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http://www.entv.dz/tvar/video/index.php?t=JT20H_07-03-2014
par A. El Abci
Lors d'une réunion, organisée jeudi dernier, au siège de la wilaya de
Daksi, pour débattre et enrichir l'étude technique, concernant l'embellissement
des devantures situées sur les principales artères de la ville des ponts', en
prévision de l'évènement «Constantine capitale de la Culture arabe 2015», le
wali, M. Hocine Ouadah, a invité les commerçants à participer, matériellement
et à collaborer avec le bureau d'étude spécialisé, désigné pour l'opération.
Ainsi et après avoir entendu un exposé technique, afférent aux spécimens de
modèles proposés pour l'harmonisation et l'embellissement des vitrines des
commerces des trois artères, situées au cœur de la ville, à savoir : les
boulevards Belouizdad, Abane Ramdane et la rue Bouderbala, les commerçants et
les artisans ont été appelés à mettre la main à la poche et à considérer cette
opération comme un investissement. Et de préciser, qu'il s'agit-là d'une
première phase d'une opération qui touchera d'autres artères et concernera, pas
moins de 500 immeubles, à réhabiliter, pour ce qui a trait aux façades comme
aux devantures des magasins qui s'y trouvent. Il y a lieu de profiter de
l'opportunité de désignation d'un bureau d'étude spécialisé qui a, déjà, fait
un travail, dans ce cadre, dans les artères d'Alger et qui veut le reproduire
dans le Vieux rocher' avec, bien sûr, les adaptations nécessaires et votre
coopération, dira le wali. Et cela, notera-t-il, pour donner une valeur ajoutée
à l'environnement et une touche d'esthétique aux vitrines et par là même doper
l'activité commerciale. «Car actuellement, il faut bien le dire, elles sont
plutôt repoussantes et n'encouragent pas le client à entrer et encore moins à
acheter», argumentera le chef de l'exécutif.
Selon l'exposé du directeur du bureau d'étude spécialisé, le but visé est l'harmonisation des vitrines en éliminant tout ce qui est dissonant, à l'instar des paraboles et des appareils de climatisation. Pour les premières, il est proposé d'opter pour une installation collective située sur les terrasses, alors qu'il est question pour les secondes de les déplacer, en bas des balcons avec des «caches» faites d'une matière noble et agréable à la vue, permettant une dissimulation avantageuse. Sachant que l'état prend en charge la seule réfection des trottoirs, des chaussées et des façades des immeubles, sans toutefois exclure une participation symbolique de la wilaya, dans les aménagements à apporter aux devantures des magasins qui sont, d'abord, du ressort des commerçants concernés.
Dans ce sillage et selon les estimations du directeur du bureau d'étude, la participation varie entre 40 et 60 millions de centimes. Enfin il est à indiquer, que les commerçants des artères en question ont brillé par leur absence à la rencontre, ce que n'a pas manqué de relever le wali, de même que les associations de la société civile, dont des représentants nous ont avoué «qu'ils n'ont pas été invités», et de confier, également, que «nous ne sommes pas consultés ni écoutés». Pourtant, dira le président de l'Association des habitants de l'avenue Aouati Mostefa, «nous avons des propositions très intéressantes à faire, dans le domaine de l'embellissement de la ville». Ce dernier ne manquera pas de dresser un sombre tableau de la situation de cette importante artère (avenue Aouati Mostefa), qui ne cesse de se dégrader, à l'enseigne «des trottoirs défoncés, anarchie des stationnements, immeuble de l'Enaditex abandonnés depuis des années, tuyauterie d'eau potable et autres très vétustes et arbres laissés à leur sort, sans aucune prise en charge, ni entretien approprié». «Lorsqu'il s'agit de distribution de logements sociaux, le mouvement associatif est impliqué dans l'opération, mais quand il s'agit de travaux de réhabilitation et autres embellissements des rues, il n'est point consulté!», soutiendra notre interlocuteur.
par A. Mallem
L'affaire dite «du Cyclamate» qui a envoyé 39 pharmaciens, de la région
de Constantine, devant les tribunaux, a fait réagir la corporation des
pharmaciens de l'est du pays. Réunis, jeudi matin, au siège du bureau de
l'Ordre des pharmaciens, à la nouvelle ville Ali Mendjeli, les présidents des
sections ordinales des pharmaciens des régions de l'Est (SORP) de Constantine,
Batna, Sétif et Annaba, qui regroupent pratiquement les pharmaciens inscrits au
tableau de l'Ordre de toute la région-est, sont tombés, à bras raccourcis, sur
l'administration de tutelle, notamment les directions de la Santé des wilayas,
qui, selon eux, «ne jouent pas le jeu, en s'abstenant d'appliquer les décisions
disciplinaires prononcées par le conseil de l'Ordre contre les pharmaciens
fautifs, comme le stipule la loi». Dans certains cas, ils ont même accusé
l'administration d'inciter les pharmaciens fautifs à passer, outre les
décisions du conseil de l'Ordre. «Nous avons une majorité de pharmaciens,
installés sans qu'ils soient inscrits au tableau de l'Ordre, comme le prévoit
l'article 4, du décret 92-296, et de ce fait se placent en position d'exercice
illégal de la profession, mais les DSP, qui le savent, laissent faire», a
déclaré M. Baghloul Kamel, président de la SORP de Constantine. Son collègue de
Annaba, M. Belkhodja Naoufel, a signalé qu'un pharmacien de Souk-Ahras a
exercé, pendant 15 ans, sans qu'il soit inscrit au tableau de l'Ordre. Et celui
de Sétif de renchérir, en révélant que le phénomène de location des diplômes
est très répandu. «Pour la seule wilaya de M'sila, a affirmé M. Tamani Mourad,
nous avons recensé une vingtaine de pharmaciens qui ont loué leurs diplômes à
des tierces personnes alors qu'ils résident au Canada, en Allemagne, en France,
en Tunisie et ailleurs. Nous avons saisi toutes les autorités, aussi bien la DSP
que la wilaya, mais nous n'avons eu aucun écho. Alors, nous avons été obligés
de prendre des décisions disciplinaires en demandant leur radiation. Pour nous,
ce sont des gens qui exercent, illégalement, le métier de pharmacien
d'officine. Nous attendons les décisions de la tutelle pour sanctionner ces
fautifs et rétablir la légalité». Dans la foulée, les représentants des autres
régions ont signalé le cas des pharmaciens qui ouvrent une officine dans une
région alors qu'ils résident dans une autre, de ceux qui ouvrent deux
officines, dans deux villes différentes, alors que la loi l'interdit,
formellement. Le président de la SORP de Annaba, M. Belkhodja Naoufel, a
signalé le cas des jeunes pharmaciens qui sont installés dans les «zones
enclavées» et soumis à l'appétit des «trabendistes». Ces nouveaux venus dans la
profession arrivent à des situations d'étranglement financier et finissent par
céder aux appels des sirènes du trabendo, en vendant du médicament non contrôlé
introduit au pays par «le cabas». Et de citer le cas de ce pharmacien de
Souk-Ahras qui a été pris en flagrant délit de vente de psychotropes par les
services de la Gendarmerie nationale et qui a été condamné à 10 ans de prison
par le tribunal de Guelma. Durant l'année 2013, dans la région de Batna, une
dizaine de pharmaciens ont été sanctionnés pour le motif principal de vente de
médicaments non contrôlés, c'est-à-dire provenant de la contrebande. Trois
autres, installés à El-Oued, ont été radiés pour le même motif. «Une vingtaine
d'autres ont écopé de sanctions allant du simple avertissement jusqu'à la
radiation du tableau de l'Ordre», a révélé M. Mehri Omar, président de la SORP
de Batna. Et son collègue de Sétif est revenu pour dire, lui aussi : «nous
avons des affaires en justice, dans plusieurs tribunaux administratifs pour des
pharmaciens qui ont ouvert des officines sans s'inscrire au tableau de l'Ordre,
après avoir été autorisés par les DSP. Et nous avons été mis dans l'obligation
d'aller vers les tribunaux pour contester ces installations faites en violation
de la loi».
