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Théâtre Régional de Constantine : « Senfounia min tourab » enchante la Ville des Ponts
Les
Constantinois ont vibré, ce samedi, lors de la représentation de la
pièce « Senfounia min tourab » au Théâtre Régional. Les acteurs, issus
du TRC, ont joué avec brio cette adaptation qui constitue le fruit d’un
travail exclusivement accompli à Constantine. La pièce, tirée d’une
œuvre du poète palestinien MoeinBsisso, intitulée « Le drame de
Guevara », a été adaptée par TayebDehimi et co-réalisée par Antar Hilal
et HaceneBouaziz. « Senfounia min tourab » (Symphonie en terre) raconte
une histoire commune aux peuples opprimés, aux victimes de l’occupation,
qui refusent la soumission et aspirent à la liberté. Une pièce d’une
actualité toujours aussi troublante, toujours aussi crispante. Et le
fait qu’elle est était écrite initialement par un Palestinien dénote
fort bien le combat continuellement mené. Au tout début de la pièce, le
public observe Afhaloul, un jeune qui est arrivé presque par effraction
dans un douar et a complètement perturbé la vie quotidienne quasiment
routinière des fellahs. Afhaloul, c’est ce genre d’idéaliste qui appelle
au changement, à la révolte. Et c’est justement ce qu’il fait auprès de
ces fellahs considérés jusque-là comme dociles. Les mots d’ordre :
résister à l’oppresseur et rêver de lendemains meilleurs. Afhaloul le
révolutionnaire diffuse des tracts appelant à la révolte, si bien que
peu à peu, les pauvres fellahs, jusqu’alors fatalistes à l’extrême,
deviennent eux-mêmes des révolutionnaires en menant des actions de
lutte. Pour eux, seule la résistance pourra changer leur vie.
RACONTER LA RESISTANCE DES PEUPLES
Et voilà que Afhaloul, le révolté,
devient la cible de ces oppresseurs qui le cherchent de bout en bout, le
harcèlent à travers tout le village. Afhaloul trouve alors refuge chez
Sakina, une jeune femme enceinte, considéré comme « la femme la plus
facile du douar ». Mais il est finalement arrêté, torturé puis assassiné
par Slimane, l’indicateur par excellence des oppresseurs, qui n’est
autre que le frère d’un autre révolté, El Hani, le meneur de la grève
des miniers. Le soupçon pèse également sur Sakina que Slimane finit par
assassiner. La pièce se termine sur les cris d’un nouveau-né, symbole
d’espoir. Sur le plan visuel, l’image joue un grand rôle dans cette
pièce. L’arrière-scène joue allègrement entre le théâtre et le cinéma,
montrant des images d’illustres hommes que l’Histoire ne peut oublier,
tels Ernesto Che Guevara, Martin Luther King, Nelson Mandela, Larbi Ben
M’hidi ou le Mahatma Gandhi. La Révolution, la résistance, l’espérance
en un ordre nouveau qui soit plus juste, tels sont les thèmes principaux
de cette adaptation purement locale. Pour Antar Hilal, cette pièce se
veut une histoire à « dimension universelle » qui dépasse les frontières
« pour raconter la résistance des peuples ».
MESSAGE POUR LES JEUNES GÉNRATIONS
Il la considère également comme un
« hommage aux immortels » de l’Histoire de l’humanité, ces résistants et
ces révolutionnaires. Le public en général et celui de Constantine en
particulier retiendra surtout que « Senfounianintourab » reste un
« message » pour les générations qui n’ont pas connu ces monuments
humains dont les noms restent gravés à tout jamais dans l’Histoire
universelle. On attend avec impatience une tournée nationale de cette
pièce qui reste toujours d’une brûlante actualité.
Moufida B.
Nouvelles de Constantine
le 17.03.14 | 10h00
Réagissez
Un sit-in des retraités de l’ANP empêché
Un imposant dispositif constitué des brigades antiémeute de la police et de gendarmes a été mis en place dès les premières heures de la matinée d’hier aux abords du siège de la 5ème région militaire (RM) sur le plateau du Mansourah. Les services de sécurité ont procédé à un véritable quadrillage de la zone. Des barrages filtrants avec fouille systématique et vérification de l’identité des passagers des véhicules immatriculés hors de la wilaya de Constantine ont été installés au niveau des principaux accès à la RM, notamment à proximité du lycée Ahmed Bey et à l’entrée de la cité des Castors.
