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Selon nos interlocuteurs, les tentatives de reconstruction du bidonville ont commencé en vérité presque sitôt les démolitions achevées, mais ces derniers temps les choses se sont accélérées et particulièrement depuis le début de la campagne électorale. A telle enseigne, ajouteront-ils, que maintenant il y a près d'une dizaine de constructions qui sont pratiquement terminées et visibles, car donnant sur l'artère principale qui longe la mosquée en question, sans parler d'autres qui ne donnent pas sur la route, situées à l'arrière et donc pas aussi visibles. Et de poursuivre que d'ailleurs le sable et les autres matériaux de construction servant à l'édification desdites habitations précaires sont déversés sur les bords de la route au vu et au su de tout le monde. Ce qui est désolant et qui fait fulminer nos interlocuteurs, c'est que ces gens qui construisent sans autorisation, sans plans et dans la plus complète illégalité, diront-ils, ne semblent pas être dans le besoin au vu des voitures stationnées devant les nouvelles bâtisses. Mais plus grave encore, feront-ils savoir, c'est le comportement de ces gens-là, qui devant toute personne, même âgée, qui jette un coup d'œil sur le site, n'hésitent pas à utiliser des injures et des insanités pour la faire déguerpir. Questionné sur ce sujet, le délégué du secteur de Ziadia, Abdelmalek Benhamouda, reconnaît l'existence du phénomène en soulignant que les services de démolition de l'APC ont été appelés à la rescousse, il y a juste un peu plus d'un mois, pour la démolition de 74 bâtisses faites en tôles de zinc et de quatre autres en dur. Mais, il estimera que pour ce qui le concerne, la situation en est là, et avoue ignorer s'il y a d'autres cas, mais invite les citoyens de la «Bum» à prendre contact avec lui personnellement à propos de ces nouvelles constructions, qui seront, de toute façon, détruites comme les précédentes, assurera-t-il. Cependant, il fera observer que les habitants de Sarkina n'ont pas tous bénéficié de relogement et il en reste, dira-t-il, plus d'une trentaine qui ont fait des recours et qui attendent toujours les réponses de la daïra et du bureau d'études en aménagement et urbanisme «SAU», concernant leur cas et dont les habitations n'ont pas été démolies. Ceci expliquant le fait que le site ne soit pas encore totalement vidé de ses anciens occupants, sans nier toutefois que d'autres maisons aient été édifiées à l'insu de ses services techniques. «Quoi qu'il en soit, je renouvelle mon invitation aux habitants qui ont quelque chose à signaler, en la matière, et j'irai sur place avec eux pour vérifier et procéder aux démolitions après», conclura-t-il.
Et, parce qu'il s'agit de logements réceptionnés depuis longtemps déjà, on voit que leur impatience se mêle un peu à la colère et le dépit. «Pourquoi abandonne-t-on des logements finis à la dégradation et à l'usure du temps et refuser de les distribuer au profit des citoyens nécessiteux ?», se sont interrogés des représentants des habitants qui nous ont rendu visite à notre rédaction. Le spectacle de ces logements inoccupés froisse le cœur des riverains qui, avec plein de soupirs, n'arrivent pas à comprendre les raisons qui retardent leur distribution. De là à passer aux supputations, le pas est allègrement franchi. «C'est sûr qu'on cherche à inscrire sur la liste des bénéficiaires des gens qui n'ouvrent pas droit au logement social», croit-on savoir. Pour d'autres, le retard en question trouve son explication dans cet entêtement de certains responsables à vouloir placer des noms de leurs proches, alors qu'ils ont rencontré une ferme opposition de la part des autorités de la daïra, d'où leur attitude qui s'inscrit dans la lenteur. «Il y en a ceux qui mettent les bâtons dans les roues parce qu'ils n'ont pas obtenu gain de cause et inscrire l'un des leurs sur la liste des bénéficiaires», estiment nos interlocuteurs. En tout cas, la rumeur bat son plein à Ouled Rahmoun et le «secret» de ces 370 logements réceptionnés et non distribués fait des vagues dans la localité.
Interrogé hier à propos de la réalisation de ces logements, notamment le volet achèvement et réception, le directeur adjoint de l'OPGI, M. Ramoul, reconnaîtra implicitement que les 370 logements sont effectivement réceptionnés, ajoutant dans ce sens que la réception en question a été notifiée à la daïra pour les besoins de leur distribution. Notre interlocuteur tiendra, toutefois, à préciser que les logements sont répartis sur trois sites, Ouled Rahmoun, El Gourzi et Bounouara. Nous avons vainement tenté de joindre le chef de la daïra d'El Khroub pour avoir de plus amples détails sur le dossier, mais des sources concordantes n'ont pas manqué de nous livrer quelques éclaircissements à ce sujet. «La commission de daïra chargée de la distribution des logements sociaux s'est occupée, il n'y a pas si longtemps, de la distribution des logements au niveau de la commune d'El Khroub, et le prochain dossier qu'elle aura sur la table sera celui de Ouled Rahmoun», assure-t-on. Non sans rappeler dans ce sillage que la distribution des logements sociaux a été gelée durant ces dernières semaines à cause des élections présidentielles. Tout doit, donc, reprendre dans les prochains jours et la distribution des 370 logements sociaux de Ouled Rahmoun figure en priorité sur l'agenda des autorités de la daïra.
Pour que le diagnostic soit efficient, il doit être le plus précoce possible, dans les premières étapes du développement de la maladie. Chez la femme très jeune, il est préférable qu'il commence depuis la formation du sein parce qu'on constate maintenant que même la jeune fille âgée de 2O ans est atteinte par la maladie. Et d'inciter les jeunes filles de pratiquer l'échographie, même à l'âge de 15 ou 16 ans, en allant voir le médecin. Donc avant 4O ans, il vaut mieux utiliser l'échographie, et après 4O ans l'échographie plus la mammographie chez la femme. Et ces examens simples peuvent éviter de grands dangers susceptibles de conduire au décès. Aussi, les étudiants des deux sexes qui sont suivi cette conférence sont sortis avec un sentiment de satisfaction, considérant qu'ils ont appris des informations sur une maladie fort connue mais face à laquelle tout le monde observe une certaine indifférence ou un laxisme inquiétant. Ce qui a fait dire au docteur Abdallah Boukhalkhal, recteur de l'université islamique Emir Abdelkader de Constantine, qu'il a eu la main heureuse en programmant cette manifestation scientifique qui rentre dans le cadre de la célébration de Youm el Ilm et à laquelle ont participé de grands médecins spécialistes venus de la capitale et de Constantine qui vont délivrer des conseils pratiques et préventifs sur toutes les maladies qui peuvent menacer les étudiants en milieu universitaire.
La société émiratie Drake & Scull international PJSC (DSI), a annoncé que sa filiale, Drake & Scull Construction (DSC), a décroché un contrat de 147 millions AED (Dirhams Emiratis), environ 40 millions de dollars US, dans un projet de construction d'immeubles à Alger. Selon les termes du contrat, précise un communiqué de la société, DSC se chargera de la partie génie civil du projet, qui couvre une superficie urbanisée d'environ 66.500 m2. Le projet comprend des immeubles résidentiels et des espaces de commerce de détail dans un «endroit stratégique» de la capitale, ajoute encore la société.
Cité dans le communiqué, Salah Mouradweij, directeur général de Drake & Scull Construction, a déclaré : «Nous sommes ravis d'avoir été choisis pour cet important et prestigieux projet en Algérie, un pays qui demeure l'un de nos principaux secteurs de croissance et notre porte d'entrée sur le marché nord-africain. Nos équipes vont utiliser toute notre expérience et de notre main-d'œuvre qualifiée pour fournir des méga projets à l'avenir dans la région. Nous restons optimistes sur le potentiel du secteur de l'immobilier algérien».
DSI est déjà présente en Algérie dans plusieurs projets dans les secteurs de l'habitat résidentiel, du commerce et traitement des eaux. Depuis le début de 2014, DSI a décroché pour un montant de 1,19 milliard USD de projets aux Emirats Arabes unis, Arabie saoudite, au Koweït, en Europe, et en Inde.
A titre comparatif, dans des pays comme Chypre, très touché par la thalassémie, on est arrivé à mettre en place un système de prise en charge des malades qui a permis d’augmenter leur espérance de vie pour atteindre les 60 ans dans certains cas, et d’envisager l’éradication totale de la maladie. En France où l’on estime le nombre de malades à plus de 3000, des centres hospitaliers performants sont réservés pour le traitement de ces anémies, qui, pourtant, ont apparu à la faveur du flux migratoire qu’a connu l’hexagone.
Chez nos voisins maghrébins, la Tunisie et le Maroc plus particulièrement, dont les proportions de prévalence se rapprochent de l’Algérie, on est à un stade de traitement et de dépistage plus avancé par rapport à ce qui se fait dans notre pays. (A. Z.)
bezzafalia
le 19.04.14 | 11h51
amarseille1313
le 20.04.14 | 15h02
poussou
le 20.04.14 | 11h59
da_hamou
le 20.04.14 | 10h29
aaz
le 20.04.14 | 10h19
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le 20.04.14 | 09h26
just a tax payer
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polemiste/rationnel.
le 20.04.14 | 09h05
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naouri2001
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ROBIN2BOIS
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karimillizi33
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Bled mikki 62
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presto
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le 19.04.14 | 16h23
Lumen
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le 19.04.14 | 15h23
Dezil
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لقطة ''الخبر''
الخميس 24 أفريل 2014 تُعِدّها: هيبة داودي
تتساوى النسبة التي تحصل عليها الرئيس بوتفليقة 81%،ببوسعادة في المسيلة، مع نسبة الاستيلاء والتعدي على وادي غيلاسة بوسط المدينة، والنسبة من نتائج الانتخابات السابقة، حتى قيل إن المخالفين استأجروا عمالا ”شناوة” لإنجاز ما تم إنجازه في يومين فقط.
-
ونشر المرشح المقصي من الرئاسيات الأخيرة صورة له على صفحته في الفايس بوك أمام مقر الشركة في باريس، وتمنى أن تجد إدارة الأخيرة حلا للقضية يرضي جميع الأطراف.
وكانت مديرية مصنع الاسمنت لافارج، قد قررت طرد كامل العمال المضربين عن الطعام المقدر عددهم بـ17 عاملا، واتخاذ إجراءات قانونية في حقهم، خلال الاجتماع المرتقب، هذا الأسبوع، لمجلس الإدارة التابع للمجمع الفرنسي.
رفض الاعتراف بنتائجه عن الانتخابات ووصفه بـ”المؤسّسة الفاسدة”
بن فليس يفتح النّار على المجلس الدستوري
الخميس 24 أفريل 2014 الجزائر: خالد بودية
فتح المترشح السابق لرئاسيات 17 أفريل علي بن فليس، النّار على المجلس الدستوري عقب إعلانه عن النتائج النهائية للاقتراع، وقال إنّها “مؤسسة فاسدة لم يعد الشعب يثق فيها وثبت ذلك من خلال تزكيتها لتزوير واسع النطاق لطخ شرعية الانتخابات الرئاسية”. وكشف بن فليس عن تقرير من مئات الصفحات أطلق عليه اسم “الكتاب الأبيض” يتضمّن عمليات التزوير ولاية بولاية.
تناول رئيس الحكومة الأسبق علي بن فليس، في ندوة صحفية نشطها، أمس بمقر مداومته في أعالي العاصمة، المجلس الدستوري بـ”انتقادات لاذعة” واتهمه كمؤسسة برئيسها وأعضائها بأنها “تتقاعس عن مهمتها في الدفاع عن الشرعية وعن الدستور، وكما كنا ننتظر ها هو يزكي التزوير واسع النطاق الذي لطخ شرعية هذه الانتخابات”.
وأفاد بن فليس أن “الصك على بياض الذي وقعه المجلس الدستوري للمراجعة الدستورية سنة 2008، قد فتح المجال أمام التحايل على الإرادة الشعبية وقبول هذا التعدي المتغطرس من دون اللجوء إلى الاستفتاء الشعبي، وزكت هذه المؤسسة من دون إحساس بالذنب اغتصاب الدستور بإلغاء تحديد العهدات الرئاسية”.
وتأسف بن فليس عن “نزع كل صلاحيات المجلس الدستوري ونزل مستواه لمجرد جهاز بسيط وظف للخدمة الحصرية للنظام القائم، واتضح أنه خلال المسار الانتخابي الأخير خرج من دون قيد عن حياده وانحاز بشكل مفضوح إلى مرشح بعينه”.
وتساءل المتحدّث عن الغرض الحقيقي من تعيين رئيس المجلس الدستوري الحالي مراد مدلسي، وهو قريب جدا من الرئيس، وعن قبوله ملف ترشح الرئيس وثائقه الطبية مناقضة للحقيقة، ومصادقته على 4 ملايين صوت لمساندة مرشح النظام عن التحفظ عليها، وكذا عن وثيقة التصريحات بالممتلكات للرئيس المترشح التي لا تستجيب للقانون.
وأعلن رئيس الحكومة الأسبق ردا على أسئلة الصحفيين “عدم اعترافي بالنتائج المعلن عنها اليوم (أول أمس) من طرف المجلس الدستوري والتي اعتبرها مفتقدة للواقع المادي ولأي آثار سياسية أو قانونية، واعتبر أن اللجوء إلى التزوير يمس بشكل خطير شرعية المؤسسة الأولى في البلاد التي هي حجر الأساس بناءنا المؤسساتي”.
وذكر بن فليس أنه “ملتزم بإعلام الشعب الجزائري من خلال نشر “كتاب أبيض” عن كل مظاهر وأشكال العملية التزويرية التي ستبقى إلى الأبد عالقة بهذا الاقتراع، لذلك فإني اعتبر بكل إخلاص وشرف بأن حقوقي قد اغتصبت وبأنّي الفائز السياسي والمعنوي لهذا الانتخاب الرئاسي”.
ويقع هذا “الكتاب الأبيض” الذي هو تسمية للتقرير العام الذي أعده علي بن فليس، حسبه، عن عمليات التزوير الذي حدثت في كافة الولايات، ويتكون من مئات الصفحات مرفقا بملاحق إضافية، مشيرا إلى أن “التقرير سيكون في ظرف أيام قليلة تحت تصرف الشعب الجزائري ووسائل الإعلام للإطلاع عليه عبر الأنترنت”.
وأبرز المتحدث “شرعت في عملية التحضير لإنشاء حزب سياسي تكون غايته هي تحقيق مشروع التجديد الوطني كبديل من خلال الزخم الشعبي الذي نتج عنه، وسيكون هذا الحزب المحقق للتطلعات والمحفز للتعبئة ووسيلة لتحقيق التغيير”.
عدد القراءات : 8380 | عدد قراءات اليوم : 7647
أنشر على
1 -
2014-04-24م على 6:41
يعني المجلس الدستوري جاب من السماء 9 ملا يين صوت وحطها وانت لم يحتسب لك نسبة 10 ملا يين بهذا اللتصور الذي لا يصدقه بشر عاقلا ولا مجنون ...اتقي الله في نفسك وتجنب اللعب على الوتر الحساس وعاطفة الجزائري وابحث لك عن تموقع يا بني ...
2 - amgoug
alger
2014-04-24م على 6:46
bon courage que dieu nous ramen li fiha el khir rana krahna
3 - djemel
algerie
2014-04-24م على 7:04
العهدة 3سنوات السن 65 سنة قطب 13 حزبا انتهى اجله.
4 -
2014-04-24م على 8:28
شكرا يابنفليس واتمنا لك النجاح
5 - عمر
دزاير
2014-04-24م على 9:59
هاد لبلاد مادام النية ماكاش ماننجحوش كيكان هعاهم كان يقول الانتخابات نزيهة و الان كيما صحلو والو ولات مزورة!!!! كرتفال في دشرة
6 - amine
algerie
2014-04-24م على 9:03
يرحم والديك اخطينا عفنا انت وغيرك خلي الشعب يعيش في حاله انت لست وصي علينا لا انت في المقام ولا الذين يحكمون البلاد ولكن اذا حبيت الجزائر وجابك النيف على الشعب ارواح عيش معنا انت واولادك مش انت في بلاد واولادك ومصالحك في بلاد الخارج بركنا من الركوب على رقاب العباد يا كرسي المسؤولية من جهنم وانت واش راه جايبك لهذا الكرسي الملعون خافوا ربي في هذا الشعب حسبتوا الموت ماكايناش ولكن يوم الحساب عظيم يا ويلكم من لقاء الله تعالى اقرؤوا يا مسؤولين هته الاية وتمعنوا فيها مليح يقول عز وجل: ( إنا عرضنا الأمانة على السماوات والأرض والجبال فأبين أن يحملنها وأشفقن منها وحملها الإنسان إنه كان ظلوما جهولا ( 72 ) ) صدق الله العظيم والفاهم يفهم انشري يا خبر المصداقية ان كنتم اهل لها ......
7 - عادل
أولاد جلال
2014-04-24م على 9:40
التقاعس شيء و التآمر على الشرعية شيء.
كن واضح يا أستاذ
8 - خ.ه وهران
oran
2014-04-24م على 11:11
الله ينصر الحق
http://www.entv.dz/tvar/video/index.php?t=JT20H_23-04-2014
http://www.entv.dz/tvar/video/index.php?t=JT20H_22-04-2014
الأموال تفجر اللجنة الحرة لمساندة بوتفليقة
الخميس 24 أفريل 2014 elkhabar
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تستعد أكثر من 40 لجنة ولائية لسحب الثقة من قيادتها الوطنية الحرة، بسبب تمويل حملة الرئيس، عبد العزيز بوتفليقة، حيث أن اللجان الولائية تتهم هذه القيادة بتحويل كل الأموال التي تحصلت عليها من تبرعات رجال الأعمال لوجهات شخصية، وبأن اللجان المحلية لم تتحصل على سنتيم واحد، ما اضطر إطاراتها إلى الصرف على الحملة من جيوبهم الخاصة.
-
2014-04-24م على 3:18
تدوا الهوى و الريح
2 -
2014-04-24م على 12:21
عمري ما شفت واحد يضرب الشيتة و يزيد يخلصها من جيبو هههههههههههههه
fenec54
le 24.04.14 | 13h50
salimdziri
le 24.04.14 | 13h38
oraniadz
le 24.04.14 | 13h30
gri
le 24.04.14 | 13h30
TousConcerné
le 24.04.14 | 13h29
alg rien
le 24.04.14 | 13h29
justocratienne
le 24.04.14 | 13h28
amghar_amchoum
le 24.04.14 | 13h27
EL-WATANI 1
le 24.04.14 | 13h08
sadjida
le 24.04.14 | 11h23
Bebbouche bey mustapha
le 24.04.14 | 11h20
mailis
le 24.04.14 | 11h02
SHARMAN
le 24.04.14 | 11h01
3lilou boumerdes
le 24.04.14 | 10h50
petit lac
le 24.04.14 | 10h38
barbesse
le 24.04.14 | 10h26
facio
le 24.04.14 | 10h11
الاخبار العاجلة لاكتشاف الجزائريين غن اتفاق سري بين مرشحي الانتخابات الرئاسية وجماعة تلمسان وبالتعاون مع مديري الصحف المستقلة الجزائريةومدراء الصحافة العمومية ورجال اعمال برتبة جنرالات ومدراء القنوات التلفزيونية الجزائرية ومدير قناة المغاربية على ابداع سيناريو الانتخابات الرئاسية 2014حيث تتكفل صحيفة الوطن بتاسيس حركة بركات بينما تتولي صحيفة الخبر المعارضة الوهمية في حين يتكفل مرشحي الانتخابات الرئاسية بتشجيع الشعب الجزائري على المقاطعة الشعبية بينما تتولي قناة المغاربية الاشهار السياسي للرئيس بوتفليقة بدعوي تشجيع تيار المقاطعةالانتخابية ويدكر ان الرئيس بوتفليقة بالمقاطعة الشعبية للانتخابات الرئاسية حسب الخطة السرية حيث وضعت السلطة الجزائرية خطة سياسية مفادها تحريض الشعب على المقاطعة عكس صور التلفزيون الجزائري حتي تتم عملية التزوير بالراحة السياسية ويدكر ان بن فليس ولويزة حنون ورباعين وتواتي ومدراء الصحف المستقلة وصحافيين تحصلوا على امواتل طائلة بسبب تنفيدهم لخطة قاطع لاصبح رئيسا مدي الحياة والاسباب مجهولة
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والسعيد بوتفليقة يحضر لتعيين نفسه في منصب نائبا لرئيس الجمهورية الجزائرية مستقبللا والاسباب مجهولة
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par A. El Abci
Des citoyens
résidant à la cité Sakiet Sidi Youcef, plus connue par la «Bum», se plaignent
qu'en place et lieu de l'ancien bidonville de «Sarkina», site voisin de la cité
et situé près de la mosquée Omar Benabdelaziz, démoli depuis près d'une année
et dont les habitants ont été relogés à Ali Mendjeli, de nouvelles
constructions illicites sont en train de pousser comme des champignons, et ce
surtout pendant la nuit.
Selon nos interlocuteurs, les tentatives de reconstruction du bidonville ont commencé en vérité presque sitôt les démolitions achevées, mais ces derniers temps les choses se sont accélérées et particulièrement depuis le début de la campagne électorale. A telle enseigne, ajouteront-ils, que maintenant il y a près d'une dizaine de constructions qui sont pratiquement terminées et visibles, car donnant sur l'artère principale qui longe la mosquée en question, sans parler d'autres qui ne donnent pas sur la route, situées à l'arrière et donc pas aussi visibles. Et de poursuivre que d'ailleurs le sable et les autres matériaux de construction servant à l'édification desdites habitations précaires sont déversés sur les bords de la route au vu et au su de tout le monde. Ce qui est désolant et qui fait fulminer nos interlocuteurs, c'est que ces gens qui construisent sans autorisation, sans plans et dans la plus complète illégalité, diront-ils, ne semblent pas être dans le besoin au vu des voitures stationnées devant les nouvelles bâtisses. Mais plus grave encore, feront-ils savoir, c'est le comportement de ces gens-là, qui devant toute personne, même âgée, qui jette un coup d'œil sur le site, n'hésitent pas à utiliser des injures et des insanités pour la faire déguerpir. Questionné sur ce sujet, le délégué du secteur de Ziadia, Abdelmalek Benhamouda, reconnaît l'existence du phénomène en soulignant que les services de démolition de l'APC ont été appelés à la rescousse, il y a juste un peu plus d'un mois, pour la démolition de 74 bâtisses faites en tôles de zinc et de quatre autres en dur. Mais, il estimera que pour ce qui le concerne, la situation en est là, et avoue ignorer s'il y a d'autres cas, mais invite les citoyens de la «Bum» à prendre contact avec lui personnellement à propos de ces nouvelles constructions, qui seront, de toute façon, détruites comme les précédentes, assurera-t-il. Cependant, il fera observer que les habitants de Sarkina n'ont pas tous bénéficié de relogement et il en reste, dira-t-il, plus d'une trentaine qui ont fait des recours et qui attendent toujours les réponses de la daïra et du bureau d'études en aménagement et urbanisme «SAU», concernant leur cas et dont les habitations n'ont pas été démolies. Ceci expliquant le fait que le site ne soit pas encore totalement vidé de ses anciens occupants, sans nier toutefois que d'autres maisons aient été édifiées à l'insu de ses services techniques. «Quoi qu'il en soit, je renouvelle mon invitation aux habitants qui ont quelque chose à signaler, en la matière, et j'irai sur place avec eux pour vérifier et procéder aux démolitions après», conclura-t-il.
par Abdelkrim Zerzouri
Les habitants de
la commune de Ouled Rahmoun s'impatientent devant les lenteurs accusées par
l'opération de distribution de 370 logements sociaux réalisés par l'OPGI.
Et, parce qu'il s'agit de logements réceptionnés depuis longtemps déjà, on voit que leur impatience se mêle un peu à la colère et le dépit. «Pourquoi abandonne-t-on des logements finis à la dégradation et à l'usure du temps et refuser de les distribuer au profit des citoyens nécessiteux ?», se sont interrogés des représentants des habitants qui nous ont rendu visite à notre rédaction. Le spectacle de ces logements inoccupés froisse le cœur des riverains qui, avec plein de soupirs, n'arrivent pas à comprendre les raisons qui retardent leur distribution. De là à passer aux supputations, le pas est allègrement franchi. «C'est sûr qu'on cherche à inscrire sur la liste des bénéficiaires des gens qui n'ouvrent pas droit au logement social», croit-on savoir. Pour d'autres, le retard en question trouve son explication dans cet entêtement de certains responsables à vouloir placer des noms de leurs proches, alors qu'ils ont rencontré une ferme opposition de la part des autorités de la daïra, d'où leur attitude qui s'inscrit dans la lenteur. «Il y en a ceux qui mettent les bâtons dans les roues parce qu'ils n'ont pas obtenu gain de cause et inscrire l'un des leurs sur la liste des bénéficiaires», estiment nos interlocuteurs. En tout cas, la rumeur bat son plein à Ouled Rahmoun et le «secret» de ces 370 logements réceptionnés et non distribués fait des vagues dans la localité.
Interrogé hier à propos de la réalisation de ces logements, notamment le volet achèvement et réception, le directeur adjoint de l'OPGI, M. Ramoul, reconnaîtra implicitement que les 370 logements sont effectivement réceptionnés, ajoutant dans ce sens que la réception en question a été notifiée à la daïra pour les besoins de leur distribution. Notre interlocuteur tiendra, toutefois, à préciser que les logements sont répartis sur trois sites, Ouled Rahmoun, El Gourzi et Bounouara. Nous avons vainement tenté de joindre le chef de la daïra d'El Khroub pour avoir de plus amples détails sur le dossier, mais des sources concordantes n'ont pas manqué de nous livrer quelques éclaircissements à ce sujet. «La commission de daïra chargée de la distribution des logements sociaux s'est occupée, il n'y a pas si longtemps, de la distribution des logements au niveau de la commune d'El Khroub, et le prochain dossier qu'elle aura sur la table sera celui de Ouled Rahmoun», assure-t-on. Non sans rappeler dans ce sillage que la distribution des logements sociaux a été gelée durant ces dernières semaines à cause des élections présidentielles. Tout doit, donc, reprendre dans les prochains jours et la distribution des 370 logements sociaux de Ouled Rahmoun figure en priorité sur l'agenda des autorités de la daïra.
par A. M.
Le dépistage
précoce du cancer du sein a été longuement expliqué hier aux étudiantes de
l'université islamique Emir Abdelkader de Constantine à l'occasion de
l'organisation d'une Journée médicale sur la prévention des maladies en milieu
estudiantin. C'est la docteur Soumia Oualmani, médecin exerçant au niveau du
secteur privé, qui a ouvert le cycle des conférences en présentant, à
l'occasion, une communication axée sur la prévention de cette pathologie,
conférence qui a été suivie par un auditoire fort nombreux et attentif. Cette
praticienne commencera par dire dans sa conférence qu'elle veut «apporter des
informations utiles aux étudiantes sur le peu d'expérience que j'ai acquise
dans ma pratique médicale dans la spécialité du cancer du sein, parce qu'on a
constaté, hélas, que les femmes jeunes et moins jeunes ne cherchent pas à
s'informer sur ce mal terrible et rampant, et ce pour des raisons relevant de
certains complexes culturels, religieux ou psychologiques alors qu'à présent
les techniques nouvelles et les découvertes de la science médicale permettent
de l'éviter pour peu que l'on s'y prenne suffisamment à l'avance pour le
dépister. Et c'est là l'aspect important de ma communication: le dépistage
précoce du cancer du sein qui reste le réflexe primordial à effectuer pour
l'éviter». Et d'ajouter à l'intention des intéressées que le dépistage précoce
est très facile et qu'il peut se faire par l'autopalpation, même si cette
méthode est somme toute assez limitée parce que la main ne découvre que les
tumeurs de 2 à 3 cm². Mais la meilleure méthode de pratiquer le dépistage
précoce reste les rayons X à travers la mammographie ou l'échographie qui
permettent de découvrir amplement cette maladie, indique la docteur Oualmani.
Pour que le diagnostic soit efficient, il doit être le plus précoce possible, dans les premières étapes du développement de la maladie. Chez la femme très jeune, il est préférable qu'il commence depuis la formation du sein parce qu'on constate maintenant que même la jeune fille âgée de 2O ans est atteinte par la maladie. Et d'inciter les jeunes filles de pratiquer l'échographie, même à l'âge de 15 ou 16 ans, en allant voir le médecin. Donc avant 4O ans, il vaut mieux utiliser l'échographie, et après 4O ans l'échographie plus la mammographie chez la femme. Et ces examens simples peuvent éviter de grands dangers susceptibles de conduire au décès. Aussi, les étudiants des deux sexes qui sont suivi cette conférence sont sortis avec un sentiment de satisfaction, considérant qu'ils ont appris des informations sur une maladie fort connue mais face à laquelle tout le monde observe une certaine indifférence ou un laxisme inquiétant. Ce qui a fait dire au docteur Abdallah Boukhalkhal, recteur de l'université islamique Emir Abdelkader de Constantine, qu'il a eu la main heureuse en programmant cette manifestation scientifique qui rentre dans le cadre de la célébration de Youm el Ilm et à laquelle ont participé de grands médecins spécialistes venus de la capitale et de Constantine qui vont délivrer des conseils pratiques et préventifs sur toutes les maladies qui peuvent menacer les étudiants en milieu universitaire.
par R. N.
La société émiratie Drake & Scull international PJSC (DSI), a annoncé que sa filiale, Drake & Scull Construction (DSC), a décroché un contrat de 147 millions AED (Dirhams Emiratis), environ 40 millions de dollars US, dans un projet de construction d'immeubles à Alger. Selon les termes du contrat, précise un communiqué de la société, DSC se chargera de la partie génie civil du projet, qui couvre une superficie urbanisée d'environ 66.500 m2. Le projet comprend des immeubles résidentiels et des espaces de commerce de détail dans un «endroit stratégique» de la capitale, ajoute encore la société.
Cité dans le communiqué, Salah Mouradweij, directeur général de Drake & Scull Construction, a déclaré : «Nous sommes ravis d'avoir été choisis pour cet important et prestigieux projet en Algérie, un pays qui demeure l'un de nos principaux secteurs de croissance et notre porte d'entrée sur le marché nord-africain. Nos équipes vont utiliser toute notre expérience et de notre main-d'œuvre qualifiée pour fournir des méga projets à l'avenir dans la région. Nous restons optimistes sur le potentiel du secteur de l'immobilier algérien».
DSI est déjà présente en Algérie dans plusieurs projets dans les secteurs de l'habitat résidentiel, du commerce et traitement des eaux. Depuis le début de 2014, DSI a décroché pour un montant de 1,19 milliard USD de projets aux Emirats Arabes unis, Arabie saoudite, au Koweït, en Europe, et en Inde.
Galère des transports
Ces taxis qui ne vous emmènent jamais où vous voulez !
le 24.04.14 | 10h00
1 réaction
|
© Saâd
Il ne suffit pas d’héler un taxi pour qu’il s’arrête. Il ne suffit pas non plus d’y prendre place pour être sûr d’arriver à destination.
Elle quitte le trottoir et avance hésitante en levant le bras. Comme
pour se montrer plus persuasive. La remarquant, un taxi met son
clignotant et se dirige vers elle. Il ralentit. Mais pas assez. Il la
dépasse.
La dame, la trentaine bien entamée, court pour le rejoindre.
- Ben Aknoun SVP, demande-t-elle d’une voix presque suppliante.
- Machi triki (Ce n’est pas sur mon chemin), je vais à la Grande Poste, répond le chauffeur avant de reprendre sa route sans sourciller.
Sa voiture était pourtant vide et la règle est claire : un taxi qui n’a pas de client à bord n’a pas le droit de refuser de transporter une personne, quelle que soit sa destination. Mais les taxis à Alger, tout autant que dans les autres villes du pays, font leur loi. Qu’ils soient collectifs ou individuels, ils limitent généralement leurs déplacements aux grandes artères. Il ne suffit pas d’héler un taxi pour qu’il s’arrête.
Il ne suffit pas d’y prendre place pour être sûr d’arriver à destination.
La dame devra attendre un autre taxi, puis encore un autre, peut-être un troisième, un quatrième, jusqu’à tomber sur un chauffeur qui voudra bien l’emmener où elle veut. Une véritable galère. «C’est un véritable problème à Alger. Pour qu’un taxi accepte de vous emmener là où vous voulez, il faut doubler voire tripler le montant de la course pour qu’il accepte ; ce n’est pas normal», se plaint un Algérois assis sur la banquette arrière d’une R-19 bleue, qui sillonne le centre-ville, celle de Mohamed, 69 ans, chauffeur de taxi à Alger depuis plus de 25 ans. Il fait partie des 14 000 taxis qui sillonnent la capitale à longueur de journée.
Satanés embouteillages !
«C’est difficile pour nous», explique Mohamed. «Nous sommes en plein centre-ville, vous ne pouvez pas me demander de vous emmener maintenant à Bouzaréah, ça ne m’arrange pas de subir deux heures d’embouteillage pour 80 dinars», ajoute-t-il. D’après Mohamed, le fait que les chauffeurs de taxi d’Alger optent pour des lignes courtes et précises n’est qu’une conséquence.
«Le problème, ce sont les embouteillages ! Je ne peux pas vous emmener où vous voulez ! Traverser la ville et aller dans les quartiers les plus inaccessibles parce que ça vous coûtera trop cher», insiste-t-il encore.
