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Corruption et sexisme au niveau de l'administration
Des femmes entrepreneurs dénoncent
le 25.03.14 | 10h00
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|
© El Watan
L’on continue de privilégier les mêmes entreprises...
En dépit des lois qui consacrent l’égalité des sexes, de nombreuses femmes chefs d’entreprises sont victimes de marginalisation, notamment lorsqu’il s’agit de l’attribution des projets.
Corruption, passe-droit, favoritisme, sexisme. Des femmes, chefs
d’entreprise n’ont pas raté l’occasion, hier, de déballer tout ce
qu’elles ont sur le cœur et d’énumérer devant le wali de Constantine,
Hocine Ouadah, les obstacles auxquels elles font face quotidiennement
dans leur travail. C’était lors de la réunion qui s’est tenue hier matin
au siège de la wilaya de Daksi autour du rôle et de la situation de la
femme entrepreneur à Constantine. Une rencontre qui aurait pu être sans
intérêt, n’était l’intervention de certaines participantes qui ont mis
du piquant dans la salle en disant des vérités. Car en dépit des lois
qui valorisent la femme et consacrent l’égalité entre les deux sexes,
celle-ci demeure toujours marginalisée, en proie à divers obstacles qui
bloquent son avancement vers le succès professionnel. «Ici on ne prend
pas en considération les compétences de la femme et l’effort qu’elle
fournit.
A chaque fois, les responsables accordent les travaux de réhabilitation et les nouveaux projets aux entrepreneurs hommes. Nous avons du personnel à payer, mais de cette manière, ils nous poussent à fermer nos bureaux», a déclaré une architecte indignée. Mettant le doigt sur le mal, une autre intervenante a ajouté, que la corruption commence à prendre de l’ampleur et que les contrats de gré à gré se font devant les mosquées et dans les cafeterias entre les chefs des bureaux d’études et les responsables. La femme n’a pas de place dans ce système et ne peut proposer ses idées et sa manière de travailler. «Tant pis pour les femmes qui ne peuvent pas organiser des rencontre en dehors de l’administration», a-t-on regretté.
Ce ne sont pas les exemples qui manquent pour dénoncer les situations où le favoritisme a prévalu. La même intervenante cite l’exemple d’une situation qui l’a mise face aux services de la commune de Constantine : «Le P/APC nous a demandé de prendre en charge la réhabilitation des anciennes écoles ; nous avons alors visité les lieux et ensuite demandé les schémas de construction pour bien cerner les dégâts et pouvoir restaurer ces bâtisses. Forcément, ça nous a pris un peu du temps mais pour la bonne cause. Nous avions besoin de faire des études sur terrain pour déterminer les problèmes, mais entre-temps, nous avons été choquées d’apprendre que le maire a transféré ce projet vers un autre bureau d’étude, lequel n’a pas fait une prospection sur les lieux.»
Ces femmes chefs d’entreprise n’ont cessé de dévoiler les problèmes rencontrés sur le terrain, y compris le manque d’archives et de plans concernant les nouvelles constructions. Comment se fait-il, s’est interrogée l’une d’elles, qu’à chaque fois qu’on demande les plans de constructions pourtant datant des années 2000, on nous répond qu’ils sont introuvables ? Ces propos ont fait réagir le wali qui a qualifié cette situation de «grave». «C’est très grave de ne pas trouver des archives et de ne pas pouvoir recourir aux anciens plans», a-t-il souligné.
Il faut dire que le chef de l’exécutif a exprimé son mécontentement face à l’ensemble des doléances exprimées par ces femmes indignées. Il a promis que sa porte sera toujours ouverte à ces femmes, et ce, à chaque fois qu’elles rencontreront des problèmes. Il fera, a-t-il ajouté, ce qu’il faut pour trouver des solutions à leurs problèmes. Le directeur du logement et des équipements publics (Dlep) a, pour sa part, nié toutes ces déclarations en disant que le choix des entrepreneurs se fait sur sélection et selon la qualité du travail. Il n’était, manifestement, pas le seul à voir d’un mauvais œil ces interventions qui, semble-t-il, ont mis dans la gêne les adeptes du «tout va bien».
La présidente régionale de la confédération générale des entreprises algériennes (CGEA), Khemissa Aloui, s’est démarquée de ces femmes en déclarant que le but de son organisation est d’aider les entreprises et de résoudre quelques problèmes, sans plus. «Ces femmes n’ont pas à parler au nom de la confédération. Nous ne voulons pas nous détourner de notre objectif qui est celui d’aider les femmes à connaître le succès professionnel», a-t-elle ajouté.
A chaque fois, les responsables accordent les travaux de réhabilitation et les nouveaux projets aux entrepreneurs hommes. Nous avons du personnel à payer, mais de cette manière, ils nous poussent à fermer nos bureaux», a déclaré une architecte indignée. Mettant le doigt sur le mal, une autre intervenante a ajouté, que la corruption commence à prendre de l’ampleur et que les contrats de gré à gré se font devant les mosquées et dans les cafeterias entre les chefs des bureaux d’études et les responsables. La femme n’a pas de place dans ce système et ne peut proposer ses idées et sa manière de travailler. «Tant pis pour les femmes qui ne peuvent pas organiser des rencontre en dehors de l’administration», a-t-on regretté.
