur sécurité en installant un grillage de fer. Les habitants de Oued El Had comme ceux de Fedj Errih sont sur le qui-vive. Chacun de son côté.
Aucun échange à part les regards que les uns jettent aux autres. Ici, le climat reste toujours tendu. «Tout a commencé à notre arrivée il y a dix mois (30 mai 2013). Les confrontations n’ont jamais cessé depuis. C’est la quatrième fois. Le calme reste précaire ; les confrontations risquent de reprendre à tout moment», affirme Hocine, résident de l’UV14 et originaire de Oued El Had, 25 ans, diplômé en informatique et étudiant en droit. Pour rencontrer Hocine, il a fallu se donner rendez-vous à l’UV18, une cité voisine.
Gilets pare-balles
C’est dans une cafétéria que nous avons été introduits par Raouf, Hamza et Fateh, tous habitants de ce quartier. Hocine est très inquiet. «Il y a tellement de blessés des deux côtés. Moi-même, j’ai eu une fracture du bras droit dans une bagarre après la qualification de l’Algérie en Coupe du monde. Aujourd’hui, le mal est fait. Il sera difficile de calmer les choses malgré la présence renforcée de la police», ajoute Hocine. Rendez-vous est pris à l’UV14. C’est le frère de Hocine qui nous reçoit et qui nous présente à son tour à El Mekki, un sexagénaire respecté à Oued El Had. «Au moins 50 appartements ont été brûlés et plusieurs familles ont été obligées de quitter la cité. Ce sont des sauvages, des terroristes. Ils nous attaquent à toute heure, même la nuit. Nous avons été obligés de riposter pour nous défendre, sinon ils nous auraient tous tués», s’emporte El Mekki, c’est l’un des responsables de l’association de quartier.
Samir, 25 ans, maçon et père d’une fillette, qui a lui-même pris part aux confrontations, raconte : «A coup de cocktails Molotov, couteaux et frondes chargées de morceaux de ferraille, les voyous portent des gilets pare-balles et des protège-tibia.» Les enfants témoignent eux aussi. «Ils tentent à chaque fois d’entrer de force dans nos maisons. Je les entends crier, Allah ou Akbar», raconte un adolescent de 15 ans. Un autre résident se plaint. «Ils ont brûlé ma baraque. C’était mon seul gagne-pain. Je vivrai de quoi maintenant ?», s’indigne Khadir Nasri, 58 ans, invalide à 100%, qui vivait de la vente informelle de cigarettes.
Pour aller dans l’autre camp et rencontrer les habitants de Fedj Errih, Fethi, 36 ans et père de trois enfants, résident de l’UV18, nous conseille : «On peut aller les voir, mais il faut qu’on emprunte le chemin d’en bas. Ils peuvent mal interpréter notre arrivée si on y va directement par Oued El Had.» A l’UV14, il existe d’autres habitants venus de différents endroits que Oued El Had et Fedj Errih. Ici, c’est par la couleur des bâtiments que l’on distingue les bidonvilles d’origine. Ceux de Oued El Had sont de couleur mauve avec quelques bâtiments en jaune à l’entrée du quartier. Les Fedj Errih sont en bleu, à l’extrémité de l’UV14. Les Chalets et Chaâbani sont en bleu et Lonama en jaune.
Imam
Ces derniers servent de mur de séparation entre les deux clans qui se disputent le contrôle du quartier. Rencontrés à l’entrée de la cité de Fedj Errih, deux vieux hésitent à nous en parler. «Ça se passe entre jeunes. Généralement, ça commence par les petits à la mosquée ou au CEM, et ça remonte aux plus âgés. Sauf que cette fois-ci, la situation a vite dégénéré», expliquent-ils. «J’habite ici mais je ne sais vraiment pas ce qui se passe. Rabbi Yahdina», indique un clandestin. Cherif, gardien de parking dans le quartier, prend la parole. «Les Oued El Had sont venus nous provoquer. Vous pouvez demander aux habitants des autres ‘’couleurs’’. Ils vous diront que nous n’avons jamais eu de problèmes avec eux», affirme Cherif, 30 ans, repris de justice et gardien de parking de quartier. Il a pourtant l’air respecté.