Et pourtant, d’autres le font ! A Alger, les taxis clandestins sont parfois décriés par ceux à qui ils font concurrence. Souvent adorés par ceux qu’ils dépannent. Ils attendent sur des aires de stationnement spécifiques.
Ils font tout pour se faire reconnaître, mais tout en restant paradoxalement discrets — de peur des contrôles de police. Ils peuvent vous accoster en pleine rue pour vous proposer leurs services, ou mieux travaillent par appels, en comptant sur «le téléphone arabe». Leurs numéros se transmettent parfois entre amis.
Leurs noms circulent de réseau en réseau. Ils n’ont pas de voiture jaune, aucun dispositif lumineux à l’extérieur, et encore moins de compteur à bord, mais une clientèle en or. Leur point fort : vous emmener exactement où vous voulez. «C’est de la concurrence déloyale. Parce qu’ils ne payent pas d’impôts. Et nous volent nos clients», lâche Mohamed, qui après 25 ans de métier supporte de plus en plus mal ce phénomène qui se généralise. Il ne comprend pas pourquoi les clients se plaignent souvent de la cherté des courses en taxi, en leur concédant quelques pièces de monnaie, alors «qu’ils ne rechignent jamais avec les clandestins».
«Ils montent en voiture avec de parfaits inconnus qui ne sont même pas déclarés, ils ne se rendent pas compte que leur sécurité n’est pas garantie, mais ils les payent cher et avec le sourire», dénonce encore Mohamed.
Les habitués des taxis à Alger ne sont pas toujours de cet avis.
«Vive les clandestins»
«Ce sont souvent des pères de famille au chômage, ils essayent de boucler des fins de mois difficiles», fait remarquer le vieux confortablement assis sur la banquette arrière de la R-19 bleue. «C’est vrai, ce qui rend cette problématique très complexe» se ravise Mohamed. Omar, 45 ans, fait partie de ces chauffeurs de taxi clandestin qui vous emmènent où vous voulez à condition que vous y mettiez le prix.«Ce n’est pas de la concurrence déloyale, on n’a juste pas le choix», rétorque Omar qui est entré dans «le marché informel par dépit», assure-t-il. «Il faut être ancien moudjahid pour avoir une licence», lâche-t-il encore. «Je n’ai pas pu en avoir une, c’est compliqué de trouver quelqu’un qui accepte de te la louer, les gens se les arrachent», ajoute Omar dépité.
Djamila, 30 ans, galère de taxi en taxi depuis quatre mois. «J’ai eu un retrait de permis et je suis déléguée commerciale, mon travail ce sont les déplacements, alors je n’ai d’autre choix que de mettre la main à la poche.» Mais Djamila n’a pas opté pour n’importe quels taxis. «Vive les clandestins !», lâche-t-elle. «C’est grâce à eux que je m’en sors ; certes, je paye trois à quatre fois plus cher, mais ils m’emmènent où je veux, quand je le veux, il suffit d’un coup de téléphone pour éviter la galère.» Ils seraient aussi nombreux que les taxis réguliers à exercer dans la capitale, alimentant un marché parallèle florissant.
La dame, la trentaine bien entamée, court pour le rejoindre.
- Ben Aknoun SVP, demande-t-elle d’une voix presque suppliante.
- Machi triki (Ce n’est pas sur mon chemin), je vais à la Grande Poste, répond le chauffeur avant de reprendre sa route sans sourciller.
Sa voiture était pourtant vide et la règle est claire : un taxi qui n’a pas de client à bord n’a pas le droit de refuser de transporter une personne, quelle que soit sa destination. Mais les taxis à Alger, tout autant que dans les autres villes du pays, font leur loi. Qu’ils soient collectifs ou individuels, ils limitent généralement leurs déplacements aux grandes artères. Il ne suffit pas d’héler un taxi pour qu’il s’arrête.
Il ne suffit pas d’y prendre place pour être sûr d’arriver à destination.
La dame devra attendre un autre taxi, puis encore un autre, peut-être un troisième, un quatrième, jusqu’à tomber sur un chauffeur qui voudra bien l’emmener où elle veut. Une véritable galère. «C’est un véritable problème à Alger. Pour qu’un taxi accepte de vous emmener là où vous voulez, il faut doubler voire tripler le montant de la course pour qu’il accepte ; ce n’est pas normal», se plaint un Algérois assis sur la banquette arrière d’une R-19 bleue, qui sillonne le centre-ville, celle de Mohamed, 69 ans, chauffeur de taxi à Alger depuis plus de 25 ans. Il fait partie des 14 000 taxis qui sillonnent la capitale à longueur de journée.
Satanés embouteillages !
«C’est difficile pour nous», explique Mohamed. «Nous sommes en plein centre-ville, vous ne pouvez pas me demander de vous emmener maintenant à Bouzaréah, ça ne m’arrange pas de subir deux heures d’embouteillage pour 80 dinars», ajoute-t-il. D’après Mohamed, le fait que les chauffeurs de taxi d’Alger optent pour des lignes courtes et précises n’est qu’une conséquence.
«Le problème, ce sont les embouteillages ! Je ne peux pas vous emmener où vous voulez ! Traverser la ville et aller dans les quartiers les plus inaccessibles parce que ça vous coûtera trop cher», insiste-t-il encore.
Et pourtant, d’autres le font ! A Alger, les taxis clandestins sont parfois décriés par ceux à qui ils font concurrence. Souvent adorés par ceux qu’ils dépannent. Ils attendent sur des aires de stationnement spécifiques.
Ils font tout pour se faire reconnaître, mais tout en restant paradoxalement discrets — de peur des contrôles de police. Ils peuvent vous accoster en pleine rue pour vous proposer leurs services, ou mieux travaillent par appels, en comptant sur «le téléphone arabe». Leurs numéros se transmettent parfois entre amis.
Leurs noms circulent de réseau en réseau. Ils n’ont pas de voiture jaune, aucun dispositif lumineux à l’extérieur, et encore moins de compteur à bord, mais une clientèle en or. Leur point fort : vous emmener exactement où vous voulez. «C’est de la concurrence déloyale. Parce qu’ils ne payent pas d’impôts. Et nous volent nos clients», lâche Mohamed, qui après 25 ans de métier supporte de plus en plus mal ce phénomène qui se généralise. Il ne comprend pas pourquoi les clients se plaignent souvent de la cherté des courses en taxi, en leur concédant quelques pièces de monnaie, alors «qu’ils ne rechignent jamais avec les clandestins».
«Ils montent en voiture avec de parfaits inconnus qui ne sont même pas déclarés, ils ne se rendent pas compte que leur sécurité n’est pas garantie, mais ils les payent cher et avec le sourire», dénonce encore Mohamed.
Les habitués des taxis à Alger ne sont pas toujours de cet avis.
«Vive les clandestins»
«Ce sont souvent des pères de famille au chômage, ils essayent de boucler des fins de mois difficiles», fait remarquer le vieux confortablement assis sur la banquette arrière de la R-19 bleue. «C’est vrai, ce qui rend cette problématique très complexe» se ravise Mohamed. Omar, 45 ans, fait partie de ces chauffeurs de taxi clandestin qui vous emmènent où vous voulez à condition que vous y mettiez le prix.«Ce n’est pas de la concurrence déloyale, on n’a juste pas le choix», rétorque Omar qui est entré dans «le marché informel par dépit», assure-t-il. «Il faut être ancien moudjahid pour avoir une licence», lâche-t-il encore. «Je n’ai pas pu en avoir une, c’est compliqué de trouver quelqu’un qui accepte de te la louer, les gens se les arrachent», ajoute Omar dépité.
Djamila, 30 ans, galère de taxi en taxi depuis quatre mois. «J’ai eu un retrait de permis et je suis déléguée commerciale, mon travail ce sont les déplacements, alors je n’ai d’autre choix que de mettre la main à la poche.» Mais Djamila n’a pas opté pour n’importe quels taxis. «Vive les clandestins !», lâche-t-elle. «C’est grâce à eux que je m’en sors ; certes, je paye trois à quatre fois plus cher, mais ils m’emmènent où je veux, quand je le veux, il suffit d’un coup de téléphone pour éviter la galère.» Ils seraient aussi nombreux que les taxis réguliers à exercer dans la capitale, alimentant un marché parallèle florissant.
Bouredji Fella
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Rajel
le 24.04.14 | 12h49
Le problème date depuis longtemps
Ce problème de refus de beaucoup de taxieurs pour certaines
destinations ne datent pas d’aujourd’hui mais bien avant que Alger
connaisse ses embouteillages. Donc le prétexte ce n’est pas uniquement
de l’embouteillage. Aujourd’hui beaucoup de taxieurs ne sont pas des
professionnels et je ne pense pas que la situation va s’arranger surtout
que la capitale suffoque à cause du nombre de véhicule qui circulent
L’idée ne fait pas l’unanimité
Bientôt des «taxis roses» pour les dames à Oran !
le 24.04.14 | 10h00
Réagissez
Des taxis roses devront sillonner, sous peu, les boulevards de la ville d’Oran.
Cette information, pour le moins surprenante, voilà déjà quelques mois
que les Oranais en ont eu vent. Ces taxis auront cette particularité de
n’être conduits que par des femmes, et de facto ne transporteront qu’une
clientèle de la gent féminine. Cette initiative étrange a fait réagir
plus d’un à Oran, autant hommes que femmes : «Quelle idée que de ne
consacrer des taxis que pour les femmes ? Et puis quoi encore ?
Sommes-nous en train de suivre le modèle iranien ?» C’est par ces termes
que beaucoup se sont insurgés. D’autres, taquins, ont fait quelques
similitudes entre «taxi rose» et «téléphone rose» : «Au début, quand
j’ai entendu parler des taxis roses, j’ai pensé à tout autre chose, et
je me suis dit qu’il n’était pas étonnant que cela ait lieu à Oran !».
Taxi «For ladies»
En vérité, ces taxis «for ladies» sont à l’initiative de la société «taxis Aamor», une boîte implantée à Oran et qui ambitionne, en outre, de créer des taxis pour handicapés, ainsi que des taxis «VIP» (taxis dits de luxe). C’était le mois de janvier dernier qu’elle avait annoncé la mise en service de cette catégorie de taxis, uniquement consacrée aux femmes. Or, depuis les semaines ont passé et les Oranais n’ont vu aucun taxi rose sillonner leur ville. Beaucoup en ont conclu que ce projet avait fait choux blanc, et que les Oranaises ont boycotté ces véhicules qui leur étaient destinés.
Pourquoi faire ?
En fait, que nenni : les taxis «for ladies» n’ont pas connu de fiasco pour la bonne raison que jusqu’à ce jour ils ne sont toujours pas opérationnels. «Il nous faut un statut, explique Benhada Smaïn, le gérant et propriétaire de la société Taxi Aamor. Le ministre des Transports nous a promis une autorisation après les échéances électorales (Ndlr : l’entretien a eu lieu avant le 17 avril) ; aussi, la mise en service de nos taxis roses devra se faire tout prochainement.» Il nous expliquera également que la mise en service de ces véhicules pour femmes se fera sous forme d’abonnement.
«Car, vis-à-vis de la loi, il nous est interdit de ne transporter exclusivement que des femmes. Aussi, nos taxis roses ne pourront fonctionner qu’en mode d’abonnement : nos clientes devront s’acquitter d’une caution de 1000 DA, nous fournir un extrait d’acte de naissance, et la photocopie de la CNI. Elles feront appel à nos services par voie de téléphone.» Benhada Smaïn se défend de toute idée d’islamiser ou d’iraniser la société par ce projet. «C’est un projet qui a vu le jour d’abord à Dubaï, puis il s’est étendu en Turquie, en Egypte et même à Londres. A Paris aussi, un député UMP compte lancer prochainement cette initiative.»
Mais alors, si les taxis roses n’ont pas d’arrière-pensées religieuses, pour quelles raisons cette société croit-elle bon de les lancer à Oran ?
«Souvent, des clients empruntent nos taxis en état d’ébriété, et on n’a pas le droit de ne pas les faire monter. Aussi, l’idée nous est venue de créer une catégorie de taxis exclusive aux femmes, histoire de les protéger et les mettre à l’aise.» Un argument jugé «terre-à-terre» de l’avis de beaucoup de femmes. «Je vois cela comme une sorte d’acceptation d’un fait accompli : au lieu de lutter contre la violence faite aux femmes, on se résigne et on s’en accommode en leur créant des taxis spécifiques. Cela est complètement abscons !», diront certaines. Toujours est-il, force est d’admettre que beaucoup d’Oranaises ne semblent pas s’embarrasser avec des questions de principes et voient d’un bon œil la création de cette société : à cette heure, elles seraient 167 à s’être abonnées aux taxis roses !
Taxi «For ladies»
En vérité, ces taxis «for ladies» sont à l’initiative de la société «taxis Aamor», une boîte implantée à Oran et qui ambitionne, en outre, de créer des taxis pour handicapés, ainsi que des taxis «VIP» (taxis dits de luxe). C’était le mois de janvier dernier qu’elle avait annoncé la mise en service de cette catégorie de taxis, uniquement consacrée aux femmes. Or, depuis les semaines ont passé et les Oranais n’ont vu aucun taxi rose sillonner leur ville. Beaucoup en ont conclu que ce projet avait fait choux blanc, et que les Oranaises ont boycotté ces véhicules qui leur étaient destinés.
Pourquoi faire ?
En fait, que nenni : les taxis «for ladies» n’ont pas connu de fiasco pour la bonne raison que jusqu’à ce jour ils ne sont toujours pas opérationnels. «Il nous faut un statut, explique Benhada Smaïn, le gérant et propriétaire de la société Taxi Aamor. Le ministre des Transports nous a promis une autorisation après les échéances électorales (Ndlr : l’entretien a eu lieu avant le 17 avril) ; aussi, la mise en service de nos taxis roses devra se faire tout prochainement.» Il nous expliquera également que la mise en service de ces véhicules pour femmes se fera sous forme d’abonnement.
«Car, vis-à-vis de la loi, il nous est interdit de ne transporter exclusivement que des femmes. Aussi, nos taxis roses ne pourront fonctionner qu’en mode d’abonnement : nos clientes devront s’acquitter d’une caution de 1000 DA, nous fournir un extrait d’acte de naissance, et la photocopie de la CNI. Elles feront appel à nos services par voie de téléphone.» Benhada Smaïn se défend de toute idée d’islamiser ou d’iraniser la société par ce projet. «C’est un projet qui a vu le jour d’abord à Dubaï, puis il s’est étendu en Turquie, en Egypte et même à Londres. A Paris aussi, un député UMP compte lancer prochainement cette initiative.»
Mais alors, si les taxis roses n’ont pas d’arrière-pensées religieuses, pour quelles raisons cette société croit-elle bon de les lancer à Oran ?
«Souvent, des clients empruntent nos taxis en état d’ébriété, et on n’a pas le droit de ne pas les faire monter. Aussi, l’idée nous est venue de créer une catégorie de taxis exclusive aux femmes, histoire de les protéger et les mettre à l’aise.» Un argument jugé «terre-à-terre» de l’avis de beaucoup de femmes. «Je vois cela comme une sorte d’acceptation d’un fait accompli : au lieu de lutter contre la violence faite aux femmes, on se résigne et on s’en accommode en leur créant des taxis spécifiques. Cela est complètement abscons !», diront certaines. Toujours est-il, force est d’admettre que beaucoup d’Oranaises ne semblent pas s’embarrasser avec des questions de principes et voient d’un bon œil la création de cette société : à cette heure, elles seraient 167 à s’être abonnées aux taxis roses !
Akram El Kébir
Le Mois du patrimoine, à quoi ça sert ?
le 24.04.14 | 10h00
Réagissez
Le 18 avril dernier a été donné le coup d’envoi du Mois du patrimoine en Algérie. Aussi, durant tout un mois, le patrimoine algérien doit être «célébré» en bonne et due forme. Serait-ce le cas ? Etait-ce le cas les années précédentes ? Une chose est sûre, de plus en plus d’associations se soulèvent contre la tenue de ces festivités qui durent tout un mois.
C’est le cas de l’association Bel Horizon qui préconise de remplacer le
Mois du patrimoine par ce qu’elle appelle «Des journées patrimoniales».
«Actuellement, il n’y a que notre pays qui célèbre le patrimoine durant
tout un mois», nous explique Kouider Métaïr, le président de cette
association. En 1993, les ministres de la Culture de la moribonde UMA
(Union du Maghreb arabe) décident d’un mois pour célébrer le patrimoine
intercalé entre les Journées internationales du monument (18 avril) et
des musées (18 mai), ce qui fut vite compris, et à tort, comme «Mois
mondial du patrimoine» par certaines associations.
Pas de dimension nationale
Dans sa configuration actuelle, le Mois du patrimoine n’a pas de dimension «nationale», selon M. Métaïr, pour la bonne raison qu’il ne concerne que «les démembrements du ministère de la Culture, qui en fixe le thème chaque année». Dans les autres pays, explique-t-il, lors des journées patrimoniales, toutes les institutions du pays poussent dans la même direction pour proposer une offre culturelle abondante durant un week-end. Un week-end attendu par tous pour sa convivialité et ses découvertes : musées ouverts et gratuits, visites guidées spécifiques, bâtiments officiels ouverts (y compris les bureaux des maires), conférences de haut niveau, présentations des projets en cours sur site, dossiers de presse et émissions TV et radio.
Le prix d’entrée dans les musée à la hausse
En Algérie, le Mois du patrimoine se réduit à un rituel où «les institutions culturelles se sentent presque obligées de le faire avec des activités en salle fermée et durant des jours ouvrables (conférences, expositions de photos, animations folkloriques, ou volontariat de reboisement, désherbage, etc.), c’est-à-dire des activités de tous les jours, censées être menées toute l’année et qu’on reconduit machinalement et sans conviction».
Aussi, selon l’association Bel Horizon, organiser en lieu et place du Mois du patrimoine des journées patrimoniales supposerait la garantie d’une offre culturelle exceptionnelle, originale et de qualité. «En vérité, l’idée de base des Journées patrimoniales reste l’appropriation de l’espace public et du patrimoine par les populations et de faire en sorte qu’il soit l’affaire de toutes les institutions».
Ainsi, les manifestations seront riches et hautes en couleur, suscitant la participation nombreuse du public et favorisant l’appropriation des populations de leur patrimoine. «C’est ce que nous essayons de faire à chaque fois que l’occasion se présente au niveau de Bel Horizon avec le succès de la randonnée très attendue du 1er mai. Celle de 2011 a drainé plus de 20 000 participants !»
Pour cette année, la randonnée patrimoniale du 1er mai se transformera en balade urbaine «pour la promotion de l’art de la rue avec des artistes venus de plusieurs régions».Elle sera suivie par d’autres balades dans les quartiers populaires, avec diverses thématiques liées à l’histoire sociale de ces cités.Enfin, pour l’anecdote, le président de Bel Horizon nous rappelle qu’à l’ouverture du Mois officiel du patrimoine en 2013, «le ministère de la Culture n’a pas trouvé meilleur cadeau à offrir aux populations que d’augmenter le prix d’entrée dans les musées, alors que durant ce mois on devrait s’attendre à des entrées gratuites, comme cela se fait partout dans le monde».
Pas de dimension nationale
Dans sa configuration actuelle, le Mois du patrimoine n’a pas de dimension «nationale», selon M. Métaïr, pour la bonne raison qu’il ne concerne que «les démembrements du ministère de la Culture, qui en fixe le thème chaque année». Dans les autres pays, explique-t-il, lors des journées patrimoniales, toutes les institutions du pays poussent dans la même direction pour proposer une offre culturelle abondante durant un week-end. Un week-end attendu par tous pour sa convivialité et ses découvertes : musées ouverts et gratuits, visites guidées spécifiques, bâtiments officiels ouverts (y compris les bureaux des maires), conférences de haut niveau, présentations des projets en cours sur site, dossiers de presse et émissions TV et radio.
Le prix d’entrée dans les musée à la hausse
En Algérie, le Mois du patrimoine se réduit à un rituel où «les institutions culturelles se sentent presque obligées de le faire avec des activités en salle fermée et durant des jours ouvrables (conférences, expositions de photos, animations folkloriques, ou volontariat de reboisement, désherbage, etc.), c’est-à-dire des activités de tous les jours, censées être menées toute l’année et qu’on reconduit machinalement et sans conviction».
Aussi, selon l’association Bel Horizon, organiser en lieu et place du Mois du patrimoine des journées patrimoniales supposerait la garantie d’une offre culturelle exceptionnelle, originale et de qualité. «En vérité, l’idée de base des Journées patrimoniales reste l’appropriation de l’espace public et du patrimoine par les populations et de faire en sorte qu’il soit l’affaire de toutes les institutions».
Ainsi, les manifestations seront riches et hautes en couleur, suscitant la participation nombreuse du public et favorisant l’appropriation des populations de leur patrimoine. «C’est ce que nous essayons de faire à chaque fois que l’occasion se présente au niveau de Bel Horizon avec le succès de la randonnée très attendue du 1er mai. Celle de 2011 a drainé plus de 20 000 participants !»
Pour cette année, la randonnée patrimoniale du 1er mai se transformera en balade urbaine «pour la promotion de l’art de la rue avec des artistes venus de plusieurs régions».Elle sera suivie par d’autres balades dans les quartiers populaires, avec diverses thématiques liées à l’histoire sociale de ces cités.Enfin, pour l’anecdote, le président de Bel Horizon nous rappelle qu’à l’ouverture du Mois officiel du patrimoine en 2013, «le ministère de la Culture n’a pas trouvé meilleur cadeau à offrir aux populations que d’augmenter le prix d’entrée dans les musées, alors que durant ce mois on devrait s’attendre à des entrées gratuites, comme cela se fait partout dans le monde».
Akram El Kébir
ملايين الجزائريين يقاطعون السياسة!
- الأربعاء, 23 أبريل 2014
شكّل
هاجس العزوف الانتخابي من قِبل المواطنين، خاصّة الشباب منهم الذين يملكون
الحقّ الانتخابي مؤشّرا على (كراهية) ملايين الجزائريين للسياسة، ممارسة
ومتابعة، ومعضلة أرّقت وزارة الداخلية والأحزاب والمترشّحين الذين دخلوا
معترك الرئاسيات، حيث سجّلت نسبة المشاركة في الانتخابات الرئاسية 2014
تراجعا محسوسا وغير مسبوق في تاريخ الاقتراع الرئاسي في البلاد، حيث بلغت
نسبة المشاركة الإجمالية 50.70 بالمائة، ما يعني أن نحو نصف الهيئة الناخبة
(قاطعت) أهمّ استحقاق سياسي في البلاد، وفق النتائج التي أعلنها المجلس
الدستوري، وهي نتائج حتى وإن رآها بعض رجال السياسة نسبة مقبولة وظاهرة
عامّة فإنها تعكس برأي متتبّعين عزوفا شعبيا وشبابيا عن التعاطي مع
السياسة·
وزير الداخلية طيب بلعيز اعتبر عقب إعلان النتائج تدنّي نسبة المشاركة أمرا عاديا جدّا لأنه ليس حكرا على الجزائر فعدّة دول تعرف هذه الظاهرة، وقد فسّر البعض العزوف بكون الجزائر لا تعيش ظرفا عاديا، بل تعيش وسط تحدّيات داخلية ورهانات خارجية حسّاسة·
وزير الداخلية طيب بلعيز اعتبر عقب إعلان النتائج تدنّي نسبة المشاركة أمرا عاديا جدّا لأنه ليس حكرا على الجزائر فعدّة دول تعرف هذه الظاهرة، وقد فسّر البعض العزوف بكون الجزائر لا تعيش ظرفا عاديا، بل تعيش وسط تحدّيات داخلية ورهانات خارجية حسّاسة·
Chronique d’une campagne inédite
le 17.04.14 | 10h00
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-Une campagne en l’absence du principal intéressé
Jamais candidat à une élection présidentielle n’avait brillé par son absence. En raison d’une santé fragile, le président Abdelaziz Bouteflika ne s’est pas exprimé une seule fois en tant que candidat lors de cette campagne présidentielle. Toutes ses apparitions s’inscrivaient dans le cadre de ses activités officielles en sa qualité de chef de l’Etat.
-Des ministres quittent leur poste pour faire campagne…
Trop occupés à battre les tambours en faveur du Président-candidat, certains ministres ont délaissé leurs tâches. Les sorties officielles ont servi aussi à porter la voix d’un candidat replié dans son plais présidentiel.
En pleine grève du métro, on aura vu le ministre des Transports, Amar Ghoul, prêcher la bonne parole pour Bouteflika en compagnie du ministre de l’Industrie, Amara Benyounès.De son côté, Abdelmalek Noui, ministre de l’Agriculture profite de l’inauguration d’une usine de fabrication de lait à Ouled Moussa pour promettre, en cas de réélection de Bouteflika, d’allouer une enveloppe de 500 milliards de centimes pour les agriculteurs. A Skikda, il garantit pas moins de 90 000 vaches laitières après l’élection.
-Insultes et invectives rythment la campagne
De cette campagne présidentielle, on retiendra l’inélégance de ses principaux acteurs. Visiblement en panne d’arguments pour discréditer la candidate du Parti des Travailleurs, le président du MSP, Abderrazak Makri qui la traite au passage de «vilaine», «faible d’esprit» et de «médiocre», lui rappelle une rencontre à Paris où elle tenait un «verre de vin dans la main».
Le niveau n’est guère plus élevé du côté du Parti des Travailleurs. Sans les nommer, Djelloul Djoudi, le directeur de campagne de Louisa Hanoune a qualifié Ali Benouari, ex-ministre et ex-candidat, ainsi que d’autres personnalités, dont le général à la retraite Yala Mohand Tahar de «harka».Dans une telle ambiance, il n’y a pas lieu de s’étonner de voir la direction de campagne du Président-candidat accuser à la suite des émeutes de Béjaïa «les fascistes de Barakat et leurs nervis du MAK» d’être derrière ces événements.
Si l’inénarrable directeur de campagne, Abdelmalek Sellal, a mis le feu aux poudres avec sa «boutade» sur les Chaouis, le représentant du MPA s’est aussi illustré par un style bagarreur. Du côté des médias, une journaliste d’Ennahar intervenant sur la chaîne publique a surpris par ses questions frisant l’insulte. En colère, le candidat du FNA, Moussa Touati, lui répond : «Arrêtez maintenant, vous d’Ennahar, vous attaquez tous azimuts. Vous n’êtes pas là pour me faire un procès.» Les artistes ayant exprimé leur soutien au président Bouteflika dans un clip n’ont pas échappé non plus aux injures.
-Cafouillages
Les candidats à la présidentielle ont mené leur campagne dans un désordre affligeant. Moussa Touati s’est ainsi retrouvé dans une salle presque vide à la maison de Culture Béchar à cause d’une rumeur qui laissait entendre qu’il ne devait pas animer un meeting et qu’il se contenterait d’actions de proximité. Un retard d’avion à l’aéroport de Naâma a failli mettre Ali Benflis dans une situation similaire. Le meeting prévu à 17 heures n’aura lieu qu’à 20 heures. Les militants pro-Benflis ont du redoublé d’efforts pour empêcher les citoyens venus y assister de quitter la salle.De son côté, Amar Saadani a pris ses jambes à son cou immédiatement après un meeting animé à Hassi Messaoud a peine avait-il entendu dire que des chômeurs de Ouargla comptaient y faire du grabuge.
-Un rejet populaire
Des escarmouches ont eu lieu dans certaines wilayas, conduisant parfois à l’annulation de meeting. Amar Ghoul et Amara Benyounès ont reçu un accueil hostile à Marseille, Lille et Paris. Abdelamlek Sellal a été obligé d’annuler son meeting à Batna et Béjaïa Plusieurs meetings animés par Ahmed Ouyahia, Amar Saadani, Amar Tou, Harraoubia et Abdelkader Bensalah ont été chahutés et perturbés.
-L’administration mobilisée en faveur de Bouteflika
Des moyens humains et matériels très importants ont été mobilisés pour la réussite des meetings des représentants de Bouteflika. Les fonctionnaires des administrations, à savoir la direction de la Jeunesse et des sports, la direction de la culture, les APC et autres daïras ont été autorisées à déserter leurs postes d’emploi pour rejoindre les salles de meeting. Dans certaines wilayas, les bus publics de transport de voyageurs ont été réquisitionnés pour assurer l’acheminement des partisans de Bouteflika.
Jamais candidat à une élection présidentielle n’avait brillé par son absence. En raison d’une santé fragile, le président Abdelaziz Bouteflika ne s’est pas exprimé une seule fois en tant que candidat lors de cette campagne présidentielle. Toutes ses apparitions s’inscrivaient dans le cadre de ses activités officielles en sa qualité de chef de l’Etat.
-Des ministres quittent leur poste pour faire campagne…
Trop occupés à battre les tambours en faveur du Président-candidat, certains ministres ont délaissé leurs tâches. Les sorties officielles ont servi aussi à porter la voix d’un candidat replié dans son plais présidentiel.
En pleine grève du métro, on aura vu le ministre des Transports, Amar Ghoul, prêcher la bonne parole pour Bouteflika en compagnie du ministre de l’Industrie, Amara Benyounès.De son côté, Abdelmalek Noui, ministre de l’Agriculture profite de l’inauguration d’une usine de fabrication de lait à Ouled Moussa pour promettre, en cas de réélection de Bouteflika, d’allouer une enveloppe de 500 milliards de centimes pour les agriculteurs. A Skikda, il garantit pas moins de 90 000 vaches laitières après l’élection.
-Insultes et invectives rythment la campagne
De cette campagne présidentielle, on retiendra l’inélégance de ses principaux acteurs. Visiblement en panne d’arguments pour discréditer la candidate du Parti des Travailleurs, le président du MSP, Abderrazak Makri qui la traite au passage de «vilaine», «faible d’esprit» et de «médiocre», lui rappelle une rencontre à Paris où elle tenait un «verre de vin dans la main».
Le niveau n’est guère plus élevé du côté du Parti des Travailleurs. Sans les nommer, Djelloul Djoudi, le directeur de campagne de Louisa Hanoune a qualifié Ali Benouari, ex-ministre et ex-candidat, ainsi que d’autres personnalités, dont le général à la retraite Yala Mohand Tahar de «harka».Dans une telle ambiance, il n’y a pas lieu de s’étonner de voir la direction de campagne du Président-candidat accuser à la suite des émeutes de Béjaïa «les fascistes de Barakat et leurs nervis du MAK» d’être derrière ces événements.
Si l’inénarrable directeur de campagne, Abdelmalek Sellal, a mis le feu aux poudres avec sa «boutade» sur les Chaouis, le représentant du MPA s’est aussi illustré par un style bagarreur. Du côté des médias, une journaliste d’Ennahar intervenant sur la chaîne publique a surpris par ses questions frisant l’insulte. En colère, le candidat du FNA, Moussa Touati, lui répond : «Arrêtez maintenant, vous d’Ennahar, vous attaquez tous azimuts. Vous n’êtes pas là pour me faire un procès.» Les artistes ayant exprimé leur soutien au président Bouteflika dans un clip n’ont pas échappé non plus aux injures.
-Cafouillages
Les candidats à la présidentielle ont mené leur campagne dans un désordre affligeant. Moussa Touati s’est ainsi retrouvé dans une salle presque vide à la maison de Culture Béchar à cause d’une rumeur qui laissait entendre qu’il ne devait pas animer un meeting et qu’il se contenterait d’actions de proximité. Un retard d’avion à l’aéroport de Naâma a failli mettre Ali Benflis dans une situation similaire. Le meeting prévu à 17 heures n’aura lieu qu’à 20 heures. Les militants pro-Benflis ont du redoublé d’efforts pour empêcher les citoyens venus y assister de quitter la salle.De son côté, Amar Saadani a pris ses jambes à son cou immédiatement après un meeting animé à Hassi Messaoud a peine avait-il entendu dire que des chômeurs de Ouargla comptaient y faire du grabuge.
-Un rejet populaire
Des escarmouches ont eu lieu dans certaines wilayas, conduisant parfois à l’annulation de meeting. Amar Ghoul et Amara Benyounès ont reçu un accueil hostile à Marseille, Lille et Paris. Abdelamlek Sellal a été obligé d’annuler son meeting à Batna et Béjaïa Plusieurs meetings animés par Ahmed Ouyahia, Amar Saadani, Amar Tou, Harraoubia et Abdelkader Bensalah ont été chahutés et perturbés.
-L’administration mobilisée en faveur de Bouteflika
Des moyens humains et matériels très importants ont été mobilisés pour la réussite des meetings des représentants de Bouteflika. Les fonctionnaires des administrations, à savoir la direction de la Jeunesse et des sports, la direction de la culture, les APC et autres daïras ont été autorisées à déserter leurs postes d’emploi pour rejoindre les salles de meeting. Dans certaines wilayas, les bus publics de transport de voyageurs ont été réquisitionnés pour assurer l’acheminement des partisans de Bouteflika.
Plaintes auprès du… MAE espagnol
Au lieu de saisir la Commission politique de surveillance de la présidentielle sur d’éventuels dépassements et les violences supposées imputées à Ali Benflis, le candidat Bouteflika préfère s’en plaindre au ministre espagnol des Affaires étrangères en visite officielle en Algérie.Le penalty de Belaïd
Pour clore sa campagne électorale, Abdelaziz Belaïd, le plus jeune candidat de cette présidentielle, choisit d’organiser un match de football. En milieu de partie, l’on s’arrange pour siffler un penalty afin de permettre au candidat d’El Moustakbal de tirer au but devant les flashes des photographes.Nekkaz en mode selfie !