Ce ne sont pas les exemples qui manquent pour dénoncer les situations où le favoritisme a prévalu. La même intervenante cite l’exemple d’une situation qui l’a mise face aux services de la commune de Constantine : «Le P/APC nous a demandé de prendre en charge la réhabilitation des anciennes écoles ; nous avons alors visité les lieux et ensuite demandé les schémas de construction pour bien cerner les dégâts et pouvoir restaurer ces bâtisses. Forcément, ça nous a pris un peu du temps mais pour la bonne cause. Nous avions besoin de faire des études sur terrain pour déterminer les problèmes, mais entre-temps, nous avons été choquées d’apprendre que le maire a transféré ce projet vers un autre bureau d’étude, lequel n’a pas fait une prospection sur les lieux.»
Ces femmes chefs d’entreprise n’ont cessé de dévoiler les problèmes rencontrés sur le terrain, y compris le manque d’archives et de plans concernant les nouvelles constructions. Comment se fait-il, s’est interrogée l’une d’elles, qu’à chaque fois qu’on demande les plans de constructions pourtant datant des années 2000, on nous répond qu’ils sont introuvables ? Ces propos ont fait réagir le wali qui a qualifié cette situation de «grave». «C’est très grave de ne pas trouver des archives et de ne pas pouvoir recourir aux anciens plans», a-t-il souligné.
Il faut dire que le chef de l’exécutif a exprimé son mécontentement face à l’ensemble des doléances exprimées par ces femmes indignées. Il a promis que sa porte sera toujours ouverte à ces femmes, et ce, à chaque fois qu’elles rencontreront des problèmes. Il fera, a-t-il ajouté, ce qu’il faut pour trouver des solutions à leurs problèmes. Le directeur du logement et des équipements publics (Dlep) a, pour sa part, nié toutes ces déclarations en disant que le choix des entrepreneurs se fait sur sélection et selon la qualité du travail. Il n’était, manifestement, pas le seul à voir d’un mauvais œil ces interventions qui, semble-t-il, ont mis dans la gêne les adeptes du «tout va bien».
La présidente régionale de la confédération générale des entreprises algériennes (CGEA), Khemissa Aloui, s’est démarquée de ces femmes en déclarant que le but de son organisation est d’aider les entreprises et de résoudre quelques problèmes, sans plus. «Ces femmes n’ont pas à parler au nom de la confédération. Nous ne voulons pas nous détourner de notre objectif qui est celui d’aider les femmes à connaître le succès professionnel», a-t-elle ajouté.
Yousra Salem
Tour cycliste d'Algérie : Cafouillage au centre-ville
le 25.03.14 | 10h00
1 réaction
Dans une ville transformée en un vaste chantier, et qui se trouve en proie à des problèmes aigus en matière de gestion des flux importants de véhicules qui traversent ces artères à longueur de journée, programmer un tour cycliste d’une envergure internationale pendant quatre jours (du 24 au 27 mars) est une idée malvenue.
Les nombreux citoyens rencontrés hier dans un centre-ville quadrillé,
où la circulation automobile et piétonne a pris les allures d’un
calvaire, étaient unanimes à dire qu’il vaudrait mieux s’occuper de
l’état lamentable de la chaussée et des trottoirs que d’organiser un
évènement pareil où les étrangers ne se feront pas une bonne idée de la
ville. Outre le timing mal choisi, l’information n’a pas bien circulé
parmi la population, dont la majorité qui n’était pas du tout au courant
de cette manifestation sportive, a été surprise hier matin en se
retrouvant coincée dans des corridors où il faut faire da la gymnastique
pour traverser la chaussée d’un bout à l’autre.
«Il nous a fallu une demi-heure pour traverser le pont Sidi Rached et arriver à la place du 1er Novembre où toutes les artères sont saturées ; l’on se demande bien pourquoi on choisit toujours le centre-ville pour organiser ce genre d’évènements, sachant que les autorités n’ont rien prévu comme voies de contournement, alors que la ville déjà suffoque», s’indigne un automobiliste. Du côté des autorités, l’on notera le silence total, car rien n’a été prévu pour éviter aux automobilistes un tel calvaire, en espérant que les choses seront moins stressantes pour les trois prochains jours.
«Il nous a fallu une demi-heure pour traverser le pont Sidi Rached et arriver à la place du 1er Novembre où toutes les artères sont saturées ; l’on se demande bien pourquoi on choisit toujours le centre-ville pour organiser ce genre d’évènements, sachant que les autorités n’ont rien prévu comme voies de contournement, alors que la ville déjà suffoque», s’indigne un automobiliste. Du côté des autorités, l’on notera le silence total, car rien n’a été prévu pour éviter aux automobilistes un tel calvaire, en espérant que les choses seront moins stressantes pour les trois prochains jours.
Arslan Selmane
Vos réactions 1
hichama1
le 25.03.14 | 11h46
la caravane passe, les chien aboient!
