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Le wali d’Alger appelle à hâter la distribution
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Cité El Gammas : Vers l’éradication des chalets en amiante
le 03.04.14 | 10h00
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La cité El Gammas est connue pour être la plaie de la ville au regard d’un état des lieux plus que préoccupant, notamment les chalets, dont tout le monde s’en plaint, à juste raison, à cause de l’amiante qui s’y trouve et qui a causé, depuis, de graves pathologies.
L’urgence est de mise pour pallier ce phénomène mais le laxisme des
pouvoirs publics qui se sont succédés, n’a pas permis d’y parvenir dans
une cité où il faut tout reprendre.Des réseaux d’assainissement
défaillants, un recensement erroné d’une population sans cesse
croissante, sont autant de facteurs qui ont rendu la tâche presque
impossible, notamment pour le bureau d’études Sau qui ne dispose, pour
l’heure, d’aucun plan fiable pour entamer de véritables travaux. Ajoutez
à cela une représentativité des citoyens totalement déficiente.
D’ailleurs, lors de sa visite hier dans cette cité, le wali de Constantine, Hocine Ouadah, a eu beaucoup de mal à trouver des interlocuteurs valables pour cerner au moins les priorités qui pourraient alléger, un tant soit peu, les contraintes du citoyen. Une vraie guéguerre entre les représentants des associations a été remarquée sur les lieux. Cela a été confirmé en fin de visite, où nous avons été témoin d’un accrochage qui a failli dégénérer.
En effet, la tâche reste aléatoire pour le wali qui devra composer avec des données imprécises, notamment concernant le recensement des éventuels bénéficiaires de logements, ainsi que ceux dont les habitations feront l’objet de démolition, sans oublier les résultats de l’enquête de la CNL qui pourraient écarter beaucoup de monde. «La plupart de ceux qui se sont érigés en représentants des associations agissent pour leur compte et de celui de leur proches, ils veulent profiter de cette conjoncture (élections présidentielles du 17 avril, ndlr) pour asseoir leur influence sur les autorités locales et décider du sort des habitants», nous a révélé l’un des concernés.
Et d’ajouter : «Il y a de grands enjeux dans ce quartier, alors que les solutions sont simples. Ces gens-là ne nous représentent pas, ils agissent en toute illégalité depuis des lustres pour s’acoquiner avec le chef de daïra et certains responsables, en usant de la désinformation et du mensonge, c’est pour cela que notre cité perdure dans ce piteux état.»
L’on notera également parmi les problèmes soulevés par les habitants, l’absence de bureau de poste, l’insuffisance d’effectif pour la sûreté nationale, les lacunes dans le fonctionnement de la polyclinique, les routes à la limite du praticable, mais surtout l’accès de cette cité qui constitue un véritable goulot d’étranglement. Une conséquence de plusieurs années de laxisme et de tergiversations de la part des autorités de la ville.
D’ailleurs, lors de sa visite hier dans cette cité, le wali de Constantine, Hocine Ouadah, a eu beaucoup de mal à trouver des interlocuteurs valables pour cerner au moins les priorités qui pourraient alléger, un tant soit peu, les contraintes du citoyen. Une vraie guéguerre entre les représentants des associations a été remarquée sur les lieux. Cela a été confirmé en fin de visite, où nous avons été témoin d’un accrochage qui a failli dégénérer.
En effet, la tâche reste aléatoire pour le wali qui devra composer avec des données imprécises, notamment concernant le recensement des éventuels bénéficiaires de logements, ainsi que ceux dont les habitations feront l’objet de démolition, sans oublier les résultats de l’enquête de la CNL qui pourraient écarter beaucoup de monde. «La plupart de ceux qui se sont érigés en représentants des associations agissent pour leur compte et de celui de leur proches, ils veulent profiter de cette conjoncture (élections présidentielles du 17 avril, ndlr) pour asseoir leur influence sur les autorités locales et décider du sort des habitants», nous a révélé l’un des concernés.
