اخر خبر
الاخبار العاجلة لاختناق الداي حسين والوفد المرافق له في طريق الرود فرانس في حدود الثامنة صباحا ورجال الشرطة يعلنون حالة الطوارئ امام سوق العاصر خوفا من خروج سكان قسنطينة لتعديب الداي حسين جسديا ويدكر ان رجال الشرطة منعوا سيارات شعب قسنطينة من المرور في شارع الرودج فرانس لنكتشف ان وفد الداي حسين عبر شارع الرود فرانس وشارع القصبة ليغادر وسط مدينة قسنطينة الى وجهة مجهولة والاسباب مجهولة
اخر خبر
الاخبار العاجلة لضياع وفد وزاري في شارع الرود فرانس بقسنطينة بسبب الاختناق المروري من الساعة الثامنة صباحا الى الثامنة والنصف رغم الحراسة الامنية المشددة درك شرطة شرطة سرية صحافة ويدكر ان سكان رحبة الصوف لااكتشفوا خوف المسؤلين من شعب قسنطينة بعدما اغلق تجار الرود فرانس محلاتهم وحاولوا الاقتراب من الداي حسين لتنطلق سيارات الوفد الوزاري مسرعة والغريب ان مقر ديوان الوالي لم يشاهد به سيارات رسمية فهل نام والي قسنطينة في احد فنادق قسنطينة ويدكر ان سيارات الصحافة تاتي في المرتبة الاخيرة بعد السيارات الامنية وشر البلية مايبكي
اخر خبر
الاخبار العاجلة لمنع رجال شرطة قسنطينة سيارات شعب قسنطينة من المرور في شارع الرود فرانس بسبب زيارة وفد الداي حسين الى شارع الرود فرانس لمعايشة الاختناق المروري قبل المرور الى شارع القصبة لضم قافلة وفود الوالي الى الطاقم الوزاري قبل مغادرة شارع القصبة بسرعة جنونية من طرف سيارات الوفد الرسمي الفجائي علما ان اصحاب سيارات قسنطينة تحصلوا على غرامات مالية فجائية من طرف شرطة قسنطينة بسبب الاختناق المروري في وسط مدينة قسنطينة والاسباب مجهولة
اخر خبر
الاخبار العاجلة لاختناق الداي حسين والوفد المرافق له في طريق الرود فرانس في حدود الثامنة صباحا ورجال الشرطة يعلنون حالة الطوارئ امام سوق العاصر خوفا من خروج سكان قسنطينة لتعديب الداي حسين جسديا ويدكر ان رجال الشرطة منعوا سيارات شعب قسنطينة من المرور في شارع الرودج فرانس لنكتشف ان وفد الداي حسين عبر شارع الرود فرانس وشارع القصبة ليغادر وسط مدينة قسنطينة الى وجهة مجهولة والاسباب مجهولة
الاخبار العاجلة لاختناق الداي حسين والوفد المرافق له في طريق الرود فرانس في حدود الثامنة صباحا ورجال الشرطة يعلنون حالة الطوارئ امام سوق العاصر خوفا من خروج سكان قسنطينة لتعديب الداي حسين جسديا ويدكر ان رجال الشرطة منعوا سيارات شعب قسنطينة من المرور في شارع الرودج فرانس لنكتشف ان وفد الداي حسين عبر شارع الرود فرانس وشارع القصبة ليغادر وسط مدينة قسنطينة الى وجهة مجهولة والاسباب مجهولة
http://www.constantine-hier-aujourdhui.fr/LesImages/photos/ruedefrance.htm
http://pierre.gozlan.free.fr/page%208.htm
http://www.artvalue.com/default.aspx?ID=23&AVEC_PHOTOS=O&ARTISTE_ID=10863&ARTISTE=BRUN&DEVISE=&C_C_18=O&cp_checked=&show=O
http://www.artvalue.com/auctionresult--brun-guillaume-charles-1825-19-femme-abandonnee-dans-une-rue-1565439.htm
http://www.constantine-hier-aujourdhui.fr/LesConstantinois/mai2006/retour_4.htm
http://www.loeildelaphotographie.com/fr/2014/03/10/exposition/24362/new-york-the-metropolitan-museum-charles-marville
http://www.loeildelaphotographie.com/fr/2014/03/10/exposition/24362/new-york-the-metropolitan-museum-charles-marville
http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_d%27Alg%C3%A9rie
http://les-souvenirs-de-claude.e-monsite.com/pages/le-voyage/la-mlaya-et-le-haik-blanc.html
La seule mlaya rencontrée à Constantine et le seul haïk blanc rencontré à Alger en mars 2014.