Le candidat à la candidature, Rachid Nekkaz, qui jouit d’une grande popularité sur les réseaux sociaux, fait profiter ses fans Facebook de ses selfies. Après la désormais célèbre photo prise au Conseil constitutionnel peu avant qu’il ne découvre la disparition de ses signatures, voici une autre dans laquelle il prend un air grave lors de l’empêchement d’une rencontre à Bab El Oued.Amel Blidi
Médecins, parents de malades et les associations appellent à la prise en charge des anémies héréditaires
«Quand j’appelle les familles des enfants malades, on m’annonce leur mort !»
le 24.04.14 | 10h00
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© D. R.
Dans une Algérie où certains se permettent le luxe d’aller soigner les plus simples bobos dans les hôpitaux parisiens, des maladies ravageuses comme les anémies héréditaires, répandues notamment au nord-est du pays ainsi que dans d’autres régions, sont encore méconnues et ne bénéficient d’aucun égard de la part des organismes de santé publique.
Chaque jour, des enfants et les personnes ayant eu la chance
d’atteindre l’âge adulte en dépit de la maladie meurent dans
l’indifférence totale, faute de soins et d’une prise en charge adéquate
capable de leur éviter les complications liées à ces anémies. En termes
de statistiques, la «drépanocytose», anémie à cellules falciformes, est
la première maladie génétique dans le monde avec 50 millions
d’individus.
En Algérie, et en l’absence d’un registre national de ces anémies, l’on estime de 2 à 4% la proportion de la population portant le trait drépano-thalassémique, avec une forte prédominance qui peut atteindre les 90% pour la drépanocytose. Très touchées, les wilayas de Skikda, Taref et Annaba sont considérées comme des zones endémiques. A Taref, on estime à plus de 2000 le nombre de malades, et à Skikda une association locale recense 1100 individus atteints. «Beaucoup de malades nous échappent et ne sont pas recensés, autrement on aurait été à un nombre encore plus important que ce que nous avons», soutient un membre de cette association.
La mort précoce est le destin fatal des malades
En dépit de ces statistiques, le combat des malades et de leurs parents est encore au stade de revendication de leur droit à une simple transfusion sanguine, selon les critères scientifiques requis par la médecine. Cela dit, et dans un but de sensibilisation des pouvoirs publics, des médecins, des malades et des parents de malades, issus de plusieurs wilayas du pays, et après un long combat et plusieurs réunions, ont réussi à obtenir l’agrément de la fédération nationale des anémies héréditaires, créée officiellement le 24 mars 2013. Le comble, c’est qu’après une année d’existence cette fédération n’a jusqu’à présent reçu aucune subvention de la part des organismes publics pour se lancer dans ses activités. Lors d’une récente réunion à Skikda, des membres de cette fédération ont tiré la sonnette d’alarme sur la situation de prise en charge de ces anémiés en Algérie.
Le constat dressé est terrible. La situation de détresse des malades appelle à une prise de conscience immédiate pour se saisir du cas de ces maladies. «Les malades, notamment ceux issus des couches sociales pauvres, sont livrés à eux-mêmes ; dans les régions rurales, ils ne bénéficient d’aucun suivi médical ni d’un traitement spécifique ou vaccinal, ce qui leur cause de graves complications ; la situation est dramatique, on n’arrive même pas à nous occuper de ces enfants, la mort est leur seul destin», s’offusque-t-on.
«En 2010, on a assisté à la mort, à cause de ces anémies, de plusieurs enfants dans la wilaya de Taref, c’est cruel !», se désole un malade de cette wilaya. «Souvent, quand j’appelle les familles des enfants malades pour m’enquérir de leur situation ou les inviter à des rencontres de loisirs, on m’annonce leur mort, c’est tragique ; avec le temps, j’hésite à appeler de peur qu’on me dise que l’enfant est mort», confesse Sayoud Mohamed, président de la fédération nationale des anémiés héréditaires. A cette tragédie s’ajoute l’absence de structures d’hospitalisation spécialisées dans les wilayas fortement touchées.
Le problème récurrent des ruptures des médicaments et des vaccins, ainsi que des réactifs de laboratoire pour déterminer le phénotype du sang à transfuser est venu compliquer la situation. Le ministère de la Santé est mis au banc des accusés : «On ne se préoccupe pas de nous, ni de nos malades ou de nos enfants. Qu’on écrive des rapports ou pas, c’est du pareil au même, nous faisons face à un ostracisme qui nous bannit de l’existence», fulmine un malade. Il est aujourd’hui urgent, d’après un médecin de Souk Ahras, de dégager un consensus thérapeutique national pour la prise en charge de ces anémies.
A ce titre, il y a lieu de noter que des discordances dans la prise en charge des malades ont été soulevées, à l’exemple d’une hématologue de Tizi Ouzou qui soutient mordicus que la morphine est couramment utilisée dans les traitements de la douleur chez le drépanocytaire, pendant que dans des hôpitaux de l’Est algérien l’usage de ce produit est encore tabou. L’autre défi appelle à la mise en place des structures d’accueil et d’hospitalisation à travers les wilayas, notamment les plus touchées. Pour arriver à ces objectifs, un plan d’action a été soumis au MSPRH au mois de novembre dernier par la fédération nationale des anémies héréditaires lors d’une rencontre avec des responsables du département ministériel de Abdelmalek Boudiaf.
Nécessité d’un sursaut de conscience
Selon le Dr Sebti, qui a été accueilli avec le président de la fédération au siège du ministère, ce premier contact a été fructueux à tout point de vue. «Ils nous ont écoutés et pris des notes sur les points que nous avons soulevés», affirme ce médecin, pédiatre de son état, à Skikda. Cette rencontre a permis notamment d’évoquer la question de l’harmonisation de la prise en charge des malades drépanocytaires et des thalassémiques dans les différentes structures publiques de la santé. D’autres recommandations ont tourné autour de la mise en place d’un système de dépistage ciblant les familles porteuses du gène malade et les zones à forte prévalence de ces anémies, ainsi que l’introduction de l’électrophorèse d’hémoglobine dans les examens prénuptiaux pour éviter les mariages à risque.
A terme, l’objectif est d’arriver à la création d’un centre de référence de prise en charge des malades dans les zones endémiques (nord-est algérien). Si la fédération s’est réjouie de l’amélioration des conditions de transfusion sanguine dans les hôpitaux, elle déplore les ruptures fréquentes des médicaments, notamment les produits liés à la chélation du fer (Kelfer, Desféral) et le manque total des pompes pour ce type de traitement. Elle insiste sur un autre plan sur la vaccination au Pneumo 23, un vaccin anti-pneumococcique fortement recommandé, tout comme elle appelle à la généralisation de l’utilisation des antalgiques majeurs (dérivés morphiniques) dans les hôpitaux pour le traitement de la douleur lors des épisodes sévères des crises vaso-occlusive.
A noter que la fédération algérienne des anémies héréditaires est dans l’attente du feu vert du ministère de l’Intérieur et des collectivités locales pour son adhésion à la fédération internationale de la thalassémie (TIF) ou thalassémic international fédération).
En Algérie, et en l’absence d’un registre national de ces anémies, l’on estime de 2 à 4% la proportion de la population portant le trait drépano-thalassémique, avec une forte prédominance qui peut atteindre les 90% pour la drépanocytose. Très touchées, les wilayas de Skikda, Taref et Annaba sont considérées comme des zones endémiques. A Taref, on estime à plus de 2000 le nombre de malades, et à Skikda une association locale recense 1100 individus atteints. «Beaucoup de malades nous échappent et ne sont pas recensés, autrement on aurait été à un nombre encore plus important que ce que nous avons», soutient un membre de cette association.
La mort précoce est le destin fatal des malades
En dépit de ces statistiques, le combat des malades et de leurs parents est encore au stade de revendication de leur droit à une simple transfusion sanguine, selon les critères scientifiques requis par la médecine. Cela dit, et dans un but de sensibilisation des pouvoirs publics, des médecins, des malades et des parents de malades, issus de plusieurs wilayas du pays, et après un long combat et plusieurs réunions, ont réussi à obtenir l’agrément de la fédération nationale des anémies héréditaires, créée officiellement le 24 mars 2013. Le comble, c’est qu’après une année d’existence cette fédération n’a jusqu’à présent reçu aucune subvention de la part des organismes publics pour se lancer dans ses activités. Lors d’une récente réunion à Skikda, des membres de cette fédération ont tiré la sonnette d’alarme sur la situation de prise en charge de ces anémiés en Algérie.
Le constat dressé est terrible. La situation de détresse des malades appelle à une prise de conscience immédiate pour se saisir du cas de ces maladies. «Les malades, notamment ceux issus des couches sociales pauvres, sont livrés à eux-mêmes ; dans les régions rurales, ils ne bénéficient d’aucun suivi médical ni d’un traitement spécifique ou vaccinal, ce qui leur cause de graves complications ; la situation est dramatique, on n’arrive même pas à nous occuper de ces enfants, la mort est leur seul destin», s’offusque-t-on.
«En 2010, on a assisté à la mort, à cause de ces anémies, de plusieurs enfants dans la wilaya de Taref, c’est cruel !», se désole un malade de cette wilaya. «Souvent, quand j’appelle les familles des enfants malades pour m’enquérir de leur situation ou les inviter à des rencontres de loisirs, on m’annonce leur mort, c’est tragique ; avec le temps, j’hésite à appeler de peur qu’on me dise que l’enfant est mort», confesse Sayoud Mohamed, président de la fédération nationale des anémiés héréditaires. A cette tragédie s’ajoute l’absence de structures d’hospitalisation spécialisées dans les wilayas fortement touchées.
Le problème récurrent des ruptures des médicaments et des vaccins, ainsi que des réactifs de laboratoire pour déterminer le phénotype du sang à transfuser est venu compliquer la situation. Le ministère de la Santé est mis au banc des accusés : «On ne se préoccupe pas de nous, ni de nos malades ou de nos enfants. Qu’on écrive des rapports ou pas, c’est du pareil au même, nous faisons face à un ostracisme qui nous bannit de l’existence», fulmine un malade. Il est aujourd’hui urgent, d’après un médecin de Souk Ahras, de dégager un consensus thérapeutique national pour la prise en charge de ces anémies.
A ce titre, il y a lieu de noter que des discordances dans la prise en charge des malades ont été soulevées, à l’exemple d’une hématologue de Tizi Ouzou qui soutient mordicus que la morphine est couramment utilisée dans les traitements de la douleur chez le drépanocytaire, pendant que dans des hôpitaux de l’Est algérien l’usage de ce produit est encore tabou. L’autre défi appelle à la mise en place des structures d’accueil et d’hospitalisation à travers les wilayas, notamment les plus touchées. Pour arriver à ces objectifs, un plan d’action a été soumis au MSPRH au mois de novembre dernier par la fédération nationale des anémies héréditaires lors d’une rencontre avec des responsables du département ministériel de Abdelmalek Boudiaf.
Nécessité d’un sursaut de conscience
Selon le Dr Sebti, qui a été accueilli avec le président de la fédération au siège du ministère, ce premier contact a été fructueux à tout point de vue. «Ils nous ont écoutés et pris des notes sur les points que nous avons soulevés», affirme ce médecin, pédiatre de son état, à Skikda. Cette rencontre a permis notamment d’évoquer la question de l’harmonisation de la prise en charge des malades drépanocytaires et des thalassémiques dans les différentes structures publiques de la santé. D’autres recommandations ont tourné autour de la mise en place d’un système de dépistage ciblant les familles porteuses du gène malade et les zones à forte prévalence de ces anémies, ainsi que l’introduction de l’électrophorèse d’hémoglobine dans les examens prénuptiaux pour éviter les mariages à risque.
A terme, l’objectif est d’arriver à la création d’un centre de référence de prise en charge des malades dans les zones endémiques (nord-est algérien). Si la fédération s’est réjouie de l’amélioration des conditions de transfusion sanguine dans les hôpitaux, elle déplore les ruptures fréquentes des médicaments, notamment les produits liés à la chélation du fer (Kelfer, Desféral) et le manque total des pompes pour ce type de traitement. Elle insiste sur un autre plan sur la vaccination au Pneumo 23, un vaccin anti-pneumococcique fortement recommandé, tout comme elle appelle à la généralisation de l’utilisation des antalgiques majeurs (dérivés morphiniques) dans les hôpitaux pour le traitement de la douleur lors des épisodes sévères des crises vaso-occlusive.
A noter que la fédération algérienne des anémies héréditaires est dans l’attente du feu vert du ministère de l’Intérieur et des collectivités locales pour son adhésion à la fédération internationale de la thalassémie (TIF) ou thalassémic international fédération).
Qu’est-ce que les anémies héréditaires
Si dans la littérature médicale ces anémies sont définies comme étant des maladies à transmission génétiques caractérisées par une altération de l’hémoglobine, elles sont essentiellement dues à deux formes graves qui ont pour noms la drépanocytose et la thalassémie. La première a été découverte chez la population noire de l’Afrique et de l’Amérique du Nord, mais elle est aussi très répandue dans plusieurs régions du monde et en Algérie. La seconde affecte principalement la population du bassin méditerranéen et de l’Extrême-Orient.A titre comparatif, dans des pays comme Chypre, très touché par la thalassémie, on est arrivé à mettre en place un système de prise en charge des malades qui a permis d’augmenter leur espérance de vie pour atteindre les 60 ans dans certains cas, et d’envisager l’éradication totale de la maladie. En France où l’on estime le nombre de malades à plus de 3000, des centres hospitaliers performants sont réservés pour le traitement de ces anémies, qui, pourtant, ont apparu à la faveur du flux migratoire qu’a connu l’hexagone.
Chez nos voisins maghrébins, la Tunisie et le Maroc plus particulièrement, dont les proportions de prévalence se rapprochent de l’Algérie, on est à un stade de traitement et de dépistage plus avancé par rapport à ce qui se fait dans notre pays. (A. Z.)
Amor Z.
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facio
le 24.04.14 | 12h21
on récolte ce qu'on seme
ON NE PEUT pas AVANCER SUR TOUT ET SURTOUT LA SANTE COMME
L'EDUCATION SANS LES PILIERS D'UN ETAT DE DROIT D'UNE JUSTICE
INDÉPENDANTE OU PERSONNE N'EST DÉTENTEUR DE LA VÉRITÉ LE MÉRITE CONTRE
L’ALLÉGEANCE OU TOUT LE MONDE EN SYMBIOSE SUR DES BASES CONSENSUELLES
MODERNES ET UNIVERSELLES PAR LE TRAVAIL ET L OUVERTURE AU MONDE
TECHNOLOGIQUE LE SAVOIR FAIRE ET LE SAVOIR ETRE LES LANGUES VIVANTES DE
LA SCIENCE ET SORTIR DU CARCAN ARCHAÏQUE DE LA GOUVERNANCE
TIERS-MONDISTE DES PAYS AFRICAINS OU MOYEN-ORIENTAUX QUE NOUS SEMBLONS
ENCORE REVENDIQUER ..LE MONDE A CHANGE PAR LA COMPÉTITIVITÉ DANS LA
JUSTICE SOCIALE POUR NE pas RÉGRESSER ET OFFRIR A SON PEUPLE LE PEU DE
BIEN- ETRE POSSIBLE DANS LA COHÉSION ET L’UNITÉ SOCIALE NÉCESSAIRE A SON
DÉVELOPPEMENT.
De quelle Algérie rêvent-ils ?
le 17.04.14 | 10h00
2 réactions
diaporama
|
© D. R.
Les Algériens aspirent au changement. Qu’ils soutiennent le Président-candidat, Abdelaziz Bouteflika, ou son principal rival, Ali Benflis, ou qu’ils soient encore pour le boycott, le ton est presque le même : ils veulent des lendemains meilleurs. Ici, quelques paroles de citoyens de divers horizons pour raconter l’Algérie qu’ils attendent, celle dont ils rêvent.
-Nacer Boudiaf, Fils du défunt Président Mohamed Boudiaf : Un Président qui parle à son peuple
Je rêve d’une Algérie telle que la voulaient Boudiaf, Ben Boulaïd, Ben M’hidi, Didouche, Krim, Abane et tous ceux qui ont donné leur vie pour que le peuple choisisse réellement un jour dans sa vie. Choisir son mode de vie, son maire, son Président. Depuis l’indépendance confisquée, le peuple vit sans vérité, sans justice, sans limite imposée par la loi. Le peuple rêvait d’une Algérie
riche ; or le pays est riche mais le peuple est pauvre, le Président est malade, les enfants sont désemparés. Nos économistes ont tiré la sonnette d’alarme pour nous prévenir «d’une Algérie de l’après-pétrole». Maintenant, le système qui a assassiné Abane en pleine Révolution et Boudiaf en pleine indépendance confisquée a plongé le pays dans l’incertitude de «l’Algérie de l’après-17 avril». Je rêve d’une Algérie où le Président peut s’adresser au peuple pour lui dire pourquoi il tient tellement au pouvoir. La présidentielle est inédite.
Le président d’honneur de FLN se présente sous l’étiquette «candidat libre. L’ancien secrétaire général du FLN se présente sous l’étiquette «candidat libre». Les autres candidats, de moindre envergure, en revanche, se présentent sous les étendards de leurs partis «clés en main». Le conflit des années 1990 opposait l’armée aux islamistes. En 2014, ces deux protagonistes se sont tus. Pas de candidat islamiste, pas de candidat démocrate d’envergure issu en dehors du système, donc une élection verrouillée où nous aurons droit soit au Président sortant, soit au candidat qui a été le directeur de campagne du Président sortant en 1999, son directeur de cabinet et «son» secrétaire général du FLN. Le peuple algérien qui a combattu le colonialisme, ennemi d’hier, se retrouve incapable de s’exorciser pour combattre le mal, ennemi de toujours».
-Nazim Baya, Fondateur du site MKD et du micro-blog El-Manchar : Le rêve d’un vote par texto
L’Algérie dont je rêve, moi personnellement, est une Algérie dont le peuple serait libre et souverain. C’est-à-dire une Algérie où ce sont, nous autres, Algériens qui choisissons ceux qui la gouvernent. Ça n’a pas l’air compliqué, et pourtant le vote par texto pour le candidat préféré à l’émission Alhane Wa Chabab reste encore à l’heure actuelle la seule expérience démocratique qu’ont connue les Algériens depuis plus d’une vingtaine d’années. S’ils nous font confiance pour nos goûts musicaux, pourquoi en serait-il autrement de nos choix politiques ? Sans doute ont-ils peur que nous reconnaissions la vieille rengaine, toujours la même, qu’ils nous servent depuis l’indépendance. La fameuse chanson de soutien à l’un des candidats, diffusée sur Youtube et sanctionnée par plus de 10 000 dislikes, a vite été reconnue comme telle d’ailleurs. Preuve que le peuple a l’oreille fine.»
-Nacereddine Mesli, membre du conseil national du RCD : Les femmes, ces révolutionnaires dont on a besoin
Le pays traverse une crise complexe et on ne sait pas si on pourra trouver une issue. Nous sommes face à un pouvoir mafieux, fort et qui a énormément d’argent. Ici, à Tlemcen dont je suis originaire, nous militons depuis des années mais le RCD n’a toujours pas de local. Des partis créés bien avant nous ont leurs locaux. Mais nous avons la conviction de lutter pour la bonne cause. C’est le règne de l’allégeance. Et quand ce sont des intellectuels lui font allégeance, la crise s’aggrave. Le pouvoir achète ses soutiens. Le régionalisme pèse lourd en Algérie.
Mais les gens commencent à prendre conscience, ils en ont marre et s’inquiètent pour leur avenir. Tous les Algériens veulent la paix, mais en même temps ces gens-là ne quitteront le pouvoir que par la force. Dr Saïd Saadi, avant son départ de la tête du parti, disait que tout repose sur les femmes. Je le pense aussi. L’Algérie a besoin de changement, et le jour où les femmes se soulèveront en Algérie, alors nous aurons notre indépendance. Quand les femmes s’exprimeront comme le fait Amira Bouraoui, du mouvement Barakat, l’Algérie avancera. Pour moi, cette élection est une mascarade et je suis pour le boycott. C’est la fin du régime de Bouteflika. Et ce sera une fin explosive. Ce qui se passe actuellement à Ghardaïa n’est pas anodin.»
-Nora Sari, enseignante de français à la retraite, journaliste et écrivaine : Il ne nous reste que le rêve
Je rêve d’une Algérie où les enfants iraient à l’école, au lycée et à l’université pour y recevoir un enseignement de qualité, dispensé par des enseignants qualifiés. Je rêve d’une université où chaque étudiant en fin de cursus ait l’assurance de trouver un emploi, et d’un système éducatif qui permettrait à chaque élève exclu d’être immédiatement pris en charge par un centre d’apprentissage. Je rêve d’un pays où aucun enfant de moins de 18 ans ne soit obligé de travailler pour venir en aide à sa mère veuve ou divorcée sans ressources, parce que les services sociaux sont absents et que cet enfant qui ne cire plus les chaussures des passants, comme il le faisait hier, ne garde plus le bétail de l’éleveur du coin, ne vende plus des légumes au marché, ni la galette le long de la route, ni... qu’il meurt en mer sur une embarcation de fortune. Je rêve d’un système de santé performant, avec des hôpitaux ultra-modernes, où l’accueil des malades serait digne de celui d’un malade et que les services des urgences soient aux normes internationales, et que les médicaments soient à la portée de tous. Je rêve d’un pays où aucun bidonville ne logera des familles d’Algériens, et que l’accès au logement soit garanti pour tous. Je rêve d’une Algérie où les droits des femmes ne seraient ni piétinés ni bafoués et qu’un nouveau Code de la famille soit pensé sans discriminations ni inégalités en droits et en devoirs. Enfin, je rêve d’une Algérie où la justice est indépendante et légifère au nom de la loi et du peuple algérien et que l’Etat de droit puisse s’y enraciner pour bannir à jamais la corruption, les inégalités sociales, le népotisme et la hogra! Et que le rêve soit permis, car il ne nous reste que ce rêve aujourd’hui, ici et maintenant.»
Naïma Batel. Militante et membre fondatrice UDR/ MPA
Bouteflika, le candidat de la stabilité
Je rêve d’une Algérie stable, d’une Algérie moderne, d’une Algérie qui puisse aller vers une transition sans heurts ni malheurs. En deux mots, une Algérie que nous transmettrons à nos enfants avec fierté comme l’ont fait avant nous nos honorables chouhada. Aujourd’ hui, l’axe est mis sur les droits de la femme, le logement pour tous, les réseaux routiers, la position de l’Algérie à l’international ! Tous les ingrédients sont réunis pour qu’on puisse aller de l’avant. Je suis et je demeure une pro-Bouteflika inconditionnelle ; ceci dit, mon soutien ne date pas d’aujourd’hui. En effet, depuis le premier mandat, on constate avec fierté la continuité dans la logique et la cohérence d’une politique réfléchie et adaptée menée étape par étape par le président Bouteflika.»
Scander Souffi, médecin et militant associatif :
Benflis, le candidat
du changement
Pourquoi je soutiens Ali Benflis, co-fondateur de la ligue algérienne des droits de l’homme, ancien ministre des Réformes de la Justice et ancien chef du gouvernement ? La question recèle en elle-même la réponse. Durant toute sa campagne, son ton sincère et ses thématiques de la société des libertés, de la transition générationnelle et de l’Etat de droit ont séduit et mobilisé des pans entiers d’une société longtemps otage du statu quo et de la non-gouvernance, usée par tant d’inégalités et écœurée par les anachronismes et la médiocratie. Le projet du candidat a réconcilié de nombreux Algériennes et Algériens des nouvelles générations avec leurs identités, leur politique et leur avenir. Ils ont réappris à espérer ! Le renouveau national et l’instauration de nouvelles légitimités basées sur le mérite et l’exemplarité ne sont plus une option pour le pays mais une nécessité. Ils sont à même de libérer les énergies et les initiatives et aboutiront aux indispensables transformations sociales pourvoyeuses de justice et de démocratie, seules garantes d’une stabilité pérenne et durable. Même si l’échéance électorale du 17 avril ne bénéficie pas des faveurs de l’ensemble des acteurs du changement, Ali Benflis y incarne la promesse ferme d’une Algérie nouvelle. Les désillusions passées ont nourri à juste titre la défiance, mais la participation est aujourd’hui un choix à la fois difficile et indispensable pour saisir les tribunes, consolider les rangs, dénoncer les torts et puiser dans la moindre perspective possible d’un changement pacifique et serein. Dans tous les cas, nous serons du bon côté de l’Histoire et c’est loin d’être négligeable, les échos de cette dernière pouvant résonner et inspirer bien longtemps après. Quelle que soit l’issue du scrutin, l’ambition portée pour l’Algérie impose le prolongement de l’engagement et son élargissement. Il est grand temps que les acteurs pour une Algérie meilleure transcendent leurs cloisonnements pour inscrire enfin leur action dans la concertation et la durée. Godot ne viendra jamais.»
Je rêve d’une Algérie telle que la voulaient Boudiaf, Ben Boulaïd, Ben M’hidi, Didouche, Krim, Abane et tous ceux qui ont donné leur vie pour que le peuple choisisse réellement un jour dans sa vie. Choisir son mode de vie, son maire, son Président. Depuis l’indépendance confisquée, le peuple vit sans vérité, sans justice, sans limite imposée par la loi. Le peuple rêvait d’une Algérie
riche ; or le pays est riche mais le peuple est pauvre, le Président est malade, les enfants sont désemparés. Nos économistes ont tiré la sonnette d’alarme pour nous prévenir «d’une Algérie de l’après-pétrole». Maintenant, le système qui a assassiné Abane en pleine Révolution et Boudiaf en pleine indépendance confisquée a plongé le pays dans l’incertitude de «l’Algérie de l’après-17 avril». Je rêve d’une Algérie où le Président peut s’adresser au peuple pour lui dire pourquoi il tient tellement au pouvoir. La présidentielle est inédite.
Le président d’honneur de FLN se présente sous l’étiquette «candidat libre. L’ancien secrétaire général du FLN se présente sous l’étiquette «candidat libre». Les autres candidats, de moindre envergure, en revanche, se présentent sous les étendards de leurs partis «clés en main». Le conflit des années 1990 opposait l’armée aux islamistes. En 2014, ces deux protagonistes se sont tus. Pas de candidat islamiste, pas de candidat démocrate d’envergure issu en dehors du système, donc une élection verrouillée où nous aurons droit soit au Président sortant, soit au candidat qui a été le directeur de campagne du Président sortant en 1999, son directeur de cabinet et «son» secrétaire général du FLN. Le peuple algérien qui a combattu le colonialisme, ennemi d’hier, se retrouve incapable de s’exorciser pour combattre le mal, ennemi de toujours».
-Nazim Baya, Fondateur du site MKD et du micro-blog El-Manchar : Le rêve d’un vote par texto
L’Algérie dont je rêve, moi personnellement, est une Algérie dont le peuple serait libre et souverain. C’est-à-dire une Algérie où ce sont, nous autres, Algériens qui choisissons ceux qui la gouvernent. Ça n’a pas l’air compliqué, et pourtant le vote par texto pour le candidat préféré à l’émission Alhane Wa Chabab reste encore à l’heure actuelle la seule expérience démocratique qu’ont connue les Algériens depuis plus d’une vingtaine d’années. S’ils nous font confiance pour nos goûts musicaux, pourquoi en serait-il autrement de nos choix politiques ? Sans doute ont-ils peur que nous reconnaissions la vieille rengaine, toujours la même, qu’ils nous servent depuis l’indépendance. La fameuse chanson de soutien à l’un des candidats, diffusée sur Youtube et sanctionnée par plus de 10 000 dislikes, a vite été reconnue comme telle d’ailleurs. Preuve que le peuple a l’oreille fine.»
-Nacereddine Mesli, membre du conseil national du RCD : Les femmes, ces révolutionnaires dont on a besoin
Le pays traverse une crise complexe et on ne sait pas si on pourra trouver une issue. Nous sommes face à un pouvoir mafieux, fort et qui a énormément d’argent. Ici, à Tlemcen dont je suis originaire, nous militons depuis des années mais le RCD n’a toujours pas de local. Des partis créés bien avant nous ont leurs locaux. Mais nous avons la conviction de lutter pour la bonne cause. C’est le règne de l’allégeance. Et quand ce sont des intellectuels lui font allégeance, la crise s’aggrave. Le pouvoir achète ses soutiens. Le régionalisme pèse lourd en Algérie.
Mais les gens commencent à prendre conscience, ils en ont marre et s’inquiètent pour leur avenir. Tous les Algériens veulent la paix, mais en même temps ces gens-là ne quitteront le pouvoir que par la force. Dr Saïd Saadi, avant son départ de la tête du parti, disait que tout repose sur les femmes. Je le pense aussi. L’Algérie a besoin de changement, et le jour où les femmes se soulèveront en Algérie, alors nous aurons notre indépendance. Quand les femmes s’exprimeront comme le fait Amira Bouraoui, du mouvement Barakat, l’Algérie avancera. Pour moi, cette élection est une mascarade et je suis pour le boycott. C’est la fin du régime de Bouteflika. Et ce sera une fin explosive. Ce qui se passe actuellement à Ghardaïa n’est pas anodin.»
-Nora Sari, enseignante de français à la retraite, journaliste et écrivaine : Il ne nous reste que le rêve
Je rêve d’une Algérie où les enfants iraient à l’école, au lycée et à l’université pour y recevoir un enseignement de qualité, dispensé par des enseignants qualifiés. Je rêve d’une université où chaque étudiant en fin de cursus ait l’assurance de trouver un emploi, et d’un système éducatif qui permettrait à chaque élève exclu d’être immédiatement pris en charge par un centre d’apprentissage. Je rêve d’un pays où aucun enfant de moins de 18 ans ne soit obligé de travailler pour venir en aide à sa mère veuve ou divorcée sans ressources, parce que les services sociaux sont absents et que cet enfant qui ne cire plus les chaussures des passants, comme il le faisait hier, ne garde plus le bétail de l’éleveur du coin, ne vende plus des légumes au marché, ni la galette le long de la route, ni... qu’il meurt en mer sur une embarcation de fortune. Je rêve d’un système de santé performant, avec des hôpitaux ultra-modernes, où l’accueil des malades serait digne de celui d’un malade et que les services des urgences soient aux normes internationales, et que les médicaments soient à la portée de tous. Je rêve d’un pays où aucun bidonville ne logera des familles d’Algériens, et que l’accès au logement soit garanti pour tous. Je rêve d’une Algérie où les droits des femmes ne seraient ni piétinés ni bafoués et qu’un nouveau Code de la famille soit pensé sans discriminations ni inégalités en droits et en devoirs. Enfin, je rêve d’une Algérie où la justice est indépendante et légifère au nom de la loi et du peuple algérien et que l’Etat de droit puisse s’y enraciner pour bannir à jamais la corruption, les inégalités sociales, le népotisme et la hogra! Et que le rêve soit permis, car il ne nous reste que ce rêve aujourd’hui, ici et maintenant.»
Naïma Batel. Militante et membre fondatrice UDR/ MPA
Bouteflika, le candidat de la stabilité
Je rêve d’une Algérie stable, d’une Algérie moderne, d’une Algérie qui puisse aller vers une transition sans heurts ni malheurs. En deux mots, une Algérie que nous transmettrons à nos enfants avec fierté comme l’ont fait avant nous nos honorables chouhada. Aujourd’ hui, l’axe est mis sur les droits de la femme, le logement pour tous, les réseaux routiers, la position de l’Algérie à l’international ! Tous les ingrédients sont réunis pour qu’on puisse aller de l’avant. Je suis et je demeure une pro-Bouteflika inconditionnelle ; ceci dit, mon soutien ne date pas d’aujourd’hui. En effet, depuis le premier mandat, on constate avec fierté la continuité dans la logique et la cohérence d’une politique réfléchie et adaptée menée étape par étape par le président Bouteflika.»
Scander Souffi, médecin et militant associatif :
Benflis, le candidat
du changement
Pourquoi je soutiens Ali Benflis, co-fondateur de la ligue algérienne des droits de l’homme, ancien ministre des Réformes de la Justice et ancien chef du gouvernement ? La question recèle en elle-même la réponse. Durant toute sa campagne, son ton sincère et ses thématiques de la société des libertés, de la transition générationnelle et de l’Etat de droit ont séduit et mobilisé des pans entiers d’une société longtemps otage du statu quo et de la non-gouvernance, usée par tant d’inégalités et écœurée par les anachronismes et la médiocratie. Le projet du candidat a réconcilié de nombreux Algériennes et Algériens des nouvelles générations avec leurs identités, leur politique et leur avenir. Ils ont réappris à espérer ! Le renouveau national et l’instauration de nouvelles légitimités basées sur le mérite et l’exemplarité ne sont plus une option pour le pays mais une nécessité. Ils sont à même de libérer les énergies et les initiatives et aboutiront aux indispensables transformations sociales pourvoyeuses de justice et de démocratie, seules garantes d’une stabilité pérenne et durable. Même si l’échéance électorale du 17 avril ne bénéficie pas des faveurs de l’ensemble des acteurs du changement, Ali Benflis y incarne la promesse ferme d’une Algérie nouvelle. Les désillusions passées ont nourri à juste titre la défiance, mais la participation est aujourd’hui un choix à la fois difficile et indispensable pour saisir les tribunes, consolider les rangs, dénoncer les torts et puiser dans la moindre perspective possible d’un changement pacifique et serein. Dans tous les cas, nous serons du bon côté de l’Histoire et c’est loin d’être négligeable, les échos de cette dernière pouvant résonner et inspirer bien longtemps après. Quelle que soit l’issue du scrutin, l’ambition portée pour l’Algérie impose le prolongement de l’engagement et son élargissement. Il est grand temps que les acteurs pour une Algérie meilleure transcendent leurs cloisonnements pour inscrire enfin leur action dans la concertation et la durée. Godot ne viendra jamais.»