Et d’ajouter : «Il y a de grands enjeux dans ce quartier, alors que les solutions sont simples. Ces gens-là ne nous représentent pas, ils agissent en toute illégalité depuis des lustres pour s’acoquiner avec le chef de daïra et certains responsables, en usant de la désinformation et du mensonge, c’est pour cela que notre cité perdure dans ce piteux état.»
L’on notera également parmi les problèmes soulevés par les habitants, l’absence de bureau de poste, l’insuffisance d’effectif pour la sûreté nationale, les lacunes dans le fonctionnement de la polyclinique, les routes à la limite du praticable, mais surtout l’accès de cette cité qui constitue un véritable goulot d’étranglement. Une conséquence de plusieurs années de laxisme et de tergiversations de la part des autorités de la ville.
N. Benouar
Glissement de terrain à Constantine : la médina tombe en ruine
Selon le rapport Simecsol un
ensemble de 15 000 habitations abritant prés de 100 000 personnes sont
menacées par le glissement de terrain, et pas moins de 1790
constructions individuelles et collectives sont condamnées à la
démolition. C’est dire que le phénomène du glissement est devenu une
hantise pour les habitants concernés et autant de soucis pour les
autorités locales qui doivent prendre des mesures urgentes. Mais comme
le phénomène du glissement n’est pas nouveau, force est d’admettre que
beaucoup reste à faire pour y faire face. C’est ainsi, avons-nous appris
que le nouveau wali a instruit son administration pour engager dans les
plus brefs délais une expertise sur le phénomène des glissements de
terrain, qu’il a dû percevoir au niveau de la ville de Constantine.
C’est en fait le Centre national de recherche appliquée en génie
parasismique (CGS), qui devrait être saisi afin d’établir l’expertise,
sans quoi, aucune solution appropriée ne peu être proclamée. Et
pourtant, beaucoup a été dit et écrit sur ce phénomène et plusieurs
travaux universitaires sur le sujet ont été élaborés dont le fameux
rapport du bureau d’étude français Simecsol. D’ailleurs, plus près de
nous les 600 logements Cnep en attente d’attribution depuis 15 ans à
Boussouf renseignent à ne pas en douter sur l’ampleur du phénomène qui
touche des cités récemment construites.
Le rapport en question achevé début 2005, a donné froid au dos chez beaucoup de Constantinois, l’expertise mentionne : 12 zones étalées sur environ 120 ha sont affectées et 15 000 habitations abritant 100 000 personnes sont menacées et enfin près de plus pas moins de 1 800 constructions individuelles et collectives sont condamnées à la démolition. Des sites comme Boussouf et Aouinet El Foul sont déclarés inconstructibles. Et malgré cela, l’administration n’a pas tenu compte de ce rapport et on a continué à construire sur ces zones sujettes aux glissements. Toutefois, des habitants du quartier Belouizdad sont évacués de sites où vont naître des parkings. Mais ce n’est pas tout, l’étude française a été occultée par les responsables qui persistent à croire qu’il n’existe pas de glissement de terrain, mais ce sont des réseaux endommagés d’adduction d’eau et d’assainissement qui seraient à l’origine de l’instabilité du sol. Entre-temps, on a laissé faire et de nombreux lotissements anarchiques, prolifèrent impunément, notamment à Boussouf, déclaré pourtant zone rouge. Et comme si de rien n’était, la médina tombe en ruine de jour en jour sous les yeux ébahis des Constantinois, et le désintéressement coupable de ses responsables. Constantine, ville millénaire méritait mieux, beaucoup mieux…
Mâalem Abdelyakine