A propos de l'affaire du «Cyclamate», substance présente dans deux compléments alimentaires vendus, régulièrement, dans les pharmacies, à Constantine et à la suite de laquelle la direction du Commerce a porté plainte, contre 39 pharmaciens de la wilaya, M. Baghloul a déclaré que: « Le conseil de l'Ordre des pharmaciens a été saisi par le Syndicat des pharmaciens d'officine de la wilaya, concernant ce conflit qui l'oppose à la direction du Commerce. Devant la gravité de la situation, nous nous proposons de donner notre avis et apporter les clarifications nécessaires, dans cette affaire qui a défrayé la chronique, dernièrement». Et de réaffirmer l'inviolabilité de l'officine édictée par la loi et son contrôle qui devait se faire dont concomitamment par la DSP et la direction du Commerce après consultation du conseil de l'Ordre. Sur la substance incriminée l'intervenant a expliqué que le Cyclamate, pris à doses homéopathiques n'est pas cancéreux. «Si on raisonne de la même façon que la direction du Commerce, on trompe le consommateur. Car , dans ce cas, des dizaines et des dizaines de produits alimentaires courants contiennent des substances cancirégènes lorsqu'ils sont pris à des doses exagérées. Il y a, actuellement, dans les pharmacies des médicaments fabriqués par des producteurs locaux de médicaments, dont le Sulpuren gélule qui contient du cyclamate, il y a des médicaments importés et autorisés par le ministère de la Santé, comme le «Doloseptyl», bain de bouche, fabriqué par un laboratoire français et distribué en Algérie, qui contient, lui aussi, du cyclamate», et d'exhiber les notices de ces médicaments cités. A notre avis, considéra le président de la SORP de Constantine, «le Cyclamate ne pose pas problème. C'est le contrôle de la direction du Commerce, dans les officines, qui pose, en vérité, problème, en même temps qu'il renseigne sur les empiètements de l'administration sur les prérogatives du conseil de l'Ordre. On prend des décisions, on ferme des officines, ensuite on informe le conseil de l'Ordre, alors que c'est l'inverse qu'il faut faire. Les rôles sont inversés. Et c'est le problème qui se pose, maintenant, pour la définition de nos rapports avec l'administration. Heureusement qu'on commence à entrevoir une lueur d'espoir avec le nouveau ministre car l'administration de la Santé commence à bouger dans un sens positif», a-t-il conclu.
Ali Benouari s'est désisté de sa nationalité suisse
Par : Imène AMOKRANE
Ali Benouari, l’un des douze candidats
ayant déposé leur dossier au conseil constitutionnel, n’aurait plus la
nationalité suisse ! C’est du moins ce qu’il affirme dans une interview
publiée jeudi sur les colonnes du quotidien « Echorouk »
(voir photo). A la question de la journaliste « qu’en est-il de la
nationalité suisse…qu’est-ce que vous en avez fait ? » Ali Benouari a
répondu « (…) j’ai tout laissé pour le peuple algérien, mes affaires, ma
nationalité suisse » avant de préciser que dans le « futur » il sera «
obligé de faire une demande de visa pour aller rendre visite à ma
famille et mes enfants, et ça se pourrait qu’on me le refuse ».
Une information de taille puisqu’il n’a pas déclaré auparavant qu’il s’était désisté de sa nationalité. D’ailleurs, lors du forum de Liberté du 22 décembre 2013,
Ali Benouari avait juste affirmé qu’il était prêt à renoncer à sa
nationalité suisse (qu’il a obtenu en 2000). Ce n’est donc que deux
jours après avoir déposé son dossier de candidature qu’il l’a annoncé
sur « Echorouk ».
Il s’est ainsi conformé à la loi.
L’article 73 de la constitution stipule que « pour être éligible à la
Présidence de la République, le candidat doit: - jouir uniquement de la
nationalité algérienne d'origine ». Aussi dans le chapitre I, des
dispositions relatives à l’élection du président de la république et à
la consultation électorale par voie de referendum (journal officiel du
12 janvier 2012) il y est indiqué que le candidat à l’élection
présidentielle doit déposer « une déclaration sur l’honneur attestant de
la non possession d’une nationalité autre que la nationalité algérienne
de l’intéressé ».
07-03-2014 22:49
#8
07-03-2014 21:41
ET POUR GERER LE
PETROLE ALGERIEN SOURCE DE REVENUS DU PAYS IL FAUT ETRE DETENTEUR DE LA
DOUBLE NATIONALITE ET DE PREFERENCE AMERICAINE..... ..(
CHAKIB KHALIL QUI A FOUTU LA MERDE AVEC LA COMPLICITE DE QUI VOUS
SAVEZ) ...ON NOUS PRENDS POUR DES BANANES ......VOIR DEPUTES ,SENATEURS ,
MINISTRES AVEC DOUBLE NATIONALITES ....
#6
07-03-2014 19:38
en aucun cas je ne peut te faire confiance QUI A TRAHI TRAHIRA tu peut reprendre ta nationalité suisse
#4
07-03-2014 19:04
mr ali benouari a
était ministre des finances en algérie a sa retraite il et pas réster a
alger il et partie vivre a genéve en suisse il a beaucoup d'argents
placer dans se pays vous aller pas croire c'est conneries comme quoi il
va rendres les papiers suisse .
#3
07-03-2014 17:57
L'algerie a besoin de
ses enfants , ceux qui sont prêt a lui rendre ses beaux jours mais pas
ceux qui racontent des "KHOURAIFATES"
#1
07-03-2014 17:41
voàus êtes un homme
qui mérite ma confiance.Mais puisque vous vous désistez alors autant
pour les crosses; je conserve ma confiance à celui qui a regagné le
macquis à 18 ans en abandonnant le lycée.Chnana fal adiane ...comme
disait mon pére taghanate taghassarte.
Bien que son sit-in ait été empêché par la police
Le mouvement Barakat gagne du terrain
Par : Mohamed Mouloudj
Ils étaient des dizaines à crier
leur hostilité et leur opposition à un nouveau quinquennat pour le chef
de l’État. Initiée par le mouvement Barakat (ça suffit), la
manifestation de jeudi à la faculté centrale d’Alger a drainé plusieurs
personnes dont la majorité finira dans les commissariats de la capitale.
Reportage.
Rien ne présageait une journée mouvementée à Alger. Le temps printanier de jeudi 6 mars, agrémenté d’une brise marine qui chatouille, annonce une fin de semaine calme. Mais la forte présence policière à en mettre plein la vue sur les différentes artères menant vers la place Audin et la faculté centrale altère le décor et augure d’une journée plutôt animée. Il était 9h30 lorsque les premiers manifestants arrivent à la place Audin. Ils prennent place dans les différentes cafétérias du coin. Sur le même boulevard, les policiers scrutent du regard les passants et les dévisagent avec méfiance.