Sur la photo prise dans la rue ex nationale de Constantine , on peut constater la multiplicité des costumes féminins ( 3 au moins sur cette photo): Les manifestations des journées de la mlaya et du haïk ne signifient pas que ces jeunes femmes désirent porter à nouveau mlaya et haik, vêtements peu pratiques pour la femme moderne qui conduit le plus souvent. ( Ah! les embouteillages partout!) N.B. l'essence est très peu cher!
Elles revendiquent un patrimoine au nom d"une identité algérienne qui reste à définir et rejettent les tenues féminines venues de l'étranger ( Iran, Afghanistan, Arabie Saoudite etc...) sous la pression des "frères".
Cette quête d'identité se manifeste dans bien d'autres domaines dont je parlerai.
Par contre le hidjab est très répandu. Le marché florissant du hidjab compterait près de 22 millions de clientes et serait dominé par les Jordaniens. Au hasard de la rue où se pressaient les élégantes devant la vitrine du magasin de mode "Nour" ("Lumière") qui a remplacé la pharmacie du 8 rue d'Isly où travaillait Jacques, j'ai capté le sourire radieux de ces 3 magnifiques jeunes filles que je remercie.
Les femmes sont voilées pour la plupart, même si le hijab paraît souvent un accessoire de coquetterie au même titre que le foulard d'Hermès qui couvrait la chevelure des élégantes des années 1950 dans ces mêmes rues. Il n'est pas uniforme,surtout à Alger, rarement noir comme il y a 10 ans ou blanc, souvent chatoyant, coloré, selon le goût de chacune et, selon la mode, assorti au reste de leurs tenues.
A Constantine comme à Alger, j'ai été frappée par le nombre de boutiques de mode et de merceries, et même à Constantine des vendeurs ambulants installés sur les troittoirs avec vêtements et petite mercerie et bonnetterie. Les femmes cousent encore !
(voir ci-dessous le texte que j'ai intitulé : "panem et ...vestem!" ) Et pour cause plus de " circenses!" tous les cinémas sont fermés ! bien sûr, les paraboles et antennes de télé fleurissent partout!
A Alger, au hasard des rues, trois charmantes jeunes élégantes "voilées" ont accepté de poser avec Zina,
DOCUMENTS:
"Journée de la mlaya à Constantine"
le Lun 18 Nov 2013, 05:19
CONSTANTINE - Une vingtaine de jeunes filles a défilé, samedi dans l’après-midi à Constantine, depuis la maison de la culture Mohamed-Laïd Al Khalifa jusqu’au jardin Bennacer, vêtues de la légendaire m’laya constantinoise pour faire honneur à une journée baptisée "la journée de la m’laya".
Gracieuses et élancées, le port altier, les jeunes filles en m’laya (un ample voile noir dont l’histoire serait liée au destin tragique de Salah-Bey) distribuaient aux passants, gagnés par une grande curiosité, des brochures relatant l’histoire de ce voile, accompagnés de "Djouzia", une friandise très appréciée faisant la réputation du Rocher, avant de prendre des photos-souvenir au jardin Bennacer.
"C’est en hommage à nos grands-mères qu’on a organisé ce défilé", a déclaré à l’APS Houda Aimeur, initiatrice de l’idée, étudiante en master-management, Il est très important, pour elle, de "renouer avec des traditions faisant partie de notre identité".
L’idée d’organiser une journée de la m’laya est partie d’une suggestion lancée via les réseaux sociaux, a affirmé Mlle Aimeur, affirmant que jusqu’à la derrière minute, "(elle) ne pensait pas que l’idée susciterait autant d’engouement".
Auparavant, les participantes s’étaient lancées dans une véritable "course contre la montre pour dénicher ce voile traditionnel qui a fini par disparaître, ou presque, au fil des années, n’étant plus porté que par quelques femmes d’âge mûr", a ajouté Mlle Aimeur.