Le rapport en question achevé début 2005, a donné froid au dos chez beaucoup de Constantinois, l’expertise mentionne : 12 zones étalées sur environ 120 ha sont affectées et 15 000 habitations abritant 100 000 personnes sont menacées et enfin près de plus pas moins de 1 800 constructions individuelles et collectives sont condamnées à la démolition. Des sites comme Boussouf et Aouinet El Foul sont déclarés inconstructibles. Et malgré cela, l’administration n’a pas tenu compte de ce rapport et on a continué à construire sur ces zones sujettes aux glissements. Toutefois, des habitants du quartier Belouizdad sont évacués de sites où vont naître des parkings. Mais ce n’est pas tout, l’étude française a été occultée par les responsables qui persistent à croire qu’il n’existe pas de glissement de terrain, mais ce sont des réseaux endommagés d’adduction d’eau et d’assainissement qui seraient à l’origine de l’instabilité du sol. Entre-temps, on a laissé faire et de nombreux lotissements anarchiques, prolifèrent impunément, notamment à Boussouf, déclaré pourtant zone rouge. Et comme si de rien n’était, la médina tombe en ruine de jour en jour sous les yeux ébahis des Constantinois, et le désintéressement coupable de ses responsables. Constantine, ville millénaire méritait mieux, beaucoup mieux…
Mâalem Abdelyakine
CONSTANTINE: TRANSRHUMEL ET TÉLÉPHÉRIQUE
Les pylônes de tous les dangers
Jeudi, 03 avril 2014 00:00
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Les pylônes de tous les dangers
L’ouverture à la circulation du huitième pont de l’antique Cirta est prévue pour le 16 avril, soit la veille de l’élection présidentielle. Un viaduc unique en son genre qui devrait contribuer au rayonnement de la capitale de l’Est algérien. Mais voilà que depuis près d’un mois, des eaux souterraines ont été constatées près du pylône N°4 du Transrhumel. La direction des travaux publics (DTP) a été saisie pour une étude, a rapporté hier l’APS. Des experts d’un bureau d’études danois ont été dépêchés sur place afin de déterminer les « mesures à mettre en œuvre pour remédier à cette situation et détailleront le mode d’intervention ». La DTP s’est voulue néanmoins rassurante en affirmant que ce phénomène peut « survenir dans tous les chantiers de construction d’ouvrages d’art dans le monde ». Un rapport devra d’ailleurs être remis « dans une quinzaine de jours » au maître d’ouvrage, en l’occurrence, la DTP. Beaucoup de Constantinois se faisaient une joie de pouvoir emprunter ce pont vertigineux dès le 16 avril. Il se pourrait fort bien que, finalement, l’ouverture à la circulation soit reportée à une date ultérieure, pour le moment inconnue, tant que l’étude n’aura pas apporté son lot de précisions. Il est à noter que le pylône en question est situé sur la rive droite du Rhumel, dans le secteur appelé Djenane Tchina. Il présente « des anomalies caractérisées par la présence d’une quantité non négligeable d’eau, provoquant un affaissement de toute la zone », a expliqué un ingénieur sur place qui a ajouté que « des forages ont été entrepris sur le site et des quantités de béton ont été injectées et ce, dans l’optique de consolider le pylône mais le résultat imposait une étude plus approfondie par des spécialistes hautement qualifiés dans le domaine ». La construction du viaduc avait été confiée au groupement brésilien Andrade-Gutierrez, avec en pointe de mire la technique des haubans, qui consiste en des câbles électriques partant d'un pylône supportant le tablier lequel supportera, à son tour, tout le poids de l’ouvrage. D’une longueur totale de 1 150 mètres et réalisé en double voie, le viaduc est considéré comme un « défi architectural » et une prouesse d’ingénierie. Sa traversée commence depuis la place de l’ONU, à proximité du centre-ville et se prolonge jusqu’au plateau de Mansourah, ce qui devrait permettre une meilleure desserte de la partie sud de la ville et surtout rendre plus fluide ce point noir qu’est, depuis des années, le problème de la circulation à Constantine. Il est prévu, par la suite, des jonctions entre le Transrhumel et l’autoroute Est-Ouest à partir de la cité Ziadia jusqu’à Djebel Ouahch et à l’autoroute vers l’aéroport international Mohamed-Boudiaf. Le coût total du projet est de 15 milliards de dinars. Avant de pouvoir l’emprunter, les Constantinois devront, comme pour le tramway en son temps, faire preuve de beaucoup de patience encore.