“On y sirote un café et on discute”, nous dit une jeune militante. “J’espère que nous serons nombreux aujourd’hui pour dire non à un mandat de la honte”, ajoute-t-elle. Le dispositif policier mis en place n’est pas pour rassurer les initiateurs de la manifestation. Mais loin s’en faut. “La liberté d’expression est un droit constitutionnel et je ne reconnais pas l’interdiction des manifestations à Alger”, dira, pour sa part, un journaliste membre du mouvement Barakat. À quelques encablures des cafétérias, les premières grappes humaines se forment devant le portail de la faculté centrale. On y reconnaît des journalistes, des militants du mouvement Barakat et, surtout, des citoyens venus exprimer leur refus “d’une présidence à vie” à “un président malade”. Contrairement aux deux dernières manifestations initiées par ce même mouvement, celle du jeudi a drainé une foule nombreuse de citoyens.
Arrestations musclées
À peine les premiers slogans lancés par les manifestants que des dizaines de policiers encerclent l’entrée de l’université. Sous les cris de “Djazaïr hourra dimocratia” (Algérie libre et démocratique), “Non à un 4e mandat”, “Ni Oujda ni DRS”, ou bien “la Présidence n’est pas une maison de retraite”, les manifestants ont donné le là à leur mouvement. Au début, les policiers “exfiltraient” les manifestants de la foule qu’ils jettent, illico presto et avec violence, dans les fourgons cellulaires, ancêtres “des paniers à salade”, stationnés à un jet de pierre du lieu du rassemblement. Un quart d’heure plus tard et dès le premier groupe embarqué, les policiers chargent les présents et décident “de nettoyer” les lieux. Visiblement pris de panique face aux nombreux citoyens qui affluaient sur les lieux, c’était sans discernement et surtout à travers des arrestations musclées que la police a embarqué plusieurs dizaines de personnes. Dans la soirée du jeudi, les animateurs du mouvement initiateur de l’action ont fait état de 208 arrestations. “Ils sont plutôt des militants du pouvoir”, dénonce un journaliste le comportement des policiers. “Ils arrêtent même des journalistes et des photographes venus couvrir l’événement”, a-t-il souligné. Il était presque 12h, mais le lieu du rassemblement ne désemplit pas pour autant. Les fourgons cellulaires aussi. Des dizaines d’autres citoyens seront embarqués. Plusieurs animateurs du mouvement Barakat n’ont pas pu rejoindre le lieu du rassemblement. Ils ont été arrêtés aux alentours de la place Audin. “Des policiers en civil procèdent à l’arrestation de nos camarades avant qu’ils rejoignent ce lieu”, alerte une animatrice de Barakat. À peine sa phrase entendue, des policières l’embarquent. Même embarqués, ils continuent à clamer leur colère.
Devant les caméras des télévisions
Manifester à Alger est un événement à ne pas rater. Hormis la présence de la presse nationale, quoique attendue, des télévisions étrangères se sont fait inviter. Françaises notamment et des pays arabes, plusieurs chaînes ont couvert le rassemblement. Sur place, leurs journalistes tentaient de faire parler des citoyens, mais c’était compter sans la volonté des policiers qui ont sûrement reçu l’ordre de mettre la main sur quiconque exprimera son refus du 4e mandat pour Bouteflika. Dans le sillage de la fameuse gestion démocratique des foules, un homme a dénoncé “la violence” et “le zèle” avec lesquels “des adolescents ont été passés à tabac par des policiers en civil, alors qu’ils étaient loin de la foule”. Cet homme sera arrêté quelques minutes plus tard avant d’être relâché à la suite de l’intervention de plusieurs citoyens. Un journaliste, expliquant son point de vue à la chaîne française France 3, n’a pas été épargné par les policiers. Il sera arrêté alors qu’il parlait devant la caméra de la journaliste. “C’est ainsi qu’ils vont donner une image d’un peuple qui aime son Président”, répliquait une femme, avec dérision. 13h, donc deux heures après le début de l’action, la police n’a pas cessé “sa rafle” dans les rangs des manifestants. Ce n’est que vers 14h que la vie reprend son cours normal. Les manifestants ont été emmenés vers différents commissariats de la capitale. C’est la troisième fois que les services d’ordre feront face à un tel scénario en moins de deux semaines. Les animateurs, libérés l’après-midi, ont promis de réinvestir encore la rue pour dire qu’à côté des courtisans de Bouteflika, une société civile libérée du “haut patronage de fakhamatouhou” se mobilise pour rendre la dignité aux Algériens.
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Arrestations musclées
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Devant les caméras des télévisions
Manifester à Alger est un événement à ne pas rater. Hormis la présence de la presse nationale, quoique attendue, des télévisions étrangères se sont fait inviter. Françaises notamment et des pays arabes, plusieurs chaînes ont couvert le rassemblement. Sur place, leurs journalistes tentaient de faire parler des citoyens, mais c’était compter sans la volonté des policiers qui ont sûrement reçu l’ordre de mettre la main sur quiconque exprimera son refus du 4e mandat pour Bouteflika. Dans le sillage de la fameuse gestion démocratique des foules, un homme a dénoncé “la violence” et “le zèle” avec lesquels “des adolescents ont été passés à tabac par des policiers en civil, alors qu’ils étaient loin de la foule”. Cet homme sera arrêté quelques minutes plus tard avant d’être relâché à la suite de l’intervention de plusieurs citoyens. Un journaliste, expliquant son point de vue à la chaîne française France 3, n’a pas été épargné par les policiers. Il sera arrêté alors qu’il parlait devant la caméra de la journaliste. “C’est ainsi qu’ils vont donner une image d’un peuple qui aime son Président”, répliquait une femme, avec dérision. 13h, donc deux heures après le début de l’action, la police n’a pas cessé “sa rafle” dans les rangs des manifestants. Ce n’est que vers 14h que la vie reprend son cours normal. Les manifestants ont été emmenés vers différents commissariats de la capitale. C’est la troisième fois que les services d’ordre feront face à un tel scénario en moins de deux semaines. Les animateurs, libérés l’après-midi, ont promis de réinvestir encore la rue pour dire qu’à côté des courtisans de Bouteflika, une société civile libérée du “haut patronage de fakhamatouhou” se mobilise pour rendre la dignité aux Algériens.
M. M
Rassemblement de jeunes du mouvement Barakat à Bouira
“Nous ne sommes parrainés par aucun parti politique !”
Par : Hafidh Bessaoudi
Une trentaine de jeunes se réclamant du
mouvement Barakat ont manifesté jeudi dernier sur la place publique de
la ville de Bouira en scandant des slogans contre “un 4e mandat !” C’est
sur le réseau social facebook que ces jeunes ont lancé leur appel
mercredi soir, annonçant la tenue d’un sit-in sur la placette du
chef-lieu de wilaya. Vers 11h, les premiers manifestants ont déployé
leurs banderoles sur lesquelles on pouvait lire “Stop à la corruption”,
“Non pour un 4e mandat, oui pour le changement, oui pour un État de
droit”, “Non à la dictature”. Sur place, des jeunes ont insisté sur la
non-existence de partis politiques derrière ce mouvement. “Nous sommes
de simples citoyens algériens et la rue est notre seule alternative
pacifique pour le changement, non au régionalisme, le mouvement Barakat
appartient à tous les Algériens ! Nous ne sommes parrainés par aucun
parti politique.” Ceci dit, les soutiens du candidat Bouteflika se sont
fait largement égratigner par les manifestants, notamment Amar Ghoul,
Amara Benyounès et Sellal. Le rassemblement s’est achevé par des
formules criées à gorge déployée où un appel au boycott de l’élection
était réitéré. À noter qu’un important cordon de sécurité a été déployé
tout autour des quartiers de la vieille ville de Bouira, mais aucune
interpellation n’a été enregistrée et les manifestants se sont dispersés
dans le calme.