Bouredji Fella
Vos réactions 2
léon_007
le 23.04.14 | 12h28
le rêve différé!
Je suis arrivé à la fonction publique avec une arme
redoutable mes 2O ans et mes rêves débordants alors que l'Algérie se
construisait tout azimut avec conviction. ceux qui m'on recruté m'ont
mis à la retraite il y a 8 ans. Le rêve brisé, et l'horizon bloqué, mes
enfants me demandent avec insistance que sera demain? je ne réponds pas,
car j'attends tranquillement la mort douce
ILS REVENT
LES ALGERIENS NE REVENT PAS ILS SUBISSENT TOUT SANS
VERGOGNE.ET ILS OBEISSENT DOCILEMENT A LEURS MAITRES MAROCAINS.ILS NE
FONT RIEN Le rôle des réseaux sociaux durant cette campagne électorale
Ne cherchez pas l’opposition, elle est sur Facebook
le 17.04.14 | 10h00
Réagissez
|
© D. R.
S’il est un lieu où il est possible de parler librement des élections, c’est bien sur le Net.
Les internautes algériens ne s’en sont pas privés, apportant, par leur
humour mordant, un air frais dans une campagne électorale morose.
Première victime des réseaux sociaux et de leur effet amplifiant les bourdes des responsables politiques : Abdelmalek Sellal. Le Premier ministre a été raillé dès son accession au poste de chef du gouvernement.
Rivalisant de créativité, des talents se sont affirmés à travers les «podcasts humoristiques» et les parodies. La reprise d’une chanson de l’artiste belge Stromae version algérienne pourrait bien être le tube de l’été. Sur un air bondissant, le chanteur clame : «Dites-moi comment il va, quel est son état de santé ? Certains me disent ne t’inquiète pas, il arrive quand même à marcher (…) Où es-tu Boutef, dis-moi où es-tu Boutef, sans même pouvoir parler, tu veux encore être le chef.
Ah, sacré Boutef, ça fait au mois quatre fois que tu brigues un mandat». Autre détournement réussi : le tube de Pharell Williams Happy qui devient Matrohch tvoti (Ne vas pas voter). Une vidéo de supporters du Mouloudia moquant les partisans du quatrième mandat a largement circulé sur les réseaux sociaux. On y voit des jeunes chanter : «A l’approche du vote, Ouyahia noue sa cravate, il connaît son intérêt. Il nous a enviés pour un yaourt, alors que Chakib Khelil qui a volé des milliards, personne ne l’a jugé, Abdelmoumen Khalifa, qui a pris ses jambes à son cou, personne ne l’a jugé, notre Président qui gère en peignoir, personne ne l’a jugé…».
Des stars du web ont ainsi émergé durant cette campagne électorale. DZ Joker, qui compte pas moins de 500 000 fans, y brocarde la télévision publique et ses spots dans lesquels apparaîtraient une espèce d’extraterrestres parlant une langue qui existe uniquement à l’Entv et qui prétendent avoir la solution à tous les maux : les élections.
Que pèsent les contestataires de la Toile ? Pas grand-chose en vérité, mais ils aiment croire que la campagne de dislike du clip Notre serment pour l’Algérie lancée par la page Dz Wikileaks a décidé Youtube à retirer la vidéo de sa chaîne. Autre vidéo à succès : Robotef, maniant habilement un scénario hollywoodien, des scènes de films catastrophes et des images de la campagne électorale algérienne. Le pitch consiste à faire de Bouteflika l’homme de fer à même de terrasser la main de l’étranger et créer la terreur au sein de la population. Selon la bande-annonce, le film serait visible dans toutes les salles algériennes à partir du 17 avril. Courez-y !
Première victime des réseaux sociaux et de leur effet amplifiant les bourdes des responsables politiques : Abdelmalek Sellal. Le Premier ministre a été raillé dès son accession au poste de chef du gouvernement.
Rivalisant de créativité, des talents se sont affirmés à travers les «podcasts humoristiques» et les parodies. La reprise d’une chanson de l’artiste belge Stromae version algérienne pourrait bien être le tube de l’été. Sur un air bondissant, le chanteur clame : «Dites-moi comment il va, quel est son état de santé ? Certains me disent ne t’inquiète pas, il arrive quand même à marcher (…) Où es-tu Boutef, dis-moi où es-tu Boutef, sans même pouvoir parler, tu veux encore être le chef.
Ah, sacré Boutef, ça fait au mois quatre fois que tu brigues un mandat». Autre détournement réussi : le tube de Pharell Williams Happy qui devient Matrohch tvoti (Ne vas pas voter). Une vidéo de supporters du Mouloudia moquant les partisans du quatrième mandat a largement circulé sur les réseaux sociaux. On y voit des jeunes chanter : «A l’approche du vote, Ouyahia noue sa cravate, il connaît son intérêt. Il nous a enviés pour un yaourt, alors que Chakib Khelil qui a volé des milliards, personne ne l’a jugé, Abdelmoumen Khalifa, qui a pris ses jambes à son cou, personne ne l’a jugé, notre Président qui gère en peignoir, personne ne l’a jugé…».
Des stars du web ont ainsi émergé durant cette campagne électorale. DZ Joker, qui compte pas moins de 500 000 fans, y brocarde la télévision publique et ses spots dans lesquels apparaîtraient une espèce d’extraterrestres parlant une langue qui existe uniquement à l’Entv et qui prétendent avoir la solution à tous les maux : les élections.
Que pèsent les contestataires de la Toile ? Pas grand-chose en vérité, mais ils aiment croire que la campagne de dislike du clip Notre serment pour l’Algérie lancée par la page Dz Wikileaks a décidé Youtube à retirer la vidéo de sa chaîne. Autre vidéo à succès : Robotef, maniant habilement un scénario hollywoodien, des scènes de films catastrophes et des images de la campagne électorale algérienne. Le pitch consiste à faire de Bouteflika l’homme de fer à même de terrasser la main de l’étranger et créer la terreur au sein de la population. Selon la bande-annonce, le film serait visible dans toutes les salles algériennes à partir du 17 avril. Courez-y !
Amel Blidi
Sellal toujours en campagne pour le président
«C’est nous qui avons besoin de Bouteflika, pas le contraire»
le 19.04.14 | 10h00
44 réactions
Ceux qui parlent de fraude et refusent de reconnaître les résultats du scrutin, je les laisse à l’histoire. Je fais confiance aux institutions de mon pays.
Ils n’ont qu’à déposer des recours auprès du Conseil constitutionnel.»
Telle est la réplique de Abdelmalek Sellal à une question sur le rejet
par le candidat Ali Benflis des résultats de l’élection du 17 avril.
Lors d’une conférence animée après la proclamation des résultats
officiels du scrutin, M. Sellal, directeur de campagne du président
Bouteflika, a rejeté en bloc les «prétendus» cas de fraude avancés par
les représentants de M. Benflis. Mieux, il exhibe un journal dans lequel
le directeur de campagne de Ali Benflis reconnaît qu’«il n’y a pas eu
de fraude, mais quelques irrégularités».
Invité à commenter le taux de participation qui a atteint 51,70%, M. Sellal le qualifie d’«appréciable». Il n’y a pas eu, selon lui, de rejet du scrutin par le peuple algérien, et ce, en dépit des appels au boycott. Bouteflika, explique M. Sellal, a posé deux conditions avant de s’engager dans cette joute électorale ; la première est sa réélection pour un quatrième mandat sans fraude et la deuxième le civisme. «Le verdict des urnes a confirmé la pertinence de nos options de retenue, de sagesse et de civisme. Il n’y a pas eu fraude. La population a choisi Bouteflika pour ses compétences, son expérience et surtout pour sa sagesse et sa lucidité», affirme M. Sellal qui croit savoir que le peuple algérien a voté pour Bouteflika parce qu’il a compris que des complots se trament contre notre pays et s’est prononcé pour la préservation de la stabilité qu’il incarne.
Le porte-voix du président Bouteflika hausse le ton lorsqu’un journaliste lui fait remarquer que les images montrant un chef d’Etat assis sur une chaise roulante, forcé d’être accompagné dans l’isoloir par une tierce personne, en a choqué plus d’un. M. Sellal ose une comparaison avec Roosevelt dont la santé s’était dégradée : «Qui a signé les accords de Yalta ?» Et de préciser que Bouteflika jouit de toutes ses facultés mentales, «c’est cela le plus important car c’est nous qui avons besoin de Bouteflika et non le contraire. L’Algérie a besoin de la vision et du savoir-faire de Bouteflika». M. Sellal tente par tous les moyens de convaincre l’assistance sur l’état de santé de Bouteflika qui, pourtant, donnait ce jeudi une image pathétique.
«Le jour du scrutin, j’ai parlé cinq fois avec Bouteflika. Nous avons eu de longues discussions et un débat. Il m’a donné des orientations et des consignes. Cela démontre que cet homme est capable de diriger le pays», pense M. Sellal, précisant que les partisans de Bouteflika n’ont pas répondu aux provocations durant la campagne électorale et s’opposent à la violence.
Invité à commenter le taux de participation qui a atteint 51,70%, M. Sellal le qualifie d’«appréciable». Il n’y a pas eu, selon lui, de rejet du scrutin par le peuple algérien, et ce, en dépit des appels au boycott. Bouteflika, explique M. Sellal, a posé deux conditions avant de s’engager dans cette joute électorale ; la première est sa réélection pour un quatrième mandat sans fraude et la deuxième le civisme. «Le verdict des urnes a confirmé la pertinence de nos options de retenue, de sagesse et de civisme. Il n’y a pas eu fraude. La population a choisi Bouteflika pour ses compétences, son expérience et surtout pour sa sagesse et sa lucidité», affirme M. Sellal qui croit savoir que le peuple algérien a voté pour Bouteflika parce qu’il a compris que des complots se trament contre notre pays et s’est prononcé pour la préservation de la stabilité qu’il incarne.
Le porte-voix du président Bouteflika hausse le ton lorsqu’un journaliste lui fait remarquer que les images montrant un chef d’Etat assis sur une chaise roulante, forcé d’être accompagné dans l’isoloir par une tierce personne, en a choqué plus d’un. M. Sellal ose une comparaison avec Roosevelt dont la santé s’était dégradée : «Qui a signé les accords de Yalta ?» Et de préciser que Bouteflika jouit de toutes ses facultés mentales, «c’est cela le plus important car c’est nous qui avons besoin de Bouteflika et non le contraire. L’Algérie a besoin de la vision et du savoir-faire de Bouteflika». M. Sellal tente par tous les moyens de convaincre l’assistance sur l’état de santé de Bouteflika qui, pourtant, donnait ce jeudi une image pathétique.
«Le jour du scrutin, j’ai parlé cinq fois avec Bouteflika. Nous avons eu de longues discussions et un débat. Il m’a donné des orientations et des consignes. Cela démontre que cet homme est capable de diriger le pays», pense M. Sellal, précisant que les partisans de Bouteflika n’ont pas répondu aux provocations durant la campagne électorale et s’opposent à la violence.
Nabila Amir
Vos réactions 44
moh62
le 21.04.14 | 20h17
Bien dit sellal!
C vous qui avez besoin de bouteflika et non l'inverse,ni nous d'ailleurs!! C un beau lapsus!!
Autre différence avec Roosevelt.
La différence Monsieur SELLAL entre Roosevelt et Bouteflika
c'est que l'un appartenait à une famille patricienne.Il était riche
quand il a commencé la politique et notre Bouteflika était un
miséreux,un gueux,un miskine comme les Algériens de sa génération,pour
ne pas dire indigent et qui se retrouve à la tête d'une fortune qui lui a
permis à lui et à sa famille de racheter la moitié des immeubles du
16eme arrondissement prés des champs Élysées à Paris.
C'est vrai que notre Président à des pouvoirs magiques qui lui permettent de transformer le plomb en or.
On est en 2014,tout se sait et en plus le peuple Algérien est éduqué,en partant de ce principe que les hommes politiques Algériens arrêtent de nous prendre pour des ânes.
HI!HAN!HI!HAN!
C'est vrai que notre Président à des pouvoirs magiques qui lui permettent de transformer le plomb en or.
On est en 2014,tout se sait et en plus le peuple Algérien est éduqué,en partant de ce principe que les hommes politiques Algériens arrêtent de nous prendre pour des ânes.
HI!HAN!HI!HAN!
M.Khorti
Tu mens comme tu respires,tu parles pour ne rien dire et tu te
comportes comme un vampire.Tes jours sont comptés.Il rira bien qui rira
le dernier.
Le Président Roosevelt
Que vous fassiez des mensonges aux Algériens, c'est de notoriété.
Mais que vous preniez des libertés avec l’Histoire, le monde entier vous observe et découvre vos lacunes et vos insuffisances.
Le Président Roosevelt n’a jamais eu d’AVC. Il avait une maladie semblable à la polio qui lui causait des souffrances. Ses capacités de mobilité ne sont pas limitées, et se déplaçait parfois appuyé sur une canne et parfois en fauteuil roulant. Ses activités intellectuelles n’ont jamais été affectées et avait l’usage de la parole. Preuve, pendant ses mandatures, il a marqué l’Histoire des Etats Unis et du monde. En pleine deuxième guerre mondiale, il animait des conférences décisives à l’image de celles de Casablanca et de Yalta avec Staline et Churchill qui ont décidé, depuis, de l’avenir du monde. Sa maladie l’a empêché de voir la victoire puisqu’elle l’a emporté quelques jours avant la fin de la guerre suite à une hémorragie cérébrale. Entre autre, il était le précurseur de la création de l’ONU.
Puisque vous aimez les comparaisons, Roosevelt a été élu quatre fois malgré la tradition instituée depuis Georges Washington. La période difficile des années 1930, l’attaque japonaise sur Pearl Harbour et l’entrée en guerre des Etats Unis lui ont permis de briguer quatre mandats. Son quatrième mandat a été crucial et de courte durée puisqu’il est décédé 63 jours après les élections.
Source Wikipédia
Mais que vous preniez des libertés avec l’Histoire, le monde entier vous observe et découvre vos lacunes et vos insuffisances.
Le Président Roosevelt n’a jamais eu d’AVC. Il avait une maladie semblable à la polio qui lui causait des souffrances. Ses capacités de mobilité ne sont pas limitées, et se déplaçait parfois appuyé sur une canne et parfois en fauteuil roulant. Ses activités intellectuelles n’ont jamais été affectées et avait l’usage de la parole. Preuve, pendant ses mandatures, il a marqué l’Histoire des Etats Unis et du monde. En pleine deuxième guerre mondiale, il animait des conférences décisives à l’image de celles de Casablanca et de Yalta avec Staline et Churchill qui ont décidé, depuis, de l’avenir du monde. Sa maladie l’a empêché de voir la victoire puisqu’elle l’a emporté quelques jours avant la fin de la guerre suite à une hémorragie cérébrale. Entre autre, il était le précurseur de la création de l’ONU.
Puisque vous aimez les comparaisons, Roosevelt a été élu quatre fois malgré la tradition instituée depuis Georges Washington. La période difficile des années 1930, l’attaque japonaise sur Pearl Harbour et l’entrée en guerre des Etats Unis lui ont permis de briguer quatre mandats. Son quatrième mandat a été crucial et de courte durée puisqu’il est décédé 63 jours après les élections.
Source Wikipédia
Tout vaincu vainc.
Il est vraiment honteux, indigne et complètement stupide
venant d’un premier ministre de comparer Bouteflika à un immortel du
gabarit de Roosevelt, un homme d’une grandeur telle que les historiens
l’élèvent au même rang que les géants historiques des USA à l’image de
Abraham Lincoln et George Washington. Bouteflika comparativement n’est
qu’un voyou et qu’un écervelé introduit dans le gouvernement à la
va-vite par cet autre grand écervelé Boumediène le dictateur lequel, au
nom d’une Ouma el kharabia et d’un Islam poison du progrès, a jeté les
fondations actuelles de la stagnation à tous les niveaux et engendré les
fous d’Allah dans les années 90 de par ses campagnes d’arabisation et
d’islamisation systématiques qu’il a introduites du jour au lendemain à
la fin des années 60. Faut-il des preuves de ce que je dis là alors
qu’elles sont omniprésentes?
Ce Sellal bouffon du roi et caisse de résonnance N°1 du système ne fait que défendre ses intérêts personnels en prônant ainsi gratuitement une soit disant stabilité alors que celle dont il fait allusion ne repose uniquement que sur la rente pétrolière au détriment de la créativité économique et de la productivité, seuls véritable capital national et source de stabilité et de prospérité durables. Quand un premier ministre lui-même est réduit à ce point au mensonge, au verbe facile et à la stupidité, c’est que ça va beaucoup plus mal qu’on croit..
Mais du tréfonds de l’Algérie surgira un jour l’espoir comme il a surgi avant l’indépendance, cela je n’en ai aucun doute car aucun pouvoir ne peut assujettir à jamais un peuple. Cette “victoire” électorale préfabriquée qu’ils nous forcent encore dans le gosier ne fera au bout du compte qu’aiguiser d’avantage les consciences citoyennes et consolider l’opposition. Tout vaincu vainc comme dit une chanson.
Ce Sellal bouffon du roi et caisse de résonnance N°1 du système ne fait que défendre ses intérêts personnels en prônant ainsi gratuitement une soit disant stabilité alors que celle dont il fait allusion ne repose uniquement que sur la rente pétrolière au détriment de la créativité économique et de la productivité, seuls véritable capital national et source de stabilité et de prospérité durables. Quand un premier ministre lui-même est réduit à ce point au mensonge, au verbe facile et à la stupidité, c’est que ça va beaucoup plus mal qu’on croit..
Mais du tréfonds de l’Algérie surgira un jour l’espoir comme il a surgi avant l’indépendance, cela je n’en ai aucun doute car aucun pouvoir ne peut assujettir à jamais un peuple. Cette “victoire” électorale préfabriquée qu’ils nous forcent encore dans le gosier ne fera au bout du compte qu’aiguiser d’avantage les consciences citoyennes et consolider l’opposition. Tout vaincu vainc comme dit une chanson.
Ben OUALI Abdeldjellil
Cela est évident ya Si Fakakir. Toi tu as besoin de Boutef
pour remplir tes comptes en devises car le dinar ne te tente plus. Il
faut être con à se buter la tête contre un mur pour ignorer tout le
complot que vous avez monté contre ce peuple que vous avez clochardisé,
et anesthésié. Mais un jour tout finira par revenir à la triste
réalité. Kadaffi avait résonné comme vous, mais comment a t-il- terminé
sa vie. Lynché par son peuple et tué dans un caniveau comme un rat.
Est-ce bien cette mort que vous vous souhaitez?
SELLAL
C'EST TOI ET LES VOLEURS COPAINS QUI ONT BESOIN D' UN PRESIDENT FANTOME.
La mythomanie est devenue la norme en DZ
Devinez comment sera représenté notre pays à la prochaine assemblée générale des nations unies qui compte 194 pays.
Il y aura 193 Présidents ou RoiS.
L'Algérie sera représentée par Monsieur SELLAL le premier ministre,qui tracte un pousse pousse GTI,avec dessus un tourne disque de marque TEPPAZ année 1962 et un discours enregistrée sur un disque 33 tours dans sa pochette.Au tour du Président de l'Algérie(DZ) de faire son discours,le tour de passe est très simple,Monsieur SELLAL sortira le disque de sa pochette et mettra le disque sur le TEPPAZ 1962 et le lendemain il annoncera que le Président à fait son discours au monde entier,discours que jalouserai Monsieur Roosevelt.
Franchement vous me croyez?
A force de mensonges tout le peuple Algérien a été contaminé par la mythomanie chronique et ambiante qui a été inoculée au peuple de ce pays
Bonne journée
Il y aura 193 Présidents ou RoiS.
L'Algérie sera représentée par Monsieur SELLAL le premier ministre,qui tracte un pousse pousse GTI,avec dessus un tourne disque de marque TEPPAZ année 1962 et un discours enregistrée sur un disque 33 tours dans sa pochette.Au tour du Président de l'Algérie(DZ) de faire son discours,le tour de passe est très simple,Monsieur SELLAL sortira le disque de sa pochette et mettra le disque sur le TEPPAZ 1962 et le lendemain il annoncera que le Président à fait son discours au monde entier,discours que jalouserai Monsieur Roosevelt.
Franchement vous me croyez?
A force de mensonges tout le peuple Algérien a été contaminé par la mythomanie chronique et ambiante qui a été inoculée au peuple de ce pays
Bonne journée
sellal et...
Avec l’expression! nous avons besoin de Mr. Bouteflika, il
faut comprendre qu'il s'agit de la classe restreinte de l'immature
système politique en état de gestation depuis 1/2 siècle ?
Pour lors cette revendication est somme toute légitime voire naturelle dans le fond de la pensée où elle est dite !
Ainsi la messe est dite !
Pour lors cette revendication est somme toute légitime voire naturelle dans le fond de la pensée où elle est dite !
Ainsi la messe est dite !
menteur
comparer ce moins que rien de Bouteflika au Président
Roosevelt relève du pire mensonge car si ce dernier(Roosevelt) est
paralysé des membres inférieurs, il jouit d'une pleine motricité de ses
membres supérieurs( bras et mains) et surtout de toutes ses facultés
intellectuelles, ce qui n'est pas le cas de Bouteflika que Sellal le
veuille ou non. Cette vieille haridelle(une haridelle est une vieille
jument qui n'attire aucun poulain) de Sellal continue à jouer les
vestales ( vestales signifient: courtisanes voire putains de peu de
valeur qui tournent autour du monarque). Il ne faut pas oublier que
Sellal est d'origine maraboutique cette géhenne qui a toujours servi le
colonialiste à savoir hier la Turquie et la France et aujourd'hui le
franco marocain pseudo algérien qu'est Bouteflika. Quant aux résultats
du vote il faut être carrément un demeuré pour croire à l'honnêteté de
ce monsieur comme de ce triste sire de Balaïz dont la figure est striée
par des stigmates de dégénérescence humaine et de mensonges.
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amarseille1313
le 19.04.14 | 11h26
puisque c'est comme ça...
Monsieur SELLAL,vous avez besoin de notre cher Président pour
la suite de votre carrière,nous la plèbe lui reconnaissons un certain
talent qu'il n'est plus a même d'exercer et le peuple dit à Monsieur le
Président vous êtes gravement malade,retirez vous dans la dignité.
Monsieur SELLAL puisque vous l'aimez tant ,encadrer le dans votre salon!!!!
Un légume qui ne peux même pas articuler 2 onomatopées telles que ha,hou,hi ne peut raisonnablement diriger un pays de prés de 40 millions de citoyens aux multiples talents et synergies qui mises bout à bout dépassent en valeur intrinsèque les 2 neurones qui restent à notre bien aimée RAIS .Généralement un légume fané fini..
Devinez la suite !!!!
C'était fini dans notre pays à la Mouradia...
Ça nous rappelle Mougabé au ZIMBABWE.
Bon week-end les ptits loups...
Monsieur SELLAL puisque vous l'aimez tant ,encadrer le dans votre salon!!!!
Un légume qui ne peux même pas articuler 2 onomatopées telles que ha,hou,hi ne peut raisonnablement diriger un pays de prés de 40 millions de citoyens aux multiples talents et synergies qui mises bout à bout dépassent en valeur intrinsèque les 2 neurones qui restent à notre bien aimée RAIS .Généralement un légume fané fini..
Devinez la suite !!!!
C'était fini dans notre pays à la Mouradia...
Ça nous rappelle Mougabé au ZIMBABWE.
Bon week-end les ptits loups...
VRAI !
Tout d'abord qui est ce NOUS ?? vous (sellal & Co) ou
nous le peuple ? si ce NOUS vous représente, je suis tout à fait
d'accord, vous avez grand besoin de Boutef pour continuer votre chemin
tracé parfaitement qui mènera le pays à la ruine, Quant à nous, nous
n'avons besoin ni de Boutef ni de vous, parceque si les meilleurs hommes
sur terre (les prophètes et les awliya salihin) ont été remplacés dans
la gouvernance, alors vous en faites pas pour Boutef on trouvea qq'un
pour le remplacer, et qq'un même mieux que lui et que vous.
Sellal et Bouteflika, partez SVP!
Les Algériens vous disent: "Partez et laissez-nous
tranquilles!". Nous n'avons besoin que de la fille de Sellal pour la
punir pour l'arnaque de Sonatrach.
Sellaliette
Là je vous crois sur parole Mr Sellal , vous avez vraiment besoin de Bouteflika ...
Vos réactions 44
chaouit
le 19.04.14 | 14h19
NUL N'EST INDISPENSABLE
DE TOUT COEUR j'espere que parmi ceux qui ont cru
qu'il était indispensable à la nation et que la nation a besoin
de lui...à ceux là j'espere qu'ils ne seront plus "alignés" au
sein du gouvernement meme en tant que "concierges" ou d'"agent
d'hygiène"..ils comprendront vite comment ils ont été
utilisés...mais ils auront toujours perdu leur "dignité"'s'ils en
avaient une:j'en doute)
election
sellal vient dire que c'est nous qui avons besoin de boutef ,car ils ont pas assez volé
En etes vous sur de ce que vous avancez
Et si Mr BENFLIS demande le recomptage des bulletins en
liaison avec les listes d'inscription,et sur la base des proces verbaux
etablis par les bureaux de vote ,accepteriez vous de vous y
conformer?Chiche tete de pois chiche .Vous ouvrez votre grande gueule
pour dire des insanites et vous vous foutez du peuple que vous et votre
mentor veulent a tout prix ignorer .Mr BENFLIS l'a emporte avec plus de
64% des voix et vous persistez a soutenir le contraire .Idiot ,traitre
,vendu et sans dignite vous etes, et ainsi vous le demeureriez .Une
chose est sur .Cette campagne nous a appris beaucoup de choses sur vous
et ce n'est pas demain que vous retrouveriez le respect du peuple que
vous avez perdu a jamais .Minable larbin.Le combat continu pour vous
discrediter a l'interieur comme a l'exterieur du pays bande de truands .
Et Mr BOUTEFLIKA A BESOIN DE QUI ?
Il a besoin de la mansuétude de chacun des membres d'un
certain Conseil de Sécurité qui veille à la stabilité telle-quelle des
systèmes d'oppression ,en contre-partie d'ailleurs de simagrées
inélégantes d'allégeance en forme diplomatique ,financière ou
commerciale . Celà marche tant qu'il y a de l'argent à gaspiller.
En ce concerne Monsieur SELLAL et ses compères, ils veulent nous faire oublier, par l'argumentaire fallacieux et le style bouffon ,que les violences affinées de leur camp:
-le viol de la Constitution et les nominations manipulatoires à la tête des Institutions liées au vote.
-les entraves administratives à l'activité des partis politiques et des associations indépendantes.
-la mobilisation partisane du gouvernement et des moyens de l'Etat pour le 4è mandat.
-les pressions-menaces exercées sur les personnels des administrations locales.
-les pannes sur les lignes de communication de certaines permanences(une véritable action d'agression).
Et la liste des agressions est bien plus longue si elle était publiée .
En ce concerne Monsieur SELLAL et ses compères, ils veulent nous faire oublier, par l'argumentaire fallacieux et le style bouffon ,que les violences affinées de leur camp:
-le viol de la Constitution et les nominations manipulatoires à la tête des Institutions liées au vote.
-les entraves administratives à l'activité des partis politiques et des associations indépendantes.
-la mobilisation partisane du gouvernement et des moyens de l'Etat pour le 4è mandat.
-les pressions-menaces exercées sur les personnels des administrations locales.
-les pannes sur les lignes de communication de certaines permanences(une véritable action d'agression).
Et la liste des agressions est bien plus longue si elle était publiée .
Le Président est mort, vive le Roi !
A quand l'intronisation de Sa Majesté "Boutef 1er" roi d'Afrique et du Maghreb réunis ?
Depuis la disparition de Sa Majesté Gueddafi 0, le trône est vacant !
Depuis la disparition de Sa Majesté Gueddafi 0, le trône est vacant !
LE PEUPLE ALGERIEN A PERDU
Oui Mr SELLAL.vous avez tout a fait raison;oui vous avez
gagnez et le peuple algérien a perdu a nouveau;cinq de régression;cinq
ans d'injustice;cinq ans de corruption;cinq de misère et souffrance;oui
par contre vous avez oublie, qu'ALLAH a été toujours avec le peuple
algérien pour son courage et son détermination;vous avez oubliez aussi
les sacrifices des chouhadas morts pour un pays de droit et de
justice;la vie elle n'est pas éternelle, et ALLAH ne fait pas
politique;j'en suis convaincu que votre place ça sera tres loins de
celle de nos chouhadas;
hohoho
il s’entend quant il parle
les Acquis de la révolution
Sellal:"C’est nous qui avons besoin de Bouteflika" pour
continuer notre œuvre de destruction de l'Algérie par la corruption-le
copinage-le régionalisme et la chitta.
Vous êtes le seul à en avoir besoin
On ne parle pas compétence mais d'une personne victime d'un
AVC avec d importantes séquelles motrices et forcément
intellectuelles.Ses capacités de discernement sont altérées.il est donc
incapable de gouverner,parole du medecin que je suis.Tout le problème
est là Mr Sellal, vous dont j'ai découvert l'affligeante médiocrité à l
occasion de ces élections.Pauvre de nous...
Si Moh
Oh Mr Sellal qui parle d'institutions, lesquelles SVP, s'agit elles de vos institutions à vous et de votre clan???
On a l'habitude Mr Sellal arretez de jeter la poudre aux yeux du pauvre peuple qui ne demande que du pain et du lait (introuvable)! allez continuez à innodez le marché algerien de vos produits importés et provoquez aussi des puneries calculées pour vous en richir!!!!!!
On a l'habitude Mr Sellal arretez de jeter la poudre aux yeux du pauvre peuple qui ne demande que du pain et du lait (introuvable)! allez continuez à innodez le marché algerien de vos produits importés et provoquez aussi des puneries calculées pour vous en richir!!!!!!
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CANADADOU
le 19.04.14 | 16h24
ALGÉRIE: L'OMBRE D'UN ÉTAT
Un état qui respect son peuple doit avant tout respecter les
lois qu'il a légiférées. Or, au nom d'un peuple aveugle ( par respect à
certains algériens), le pouvoir ignore pendant ces élections le code
électoral particulièrement l'article 136 point 7 : (un certificat
médical délivré à l’intéressé par des médecins assermentés)ainsi, la
souveraineté est mise en danger.
La justice algérien n'est une justice, elle est aux services de l'équipe dirigeante.
C'EST UNE HONTE POUR NOUS LES VRAIS ALGÉRIENS, QUANT AUX TRAITES QUI NOUS DIRIGENT, LES RICHESSES DU PAYS COMPTENT, LE PEUPLE N'EST QU'UN DÉCOR.
La justice algérien n'est une justice, elle est aux services de l'équipe dirigeante.
C'EST UNE HONTE POUR NOUS LES VRAIS ALGÉRIENS, QUANT AUX TRAITES QUI NOUS DIRIGENT, LES RICHESSES DU PAYS COMPTENT, LE PEUPLE N'EST QU'UN DÉCOR.
besoin de Bouteflika
C'est surtout Bouteflika qui a besoin de soins.Sellal aussi.
Quelles institutions?
Nous ne reconnaissons pas ces résultats fabriqués dans vos
laboratoires! Bouteflika n'est pas capable de parler 5mn, s'il le
pouvait il l'aurait fait avec la presse libre!!!? alors tu es un menteur
de première classe et tu sera rattrapé toi et tes semblables. Tu
n'arrêtes pas de chanter que le peuple est avec ton impotent!! et si
c'est le cas pourquoi tu n'accepte pas une commission indépendante qui
effacera tous les doutes de part et d'autre!! ton Bouteflika n'est pas
l'Algérie, mais le fraudeur, le corrompue, le menteur et un grand de la
ruse par le mensonge. Où sont les 700 milliards de dollars? Oui
Bouteflika est le vôtre mais pas le nôtre et on le reconnait pas en tant
que presudent de la république, plutôt chef d'un clan de mafia qui
s'empare du pouvoir. On ne vous laissera pas faire en usant des moyens
légaux.
A MR LAHM...
Pas la peine de nous le dire on le sait bien que vous avez
besoin de lui,mais pas nous,en tous les cas pas moi .on vous le donne
prenez soin de lui,il est votre assurance.
Les loups ne se mangent pas entre eux
Oui, vous avez besoin de Bouteflika pour taire toute cette
corruption qui gangrène ce pouvoir illégitime depuis 1962. vous êtes
tous complice d'un hold up. Le mépris du peuple continue.
...et la honte continue...
C'est vous qui avez besoin de Bouteflika parce que vous êtes
aussi handicapé que lui, ceci avec tout mon respect aux handicapés
algériens qui, devant leur détresse n'ont pas les services qu'un pays
riche comme l'Algérie ne peut pas leur offrir.