Lakhdar Habib
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L’ouverture à la circulation du huitième pont de l’antique Cirta est prévue pour le 16 avril, soit la veille de l’élection présidentielle. Un viaduc unique en son genre qui devrait contribuer au rayonnement de la capitale de l’Est algérien. Mais voilà que depuis près d’un mois, des eaux souterraines ont été constatées près du pylône N°4 du Transrhumel. La direction des travaux publics (DTP) a été saisie pour une étude, a rapporté hier l’APS. Des experts d’un bureau d’études danois ont été dépêchés sur place afin de déterminer les « mesures à mettre en œuvre pour remédier à cette situation et détailleront le mode d’intervention ». La DTP s’est voulue néanmoins rassurante en affirmant que ce phénomène peut « survenir dans tous les chantiers de construction d’ouvrages d’art dans le monde ». Un rapport devra d’ailleurs être remis « dans une quinzaine de jours » au maître d’ouvrage, en l’occurrence, la DTP. Beaucoup de Constantinois se faisaient une joie de pouvoir emprunter ce pont vertigineux dès le 16 avril. Il se pourrait fort bien que, finalement, l’ouverture à la circulation soit reportée à une date ultérieure, pour le moment inconnue, tant que l’étude n’aura pas apporté son lot de précisions. Il est à noter que le pylône en question est situé sur la rive droite du Rhumel, dans le secteur appelé Djenane Tchina. Il présente « des anomalies caractérisées par la présence d’une quantité non négligeable d’eau, provoquant un affaissement de toute la zone », a expliqué un ingénieur sur place qui a ajouté que « des forages ont été entrepris sur le site et des quantités de béton ont été injectées et ce, dans l’optique de consolider le pylône mais le résultat imposait une étude plus approfondie par des spécialistes hautement qualifiés dans le domaine ». La construction du viaduc avait été confiée au groupement brésilien Andrade-Gutierrez, avec en pointe de mire la technique des haubans, qui consiste en des câbles électriques partant d'un pylône supportant le tablier lequel supportera, à son tour, tout le poids de l’ouvrage. D’une longueur totale de 1 150 mètres et réalisé en double voie, le viaduc est considéré comme un « défi architectural » et une prouesse d’ingénierie. Sa traversée commence depuis la place de l’ONU, à proximité du centre-ville et se prolonge jusqu’au plateau de Mansourah, ce qui devrait permettre une meilleure desserte de la partie sud de la ville et surtout rendre plus fluide ce point noir qu’est, depuis des années, le problème de la circulation à Constantine. Il est prévu, par la suite, des jonctions entre le Transrhumel et l’autoroute Est-Ouest à partir de la cité Ziadia jusqu’à Djebel Ouahch et à l’autoroute vers l’aéroport international Mohamed-Boudiaf. Le coût total du projet est de 15 milliards de dinars. Avant de pouvoir l’emprunter, les Constantinois devront, comme pour le tramway en son temps, faire preuve de beaucoup de patience encore.
Lakhdar Habib
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Le wali d’Alger appelle à hâter la distribution
Le
wali d’Alger Abdelkader Zoukh a appelé les présidents des Assemblées
populaires communales (APC) de la capitale à accélérer l’opération de
distribution des locaux commerciaux inscrits dans le cadre du programme
100 locaux pour chaque commune, aux jeunes remplissant les conditions.
Lors de sa rencontre avec les élus locaux des communes de la
Circonscription administrative de Dar El Beïda, M. Zoukh a souligné que «la distribution des locaux commerciaux aux jeunes exige un intérêt particulier de la part des présidents d’APC».
Le président de la République avait approuvé en 2005 le lancement du
programme 100 locaux pour chaque commune, destinés aux jeunes. Le
programme englobe près de 140 000 locaux.