Dans le hall de la maison de la culture Mohamed-Laïd Al Khalifa, Mme Karima B, une quinquagénaire a été aperçue, initiant les jeunes filles à la façon de se vêtir de la m’laya. "Après avoir serré la partie supérieure autour de la tête, on balance d’un mouvement bref du bras, appelé ‘ramia’, l’aile droite puis l’aile gauche derrière l’épaule en les maintenant avec deux épingles", explique-t-elle, joignant le geste à la parole, à de jeunes demoiselles tout ouïe.
APS
Sétif est aussi une ville de mlaya , traditionnellement
A Alger défilé de jeunes femmes en haïk blanc pour préserver la tradition
le 22. mars 2013 - 21:09
Portant haut la couleur immaculée du Haïk, riche en symboles et parfaite antithèse du noir obscur du wahhabisme, ces ambassadrices d’un vêtement qui n’est plus guère porté que par quelques femmes âgées, appartiennent à une nouvelle génération désireuse de défendre la richesse du patrimoine algérien contre des influences venues d’ailleurs, notamment d’Arabie saoud
Tout de blanc vêtues, leurs visages à moitié dissimulés sous un petit triangle de dentelle brodé avec soin, des silhouettes aériennes de femmes algériennes ont battu le pavé d’Alger la blanche, jeudi dernier, afin de promouvoir une tenue traditionnelle tombée en désuétude, aux cris de « Vive l'Algérie algérienne".
Portant haut la couleur immaculée du Haïk, riche en symboles et parfaite antithèse du noir obscur du wahhabisme, ces ambassadrices d’un vêtement qui n’est plus guère porté que par quelques femmes âgées, appartiennent à une nouvelle génération désireuse de défendre la richesse du patrimoine algérien contre des influences venues d’ailleurs, notamment d’Arabie saoudite.
Une trentaine de jeunes femmes ainsi parées ont défilé, sous les encouragements et même les applaudissements de leurs concitoyens, du cœur de la Casbah jusqu’à la Grande Poste de la capitale, où elles se sont dévoilées, le sourire aux lèvres, visiblement heureuses de l'accueil chaleureux qui leur a été réservé.
"Nous voulons balayer ces vêtements qui nous viennent d'Arabie saoudite, noirs, tristes et étouffants au soleil pour revenir à notre traditionnel 'Haïk' qui fait la fierté de la femme algérienne", s’est exclamée l'une d'elles, devant la Grande Poste.
Pour Souad, une artiste-peintre d’une trentaine d’années, qui va tête nue dans sa vie quotidienne, préserver les valeurs algériennes est un devoir et une responsabilité : "Vive l'Algérie algérienne, ça fait partie de notre culture, la chose noire, ça nous est totalement étranger", affirme-t-elle, ajoutant : "Le Hijab et le Niqab ne font pas partie de nos traditions", "le Haïk met en valeur la femme d'aujourd'hui, tout en légèreté et élégance".
Du haut de ses 20 printemps, Rim, employée dans un site culturel, le visage masqué par le 'Aadjar' (le petit triangle) en soie brodé main par la grand-mère d'une amie, déplore les métamorphoses intervenues dans les années 90 : "c'est malheureux d'avoir imposé depuis les années 90 le hijab qui ne fait pas partie de nos traditions", renchérissant : "Certes, reconnaît-elle, le Haïk est d'origine turque, mais il nous accompagne depuis des siècles".
Les jeunes Algériennes, après avoir été cheveux au vent, ont majoritairement arboré le voile sous la pression des islamistes durant la « décennie noire ». En l’espace de vingt ans, le voile a pris des couleurs et de nouvelles formes, devenant un phénomène de mode, nombre de jeunes femmes, soucieuses de leur apparence, poussant même la coquetterie jusqu’à oser un maquillage voyant sous la parure censée ne pas attirer les regards."
Fin des documents.
Orient? Occident?
Il y a peu. La cohue et les embouteillages dans le centre de Constantine.
Et aujourd'hui (mars 2014) . A l'angle de la rue ex Caraman, maintenant rue Didouche Mourad, L'ex brasserie Alex bien dégradée depuis le cliché ci dessus transmis par J. Nakache est devenue Dubai Shopping !
Dubai shopping ! Une ancienne brasserie de la rue Caraman. ORIENT? La brasserie Alex, je crois ( ex Grand café Germain) était fréquentée, le samedi et le dimanche, par la jeunesse juive essentiellement.
" Nour". "Lumière" Alger dans l'ancienne pharmacie 8 rue d'Isly : OCCIDENT ? Le propriétaire, Zina et sa fille Marwa.