Vous avez sombré dans une idiotie sans cure. Vous avez atteint une surdité chronique...continue à chanter ta rengaine préférée, le peuple a choisi d'écouter d'autres airs plus doux pour l'oreille. Vous avez atteint le point de non retour où même le REPENTIR ne servira plus à rien.
Honte à vous
Vous avez sombré dans une idiotie sans cure. Vous avez atteint une surdité chronique...continue à chanter ta rengaine préférée, le peuple a choisi d'écouter d'autres airs plus doux pour l'oreille. Vous avez atteint le point de non retour où même le REPENTIR ne servira plus à rien.
Honte à vous
serviles..
toi qui ose comparer ton zombi avec l'imminent et digne
roosvelt reflete bien ton ignorance concernant la politique en
generale.tu ne sait meme pas que roosvelt est un homme diplome mais pas
d'une universite algerienne.c'est des ignards de ton espece qui ont
votes boutef avec de faux resultats,bourage des urnes,mensonges sur
l'instabilite du pays tout cela afin de preserver vos sales biens mal
acquis et eviter d'etre juger pour vos vols de milliards durant le regne
de votre maitre.une honte qui vous poursuivra toute votre vie.les
serviles du roi au facies de ouistitis.
mascarade
et ta soeur ? tu lui as parlé combien de fois ? vous ne vous
sentez pas ridicule ? c'est vrai qu'il ne tue pas, le ridicule !!!
reston souder freres algeriens
tahia boutef ! allahi chafih ! inchaallah ! vive l'algerie !
vive les algeriens en general , la france tu peut aller te gratter ! pas
de printemps arabes en algerie , en ce moment un porte avion us est en
espagne ,les marines sont au maroc et l'armée française dans les
frontieres sud du pays , le chien M6 reve de bechar et tindouf ,la frace
de hassi messaoud , freres algeriens j'appel a la retenue et a l'unions
national ! boutef nous redonner notre nif ,pendant les années noirs les
pouilleux de marocains nous ont traiter de singes et c'est eux qui
mangent nos cacahuettes aujourd'hui
ÂNERIES.
Sellal nous prends vraiment pour des ânes !!! Comparer
Roosvelt a Boutef c'est du foulage de gueule, Roosvelt a élevé son pays
Boutef a rabaisser le pays, éducation, santé, emploi, partage des
richesse. Boutef a participé avec ses frères et copains au vol organise,
la justice italienne découvre le pot au rose alors qu en Algérie rien
ne se passe c'est pour dire qu ils ont le droit de voler
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ThamurthDzair
le 20.04.14 | 04h25
traitre sellal
je vous le dit ici , vous êtes un traître kabyle de service.
si tu lis ce message , je te donnerai mon nom si tu veux, et je viendrai
te dire traître kabyle de service que tu est. une honte pour toute la
Kabylie. le temps es notre allié. vous avez fait de cette élection une
mascarade, une honte et une atteinte a la stabilité de la nation. tahya
echouhada. tahya el djazair
une nouvelle mission pour sellal
Des lors qu'il est passe maitre de la brosse a luire et a
reluire ,la presidence lui a confie'la noble tache d'assister le
president lors de ses abluttions .Il pourra toujours se faire aider par
amara Benyounes bien prepare' dans la mise en place de couches
culottes .Roosevelt en avait un intime qui lui faisait tout -n'est ce
pas amar toi qui connait l'histoire .
un trisomique premier de la classe
On c tous ya bou el3ataris que tu es le premier de la classe
des brosseurs de couches d 1 president qui fait honte et n honnor aucun
handicape , t discours montrent bien ton niveau intellectuel et le
niveau du respect que tu porte au peuple, t mal place pour dire au
peuple de ce dont il a besoin , ya chekchouka, ewkeflou el john kerry
yakhi minable yakhi
Pour tes intérêts !
ça va de soi, tu as besoin de boutef pour qu'il continu à te
remplir les poches en dollars et en euros ; quand boutef ne sera plus là
à tes côtés , adieu le fric , tu deviendra simple citoyen et c'est là
le plus dur quand on tombe de si haut.
Il faut faire un dessin à sellall?
Monsieur Sellal,Roosevelt avait une paralysie des membres
inférieurs,pas du cerveau!!!!!C'est clair,ou il faut vous faire un
dessin.
Vous et vos semblables vous ne voyez pas plus loin que vos pieds et nous petit peuple on en conclu que vous réfléchissez et raisonnez avec vos pieds.
Les cours d'anatomie seront désormais un test obligatoire pour les futurs ministres.
Bonne soirée
Vous et vos semblables vous ne voyez pas plus loin que vos pieds et nous petit peuple on en conclu que vous réfléchissez et raisonnez avec vos pieds.
Les cours d'anatomie seront désormais un test obligatoire pour les futurs ministres.
Bonne soirée
Casse-toi etc.....
Le système va s'écrouler de toutes façons et on lui
ressortira toutes ces déclarations ce jour là, ainsi qu'à Amara
Benyounes qui a comparé Bouteflika à Roosevelt!
Economisons notre mépris eu égard au nombre de nécessiteux dans le staff de Bouteflika.
Quelqu'un aurait-il l'amabilité de m'expliquer le titre de Amara Benyounes "ministre du développement industriel", du temps de Boumediene avec un baril à 12 $ il y avait plus d'usines qu'aujourd'hui!!!
En 1968 après l'intervention des troupes du pacte de Varsovie à Prague, Dubcek le premier ministre tchécoslovaque est convoqué à Moscou qui lui impose la composition de son nouveau gouvernement. Dubcek feignant l'innocence lui demande un ministère de la marine, Brejnev lui fait alors remarquer que la Tchécoslovaquie n'a pas de débouchés sur la mer; Et Dubscek de lui répondre malicieusement "Vous avez bien un ministère de la culture vous!"....
Nous en sommes au même point avec cette équipe Bouteflika et ses frères, Benyounes et cie....
Allah yastor!
Economisons notre mépris eu égard au nombre de nécessiteux dans le staff de Bouteflika.
Quelqu'un aurait-il l'amabilité de m'expliquer le titre de Amara Benyounes "ministre du développement industriel", du temps de Boumediene avec un baril à 12 $ il y avait plus d'usines qu'aujourd'hui!!!
En 1968 après l'intervention des troupes du pacte de Varsovie à Prague, Dubcek le premier ministre tchécoslovaque est convoqué à Moscou qui lui impose la composition de son nouveau gouvernement. Dubcek feignant l'innocence lui demande un ministère de la marine, Brejnev lui fait alors remarquer que la Tchécoslovaquie n'a pas de débouchés sur la mer; Et Dubscek de lui répondre malicieusement "Vous avez bien un ministère de la culture vous!"....
Nous en sommes au même point avec cette équipe Bouteflika et ses frères, Benyounes et cie....
Allah yastor!
sara
Un message pour les critiques sur ce forum c'est tous ce que vous Savez faire soit critiquer soit fuir le pays
Les élections qu'ils soit truquées ou non il faut que Bouteflika reste au pouvoir si non je vous le jure que l Algérie sera pire que l Afghanistan ou la Syrie alors svp un peu de respect pour cette homme qui est notre présidente d ailleurs c est l'armée qui décide et encore heureux si non on va se faire bouffer par un certain BHL qui va t en guerre lui qui avais dis que l Algérie sera sur la liste après la Libye.
Alors svp ne rentrer pas dans les provocations et la connerie
Maintenant une chose est certaine peut être que notre président Boutef est physiquement atteint par la maladie mais son cerveau est intacte.
Ce qui fais peur c est combien de temps va t il rester dans cette état et dans le cas ou il arrive un décès qui va le succéder c est cette question que vous devez poser
tant qu'il est tout ira bien car l algérien est encerclé par des terroriste du mali, Tunisie Libye et j en site svp un peu de retenu
Les élections qu'ils soit truquées ou non il faut que Bouteflika reste au pouvoir si non je vous le jure que l Algérie sera pire que l Afghanistan ou la Syrie alors svp un peu de respect pour cette homme qui est notre présidente d ailleurs c est l'armée qui décide et encore heureux si non on va se faire bouffer par un certain BHL qui va t en guerre lui qui avais dis que l Algérie sera sur la liste après la Libye.
Alors svp ne rentrer pas dans les provocations et la connerie
Maintenant une chose est certaine peut être que notre président Boutef est physiquement atteint par la maladie mais son cerveau est intacte.
Ce qui fais peur c est combien de temps va t il rester dans cette état et dans le cas ou il arrive un décès qui va le succéder c est cette question que vous devez poser
tant qu'il est tout ira bien car l algérien est encerclé par des terroriste du mali, Tunisie Libye et j en site svp un peu de retenu
DEMAIN IL FERA JOUR !
Nous avons vu le dernier premier ministre de Benali en
sanglots déclarant qu'il avait peur. La candidature d'un mort cérébrale
ne devait pas avoir lieu, pourquoi parle-t-on de fraude. La fraude de
bouteflika avait commencé au chateau d'Aulnoy elle a fini aux invalides à
Paris. Assoifé du pouvoir, maintenant il est lui même otage du pouvoir
occulte
blablablabla
le pouvoir se prend ça ne se donne pas on n est pas des
ancetres de ben m hidi !!! les français ont ete chasses par les armes
!!!!! le peuple algerien a perdu de sa dignite malgre un etat aux mains d
un dictateur ben ali 6 millions l ont chasse alors que 38 millions de
" gachis " ont accepte d etre humilies pauvre algerie
" gachis " ont accepte d etre humilies pauvre algerie
Pinocchio act 1
Sellal est un menteur et je peux lui prouver qu'il y-a-eu
fraude en masse et partout. A force de mentir, Sellal aura un jour le
nez qui pousse qui Pinocchio.
Affaire de la femme dépossédée de son terrain sur la corniche de Annaba
La justice ordonne l’arrêt des travaux par la force publique
le 22.04.14 | 10h00
7 réactions
Le propriétaire d’un chantier de promotion immobilière, R+14, érigé sur une assiette de terrain au bord de la corniche de Annaba, a été notifié officiellement ce dimanche par un huissier de justice assisté de la Gendarmerie nationale, d’un jugement ordonnant l’arrêt immédiat des travaux.
Prononcé en référé par le tribunal de Annaba, ce verdict consolidé par
un arrêt de la cour de justice vient à la suite d’une affaire qui
défraye la chronique locale depuis 2003.
En effet, l’indisponibilité du foncier dans la wilaya de Annaba a donné lieu à des abus d’envergure allant jusqu’à déposséder des propriétaires de leurs biens, actés, enregistrés et publiés. Ce terrain appartient initialement à une femme, la plaignante. Cette dernière, Dj. Houria, se dit être «victime des machinations administratives qui lui ont coûté son terrain, bien situé sur la corniche, à l’extrémité de la plage Rizi Amor».
L’ex-maire de Annaba s’est démarqué de ce cas plus que douteux. Consulté pour avis, il a émis un refus catégorique. L’ancien président de l’APC de Annaba s’était même rangé du côté de la victime en émettant des réserves graves, entre autres, «le demandeur du permis de construire n’est pas le propriétaire du terrain en question», tel que écrit dans sa correspondance dont nous disposons d’une copie. Mieux encore, il a souligné dans la conclusion «la non-conformité de l’assiette du terrain avec le plan de masse et le non-respect du cahier des charges qui n’accorde qu’une construction de type R+3». Que des réserves, les unes plus graves que les autres, qui n’ont pas empêché, outre mesure, l’ex-wali Mohamed El Ghazi à signer personnellement ce permis de construire pour un R+14.
Comble de l’ironie, la lettre contenant l’avis négatif du maire a été référenciée en haut du permis de construire accordé à cet entrepreneur qui, lui, revendique toujours la propriété de ce terrain. «Je me suis trouvée face à un groupe d’intéressés, dépourvu de la plus élémentaire conception de justice et du plus simple principe de droit. Ce groupe jouit d’une grande impunité dont seule la justice peut y mettre fin. Aussi, je me suis résolue à saisir la justice pour dénoncer une violation d’une propriété privée, une infraction punie par le code pénal fondée sur l’article 386, aggravé par le faux et usage de faux, la rétention de l’information et les déclarations mensongères», explique Mme DJ. Houria, qui ne doute pas, par ailleurs, de l’impartialité de la justice algérienne notamment dans ces cas de figure.
Actuellement trois autres affaires sont en cours de traitement par la justice. La première porte sur une action au niveau de la chambre administrative actionnée par la direction des Domaines à l’encontre de la Conservation foncière et l’agence foncière de Annaba. En objet, «l’annulation de tous les actes de cession ayant été conclus sur la base de données erronées et rétablir la victime dans ses droits». Cette affaire a été enclenchée à la faveur d’une enquête de la direction nationale des Domaines relevant du ministère des Finances.
Une autre action est en cours dans la section foncière du tribunal de Annaba où il est demandé «l’annulation de la procédure d’exécution à l’encontre du véritable propriétair, soit Dj. Houria qui a été dépossédée de son terrain». Quant à la dernière action, elle est actuellement instruite en pénal à la troisième chambre pour «faux et usage de faux» contre un expert et deux huissiers de justice.
En effet, l’indisponibilité du foncier dans la wilaya de Annaba a donné lieu à des abus d’envergure allant jusqu’à déposséder des propriétaires de leurs biens, actés, enregistrés et publiés. Ce terrain appartient initialement à une femme, la plaignante. Cette dernière, Dj. Houria, se dit être «victime des machinations administratives qui lui ont coûté son terrain, bien situé sur la corniche, à l’extrémité de la plage Rizi Amor».
L’ex-maire de Annaba s’est démarqué de ce cas plus que douteux. Consulté pour avis, il a émis un refus catégorique. L’ancien président de l’APC de Annaba s’était même rangé du côté de la victime en émettant des réserves graves, entre autres, «le demandeur du permis de construire n’est pas le propriétaire du terrain en question», tel que écrit dans sa correspondance dont nous disposons d’une copie. Mieux encore, il a souligné dans la conclusion «la non-conformité de l’assiette du terrain avec le plan de masse et le non-respect du cahier des charges qui n’accorde qu’une construction de type R+3». Que des réserves, les unes plus graves que les autres, qui n’ont pas empêché, outre mesure, l’ex-wali Mohamed El Ghazi à signer personnellement ce permis de construire pour un R+14.
Comble de l’ironie, la lettre contenant l’avis négatif du maire a été référenciée en haut du permis de construire accordé à cet entrepreneur qui, lui, revendique toujours la propriété de ce terrain. «Je me suis trouvée face à un groupe d’intéressés, dépourvu de la plus élémentaire conception de justice et du plus simple principe de droit. Ce groupe jouit d’une grande impunité dont seule la justice peut y mettre fin. Aussi, je me suis résolue à saisir la justice pour dénoncer une violation d’une propriété privée, une infraction punie par le code pénal fondée sur l’article 386, aggravé par le faux et usage de faux, la rétention de l’information et les déclarations mensongères», explique Mme DJ. Houria, qui ne doute pas, par ailleurs, de l’impartialité de la justice algérienne notamment dans ces cas de figure.
Actuellement trois autres affaires sont en cours de traitement par la justice. La première porte sur une action au niveau de la chambre administrative actionnée par la direction des Domaines à l’encontre de la Conservation foncière et l’agence foncière de Annaba. En objet, «l’annulation de tous les actes de cession ayant été conclus sur la base de données erronées et rétablir la victime dans ses droits». Cette affaire a été enclenchée à la faveur d’une enquête de la direction nationale des Domaines relevant du ministère des Finances.
Une autre action est en cours dans la section foncière du tribunal de Annaba où il est demandé «l’annulation de la procédure d’exécution à l’encontre du véritable propriétair, soit Dj. Houria qui a été dépossédée de son terrain». Quant à la dernière action, elle est actuellement instruite en pénal à la troisième chambre pour «faux et usage de faux» contre un expert et deux huissiers de justice.
Gaidi Mohamed Faouzi
Vos réactions 7
elgoumi
le 24.04.14 | 11h13
bonnois ou bonois
d abord on dit bonois, bone la ville n a jamais pris deux n,
puis ce terme de campagnard ou nouveau debarque que les gens utilisent
ne serait pas trop inapproprie pour soulever les problemes qu ils vivent
ou que vivent tous les algeriens, on se supporte meme pas entre
algeriens et on accuse les francais ou autres de racisme, il y a un os
queke part, les shtroumpfs,quant a la justice dans cette ville, et meme
partout en algerie,tout le monde sait qu elle vaut pas grand chose, elle
est toujours mal appliquee, et n a aucune valeur, si vous avez le bras
long comme un singe, la justice est de votre cote ,et si vous etes pret a
payer le prix aussi, donc comme l a si bien resume un jour un vrai
bonois, dar echraa elle est juste la, mais dar el hak elle n a jamais
existe ici bas...quant a cette dame que Dieu lui vienne en aide, quant
aux responsables algeriens, des el ghazi, des amar saadani etc etc, j en
chie mille a chaque jour.
question
et ...que prévoit l'article 386 du code pénal pour les coupables ? une promotion à un poste ministériel ?
ca persiste,les pistonnes:
Ils osent defier,la justice et les institutions sans crainte
construisant sans permis de construire au vue et au su des autorites
locales fermant les yeux pour regulariser par la suite.ceux ne sont pas
des algeriens comme moi" du deuxieme college "mais des pistonnees a
regulariser sans aucune forme de proces.dans tous les domaines le piston
fonctionne bien et ne dites pas pourquoi.ils sont des Reboube
aldjazaire du premier college quant aux autres du deuxieme
,troisieme....college la vie belle
vous attend a l'horizon ...patience et la Nation reconnaissante.Que faire pour ces nouveaux colons sans armes ni batons.Rien dans la tete,les bras pour le decors,les pieds pour marcher sans fauteuil pour aller non pour servir mais pour se servir.Disons:espoirs a dieu.
OuOuOus ne dites pas pourquoi.c'est
vous attend a l'horizon ...patience et la Nation reconnaissante.Que faire pour ces nouveaux colons sans armes ni batons.Rien dans la tete,les bras pour le decors,les pieds pour marcher sans fauteuil pour aller non pour servir mais pour se servir.Disons:espoirs a dieu.
OuOuOus ne dites pas pourquoi.c'est
annaba et la justice de la mafia
la justice à Annaba est comme l’arlésienne tous la vante mais
personne ne l'a jamais vu , les bonnois ne sont plus chez eux , ils se
tarent chez eux par ce flux de campagnards qui ont envahis la ville des
escroc a tous les ni les prix flambes de jour en jour la drogue les
barbituriques les voyous l'administration corrompus, mauvais maire
absurde wali ,rien ne va pour la coquette nous avons fuis notre ville
natale car trop c'est trop l'état à délaisser cette belle ville pour la
donner volontairement a la mafia
ou sont passéles hommes de Annaba?
Depuis quelques années personne n'a pu réagir à ce sujet,
aucune réactions des habitants de cet endroit ni des Médias d'Annaba.
Ces arrivistes ont fait un massacre à cet endroit panoramique, il n'y a plus de charme à Annaba, tout est vulguérement bétonné.
L'injustice a fait de Nous "bonois" des agneaux, heureusement que cette femme s'est battu durement mais a réussi à casser ce silence, et a prouvé aux éscros que la Vérité GAGNE.
TOUT UN TISSU DE MONSONGE et de fortes corruptions pour un terrain qui ne leur appartienne meme pas!
Ce promoteur s'est permis aussi de cassé l'Habitation du voisin, car il etait protégé du EX-WALI et les services concernés ne se sont meme pas dérangé pour voir se qui se passe?
Des demandes d'arret de travaux par voies judiciaires des habitants de chapuis, ont etés refusées car el ghazi se melait à chaque fois de cette histoire.
La justice doit sévir! mais il ya d'autres dossiers à régler!!
Cdlmt
Ces arrivistes ont fait un massacre à cet endroit panoramique, il n'y a plus de charme à Annaba, tout est vulguérement bétonné.
L'injustice a fait de Nous "bonois" des agneaux, heureusement que cette femme s'est battu durement mais a réussi à casser ce silence, et a prouvé aux éscros que la Vérité GAGNE.
TOUT UN TISSU DE MONSONGE et de fortes corruptions pour un terrain qui ne leur appartienne meme pas!
Ce promoteur s'est permis aussi de cassé l'Habitation du voisin, car il etait protégé du EX-WALI et les services concernés ne se sont meme pas dérangé pour voir se qui se passe?
Des demandes d'arret de travaux par voies judiciaires des habitants de chapuis, ont etés refusées car el ghazi se melait à chaque fois de cette histoire.
La justice doit sévir! mais il ya d'autres dossiers à régler!!
Cdlmt
Merci de parler de ces affaires !
Un Grand Merci de mettre en avant, sur la place publique
certaines affaires touchant très directement la terre de nos ancêtres.
Des affaires d'autant plus sordides et inacceptables, lorsqu'il s'agit de dépossessions qui se passent ENTRE membres d'une même famille !
Le tout, parfois, avec l'ironie, l'impudeur ainsi que l'hypocrisie, qui caractérisent malheureusement cette infime minorité d'individus, qui se considèrent comme impunissables.
Des "personnes", qui même au sein de leur propre famille, piétinent du pied toutes valeurs humaines ( lois et religion comprises ).
Toutefois et heureusement que face à de tels comportement, il y a des gens honnêtes prêts à se lever et non pas à vendre leur âme pour quelques modiques cacahuètes !
Très Cordialement
Des affaires d'autant plus sordides et inacceptables, lorsqu'il s'agit de dépossessions qui se passent ENTRE membres d'une même famille !
Le tout, parfois, avec l'ironie, l'impudeur ainsi que l'hypocrisie, qui caractérisent malheureusement cette infime minorité d'individus, qui se considèrent comme impunissables.
Des "personnes", qui même au sein de leur propre famille, piétinent du pied toutes valeurs humaines ( lois et religion comprises ).
Toutefois et heureusement que face à de tels comportement, il y a des gens honnêtes prêts à se lever et non pas à vendre leur âme pour quelques modiques cacahuètes !
Très Cordialement
Qui est responsable
Personne ne peut préjuger de l'issue judiciaire de ce dossier
brûlant ,mais une chose est sûre cependant ,le permis de construire a
été délivré à l'époque de l'ancien Wali ,l'actuel doit prendre ses
responsabilités si ce document a été indûment délivré .Cette énorme
bâtisse déforme le paysage ,empêche toutes réflexions quand à
l'amélioration de la circulation auto sur la corniche ,empêche toute
initiative future dans ce sens . La justice doit sévir !
Commune d’El Harrach : Le centre-ville congestionné
le 24.04.14 | 10h00
Réagissez
|
© Salim M.
Le squat des trottoirs par les commerçants informels aggrave cette...
«Nous demandons aux autorités locales de revoir le plan de circulation, mais aussi de libérer les rues occupées par les vendeurs informels», revendiquent les habitants.
Le centre-ville d’El Harrach connaît d’importants embouteillages dus
essentiellement aux travaux menés actuellement à proximité du marché
couvert, ou encore aux abords de la cité (HLM). Revoir le plan de
circulation au niveau du chef-lieu de la commune est une nécessité
absolue. «L’actuel plan de circulation élaboré par les autorités locales
ne répond plus aux exigences nouvelles», affirment des habitants du
centre-ville.
Signalons que les travaux qui sont en cours de réalisation à El Harrach ont contraint les autorités locales à réorganiser la circulation routière,
mais pas de manière cohérente, créant ainsi plus de désagréments aux automobilistes mais également aux commerçants.
D’après un élu de l’Assemblée, «revoir le plan de circulation au niveau du centre-ville d’El Harrach et ses environs est une priorité pour l’APC. Pour ce faire, on a transmis à la commission de sécurité de la wilaya des propositions dans ce domaine.»
Outre ce problème, la commune d’El Harrach connaît nombre de difficultés qui altèrent le cadre de vie de ses habitants. «Les rues de la ville sont squattées par les vendeurs informels qui étalent leurs marchandises dans les moindres recoins de l’agglomération, lui conférant des allures de marché à ciel ouvert.
La qualité de vie à El Harrach est amoindrie par l’anarchie qui y prévaut», déplorent des habitants. «Nous demandons aux autorités locales de revoir le plan de circulation, mais également de libérer les rues occupées par les vendeurs informels, particulièrement aux alentours de Boumati, où les marchands illégaux occupent par leurs étals de fortune le moindre espace, initialement prévu aux piétons ou aux voitures», poursuivent-ils. Les responsables locaux sont appelés à faire preuve d’initiative afin de réorganiser l’espace public à El Harrach. Dans un autre registre, le P/APC de cette commune, lors d’un entretien à El Watan en mai 2013, déclarait que la priorité de l’Assemblée communale demeure l’environnement.
«Presque tout le centre-ville était occupé à 70% après le lancement de l’opération extension de la ligne du métro. Les entreprises sont en train de dégager le centre. Nous avons achevé les travaux de réhabilitation du square de Belfort (Hassen Badi). Il nous reste à réaménager le square Ibn Badis et la placette du 5 Juillet du centre-ville. Cette dernière nécessite une bonne étude pour lui donner un bel aspect. On a lancé, à cet effet, un concours d’idées pour le choix du bureau d’études. On a également programmé la réhabilitation de la rue Malika Gaïd.
En plus du bitumage de la chaussée, nous avons prévu d’y réaliser des trottoirs en béton imprimé. C’est une première dans la ville d’El Harrach. En plus de l’esthétique, la durée de vie de ce matériau est plus longue. La rue Malika Gaïd fait partie de l’axe sud de la ville, qui se transformera en un boulevard bien décoré avec, entre autres, des candélabres. Les premiers résultats seront visibles dans un mois en principe.»
Quant aux problèmes liés à l’hygiène, l’élu dira que pas moins de 120 tonnes de déchets sont ramassées chaque nuit par ses services. «Notre parc roulant est insuffisant : 4 camions en location et 5 appartenant à la commune. Cela reste très insuffisant. Mais les gens sont mobilisés. Nous avons de bonnes relations avec les travailleurs. Tout le parc a été géré en 2012 avec seulement 1,2 milliard de centimes. C’est insuffisant. Enfin, notons que l’APC d’El Harrach vient de se doter d’un site internet (http://www.apc-elharrach.dz/), un espace de communication avec nos citoyens, afin d’être proches d’eux et à l’écoute de tout le monde», affirmera Alik Embarek, P/APC d’El Harrach. L’ensemble des informations sont disponibles pour le citoyen de cette commune, qui pourra même télécharger des formulaires.
Signalons que les travaux qui sont en cours de réalisation à El Harrach ont contraint les autorités locales à réorganiser la circulation routière,
mais pas de manière cohérente, créant ainsi plus de désagréments aux automobilistes mais également aux commerçants.
D’après un élu de l’Assemblée, «revoir le plan de circulation au niveau du centre-ville d’El Harrach et ses environs est une priorité pour l’APC. Pour ce faire, on a transmis à la commission de sécurité de la wilaya des propositions dans ce domaine.»
Outre ce problème, la commune d’El Harrach connaît nombre de difficultés qui altèrent le cadre de vie de ses habitants. «Les rues de la ville sont squattées par les vendeurs informels qui étalent leurs marchandises dans les moindres recoins de l’agglomération, lui conférant des allures de marché à ciel ouvert.
La qualité de vie à El Harrach est amoindrie par l’anarchie qui y prévaut», déplorent des habitants. «Nous demandons aux autorités locales de revoir le plan de circulation, mais également de libérer les rues occupées par les vendeurs informels, particulièrement aux alentours de Boumati, où les marchands illégaux occupent par leurs étals de fortune le moindre espace, initialement prévu aux piétons ou aux voitures», poursuivent-ils. Les responsables locaux sont appelés à faire preuve d’initiative afin de réorganiser l’espace public à El Harrach. Dans un autre registre, le P/APC de cette commune, lors d’un entretien à El Watan en mai 2013, déclarait que la priorité de l’Assemblée communale demeure l’environnement.
«Presque tout le centre-ville était occupé à 70% après le lancement de l’opération extension de la ligne du métro. Les entreprises sont en train de dégager le centre. Nous avons achevé les travaux de réhabilitation du square de Belfort (Hassen Badi). Il nous reste à réaménager le square Ibn Badis et la placette du 5 Juillet du centre-ville. Cette dernière nécessite une bonne étude pour lui donner un bel aspect. On a lancé, à cet effet, un concours d’idées pour le choix du bureau d’études. On a également programmé la réhabilitation de la rue Malika Gaïd.
En plus du bitumage de la chaussée, nous avons prévu d’y réaliser des trottoirs en béton imprimé. C’est une première dans la ville d’El Harrach. En plus de l’esthétique, la durée de vie de ce matériau est plus longue. La rue Malika Gaïd fait partie de l’axe sud de la ville, qui se transformera en un boulevard bien décoré avec, entre autres, des candélabres. Les premiers résultats seront visibles dans un mois en principe.»
Quant aux problèmes liés à l’hygiène, l’élu dira que pas moins de 120 tonnes de déchets sont ramassées chaque nuit par ses services. «Notre parc roulant est insuffisant : 4 camions en location et 5 appartenant à la commune. Cela reste très insuffisant. Mais les gens sont mobilisés. Nous avons de bonnes relations avec les travailleurs. Tout le parc a été géré en 2012 avec seulement 1,2 milliard de centimes. C’est insuffisant. Enfin, notons que l’APC d’El Harrach vient de se doter d’un site internet (http://www.apc-elharrach.dz/), un espace de communication avec nos citoyens, afin d’être proches d’eux et à l’écoute de tout le monde», affirmera Alik Embarek, P/APC d’El Harrach. L’ensemble des informations sont disponibles pour le citoyen de cette commune, qui pourra même télécharger des formulaires.
Saci Kheireddine
SOUFFLES…
Noé et le mensonge
Par : Amine ZAOUI
Je vous raconte :
Il était une fois Noé Sidna Nouh, son arche et le déluge. Les trois Livres sacrés (la Thora, l’Evangile et le Coran) nous ont rapporté l’histoire de Noé et de son peuple menacé par la fin du monde. Mais je vais vous conter ce qui n’a pas été rapporté dans l’histoire du déluge. L’histoire d’une autre histoire ! Quand l’heure de l’apocalypse a sonné, le Ciel a ordonné à Noé de fabriquer son embarcation et d’y mettre à son bord un couple, mâle et femelle, de chaque espèce vivante sur Terre. Occupé par l’embarquement des espèces, couple après couple, Noé vit soudain une étrange créature en forme de femelle, seule, tourmentée, fuyant le déluge qui s’annonce dans l’horizon par la tombée d’une pluie torrentielle. Elle pointa devant Noé, affolée, pleurant, hors d’elle. Elle supplia Noé de lui permettre de monter à bord, à l’image de toutes les autres espèces.
La voyant dans cet état anxieux, le Messager du Dieu a demandé à la créature troublée :
- Qui êtes-vous ?
- Je suis la Trahison, a répondu la créature surprenante.
- Vous ne formez pas de couple, donc il m’est interdit de vous embarquer, il ne peut être sur le bateau que les couples, a dit Noé, avant d’ajouter en messager soumis :
- Le Ciel m’a ordonné de n’embarquer sur l’arche qu’un seul couple de chaque espèce vivante.
Voir sa demande rejetée, la créature est partie en colère, insultant la terre et le ciel. Quelques instants plus tard, une autre créature en forme de mâle, plus étrange que la première, se présenta devant Noé, réclamant elle aussi d’embarquer sur le navire sauveur. Comme avec la première créature, Noé, surpris, lui a demandé de dévoiler son identité. Elle répondit :
- Je suis le Mensonge.
Noé, et comme avec la Trahison, a refusé l’embarquement du Mensonge. L’eau, de plus en plus, monte, couvrant la terre ! Voir sa demande refusée, le mensonge s’est retiré en râlant. à quelques pas, il croisa la trahison dans tous ses états. L’un se confie à l’autre. Soudain une idée diabolique et sauveteuse a traversé, en même temps, les têtes des deux créatures. Ils décidèrent de se marier et ainsi former un couple. Ce qui leur permettra de monter à bord du navire divin et salutaire. L’eau monte et l’heure du déluge approche. Main dans la main, le nouveau couple trotta en direction de Noé qui se prépare à mettre les voiles et prendre le large, partir dans les vagues géantes qui, de plus en plus, s’approprient la terre sèche et avalent les montagnes. En couple légal, unique dans leur espèce, Noé a permis leur embarquement sur le navire rédempteur. Ainsi le couple formé par la Trahison et le Mensonge a trouvé son salut. Et sur le bateau, en amoureux, ils ont eu leur première progéniture et l’ont baptisée : la Politique. Ainsi la politique est la fille légitime du couple Trahison et Mensonge.
Il était une fois Noé Sidna Nouh, son arche et le déluge. Les trois Livres sacrés (la Thora, l’Evangile et le Coran) nous ont rapporté l’histoire de Noé et de son peuple menacé par la fin du monde. Mais je vais vous conter ce qui n’a pas été rapporté dans l’histoire du déluge. L’histoire d’une autre histoire ! Quand l’heure de l’apocalypse a sonné, le Ciel a ordonné à Noé de fabriquer son embarcation et d’y mettre à son bord un couple, mâle et femelle, de chaque espèce vivante sur Terre. Occupé par l’embarquement des espèces, couple après couple, Noé vit soudain une étrange créature en forme de femelle, seule, tourmentée, fuyant le déluge qui s’annonce dans l’horizon par la tombée d’une pluie torrentielle. Elle pointa devant Noé, affolée, pleurant, hors d’elle. Elle supplia Noé de lui permettre de monter à bord, à l’image de toutes les autres espèces.