Un branle-bas de combat qui avait pour objectif d’empêcher des retraités de l’ANP de tenir un rassemblement. Les contestataires qui revendiquent la revalorisation de leurs pensions de retraite et l’amélioration de leur situation socio-économique sont restés jusqu’aux environs de midi à proximité de la RM sans avoir été reçus par les responsables. «Après 25 ans de bons et loyaux services, je me retrouve avec une retraite de 18 000 DA. Comment peut-on vivre décemment avec une telle somme quand on a une famille à charge. Après tous nos sacrifices l’on nous traite comme des malpropres. Personne ne veut nous recevoir. Ils ont envoyé les brigades antiémeute pour nous disperser alors que nous sommes venus revendiquer tout simplement notre droit à vivre dans la dignité», nous dira l’un d’entre eux. Pour rappel, des retraités de l’ANP ont déjà réussi à organiser des sit-in à proximité du siège de la 5ème RM, il y a quelques mois. Il semblerait que cette fois-ci les autorités militaires ne se soient pas laissés surprendre en sortant «la grosse artillerie» pour empêcher toute velléité de rassemblement. F. Raoui
Un homme meurt brûlé par son fils
Un homme répondant aux initiales F. B., âgé de 59 ans, est mort avant-hier soir au CHU Dr Benbadis, suite aux brûlures qui lui ont été infligées par son propre fils, M.B., a-t-on appris auprès de sources fiables. L’affaire remonte à deux semaines. Suite à une dispute avec les membres de la famille : le père, la mère et la fille, le présumé coupable, qui n’est autre que le fils, Mehdi B., a aspergé sa famille d’essence et a mis le feu au moyen d’une allumette. La scène s’est déroulée à leur domicile sis rue Si Abdallah ( la Casbah). Cette affaire qui a été soigneusement camouflée, n’a été sue qu’après que le père eut succombé à ses brûlures. Il faut savoir que la mère et la fille sont toujours dans un état critique ; elles sont sous observation au service des brûlés du CHU de Constantine. Le pauvre père était employé à l’APW de Constantine. Nous apprenons que le présumé coupable qui était également hospitalisé (ayant été touché par les flammes) a été déclaré sortant. Ce qui lui a permis de prendre facilement la fuite aussitôt qu’il a su que son père est décédé. L’enquête policière suit son cours. Yousra Salem
Des handballeuses victimes d’intoxication alimentaire
Une vingtaine de joueuses de l’équipe de handball du MCSaida, évoluant en superdivision, ont été victimes d’une intoxication alimentaire dans l’après-midi de samedi, après avoir disputé une rencontre de handball dans la matinée de la même journée face à une équipe de Constantine. Selon des sources dignes de foi, l’équipe de Saida qui a quitté Constantine vers midi, a marqué une pause dans la ville d’El Khroub pour prendre le déjeuner. Près de deux heures après avoir pris la route, des joueuses ont commencé à avoir des douleurs abdominales et des vomissements, ce qui a contraint le staff à revenir vers Constantine et à se diriger directement vers les urgences du CHU où les filles ont été prises en charge. Il s’agissait en fait d’une intoxication collective, dont les causes demeurent encore inconnues, même si l’on soupçonne que le poulet consommé durant le repas était avarié. Plus de peur que de mal, puisque toutes les joueuses ont pu quitter l’hôpital en début de soirée en direction de Saida S. Arslan
Actualités : Boutade de Sellal contre les Chaouis
«Je viens m'acquitter d'un devoir de vérité, même si je suis interdit d'activité politique depuis 15 ans dans le cadre du Front démocratique. Je n'entends rien demander à personne. On joue depuis des mois, voire des années, de la santé d'un homme pour se jouer de tout un peuple, sans craindre de donner au monde l'Algérie en spectacle, pour s'apprêter à organiser des présidentielles préfabriquées.»
«Je mets solennellement en garde le pouvoir, on aura le pire des changements en continuant ainsi, le changement dans le désordre. On se te trompe lourdement en croyant qu'on peut faire marcher la société en la bernant et en lui donnant des ordres. Le pouvoir se rapproche de l'implosion et nous emmène dans son sillage dans le chaos. Quand il n'y aura plus d'argent à jeter par la fenêtre, le pire viendra.»
«Il faut laisser l'Algérie aux jeunes générations. Car le 4e mandat est une fumisterie. Je ne suis pas là pour tirer sur une ambulance. Je suis le premier à avoir récusé et le 1er et le 2e et le 3e mandat, le Président m'a d'ailleurs accusé d'« ennemi du peuple ». Le débat autour du 4e mandat nous éloigne des vraies problématiques. L'oligarchie ne cèdera pas d'un pouce. Bien naïf celui qui croit à des garanties dans ces élections, c'est antinomique avec la nature du pouvoir.»
«C’est le système qui désigne «l’heureux élu». Et celui qui décide n’est pas sur la place publique, il décide via des intermédiaires. Qui vous dit que c’est Bouteflika qui sera le Président ? L’important n’est pas qui est le candidat agréé, mais de savoir est-ce qu’on pourra changer ce système.»
M. Ghozali répond aux questions de la presse :
«Que faut-il faire pour s’en sortir ? La démocratie ne se décide pas, c’est une accumulation. Je ne demande pas au pouvoir de partir, mais la vie des nations est rythmée par des négociations entre la société et le pouvoir politique. Or le peuple est coupé du pouvoir, et ce dernier lui dénie son rôle. On peut envisager de mener le système graduellement vers le mieux : commençons par appliquer la loi, laisser une place à la société et instaurer le principe de la responsabilité. Un système qui refuse de rendre compte ne peut que produire de mauvaises décisions. Jamais une loi ne peut être rétroactive dans les droits élémentaires, la loi sur les partis est une violation. Une loi qui permet légalement ceux qui ne peuvent interdire illégalement. Celui qui peut changer ça devra être un président élu légitimement.»