Elégante heureuse de ses achats ! les vêtements de cette boutique sont occidentaux et les étiquettes rédigées en français : redingotes, doudounes, manteaux etc...
Panem et ..vestem !
Partout et n'importe où des boutiques de "fringues"surtout féminins ! Qui déverse tout cela sur l'Algérie ? Et cette débauche de couleurs, certes dans le goût oriental, n'est-elle pas aussi une revanche sur la "décennie noire" ?
A Alger près de la rue ex d'Isly.
A Constantine. Près de la rue ex Nationale. Sur les trottoirs.
Dans les escaliers près de l'ex rue Nationale.
Pour les hommes aussi à même les trottoirs de la vieille ville vue du Pont de Sidi Rached à Constantine.
Constantine. Devant l'ascenseur passerelle Perrégaux.
Constantine. Rue ex Nationale.
Constantine. Rue ex Casanova, encore connue sous ce nom.
Alger au Telemly. A travers la vitrine, robes brodées d'or.
Sur la route vers Biskra et le désert. Juste derrière on aperçoit une mosquée.
الاخبار العاجلة لاختناق الداي حسين والوفد المرافق له في طريق الرود فرانس في حدود الثامنة صباحا ورجال الشرطة يعلنون حالة الطوارئ امام سوق العاصر خوفا من خروج سكان قسنطينة لتعديب الداي حسين جسديا ويدكر ان رجال الشرطة منعوا سيارات شعب قسنطينة من المرور في شارع الرودج فرانس لنكتشف ان وفد الداي حسين عبر شارع الرود فرانس وشارع القصبة ليغادر وسط مدينة قسنطينة الى وجهة مجهولة والاسباب مجهولة
اخر خبر
الاخبار العاجلة لضياع وفد وزاري في شارع الرود فرانس بقسنطينة بسبب الاختناق المروري من الساعة الثامنة صباحا الى الثامنة والنصف رغم الحراسة الامنية المشددة درك شرطة شرطة سرية صحافة ويدكر ان سكان رحبة الصوف لااكتشفوا خوف المسؤلين من شعب قسنطينة بعدما اغلق تجار الرود فرانس محلاتهم وحاولوا الاقتراب من الداي حسين لتنطلق سيارات الوفد الوزاري مسرعة والغريب ان مقر ديوان الوالي لم يشاهد به سيارات رسمية فهل نام والي قسنطينة في احد فنادق قسنطينة ويدكر ان سيارات الصحافة تاتي في المرتبة الاخيرة بعد السيارات الامنية وشر البلية مايبكي
اخر خبر
الاخبار العاجلة لمنع رجال شرطة قسنطينة سيارات شعب قسنطينة من المرور في شارع الرود فرانس بسبب زيارة وفد الداي حسين الى شارع الرود فرانس لمعايشة الاختناق المروري قبل المرور الى شارع القصبة لضم قافلة وفود الوالي الى الطاقم الوزاري قبل مغادرة شارع القصبة بسرعة جنونية من طرف سيارات الوفد الرسمي الفجائي علما ان اصحاب سيارات قسنطينة تحصلوا على غرامات مالية فجائية من طرف شرطة قسنطينة بسبب الاختناق المروري في وسط مدينة قسنطينة والاسباب مجهولة
اخر خبر
الاخبار العاجلة لاختناق الداي حسين والوفد المرافق له في طريق الرود فرانس في حدود الثامنة صباحا ورجال الشرطة يعلنون حالة الطوارئ امام سوق العاصر خوفا من خروج سكان قسنطينة لتعديب الداي حسين جسديا ويدكر ان رجال الشرطة منعوا سيارات شعب قسنطينة من المرور في شارع الرودج فرانس لنكتشف ان وفد الداي حسين عبر شارع الرود فرانس وشارع القصبة ليغادر وسط مدينة قسنطينة الى وجهة مجهولة والاسباب مجهولة
الاخبار العاجلة لاختناق الداي حسين والوفد المرافق له في طريق الرود فرانس في حدود الثامنة صباحا ورجال الشرطة يعلنون حالة الطوارئ امام سوق العاصر خوفا من خروج سكان قسنطينة لتعديب الداي حسين جسديا ويدكر ان رجال الشرطة منعوا سيارات شعب قسنطينة من المرور في شارع الرودج فرانس لنكتشف ان وفد الداي حسين عبر شارع الرود فرانس وشارع القصبة ليغادر وسط مدينة قسنطينة الى وجهة مجهولة والاسباب مجهولة
http://www.constantine-hier-aujourdhui.fr/LesImages/photos/ruedefrance.htm
http://pierre.gozlan.free.fr/page%208.htm
Rue Nationale, la maison de ma
grand-mère
Face à cette maison, l’ancien journal de la
dépêche de Constantine où j’avais travaillé mes cinq dernières années de ma vie
à Constantine. Je repasserai par là c’est sur !