La voyant dans cet état anxieux, le Messager du Dieu a demandé à la créature troublée :
- Qui êtes-vous ?
- Je suis la Trahison, a répondu la créature surprenante.
- Vous ne formez pas de couple, donc il m’est interdit de vous embarquer, il ne peut être sur le bateau que les couples, a dit Noé, avant d’ajouter en messager soumis :
- Le Ciel m’a ordonné de n’embarquer sur l’arche qu’un seul couple de chaque espèce vivante.
Voir sa demande rejetée, la créature est partie en colère, insultant la terre et le ciel. Quelques instants plus tard, une autre créature en forme de mâle, plus étrange que la première, se présenta devant Noé, réclamant elle aussi d’embarquer sur le navire sauveur. Comme avec la première créature, Noé, surpris, lui a demandé de dévoiler son identité. Elle répondit :
- Je suis le Mensonge.
Noé, et comme avec la Trahison, a refusé l’embarquement du Mensonge. L’eau, de plus en plus, monte, couvrant la terre ! Voir sa demande refusée, le mensonge s’est retiré en râlant. à quelques pas, il croisa la trahison dans tous ses états. L’un se confie à l’autre. Soudain une idée diabolique et sauveteuse a traversé, en même temps, les têtes des deux créatures. Ils décidèrent de se marier et ainsi former un couple. Ce qui leur permettra de monter à bord du navire divin et salutaire. L’eau monte et l’heure du déluge approche. Main dans la main, le nouveau couple trotta en direction de Noé qui se prépare à mettre les voiles et prendre le large, partir dans les vagues géantes qui, de plus en plus, s’approprient la terre sèche et avalent les montagnes. En couple légal, unique dans leur espèce, Noé a permis leur embarquement sur le navire rédempteur. Ainsi le couple formé par la Trahison et le Mensonge a trouvé son salut. Et sur le bateau, en amoureux, ils ont eu leur première progéniture et l’ont baptisée : la Politique. Ainsi la politique est la fille légitime du couple Trahison et Mensonge.
A. Z.
aminzaoui@yahoo.fr
aminzaoui@yahoo.fr
Des algériennes défendent cet habit traditionnel
Au-delà du voile, le haïk dégage sensualité et élégance
le 24.04.14 | 10h00
Réagissez
|
© Chakali
Longtemps tombé en désuétude au profit de la djellaba et du hidjab, le haïk refait peu à peu son apparition.
Il faut noter toutefois que cette résurgence est perceptible non pas
dans les rues et ruelles algériennes, mais plutôt dans les réseaux
sociaux, où il connaît un certain engouement. Comble de l’ironie, la
réapparition du haïk n’est pas due au mérite de la bigoterie ambiante,
mais au contraire de celle de quelques féministes chevronnées qui ont
voulu coûte que coûte redorer le blason de cet habit traditionnel
d’origine ottomane. Il faut savoir que le haïk n’a aucune connotation
religieuse. Il est faux de croire, comme l’affirment certains, que cet
habit n’est ni plus ni moins qu’une «burqa de couleur blanche». Bien au
contraire, ce grand voile blanc est perçu par beaucoup comme étant un
vêtement sensuel, limite sexy.
C’est ce que croient en tout cas dur comme fer bon nombre d’Algériennes, dont parmi elles l’artiste plasticienne Souad Douibi, l’initiatrice à Alger des «opérations haïk». Selon elle, c’est tout un art que de porter ce vêtement. «Le haïk est une étoffe blanche rectangulaire recouvrant tout le corps, enroulée puis maintenue à la taille par une ceinture et ramenée ensuite sur les épaules», nous expliquera-t-elle. Pour Souad, le port du haïk diffère selon les régions. «Personnellement, je trouve cet habit sensuel et sexy à la fois. C’est un vêtement de séduction par excellence. C’est aussi un jeu de transparence qui laisse respirer le corps pour faire dégager, de temps à autre, une beauté et une nudité.»
Selon cette artiste, si le haïk est sexy, il l’est de par la matière dont il est fabriqué, mais aussi à la façon dont les femmes le portent : effectivement, le port du haïk laisse apparaître chez la femme les jambes, les mollets, les bras, ainsi que la mèche. «Tous les ingrédients à même de séduire un homme», rigole-t-elle. «Ce vêtement peut aussi être agrémenté par le port de bijoux, à l’image du Khelkhal et des Sbiiyette, qui créent une ambiance musicale qui correspond au mouvement du corps», ajoute Souad. En Algérie, le haïk authentique est fabriqué à partir de la soie. Cela s’appelle «El haïk Mrema El Hor».
Toutefois, il existe d’autres types de haïks dont le tissu est un mélange de deux matières qui sont la soie et la laine. «Le contact de la soie contre le corps crée une sensualité, nous dira Souad. Par ailleurs, ce drap blanc me rappelle les belles sculptures romaines et grecques, dont la nudité est le thème principal.» Le haïk se porte aussi avec l’aâdjar, une sorte de petite voilette faciale triangulaire. Mais, contrairement à la burqa, l’aâdjar n’a pas pour objectif de cacher le visage de la femme. «C’est un élément qui orne le visage, qui met en valeur les yeux (laâyoun lemkahlin)».
Pour que le haïk soit véritablement sexy, les chaussures à talons sont indispensables. «Elles permettent à la femme de contrôler les mouvements de son corps. Cela s’appelle chez nous ‘‘temchi w tetzaâbel’’». Pour la petite parenthèse historique, on a appris qu’un diplomate français, François Savary de Brèves (1560-1628), a mentionné le haïk dans un de ses recueils. Selon lui, cet habit est un voile qui découle du peplos dorique (tunique antique grecque). Il précise aussi qu’il a été adopté par les Numides à partir du règne de Massinissa et de son fils Micipsa. «Chez-nous, on sait tous que le haïk est ottoman, affirme Souad. Toutefois, il faut noter que le haïk actuel n’a pas la même forme que celui des Ottomans, car au début il s’agissait d’une fota qui couvrait seulement la partie haute du corps et qui était associée à un pantalon large qu’on appelait ‘‘serwel mdewer’’.
Ce n’est que bien après que le haïk a pris une nouvelle forme et une nouvelle sensibilité». Enfin, pour finir, on saura que Souad Douibi concocte, pour bientôt, une manifestation surprenante sur Alger. Elle a choisi de l’appeler «Opération Haïk Choc !». «Cette opération que je m’apprête à monter n’est pas du tout choquante pour moi. J’apporte juste une touche visuelle tout à fait sensuelle et suggestive. Si elle choquera, c’est parce que j’irai dans de petits détails que je trouve sensuels, sexy, séducteurs…».
C’est ce que croient en tout cas dur comme fer bon nombre d’Algériennes, dont parmi elles l’artiste plasticienne Souad Douibi, l’initiatrice à Alger des «opérations haïk». Selon elle, c’est tout un art que de porter ce vêtement. «Le haïk est une étoffe blanche rectangulaire recouvrant tout le corps, enroulée puis maintenue à la taille par une ceinture et ramenée ensuite sur les épaules», nous expliquera-t-elle. Pour Souad, le port du haïk diffère selon les régions. «Personnellement, je trouve cet habit sensuel et sexy à la fois. C’est un vêtement de séduction par excellence. C’est aussi un jeu de transparence qui laisse respirer le corps pour faire dégager, de temps à autre, une beauté et une nudité.»
Selon cette artiste, si le haïk est sexy, il l’est de par la matière dont il est fabriqué, mais aussi à la façon dont les femmes le portent : effectivement, le port du haïk laisse apparaître chez la femme les jambes, les mollets, les bras, ainsi que la mèche. «Tous les ingrédients à même de séduire un homme», rigole-t-elle. «Ce vêtement peut aussi être agrémenté par le port de bijoux, à l’image du Khelkhal et des Sbiiyette, qui créent une ambiance musicale qui correspond au mouvement du corps», ajoute Souad. En Algérie, le haïk authentique est fabriqué à partir de la soie. Cela s’appelle «El haïk Mrema El Hor».
Toutefois, il existe d’autres types de haïks dont le tissu est un mélange de deux matières qui sont la soie et la laine. «Le contact de la soie contre le corps crée une sensualité, nous dira Souad. Par ailleurs, ce drap blanc me rappelle les belles sculptures romaines et grecques, dont la nudité est le thème principal.» Le haïk se porte aussi avec l’aâdjar, une sorte de petite voilette faciale triangulaire. Mais, contrairement à la burqa, l’aâdjar n’a pas pour objectif de cacher le visage de la femme. «C’est un élément qui orne le visage, qui met en valeur les yeux (laâyoun lemkahlin)».
Pour que le haïk soit véritablement sexy, les chaussures à talons sont indispensables. «Elles permettent à la femme de contrôler les mouvements de son corps. Cela s’appelle chez nous ‘‘temchi w tetzaâbel’’». Pour la petite parenthèse historique, on a appris qu’un diplomate français, François Savary de Brèves (1560-1628), a mentionné le haïk dans un de ses recueils. Selon lui, cet habit est un voile qui découle du peplos dorique (tunique antique grecque). Il précise aussi qu’il a été adopté par les Numides à partir du règne de Massinissa et de son fils Micipsa. «Chez-nous, on sait tous que le haïk est ottoman, affirme Souad. Toutefois, il faut noter que le haïk actuel n’a pas la même forme que celui des Ottomans, car au début il s’agissait d’une fota qui couvrait seulement la partie haute du corps et qui était associée à un pantalon large qu’on appelait ‘‘serwel mdewer’’.
Ce n’est que bien après que le haïk a pris une nouvelle forme et une nouvelle sensibilité». Enfin, pour finir, on saura que Souad Douibi concocte, pour bientôt, une manifestation surprenante sur Alger. Elle a choisi de l’appeler «Opération Haïk Choc !». «Cette opération que je m’apprête à monter n’est pas du tout choquante pour moi. J’apporte juste une touche visuelle tout à fait sensuelle et suggestive. Si elle choquera, c’est parce que j’irai dans de petits détails que je trouve sensuels, sexy, séducteurs…».
Akram El Kébir
عشية الإعلان عن النتائج الرسمية للرئاسيات.. بن فليــس: “لا أعتــرف بنتائـج المجلــس الدستــوري” |
الأربعاء, 23 أبريل 2014 18:32 |
انتقد
المترشح الحر لرئاسيات 2014، علي بن فليس، بشدة، أداء المجلس الدستوري،
عشية إعلان هذه المؤسسة -بصفتها المخولة قانونا- عن النتائج الرسمية
للانتخابات الرئاسية، رافضا القبول بالنتائج التي أعلنت عنها “لا أعترف
بالنتائج المعلن عنها اليوم من قبل المجلس الدستوري والتي أعتبرها مفتقدة
للواقع المادي ولأي آثار سياسية أو قانونية”.
عقد
المترشح الحر لرئاسيات 2014، علي بن فليس، أمس، ندوة صحفية، بمناسبة إعلان
المجلس الدستوري عن النتائج الرسمية للانتخابات الرئاسية التي جرت في 17
أفريل الجاري، عبّر فيها عن رفضه النتائج الرسمية للانتخابات الرئاسية
المعلن عنها، أمس، مشيرا إلى أن مخاوفه “كانت في محلها” لما “حذرت حينها
المجلس الدستوري من مشكل التزوير”، منتقدا بشدة أداء هذه المؤسسة التي قال
إنه نزعت منها “كل الصلاحيات ونزل مستواها لمجرد جهاز بسيط وظف للخدمة
الحصرية للنظام القائم”، طارحا العديد من الأسئلة عن تسييره للرئاسيات على
غرار “كيف صادق المجلس الدستوري دون تردد على أربعة ملايين ومائتي ألف
توقيع لمساندة مرشح النظام، دون أن يدفعه هذا الرقم الضخم إلى التحفظ عن
اتخاذ قرار كهذا؟”، منتهيا بذلك إلى عدم اعترافه بالنتائج الرسمية
للانتخابات الرئاسية التي كنت أحد أهم المنافسين فيها، مؤكدا أن المجلس
الدستوري “اليوم بارك من خلال سلطته القانونية ومصداقيته المعنوية انتخابات
لا وجود لها، ولم تسمح للشعب بالتعبير الحر عن رأيه”.
من
جهة أخرى، أكد بن فليس الذي سبق وأن أعلن عن تأسيس حزب سياسي، أنه بدأ
مرحلة جديدة من النضال السياسي في هذا الإطار، مؤكدا “سأواصل نضالي السياسي
كي أكون في خدمة هذا الزخم الشعبي، الذي ظهر جليا في صالح مشروع سياسي كنت
عرضته على الشعب الجزائري”، وداعيا أنصاره للتجند والتنظيم للعمل لصالح
مشروعه، مضيفا أنه سيتواجد بقوة في الساحة السياسية في الأيام المقبلة من
خلال العمل لصالح مشروعه السياسي أو التقارب مع القوى المتمسكة بالتغيير،
التي ساندته من قبل أو غيرها، حيث أكد أنه “من منطلق تطلعاتي الديمقراطية
سأعمل إلى جانب القوى الحية الأخرى، في هذه الأمة العظيمة، لإعادة الاعتبار
لحكومة الشعب، أي نظام سياسي نابع من الإرادة الشعبية الأصيلة وخاضع
لمتطلباتها وثوابتها”. هذا وكشف بن فليس في الندوة الصحفية، أنه بصدد
التحضير -رفقة فريقه- لما أسماه “الكتاب الأبيض” وهو كتاب سينشر في الأيام
القليلة المقبلة، حسب بن فليس، وسيكشف عبره عن كل التجاوزات التي حدث في
مسار الرئاسيات الأخيرة، وسيكون مرفقا بالقرائن، حسب ما قال.
زهور شنوف
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Promenade près de Goulmim, le plus haut lac d’Algérie
le 24.04.14 | 10h00
Réagissez
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© El Watan
Jusqu’aux années 70’, Tamda Uguelmime, comme on l’appelle localement, était l’un des frigos de la Kabylie. On venait à dos d’âne ou de mulet y chercher des blocs de glace dans des crevasses ou au fond de ravins où elle se conservait jusqu’à la fin de l’automne. Cette glace était ensuite vendue dans tous les villages pour faire des sorbets ou conserver la viande consommée à l’occasion des fêtes et des mariages.
Dérangée par notre présence alors qu’elle s’abreuvait à un ruisseau,
une buse féroce, c’est son nom scientifique, nous fixe d’un regard
perçant avant de battre lourdement des ailes dans un ciel d’un bleu
insolent. Il est près de 10 heures du matin, mais le soleil commence à
peine à réchauffer le versant nord de Tikjda, station climatique du
Djurdjura sise à quelque 1500 mètres d’altitude. Partis du chalet Bleu,
sis à Tighzert, nous marchons depuis deux bonnes heures. L’avancée est
pénible. Nous quittons souvent la piste boueuse pour couper à travers
des sentiers étroits qui n’en finissent pas de monter. Nos chaussures
s’enfoncent dans la neige ou la terre gorgée d’eau avec un bruit
d’éponge pressée. La fonte accélérée des neiges fait que l’eau suinte de
partout, ruisselle gaiment avant de former des torrents rugissant au
fond des vallées.
Hamouche, un jeune sportif natif du coin est notre guide de randonnée. C’est lui qui est chargé de nous mener jusqu’au but ultime de cette randonnée pédestre : le lac Goulmim, situé à 1700 mètres d’altitude, ce qui en fait le lac le plus haut d’Algérie. L’un de ces sites magiques et secrets du grand Djurdjura inconnu du grand public car situé en dehors des grandes pistes touristiques.
Pareille expédition demande quatre à cinq heures de marche à l’aller comme au retour. Il convient aussi d’être bien équipé, de prévoir une paire de solides godasses, de bons mollets, des poumons qui ne soient pas trop encrassés, et un guide de montagne expérimenté. Pour le déjeuner sur l’herbe tendre, il faut impérativement ramener des victuailles et se garder de laisser derrière soi sa poubelle. C’est le minimum pour oublier, l’espace d’une journée, la pollution et les embouteillages et le stress des villes sales et surpeuplées.
Paysages bucoliques sur fond de pics montagneux
En ce samedi printanier, deuxième jour de week-end, la station de Tikjda est prise d’assaut par des hordes de citadins assoiffés d’évasion. Nous ne sommes donc nullement fâchés de laisser derrière nous cette agitation et ce tintamarre qui ne conviennent guère à cet endroit classé réserve naturelle. Après une heure de marche, les dos sont en sueur et le souffle se fait saccadé. Mais le premier col franchi nous offre déjà une première récompense : paysages bucoliques de vaches ruminant placidement dans des prés sur fond de pics montagneux et de cimes neigeuses. Tout le monde veut prendre sa photo de vaches ruminant sur fond de montagnes enneigées à publier sur Facebook.
Pour faire croire qu’on a passé le week-end en Suisse. Les vaches, elles, n’apprécient que modérément ces étranges créatures munies de boîtes bizarres qui lancent des flashes. Elles se montrent pressées de retourner à leur fonction de tondeuses à gazon. Petite halte dans la belle prairie d’Alma Nath Reggane d’où l’on peut découvrir différents sommets comme Tamgout n Lalla Khedidja à 2308 mètres d’altitude, Ras Timedouine ou encore Tizi n Tsenant.
Les touristes qui s’aventurent sur ces sommets sont toujours surpris de voir des vaches paître sans berger, en toute liberté. En général, ils mettent le pied dans un monde dont ils ne connaissent pas grand-chose. La semaine passée, Hamouche, notre guide, a rencontré un petit groupe d’Algérois qui fuyaient à toutes jambes. Questionnés sur la raison de cette fuite éperdue, ils avaient répondu qu’ils ont entendu des chacals japper et décidé de rebrousser chemin précipitamment. Habitués des documentaires animaliers et des films d’action, ils pensaient avoir affaire à des loups affamés prêts à les dévorer.
Un lac peuplé de rainettes vertes
Au bout de quatre heures de route à flâner en chemin pour admirer le paysage, nous atteignons enfin le fameux lac. Il forme une grande cuvette au fond d’une petite vallée enserrée entre trois pics montagneux. Le reflet du ciel azur, des roches, les pelouses alpines qui l’entourent qui contrastent avec les étendues de neige, tout cela forme un panorama d’une très grande beauté. Un tableau vivant et continuellement changeant. Le lac vaut vraiment toutes les peines que l’on se donne pour arriver jusqu’ici. On se sent transporté dans un autre monde. On prend plaisir d’en faire le tour et de le découvrir sous tous les angles accompagnés par le chant des rainettes, car le lac abrite une très importante colonie de ces charmantes bestioles vertes dont le concert de chants peut enchanter ou agacer le visiteur. C’est vraiment une chance que l’endroit soit éloigné des grands circuits touristiques. Cela a permis jusque-là de le préserver de la pollution telle qu’on peut la voir à Aswel, Tikjda ou d’autres sites de montagnes.
Pause déjeuner sur l’herbe tendre. Nous profitons du lieu autant que possible avant de reprendre le chemin du retour par le col de Tissegui. La fatigue se fait sentir plus encore en fin de parcours. Une randonnée en montagne est l’occasion idéale de reprendre contact avec la nature, la faune, la flore et ce milieu fragile et vulnérable qui demande respect et attention.
Cependant, ce tableau idyllique recèle des pièges qui peuvent être mortels. Il faut un connaisseur pour affronter la haute montagne qui est un monde à part, avec ses propres règles. Cela peut être fatal de les ignorer.
Des touristes imprudents ont déjà été victimes d’un brusque changement de temps, une tempête de neige, un orage, la montée d’un brouillard qui désoriente, une chute dans un ravin, une avalanche, une chute brutale de la température, la tombée de la nuit. On peut facilement se perdre en chemin et se faire surprendre par la tombée de la nuit avec des températures qui descendent en dessous de zéro. C’est pour cela qu’il ne faut jamais s’aventurer sans guide en montagne.
Jusqu’aux années 70’, Tamda Uguelmime, comme on l’appelle localement, était l’un des frigos de la Kabylie. On venait à dos d’âne ou de mulet y chercher des blocs de glace dans des crevasses ou au fond de ravins où elle se conservait jusqu’à la fin de l’automne. Cette glace était ensuite vendue dans tous les villages pour faire des sorbets ou conserver la viande consommée à l’occasion des fêtes et des mariages.
«Nous ramenons nos déchets dans nos sacs à dos»
Pour Yahia Aouali, guide de montagne de Haïzer et botaniste amateur, la montagne n’a pratiquement plus aucun secret. Il est le président de l’association Mimouna qui organise des activités de ski, d’escalade et de protection de la nature. «Nous sillonnons le Djurdjura d’un bout à l’autre», dit-il. Il a fait plusieurs fois le circuit du lac Agoulmime avec des jeunes de son village ou des touristes. «Nous avons commencé nos randonnées en 2006 avec comme objectif la reconquête des espaces dont les terroristes s’étaient accaparés. Nous avons patiemment balisé le sentier qui y mène. N’importe qui peut y aller de Haïzer en suivant les flèches que nous avons peintes sur les rochers de manière bien visible pour le randonneur», dit-il.
L’association au sein de laquelle Yahia active milite également pour la protection de l’environnement et de la nature. «Nous ramenons nos déchets dans nos sacs à dos et, souvent, les déchets des autres. Nous évitons les sorties de piste et, personnellement, il m’arrive de mentir pour protéger certaines plantes médicinales que les gens arrachent en grandes quantités et par la racine», dit encore ce grand amoureux de la nature qui se consacre presque exclusivement à sa passion de la montagne depuis qu’il a pris sa retraite.
Autrefois, le lac Goulmime, raconte Yahia Aouali, était un passage obligé sur le sentier muletier qui permettait le troc entre les populations des versants nord et sud du Djurdjura. De Haïzer, nos concitoyens partaient chargés de blé, d’orge, de sel ou de piment rouge et revenaient avec des bijoux, des produits de beauté ou des produits manufacturés. Yahia, qui est aussi l’herboriste de l’association, a répertorié plus de 250 de ces plantes médicinales dont les anciens se servaient pour se soigner.
Aujourd’hui, la piste qui mène de Tikjda jusqu’au lac a pratiquement disparu faute d’entretien, raconte Yahia. Il poursuit : «Je suis heureux qu’aucun véhicule ne l’emprunte, sinon il y a longtemps que le lac serait devenu un dépotoir d’ordures.» Tant mieux, car le lac ne se donne à voir qu’aux vrais amoureux de la nature. L’intarissable Yahia nous raconte une dernière anecdote : «Certains Algériens pensent que cette beauté n’existe pas chez nous. Un jour, à Tipasa, un jeune qui admirait mes photos m’a dit : ‘‘Pourquoi
vous nous montrez des photos de l’Himalaya ?’’ Montrez-nous plutôt des photos d’Algérie.»
Hamouche, un jeune sportif natif du coin est notre guide de randonnée. C’est lui qui est chargé de nous mener jusqu’au but ultime de cette randonnée pédestre : le lac Goulmim, situé à 1700 mètres d’altitude, ce qui en fait le lac le plus haut d’Algérie. L’un de ces sites magiques et secrets du grand Djurdjura inconnu du grand public car situé en dehors des grandes pistes touristiques.
Pareille expédition demande quatre à cinq heures de marche à l’aller comme au retour. Il convient aussi d’être bien équipé, de prévoir une paire de solides godasses, de bons mollets, des poumons qui ne soient pas trop encrassés, et un guide de montagne expérimenté. Pour le déjeuner sur l’herbe tendre, il faut impérativement ramener des victuailles et se garder de laisser derrière soi sa poubelle. C’est le minimum pour oublier, l’espace d’une journée, la pollution et les embouteillages et le stress des villes sales et surpeuplées.
Paysages bucoliques sur fond de pics montagneux
En ce samedi printanier, deuxième jour de week-end, la station de Tikjda est prise d’assaut par des hordes de citadins assoiffés d’évasion. Nous ne sommes donc nullement fâchés de laisser derrière nous cette agitation et ce tintamarre qui ne conviennent guère à cet endroit classé réserve naturelle. Après une heure de marche, les dos sont en sueur et le souffle se fait saccadé. Mais le premier col franchi nous offre déjà une première récompense : paysages bucoliques de vaches ruminant placidement dans des prés sur fond de pics montagneux et de cimes neigeuses. Tout le monde veut prendre sa photo de vaches ruminant sur fond de montagnes enneigées à publier sur Facebook.
Pour faire croire qu’on a passé le week-end en Suisse. Les vaches, elles, n’apprécient que modérément ces étranges créatures munies de boîtes bizarres qui lancent des flashes. Elles se montrent pressées de retourner à leur fonction de tondeuses à gazon. Petite halte dans la belle prairie d’Alma Nath Reggane d’où l’on peut découvrir différents sommets comme Tamgout n Lalla Khedidja à 2308 mètres d’altitude, Ras Timedouine ou encore Tizi n Tsenant.
Les touristes qui s’aventurent sur ces sommets sont toujours surpris de voir des vaches paître sans berger, en toute liberté. En général, ils mettent le pied dans un monde dont ils ne connaissent pas grand-chose. La semaine passée, Hamouche, notre guide, a rencontré un petit groupe d’Algérois qui fuyaient à toutes jambes. Questionnés sur la raison de cette fuite éperdue, ils avaient répondu qu’ils ont entendu des chacals japper et décidé de rebrousser chemin précipitamment. Habitués des documentaires animaliers et des films d’action, ils pensaient avoir affaire à des loups affamés prêts à les dévorer.
Un lac peuplé de rainettes vertes
Au bout de quatre heures de route à flâner en chemin pour admirer le paysage, nous atteignons enfin le fameux lac. Il forme une grande cuvette au fond d’une petite vallée enserrée entre trois pics montagneux. Le reflet du ciel azur, des roches, les pelouses alpines qui l’entourent qui contrastent avec les étendues de neige, tout cela forme un panorama d’une très grande beauté. Un tableau vivant et continuellement changeant. Le lac vaut vraiment toutes les peines que l’on se donne pour arriver jusqu’ici. On se sent transporté dans un autre monde. On prend plaisir d’en faire le tour et de le découvrir sous tous les angles accompagnés par le chant des rainettes, car le lac abrite une très importante colonie de ces charmantes bestioles vertes dont le concert de chants peut enchanter ou agacer le visiteur. C’est vraiment une chance que l’endroit soit éloigné des grands circuits touristiques. Cela a permis jusque-là de le préserver de la pollution telle qu’on peut la voir à Aswel, Tikjda ou d’autres sites de montagnes.
Pause déjeuner sur l’herbe tendre. Nous profitons du lieu autant que possible avant de reprendre le chemin du retour par le col de Tissegui. La fatigue se fait sentir plus encore en fin de parcours. Une randonnée en montagne est l’occasion idéale de reprendre contact avec la nature, la faune, la flore et ce milieu fragile et vulnérable qui demande respect et attention.
Cependant, ce tableau idyllique recèle des pièges qui peuvent être mortels. Il faut un connaisseur pour affronter la haute montagne qui est un monde à part, avec ses propres règles. Cela peut être fatal de les ignorer.
Des touristes imprudents ont déjà été victimes d’un brusque changement de temps, une tempête de neige, un orage, la montée d’un brouillard qui désoriente, une chute dans un ravin, une avalanche, une chute brutale de la température, la tombée de la nuit. On peut facilement se perdre en chemin et se faire surprendre par la tombée de la nuit avec des températures qui descendent en dessous de zéro. C’est pour cela qu’il ne faut jamais s’aventurer sans guide en montagne.
Jusqu’aux années 70’, Tamda Uguelmime, comme on l’appelle localement, était l’un des frigos de la Kabylie. On venait à dos d’âne ou de mulet y chercher des blocs de glace dans des crevasses ou au fond de ravins où elle se conservait jusqu’à la fin de l’automne. Cette glace était ensuite vendue dans tous les villages pour faire des sorbets ou conserver la viande consommée à l’occasion des fêtes et des mariages.
«Nous ramenons nos déchets dans nos sacs à dos»
Pour Yahia Aouali, guide de montagne de Haïzer et botaniste amateur, la montagne n’a pratiquement plus aucun secret. Il est le président de l’association Mimouna qui organise des activités de ski, d’escalade et de protection de la nature. «Nous sillonnons le Djurdjura d’un bout à l’autre», dit-il. Il a fait plusieurs fois le circuit du lac Agoulmime avec des jeunes de son village ou des touristes. «Nous avons commencé nos randonnées en 2006 avec comme objectif la reconquête des espaces dont les terroristes s’étaient accaparés. Nous avons patiemment balisé le sentier qui y mène. N’importe qui peut y aller de Haïzer en suivant les flèches que nous avons peintes sur les rochers de manière bien visible pour le randonneur», dit-il.
L’association au sein de laquelle Yahia active milite également pour la protection de l’environnement et de la nature. «Nous ramenons nos déchets dans nos sacs à dos et, souvent, les déchets des autres. Nous évitons les sorties de piste et, personnellement, il m’arrive de mentir pour protéger certaines plantes médicinales que les gens arrachent en grandes quantités et par la racine», dit encore ce grand amoureux de la nature qui se consacre presque exclusivement à sa passion de la montagne depuis qu’il a pris sa retraite.
Autrefois, le lac Goulmime, raconte Yahia Aouali, était un passage obligé sur le sentier muletier qui permettait le troc entre les populations des versants nord et sud du Djurdjura. De Haïzer, nos concitoyens partaient chargés de blé, d’orge, de sel ou de piment rouge et revenaient avec des bijoux, des produits de beauté ou des produits manufacturés. Yahia, qui est aussi l’herboriste de l’association, a répertorié plus de 250 de ces plantes médicinales dont les anciens se servaient pour se soigner.
Aujourd’hui, la piste qui mène de Tikjda jusqu’au lac a pratiquement disparu faute d’entretien, raconte Yahia. Il poursuit : «Je suis heureux qu’aucun véhicule ne l’emprunte, sinon il y a longtemps que le lac serait devenu un dépotoir d’ordures.» Tant mieux, car le lac ne se donne à voir qu’aux vrais amoureux de la nature. L’intarissable Yahia nous raconte une dernière anecdote : «Certains Algériens pensent que cette beauté n’existe pas chez nous. Un jour, à Tipasa, un jeune qui admirait mes photos m’a dit : ‘‘Pourquoi
vous nous montrez des photos de l’Himalaya ?’’ Montrez-nous plutôt des photos d’Algérie.»
Djamel Alilat
عقبة سيد أحمد: “مفاجآت جديدة سنكشفها بعد 5 ماي القادم”
تستعد اللّجنة الوطنية لمراقبة الانتخابات لكشف
“مفاجآت جديدة”، تتعلّق بسير الانتخابات الرئاسية بدءا من الحملة
الانتخابية إلى يوم الاقتراع، انطلاقا من 5 ماي القادم، في إطار تقريرها
النهائي الذي سيضع اللّجنة برئيسها وأعضائها على المحك، باعتباره “مؤشرا”
على مصداقيتها بعدما رفضوا اتهامات وجهت إلى اللجنة بكونها تحول عملها
أثناء الحملة الانتخابية إلى “ساعي بريد”.
تسود حالة من التوتر وما يشبه “الحرب
الباردة” بين أعضاء اللجنة الوطنية لمراقبة الانتخابات بشأن إعداد التقرير
النهائي الذي سيكون بمثابة “المسمار” الذي قد يدق في نعش الانتخابات
الرئاسية، باعتبار أن النتيجة النهائية بتوفر الأدلة الكافية على أن الحملة
الانتخابية لرئاسيات 2014 كانت الأكثر تسجيلا لتجاوزات وحالات عنف غير
مسبوقة.
وأفاد سيد أحمد عقبة، نائب رئيس اللجنة الوطنية لمراقبة الانتخابات وممثل المترشح السابق موسى تواتي في تصريح لـ”الخبر”، أمس، أن عضوي اللجنة محمد صديقي (ممثل المترشح السابق علي فوزي رباعين) وعبد القادر سعدي (ممثل المترشح السابق علي بن فليس)، منحاه تفويضا للتحدث باسمهم في إطار تشكيل “فوج ثلاثي” لتأمين التقرير النهائي وفرض كافة النقاط الإيجابية والسلبية للانتخابات الرئاسية.
وأوضح عقبة أن “الثابت في الانتخابات الرئاسية هو التزوير ومن غير المعقول وغير المنطقي أن لا ترد في التقرير النهائي هذه المسألة، فالأرقام المعلن عنها مضخمة جّدا وغير معقولة، وعليه لن يمر التقرير دون أن نثبت أن عملنا لم يكن تثمينا لدور السلطة، لذلك فالطعن في نتائج الاقتراع غير مستبعد، بالموازاة مع الكشف عن مفاجآت جديدة بعد 5 ماي المقبل”. وسيكون التقرير النهائي للجنة الوطنية لمراقبة الانتخابات جاهزا بعد تاريخ 5 ماي القادم، لكون العملية حاليا ماتزال في مرحلة إعداد اللجان البلدية لتقاريرها وإرسالها إلى اللجان الولائية، التي تحولها بدورها إلى اللجنة الوطنية. ومعلوم أن اللجنة الوطنية لمراقبة الانتخابات غرقت في “فتنة حقيقية” بسبب تصرّفات رئيسها المتهم أيام الحملة الانتخابية من طرف عضوين، الأول نائبه وهو سيد أحمد عقبة، ممثل المترشح عن الجبهة الوطنية الجزائرية موسى تواتي، والثاني محمد صديقي ممثل المترشح عن حزب “عهد 54” علي فوزي رباعين، بممارسة الازدواجية في التعامل مع السلطة من خلال تصريحاته التي تختلف عن اجتماعات اللجنة مع تلك التي يدلي بها للإعلاميين بشأن تصرفات الإدارة.