A chaque fois qu’il parle, les autres se taisent. «C’est nous (les repris de justice) qui payons le prix à chaque fois que ce genre de choses arrivent. Nous voulons tous reprendre notre vie normale», ajoute Cherif. Les résidents de Fedj Errih ont décrit exactement les Oued El Had avec les mêmes mots. Ici, tout le monde traite tout le monde de «voleurs, bâtards, voyous, fauteurs de troubles…». Où est la solution donc ? «Il n’y a pas de solution. Ils doivent quitter la cité, car nous qui sommes venus les premiers», insiste Abdelmadjid, 57 ans, invalide et père de 6 enfants. A l’UV14, les véhicules de police font des rondes toute la journée.
D’autres policiers veillent, à l’abri des regards, sur le toit des immeubles du mur de séparation. Les résidents de ce quartier insistent sur la nécessité d’assurer la sécurité des uns et des autres et appellent l’Etat à l’aide. D’autres jurent que si les affrontements recommencent, il y aura des morts. Seule une tentative d’appel au calme de la part de l’imam du quartier a été enregistrée. Malheureusement, elle a échoué.
La présence d’enfants à l’extérieur ne signifie pas pour autant un retour au calme. L’UV14 est devenue une cité dangereuse, et les quartiers avoisinants s’en méfient. Ici, pour 2500 logements, il n’existe qu’une mosquée et deux cafétérias. Même les taxis clandestins du centre-ville de Ali Mendjeli refusent de vous y emmener. «Je ne peux pas prendre ce risque. Les gens s’entretuent là-bas, c’est dangereux !», assure un chauffeur de taxi. Certaines familles ont été jusqu’à déménager, d’autres ferment leurs balcons carrément avec des briques ou renforcent leur sécurité en installant un grillage de fer. Les habitants de Oued El Had comme ceux de Fedj Errih sont sur le qui-vive. Chacun de son côté.
Aucun échange à part les regards que les uns jettent aux autres. Ici, le climat reste toujours tendu. «Tout a commencé à notre arrivée il y a dix mois (30 mai 2013). Les confrontations n’ont jamais cessé depuis. C’est la quatrième fois. Le calme reste précaire ; les confrontations risquent de reprendre à tout moment», affirme Hocine, résident de l’UV14 et originaire de Oued El Had, 25 ans, diplômé en informatique et étudiant en droit. Pour rencontrer Hocine, il a fallu se donner rendez-vous à l’UV18, une cité voisine.
Gilets pare-balles
C’est dans une cafétéria que nous avons été introduits par Raouf, Hamza et Fateh, tous habitants de ce quartier. Hocine est très inquiet. «Il y a tellement de blessés des deux côtés. Moi-même, j’ai eu une fracture du bras droit dans une bagarre après la qualification de l’Algérie en Coupe du monde. Aujourd’hui, le mal est fait. Il sera difficile de calmer les choses malgré la présence renforcée de la police», ajoute Hocine. Rendez-vous est pris à l’UV14. C’est le frère de Hocine qui nous reçoit et qui nous présente à son tour à El Mekki, un sexagénaire respecté à Oued El Had. «Au moins 50 appartements ont été brûlés et plusieurs familles ont été obligées de quitter la cité. Ce sont des sauvages, des terroristes. Ils nous attaquent à toute heure, même la nuit. Nous avons été obligés de riposter pour nous défendre, sinon ils nous auraient tous tués», s’emporte El Mekki, c’est l’un des responsables de l’association de quartier.
Samir, 25 ans, maçon et père d’une fillette, qui a lui-même pris part aux confrontations, raconte : «A coup de cocktails Molotov, couteaux et frondes chargées de morceaux de ferraille, les voyous portent des gilets pare-balles et des protège-tibia.» Les enfants témoignent eux aussi. «Ils tentent à chaque fois d’entrer de force dans nos maisons. Je les entends crier, Allah ou Akbar», raconte un adolescent de 15 ans. Un autre résident se plaint. «Ils ont brûlé ma baraque. C’était mon seul gagne-pain. Je vivrai de quoi maintenant ?», s’indigne Khadir Nasri, 58 ans, invalide à 100%, qui vivait de la vente informelle de cigarettes.