Plus bas le pont d’El-Kantara, qui rejoint le
quartier de la gare et du Mansourah, de ce pont, nous pouvons maintenant
apercevoir notre fameux pont suspendu Cidi M’cid, là bas en haut dominant cette
superbe ville du rocher. Nous contournons par le boulevard de Belgique et
découvrons la fabrique de pains azymes Zarka et en face mon alliance (étude du
talmud thora) où j’ai appris à lire l’hébreu, nous avons été autorisés à
pénétrer à l’intérieur et avons été reçus par le responsable de l’établissement
qui nous expliqua que c’est resté toujours une école qui, maintenant enseigne le
Coran.
Quelle différence, entre la Thora et le Coran,
aucune sinon que se sont des enseignements universels, de morale et d’élévation
spirituel de l’homme. De ma nature très tolérant, je ne peux que constater que
cela est dans l’ordre des choses.
En remontant la rue Thiers (Tateche Belkacem)
sous les arcades l’ex synagogue du Midrache qui est aussi devenu centre culturel
Islamique, là nous n’avions pas été autoriser à pénétrer à l’intérieur. Il faut
savoir que toutes les synagogues Constantinoises environ une douzaine ont été
transformées en centres d’ »études coraniques ou simplement rasées.
Contrairement à certaines personnes, je n’ai pas été ni choqué ni déçu,
c’est simplement le déroulement de l’histoire.
Le pont suspendu de sidi M’cid
tendu sur le Rocher
Vue donnant sur le pont et les
gorges (balcon tante)
En haut de la rue Thiers, une porte d’un
entrepôt fermée, celle du magasin de friperie du cousin Ritou assassiné d’un
coup de couteau dans le dos pendant cette triste et incompréhensible guerre.
En face, la maison de ma tante Edith Attali
(sœur de ma mère) et du grand rabbin Sidi Fredj Halimi.
A gauche sous le petit pont qui rejoint le
boulevard de Belgique la rue Grand (ex cachara le quartier juif) qui a été rasé
et transformé en parking. Puis nous entrevoyons le bas de la rue de France et le
lycée d’Aumale avant d’escalader le boulevard de l’Abime et la rue Damrémont où
se situ la caserne (ex prison).
Bas de la rue de France avec
lycée d’Aumale à droite
Nous entamons cette longue rue et là, je
frémissais d’impatience, car petit à petit nous nous rapprochons de mon ancien
quartier. Je fais remarquer l’emplacement de mon ancien marchand de cycles (Bensarsa)
où je venais souvent faire réparer mon vélo de course, les gens se trouvant là
me dirent qu’il est décédé depuis peu.
Nous voilà maintenant devant l’ancienne caserne
Lyautey et juste après larue Sausai (Soudan Bendjemah) puis la rue Sassy (Khod)
et enfin la rue Biscarrat (Mostapha Boulakhab)
http://www.artvalue.com/default.aspx?ID=23&AVEC_PHOTOS=O&ARTISTE_ID=10863&ARTISTE=BRUN&DEVISE=&C_C_18=O&cp_checked=&show=O
http://www.artvalue.com/auctionresult--brun-guillaume-charles-1825-19-femme-abandonnee-dans-une-rue-1565439.htm
Orientalisme & Africanisme, Drouot Richelieu, Salle 1-7-9, Paris, Monday, June 11, 2007 | |
Lot 147 |
BRUN Guillaume Charles, 1825-1908 (France) |
Title :
Femme abandonnée dans une rue de Constantine
Date :
1892
|
http://www.constantine-hier-aujourdhui.fr/LesConstantinois/mai2006/retour_4.htm
http://www.loeildelaphotographie.com/fr/2014/03/10/exposition/24362/new-york-the-metropolitan-museum-charles-marville
http://www.loeildelaphotographie.com/fr/2014/03/10/exposition/24362/new-york-the-metropolitan-museum-charles-marville
http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_d%27Alg%C3%A9rie
http://les-souvenirs-de-claude.e-monsite.com/pages/le-voyage/la-mlaya-et-le-haik-blanc.html
Mlaya noire et Haïk blanc
le costume féminin : patrimoine et influences.