Constantine est une étape cruciale dans ce tour vu le tableau
qu'elle présente, paysage magnifique en allant a Skikda, Mila , et Oum
el boughi sans doute la plus belle étape du Tour, ainsi une belle
affiche d epublicité sur le plan touristique, pour les râleurs je dis
ceci, si vous n'êtes pas contents retourner avous Mechta, Douar oued,
dab etc..la vous trouvez pas de circulation promis!.
Traitement de la scoliose : Le dépistage demeure insuffisant
le 25.03.14 | 10h00
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Treize mille (13 000) cas de scoliose sont recensés sur le territoire national, un chiffre qui est loin de la vérité, puisque le dépistage de cette pathologie reste insuffisant.
C’est ce qui a donné l’opportunité au professeur en orthopédie et
traumatologie, turc, Ahmet Alanay, du groupement d’hôpitaux Acibadem, en
visite à Constantine de présenter les dernières innovations en matière
de traitement de cette maladie qui touche toutes les tranches d’âge.
L’exposé a été présenté ce dimanche, à l’hôtel Novotel, en présence de
praticiens orthopédistes, (peu nombreux par la faute d’une communication
insuffisante), qui leur a permis de s’enquérir des nouvelles techniques
de traitement de cette maladie.
Durant l’exposé des méthodes adoptées, notamment dans les pays développés, nos praticiens sont restés admiratifs et quelque peu frustrés devant tant de progrès technologiques mais qui font défaut dans notre pays. Le chirurgien Souheil Mebarki, de l’EPH Ali Mendjeli, dira : «Lors de mes consultations, j’ai pratiquement plus de cinq nouveaux cas de scoliose par jour, un nombre important, mais auxquels je ne puis prodiguer aucun traitement si ce n’est des anti-inflammatoires ; pour des scolioses simples, je préconise des séances de kinésithérapie au niveau des centres d’appareillage, mais cela reste très insuffisant.» Et d’ajouter: «Quand nous voyons les progrès dans ce domaine, nous nous posons des questions simples, à savoir, pourquoi tant de retard pour acquérir ces connaissances qui soulageront terriblement nos malades, à plus forte raison que les coûts sont nettement inférieurs par rapport à ce que déboursent les caisses d’assurance sociale.»
Le professeur turc Ahmet Alanay, ayant acquis une expérience non négligeable, notamment dans les universités américaines, UCLA, en l’occurrence, développe ce type de traitement en apportant des corrections significatives contre les difformités des patients. Des cas d’une extrême anamorphose, notamment au niveau du rachis, ont pu être corrigés à l’aide de techniques utilisant des vis et des tiges en acier spécial et bien d’autres outils. Plus concrètement, la méthode dite de traction, suppose l’introduction d’une tige au niveau de la colonne vertébrale et à l’aide d’un appareil de téléguidage, le médecin corrige au fur et mesure l’altération, et ce, durant des années, sans pour autant procéder à une intervention chirurgicale. Une aubaine pour les patients qui éviteront des traumatismes et surtout des douleurs, souvent difficilement supportables.
Le chirurgien orthopédiste, Djamel Maameri, dira : «C’est révolutionnaire pour nous, qui ne disposons pas de ces techniques que nous pouvons adopter facilement, surtout que le groupe Acibadem propose des formations de médecins dans ce domaine précis.» Concernant cette pathologie dite idiopathique, ce dernier nous dira : «80% des cas sont d’origine inconnue, 10% sont d’origine congénitale et le reste est associé à d’autres pathologies; les complications peuvent être fatales puisque les difformités sévères risquent d’endommager le flux rachidien de la colonne vertébrale et bien d’autres organes, notamment au niveau du thorax.»
Il ajoute, par ailleurs : «Nous sommes là parce que nous estimons que ces techniques apporteront une réponse concrète au traitement de cette pathologie, d’abord en les prenant en charge au niveau du groupe d’hôpitaux que nous dirigeons, mais, mieux encore en prodiguant des formations aux médecins algériens.» L’un des médecins présents à cette conférence, dira : «Il suffit de peu pour répondre à des attentes vitales de nos patients pour peu que l’Etat privilégie la formation de médecins aux nouvelles technologies.»
Durant l’exposé des méthodes adoptées, notamment dans les pays développés, nos praticiens sont restés admiratifs et quelque peu frustrés devant tant de progrès technologiques mais qui font défaut dans notre pays. Le chirurgien Souheil Mebarki, de l’EPH Ali Mendjeli, dira : «Lors de mes consultations, j’ai pratiquement plus de cinq nouveaux cas de scoliose par jour, un nombre important, mais auxquels je ne puis prodiguer aucun traitement si ce n’est des anti-inflammatoires ; pour des scolioses simples, je préconise des séances de kinésithérapie au niveau des centres d’appareillage, mais cela reste très insuffisant.» Et d’ajouter: «Quand nous voyons les progrès dans ce domaine, nous nous posons des questions simples, à savoir, pourquoi tant de retard pour acquérir ces connaissances qui soulageront terriblement nos malades, à plus forte raison que les coûts sont nettement inférieurs par rapport à ce que déboursent les caisses d’assurance sociale.»