Le wali a, en outre, appelé ces responsables à «accorder davantage
d’intérêt aux logements CNEP et ceux inscrits dans le cadre des
programmes initiés par les communes car nécessitant un suivi minutieux », insistant sur l’impératif de «finaliser ce projet dans les plus brefs délais». S’adressant
aux présidents des APC de Dar El Beïda, Mohammadia, Bab Ezzouar, Aïn
Taya, El Marsa, Bordj El Bahri et Bordj El Kiffan, M. Zoukh a souligné
l’importance de veiller à la propreté de l’environnement, affirmant que «la
wilaya est prête à aider les communes défavorisées concernant le
recrutement d’agents d’entretien et l’acquisition d’équipements». Après
une visite aux communes précitées au cours de laquelle il s’est enquis
des préoccupations des citoyens, le wali d’Alger a appelé les présidents
de ces APC à«s’acquitter pleinement de leur mission ». Il a, en outre, préconisé «d’accorder un intérêt particulier aux communes côtières qui exigent des mesures exceptionnelles ».
La tournée effectuée par le wali d’Alger dans ces communes a été
marquée par un important regroupement de citoyens venus exprimer leurs
préoccupations. M. Zoukh a appelé les élus de la commune de Bordj el
Bahri où des jeunes d’un quartier de constructions précaires refusent la
réalisation d’un lycée dans leur voisinage, à oeuvrer pour que le calme
règne dans cette commune et«éviter que ces jeunes ne commettent des actes irréparables».
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CONSTANTINE: TRANSRHUMEL ET TÉLÉPHÉRIQUE
Les pylônes de tous les dangers
Jeudi, 03 avril 2014 00:00
L’ouverture à la circulation du huitième pont de l’antique Cirta est prévue pour le 16 avril, soit la veille de l’élection présidentielle. Un viaduc unique en son genre qui devrait contribuer au rayonnement de la capitale de l’Est algérien. Mais
voilà que depuis près d’un mois, des eaux souterraines ont été
constatées près du pylône N°4 du Transrhumel. La direction des travaux
publics (DTP) a été saisie pour une étude, a rapporté hier l’APS. Des
experts d’un bureau d’études danois ont été dépêchés sur place afin de
déterminer les « mesures à mettre en œuvre pour remédier à cette
situation et détailleront le mode d’intervention ». La DTP s’est voulue
néanmoins rassurante en affirmant que ce phénomène peut « survenir dans
tous les chantiers de construction d’ouvrages d’art dans le monde ». Un
rapport devra d’ailleurs être remis « dans une quinzaine de jours » au
maître d’ouvrage, en l’occurrence, la DTP. Beaucoup de Constantinois se
faisaient une joie de pouvoir emprunter ce pont vertigineux dès le 16
avril. Il se pourrait fort bien que, finalement, l’ouverture à la
circulation soit reportée à une date ultérieure, pour le moment
inconnue, tant que l’étude n’aura pas apporté son lot de précisions. Il
est à noter que le pylône en question est situé sur la rive droite du
Rhumel, dans le secteur appelé Djenane Tchina. Il présente « des
anomalies caractérisées par la présence d’une quantité non négligeable
d’eau, provoquant un affaissement de toute la zone », a expliqué un
ingénieur sur place qui a ajouté que « des forages ont été entrepris sur
le site et des quantités de béton ont été injectées et ce, dans
l’optique de consolider le pylône mais le résultat imposait une étude
plus approfondie par des spécialistes hautement qualifiés dans le
domaine ». La construction du viaduc avait été confiée au groupement
brésilien Andrade-Gutierrez, avec en pointe de mire la technique des
haubans, qui consiste en des câbles électriques partant d'un pylône
supportant le tablier lequel supportera, à son tour, tout le poids de
l’ouvrage. D’une longueur totale de 1 150 mètres et réalisé en double
voie, le viaduc est considéré comme un « défi architectural » et une
prouesse d’ingénierie. Sa traversée commence depuis la place de l’ONU, à
proximité du centre-ville et se prolonge jusqu’au plateau de Mansourah,
ce qui devrait permettre une meilleure desserte de la partie sud de la
ville et surtout rendre plus fluide ce point noir qu’est, depuis des
années, le problème de la circulation à Constantine. Il est prévu, par
la suite, des jonctions entre le Transrhumel et l’autoroute Est-Ouest à
partir de la cité Ziadia jusqu’à Djebel Ouahch et à l’autoroute vers
l’aéroport international Mohamed-Boudiaf. Le coût total du projet est de
15 milliards de dinars. Avant de pouvoir l’emprunter, les Constantinois
devront, comme pour le tramway en son temps, faire preuve de beaucoup
de patience encore.