«Qui tient le pouvoir ? On nous oblige à nous enliser dans cette question. Le plus important est de dire ce pouvoir a réussi ou pas, pas de dire le pouvoir c’est untel ou l’autre. Il y a eu deux régimes dans ce pays, celui de Boumediene et l’actuel. Celui de Boumediene était officiellement autoritaire, un dictateur. Mais c’était transparent, Boumediene n’a pas promis la démocratie. Tous les Algériens étaient convaincus que c’était un Monsieur qui s’occupait de leurs affaires. C’est ça, la légitimité.
A la mort de Boumediene, on a basculé vers un régime autoritaire mais opaque, ceux qui ont la décision, on ne les voit pas. On est passé de la légitimité historique à la légitimité militaire, puis à la légitimité sécuritaire. Mais il y a DRS et DRS, certains ne sont pas dans la décision politique, il y en a qui ont sacrifié leur vie pour le pays. Le pouvoir regarde les autres militaires comme il nous regarde : des gens qui doivent obéir. Et c’est un parti clandestin de deux millions de militants qui gouverne avec les moyens de coercition de l’Etat.
Ce qui se passe à Ghardaïa ? La raison principale : la gestion de l'économie. Boumediene avait raison de faire attention à l'équilibre régional. Et cette crise se produira dans le Sud. Lors de la marche de 2001 des arouch, 300 000 marcheurs de la Kabylie vers Alger, le régime a dit « la main de l'étranger ». Puis, le Président est parti à Ghardaïa et Tamanrasset pour leur dire « vous êtes les vrais berbères ». Le Président a divisé les Algériens.
Le retour de Ouyahia et de Belkhadem ? C'est du théâtre, le gentil, le méchant... Le vrai pouvoir n'est pas apparent. Il s'agit d'un casting (nationaliste, islamiste, trotskyste...). C'est une mascarade.
Un scénario 1992 ? Ce qui va se passer ensuite sera le résultat de ce régime, pas le fait d'une seule personne.
Ingérence ? C'est nous qui avions permis au Quai d'Orsay de réagir. Quand on demande la protection à des étrangers, c'est ça le résultat. Lors des élections de mai, c'est l'ambassade US qui a appelé les Algériens à voter ! Quand le pouvoir est protégé par le peuple, ce pouvoir est fort, mais quand il demande à l'étranger de le défendre, il est faible.
Barakat ? Je vois des jeunes qui manifestent contre le 4e mandat, ils insistent sur leur démarche pacifique. C'est criminel de les empêcher de manifester. Bien qu'eux-mêmes tombent dans le piège du 4e mandat. Ils doivent élargir leurs champs de revendications. Maintenant, qui me dit d'où viennent les mouvements de rue ? Des acteurs d'Octobre 88 disent que c'est de l'intérieur du pouvoir. Parfois des forces étrangères, comme ce fut le cas de Mossadegh en Iran.
Sellal et les chaouias ? C’est affligeant. Je ne lui en veux même pas. Un homme équilibré, raisonnable, responsable, doit connaître sa langue. On ne désigne jamais une entité ou une minorité d’un doigt. Son chef est allé pleurer sur la tombe de Hassan II, puis il insulte le peuple marocain à la télé. C’est une non maîtrise des nerfs, de la langue, de la pensée. Quand le chef de l’Etat dit « je ne fais confiance à personne », ça veut dire qu’il n’est pas à sa place.
Corruption ? Le kilomètres d’autoroute coûte 4 ou 5 fois plus qu’ailleurs ! En plus, l’autoroute est loin d’être terminée et se détériore déjà. Les fondations s’écroulent car on l’a construit vite, pour l’effet d’annonce. Un comptable du temps de Boumediène a été tué pour 10 millions de centimes… Et là, on parle d’affaire Sonatrach avec 280 millions de dollars, avec en plus un haut responsable (allusion à Saadani) qui dénonce la justice
Mediene autant responsable que Bouteflika ? Notre système est mauvais. Quand on cherche à braquer la lumière sur des personnes données, c’est pour ne pas parler de la conformité d’un système avec les normes.
Période de transition ? Une transition est un processus entre une situation à une autre ? Or, cela fait des décennies qu’on est dans une période de transition. Il faut, pour en parler, en diagnostiquant la situation. L’Algérie est riche avec un peuple pauvre.
Vous faisiez partie du régime ? Le peuple ne fait pas de différence entre les pouvoirs publics et le pouvoir politique. On le pousse à confondre à mélanger entre les gens qui travaille dans un domaine technique (même un Premier ministre), qui peut même travailler pour le régime, et ceux qui sont le pouvoir politique. Le pouvoir dit « on nous critique car ils ont été exclu du régime », c’est leur argument.