Le professeur turc Ahmet Alanay, ayant acquis une expérience non négligeable, notamment dans les universités américaines, UCLA, en l’occurrence, développe ce type de traitement en apportant des corrections significatives contre les difformités des patients. Des cas d’une extrême anamorphose, notamment au niveau du rachis, ont pu être corrigés à l’aide de techniques utilisant des vis et des tiges en acier spécial et bien d’autres outils. Plus concrètement, la méthode dite de traction, suppose l’introduction d’une tige au niveau de la colonne vertébrale et à l’aide d’un appareil de téléguidage, le médecin corrige au fur et mesure l’altération, et ce, durant des années, sans pour autant procéder à une intervention chirurgicale. Une aubaine pour les patients qui éviteront des traumatismes et surtout des douleurs, souvent difficilement supportables.
Le chirurgien orthopédiste, Djamel Maameri, dira : «C’est révolutionnaire pour nous, qui ne disposons pas de ces techniques que nous pouvons adopter facilement, surtout que le groupe Acibadem propose des formations de médecins dans ce domaine précis.» Concernant cette pathologie dite idiopathique, ce dernier nous dira : «80% des cas sont d’origine inconnue, 10% sont d’origine congénitale et le reste est associé à d’autres pathologies; les complications peuvent être fatales puisque les difformités sévères risquent d’endommager le flux rachidien de la colonne vertébrale et bien d’autres organes, notamment au niveau du thorax.»
Il ajoute, par ailleurs : «Nous sommes là parce que nous estimons que ces techniques apporteront une réponse concrète au traitement de cette pathologie, d’abord en les prenant en charge au niveau du groupe d’hôpitaux que nous dirigeons, mais, mieux encore en prodiguant des formations aux médecins algériens.» L’un des médecins présents à cette conférence, dira : «Il suffit de peu pour répondre à des attentes vitales de nos patients pour peu que l’Etat privilégie la formation de médecins aux nouvelles technologies.»
N. Benouar
Alors que l’absence de Bouteflika est suppléée par plusieurs représentants
Cinq candidats à l’épreuve du marathon électoral
le 25.03.14 | 10h00
11 réactions
|
© Saâd
Les villes retenues par les candidats à l’élection présidentielle du 17 avril pour le top-départ de leur campagne ne sont certainement pas le fruit d’un choix anodin.
Ce qui ressort, à la première lecture de cette «cartographie», est
d’abord le désir de l’ensemble des compétiteurs de se donner une
profondeur «géo-sociale» en partant à la conquête de «l’électorat
profond», la capitale accaparant l’essentiel de l’agenda de nos hommes
politiques. Ainsi, au premier jour de la campagne, Abdelmalek Sellal,
directeur de campagne du candidat Abdelaziz Bouteflika, a choisi
Tamanrasset et Adrar comme écrin à ses premiers meetings. Il convient de
rappeler que M. Sellal avait servi dans ces deux wilayas en qualité,
respectivement, de chef de daïra (Tamanrasset, 1977) et de wali (Adrar,
1984). Tout porte à croire qu’il y compte, aujourd’hui encore, des
amitiés et des réseaux solides.
Sur le plan stratégique, la situation grandement préoccupante qui prévaut dans la zone Sahel explique le choix porté sur la capitale de l’Ahaggar. Dans le cas d’Adrar, les motivations sont, à première vue, un tantinet différentes.
Il est de notoriété publique que M. Bouteflika avait toujours été un habitué des zaouïas du Touat, et en particulier celle du cheikh Belekbir. On ne dira jamais assez l’attention accordée par le président sortant au réseau des zaouïas et des notabilités locales dans ses différentes campagnes. Il est utile de se référer, à ce propos, à l’excellent ouvrage du politologue Mohammed Hachemaoui, Clientélisme et patronage dans l’Algérie contemporaine (Paris, Karthala, 2013) qui a mené une enquête, entre autres, dans le Touat, et a mis en avant les accointances et les connivences entre zaouïas, notables et personnel politique affilié au «pouvoir».
Le spectre des salles vides
Ali Benflis, lui, a choisi comme point de départ pour sa campagne la ville ô combien symbolique de Mascara, cité traditionnellement liée au nom de l’Emir Abdelkader. Par ce choix, le candidat Ali Benflis suggère qu’il veut s’inscrire dans la lignée de celui que la culture «officielle» considère comme le fondateur de l’Etat algérien. Au-delà du caractère polémique de cette assertion, Benflis, qui a toujours fait de la «culture de l’Etat» son cheval de bataille dans sa politique de communication (comme l’illustre l’interview qu’il avait accordée récemment à la chaîne Echourouk TV), veut, manifestement, se poser en homme d’Etat plutôt qu’en «homme de pouvoir».
Louisa Hanoune, quant à elle, a choisi Annaba, et là encore, cela n’a rien de fortuit. «La renationalisation du complexe sidérurgique d’El Hadjar a été un des combats menés par le Parti des travailleurs. A la demande des militants, nous avons donc choisi de lancer notre campagne de Annaba avant de partir vers Skikda», expliquait son staff de campagne à nos collègues d’elwatan2014.com.