H. BILS DÉNONCENT LES RÉSULTATS DE LA DERNIÈRE TRIPARTITE
Marche des travailleurs du préemploi à Béjaïa
Par : Ouhnia Kamel
Des fonctionnaires vacataires
ont investi la rue dans la capitale des Hammadites en vue de faire
entendre leurs revendications socioprofessionnelles.
Afin de dénoncer les résultats de la dernière tripartite qui n’a pas tenu ses promesses, notamment l’abrogation de l’article 87 bis du code du travail, et réclamer “l’intégration inconditionnelle de tous les ouvriers recrutés dans le cadre du préemploi”, plusieurs travailleurs des corps communs exerçant dans le cadre des dispositifs d’aide à l’emploi (Anem, filet social…), à travers les différents secteurs de la Fonction publique, ont organisé, mercredi matin, une deuxième marche de protestation à Béjaïa, en l’espace de 48 heures. C’est suite à l’appel du comité des préemplois de la wilaya de Béjaïa, affilié au Snapap (Syndicat national autonome des personnels des administrations publiques), que des dizaines, voire des centaines de fonctionnaires vacataires ont investi, mercredi encore, la rue dans la capitale des Hammadites en vue de faire entendre leurs revendications socioprofessionnelles. “Non à la tripartite de la honte !”, “Non aux fausses promesses!”, “Nous voulons des actes et non des paroles!”, “Non à l’exploitation, oui pour un travail digne !”… scandaient les manifestants tout au long de leur parcours de la maison de la culture Taos-Amrouche au siège de la wilaya de Béjaïa, où ils ont observé un rassemblement de protestation. Des syndicalistes du Snapap se sont succédés au micro pour réitérer leurs revendications principales, à savoir “l’intégration inconditionnelle de tous les ouvriers recrutés dans le cadre du préemploi”, “la comptabilisation des années exercées dans le cadre du préemploi dans le calcul de la retraite”, “l’abrogation pure et simple de l’article 87 bis”. Enfin, les différents intervenants ont appelé l’ensemble des travailleurs des corps communs de la Fonction publique à rester mobilisés et vigilants jusqu’à l’aboutissement de leurs revendications, avant d’inviter les manifestants à se disperser dans le calme.
Afin de dénoncer les résultats de la dernière tripartite qui n’a pas tenu ses promesses, notamment l’abrogation de l’article 87 bis du code du travail, et réclamer “l’intégration inconditionnelle de tous les ouvriers recrutés dans le cadre du préemploi”, plusieurs travailleurs des corps communs exerçant dans le cadre des dispositifs d’aide à l’emploi (Anem, filet social…), à travers les différents secteurs de la Fonction publique, ont organisé, mercredi matin, une deuxième marche de protestation à Béjaïa, en l’espace de 48 heures. C’est suite à l’appel du comité des préemplois de la wilaya de Béjaïa, affilié au Snapap (Syndicat national autonome des personnels des administrations publiques), que des dizaines, voire des centaines de fonctionnaires vacataires ont investi, mercredi encore, la rue dans la capitale des Hammadites en vue de faire entendre leurs revendications socioprofessionnelles. “Non à la tripartite de la honte !”, “Non aux fausses promesses!”, “Nous voulons des actes et non des paroles!”, “Non à l’exploitation, oui pour un travail digne !”… scandaient les manifestants tout au long de leur parcours de la maison de la culture Taos-Amrouche au siège de la wilaya de Béjaïa, où ils ont observé un rassemblement de protestation. Des syndicalistes du Snapap se sont succédés au micro pour réitérer leurs revendications principales, à savoir “l’intégration inconditionnelle de tous les ouvriers recrutés dans le cadre du préemploi”, “la comptabilisation des années exercées dans le cadre du préemploi dans le calcul de la retraite”, “l’abrogation pure et simple de l’article 87 bis”. Enfin, les différents intervenants ont appelé l’ensemble des travailleurs des corps communs de la Fonction publique à rester mobilisés et vigilants jusqu’à l’aboutissement de leurs revendications, avant d’inviter les manifestants à se disperser dans le calme.
K. O
BRÈVES de l’Est
Par : Rédaction Régionale
SKIKDA: 480 millions de DA pour réhabiliter l'ancien hôpital
La réhabilitation de l'ancien hôpital de Skikda, qui date de 1887 et qui se trouve dans un état de vétusté avancé, a été créditée de 400 millions de dinars. La première enveloppe de 80 millions de dinars s'est avérée insignifiante pour prendre en charge cet hôpital de 350 lits dans sa totalité, à savoir les opérations de confortement, de réhabilitation et de modernisation. Pour ce faire, 4 entreprises sont en opération au niveau des 5 lots attribués pour leur réception prévue dans 6 mois, même si la date initiale de la réception totale a été déjà dépassée. Cependant, la réception du nouveau service d'hémodialyse de 20 lits est prévue dans 2 mois, comme a tenu à le souligner le responsable du secteur de la santé et de la population lors d'une récente visite d'inspection du wali. L'ancien service d'hémodialyse abritera un service d'anapathologie qui sera doté d'équipements nécessaires pour la détection du cancer à son état embryonnaire, comme expliqué.
La réhabilitation de l'ancien hôpital de Skikda, qui date de 1887 et qui se trouve dans un état de vétusté avancé, a été créditée de 400 millions de dinars. La première enveloppe de 80 millions de dinars s'est avérée insignifiante pour prendre en charge cet hôpital de 350 lits dans sa totalité, à savoir les opérations de confortement, de réhabilitation et de modernisation. Pour ce faire, 4 entreprises sont en opération au niveau des 5 lots attribués pour leur réception prévue dans 6 mois, même si la date initiale de la réception totale a été déjà dépassée. Cependant, la réception du nouveau service d'hémodialyse de 20 lits est prévue dans 2 mois, comme a tenu à le souligner le responsable du secteur de la santé et de la population lors d'une récente visite d'inspection du wali. L'ancien service d'hémodialyse abritera un service d'anapathologie qui sera doté d'équipements nécessaires pour la détection du cancer à son état embryonnaire, comme expliqué.
A. BOUKARINE
JIJEL: Gaz de ville pour les communes montagneuses
Dans le but de désenclaver les régions montagneuses, Sonelgaz vient lancer trois projets de raccordement au gaz de ville. Ces projets concernent les communes de Chahna, Ouled Askeur, Kheiri Oued Adjoul ainsi que la zone d'El-Djenah (commune de Sidi Abdelaziz). à cet effet, Sonelgaz vient de confier 17 centres à trois entreprises de réalisation pour des délais variant de trois à treize mois. La population qui bénéficiera du gaz de ville est estimée à 34 000 habitants. Selon des sources officielles, Sonelgaz lancera prochainement d'autres projets dans le cadre de la distribution et de l’amélioration de son service. Il s'agit de 76 centres pour une population de 117 000 habitants. Notons que le nombre de foyers raccordés au gaz naturel au niveau de la wilaya est estimé à plus de 70 000, soit un taux de 61%. Ce nombre est appelé à augmenter pour atteindre 77 000 foyers selon nos informations.