Boumaârafi a-t-il agi seul ? Il est impossible de dire qu’il y a complot ou de dire le contraire. Par contre, quand on met à la tête de la protection de Boudiaf quelqu’un qu’on disait islamiste, quand on met un loup dans la bergerie, on n’a pas besoin de lui donner des instructions. Pourquoi avoir fait rentrer le loup dans la bergerie. Mais est-ce que ca suffit pour parler de complot ? J’ai démissionné en 1992 parce que j’étais chef d’un gouvernement qui n’a pas pu protéger le président Boudiaf.
Les réformes de Hamrouche ? Je n’ai pas arrêté les réformes, d’ailleurs il n’y en avait pas beaucoup.
L’opposition fait-elle partie de la pièce de théâtre ? Il n’y a pas d’opposition, à part le FFS, le RCD qui à partir à un certain moment a pris son rôle au sérieux, et le FD. Le reste c’est des machineries appartenant au pouvoir. Pour Aït Ahmed, c’est un chef historique, qui a eu le courage de dire non en 1963. Mais pour voir la perversité de ce système : aux législatives de 1997, où le RND devient majoritaire après deux mois de création, Aït Ahmed a déclaré que les élections sont truqués et nous avons participé au trucage. Il a dit « le président nous a promis 20%, les « services » nous ont ramené à 9% ».
Consigne de vote ? On voulait faire des législatives de 2012 un plébiscite. Nos élections sont comme un terrain sportif : l’arbitre, le terrain, la fédération, les équipes… tous appartiennent au même H’mida. J’ai dit aux Algériens que le vote ne signifie plus rien. On veut faire croire à un vote mais ce vote est réduit à zéro. Un ancien chef de gouvernement en poste durant le 3e mandat : « votez ou non, c’est le Président qui sera élu » !
In Elwatan2014.com
hmida263
le 17.03.14 | 19h41
Sindbad
le 17.03.14 | 18h07
klar
le 17.03.14 | 17h42
zorbalegrec
le 17.03.14 | 17h09
Jamal B
le 17.03.14 | 17h03
vociferez
le 17.03.14 | 16h48
Lakhdar2013
le 17.03.14 | 16h45
ROBIN2BOIS
le 17.03.14 | 16h43
RLandjara
le 17.03.14 | 16h42
invalide
le 17.03.14 | 14h36
Zweet2
le 17.03.14 | 14h30
Amazigh*
le 17.03.14 | 14h24
justocratienne
le 17.03.14 | 14h19
varan
le 17.03.14 | 14h19
Zweet2
le 17.03.14 | 14h16
setyon
le 17.03.14 | 14h16
enquête
le 17.03.14 | 13h55
tarek-to-verso
le 17.03.14 | 13h52
ybenam
le 17.03.14 | 16h30
Donkishoote
le 17.03.14 | 16h14
tarzan666
le 17.03.14 | 16h05
patinga
le 17.03.14 | 15h44
akarmouss
le 17.03.14 | 15h39
safemo
le 17.03.14 | 15h36
ete
le 17.03.14 | 15h12
pinpin
le 17.03.14 | 14h58
citoyen karim
le 17.03.14 | 14h50
naouri2001
le 17.03.14 | 13h33
csad10
le 17.03.14 | 12h06
léon_007
le 17.03.14 | 11h12
بلخادم ينفي خلاف الرئيس مع الجيش ويعترف
بوتفليقة بحاجة لإعادة تأهيل عضلات الأرجل
الثلاثاء 18 مارس 2014 الجزائر: ح. سليمان
نفى عبد العزيز بلخادم وجود خلافات بين الرئيس بوتفليقة والجيش، ولا بين الرئيس وقائد جهاز الاستعلامات والأمن، وهو نفس ما ذهب إليه في وقت سابق الوزير الأول السابق أحمد أويحيى. وانتقد بلخادم الذين يقولون من جهة إن بوتفليقة عاجز عن الحركة، ومن جهة أخرى يتهمونه بإحداث تغييرات مهمة في الجيش والتي يعتبرونها سببا في الخلاف بين الرئاسة كمؤسسة ووزارة الدفاع، هذا كله مجرد ”افتراء وتضخيم”، برأي بلخادم.