Pour aller dans l’autre camp et rencontrer les habitants de Fedj Errih, Fethi, 36 ans et père de trois enfants, résident de l’UV18, nous conseille : «On peut aller les voir, mais il faut qu’on emprunte le chemin d’en bas. Ils peuvent mal interpréter notre arrivée si on y va directement par Oued El Had.» A l’UV14, il existe d’autres habitants venus de différents endroits que Oued El Had et Fedj Errih. Ici, c’est par la couleur des bâtiments que l’on distingue les bidonvilles d’origine. Ceux de Oued El Had sont de couleur mauve avec quelques bâtiments en jaune à l’entrée du quartier. Les Fedj Errih sont en bleu, à l’extrémité de l’UV14. Les Chalets et Chaâbani sont en bleu et Lonama en jaune.
Imam
Ces derniers servent de mur de séparation entre les deux clans qui se disputent le contrôle du quartier. Rencontrés à l’entrée de la cité de Fedj Errih, deux vieux hésitent à nous en parler. «Ça se passe entre jeunes. Généralement, ça commence par les petits à la mosquée ou au CEM, et ça remonte aux plus âgés. Sauf que cette fois-ci, la situation a vite dégénéré», expliquent-ils. «J’habite ici mais je ne sais vraiment pas ce qui se passe. Rabbi Yahdina», indique un clandestin. Cherif, gardien de parking dans le quartier, prend la parole. «Les Oued El Had sont venus nous provoquer. Vous pouvez demander aux habitants des autres ‘’couleurs’’. Ils vous diront que nous n’avons jamais eu de problèmes avec eux», affirme Cherif, 30 ans, repris de justice et gardien de parking de quartier. Il a pourtant l’air respecté.
A chaque fois qu’il parle, les autres se taisent. «C’est nous (les repris de justice) qui payons le prix à chaque fois que ce genre de choses arrivent. Nous voulons tous reprendre notre vie normale», ajoute Cherif. Les résidents de Fedj Errih ont décrit exactement les Oued El Had avec les mêmes mots. Ici, tout le monde traite tout le monde de «voleurs, bâtards, voyous, fauteurs de troubles…». Où est la solution donc ? «Il n’y a pas de solution. Ils doivent quitter la cité, car nous qui sommes venus les premiers», insiste Abdelmadjid, 57 ans, invalide et père de 6 enfants. A l’UV14, les véhicules de police font des rondes toute la journée.
D’autres policiers veillent, à l’abri des regards, sur le toit des immeubles du mur de séparation. Les résidents de ce quartier insistent sur la nécessité d’assurer la sécurité des uns et des autres et appellent l’Etat à l’aide. D’autres jurent que si les affrontements recommencent, il y aura des morts. Seule une tentative d’appel au calme de la part de l’imam du quartier a été enregistrée. Malheureusement, elle a échoué.
Le wali : «On se serait cru au temps des Vikings»
La diversité des armes blanches saisies a fait frémir plus d’un policier. «J’ai sursauté quand j’ai vu tout cet arsenal et j’ai mesuré l’ampleur de la menace qui pèse surtout sur mes agents qui étaient dans un risque certain», nous a déclaré un officier de police. Le wali de Constantine, Hocine Ouadah, a lui aussi avoué son choc : «On se serait cru au temps des Vikings !» En tout cas, c’est ce qui s’est passé hier, au centre culturel Azzedine Mihoubi, de Ali Mendjeli, lors d’une rencontre entre les autorités locales de la wilaya avec les représentants des deux camps belligérants de l’unité de voisinage n°14, Fedj Errih et Oued El Had.«Il n’existe pas de solution sécuritaire fiable, même si l’on doit réquisitionner toutes les forces du pays, le citoyen et ses représentants doivent impérativement s’impliquer et le noyau familial doit contribuer significativement, car, en fait, c’est vous qui subissez les contrecoups de cette insécurité», a expliqué le wali face aux représentants de la société civile. Il a aussi averti : «L’Etat est fort et dispose de tous les moyens pour sévir, il le fera avec toute la rigueur que lui impose le droit.»
(N. Benouar)
Meziane Abane
Vos réactions 5
L'ours
le 05.04.14 | 14h09
bravo la jeunesse !
On se trompent sur toute longueur d'onde ! Arrêtons le
massacre ! voyons les choses en face ! et soyons solidaire or de
question que notre pays ressemble aux autres pays USA , France .Il
faut arrêter l'hémorragie et se réconcilier . L'état doit protéger la
population de tout sorte d'agression comme notre armée si le ca échéant .