Dans le but de désenclaver les régions montagneuses, Sonelgaz vient lancer trois projets de raccordement au gaz de ville. Ces projets concernent les communes de Chahna, Ouled Askeur, Kheiri Oued Adjoul ainsi que la zone d'El-Djenah (commune de Sidi Abdelaziz). à cet effet, Sonelgaz vient de confier 17 centres à trois entreprises de réalisation pour des délais variant de trois à treize mois. La population qui bénéficiera du gaz de ville est estimée à 34 000 habitants. Selon des sources officielles, Sonelgaz lancera prochainement d'autres projets dans le cadre de la distribution et de l’amélioration de son service. Il s'agit de 76 centres pour une population de 117 000 habitants. Notons que le nombre de foyers raccordés au gaz naturel au niveau de la wilaya est estimé à plus de 70 000, soit un taux de 61%. Ce nombre est appelé à augmenter pour atteindre 77 000 foyers selon nos informations.
Mouloud SAOU
OUM EL-BOUAGHI: Quatre personnes incommodées par le monoxyde de carbone
Les services de la protection civile sont intervenus jeudi à 6h45, au niveau de la cité Youcef-Khoudja à Oum El-Bouaghi, pour secourir quatre membres d’une même famille, incommodés par le monoxyde de carbone. Le gaz provenait de l’appareil de chauffage.
Les quatre victimes, dont un bébé de 11 ans, ont été transférées vers l’EPH Ibn-Sina du chef-lieu de wilaya.
Les services de la protection civile sont intervenus jeudi à 6h45, au niveau de la cité Youcef-Khoudja à Oum El-Bouaghi, pour secourir quatre membres d’une même famille, incommodés par le monoxyde de carbone. Le gaz provenait de l’appareil de chauffage.
Les quatre victimes, dont un bébé de 11 ans, ont été transférées vers l’EPH Ibn-Sina du chef-lieu de wilaya.
B. NACER
Trois blessés dans une collision entre un train et une voiture
Une collision entre un train et une voiture, survenue mercredi vers 20h, sur la ligne ferroviaire au niveau de l’intersection Ouled Zouai - Constantine (RN 48), a fait trois blessés, dont un policier, avons-nous appris auprès de la protection civile. Les victimes ont été transportées par des particuliers à l’EPH de Aïn M’lila et les services compétents ont ouvert une enquête.
Une collision entre un train et une voiture, survenue mercredi vers 20h, sur la ligne ferroviaire au niveau de l’intersection Ouled Zouai - Constantine (RN 48), a fait trois blessés, dont un policier, avons-nous appris auprès de la protection civile. Les victimes ont été transportées par des particuliers à l’EPH de Aïn M’lila et les services compétents ont ouvert une enquête.
B. N.
MILA: Une maison prend feu
Une maison a été ravagée, ce mercredi matin, par un incendie, à Sidi Sgheir, au nord de Mila. Selon la Protection civile, le sinistre s'est déclaré à 6h50, au niveau de la cuisine et a causé la destruction d'une cuisinière, d'un réfrigérateur, de deux fours et d'une armoire en bois. Aucun perte humaine n'a été déplorée, précise la Protection civile, qui a dépêché sur les lieux une équipe de sapeurs-pompiers pour l'extinction des flammes et le secours des membres de la famille sinistrée.
Une maison a été ravagée, ce mercredi matin, par un incendie, à Sidi Sgheir, au nord de Mila. Selon la Protection civile, le sinistre s'est déclaré à 6h50, au niveau de la cuisine et a causé la destruction d'une cuisinière, d'un réfrigérateur, de deux fours et d'une armoire en bois. Aucun perte humaine n'a été déplorée, précise la Protection civile, qui a dépêché sur les lieux une équipe de sapeurs-pompiers pour l'extinction des flammes et le secours des membres de la famille sinistrée.
K. BOUABDELLAH
En déplacement à Constantine
Marie-Christine Saragosse chez Média-Plus
Par : Rubrique Radar En déplacement à Constantine, Marie-Christine Saragosse, présidente de France Médias Monde, a effectué récemment une visite de courtoisie aux éditions Média-Plus. La patronne de France 24, RFI et MCD s’est entretenue avec l’éditeur Yassine Hannachi, sans omettre de le féliciter pour son choix éditorial et ses nombreuses actions pour la promotion du livre et de la lecture. Il est à noter que le premier roman de Mme Saragosse, Temps ensoleillé avec fortes rafales de vent, sera publié prochainement en Algérie par Média-Plus.CONSTANTINE
Deux dealers arrêtés
Par : Houda CHIED
Une quantité de 115 comprimés de
psychotropes a été saisie ces derniers jours sur deux dealers, âgés de
34 et 38 ans, à la cité Boudraâ-Salah, à Constantine. Les services de la
police judiciaire de la Sûreté de wilaya ont réagi suite à des
informations indiquant la commercialisation de comprimés dangereux dans
ledit quartier. Le premier mis en cause a été intercepté en possession
d’un sachet contenant 40 comprimés, alors que son complice a été arrêté
avec 75 comprimés destinés à la vente. Les deux individus ont été placés
en détention provisoire par le parquet de Constantine.
Le professionnalisme est souvent exclu des rapports
Arts et administration ou les liaisons dangereuses
- Publié le 05.03.2014 à 16:30, Par :latribune
Il semble relever de la plus grande normalité que des antagonismes puissent exister entre des gens des arts et de la culture et les responsables administratifs qui seraient à la tête d’établissements publics représentant la tutelle. Pour la simple raison que tout artiste qui se respecte et respecte l’art auquel il se consacre corps et âme et auquel il consacre son temps, sa santé, son confort social, aspire par nature à une forme de liberté, sa liberté. D’ailleurs le mot bohème n’est-il pas typique de la notion d’art et des conditions de vie d’abord des artistes. Au milieu du 18e siècle Balzac disait : «La bohème n’a rien et vit de tout ce qu’elle a. L’espérance est sa religion, la foi en soi-même est son code, la charité passe pour être son budget. Tout bohème est plus grand que son malheur, au dessous de la fortune, mais au dessus du destin.» En ces temps, l’artiste était considéré comme un personnage vivant en marge de la société. Ce n’est certes plus le cas, quoi que les génies, et il en existe encore aujourd’hui à travers le monde, perpétuent encore ce mode de vie.
En Algérie, les gens de l’art étaient effectivement craints parce qu’ils ne
pouvaient souffrir une caporalisation et encore moins un embrigadement
politique, à moins que celle-ci aille dans le sens de ce à quoi ils aspirent, et
ces aspirations n’ont jamais eu rien d’individuel et relèvent par voie de conséquence de l’intérêt collectif, celui de la société. Leur devise se résumait en deux mots latins «carpe diem». Ceux qui ont fait ce choix ne pouvaient qu’être à la marge. Ils seront bien entendu nanisés quelques années après l’indépendance pour une raison ou une autre, et connaitront des fortunes diverses selon qu’ils soient rentrés dans les rangs… une solution à une question d’alimentaire, expatriés et éteints dans l’oubli. Il en existera pourtant des vernis, ceux-là même qui ont suivi le sens du vent, se muant en thuriféraires éclairés de mentors qui n’ont rien à voir avec les arts. Et c’est, à l’exception de quelques artistes qui se comptent sur les doigts d’une main pour chaque type d’art, qu’il s’agisse de peinture, sculpture, cinéma, théâtre ou musique, cette domestication, cette docilité transmises par mécanismes pavloviens aux générations, dont seuls quelques rares talents s’expriment très parcimonieusement et pour cause des contraintes administratives délibérées que ne rencontrent pas forcément ceux qui montrent patte blanche, réfléchissent sur injonction et travaillent sur commande.