La mlaya noire à Constantine et le Haik blanc des femmes à Alger de mon enfance ont pratiquement disparu. Le haîk d"Alger, la robe kabyle, la aâbaya de l'ouest et la m'laya de l'est sont abandonnés par les jeunes générations. Durant tout mon séjour, je n'ai rencontré que deux vieilles femmes dans ces tenues traditionnelles, une à Constantine et une à Alger et je me suis précipitée sur mon appareil de photosLa seule mlaya rencontrée à Constantine et le seul haïk blanc rencontré à Alger en mars 2014.
Sur la photo prise dans la rue ex nationale de Constantine , on peut constater la multiplicité des costumes féminins ( 3 au moins sur cette photo): Les manifestations des journées de la mlaya et du haïk ne signifient pas que ces jeunes femmes désirent porter à nouveau mlaya et haik, vêtements peu pratiques pour la femme moderne qui conduit le plus souvent. ( Ah! les embouteillages partout!) N.B. l'essence est très peu cher!
Elles revendiquent un patrimoine au nom d"une identité algérienne qui reste à définir et rejettent les tenues féminines venues de l'étranger ( Iran, Afghanistan, Arabie Saoudite etc...) sous la pression des "frères".
Cette quête d'identité se manifeste dans bien d'autres domaines dont je parlerai.
Par contre le hidjab est très répandu. Le marché florissant du hidjab compterait près de 22 millions de clientes et serait dominé par les Jordaniens. Au hasard de la rue où se pressaient les élégantes devant la vitrine du magasin de mode "Nour" ("Lumière") qui a remplacé la pharmacie du 8 rue d'Isly où travaillait Jacques, j'ai capté le sourire radieux de ces 3 magnifiques jeunes filles que je remercie.
Les femmes sont voilées pour la plupart, même si le hijab paraît souvent un accessoire de coquetterie au même titre que le foulard d'Hermès qui couvrait la chevelure des élégantes des années 1950 dans ces mêmes rues. Il n'est pas uniforme,surtout à Alger, rarement noir comme il y a 10 ans ou blanc, souvent chatoyant, coloré, selon le goût de chacune et, selon la mode, assorti au reste de leurs tenues.
A Constantine comme à Alger, j'ai été frappée par le nombre de boutiques de mode et de merceries, et même à Constantine des vendeurs ambulants installés sur les troittoirs avec vêtements et petite mercerie et bonnetterie. Les femmes cousent encore !
(voir ci-dessous le texte que j'ai intitulé : "panem et ...vestem!" ) Et pour cause plus de " circenses!" tous les cinémas sont fermés ! bien sûr, les paraboles et antennes de télé fleurissent partout!
A Alger, au hasard des rues, trois charmantes jeunes élégantes "voilées" ont accepté de poser avec Zina,
DOCUMENTS:
"Journée de la mlaya à Constantine"
le Lun 18 Nov 2013, 05:19
CONSTANTINE - Une vingtaine de jeunes filles a défilé, samedi dans l’après-midi à Constantine, depuis la maison de la culture Mohamed-Laïd Al Khalifa jusqu’au jardin Bennacer, vêtues de la légendaire m’laya constantinoise pour faire honneur à une journée baptisée "la journée de la m’laya".
Gracieuses et élancées, le port altier, les jeunes filles en m’laya (un ample voile noir dont l’histoire serait liée au destin tragique de Salah-Bey) distribuaient aux passants, gagnés par une grande curiosité, des brochures relatant l’histoire de ce voile, accompagnés de "Djouzia", une friandise très appréciée faisant la réputation du Rocher, avant de prendre des photos-souvenir au jardin Bennacer.
"C’est en hommage à nos grands-mères qu’on a organisé ce défilé", a déclaré à l’APS Houda Aimeur, initiatrice de l’idée, étudiante en master-management, Il est très important, pour elle, de "renouer avec des traditions faisant partie de notre identité".