قال بلخادم في مقابلة خاصة مع قناة العربية، مساء أول أمس الأحد، بخصوص مرض الرئيس وترشحه للرئاسيات إن ”بوتفليقة قادر على القيام بمهامه وصحته لن تعيقه عن أداء مهامه”. وأوضح بلخادم ردا على من يتساءلون عن ترشح بوتفليقة وهو غير قادر على الحركة، بالقول ”من منا لا يتعرض للمرض وبالتالي عندما أصيب الرئيس بوعكة صحية استدعت علاجا مكثفا والرئيس تعافى من هذه الوعكة، بقي إعادة تأهيل وظيفي لعضلات الأرجل فقط التي تأتي بالعلاج”، وهو ما يفسر عدم ظهور الرئيس واقفا على رجليه وبقائه مقعدا منذ عودته من مستشفى ”فال دوغراس”. لكن هذه الوضعية، حسب بلخادم ”لا تعيق الرئيس في ممارسة مهامه”، مشيرا في هذا الصدد إلى أن ”الرئيس بمجرد خروجه من فترة العلاج المكثف ودخوله فترة النقاهة بدأ في ممارسة مهامه ويستقبل الوفود ويشرف على تسيير شؤون الدولة ولم يفقد قدرته على التحليل والتفكير”. من جانب آخر وردا على انتقادات بشأن حسم السلطة للانتخابات، قال بلخادم إن ”الجيش مؤسسة دستورية تأتمر بأوامر القيادة السياسية، والرئيس هو القائد الأعلى للقوات المسلحة، مثلما ينص عليه الدستور، الجيش يقوم بمهامه الدستورية، وقد أكدت مجلة الجيش عن وقوفها على مسافة واحدة من كل المرشحين”، في إشارة منه إلى التزام الجيش الحياد في الانتخابات، منتقدا ضمنيا خصوم الرئيس من أحزاب المعارضة ”ماذا تنتظرون من المعارض سوى الدفاع عن وجهة نظره وأن يبرر نتيجة لاحقة”.
وردا على قمع الشرطة للمتظاهرين من حركة ”بركات” ضد العهدة الرابعة، اعتبر بلخادم ”أن قوات الأمن فرقت المتظاهرين تطبيقاً للقانون الذي وقع عليه مترشح يعارض بوتفليقة”، والمقصود هو علي بن فليس، دون أن يسميه بالاسم، الذي كان وراء مرسوم حظر المسيرات في العاصمة سنة 2001، وهو ما يعني أن بلخادم يحمّل مسؤولية ذلك لبن فليس وحده. وحول تغيير طريقة تعامل السلطات الأمنية مع المحتجين ضد العهدة الرابعة، مع موقف الخارجية الفرنسية التي دعمت الحق في التظاهر السلمي، أجاب بلخادم بأن ”الجزائر بلد سيد واسترجع سيادته بمليون ونصف مليون شهيد، وينبغي على فرنسا التعامل مع الجزائر كدولة ذات سيادة وعلى الندية”، مستطردا بأن ”هناك في فرنسا من لا يزال يحن للفردوس المفقود”، في إشارة إلى محاولات تدخل مسؤوليها في الشأن الجزائري. وانتقد بلخادم ضمنيا موقف حركة ”بركات” وقال ”الممارسة الديمقراطية أساسها إعطاء الاختيار للشعب، فإذا أراد أن يجدد ثقته في الرئيس بوتفليقة فله ذلك، وإن اختار غيره فله ذلك”.
وبالنسبة لأحداث غرداية، قال بلخادم إن اشتباكات غرداية بدأت بتراشق في الحجارة قبل أن تتسع، متهماً جهات إعلامية خارجية، دون أن يسميها، باستغلال ما جرى في غرداية لمصالح أطراف بعينها، مشيرا ”أكيد أن الذي يحدث نتيجة تراكمات سابقة وهي التي نتج عنها هذا الشحن”. وعن تعيينه كمستشار خاص للرئيس بوتفليقة، وما أشيع حول تحفظه عن ذلك، أوضح بلخادم أنه ”يتردد الإنسان في مثل هذه الأمور، لأن المسؤولية ليست بالأمر الهين، لأن نهايتها قد تكون ندامة إذا لم يوفق الإنسان في مهمته”، مؤكدا في هذا الصدد ”أنا من المؤمنين بأن الجزائر بحاجة إلى استكمال مسيرة المصالحة الوطنية”.
Pierre DOYEN
le 17.03.14 | 19h52
L'échotier
le 17.03.14 | 18h26
moh62
le 12.03.14 | 23h13
zgduf
le 15.03.14 | 17h36
chaouit
le 14.03.14 | 10h19
mliih
le 13.03.14 | 14h45
الاثنين, 17 مارس 2014
عدد القراءات: 104
Un imposant dispositif constitué des brigades antiémeute de la police et de gendarmes a été mis en place dès les premières heures de la matinée d’hier aux abords du siège de la 5ème région militaire (RM) sur le plateau du Mansourah. Les services de sécurité ont procédé à un véritable quadrillage de la zone. Des barrages filtrants avec fouille systématique et vérification de l’identité des passagers des véhicules immatriculés hors de la wilaya de Constantine ont été installés au niveau des principaux accès à la RM, notamment à proximité du lycée Ahmed Bey et à l’entrée de la cité des Castors.