وتولد عن الفتنة “انتفاضة” العضوين في اللجنة لكونها حادت عن مهامها وعدم ممارستها بجدية تامة، لاسيما ما ورد في الفقرة الثانية من المادة 176 من قانون الانتخابات التي تنص على: “يتعين على الهيئات الرسمية التي يتم إخطارها بذلك أن تتصرف بسرعة وفي أقرب الآجال قصد تصحيح الخلل الملاحظ وإعلام اللجنة كتابيا، بالتدابير والمساعي التي شرع فيها”. لكن هذه الهيئات لم ترد على إخطارات اللجنة، حسب تصريح سابق لرئيس اللجنة فاتح بوطبيق أدلى به لـ”الخبر”.
وأفاد سيد أحمد عقبة، نائب رئيس اللجنة الوطنية لمراقبة الانتخابات وممثل المترشح السابق موسى تواتي في تصريح لـ”الخبر”، أمس، أن عضوي اللجنة محمد صديقي (ممثل المترشح السابق علي فوزي رباعين) وعبد القادر سعدي (ممثل المترشح السابق علي بن فليس)، منحاه تفويضا للتحدث باسمهم في إطار تشكيل “فوج ثلاثي” لتأمين التقرير النهائي وفرض كافة النقاط الإيجابية والسلبية للانتخابات الرئاسية.
وأوضح عقبة أن “الثابت في الانتخابات الرئاسية هو التزوير ومن غير المعقول وغير المنطقي أن لا ترد في التقرير النهائي هذه المسألة، فالأرقام المعلن عنها مضخمة جّدا وغير معقولة، وعليه لن يمر التقرير دون أن نثبت أن عملنا لم يكن تثمينا لدور السلطة، لذلك فالطعن في نتائج الاقتراع غير مستبعد، بالموازاة مع الكشف عن مفاجآت جديدة بعد 5 ماي المقبل”. وسيكون التقرير النهائي للجنة الوطنية لمراقبة الانتخابات جاهزا بعد تاريخ 5 ماي القادم، لكون العملية حاليا ماتزال في مرحلة إعداد اللجان البلدية لتقاريرها وإرسالها إلى اللجان الولائية، التي تحولها بدورها إلى اللجنة الوطنية. ومعلوم أن اللجنة الوطنية لمراقبة الانتخابات غرقت في “فتنة حقيقية” بسبب تصرّفات رئيسها المتهم أيام الحملة الانتخابية من طرف عضوين، الأول نائبه وهو سيد أحمد عقبة، ممثل المترشح عن الجبهة الوطنية الجزائرية موسى تواتي، والثاني محمد صديقي ممثل المترشح عن حزب “عهد 54” علي فوزي رباعين، بممارسة الازدواجية في التعامل مع السلطة من خلال تصريحاته التي تختلف عن اجتماعات اللجنة مع تلك التي يدلي بها للإعلاميين بشأن تصرفات الإدارة.
وتولد عن الفتنة “انتفاضة” العضوين في اللجنة لكونها حادت عن مهامها وعدم ممارستها بجدية تامة، لاسيما ما ورد في الفقرة الثانية من المادة 176 من قانون الانتخابات التي تنص على: “يتعين على الهيئات الرسمية التي يتم إخطارها بذلك أن تتصرف بسرعة وفي أقرب الآجال قصد تصحيح الخلل الملاحظ وإعلام اللجنة كتابيا، بالتدابير والمساعي التي شرع فيها”. لكن هذه الهيئات لم ترد على إخطارات اللجنة، حسب تصريح سابق لرئيس اللجنة فاتح بوطبيق أدلى به لـ”الخبر”.
نائب رئيس لجنة مراقبة الانتخابات يكشف
“نتائج الرئاسيات مزوّرة ”
الخميس 24 أفريل 2014 الجزائر: خ. بودية
عقبة سيد أحمد: “مفاجآت جديدة سنكشفها بعد 5 ماي القادم”
تستعد اللّجنة الوطنية لمراقبة الانتخابات لكشف “مفاجآت جديدة”، تتعلّق بسير الانتخابات الرئاسية بدءا من الحملة الانتخابية إلى يوم الاقتراع، انطلاقا من 5 ماي القادم، في إطار تقريرها النهائي الذي سيضع اللّجنة برئيسها وأعضائها على المحك، باعتباره “مؤشرا” على مصداقيتها بعدما رفضوا اتهامات وجهت إلى اللجنة بكونها تحول عملها أثناء الحملة الانتخابية إلى “ساعي بريد”.
تسود حالة من التوتر وما يشبه “الحرب الباردة” بين أعضاء اللجنة الوطنية لمراقبة الانتخابات بشأن إعداد التقرير النهائي الذي سيكون بمثابة “المسمار” الذي قد يدق في نعش الانتخابات الرئاسية، باعتبار أن النتيجة النهائية بتوفر الأدلة الكافية على أن الحملة الانتخابية لرئاسيات 2014 كانت الأكثر تسجيلا لتجاوزات وحالات عنف غير مسبوقة.
وأفاد سيد أحمد عقبة، نائب رئيس اللجنة الوطنية لمراقبة الانتخابات وممثل المترشح السابق موسى تواتي في تصريح لـ”الخبر”، أمس، أن عضوي اللجنة محمد صديقي (ممثل المترشح السابق علي فوزي رباعين) وعبد القادر سعدي (ممثل المترشح السابق علي بن فليس)، منحاه تفويضا للتحدث باسمهم في إطار تشكيل “فوج ثلاثي” لتأمين التقرير النهائي وفرض كافة النقاط الإيجابية والسلبية للانتخابات الرئاسية.
وأوضح عقبة أن “الثابت في الانتخابات الرئاسية هو التزوير ومن غير المعقول وغير المنطقي أن لا ترد في التقرير النهائي هذه المسألة، فالأرقام المعلن عنها مضخمة جّدا وغير معقولة، وعليه لن يمر التقرير دون أن نثبت أن عملنا لم يكن تثمينا لدور السلطة، لذلك فالطعن في نتائج الاقتراع غير مستبعد، بالموازاة مع الكشف عن مفاجآت جديدة بعد 5 ماي المقبل”. وسيكون التقرير النهائي للجنة الوطنية لمراقبة الانتخابات جاهزا بعد تاريخ 5 ماي القادم، لكون العملية حاليا ماتزال في مرحلة إعداد اللجان البلدية لتقاريرها وإرسالها إلى اللجان الولائية، التي تحولها بدورها إلى اللجنة الوطنية. ومعلوم أن اللجنة الوطنية لمراقبة الانتخابات غرقت في “فتنة حقيقية” بسبب تصرّفات رئيسها المتهم أيام الحملة الانتخابية من طرف عضوين، الأول نائبه وهو سيد أحمد عقبة، ممثل المترشح عن الجبهة الوطنية الجزائرية موسى تواتي، والثاني محمد صديقي ممثل المترشح عن حزب “عهد 54” علي فوزي رباعين، بممارسة الازدواجية في التعامل مع السلطة من خلال تصريحاته التي تختلف عن اجتماعات اللجنة مع تلك التي يدلي بها للإعلاميين بشأن تصرفات الإدارة.
وتولد عن الفتنة “انتفاضة” العضوين في اللجنة لكونها حادت عن مهامها وعدم ممارستها بجدية تامة، لاسيما ما ورد في الفقرة الثانية من المادة 176 من قانون الانتخابات التي تنص على: “يتعين على الهيئات الرسمية التي يتم إخطارها بذلك أن تتصرف بسرعة وفي أقرب الآجال قصد تصحيح الخلل الملاحظ وإعلام اللجنة كتابيا، بالتدابير والمساعي التي شرع فيها”. لكن هذه الهيئات لم ترد على إخطارات اللجنة، حسب تصريح سابق لرئيس اللجنة فاتح بوطبيق أدلى به لـ”الخبر”.
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“نتائج الرئاسيات مزوّرة ”
الخميس 24 أفريل 2014 الجزائر: خ. بودية
عقبة سيد أحمد: “مفاجآت جديدة سنكشفها بعد 5 ماي القادم”
تستعد اللّجنة الوطنية لمراقبة الانتخابات لكشف “مفاجآت جديدة”، تتعلّق بسير الانتخابات الرئاسية بدءا من الحملة الانتخابية إلى يوم الاقتراع، انطلاقا من 5 ماي القادم، في إطار تقريرها النهائي الذي سيضع اللّجنة برئيسها وأعضائها على المحك، باعتباره “مؤشرا” على مصداقيتها بعدما رفضوا اتهامات وجهت إلى اللجنة بكونها تحول عملها أثناء الحملة الانتخابية إلى “ساعي بريد”.
تسود حالة من التوتر وما يشبه “الحرب الباردة” بين أعضاء اللجنة الوطنية لمراقبة الانتخابات بشأن إعداد التقرير النهائي الذي سيكون بمثابة “المسمار” الذي قد يدق في نعش الانتخابات الرئاسية، باعتبار أن النتيجة النهائية بتوفر الأدلة الكافية على أن الحملة الانتخابية لرئاسيات 2014 كانت الأكثر تسجيلا لتجاوزات وحالات عنف غير مسبوقة.
وأفاد سيد أحمد عقبة، نائب رئيس اللجنة الوطنية لمراقبة الانتخابات وممثل المترشح السابق موسى تواتي في تصريح لـ”الخبر”، أمس، أن عضوي اللجنة محمد صديقي (ممثل المترشح السابق علي فوزي رباعين) وعبد القادر سعدي (ممثل المترشح السابق علي بن فليس)، منحاه تفويضا للتحدث باسمهم في إطار تشكيل “فوج ثلاثي” لتأمين التقرير النهائي وفرض كافة النقاط الإيجابية والسلبية للانتخابات الرئاسية.
وأوضح عقبة أن “الثابت في الانتخابات الرئاسية هو التزوير ومن غير المعقول وغير المنطقي أن لا ترد في التقرير النهائي هذه المسألة، فالأرقام المعلن عنها مضخمة جّدا وغير معقولة، وعليه لن يمر التقرير دون أن نثبت أن عملنا لم يكن تثمينا لدور السلطة، لذلك فالطعن في نتائج الاقتراع غير مستبعد، بالموازاة مع الكشف عن مفاجآت جديدة بعد 5 ماي المقبل”. وسيكون التقرير النهائي للجنة الوطنية لمراقبة الانتخابات جاهزا بعد تاريخ 5 ماي القادم، لكون العملية حاليا ماتزال في مرحلة إعداد اللجان البلدية لتقاريرها وإرسالها إلى اللجان الولائية، التي تحولها بدورها إلى اللجنة الوطنية. ومعلوم أن اللجنة الوطنية لمراقبة الانتخابات غرقت في “فتنة حقيقية” بسبب تصرّفات رئيسها المتهم أيام الحملة الانتخابية من طرف عضوين، الأول نائبه وهو سيد أحمد عقبة، ممثل المترشح عن الجبهة الوطنية الجزائرية موسى تواتي، والثاني محمد صديقي ممثل المترشح عن حزب “عهد 54” علي فوزي رباعين، بممارسة الازدواجية في التعامل مع السلطة من خلال تصريحاته التي تختلف عن اجتماعات اللجنة مع تلك التي يدلي بها للإعلاميين بشأن تصرفات الإدارة.
وتولد عن الفتنة “انتفاضة” العضوين في اللجنة لكونها حادت عن مهامها وعدم ممارستها بجدية تامة، لاسيما ما ورد في الفقرة الثانية من المادة 176 من قانون الانتخابات التي تنص على: “يتعين على الهيئات الرسمية التي يتم إخطارها بذلك أن تتصرف بسرعة وفي أقرب الآجال قصد تصحيح الخلل الملاحظ وإعلام اللجنة كتابيا، بالتدابير والمساعي التي شرع فيها”. لكن هذه الهيئات لم ترد على إخطارات اللجنة، حسب تصريح سابق لرئيس اللجنة فاتح بوطبيق أدلى به لـ”الخبر”.
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تتساوى النسبة التي تحصل عليها الرئيس بوتفليقة 81%،ببوسعادة
في المسيلة، مع نسبة الاستيلاء والتعدي على وادي غيلاسة بوسط المدينة،
والنسبة من نتائج الانتخابات السابقة، حتى قيل إن المخالفين استأجروا عمالا
”شناوة” لإنجاز ما تم إنجازه في يومين فقط.
لقطة ''الخبر''
الخميس 24 أفريل 2014 تُعِدّها: هيبة داودي
تتساوى النسبة التي تحصل عليها الرئيس بوتفليقة 81%،ببوسعادة في المسيلة، مع نسبة الاستيلاء والتعدي على وادي غيلاسة بوسط المدينة، والنسبة من نتائج الانتخابات السابقة، حتى قيل إن المخالفين استأجروا عمالا ”شناوة” لإنجاز ما تم إنجازه في يومين فقط.
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نكـــاز يرافــع مــن باريس لصالح المطرودين من لا فارج
حل رشيد نكاز بمقر مجمع لا فارج الفرنسي، الكائن بالعاصمة باريس، للمرافعة من أجل الـ 17 الذين طردهم مصنع الاسمنت التابع للمجمع، الكائن بمنطقة اوقاز على بعد 65 كيلومترا غرب ولاية معسكر بالجزائر.ونشر المرشح المقصي من الرئاسيات الأخيرة صورة له على صفحته في الفايس بوك أمام مقر الشركة في باريس، وتمنى أن تجد إدارة الأخيرة حلا للقضية يرضي جميع الأطراف.
وكانت مديرية مصنع الاسمنت لافارج، قد قررت طرد كامل العمال المضربين عن الطعام المقدر عددهم بـ17 عاملا، واتخاذ إجراءات قانونية في حقهم، خلال الاجتماع المرتقب، هذا الأسبوع، لمجلس الإدارة التابع للمجمع الفرنسي.
رفض الاعتراف بنتائجه عن الانتخابات ووصفه بـ”المؤسّسة الفاسدة”
بن فليس يفتح النّار على المجلس الدستوري
الخميس 24 أفريل 2014 الجزائر: خالد بودية
فتح المترشح السابق لرئاسيات 17 أفريل علي بن فليس، النّار على المجلس الدستوري عقب إعلانه عن النتائج النهائية للاقتراع، وقال إنّها “مؤسسة فاسدة لم يعد الشعب يثق فيها وثبت ذلك من خلال تزكيتها لتزوير واسع النطاق لطخ شرعية الانتخابات الرئاسية”. وكشف بن فليس عن تقرير من مئات الصفحات أطلق عليه اسم “الكتاب الأبيض” يتضمّن عمليات التزوير ولاية بولاية.
تناول رئيس الحكومة الأسبق علي بن فليس، في ندوة صحفية نشطها، أمس بمقر مداومته في أعالي العاصمة، المجلس الدستوري بـ”انتقادات لاذعة” واتهمه كمؤسسة برئيسها وأعضائها بأنها “تتقاعس عن مهمتها في الدفاع عن الشرعية وعن الدستور، وكما كنا ننتظر ها هو يزكي التزوير واسع النطاق الذي لطخ شرعية هذه الانتخابات”.
وأفاد بن فليس أن “الصك على بياض الذي وقعه المجلس الدستوري للمراجعة الدستورية سنة 2008، قد فتح المجال أمام التحايل على الإرادة الشعبية وقبول هذا التعدي المتغطرس من دون اللجوء إلى الاستفتاء الشعبي، وزكت هذه المؤسسة من دون إحساس بالذنب اغتصاب الدستور بإلغاء تحديد العهدات الرئاسية”.
وتأسف بن فليس عن “نزع كل صلاحيات المجلس الدستوري ونزل مستواه لمجرد جهاز بسيط وظف للخدمة الحصرية للنظام القائم، واتضح أنه خلال المسار الانتخابي الأخير خرج من دون قيد عن حياده وانحاز بشكل مفضوح إلى مرشح بعينه”.
وتساءل المتحدّث عن الغرض الحقيقي من تعيين رئيس المجلس الدستوري الحالي مراد مدلسي، وهو قريب جدا من الرئيس، وعن قبوله ملف ترشح الرئيس وثائقه الطبية مناقضة للحقيقة، ومصادقته على 4 ملايين صوت لمساندة مرشح النظام عن التحفظ عليها، وكذا عن وثيقة التصريحات بالممتلكات للرئيس المترشح التي لا تستجيب للقانون.
وأعلن رئيس الحكومة الأسبق ردا على أسئلة الصحفيين “عدم اعترافي بالنتائج المعلن عنها اليوم (أول أمس) من طرف المجلس الدستوري والتي اعتبرها مفتقدة للواقع المادي ولأي آثار سياسية أو قانونية، واعتبر أن اللجوء إلى التزوير يمس بشكل خطير شرعية المؤسسة الأولى في البلاد التي هي حجر الأساس بناءنا المؤسساتي”.
وذكر بن فليس أنه “ملتزم بإعلام الشعب الجزائري من خلال نشر “كتاب أبيض” عن كل مظاهر وأشكال العملية التزويرية التي ستبقى إلى الأبد عالقة بهذا الاقتراع، لذلك فإني اعتبر بكل إخلاص وشرف بأن حقوقي قد اغتصبت وبأنّي الفائز السياسي والمعنوي لهذا الانتخاب الرئاسي”.
ويقع هذا “الكتاب الأبيض” الذي هو تسمية للتقرير العام الذي أعده علي بن فليس، حسبه، عن عمليات التزوير الذي حدثت في كافة الولايات، ويتكون من مئات الصفحات مرفقا بملاحق إضافية، مشيرا إلى أن “التقرير سيكون في ظرف أيام قليلة تحت تصرف الشعب الجزائري ووسائل الإعلام للإطلاع عليه عبر الأنترنت”.
وأبرز المتحدث “شرعت في عملية التحضير لإنشاء حزب سياسي تكون غايته هي تحقيق مشروع التجديد الوطني كبديل من خلال الزخم الشعبي الذي نتج عنه، وسيكون هذا الحزب المحقق للتطلعات والمحفز للتعبئة ووسيلة لتحقيق التغيير”.
عدد القراءات : 8380 | عدد قراءات اليوم : 7647
أنشر على
1 -
2014-04-24م على 6:41
يعني المجلس الدستوري جاب من السماء 9 ملا يين صوت وحطها وانت لم يحتسب لك نسبة 10 ملا يين بهذا اللتصور الذي لا يصدقه بشر عاقلا ولا مجنون ...اتقي الله في نفسك وتجنب اللعب على الوتر الحساس وعاطفة الجزائري وابحث لك عن تموقع يا بني ...
2 - amgoug
alger
2014-04-24م على 6:46
bon courage que dieu nous ramen li fiha el khir rana krahna
3 - djemel
algerie
2014-04-24م على 7:04
العهدة 3سنوات السن 65 سنة قطب 13 حزبا انتهى اجله.
4 -
2014-04-24م على 8:28
شكرا يابنفليس واتمنا لك النجاح
5 - عمر
دزاير
2014-04-24م على 9:59
هاد لبلاد مادام النية ماكاش ماننجحوش كيكان هعاهم كان يقول الانتخابات نزيهة و الان كيما صحلو والو ولات مزورة!!!! كرتفال في دشرة
6 - amine
algerie
2014-04-24م على 9:03
يرحم والديك اخطينا عفنا انت وغيرك خلي الشعب يعيش في حاله انت لست وصي علينا لا انت في المقام ولا الذين يحكمون البلاد ولكن اذا حبيت الجزائر وجابك النيف على الشعب ارواح عيش معنا انت واولادك مش انت في بلاد واولادك ومصالحك في بلاد الخارج بركنا من الركوب على رقاب العباد يا كرسي المسؤولية من جهنم وانت واش راه جايبك لهذا الكرسي الملعون خافوا ربي في هذا الشعب حسبتوا الموت ماكايناش ولكن يوم الحساب عظيم يا ويلكم من لقاء الله تعالى اقرؤوا يا مسؤولين هته الاية وتمعنوا فيها مليح يقول عز وجل: ( إنا عرضنا الأمانة على السماوات والأرض والجبال فأبين أن يحملنها وأشفقن منها وحملها الإنسان إنه كان ظلوما جهولا ( 72 ) ) صدق الله العظيم والفاهم يفهم انشري يا خبر المصداقية ان كنتم اهل لها ......
7 - عادل
أولاد جلال
2014-04-24م على 9:40
التقاعس شيء و التآمر على الشرعية شيء.
كن واضح يا أستاذ
8 - خ.ه وهران
oran
2014-04-24م على 11:11
الله ينصر الحق
http://www.entv.dz/tvar/video/index.php?t=JT20H_23-04-2014
http://www.entv.dz/tvar/video/index.php?t=JT20H_22-04-2014
الأموال تفجر اللجنة الحرة لمساندة بوتفليقة
الخميس 24 أفريل 2014 elkhabar
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تستعد أكثر من 40 لجنة ولائية لسحب الثقة من قيادتها الوطنية الحرة، بسبب تمويل حملة الرئيس، عبد العزيز بوتفليقة، حيث أن اللجان الولائية تتهم هذه القيادة بتحويل كل الأموال التي تحصلت عليها من تبرعات رجال الأعمال لوجهات شخصية، وبأن اللجان المحلية لم تتحصل على سنتيم واحد، ما اضطر إطاراتها إلى الصرف على الحملة من جيوبهم الخاصة.
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2014-04-24م على 3:18
تدوا الهوى و الريح
2 -
2014-04-24م على 12:21
عمري ما شفت واحد يضرب الشيتة و يزيد يخلصها من جيبو هههههههههههههه
Ali Benflis : «Il n’y a eu que 6 millions de votants»
le 24.04.14 | 10h00
28 réactions
|
© Lyès. H.
Franchement déterminé, infatigable, le candidat indépendant Ali Benflis a animé, hier, sa troisième sortie médiatique depuis ce qu’il qualifie de «forfaiture du 17 avril».
La conférence de presse qu’il a organisée à son QG de campagne vient en
réponse à la validation par le Conseil constitutionnel, avant-hier, des
résultats qui donnent Abdelaziz Bouteflika vainqueur. La réaction de
Ali Benflis est cinglante. D’abord, il affirme qu’il ne reconnaît pas
les scores annoncés par l’institution présidée par Mourad Medelci, un
proche parmi les proches du chef de l’Etat. Ensuite, Ali Benflis indique
qu’il publiera dans les prochains jours «un livre blanc sur la fraude
électorale du 17 avril». Le document, exhibé par le conférencier devant
les journalistes, contient toutes les preuves d’une fraude généralisée
et massive. «Ce sera un séisme», prévient Ali Benflis, qui donne «les
vrais résultats du dernier scrutin présidentiel».
Selon lui, il aurait remporté l’élection avec environ 4 millions de voix. Quant au taux de participation, il tournerait, dit l’ancien chef de gouvernement, autour des 6 millions de suffrages. Le candidat indépendant n’y est pas allé avec le dos de la cuillère dans ses critiques décochées au Conseil constitutionnel : «Ce n’est pas la première fois qu’il s’écarte de sa mission de défense de la Constitution et de la légalité.» Il rappelle qu’en 2008 déjà, cette institution a cautionné, sans état d’âme, le viol caractérisé de la Constitution qui a supprimé la limitation des mandats à cause duquel nous sommes, aujourd’hui, face à «une crise de légitimité de la première institution du pays, la présidence de la République».
De toute évidence, considère Ali Benflis, «dans le processus électoral qui vient de s’achever honteusement, le Conseil constitutionnel est sorti de sa neutralité en adoptant un parti pris manifeste pour un candidat». Et d’ajouter : «Cette institution qui, dans tous les pays, est le défenseur vigilant de la constitutionnalité des lois, a été rabaissée au rang de simple appareil au service exclusif du régime en place.»
«Je suis le vainqueur moral et politique du scrutin»
Ali Benflis, qui regrette que «le Conseil constitutionnel ne s’est pas imposé comme une institution républicaine ne servant que l’Etat», l’accuse d’avoir «accepté et assumé sa dérive en donnant sa caution légale et morale à la fraude qui a été la caractéristique principale de ce scrutin présidentiel». L’ancien chef de gouvernement a posé une série d’interrogations qui valent affirmations : «Comment le Conseil constitutionnel a-t-il pu valider sans hésitation 4,2 millions de signatures de soutien au candidat du régime sans que l’énormité de cette prétention fallacieuse ne l’oblige à la retenue ? «Comment a-t-il déclaré recevable une candidature dont le dossier médical est manifestement contraire à une réalité visible et connue de tous ? Comment cette institution a-t-elle pu valider la déclaration de patrimoine du président-candidat qui ne satisfait pas aux conditions exigées par la loi ?» «Peut-on par ailleurs concevoir que le chef de l’Etat ne possède même pas un compte courant postal ou bancaire qui lui serve à percevoir son salaire ?» se demande Ali Benflis, qui estime que «ne pas déclarer ce compte aurait dû amener naturellement le Conseil constitutionnel à refuser le dossier du candidat concerné».
«Je ne reconnais pas les résultats proclamés par le Conseil constitutionnel, que je considère dépourvus de réalité matérielle et d’effets politiques ou légaux», tranche le candidat indépendant à la présidentielle du 17 avril. Affirmant sa «résolution inébranlable de continuer d’exposer et de dénoncer la fraude comme instrument de détournement des choix du peuple», le conférencier, qui considère que «ses droits ont été lésés», se dit «être le vainqueur politique et moral de ce scrutin présidentiel».
«Je ne fais aucun appel à l’armée, seul le peuple est souverain»
Ali Benflis indique qu’il poursuivra «avec détermination le combat politique pour se mettre au service de l’élan populaire qui s’est manifesté clairement en faveur du projet politique soumis à l’appréciation et au jugement de notre peuple». Le candidat a en effet les idées très claires sur son avenir politique et la dynamique suscitée dans la société par la présidentielle.
Le parti politique qu’il mettra en place sera «démocratique et social». Ali Benflis affirme aussi jouer le rôle de coordinateur du pôle pour le changement créé avec les partis qui l’ont soutenu. Pas seulement. Il se dit prêt à travailler avec la classe politique qui a appelé au boycott de l’élection du 17 avril. L’ancien chef de gouvernement, qui annonce une rencontre dans les prochains jours, indique lui aussi avoir une plateforme à leur soumettre. «Nous discuterons les deux propositions et j’espère que nos visions convergeront», souligne Ali Benflis qui répondait à une question sur une éventuelle guerre de leadership dans le camp démocratique.
A propos de l’appel de certaines personnalités à l’intervention de l’armée, le conférencier tranche et affirme qu’il n’«appellera personne, seul le peuple est souverain». L’ancien chef de gouvernement considère que l’armée a laissé faire. Pour lui, «le pouvoir en place est un pouvoir de fait, la seule discussion qui vaille avec lui est le retour à la légitimité populaire et rien d’autre». «Ce système corrompu et vieillissant disparaîtra et tombera», déclare Ali Benflis qui, sur le ton de la dérision, propose de l’aider à partir dans «de meilleures conditions». Il affirme être «très touché» que le président Bouteflika soit allé se plaindre de lui auprès d’un dirigeant étranger et l’ait traité de «terroriste». «Moi je n’ai jamais été à cette école», peste Ali Benflis, soutenant que «celui qui n’a pas pu régler les problèmes de l’Algérie durant 15 ans lorsqu’il était en bonne santé ne peut pas les résoudre en étant diminué».
Selon lui, il aurait remporté l’élection avec environ 4 millions de voix. Quant au taux de participation, il tournerait, dit l’ancien chef de gouvernement, autour des 6 millions de suffrages. Le candidat indépendant n’y est pas allé avec le dos de la cuillère dans ses critiques décochées au Conseil constitutionnel : «Ce n’est pas la première fois qu’il s’écarte de sa mission de défense de la Constitution et de la légalité.» Il rappelle qu’en 2008 déjà, cette institution a cautionné, sans état d’âme, le viol caractérisé de la Constitution qui a supprimé la limitation des mandats à cause duquel nous sommes, aujourd’hui, face à «une crise de légitimité de la première institution du pays, la présidence de la République».
De toute évidence, considère Ali Benflis, «dans le processus électoral qui vient de s’achever honteusement, le Conseil constitutionnel est sorti de sa neutralité en adoptant un parti pris manifeste pour un candidat». Et d’ajouter : «Cette institution qui, dans tous les pays, est le défenseur vigilant de la constitutionnalité des lois, a été rabaissée au rang de simple appareil au service exclusif du régime en place.»
«Je suis le vainqueur moral et politique du scrutin»
Ali Benflis, qui regrette que «le Conseil constitutionnel ne s’est pas imposé comme une institution républicaine ne servant que l’Etat», l’accuse d’avoir «accepté et assumé sa dérive en donnant sa caution légale et morale à la fraude qui a été la caractéristique principale de ce scrutin présidentiel». L’ancien chef de gouvernement a posé une série d’interrogations qui valent affirmations : «Comment le Conseil constitutionnel a-t-il pu valider sans hésitation 4,2 millions de signatures de soutien au candidat du régime sans que l’énormité de cette prétention fallacieuse ne l’oblige à la retenue ? «Comment a-t-il déclaré recevable une candidature dont le dossier médical est manifestement contraire à une réalité visible et connue de tous ? Comment cette institution a-t-elle pu valider la déclaration de patrimoine du président-candidat qui ne satisfait pas aux conditions exigées par la loi ?» «Peut-on par ailleurs concevoir que le chef de l’Etat ne possède même pas un compte courant postal ou bancaire qui lui serve à percevoir son salaire ?» se demande Ali Benflis, qui estime que «ne pas déclarer ce compte aurait dû amener naturellement le Conseil constitutionnel à refuser le dossier du candidat concerné».
«Je ne reconnais pas les résultats proclamés par le Conseil constitutionnel, que je considère dépourvus de réalité matérielle et d’effets politiques ou légaux», tranche le candidat indépendant à la présidentielle du 17 avril. Affirmant sa «résolution inébranlable de continuer d’exposer et de dénoncer la fraude comme instrument de détournement des choix du peuple», le conférencier, qui considère que «ses droits ont été lésés», se dit «être le vainqueur politique et moral de ce scrutin présidentiel».
«Je ne fais aucun appel à l’armée, seul le peuple est souverain»
Ali Benflis indique qu’il poursuivra «avec détermination le combat politique pour se mettre au service de l’élan populaire qui s’est manifesté clairement en faveur du projet politique soumis à l’appréciation et au jugement de notre peuple». Le candidat a en effet les idées très claires sur son avenir politique et la dynamique suscitée dans la société par la présidentielle.
Le parti politique qu’il mettra en place sera «démocratique et social». Ali Benflis affirme aussi jouer le rôle de coordinateur du pôle pour le changement créé avec les partis qui l’ont soutenu. Pas seulement. Il se dit prêt à travailler avec la classe politique qui a appelé au boycott de l’élection du 17 avril. L’ancien chef de gouvernement, qui annonce une rencontre dans les prochains jours, indique lui aussi avoir une plateforme à leur soumettre. «Nous discuterons les deux propositions et j’espère que nos visions convergeront», souligne Ali Benflis qui répondait à une question sur une éventuelle guerre de leadership dans le camp démocratique.
A propos de l’appel de certaines personnalités à l’intervention de l’armée, le conférencier tranche et affirme qu’il n’«appellera personne, seul le peuple est souverain». L’ancien chef de gouvernement considère que l’armée a laissé faire. Pour lui, «le pouvoir en place est un pouvoir de fait, la seule discussion qui vaille avec lui est le retour à la légitimité populaire et rien d’autre». «Ce système corrompu et vieillissant disparaîtra et tombera», déclare Ali Benflis qui, sur le ton de la dérision, propose de l’aider à partir dans «de meilleures conditions». Il affirme être «très touché» que le président Bouteflika soit allé se plaindre de lui auprès d’un dirigeant étranger et l’ait traité de «terroriste». «Moi je n’ai jamais été à cette école», peste Ali Benflis, soutenant que «celui qui n’a pas pu régler les problèmes de l’Algérie durant 15 ans lorsqu’il était en bonne santé ne peut pas les résoudre en étant diminué».
Said Rabia
Vos réactions 28
atia
le 24.04.14 | 14h12
Encore quelques années de stagnation
On peut etre un ancien du FLN,maison peut changer au cours de
la vie.Car il n'y a que les idiots qui ne changent pas d'avis.Le mal
dont est atteinte l'ALGERIE est presque inguérissable tellement il est
ancré dans la tete de milliers de privilègés qui ont profité du système
et qui en profitent encore et encore.Propriété privée de la génération
1954 ça sera dur de les déloger du luxe dans lequel ils vivent,privant
tout un peuple de ses droits les plus élémentaires.Ils décident à notre
place de notre avenir et des générations futures sans se soucier des
conséquences qui pourraient en résulter.Ils sont a l'abri du besoin au
bled et a l'étranger pour des décennies.Je dirais alors bon courage au
peuple ALGERIEN en lui souhaitant un changement dans la paix et la
sécurité pour ne pas etre une copie conforme de la TUNISIE,LA
LYBIE,L'EGYPTE OU LA SYRIE.Si on te pose une question sur la justice
dans les pays ARABES dit leurs que OMAR LE COMPAGNON du prophète SAS est
port.
on n'estpas dupe
Benflis est comme l’animal blessé.Il croit qu'on est dupe
pour nous faire croire qu'il a remporté les élections.quel mensonge
tous le monde c'est que la majorité a voté pour Boutef. cet homme est
dangereux
Ne parlez pas au nom du peuple
@Jastocratienne
....."le peuple lui est catégorique il ne veut plus de l'islamisme, cette horrible idéologie sous couvert de l'islam". .....