Preuve en est fournie aujourd’hui avec une ministre de la Culture qui ne souffre pas la contradiction d’où qu’elle vienne et dont le département qu’elle dirige
fait preuve des plus grandes largesses au profit d’une appréciable partie d’artistes, comédiens, musiciens, lesquels très souvent ont l’imagination au
ras-des-pâquerettes, mais des poches dignes du tonneau des Danaïdes. Les représentants des médias qui ont l’heur de résider dans la wilaya de Constantine laquelle, est-il besoin de le rappeler, sera en 2015 capitale de la culture arabe, connaissent désormais la nature des coups de gueule de la ministre. Mais il suffit simplement de ne pas la contrarier pour éviter ses remontrances et, pourquoi pas, figurer dans ses petits papiers.
A. L.
مستقلات ماديا، مواكبات للتكنولوجيا، وغير راضيات بوضعيتهن، نساء المدينة يصرخن
أولادنا ضاعوا، رجالنــا تاهـوا ووقتنا أخذه العمل
وسيلة لعموري
ما دا بيك تجي توصلني، وما تنساش جيب معاك بيتزا مانيش قادرة نطيب، هي العبارة الشهيرة لنساء اليوم أو بالأحرى للنساء الحضريات اللواتي طلّقن المسئولية من كامل جوانبها، ولهثن وراء العمل خارجا، الذي حصر اهتمامهن بين لبس الفيزو وتتبع آخر مستجدات الفايسبوك، في الوقت الذي يتمرمد أطفالهن عند ما يعرف بـلانوريس.صدقت إحدى المسرحيات الفكاهية التي مثلتها في صغري، في أشبه من عراك بين بنت المدينة والريف، هاته الأخيرة التي نعتت المرأة الحضرية بكثيرة الخرجات وكثيرة الزواج والطلاق، بالقول ياخي بنات المدينة مكشوفات يزوجو كي الحلوفات، شهر ويبداو الغضبات الشرطة والجادارمية جايينهم للدار، قبل أن تسكتها بنت المدينة، بالقول راو طلعلي الزعاف روحي بركاي من الخراف، روحي روايحك ناتنة تسكر، غير أن التمدن بات واقعا لا مفر منه، فحتى بعض القرى تبدو من خارجها دشورا، إلا أن حياة الرفاه تطبعها داخلا، بتوفير أحدث الأجهزة المنزلية، قابله هجران شبه تام لخدمة الأرض وتربية الحيوانات الذي كان في وقت سابق مرتبطا بسكان الأرياف، فيما أخذت المرأة حظها من العمل، سيما ما تعلق بالتعليم والتمريض، في الوقت الذي بات العمل ضرورة ملحة لنساء المدينة، اللواتي يقاسمن الشهرية على مصاريف الكراء،
لانوريس، والعشاء الأونبورتي، وهي الحالة التي لم تقبلها سيدات كثيرات وصرخن عاليا بعد أن أخذ العمل كامل وقتهن، وتاه أطفالهن.
فاطمة مهندس دولة: أولادي ضاعوا، والعمل أخذ كامل وقتي
في الوقت الذي تشتغل أمهاتنا في دشور وقرى مختلف الأرياف، على قدم وساق، وتخدم الأرض، وتربي الأغنام والأبقار، تلهث نساء المدينة وراء العمل، لتقاسم الزوج مصاريف حياة باتت متعبة ومكلفة أكثر في المدينة، فاطمة مهندس دولة قالت إنها ملت من العمل، وتمنت لو أنها لم تدرس يوما، ولم تر الجامعة، أمام العمل الذي أخذ كامل وقتها، وحرمها حتى من أطفالها، الذين يترامون حسبها من منزل مربية إلى أخرى، في الوقت الذي لا تراهم سوى يوما واحدا وهو الجمعة الذي لا تعمل به، فعلى الرغم من استقلاليتها ماديا، ترى فاطمة أنها لم تذق طعم الحياة، وأنها تلهث وراء عملها، الذي أنساها حتى كيفية تحضير طبق التشخشوخة الذي لا تقوى على تحضيره يوم الجمعة أمام كثرة أشغالها اليومية، ورغبتها في الخلود للراحة سيما إذا قصدها ضيوف في نهاية الأسبوع، في حين ترى مريم أن العمل جعلها تهمل جانبا كبيرا من حياتها الخاصة، بداية من زوجها الذي اكتشفت أنه يخونها مع أخرى مستغلا فرصة غيابها للعمل ليلا بصفتها طبيبة، وهو الأمر الذي أخلط حياتها وجعلها تفكر في إعادة حساباتها والانشغال أكثر بزوجها وطفلها الذي يضيع منها هو الآخر بعد أن بات طفلا متنقلا من منزل مربية لأخرى، متوقعة سلوكيات غير محمودة في طفلها أمام عدم إشرافها شخصيا على تلقينه التربية التي تود هي.
ليلى تخسر زوجها مقابل تشبّثها بالعمل
من جهتها، ليلى وعلى الرغم من امتلاكها لمكتب محاماة وعملها الحر، غير أن مقاسمة الآخرين همومهم وعلى حدّ تعبيرها، ينسيها جزءا كبيرا من حياتها، ويجعلها تنغمس في العمل، الذي جعلها تخسر زوجها مقابل حبها وتمسكها للعمل، ليلى المحامية المطلقة بطفل، اعترفت أخيرا أن عملها كلفها خسارة الإنسان الذي قاسمها الحياة بحلوها ومرها لفترة قاربت العشر سنوات، إلا أنه ضاق ذرعا من تواجدها اليومي بالمكتب، وغيابها عن المنزل، قبل أن ينتفض للواقع مخيرا إياها بين توقيف العمل والتفرغ لمتطلباته ومتطلبات ابنه، وإلا الانفصال، وهو ما اختارته ليلى التي رفضت التضحية بسنوات طوال قضتها في دراسة مهنة أحبتها منذ الصغر، ومارستها طيلة 10 سنوات، لم تتخيل أنها ستتسبب يوما في خسارتها لعائلتها، غير ناكرة أن العمل يبقى ضرورة ملحة في مجتمع لا يرحم المرأة الجاهلة وينبذها.
مليكة ربة بيت تدخل عالم الاختراع
بالمقابل، ترى السيدة مليكة عباد، وهي صاحبة مشروع ساعة اليد الذكية، أن عيشها بالمدينة أعطاها الكثير من الفرص للظهور، رغم أنها لم تكمل مسارها الدراسي بالجامعة، دخلت عالم الاختراع من بابه الواسع وحصلت على عدة جوائز، بعد تعرضها لوعكة صحية اضطرتها للدخول للمستشفى، وإجراء عملية جراحية، وطيلة تواجدها بالمستشفى اكتشفت عديد الحقائق عن مرضى يموتون كل لحظة جراء صعوبة التكفل بهم، ومعرفة نوع مرضهم، ما جعلها تفكر في اختراع ساعة الكترونية تعمل بنظام داخلي يحمل كامل المعلومات الطبية عن المريض بما فيها نوع المرض الزمرة الدموية، والكشوفات العامة للمريض، والتي تعمل بنظـــــام يو أس بي، تحمل كامل المعلومات الخاصة بالمريض، وهي تحلم بتمثيل الجزائر خارجا، من خلال دعوتها من طرف المعهد الوطني للملكية الصناعية لتمثيل الجزائر في ملتقيات دولية للابتكار والإبداع، في تونس، فرنسا وجنيف قريبا، وهي حالة من نساء جزائريات حاولن فرض أنفسهن والتعبير عن ذواتهن من خلال تقديم شيئا نافعا للمجتمع.