Il convient aussi de rappeler que Louisa Hanoune a passé une partie de son enfance à Annaba, ville où elle a fait, également, ses études de droit.
Au-delà de la symbolique des villes, les candidats font leurs calculs sur des bases purement arithmétiques, en tenant compte du fait que, pour démarrer sa campagne sur les chapeaux de roues, il est important de faire le plein dès les premiers meetings et s’épargner le cauchemar des salles clairsemées. Moussa Touati, qui compte sillonner pas moins de 41 wilayas, sous le slogan «El Djazaïr li koulli El-Djazaïriyine», a entamé sa campagne à partir d’El Bayadh. «C’est la région où il compte le plus grand nombre d’élus locaux, soit 45 représentants du parti dans les Assemblées populaires communales (APC) et de wilaya (APW)», rapporte l’APS en citant Abdelkader Boudjoras, directeur de campagne de M. Touati.
Abdelaziz Belaïd, lui, qui fait campagne sous le slogan, «L’avenir, c’est maintenant», a choisi d’étrenner son marathon électoral par Djelfa, une ville stratégique de par sa position centrale et son rayonnement dans la steppe. Il faut ajouter que Abdelaziz Belaïd, qui est originaire de Batna, y a exercé comme médecin. «De plus, le président de l’APC est membre d’El Moustakbel. Nos militants y sont nombreux et bien organisés», indiquent ses collaborateurs à elwatan2014.com.
La fausse ubiquité du candidat-absent
Pour sa part, le président de Ahd 54, Ali Fawzi Rebaïne, a débuté sa campagne par Biskra avant d’enchaîner par Khenchela. Il convient de relever que certaines villes connaissent un véritable chassé-croisé de candidats ou leurs lieutenants. Après Sellal, Adrar recevait hier Ali Benflis. La ville de Blida a vu défiler tour à tour (selon le planning des candidats) Sellal, Benflis et Abdelaziz Belaïd, tandis que Skikda recevait Louisa Hanoune et Abdelaziz Belkhadem.
Fait marquant de cette campagne 2014, comme, du reste, l’ont abondamment souligné nombre d’éditorialistes : l’absence du candidat Abdelaziz Bouteflika sur le terrain, lui qui sillonnait plusieurs wilayas d’un seul tenant du temps où il était au faîte de sa forme. Pour pallier ce lourd handicap, son équipe de campagne a opté pour une stratégie d’essaimage aux quatre coins du pays.
Au premier jour de la campagne, outre Sellal qui s’évertuait à vendre le programme du président sortant dans le Grand Sud, Belkhadem a été dépêché à Sidi-Okba (Biskra), Bensalah à Oran, Amar Ghoul et Amar Benyounès dans la wilaya de Bouira, et Amar Saadani à Médéa. Les mêmes ont sillonné encore hier les wilayas de Sétif, Souk Ahras et autre Skikda. De quoi entretenir l’illusion que le «candidat-fantôme» jouirait du don d’ubiquité. Cette offensive tous azimuts portera-t-elle ses fruits, sachant que c’est surtout M. Bouteflika que les électeurs veulent voir et entendre ? Réponse le 17 avril.
Sur le plan stratégique, la situation grandement préoccupante qui prévaut dans la zone Sahel explique le choix porté sur la capitale de l’Ahaggar. Dans le cas d’Adrar, les motivations sont, à première vue, un tantinet différentes.
Il est de notoriété publique que M. Bouteflika avait toujours été un habitué des zaouïas du Touat, et en particulier celle du cheikh Belekbir. On ne dira jamais assez l’attention accordée par le président sortant au réseau des zaouïas et des notabilités locales dans ses différentes campagnes. Il est utile de se référer, à ce propos, à l’excellent ouvrage du politologue Mohammed Hachemaoui, Clientélisme et patronage dans l’Algérie contemporaine (Paris, Karthala, 2013) qui a mené une enquête, entre autres, dans le Touat, et a mis en avant les accointances et les connivences entre zaouïas, notables et personnel politique affilié au «pouvoir».
Le spectre des salles vides
Ali Benflis, lui, a choisi comme point de départ pour sa campagne la ville ô combien symbolique de Mascara, cité traditionnellement liée au nom de l’Emir Abdelkader. Par ce choix, le candidat Ali Benflis suggère qu’il veut s’inscrire dans la lignée de celui que la culture «officielle» considère comme le fondateur de l’Etat algérien. Au-delà du caractère polémique de cette assertion, Benflis, qui a toujours fait de la «culture de l’Etat» son cheval de bataille dans sa politique de communication (comme l’illustre l’interview qu’il avait accordée récemment à la chaîne Echourouk TV), veut, manifestement, se poser en homme d’Etat plutôt qu’en «homme de pouvoir».