Un branle-bas de combat qui avait pour objectif d’empêcher des retraités de l’ANP de tenir un rassemblement. Les contestataires qui revendiquent la revalorisation de leurs pensions de retraite et l’amélioration de leur situation socio-économique sont restés jusqu’aux environs de midi à proximité de la RM sans avoir été reçus par les responsables. «Après 25 ans de bons et loyaux services, je me retrouve avec une retraite de 18 000 DA. Comment peut-on vivre décemment avec une telle somme quand on a une famille à charge. Après tous nos sacrifices l’on nous traite comme des malpropres. Personne ne veut nous recevoir. Ils ont envoyé les brigades antiémeute pour nous disperser alors que nous sommes venus revendiquer tout simplement notre droit à vivre dans la dignité», nous dira l’un d’entre eux. Pour rappel, des retraités de l’ANP ont déjà réussi à organiser des sit-in à proximité du siège de la 5ème RM, il y a quelques mois. Il semblerait que cette fois-ci les autorités militaires ne se soient pas laissés surprendre en sortant «la grosse artillerie» pour empêcher toute velléité de rassemblement. F. Raoui
Un homme meurt brûlé par son fils
Un homme répondant aux initiales F. B., âgé de 59 ans, est mort avant-hier soir au CHU Dr Benbadis, suite aux brûlures qui lui ont été infligées par son propre fils, M.B., a-t-on appris auprès de sources fiables. L’affaire remonte à deux semaines. Suite à une dispute avec les membres de la famille : le père, la mère et la fille, le présumé coupable, qui n’est autre que le fils, Mehdi B., a aspergé sa famille d’essence et a mis le feu au moyen d’une allumette. La scène s’est déroulée à leur domicile sis rue Si Abdallah ( la Casbah). Cette affaire qui a été soigneusement camouflée, n’a été sue qu’après que le père eut succombé à ses brûlures. Il faut savoir que la mère et la fille sont toujours dans un état critique ; elles sont sous observation au service des brûlés du CHU de Constantine. Le pauvre père était employé à l’APW de Constantine. Nous apprenons que le présumé coupable qui était également hospitalisé (ayant été touché par les flammes) a été déclaré sortant. Ce qui lui a permis de prendre facilement la fuite aussitôt qu’il a su que son père est décédé. L’enquête policière suit son cours. Yousra Salem
Des handballeuses victimes d’intoxication alimentaire
Une vingtaine de joueuses de l’équipe de handball du MCSaida, évoluant en superdivision, ont été victimes d’une intoxication alimentaire dans l’après-midi de samedi, après avoir disputé une rencontre de handball dans la matinée de la même journée face à une équipe de Constantine. Selon des sources dignes de foi, l’équipe de Saida qui a quitté Constantine vers midi, a marqué une pause dans la ville d’El Khroub pour prendre le déjeuner. Près de deux heures après avoir pris la route, des joueuses ont commencé à avoir des douleurs abdominales et des vomissements, ce qui a contraint le staff à revenir vers Constantine et à se diriger directement vers les urgences du CHU où les filles ont été prises en charge. Il s’agissait en fait d’une intoxication collective, dont les causes demeurent encore inconnues, même si l’on soupçonne que le poulet consommé durant le repas était avarié. Plus de peur que de mal, puisque toutes les joueuses ont pu quitter l’hôpital en début de soirée en direction de Saida S. Arslan
لشابة يمينة تتعرض لحادث مرور
تعـــــــــــــرضــــــت الفنـــــــانة، الشابة يمينة، إلى حادث مرور بسيارتها بالطريق الرابط بين كل من مدينة قصر البخاري وولاية المدية، أين تم نقل المغنية على جناح السرعة إلى مستشفى المدية من اجل تلقي العلاج، وقد أصيبت صاحبة عينيك يا عينيك بكسور في اليدوخدوش في الصدر."لا تضخموا تصريح سلال·· وهو يحترم الشاوية"
- الاثنين, 17 مارس 2014
دعا
الوزير الأول بالنيابة السيد يوسف يوسفي إلى عدم تضخيم مزحة (سلفه) عبد
المالك سلال التي اعتبرت إهانة للشاوية، وقال أن هذا الأخير يحترم أبناء
منطقة الأوراس، ورفض يوسفي وصف الزيارة التي قام بها، أمس، إلى باتنة
بالمفاجئة·
الوزير الأول بالنيابة يوسف يوسفي صرح للصحافة بأن وجوده بباتنة برفقة كل من وزير الدولة وزير الداخلية والجماعات المحلية وقائد الدرك الوطني (لا يعتبر زيارة فجائي)·