Alors les petits KAIDS dans notre pays n'ont pas leurs place dans la
société . Internet ,parabole ce n'est que du virtuel ,il faut sortir de
tous ça car ça fait monté la tête . Notre pays à besoin d'union car nous
avons besoin de tout le monde et surtout ce n'est pas le moment de
faire des révoltes car ça ne mène à rien . Un peu de patience les choses
vont changer il suffirai d'être patient t car la jeunesse c'est
l'avenir du pays et or de question de prendre une mauvaise direction ,
chaque citoyen à le droit à la vie et égalité des chances , il nous
reste juste après les élections in cha allah voir un changement et
s'occuper de la jeunesse de partout les coins de notre pays unis et
surtout SVP soyez sage car jusqu'à présent notre pays reste le pays le
plus pacifiste et c'est un bon exemple pour le monde arabe et occidental
à savoir tous ce qui touche à ma population me touche aussi et mon pays
plus alors soyons patient et in cha allah ça ira bien vive notre
jeunesse et vive notre Algérie qu'on aiment tant ne gâcher pas la bonne
ambiance Algérienne unique au monde merci .
L'APARTHEID A L'ALGERIENNE
Honte a notre peuple,la honte a nos dirigeant,nous revenons a
l'époque d'avant l'ISLAM,l'époque des barbares;esque c'est c'est
raisonnable d'accepter cette situation;hier s'était a GHERDAIA et
aujourd'hui a constantine;et demain dans une autre région;non;non; ça
suffit mes frères; nous sommes tous frères et soeurs;on a le meme sang
ont le veillent ou non;ne vous laisser pas manipulés;on lutte contre les
envahisseurs;mais pas contre nos frères soyez sage et responsable;les
perdant seront nous et nos enfants;ne soyez pas bètes sa profite aux
prédateurs;je compte sur vous frères et soeurs
politique urbaine inexistante
Quand l'architecte Ricardo Boffil a visite Alger sur
invitation de l'ex wali, il fit cette declaration: c'est difficile de
conjuguer la qualite et la quantite.Ainsi d'apres le president de
l'ordre des architectes, la crise du logement sera regle en
2016..inchallah.Le logement en Algerie est eminement politise, baraques,
elus,electeurs, logement social (loyers impayes), decalage entre le
prix d'achat et le prix de vente, mots barbares (cites des 2000, des
1500, UV 17, UV 21, des epees, des paraboles en guise de boucliers, des
repris de justice transformes en gardiens de parking.Arretons le
massacre, et a quand les assises de l'habitat pour repenser la ville et
le logement en particulier Mr Tebboune???
Un wali qui dit Walou
Ce Wali dit la chose et son contraire en moins de 30 secondes chrono.
"Il n’existe pas de solution sécuritaire fiable, même si l’on doit réquisitionner toutes les forces du pays"...
"L’Etat est fort et dispose de tous les moyens pour sévir"
On se croirait dans l'univers du Dr. Seuss
"Il n’existe pas de solution sécuritaire fiable, même si l’on doit réquisitionner toutes les forces du pays"...
"L’Etat est fort et dispose de tous les moyens pour sévir"
On se croirait dans l'univers du Dr. Seuss
Mais c'est ça le hic!
c'est qu'il n y a qu'un État celui de la loi du plus fort!Un
État qui dresse mais une institution qui éduque jamais!alors ne faites
pas les étonnés!
http://mbasic.facebook.com/photo.php?fbid=546205618801477&id=354338234654884&set=a.354366731318701.87217.354338234654884&source=46&refid=13
Constantine Histoires & Traditions
http://mbasic.facebook.com/photo.php?fbid=546205618801477&id=354338234654884&set=a.354366731318701.87217.354338234654884&source=46&refid=13
Constantine Histoires & Traditions
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Installation de caméras de surveillance à Constantine
Les premiers essais lancés en Avril
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09 mars 2014
17:07
Lors de la réunion de l’exécutif de la wilaya de Constantine tenue aujourd’hui, le directeur de la direction du logement et des équipements publics (DLEP) a annoncé que l’installation des caméras de surveillance au niveau de Constantine et de la ville Ali Mendjeli s’effectue selon un planning bien défini.
Le responsable de la DLEP a précisé, par ailleurs, que les essais seront effectués entre le mois d’avril et le mois de mai et que les équipements ont été installés selon le choix de la commission de sécurité de la wilaya.