L’idée d’organiser une journée de la m’laya est partie d’une suggestion lancée via les réseaux sociaux, a affirmé Mlle Aimeur, affirmant que jusqu’à la derrière minute, "(elle) ne pensait pas que l’idée susciterait autant d’engouement".
Auparavant, les participantes s’étaient lancées dans une véritable "course contre la montre pour dénicher ce voile traditionnel qui a fini par disparaître, ou presque, au fil des années, n’étant plus porté que par quelques femmes d’âge mûr", a ajouté Mlle Aimeur.
Dans le hall de la maison de la culture Mohamed-Laïd Al Khalifa, Mme Karima B, une quinquagénaire a été aperçue, initiant les jeunes filles à la façon de se vêtir de la m’laya. "Après avoir serré la partie supérieure autour de la tête, on balance d’un mouvement bref du bras, appelé ‘ramia’, l’aile droite puis l’aile gauche derrière l’épaule en les maintenant avec deux épingles", explique-t-elle, joignant le geste à la parole, à de jeunes demoiselles tout ouïe.
APS
Sétif est aussi une ville de mlaya , traditionnellement
A Alger défilé de jeunes femmes en haïk blanc pour préserver la tradition
le 22. mars 2013 - 21:09
Portant haut la couleur immaculée du Haïk, riche en symboles et parfaite antithèse du noir obscur du wahhabisme, ces ambassadrices d’un vêtement qui n’est plus guère porté que par quelques femmes âgées, appartiennent à une nouvelle génération désireuse de défendre la richesse du patrimoine algérien contre des influences venues d’ailleurs, notamment d’Arabie saoud
Tout de blanc vêtues, leurs visages à moitié dissimulés sous un petit triangle de dentelle brodé avec soin, des silhouettes aériennes de femmes algériennes ont battu le pavé d’Alger la blanche, jeudi dernier, afin de promouvoir une tenue traditionnelle tombée en désuétude, aux cris de « Vive l'Algérie algérienne".
Portant haut la couleur immaculée du Haïk, riche en symboles et parfaite antithèse du noir obscur du wahhabisme, ces ambassadrices d’un vêtement qui n’est plus guère porté que par quelques femmes âgées, appartiennent à une nouvelle génération désireuse de défendre la richesse du patrimoine algérien contre des influences venues d’ailleurs, notamment d’Arabie saoudite.
Une trentaine de jeunes femmes ainsi parées ont défilé, sous les encouragements et même les applaudissements de leurs concitoyens, du cœur de la Casbah jusqu’à la Grande Poste de la capitale, où elles se sont dévoilées, le sourire aux lèvres, visiblement heureuses de l'accueil chaleureux qui leur a été réservé.
"Nous voulons balayer ces vêtements qui nous viennent d'Arabie saoudite, noirs, tristes et étouffants au soleil pour revenir à notre traditionnel 'Haïk' qui fait la fierté de la femme algérienne", s’est exclamée l'une d'elles, devant la Grande Poste.
Pour Souad, une artiste-peintre d’une trentaine d’années, qui va tête nue dans sa vie quotidienne, préserver les valeurs algériennes est un devoir et une responsabilité : "Vive l'Algérie algérienne, ça fait partie de notre culture, la chose noire, ça nous est totalement étranger", affirme-t-elle, ajoutant : "Le Hijab et le Niqab ne font pas partie de nos traditions", "le Haïk met en valeur la femme d'aujourd'hui, tout en légèreté et élégance".
Du haut de ses 20 printemps, Rim, employée dans un site culturel, le visage masqué par le 'Aadjar' (le petit triangle) en soie brodé main par la grand-mère d'une amie, déplore les métamorphoses intervenues dans les années 90 : "c'est malheureux d'avoir imposé depuis les années 90 le hijab qui ne fait pas partie de nos traditions", renchérissant : "Certes, reconnaît-elle, le Haïk est d'origine turque, mais il nous accompagne depuis des siècles".
Les jeunes Algériennes, après avoir été cheveux au vent, ont majoritairement arboré le voile sous la pression des islamistes durant la « décennie noire ». En l’espace de vingt ans, le voile a pris des couleurs et de nouvelles formes, devenant un phénomène de mode, nombre de jeunes femmes, soucieuses de leur apparence, poussant même la coquetterie jusqu’à oser un maquillage voyant sous la parure censée ne pas attirer les regards."
Fin des documents.