Louisa Hanoune, quant à elle, a choisi Annaba, et là encore, cela n’a rien de fortuit. «La renationalisation du complexe sidérurgique d’El Hadjar a été un des combats menés par le Parti des travailleurs. A la demande des militants, nous avons donc choisi de lancer notre campagne de Annaba avant de partir vers Skikda», expliquait son staff de campagne à nos collègues d’elwatan2014.com.
Il convient aussi de rappeler que Louisa Hanoune a passé une partie de son enfance à Annaba, ville où elle a fait, également, ses études de droit.
Au-delà de la symbolique des villes, les candidats font leurs calculs sur des bases purement arithmétiques, en tenant compte du fait que, pour démarrer sa campagne sur les chapeaux de roues, il est important de faire le plein dès les premiers meetings et s’épargner le cauchemar des salles clairsemées. Moussa Touati, qui compte sillonner pas moins de 41 wilayas, sous le slogan «El Djazaïr li koulli El-Djazaïriyine», a entamé sa campagne à partir d’El Bayadh. «C’est la région où il compte le plus grand nombre d’élus locaux, soit 45 représentants du parti dans les Assemblées populaires communales (APC) et de wilaya (APW)», rapporte l’APS en citant Abdelkader Boudjoras, directeur de campagne de M. Touati.
Abdelaziz Belaïd, lui, qui fait campagne sous le slogan, «L’avenir, c’est maintenant», a choisi d’étrenner son marathon électoral par Djelfa, une ville stratégique de par sa position centrale et son rayonnement dans la steppe. Il faut ajouter que Abdelaziz Belaïd, qui est originaire de Batna, y a exercé comme médecin. «De plus, le président de l’APC est membre d’El Moustakbel. Nos militants y sont nombreux et bien organisés», indiquent ses collaborateurs à elwatan2014.com.
La fausse ubiquité du candidat-absent
Pour sa part, le président de Ahd 54, Ali Fawzi Rebaïne, a débuté sa campagne par Biskra avant d’enchaîner par Khenchela. Il convient de relever que certaines villes connaissent un véritable chassé-croisé de candidats ou leurs lieutenants. Après Sellal, Adrar recevait hier Ali Benflis. La ville de Blida a vu défiler tour à tour (selon le planning des candidats) Sellal, Benflis et Abdelaziz Belaïd, tandis que Skikda recevait Louisa Hanoune et Abdelaziz Belkhadem.
Fait marquant de cette campagne 2014, comme, du reste, l’ont abondamment souligné nombre d’éditorialistes : l’absence du candidat Abdelaziz Bouteflika sur le terrain, lui qui sillonnait plusieurs wilayas d’un seul tenant du temps où il était au faîte de sa forme. Pour pallier ce lourd handicap, son équipe de campagne a opté pour une stratégie d’essaimage aux quatre coins du pays.
Au premier jour de la campagne, outre Sellal qui s’évertuait à vendre le programme du président sortant dans le Grand Sud, Belkhadem a été dépêché à Sidi-Okba (Biskra), Bensalah à Oran, Amar Ghoul et Amar Benyounès dans la wilaya de Bouira, et Amar Saadani à Médéa. Les mêmes ont sillonné encore hier les wilayas de Sétif, Souk Ahras et autre Skikda. De quoi entretenir l’illusion que le «candidat-fantôme» jouirait du don d’ubiquité. Cette offensive tous azimuts portera-t-elle ses fruits, sachant que c’est surtout M. Bouteflika que les électeurs veulent voir et entendre ? Réponse le 17 avril.
Mustapha Benfodil
Vos réactions 11
renks frenks
le 25.03.14 | 13h34
Didi krimo
Qui d entre nous ne se rappelle pas de l émission de mr
laazouni ECHORTI EL MAKHFI maintenant le peuple algeriens aura droit a
une nouvelle émission c est A RAIS EL MAKHFI
Le qutrième mandat presidentiél,,,,,,,,,
C'est malheureux une autre fois pour larévolution du
1ºNovembre. Car,le Groupe des 22 n'etait pas contre la personne de
Messali El Hadj,sinon il etait contre sa mañère de gerer l'avenir de la
lutte NATIONLISTE.
Maintenant,tout le monde se penche sur l'âge ou l'etat de santé d'un postulant au 4º mandat présidentiel au lieu de se consentrer sur l'analyse pragmatique de l'état des faits qui tend á engendrer un serieu PROBLÉME... Le BILANT a dresser au départ du 1º MANDAT...La forte demande de consomation PETROL ET GAZ des pays emergents tel com LA CHINE,LE BRESIL,L'INDE ETC...,A FAIT QUE LES PRIX DU P,FLAMBENT.Donc il a fallu être MALIN POUR ACCEPTER CE GENRE DE POSTE PAR PAR CALCULE ARETMETHIQUE. MAIS AVANT ce kenz du bon Dieu, nulle n'avait l'odassyy de s'approcher ÂArch el MECHOUEK. C'etait bel et bien un MILITAIRE QUI A EU CETTE òdace de prendre les rêgne de L'ETAT POUR OPERER SANS CRAINTE...POUR EN FIN DE COMPTE DDDEMITIONER AFIN DE SAUVGARDER L'INTEGRITEE MORAL DES FORCES ARRRMEES... A biento DJAZAÏR.