Notons qu’il a été décidé depuis le début de l’année 2014 de doter la wilaya de Constantine par un système de télésurveillance. Celui-ci devrait être installé dans plusieurs quartiers du chef-lieu de wilaya ainsi que dans ses 12 communes. Ce projet consiste à installer de nouvelles caméras de surveillance dans la ville du Vieux Rocher, en plus de celles déjà existant au centre-ville, dans le souci de mieux contrôler les principales artères en prévision de la manifestation « Constantine capitale 2015 de la culture arabe ».
Le but de cette opération était d’assurer « une meilleure sécurisation des personnes et de leurs biens », notamment au niveau de la nouvelle ville Ali Mendjeli qui connait un fort taux de criminalité et une multiplication inquiétante des agressions.
L’extension du réseau de caméras de télésurveillance vers d’autres communes a été décidée dans le sillage des préparatifs de cette manifestation culturelle qui se tiendra en 2015. il a été indiqué également que l’élargissement du réseau de caméras de télésurveillance de la ville de Constantine vers Ali Mendjeli, constitue « une suite logique du processus de mise à niveau de la nouvelle ville qui sera incessamment dotée de postes de police, en attendant la création des six (6) suretés urbaines et d’une sûreté de daïra ».
M.E.H
Chlef : L’affaire du détournement de la prime de scolarité devant la justice
Le tribunal criminel de Chlef aurait décidé de traiter, le 9 mars prochain, l’aff aire des primes de scolarité qui avaient été octroyées à des personnes aisées, tels que des commerçants et des fonctionnaires de la daïra d’Oued Fodda, située à l’est de la wilaya de Chlef. Pas moins de 170 suspects, entre élus, P/APC, le secrétaire général de la daïra d’Oued Fodda, l’ex-chef de daïra d’Oued Fodda, des membres de la commission chargée de la distribution de la prime de scolarité, en plus de 130 parents d’élèves, sont poursuivis dans cette aff aire qui avait été reportée une première fois au mois de décembre 2013. Selon des sources concordantes, les faits remontent à l’automne 2010, suite à une lettre anonyme adressée à toutes les parties concernées, signalant l’implication de plusieurs personnes infl uentes dans le détournement de primes de scolarité destinées aux parents d’élèves démunis. La lettre anonyme rapporte que ce détournement a bénéfi cié de la complicité de cadres a niveau de la daïra d’Oued Fodda et des présidents des communes relevant de ladite daïra, ainsi que de présidents d’associations de parents d’élèves coupables d’avoir confectionné des listes qui avaient permis à des personnes aisées de bénéfi cier de 3 000 DA, alors qu’il est stipulé dans le décret présidentiel n°238/01 daté de 2001 que cette prime ne doit être octroyée qu’à une certaine frange de population qui perçoit moins de 8 000 DA, dont des enfants nécessiteux, des orphelins, enfants de veuves, et d’autres classes dans le besoin. Les diff érentes investigations menées par les services de la sûreté d’Oued Fodda, en collaboration avec la brigade économique et fi nancière relevant de la sûreté de wilaya, ont abouti à plusieurs dépassements dans la quote-part de 9300 primes de scolarité réservées à la daïra d’Oued Fodda, dont 5172 à la commune d’Oum Drou, 3 438 à la commune de Beni Rached et 690 pour la commune d’Ouled Abbès, comme souligné dans des rapport datés du 10 décembre 2010 signés par l’exchef de daïra d’Oued Fodda, selon les mêmes sources. Les diff érentes investigations ont mis au jour de graves dépassements dans la gestion des deniers publics octroyés à des classes aisées. Une fois les conclusions de cette aff aire réunies, il a été procédé à la convocation de nombreuses personnes, parmi lesquelles des élus locaux