عقيلة رابحي من حفّافة إلى برلمانية تطالب بـالفليكسي
من جهة أخرى، تبوأت عديد النساء مناصب عليا في البلاد، ومثلت المرأة في القضاء، البرلمان، بدليل تجارب ناجحة لنساء يخيّل لنا أنهن يعملن لصالح نصرة المرأة الضعيفة ويناضلن من أجل افتكاك حقوقها، وضمان عيشها الكريم إلى جانب الرجل، عقيلة رابحي واحدة من هاته النسوة، اللائي وجدن أنفسهن في مناصب أعلى من قدراتهن، فعقيلة رابحي التي انتقلت من صالونات الحلاقة على حدّ تعليقات رواد الفايسبوك الذين تهجموا على النائبة بالبرلمان، التي تتقاضى أجرة شهرية تفوق الـ35 مليون سنتيم، طالبت بزيادة في أجور النواب، الذين وعلى حد تعبيرها لا تكفيهم، لمصاريفهم اليومية، والتي من بينها حقوق الفليكسي، بعد أن بات المواطنون يبيبيولها على حدّ تعبيرها، وهي تعاودلهم للنظر في انشغالاتهم، تعليقات ساخرة وضعت عقيلة رابحي في دائرة الضوء لفترة طويلة، وجعلت آمال الجزائريين تخيب، بعد أن عرفوا عقلية مسئولينا الذين كل واحد يضرب على روحو ولا يكلفون أنفسهم عناء الدفاع عن حق مواطن بسيط وضع ثقته في أناس تمثله طيلة خمس سنوات في مبنى البرلمان الذي يبقى حكرا على أصحاب المصالح التي لا تسمن ولا تغني من جوع.
تحرثن، تحصدن وترعين الأغنام
ريفيـات الجزائـــــر.. نــــساء من حديــد
فازية رحماني
تظل ساهرة طول الليل، تسقي القربة والبرميل ما عندهاش عين تسيل، عايشة عيشة القلّيل، ملابسها مكركرة في الغبار وفي جبينها رسمت الحاجة، في فمها دايمن ضحكة.. هي صفات المرأة الريفية التي تسعى لسد جوع أطفالها بكل الطرق الشاقة وتسلك كل السبل عبر الجبل أو التلل، في المزرعة والحقول، جنب إلى جنب مع أبيها وإخوتها، وتكمل المشوار برفقة زوجها.مفارقات بالجملة ترسمها مجموعة من الظروف الاجتماعية، السياسية والثقافية جعلت المرأة البدوية والريفية تعيش حياة بدائية بعيدة كل البعد عن مواصفات العيش الكريم، فهي التي تحرث بيديها وتحصد، وتربي أجيالا صاعدة. في المقابل سيدات المدينة تتمتعن بجملة من الكماليات والتكنولوجيا
والـ3 جي، الفايسبوك والسيارات الفاخرة، وبمقارنة بسيطة فقط نتوصل الى نتيجة حتمية ووهمية، هي أن الدولة الجزائرية لم تكرس حق المرأة الريفية، بل ساهمت وبشكل كبير في إهانتها وجعلها خادمة الرجل ورهينته الأساسية الذي يستمتع بتفرعينه الدائم وحب السيطرة وممارسة كل أشكال العنف المتاحة والتي يتقدمها الضرب المبرح والإهانة وسقيها بكل الكلمات المسيئة التي تجرح مشاعرها، فهي تعامل وكأنها بهيمة.نساء سرقت منهن أنوثتهن وحوّلن الى شبيهات بالرجال عبر الحقول والمزارع وراء قطعان الأبقار والأغنام، ذنبهن الوحيد أنهن بنات الفيلاج أو زوجات لطغاة لا رحمة لهم ولا شفقة ولا يفقهون شيئا في كيفة التعامل مع المرأة التي يسمونها الجنس اللطيف، حوّلوها إلى أداة للحرث والحصد في كل المجالات.
خالتي فاطمة بوكلي.. امرأة من فولاذ
هي حالة لإحدى المناضلات المعروفات في منطقة عطوش ببلدية ماكودة، امراة من حديد، ترعرعت من عائلة فقيرة وتزوجت من رجل فقير، ناضلت بكل ما لديها مع إخوانها المجاهدين في المنطقة، وهي المعروفة بمغنية الاستقلال في المنطقة.
بابتسامة عريضة، استقبلتنا خالتي فاطمة بوكلي، في بيتها المتواضع جدا بين أحضان الطبيعة المطلة على تلة جميلة في قريتها البسيطة، وجدناها تجمع
القش لإطعام خرفانها كالعادة، وبجبتها القبائلية البسيطة الصفراء اللون دائما تستقبل ضيوفها من كل الجهات الذين يزورونها للاستماع إلى أحاديثها المشوقة عن الثورة والثوار، فهي ذاكرة قوية لتصوير أحداث الثورة وغشم الاستعمار الفرنسي الذي استعمل كل الوسائل لتعذيب النساء إبان الثورة. قالت خالتي فاطمة أيامي كلها فقر ومعاناة ولعلني ألِفتٌ الأمر وأصبحت لا أبالي. وعن سؤالنا عن طريقة تربية أولادها الصغار في زمن الجوع والثورة قالت بأنها فقدت زوجها وسنّها لم يتجاوز الخامسة والعشرين، قتله الاستعمار الفرنسي بعد أن اكتشفوا بأنه مناضل في صفوف المجاهدين، تركها هي و5 أطفال أكبرهم 10
سنوات وصغيرهم رضيع عمره 8 أشهر، كافحت بكل الطرق وعملت في المزارع بمعية الرجال، لم تبالي يوما للأعمال الشاقة التي كانت تقوم بها، المهم لديها
هو ضمان لقمة عيش المتمثلة في خبز وزيت لأولادها. في زمن الثورة وغدر الاستعمار الفرنسي استطاعت خالتي فاطمة النجاة من الموت بأعجوبة، وفي كل مرة يسجنها الاستعمار ويعذبها بكل الوسائل وفي كل مرة يكتب المكتوب أن تعيش بعدها رغم التعذيب.
بعد مرور 51 سنة عن الاستقلال ونيل الحرية، خالتي فاطمة لم يتغير وضعها كثيرا والأمر الوحيد الذي تجده جميلا هو خروج فرنسا من الجزائر واستمتاعها الآن
بالخروج في نزهات مع قطيعها للحقول المجاورة لمنزلها دون أي ظلم أو تفتيش أو تعذيب، وهي التي بقيت وفية لجبّتها المتواضعة وحذائها الممّزق والمشدود بخيط متين من كل الجهات. والميزة التي تنفرد بها خالتي فاطمة هي أنها لا تحب الصدقات وتكتفي بما
تجنيه من عرق جبينها، والأمر الوحيد الذي تنحصر عليه هو أن المجاهدين في المنطقة نسوها ونسوا بأنها كانت سندهم في نقل عدة رسائل بين القيادات،
وما تزال تأكل ثازارت مع زيت الزيتون في كل صباح. هي محبوبة الكل، لا تتعب ولا تمل في سرد حقائق تاريخية من ذهب، بل حتى النكت القديمة التي
تلاشت مع القدماء لم تنسها.. خالتي فاطمة رمز للمرأة الفولاذية التي لم تكسرها سنوات العجاف والجوع، واختارت العيش في الظل والهدوء ولم تجر يوما وراء
اللقب كونها من أبرز المجاهدات في المنطقة ومعروفة لدى الصغير قبل الكبير.