DEUXIEME MANDAT...............ILA LIKKÂÂ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,
Maintenant,tout le monde se penche sur l'âge ou l'etat de santé d'un postulant au 4º mandat présidentiel au lieu de se consentrer sur l'analyse pragmatique de l'état des faits qui tend á engendrer un serieu PROBLÉME... Le BILANT a dresser au départ du 1º MANDAT...La forte demande de consomation PETROL ET GAZ des pays emergents tel com LA CHINE,LE BRESIL,L'INDE ETC...,A FAIT QUE LES PRIX DU P,FLAMBENT.Donc il a fallu être MALIN POUR ACCEPTER CE GENRE DE POSTE PAR PAR CALCULE ARETMETHIQUE. MAIS AVANT ce kenz du bon Dieu, nulle n'avait l'odassyy de s'approcher ÂArch el MECHOUEK. C'etait bel et bien un MILITAIRE QUI A EU CETTE òdace de prendre les rêgne de L'ETAT POUR OPERER SANS CRAINTE...POUR EN FIN DE COMPTE DDDEMITIONER AFIN DE SAUVGARDER L'INTEGRITEE MORAL DES FORCES ARRRMEES... A biento DJAZAÏR.
DEUXIEME MANDAT...............ILA LIKKÂÂ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,
les marathoniens!
Je voudrait dire a ces gens la que le peuple en a marre d'eux
et qu'il est préférable pour eux'au lieu de balancer leur argent a
gauche et a droite,d'aller s'acheter une île avec et de laisser ce
peuple algérien respier un peu un air moins pollué. De grace laisser
nous tranquille vous nous empoisonnés avec vos promesses,vous nous
pollué même les écran de télé, paaaarteeeeeeeez!!!
Mépris
le seul qualificatif de cette situation : c'est du mépris envers ce peuple
Je suggère qu'avant de débuter le meeting au lieu du Nachid El watani les partisants de Boutef doivent faire la prière de l'absent (sallate El ghaib)
Je suggère qu'avant de débuter le meeting au lieu du Nachid El watani les partisants de Boutef doivent faire la prière de l'absent (sallate El ghaib)
résultat final élections 2014
La cour anticonstitutionnelle a rendu le résultat final: Le
président est élu président.Garder votre argent pour les moments
difficiles.
l'equipe de hwa wa rih
j'ai pu écouter les discours des uns et des autres, que du réchauffer
promesses et paroles vides , aucune vision, aucune construction notable,
les véritables problèmes sont cachés sous le tapis
l'explosion de l'importation du bazar
dépendance au Pétrole
Oligarchie, corruption, scandales, népotisme, médiocrité
l’Algérie est devenue Hideuse, a cause de vous
le béton a dévorer les Terres, agricoles, detournements de biens
bref, un cirque Amar
Bouteflika n'a pas ramener la paix, en 99 le terrorisme a été fin en 99
le baril est passé de 9 dollars a 110 dollars en 2000,
donc, rien de miraculeux, Boutef n'a fait que signer des chèques
comme les bédouins du Golfe*
signer des chèques est un acte des faibles
on ne crée rien, on n'invente rien
« Indice mondial de l’innovation 2012 : L’Algérie classée au 124ème
rang sur un total de 141 pays″
« Technologies de l’information et de la communication: L’Algérie à la
131ème place dans le classement mondial de 144 pays »
promesses et paroles vides , aucune vision, aucune construction notable,
les véritables problèmes sont cachés sous le tapis
l'explosion de l'importation du bazar
dépendance au Pétrole
Oligarchie, corruption, scandales, népotisme, médiocrité
l’Algérie est devenue Hideuse, a cause de vous
le béton a dévorer les Terres, agricoles, detournements de biens
bref, un cirque Amar
Bouteflika n'a pas ramener la paix, en 99 le terrorisme a été fin en 99
le baril est passé de 9 dollars a 110 dollars en 2000,
donc, rien de miraculeux, Boutef n'a fait que signer des chèques
comme les bédouins du Golfe*
signer des chèques est un acte des faibles
on ne crée rien, on n'invente rien
« Indice mondial de l’innovation 2012 : L’Algérie classée au 124ème
rang sur un total de 141 pays″
« Technologies de l’information et de la communication: L’Algérie à la
131ème place dans le classement mondial de 144 pays »
Pauvres sont les Algériens.
Ce n'est qu'un scandale électoral en plus pour les Algériens, y en a marre.
La mauvaise pomme peut pourrir le panier
Les cinq charlatans du candidat fantome ont pour mission de
humilier le peuple algerien , s'ils etaient ici en Europe, ils seraient
enfermes sous cles avec des cochons grognants !! Le regime a jete une
mauvaise patate dans le panier pour mettre des batons dans les roues de
l'electorat. Une sale besogne donnee a des individus sombres , sans
scrupules ni conscience,esperant plonger le pays une fois de plus dans
le cauchemar d'une autre decennie noire !!! Freres et soeurs opprimes ne
croyez pas ces lascars du candidat fantome, ne prenez pas l'argent sale
pour entrer dans leurs salles, gardez votre dignite et votre courage,
ce regime est mourant et les clans des tyrans veulent se moquer de nous
une derniere fois avant de regagner leur receleur Chakib Khelil en
Californie !!!