وقال يوسفي: (لقد جئنا من غرداية مباشرة للاستفسار عن إشكالية مياه الشرب بباتنة التي تعرضت للجفاف طيلة سنتين وكذا للإطلاع على إثر نظام تحويل مياه بني هارون من حيث تحسين الوضعية في مجال الموارد المائية)·
وفي رده على سؤال يتعلق بتصريحات نسبت مؤخرا إلى الوزير الأول السابق السيد عبد المالك سلال والذي وصفها البعض (بالفظة) (ما أدى إلى مسيرة للطلبة يوم الأحد) قال السيد يوسفي بأنه (نظرا لمعرفتي بهذا الرجل وهو صديق يمكن أن أؤكد أنه لا يجب تضخيم الأمور خاصة وأن سلال يكن احتراما كبيرا لسكان هذه المنطقة من البلاد) (الأوراس)·
وأضاف: (لسنا اليوم بباتنة من أجل تهدئة الأوضاع أو لحل مشكل لأننا نعتبر أنه لا يوجد مشكل)·
ومن جهة أخرى وفي رده عن سؤال آخر يتعلق بالوضع في غرداية، دعا السيد يوسفي سكان هذه المنطقة من جنوب البلاد إلى (الحوار والتفاهم والتعايش في سلم وطمأنينة)·
يذكر بأن الوزير الأول بالنيابة كان قد وعد أمس الأحد بغرداية (بفتح تحقيق فوري لتحديد المسؤوليات) (على إثر الاضطرابات التي عاشتها هذه المدينة والذي أدت إلى وفاة ثلاثة أشخاص) وكذا (تطبيق القانون ومواصلة عمليات التنمية بمجرد استتباب الأمن)·
وذكر السيد يوسفي أيضا أن الدولة "ستساهم في إعادة تأهيل الممتلكات المتضررة جراء هذه الأحداث والتخفيف كذلك من معاناة المواطنين المتضررين"·
وأكد كذلك بأن وزراء معنيين بمختلف قطاعات التنمية سيتنقلون إلى الميدان بداية من الأسبوع المقبل لتحديد العمليات الواجب القيام بها كأولوية في مجال التنمية المستدامة لهذه المنطقة·
من جانب آخر، استفسر يوسف يوسفي أمس الاثنين بموقع سد كدية المدور بولاية باتنة حول نظام تحويل المياه انطلاقا من المنشأة العملاقة لبني هارون (ميلة)·
وقد استمع السيد يوسفي الذي كان برفقة كل من وزير الدولة وزير الداخلية والجماعات المحلية السيد الطيب بلعيز وقائد الدرك الوطني اللواء أحمد بوسطيلة إلى شروح مفصلة حول هذا التحويل المائي الذي سيدخل حيز الخدمة في أفريل المقبل لفائدة 6 ملايين ساكن يقطنون عبر ست (6) ولايات بشرق البلاد وكذا لسقي 40 ألف هكتار من الأراضي الزراعية·
وستكون القناة الأولى بقطر 1,40 متر وبطول 120 كلم عملية (مطلع أفريل المقبل) وذلك بتدفق يصل إلى 1 متر مكعب في الثانية فيما سيتم تشغيل القناة الثانية الموازية بداية من 2015 حسب ما ورد في الشروح المقدمة للوفد·
الوزير الأول بالنيابة يوسف يوسفي صرح للصحافة بأن وجوده بباتنة برفقة كل من وزير الدولة وزير الداخلية والجماعات المحلية وقائد الدرك الوطني (لا يعتبر زيارة فجائي)·
وقال يوسفي: (لقد جئنا من غرداية مباشرة للاستفسار عن إشكالية مياه الشرب بباتنة التي تعرضت للجفاف طيلة سنتين وكذا للإطلاع على إثر نظام تحويل مياه بني هارون من حيث تحسين الوضعية في مجال الموارد المائية)·
وفي رده على سؤال يتعلق بتصريحات نسبت مؤخرا إلى الوزير الأول السابق السيد عبد المالك سلال والذي وصفها البعض (بالفظة) (ما أدى إلى مسيرة للطلبة يوم الأحد) قال السيد يوسفي بأنه (نظرا لمعرفتي بهذا الرجل وهو صديق يمكن أن أؤكد أنه لا يجب تضخيم الأمور خاصة وأن سلال يكن احتراما كبيرا لسكان هذه المنطقة من البلاد) (الأوراس)·
وأضاف: (لسنا اليوم بباتنة من أجل تهدئة الأوضاع أو لحل مشكل لأننا نعتبر أنه لا يوجد مشكل)·
ومن جهة أخرى وفي رده عن سؤال آخر يتعلق بالوضع في غرداية، دعا السيد يوسفي سكان هذه المنطقة من جنوب البلاد إلى (الحوار والتفاهم والتعايش في سلم وطمأنينة)·
يذكر بأن الوزير الأول بالنيابة كان قد وعد أمس الأحد بغرداية (بفتح تحقيق فوري لتحديد المسؤوليات) (على إثر الاضطرابات التي عاشتها هذه المدينة والذي أدت إلى وفاة ثلاثة أشخاص) وكذا (تطبيق القانون ومواصلة عمليات التنمية بمجرد استتباب الأمن)·
وذكر السيد يوسفي أيضا أن الدولة "ستساهم في إعادة تأهيل الممتلكات المتضررة جراء هذه الأحداث والتخفيف كذلك من معاناة المواطنين المتضررين"·
وأكد كذلك بأن وزراء معنيين بمختلف قطاعات التنمية سيتنقلون إلى الميدان بداية من الأسبوع المقبل لتحديد العمليات الواجب القيام بها كأولوية في مجال التنمية المستدامة لهذه المنطقة·
من جانب آخر، استفسر يوسف يوسفي أمس الاثنين بموقع سد كدية المدور بولاية باتنة حول نظام تحويل المياه انطلاقا من المنشأة العملاقة لبني هارون (ميلة)·
وقد استمع السيد يوسفي الذي كان برفقة كل من وزير الدولة وزير الداخلية والجماعات المحلية السيد الطيب بلعيز وقائد الدرك الوطني اللواء أحمد بوسطيلة إلى شروح مفصلة حول هذا التحويل المائي الذي سيدخل حيز الخدمة في أفريل المقبل لفائدة 6 ملايين ساكن يقطنون عبر ست (6) ولايات بشرق البلاد وكذا لسقي 40 ألف هكتار من الأراضي الزراعية·
وستكون القناة الأولى بقطر 1,40 متر وبطول 120 كلم عملية (مطلع أفريل المقبل) وذلك بتدفق يصل إلى 1 متر مكعب في الثانية فيما سيتم تشغيل القناة الثانية الموازية بداية من 2015 حسب ما ورد في الشروح المقدمة للوفد·
ب· لمجد
A qui profite la polémique ?