نا سعدية تعيش على صناعة الفخار
ثقة، قوة وسعادة، ثلاثية نسجت في شخصية نا سعدية، التي تبدع أناملها القوية أوان جميلة عرضت في كل الصالونات للحرف التقليدية، هي التي لم تتعلم حرفا في حياتها، لا تفقه في حياة التحضّر والتكنولوجيا لا القديمة
ولا الحديثة شيئا، بل لم تسمع يوما بالانترنيت، ولما سألناها عن الفيسبوك قالت شكون هذا وين يعيش، براءة امرأة رهنت كل حياتها خدمة لفلذات كبدها، وصنعت من الطين أروع الأواني وأجودها، تقول نا سعدية ربيت ولادي وعلمّتهم بالطين وأردفت القول بأن زوجها لم يحظ يوما بعمل لائق، بل كان يربي الغنم ويعمل بالمزارع لتوفير لقمة عيش يتقاسمونها وأحيانا لا يستطيع تلبية طلب أولاده العشرة، وقالت إن الفقر والمعاناة دفعا بها إلى الإبداع وبيع الأواني الفخارية في قريتها، لكن الأمر لم يرحمها ولم يزحزح الفقر عنها وسجلت تخفيفا بسيطا في توفير الأكل والشرب لأولادها بالرغم من أن ما تصنعه لقي رواجا كبيرا في المنطقة وأصبح يعرض في الصالونات
الخاصة بالحرف التقليدية. تبقى أمنية ناسعدية تكملة واجبها في توفير حاجيات ومتطلبات أولادها والاطلاع على خبايا العالم المتحضّر، ولما لا استعمال الفيسبوك للدردشة مع جاراتها اللواتي يعانين نفس الويلات. هي آمال تبقى قائمة تنتظر تجسيدها في الواقع.
ريدة ما تزال ترعى الغنم
فتاة تقطن بالهضاب العليا، ترعى الأغنام رفقة أخيها الصغير، فبعد أن رحل والدها عن الحياة، حملت المسؤولية وضحّت بشبابها في سبيل توفير لقمة عيش لأخيها ووالدتها طريحة الفراش والتي تعاني من مرض خبيث أفقدها بصرها، لم تجد جميلة البالغة من العمر 19 سنة سوى مهنة الرعي لتوفير حاجيات أسرتها، فهي تخرج قطيع غنمها المتوارث عن أبيها كل صباح للرعي مهما تكن الظروف الجوية، في عز أيام البرد أو في ذروة لسعات الشمس، وفي كل مرة توكل أحدا من الجيران أو الأقارب في عملية البيع أو الشراء، فهي فتاة أميّة لم تدخل يوما المدرسة كون قريتها منعزلة والظروف المادية لا تسمح لها بدفع مصاريف التعلم. فحالة جميلة يرثى لها، تفرغت لكل الأعمال ونسيت بأنها فتاة كغيرها من نساء الجزائر لديها كل الحق في الاطلاع على كل ما هو جديد.
تمرميد.. ضرب وطرد من المنزل
قصة ليست كغيرها من الحالات التي سبق وأن سردناها.. الجوهر امرأة تعرضت لكل أنواع الذل والحرمان، عنف وضرب مبرح وأعمال شاقة، كانت تعيش ببيت زوجها المتزوج أربع نساء كلهن خادمات في عرشه الفقير، وهو ملك الشر والخبث، تزوج من نساء لا حول لهن ولا قوة، حولهن إلى عبيد بعد مرور21 قرنا عن زمن العبودية. يبدأ يوم الجوهر بعجن 30 قرصا من الخبز لضمان الأكل والشرب لكل أفراد العائلة، بعدها تتوجه إلى الإسطبل لرعاية الأغنام وحلب الأبقار، ثم مباشرة إلى الحقل للقيام بأعمال الزراعة كغيرها من النساء الأخريات في قريتها، وقبل غروب الشمس تعود إلى بيتها وتبحث عن لقمة طعام لتسد بها جوع يوم شاق. كل الأيام متشابهة عندها ولا فرق بين الليل أو النهار، فهي مأمورة لتلبية كل المتطلبات في أي وقت يشاء لملك الشر الطاغية الذي يحمل لقب زوجها.
فتاة تقتل عشيقها بطعنه في الرقبة وتسلم نفسها في العاصمة
أقدمت فتاة تبلغ من العمر 22 سنة، تقطن وسط العاصمة بمنطقة مناخ فرنسا، على قتل عشيقها بطريقة بشعة، انتقاما منه بعد تهديدها رفقة عشيقها الآخر بتشويه وجهها بعدما رفضت الانصياع لطلباتهما. تفاصيل القضية حسب المعلومات التي تتوفر عليها «النهار»، تعود إلى نهاية الأسبوع، عندما حاكت الفتاة خطة جهنمية لقتل عشيقين لها عقب ليلة باتت تتلقى فيها منهما التهديدات بتشويه وجهها في حال رفضت تلبية رغباتهما والانصياع لما يقولانه. وحسب تصريحات الفتاة لدى مصالح الضبطية القضائية، فقد كانت الفتاة على علاقة غرامية مع شاب يقوم بترويج المخدرات بمنطقة باب الوادي يدعى فارس، العلاقة الغرامية التي كانت تربط هذه الفتاة بعشيقها لم تدم طويلا، لتقوم بربط علاقة غرامية أخرى مع شاب يدعى فريد، وهو ما جعل تاجر المخدرات الذي كان عشيقا قديما لها يستشيط غضبا ويقرر إعادة ربط العلاقة معها، وهو ما لم توافق عليه. سيناريو العلاقة الغرامية بدأ في التغير بمجرد تعرف فارس على فريد، ليقررا بذلك العمل من أجل ابتزاز الفتاة، أين راح الشابان يهددانها بتلبية رغباتهما ويهددانها بشتوية وجهها، لتقرر قتلهما معا انتقاما لما تعرضت له من قبلهما. فقامت الفتاة بإعداد سيناريو لاستدراجهما وقتلهما معا، أين قامت بدعوتهما للالتقاء في قبو بالعمارة التي تقطن بها الفتاة بالمنطقة المسماة مناخ فرنسا، غير أن الفتاة لم تفلح في قتل عشيقيها معا، حيث قرر المدعو فارس الذهاب للحديث إليها وحده، ثم يلتحق به المدعو فريد، وهو ما جعل الفتاة تقوم بطعن عشيقها الأول بسكين في الرقبة، ليخرج الضحية من قبو العمارة ورقبته تنزف دما، وتم نقله إلى مستشفى تريبولي، أين لفظ أنفاسه الأخيرة هناك. بالمقابل قامت الفتاة بتسليم نفسها مباشرة بأقرب حاجز أمني، وهو الحاجز الثابت الموجود بمنطقة مناخ فرنسا، ليتم استجوابها عن سبب الجريمة، فيما سيتم تقديمها أمام وكيل الجمهورية اليوم عن جريمة القتل عن إصرار وترصد.
Je vous demande monsieur de nous dire d'où vien t'il vos millions de franc en suisse ? De votre misérable travail en suisse? Ben non vous étiez tous les voleurs du peuple bandes de voyous,vous aller le payer très chère devant dieu.
Un petit r'appel il y'a quelque jours en arrière un jeune harage algérien est mort dans une prison en suisse à fribourg et vous imaginer monsieur ces les frères algérien qui ont payer 7000 franc pour le rapatrier au bled et la mafias en Algérie gasspient l'argent du peuple.