En êtes vous sûr
Vous trouvez qu'il y a cinq candidats. Allons, allons...soyons
sérieux, vous savez bien qu'il n'y en a qu'un seul et il est...
invisible?!.
ciq candidats a l'epreuve du marathon
-Mr. Bouteflika !
- L'Algérie n'est pas à vendre !
- Les Algeriens ne sont pas à vendre !
- Notre dignité n'est pas à vendre !
- L'avenir de nos enfants n'est pas à vendre !
- Les droits de l'homme ne sont pas à vendre !
Réfléchissez ! tant qu'il est temps avant qu'il soi
- Le sang de nos martyrs n'est pas à vendre !
- Notre identité n'est pas à vendre !
- Notre histoire millénaire n'est pas à vendre !
- Notre souvraineté territoriale n'est pas à vendre !
- Notre souveraineté populaire n'est à vendre !
- Les accords d'Evian ne sont pas à a vendre !
- Abane n'est pas à vendre !
- Ben Boulaïd n'est pas à vendre !
- Ben Mhidi n'est pas à vendre !
- Hassiba n'est pas à vendre !
- Boudiaf n'est pas vendre !
- La Kahina n'est pas à vendre !
- Massinissa n'est pas à vendre !
- Nos ancêtres ne sont pas à vendre !
t trop tard.
Vous avez le fardeau de la preuve,il vous appartient de l'assumer.
Si vous avez besoin d'aide vous pouvez contacter Obama ou François.
Bien à vous et à la prochaine.
Mr. Bouteflika!
- Algeria is not for sale!
- The Algerians are not for sale!
- Our dignity is not for sale!
- The future of our children is not for sale!
- Human rights are not for sale!
- The blood of our martyrs is not for sale!
- Our identity is not for sale!
- Our ancient history is not for sale!
- Our territorial sovereignty is not for sale!
- Our popular sovereignty is not for sale!
- the Evian agreements are not for sale !
- Abane is not for sale!
- Ben Boulaïd is not for sale!
- Ben Mhidi is not for sale!
- Hassiba is not for sale !
- Boudiaf is not for sale!
- La Kahina is not for sale !
- Massinissa is not for sale !
- Our ancestors are not for sale !
Think about it ! it's high time,before the situation run too late.It is your risponsibility and must,you have to assume consequently.
If you need help you can call Obama or François.
Yours and see you next time.
From the Righteous
- L'Algérie n'est pas à vendre !
- Les Algeriens ne sont pas à vendre !
- Notre dignité n'est pas à vendre !
- L'avenir de nos enfants n'est pas à vendre !
- Les droits de l'homme ne sont pas à vendre !
Réfléchissez ! tant qu'il est temps avant qu'il soi
- Le sang de nos martyrs n'est pas à vendre !
- Notre identité n'est pas à vendre !
- Notre histoire millénaire n'est pas à vendre !
- Notre souvraineté territoriale n'est pas à vendre !
- Notre souveraineté populaire n'est à vendre !
- Les accords d'Evian ne sont pas à a vendre !
- Abane n'est pas à vendre !
- Ben Boulaïd n'est pas à vendre !
- Ben Mhidi n'est pas à vendre !
- Hassiba n'est pas à vendre !
- Boudiaf n'est pas vendre !
- La Kahina n'est pas à vendre !
- Massinissa n'est pas à vendre !
- Nos ancêtres ne sont pas à vendre !
t trop tard.
Vous avez le fardeau de la preuve,il vous appartient de l'assumer.
Si vous avez besoin d'aide vous pouvez contacter Obama ou François.
Bien à vous et à la prochaine.
Mr. Bouteflika!
- Algeria is not for sale!
- The Algerians are not for sale!
- Our dignity is not for sale!
- The future of our children is not for sale!
- Human rights are not for sale!
- The blood of our martyrs is not for sale!
- Our identity is not for sale!
- Our ancient history is not for sale!
- Our territorial sovereignty is not for sale!
- Our popular sovereignty is not for sale!
- the Evian agreements are not for sale !
- Abane is not for sale!
- Ben Boulaïd is not for sale!
- Ben Mhidi is not for sale!
- Hassiba is not for sale !
- Boudiaf is not for sale!
- La Kahina is not for sale !
- Massinissa is not for sale !
- Our ancestors are not for sale !
Think about it ! it's high time,before the situation run too late.It is your risponsibility and must,you have to assume consequently.
If you need help you can call Obama or François.
Yours and see you next time.
From the Righteous
Vos réactions 11
akarmouss
le 25.03.14 | 10h47
tél père tél fils .
pourquoi mettre ben flis a la place de boutflika ils sont
tous les deux de la même famille politique.ce qu on veut aujourd’hui c
est un changement radical du systeme politique de notre pays.il y a
beaucoup d homme en dort de la pareil fln,qui peuvent faire mieux.
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