Lakhdar Habib
CONSTANTINE: TRANSRHUMEL ET TÉLÉPHÉRIQUE
Les pylônes de tous les dangers
Jeudi, 03 avril 2014 00:00
L’ouverture à la circulation du huitième pont de l’antique Cirta est prévue pour le 16 avril, soit la veille de l’élection présidentielle. Un viaduc unique en son genre qui devrait contribuer au rayonnement de la capitale de l’Est algérien. Mais
voilà que depuis près d’un mois, des eaux souterraines ont été
constatées près du pylône N°4 du Transrhumel. La direction des travaux
publics (DTP) a été saisie pour une étude, a rapporté hier l’APS. Des
experts d’un bureau d’études danois ont été dépêchés sur place afin de
déterminer les « mesures à mettre en œuvre pour remédier à cette
situation et détailleront le mode d’intervention ». La DTP s’est voulue
néanmoins rassurante en affirmant que ce phénomène peut « survenir dans
tous les chantiers de construction d’ouvrages d’art dans le monde ». Un
rapport devra d’ailleurs être remis « dans une quinzaine de jours » au
maître d’ouvrage, en l’occurrence, la DTP. Beaucoup de Constantinois se
faisaient une joie de pouvoir emprunter ce pont vertigineux dès le 16
avril. Il se pourrait fort bien que, finalement, l’ouverture à la
circulation soit reportée à une date ultérieure, pour le moment
inconnue, tant que l’étude n’aura pas apporté son lot de précisions. Il
est à noter que le pylône en question est situé sur la rive droite du
Rhumel, dans le secteur appelé Djenane Tchina. Il présente « des
anomalies caractérisées par la présence d’une quantité non négligeable
d’eau, provoquant un affaissement de toute la zone », a expliqué un
ingénieur sur place qui a ajouté que « des forages ont été entrepris sur
le site et des quantités de béton ont été injectées et ce, dans
l’optique de consolider le pylône mais le résultat imposait une étude
plus approfondie par des spécialistes hautement qualifiés dans le
domaine ». La construction du viaduc avait été confiée au groupement
brésilien Andrade-Gutierrez, avec en pointe de mire la technique des
haubans, qui consiste en des câbles électriques partant d'un pylône
supportant le tablier lequel supportera, à son tour, tout le poids de
l’ouvrage. D’une longueur totale de 1 150 mètres et réalisé en double
voie, le viaduc est considéré comme un « défi architectural » et une
prouesse d’ingénierie. Sa traversée commence depuis la place de l’ONU, à
proximité du centre-ville et se prolonge jusqu’au plateau de Mansourah,
ce qui devrait permettre une meilleure desserte de la partie sud de la
ville et surtout rendre plus fluide ce point noir qu’est, depuis des
années, le problème de la circulation à Constantine. Il est prévu, par
la suite, des jonctions entre le Transrhumel et l’autoroute Est-Ouest à
partir de la cité Ziadia jusqu’à Djebel Ouahch et à l’autoroute vers
l’aéroport international Mohamed-Boudiaf. Le coût total du projet est de
15 milliards de dinars. Avant de pouvoir l’emprunter, les Constantinois
devront, comme pour le tramway en son temps, faire preuve de beaucoup
de patience encore.
Lakhdar Habib
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