des communes de Beni Rached, Ouled Abbès, Oued Fodda, le secrétaire général de la daïra d’Oued Fodda, des présidents d’associations de parents d’élèves et 250 parents d’élèves pour leur audition en vue de lever le voile sur les tenants et aboutissants de cette affaire qui avait fait un grand scandale au niveau de la wilaya de Chlef. Une fois le dossier de cette aff aire entre les mains de la justice, et sur ordre du juge d’instruction près le tribunal de Khemis Meliana, 7 suspects avaient été placés en détention préventive ; il s’agit de l’ex-maire de Beni Rached et de celui d’Ouled Abbès et de son adjoint, du coordinateur de l’association des parents d’élèves, du secrétaire général de la daïra et trois agents administratifs chargés des aff aires sociales au niveau de la daïra, avant d’être relâchés, une fois l’aff aire programmée en criminel. Les suspects, qui auront à comparaître de nouveau devant le tribunal criminel de Chlef, auront à répondre de plusieurs chefs d’inculpation : abus de pouvoir, falsifi cation de documents offi ciels, dilapidation de deniers publics. Selon les sources, la convocation pourrait concerner également l’exchef de daïra, pour donner son avis dans cette aff aire à la lumière des accusations qui auraient été lancées par des parties à son encontre comme étant la seule personne qui avait les prérogatives d’évaluation de la situation sociale de chaque bénéfi -ciaire, tout en dégageant leur responsabilité vis-à-vis des listes élaborées.http://www.reporters.dz/chlef-laffaire-du-detournement-de-la-prime-de-scolarite-devant-la-justice/92
عشرات المواطنين يعتصمون بالولاية
للمطالبة بتهيئة الطريق
منذ 11 ساعة
5 دقيقة
أ.زواغي
أعتصم صبيحة
أمس العشرات من مواطني مشتة عين الثور التابعة إداريا لبلدية القرارم قوقة أمام
المدخل الرئيسي لمقر ولاية ميلة بسبب الأوضاع المزرية التي يعانون منها لافتقار
المشتة المذكورة لأدنى شروط الحياة العصرية فالطرقات بها مهترئة وغير معبدة و
الأرصفة لا أثر لها و الإنارة العمومية غائبة
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عشرات المواطنين يعتصمون بالولاية
للمطالبة بتهيئة الطريق
أ.زواغي
أعتصم صبيحة
أمس العشرات من مواطني مشتة عين الثور التابعة إداريا لبلدية القرارم قوقة أمام
المدخل الرئيسي لمقر ولاية ميلة بسبب الأوضاع المزرية التي يعانون منها لافتقار
المشتة المذكورة لأدنى شروط الحياة العصرية فالطرقات بها مهترئة وغير معبدة و
الأرصفة لا أثر لها و الإنارة العمومية غائبة.
وحسب السكان فإنهم رغم أنهم أمطروا مسؤوليهم بآلاف الشكاوي لتخليصهم من تلك المعاناة التي طال أمدها غير أنهم أداروا لهم ظهورهم و لم يلتفتوا إليهم بحلول تذلل تلك الصعوبات مما تحولت حياتهم إلى جحيم شتاءا خاصة منهم فئة الأطفال الدين يجدون صعوبة كبيرة في عبور تلك الطرق المؤدية إلى مؤسساتهم التعليمية وقال المحتجون في هذا الإطار أنهم استفادوا من مشروع لتهيئة الطريق الرابط بين المشتة و البلدية في وقت سابق وهذا بعد جلسات مرطونية مع السلطات المحلية و احتجاجات متكررة غير أن هذا المشروع لم يأت أكله على أرض الواقع فحسبهم أن تلك الملايير التي تم صرفها على تهيئة هدا الطريق ذهبت أدراج الرياح ليبقى في حالته الأولى التي وصفها المحتجون بالكارثية بسبب اعتماد السلطات البلدية على سياسة البريكولاج كما أسماها المحتجون لإصلاح الطريق من خلال استعمال الحصى و الحجارة التي تصلح للمسالك الفرعية عوض الخرسانة حيث أكدوا في هدا السياق أنها تزول بمجرد تساقط الأمطار على المنطقة مما يدفع هدا الأمر بالسلطات البلدية لإعادة وضعها من جديد دون أن تجد الحل النهائي لهدا المشكل وهدا لمدة عامين كاملين وهي النقطة التي أثارت غضب المحتجين وقال المحتجون من جهة أخرى أن العملية لن تقف عند الاعتصام أمام مقر الولاية بل سيكون هناك تصعيد من لغة الاحتجاج في الأيام القادمة إذا لم يتم الاستجابة لمطلبهم وفي لقائه مع المحتجين أكد والي ميلة السيد عبد الرحمان كاديد للمحتجين على أنه سيأمر بوقف أشغال المشروع الأول و استبداله بالمشروع الذي طالبوا به في أقرب
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