Le 23 mars 2014 j'ai osé le "jilbab".(seuls les mains et le visage sont découverts.)
Fahima , Asma et Claude, au milieu, en jilbab. Cette tenue venue d'ailleurs (Arabie saoudite) est apparue en Algérie dans les années 1990, mais n'est pas très répandue. Fahima, " la voisine d'en dessous" généreuse et pure, experte en cuisine et en "mhadjebs" et qui m'a tant gâtée ! Et Asma, sa fille, 21 ans, étudiante en biologie qui se rend à l'université dans cette tenue. Promise depuis l'enfance, fidèle à la tradition, elle se marie en Septembre avec un commerçant.
Djamila, "une cousine", qui nous accompagnait vers Ouled Djellel etait toujours ainsi vêtue de noir avec une sorte de béguin bordé de festons en fil d"argent comme une duègne espagnole sous Philippe IV.
Ici dans le hall de l'El Caïd à Bou Saada.Elle tenait à sa photo avec le groom " pour les copines" a-telle dit.
"A la mémoire du haïk"29 Mars 2014 à l'opéra d'Alger
Zina
m'informe que le 29 mars, juste après mon départ, un spectacle
magnifique de chants et de danses et reconstitution de scènes
traditionnelles algériennes ( le hénné de la mariée par exemple) a été
donné à l'Opéra d'Alger Intitulé " A la mémoire du haïk", il est destiné
à faire mieux connaître ce patrimoine algérien aux jeunes générations
en quête d'identité.Fahima , Asma et Claude, au milieu, en jilbab. Cette tenue venue d'ailleurs (Arabie saoudite) est apparue en Algérie dans les années 1990, mais n'est pas très répandue. Fahima, " la voisine d'en dessous" généreuse et pure, experte en cuisine et en "mhadjebs" et qui m'a tant gâtée ! Et Asma, sa fille, 21 ans, étudiante en biologie qui se rend à l'université dans cette tenue. Promise depuis l'enfance, fidèle à la tradition, elle se marie en Septembre avec un commerçant.
Djamila, "une cousine", qui nous accompagnait vers Ouled Djellel etait toujours ainsi vêtue de noir avec une sorte de béguin bordé de festons en fil d"argent comme une duègne espagnole sous Philippe IV.
Ici dans le hall de l'El Caïd à Bou Saada.Elle tenait à sa photo avec le groom " pour les copines" a-telle dit.
"A la mémoire du haïk"29 Mars 2014 à l'opéra d'Alger
Orient? Occident?
Il y a peu. La cohue et les embouteillages dans le centre de Constantine.
Et aujourd'hui (mars 2014) . A l'angle de la rue ex Caraman, maintenant rue Didouche Mourad, L'ex brasserie Alex bien dégradée depuis le cliché ci dessus transmis par J. Nakache est devenue Dubai Shopping !
Dubai shopping ! Une ancienne brasserie de la rue Caraman. ORIENT? La brasserie Alex, je crois ( ex Grand café Germain) était fréquentée, le samedi et le dimanche, par la jeunesse juive essentiellement.
" Nour". "Lumière" Alger dans l'ancienne pharmacie 8 rue d'Isly : OCCIDENT ? Le propriétaire, Zina et sa fille Marwa.
Elégante heureuse de ses achats ! les vêtements de cette boutique sont occidentaux et les étiquettes rédigées en français : redingotes, doudounes, manteaux etc...
Panem et ..vestem !
Partout et n'importe où des boutiques de "fringues"surtout féminins ! Qui déverse tout cela sur l'Algérie ? Et cette débauche de couleurs, certes dans le goût oriental, n'est-elle pas aussi une revanche sur la "décennie noire" ?
A Alger près de la rue ex d'Isly.
A Constantine. Près de la rue ex Nationale. Sur les trottoirs.
Dans les escaliers près de l'ex rue Nationale.
Pour les hommes aussi à même les trottoirs de la vieille ville vue du Pont de Sidi Rached à Constantine.
Constantine. Devant l'ascenseur passerelle Perrégaux.
Constantine. Rue ex Nationale.
Constantine. Rue ex Casanova, encore connue sous ce nom.
Alger au Telemly. A travers la vitrine, robes brodées d'or.
Sur la route vers Biskra et le désert. Juste derrière on aperçoit une mosquée.
ليست هناك تعليقات:
إرسال تعليق