Ne parlez pas au nom du peuple svp. il y'a 38 millions d'algériens, et chacun a ses propres convictions.
....."le peuple lui est catégorique il ne veut plus de l'islamisme, cette horrible idéologie sous couvert de l'islam". .....
Ne parlez pas au nom du peuple svp. il y'a 38 millions d'algériens, et chacun a ses propres convictions.
Le grand lievre
Bonjour aux lecteurs ,lectrices d'El Watan.
J'ai titré ma réaction le grand lièvre,parce que je me suis aperçu qu'aucune personnalités politique ne veut participer à la mascarade depuis 2004 STOP nous ne sommes plus des lièvres,il fallait obtenir un lièvre qui puisse concurrencé le président sortant et la seule personne encore plausible c'était Benflis mais comment le faire venir ,par le mensonge venus d'officier qui lui ont garanti que cette fois c'est du sérieux ,nous sommes garants ,il a cru et c'est ainsi qu'il est devenu le grand lièvre,il faut faire confiance aux jeunes ce sont les seules personnes qui peuvent créer le changement,sans eux le pouvoir restera encore des décennies .
J'ai titré ma réaction le grand lièvre,parce que je me suis aperçu qu'aucune personnalités politique ne veut participer à la mascarade depuis 2004 STOP nous ne sommes plus des lièvres,il fallait obtenir un lièvre qui puisse concurrencé le président sortant et la seule personne encore plausible c'était Benflis mais comment le faire venir ,par le mensonge venus d'officier qui lui ont garanti que cette fois c'est du sérieux ,nous sommes garants ,il a cru et c'est ainsi qu'il est devenu le grand lièvre,il faut faire confiance aux jeunes ce sont les seules personnes qui peuvent créer le changement,sans eux le pouvoir restera encore des décennies .
Zéléctions
nous savons tous que rares ont été les éléctions propres et
nettes ! Alors celui qui a participé tout en le sachant , qu'il ne
plaigne pas !!! Au fait,on ne se prépare pas a une éléction
présidentiélle au dernier moment , on risque d'étre en retard .
Amicalement Votre
Je vais pas me taire!!!!!
Tu nous a bien déçu Monsieur Benflis, tu nous a promis qu'en
cas de fraude tu ne vas pas te taire, moi j'ai cru qu'on aller faire des
sit-in a l'égyptienne pour forcer cette pourriture de pouvoir de nous
rendre les clé de l'Algérie. Tan pis pour l'Algérie
Vous volez avec le voleur et ...
Yasrek m3a essarek ou yabki m3a moul eddar,voila un adage qui vous sied bien M Benflis.
Vous avez participé à cette mascarade et maintenant vous vous retournez vers le front qui l'a boycottée pour vous acoquiné avec eux.
Cela a un nom:c'est de l'opportunisme de bas étage.
On supposant un instant que vous ayez été élu,je vois d'ici le traitement que vous aurez réservé à ces mêmes gens auxquels vous voulez vous allier aujourd'hui...
Vous confirmez cependant une chose:c'est les boycotteurs qui ont été vainqueurs de cette élection et s'ils n'occupent pas El Mouradia, ils occupent toute l'Algérie.
Vous avez participé à cette mascarade et maintenant vous vous retournez vers le front qui l'a boycottée pour vous acoquiné avec eux.
Cela a un nom:c'est de l'opportunisme de bas étage.
On supposant un instant que vous ayez été élu,je vois d'ici le traitement que vous aurez réservé à ces mêmes gens auxquels vous voulez vous allier aujourd'hui...
Vous confirmez cependant une chose:c'est les boycotteurs qui ont été vainqueurs de cette élection et s'ils n'occupent pas El Mouradia, ils occupent toute l'Algérie.
a algerie_zero
sachez que Benflis n'est pas le premier qui veut réhabilité
le fis. chacun pense que c'est lui qui peut faire çà et comme il ne
réussit pas, il accuse les autres de vouloir le faire. "réhabiliter le
FIS" est une arme a double tranchant. On veut bien flirter avec la base
du FIS mais quand on échoue on accuse les autres de vouloir réhabiliter
le terrorisme. Alors que le peuple lui est catégorique il ne veut plus
de l'islamisme, cette horrible idéologie sous couvert de l'islam.
Benflis un pur produit du régime
Ce qui me gêne chez Benflis c'est qu'en plus d'être un pur
produit du régime, il a accepté de servir un voleur nommé Bouteflika en
étant son premier ministre. Un homme de conviction, d'honneur et de
dignité n'aurait jamais accepté de servir un voleur dont la culpabilité
est reconnue par la cour des comptes. Si tel était son cas, Benflis
serait sorti grandi. Nous n'en sommes pas là. Pire, il a établi les lois
les plus répressives du pays; voila pourquoi il ne sera pas facile au
directeur de campagne, secrétaire général de la présidence, chef de
cabinet et premier ministre de Bouteflika de se refaire une virginité.
Les archives témoignent qu'il était aux toutes premières loges de l'état
lors du printemps noir en Kabylie. Alors? Casse toi pov'c....
IL FALLAIT PAS PARTICIPER
Mr BENFLIS.arretez de pleurnicher;vous le savez d'avance que
le vainqueur est désigner d'avance;on comprend rien un pas en avant et
deux pas en arrière;vous étes comme les autres candidats lièvres;ou
moins TATA LOUISA CHAVEZ;a été claire;elle a fait campagne pour le
vainqueur désigner;et bientot elle sera récompensée;il fallait pas etre
complice de la mascarade et d'etre claire comme les autres partis;qui
ont pas participer;
Vos réactions 28
Hoicne-Nasser Bouabsa
le 24.04.14 | 11h24
La stratégie pour gagner!
Mr Benflis n’a pas non seulement écouté les appels pour le
BOYCOTT, mais il s’est aussi mal préparé à la bataille de la conquête du
pouvoir. Il aurait dû nommer pendant la campagne ce qu’on appelle un
gouvernement de l’ombre (en Allemand «Schattenregierung ») pour
démontrer qu’il est prêt à gouverner. Le lendemain des élections il
aurait dû déclarer qu’il est le Président légitime et présenter son «
Schattenregierung » comme « Gouvernement parallèle légitime ». Ça aurait
donné du poids à sa démarche. Le reste c’est plutôt de la gesticulation
sans portée politique.
L’idée de créer un parti politique n’apparait pas être pertinente. La preuve : Taleb Ibrahimi et Ghozali attendent l’agrément pendant plusieurs années sans l’avoir. Et même si un nouveau parti serait agréé par le pouvoir, l’atomisation du champ politique à la Weimar n’apportera aucun avantage à l’Algérie. Par ailleurs Benflis est militant du FLN. Il ferait mieux de s’allier avec les redresseurs pour faire dégager Saadani de sa tête.
L’idée de créer un parti politique n’apparait pas être pertinente. La preuve : Taleb Ibrahimi et Ghozali attendent l’agrément pendant plusieurs années sans l’avoir. Et même si un nouveau parti serait agréé par le pouvoir, l’atomisation du champ politique à la Weimar n’apportera aucun avantage à l’Algérie. Par ailleurs Benflis est militant du FLN. Il ferait mieux de s’allier avec les redresseurs pour faire dégager Saadani de sa tête.
retraite doré
je pense sincèrement qu'il devrais se taire lui l'enfant du
système.Qu'il arrête d'insulter l'intelligence du peuple.Inventer autre
chose pour expliquer votre défaite c'est tout! et puis il doit très bien
le savoir une fois dans le système on n'est plus maitre de son destin,
de soi tout court!
Ali Benflis : «Il n’y a eu que 6 mill...
L'ancien président Chadli Bendjedid, que Dieu ait son âme
avait bien dit :" Il a mis la main sur le Coran pour défendre la
constitution et il a fait autre chose; moi je ne suis pas de ces gens là
!" Chadli avait déjà dénoncé la ruse de Bouteflika !
mauvais perdant
tab djnenek ceux qui ont voté n'ont pas voté pour toi
monsieur benflis.Rentre au berkai et profite de ta famille et arrete
tes calomnie les Algériens ont élu Bouteflika pour 5ans encore et il
saura les satisfaire Vive l'Algerie ,vive l'Armée Algerienne qui
protége ce pays et ce peuple
A qui la faute , ya Benflis ???
Beaucoup t'ont averti avant d'aller aux élections que les
institutions e l'administration sera avec le fauteuil roulant ! Ya si
Benflis, tu n'as exigé même pas une seule condition au pouvoir avant de
plonger dans la piscine ! Tu n'as pas exigé l'actualisation et la
publication de la liste électorale, tu n'as pas exigé une commission
indépendante du contrôle des élections,tu n'as pas exigé l'ouverture à
l'expression libre des médias, tu n'as pas parlé du vote des corps
constitués (police, gendarmerie, armée, CNS etc..etc..) , tu n'as pas
trop fait de bruit quand il a été constaté toute la mobilisation (avant
même le jour de l'élection) des moyens de l'Etat pour le fauteuil
roulant et maintenant tu te plains ???!!! Il y a quelque chose de
bizarre en toi ya Benflis , toi qui connait très bien le pouvoir et ses
arcanes !!
Merci bcp Mr Benflis
Bonjour,
Homme et demi.
Saluts.
Ali
Homme et demi.
Saluts.
Ali
TOUT SAUF LES EXTREMISTES
- Je soutienS toute démarche politique pacifique et
démocratique, en particulier celle que prône Mr Benflis avec une force
de conviction ... vous avez pris le risque des urnes populaires pour
défendre votre programme . Ne lâchez rien , mais faites pas le jeu des
putschistes, restez dans la légalité ,votre projet et vos convictions
sont connus partout .
Ne vous en faites pas si actuellement la real politique des européens et des américains vous sembles contradictoires avec les intérêts de notre peuple ... Ils viendront tous vous féliciter si par bonheur vous serez en charge de la destinée de notre ALGERIE .
Ne vous en faites pas si actuellement la real politique des européens et des américains vous sembles contradictoires avec les intérêts de notre peuple ... Ils viendront tous vous féliciter si par bonheur vous serez en charge de la destinée de notre ALGERIE .
Des menaces ou pressions ?
S’il advienne que BENFLIS ne publie pas ce livre, j’en
conclurai qu’il l’a brandi comme une carte sorti de sa manche pour faire
pression. De quoi ? Je ne sais pas. C’est comme quand SAADANI s’est
attaqué au DRS avant le début de la campagne électorale. Ayant obtenu
lui et ceux qui sont derrière ce qu’ils voulaient, les choses sont
rentrés dans l’ordre d’elles mêmes. Parmi les critères de la
crédibilité, il y a les promesses tenues et les actes. Donc j’attends
pour voir.
le livre blanc
Il a accepté de jouer le jeu, et maintenant qu’il a perdu, il
crie au scandale on lui a bien dit de se retirer mais lui obnubiler par
le pouvoir ancien du système il a joué tout en sachant au lièvre,.Or,
en dépit de ce qu’il avance, a accepté de jouer le jeu en participant à
l’élection. Pour que de tels propos soient crédibles, il fallait
dénoncer cet état de fait avant l’élection et, éventuellement se retirer
de la course.
Par rapport à l’armée nationale, d’un côté il ne doute pas l’engagement de neutralité , de l’autre, il se plaint du fait que " l’armée a laissé faire ". Ces propos me paraissent incohérents. Rester humble et arrêter de polluer le débat politique au détriment du vrai débat démocratique
Par rapport à l’armée nationale, d’un côté il ne doute pas l’engagement de neutralité , de l’autre, il se plaint du fait que " l’armée a laissé faire ". Ces propos me paraissent incohérents. Rester humble et arrêter de polluer le débat politique au détriment du vrai débat démocratique
La lecture célébrée au square Benacer
le 24.04.14 | 10h00
Réagissez
L’association culturelle de Constantine Rym El Bled, a consacré l’après-midi d’hier à une séance de lecture collective en plein air.
Abrité par le jardin public Bachir Benacer, cet évènement, peu courant
chez nous, faut-il dire, a eu lieu pour marquer la journée
internationale
de la lecture et des droits d’auteur, célébrée le 23 avril de chaque année. Il faut relever que cette initiative
est demeurée jusque-là un non-événement pour Constantine, pourtant dénommée pompeusement « ville du savoir ». Ceci dit, grâce aux efforts de ces jeunes, le livre a été, l’espace de quelques heures, le centre d’intérêt de quelques férus de la lecture. Le jeune président
de l’association Rym El Bled, Ayoub Boumaâraf, nous a indiqué que les «mordus» de la lecture ont été invités via la page Facebook del’association.
«Nous avons lancé un appel en direction des intéressés, nous nous sommes donné rendez-vous ici, dans ce joli coin naturel, très peu fréquenté par les amis du livre. Ces derniers ont le choix d’apporter un livre de leur bibliothèque ou c’est nous qui leur en proposons un», a-t-il souligné.
Ce petit groupe dont la majorité sont des femmes, est composé de diplômés, de membres d’associations diverses, d’enseignantes universitaires et même de mères au foyer.
Notons que cette association compte, à l’occasion de la manifestation Constantine, capitale de la culture arabe 2015, monter une bibliothèque dans l’enceinte de ce square ; c’est un projet qui a eu l’aval de l’APC de Constantine, nous apprend le président de l’association.
de la lecture et des droits d’auteur, célébrée le 23 avril de chaque année. Il faut relever que cette initiative
est demeurée jusque-là un non-événement pour Constantine, pourtant dénommée pompeusement « ville du savoir ». Ceci dit, grâce aux efforts de ces jeunes, le livre a été, l’espace de quelques heures, le centre d’intérêt de quelques férus de la lecture. Le jeune président
de l’association Rym El Bled, Ayoub Boumaâraf, nous a indiqué que les «mordus» de la lecture ont été invités via la page Facebook del’association.
«Nous avons lancé un appel en direction des intéressés, nous nous sommes donné rendez-vous ici, dans ce joli coin naturel, très peu fréquenté par les amis du livre. Ces derniers ont le choix d’apporter un livre de leur bibliothèque ou c’est nous qui leur en proposons un», a-t-il souligné.
Ce petit groupe dont la majorité sont des femmes, est composé de diplômés, de membres d’associations diverses, d’enseignantes universitaires et même de mères au foyer.
Notons que cette association compte, à l’occasion de la manifestation Constantine, capitale de la culture arabe 2015, monter une bibliothèque dans l’enceinte de ce square ; c’est un projet qui a eu l’aval de l’APC de Constantine, nous apprend le président de l’association.
O.-S.Merrouche
Manifestation culturelle 2015
Les nombreux couacs font monter la pression
le 23.04.14 | 10h00
2 réactions
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© El Watan
A la place Ahmed Bey, rien n’est encore certain.
Le statu quo perdure dans certains projets gérés à la hussarde, alors que l’échéance approche, faisant craindre l’échec de toute l’opération.
Après les nombreuses visites effectuées par le wali Hocine Ouadah,
durant des semaines, sur le site du chantier du Palais des expositions,
rien n’a changé. C’est le statu quo avec cette histoire des fameux plans
d’exécution qui n’ont pas encore été « ramenés d’Espagne » pour
approbation auprès des services du contrôle technique de construction
(CTC). «Je ne m’explique pas cette façon de faire et de faire traîner
les choses ; pourtant, c’est simple, il suffit de présenter l’étude pour
qu’à notre niveau nous effectuions les contrôles d’usage ; comment
expliquer toutes ces réticences ? A mon sens, les considérations
techniques ne se posent même pas du fait que les normes sont
universelles et que seulement les facteurs exogènes, liés principalement
aux incidents naturels (séismes, inondations et autres) restent le
souci de toute construction présentant une particularité, comme c’est le
cas de ce pavillon», nous a confié, hier, le représentant du CTC, lors
de ladite visite sur les lieux. Il faut dire que ce projet peine
vraiment à se matérialiser.
A ce propos, nous avons demandé au directeur du bureau d’études, Ahmed Benhamed, de nous éclairer davantage. Visiblement gêné, ce dernier a refusé de s’exprimer, bien que le wali et le directeur central du ministère de la Culture, Abdelhalim Seraï, lui aient accordé toutes les facilitations nécessaires, notamment l’avance de 50 % sur le budget et la signature immédiate du contrat-programme, pour peu qu’il présente son devis estimatif et quantitatif. Et le plus grand embarras a eu lieu, hier, à la maison de la culture Mohamed-Laïd Al Khalifa (en chantier), lorsque le directeur du bureau d’études a voulu montrer les motifs de décoration, et qu’un architecte privé est intervenu pour dénoncer aux autorités, et au concerné, «le manque d’imagination» quant aux choix des motifs.
L’architecte en question a fait savoir au bureau d’études qu’il est en mesure de leur proposer «à titre gracieux» une esquisse plus en adéquation avec l’esprit de la ville. Piqué au vif, le directeur du bureau d’études accepte, néanmoins, la remarque et invite son auteur à se présenter pour «décider ensemble d’un choix qui réponde utilement à ce projet». A ce propos, l’architecte Fayçal Guenfoud nous dit, sans ambages : «Ce sont des projets spéculatifs qui ont été faits dans la précipitation, pour moi ce sera un massacre architectural, et j’en suis particulièrement offusqué !»
Même scénario du côté de la place Ahmed Bey, plus connue par Dounia Taraif, lorsque le bureau d’études a fait la démonstration de ce que va devenir celle-ci. L’ensemble des présents ont été atterrés devant tant de banalité pour une place symbolique de la ville. L’un des responsables, ayant requis l’anonymat, nous dit : «C’est un comble de présenter un tel projet alors que l’on ignore totalement l’histoire riche de cet endroit.»
A ce propos, nous avons demandé au directeur du bureau d’études, Ahmed Benhamed, de nous éclairer davantage. Visiblement gêné, ce dernier a refusé de s’exprimer, bien que le wali et le directeur central du ministère de la Culture, Abdelhalim Seraï, lui aient accordé toutes les facilitations nécessaires, notamment l’avance de 50 % sur le budget et la signature immédiate du contrat-programme, pour peu qu’il présente son devis estimatif et quantitatif. Et le plus grand embarras a eu lieu, hier, à la maison de la culture Mohamed-Laïd Al Khalifa (en chantier), lorsque le directeur du bureau d’études a voulu montrer les motifs de décoration, et qu’un architecte privé est intervenu pour dénoncer aux autorités, et au concerné, «le manque d’imagination» quant aux choix des motifs.
L’architecte en question a fait savoir au bureau d’études qu’il est en mesure de leur proposer «à titre gracieux» une esquisse plus en adéquation avec l’esprit de la ville. Piqué au vif, le directeur du bureau d’études accepte, néanmoins, la remarque et invite son auteur à se présenter pour «décider ensemble d’un choix qui réponde utilement à ce projet». A ce propos, l’architecte Fayçal Guenfoud nous dit, sans ambages : «Ce sont des projets spéculatifs qui ont été faits dans la précipitation, pour moi ce sera un massacre architectural, et j’en suis particulièrement offusqué !»
Même scénario du côté de la place Ahmed Bey, plus connue par Dounia Taraif, lorsque le bureau d’études a fait la démonstration de ce que va devenir celle-ci. L’ensemble des présents ont été atterrés devant tant de banalité pour une place symbolique de la ville. L’un des responsables, ayant requis l’anonymat, nous dit : «C’est un comble de présenter un tel projet alors que l’on ignore totalement l’histoire riche de cet endroit.»
N. Benouar
Vos réactions 2
bella vita
le 24.04.14 | 10h46
itar
le 23.04.14 | 19h08
وزيرة البريد وتكنولوجيات الإعلام والاتصال زهرة دردوري
الأربعاء, 23 أبريل 2014
عدد القراءات: 317
BOf Bof et BOF
Toujours Utile de faire participer la société civile dans
cette manifestation, Constantine Capitale d'acceptation de la corruption
et des triche d'alger, bref, on se la tape pas mal a Constantine, les
Constantinois n'ont pas voté, automatiquement tous les projet signé par
l'état algériens en ce qui concerne les dépenses budjétaire ou le pain
garni des projets alloués a des étrangers ou bien locaux sont illégale,
c'est du vol du bien de notre peuple de notre civilisation de nos
enfants, c'est pour cette raison les lèche bottes des Francais insiste
sur un Poste de vice président??!! lol! de quoi se mêle t-il? tenez
lafarge ; une carrière, tenez rennault un Usine, ce genre de
comportement de quelques individus nous créent une guerre civile de
notre pays, conclusion, on est dirigés pra des Moutons.
Metttre fin à la récréation, Mr le Wali
A mon avis;il faut faire participer, tous ceux qui veulent bien contribuer
d'une manière ou d'une autre.En effet, le directeur du BE devrait examiner les propositions qui sont faites y compris les initiatives des citoyens .MM le Wali et les responsables impliqués directement ou indirectement doivent prendre leurs responsabilités. Ce Bureau d'études est à mettre en demeure.
d'une manière ou d'une autre.En effet, le directeur du BE devrait examiner les propositions qui sont faites y compris les initiatives des citoyens .MM le Wali et les responsables impliqués directement ou indirectement doivent prendre leurs responsabilités. Ce Bureau d'études est à mettre en demeure.
التجار يشتكون المنطق المقلوب لبن بادة
أعرب الإتحاد العام للتجار والحرفيين عن استغرابه لما قال، في بيان له، إنه منطق مقلوب لوزير التجارة، مصطفى بن بادة، الذي عوض التمكين للقطاع من خلال دعم هياكله المباشرة وغير المباشرة، قام بحسب البيان - بتقليص عدد مقاعد تمثيل التجار في غرف التجارة والصناعة، ليقوي بذلك تمثيل قطاع الصناعة والخدمات، ما سينعكس، بحسب المعنيين، سلبا على النشاط التجاري.Construit en 1886 à Souk Ahras
L’ex-hôtel de ville devient musée des arts et de l’Histoire
le 23.04.14 | 10h00
1 réaction
zoom
|
© El Watan
Un budget de 12,5 milliards de dinars a été alloué à ce projet.
Siège principal de la première mairie de l’Algérie indépendante, la bâtisse, véritable joyau architectural, est un témoin de premier ordre de l’Histoire de la ville.
Le siège de l’ex-hôtel de ville de Souk Ahras vient de faire l’objet
d’une décision fort louable : sa transformation en musée des arts et de
l’histoire de la ville, lui qui avait connu tant de péripéties avant de
pouvoir finalement jouir d’un statut autre que celui de lieu de
propagande partisane et de bureaux fourre-tout. La bâtisse construite en
1886 et inaugurée officiellement en 1887 sous l’égide d’ingénieurs
français mais de mains maltaises et italiennes, était destinée avec son
style mi-baroque mi-médiéval, aux visiteurs européens qui devaient se
reconnaître à travers un bâtiment qui viendrait briser le décor local.
On y implanta un commissariat civil et plusieurs services de
l’administration coloniale. Siège principal de la première mairie de
l’Algérie indépendante, le bâtiment sera récupéré par la direction de la
culture la décennie précédente.
Des opérations de réhabilitation effectuées antérieurement n’ont pu produire les effets escomptés et c’est en insistant sur la valeur historique de cette construction vieille de plus d’un siècle, témoin de toute une histoire d’une ville qui préserve jalousement ses joyaux architecturaux, que des intellectuels locaux, ralliés dans leur cause par les cadres du secteur de la culture, ont réussi à relever le pari. Celui de rendre à ce lieu la valeur qui lui est due.
Amor Manaâ, le directeur de la culture de la wilaya de Souk Ahras a déclaré, à ce sujet : «Une convention a été signée entre notre direction et l’agence nationale de gestion et des réalisations des grands projets de la culture (ARPC) pour la réhabilitation et la transformation du bâtiment en musée des arts et de l’histoire, et ce dans le but de répondre à un besoin en matière de structures où tout visiteur peut apprécier l’histoire millénaire de la région de Souk Ahras grâce à un travail professionnel conçu par des experts dans le domaine.» Il a ajouté qu’une première enveloppe budgétaire estimée à 12,5 milliards de dinars a été allouée à ce projet ambitieux.
Une rallonge est prévue ultérieurement pour l’aménagement et l’équipement interne du musée. «Nous ferons en sorte que tout hypothétique visiteur marchera tout en suivant, à travers des stands aménagés, la chronologie de l’histoire de Souk Ahras depuis l’ère romaine sinon plus haut dans le temps (..) et tout cela nécessite d’abord une volonté et ensuite des moyens matériels, et les deux existent à tous les niveaux notamment des côtés du ministère de tutelle et des autorités locales de Souk Ahras», a-t-il souligné. Le même responsable dira que le projet, dont les travaux commenceront le dernier trimestre de l’année en cours, sera achevé en un temps record.
Des opérations de réhabilitation effectuées antérieurement n’ont pu produire les effets escomptés et c’est en insistant sur la valeur historique de cette construction vieille de plus d’un siècle, témoin de toute une histoire d’une ville qui préserve jalousement ses joyaux architecturaux, que des intellectuels locaux, ralliés dans leur cause par les cadres du secteur de la culture, ont réussi à relever le pari. Celui de rendre à ce lieu la valeur qui lui est due.
Amor Manaâ, le directeur de la culture de la wilaya de Souk Ahras a déclaré, à ce sujet : «Une convention a été signée entre notre direction et l’agence nationale de gestion et des réalisations des grands projets de la culture (ARPC) pour la réhabilitation et la transformation du bâtiment en musée des arts et de l’histoire, et ce dans le but de répondre à un besoin en matière de structures où tout visiteur peut apprécier l’histoire millénaire de la région de Souk Ahras grâce à un travail professionnel conçu par des experts dans le domaine.» Il a ajouté qu’une première enveloppe budgétaire estimée à 12,5 milliards de dinars a été allouée à ce projet ambitieux.
Une rallonge est prévue ultérieurement pour l’aménagement et l’équipement interne du musée. «Nous ferons en sorte que tout hypothétique visiteur marchera tout en suivant, à travers des stands aménagés, la chronologie de l’histoire de Souk Ahras depuis l’ère romaine sinon plus haut dans le temps (..) et tout cela nécessite d’abord une volonté et ensuite des moyens matériels, et les deux existent à tous les niveaux notamment des côtés du ministère de tutelle et des autorités locales de Souk Ahras», a-t-il souligné. Le même responsable dira que le projet, dont les travaux commenceront le dernier trimestre de l’année en cours, sera achevé en un temps record.
Abderrahmane Djafri
Vos réactions 1
ALIALIALI
le 24.04.14 | 08h26
L’ex-hôtel de ville devient musée des...
Il y a un PATRIMOINE IMMOBILIER EXTRAORDINAIRE en Algerie (a Marseille aussi) qui deperit!
Il faut le renover et le rehabiliter. C´est un travail de professionnels.
Mon immeuble a Berlin a 110 ans et est "neuf" etant passé par le programme du "Sanierung/Renovation".
Il faut le renover et le rehabiliter. C´est un travail de professionnels.
Mon immeuble a Berlin a 110 ans et est "neuf" etant passé par le programme du "Sanierung/Renovation".
دردوري مقاطعــة.. كالعادة
للعام الثاني على التوالي
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آخر تحديث :
22:53 | 2014-04-23
الكاتب : البلاد.نت
الكاتب : البلاد.نت
وزيرة البريد وتكنولوجيات الإعلام والاتصال زهرة دردوري
للعام الثاني على التوالي،
تتصرف وزيرة البريد وتكنولوجيات الإعلام والاتصال زهرة دردوري بشكل غريب،
حيث فاجأت كل الزوار والمشاركين في صالون الإعلام الآلي “سيكوم” برفضها
بشكل قاطع زيارة جناح كوندور إلكترونيكس رغم أنها صالت وجالت في مختلف
الأجنحة حتى لدى المتعاملين الأجانب، رغم أن كوندور المتعامل الوطني الوحيد
الذي عرض منتجات
جديدة. وعلق الحضور على أن تصرف الوزيرة له علاقة بتصفية حسابات مع زميلها
السابق موسى بن حمادي الذي أخذت مكانه في حكومة سلال.
وقد أثارت هذه الوضعية حالة من الاستياء والغضب لدى قاطني الجهة، لا سيما من ذوي الحقوق والمتقاعدين وحتى الموظفين، الذين يعملون بمختلف القطاعات، خاصة وأن المشكل تزامن ايضا مع فترة دفع الاجرة الشهرية لعدد من العمال في مختلف القطاعات مع أواخر الشهر الجاري، وتطلب الامر ايضا من عدد منهم التوجه الى مراكز عاصمة الولاية تلمسان، قاطعين مسافة تزيد عن 30 كيلومترا ذهابا ومثلها إيابا لسحب أموالهم من أرصدتهم.
عطب ميكانيكي في سيارة يحرم مراكز بريد من السيولة ثلاثة أيام!
عاشت مراكز البريد بكل من بلديات الواد الأخضر وأولاد ميمون، شرق ولاية تلمسان، خلال الاسبوع الجاري، على وقع غياب تام للسيولة المالية، والسبب عطب ميكانيكي مس سيارة تابعة لبريد الجزائر، تتكفل بتوصيل الحصة المالية المخصصة لهذه المراكز يوميا، قصد تسوية مستحقات المواطنين، وتقوم المركبة بهذه المهمة يوميا في الصباح.وقد أثارت هذه الوضعية حالة من الاستياء والغضب لدى قاطني الجهة، لا سيما من ذوي الحقوق والمتقاعدين وحتى الموظفين، الذين يعملون بمختلف القطاعات، خاصة وأن المشكل تزامن ايضا مع فترة دفع الاجرة الشهرية لعدد من العمال في مختلف القطاعات مع أواخر الشهر الجاري، وتطلب الامر ايضا من عدد منهم التوجه الى مراكز عاصمة الولاية تلمسان، قاطعين مسافة تزيد عن 30 كيلومترا ذهابا ومثلها إيابا لسحب أموالهم من أرصدتهم.
العملية تؤجل الربط النهائي للجزء الأخير من الجسر والتدشين نهاية ماي |
عدد القراءات: 317
المسؤول المشرف على متابعة المشروع أكد أن تاريخ 16 أفريل الذي كان مبرمجا بشكل رمزي في إطار احتفالات يوم العلم ليس هو الموعد المحدد للتسليم وبعد أن طرأ مشكل المادة الكيميائية العازلة التي توضع على سطح الجسر، والتي تطلب استيرادها إجراءات استهلكت وقتا أطول، تقرر العمل وفق البرمجة الأصلية للمشروع والتي تنص على أن تسليم الشطر الأول من المشروع المتمثل في الجسر بمداخله يكون نهاية شهر ماي على أبعد تقدير. وأشار المسؤول أن الأشغال شبه منتهية وأن المادة قد تم جلب جزء كبير منها وشرع في وضعها، بينما بقيت حصة صغيرة تأخر وصولها وهو ما يعني أنه لن يتم تأجيل الموعد مرة ثانية. وعن أسباب عدم إتمام ربط الجزء الأخير من الجسر قال المسؤول أن ذلك لن يتم إلا بعد ظهور نتائج رصد حركة الماء ومستواه باعتبار المياه من مسببات الانزلاق بالمنطقة، مشيرا بأن العمود رقم 4 لا يزال تحت الرقابة للحصول على معلومات مدققة حول حركة التربة ومدى تأثرها بالمياه المتواجدة بتلك الجهة، مضيفا بأنه وفي حال تبين وجود تأثير يتم القيام يعمليات صرف للمياه ولن تتطلب وقتا كبيرا أو تؤثر على الأشغال المتبقية، والتي تعدت نسبتها 97 بالمائة وفق تقديرات من موقع المشروع. مشروع الجسر العملاق الذي يعد من اكبر مشاريع ولاية قسنطينة ويحظى بمتابعة حكومية سيكون من اكبر الجسور في إفريقيا والمنطقة العربية نظرا لخصوصياته التقنية التي أشار المختصون أنها بمثابة مرجعية في مجال المنشآت الفنية في العالم، وقد استهلك في شطره الأول 19 مليار دج بعد أن أخضع لإعادة تقييم استدعت إضافة 4 ملايير دج أخرى، أما الشطر الثاني الذي بلغت نسبة الأشغال به حوالي 70 بالمئة فلا تقل كلفته عن 18 مليار دج، وقد استهلكت الأشغال 145 ألف متر مكعب من الإسمنت و22 ألف طن من الحديد، كما يبلغ سمك حافتي الجسر 24 سنتيمتر. ويتكون الجسر من جزء رئيسي يتمثل في هيكل الجسر يبلغ طوله 758 متر وعرضه 27.18 متر ويبلغ الطول العام للجسر بكل منافذه 1119 متر والطول العام للطرقات والمنافذ 7000 متر، أما الأعمدة فقد وضعت على أوتاد بعمق 200 متر ويصل علو الأعمدة 130 متر ،كما يبلغ سمك حافتي الجسر 24 سنتيمتر.
نرجس/ك
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أفاد مصدر من مديرية الأشغال العمومية بولاية قسنطينة أن الجسر العملاق
يسلم نهاية شهر ماي على أبعد تقدير وهو الأجل المنصوص عليه في عقد الصفقة
مع الشركة البرازيلية، وأكد أن عملية ربط الجزء المتبقي من مجسم الجسر لن
تتم قبل الحصول على نتائج رصد تدفق و مستوى الماء بالقرب من العمود رقم 4 .
هناك تعليق واحد:
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