Profitant de la plaisanterie de M. Sellal, certaines parties
qui ont l’habitude de nager dans les eaux troubles continuent de
«souffler sur les flammes», créant une véritable polémique qui, en
réalité, n’a pas de raison d’être.
Ce qui est vraiment étonnant, c’est que malgré les excuses de
M. Sellal et du directeur de la télévision d’Ennahar ainsi que les
explications de Brahim Boulahya, sénateur issu de la wilaya de Batna,
une simple plaisanterie est devenue une «affaire d’Etat». Certaines
parties ont profité de cet état de fait pour inciter les citoyens à
sortir dans la rue. C’est le cas à Batna où des universitaires gonflés à
bloc ont organisé une marche scandant le nom de l’ex-président Liamine
Zeroual et du martyr Ben Boulaid. Plusieurs parties politiques qui en
l’absence de programme ont déclaré «forfait» pour les élections
Présidentielles ont également profité de la plaisanterie de M. Sellal
pour refaire surface. Pourtant, M. Sellal n’a fait que plaisanter avec
son ami qu’il connaissait très bien et qui à chaque fois où ils se
rencontrent profitent pour échanger quelques farces de façon à sortir un
peu de l’officiel. C’est ce qui est arrivé à l’hôtel Ryad où M. Sellal
et Brahim Boulahya se sont donné à un moment d’amusement transformé
malheureusement en une grande polémique. Intervenant à ce sujet M.
Sellal a indiqué qu’il regrettait à ce que cette plaisanterie soit
exploitée par certaines parties dans le but de créer des troubles, alors
que notre pays n’a pas besoin surtout en ces moments précis. De son
côté, Brahim Boulahya est intervenu dans un journal en ligne déclarant :
«Je connais si Abdelmalek Sellal depuis longtemps. D’abord, il s’agit
de quelqu’un de gai et qui aime plaisanter. L’homme ne fait pas partie
de ce genre de responsables qui sont complexés ou qui ne parlent pas
avec les gens, mais plutôt de ces responsables qui cherchent à
construire des relations de confiance avec eux. Ensuite, j’étais présent
à l’hôtel Riad (vendredi dernier) quand il a lancé cette blague et elle
m’était adressée personnellement. D’ailleurs, il me l’avait déjà dite à
Batna et les gens qui étaient présents avaient ri. Son intention était
de détendre l’atmosphère avec les responsables. L’homme n’avait pas
l’intention d’envoyer les messages qui circulent aujourd’hui. Il ne faut
pas oublier que c’est un Amazigh».
Brahim Boulahya n’a pas manqué de fustiger ceux qui voulait semer la
zizanie dans la wilaya de Batna en organisant des manifestations. «La
manifestation a été dirigée par un jeune membre de la direction de la
campagne d’Ali Benflis», a-t-il indiqué. A ce même sujet, le sénateur
devait ajouter : «Il s’agit d’une tentative d’exploiter des propos dans
un contexte de campagne électorale. Celui qui veut soutenir un autre
candidat est libre de le faire, mais il faut laisser les gens s’exprimer
à travers les urnes et ne pas semer les germes de la sédition et du
tribalisme. Et un candidat à la présidentielle ne doit pas avoir ce
genre d’idées, parce qu’il ne pourra pas unir les Algériens et parce
qu’il va présider une République algérienne démocratique et populaire».
Le directeur de la télévision d’Ennahar n’a pas manqué également de
présenter ses excuses à l’ensemble des «Chaouis» et à ceux qui se sont
sentis heurtés par les propos de M. Sellal, repris par erreur sur les
écrans de la chaîne qu’il dirigeait. Après cette intervention, la
télévision d’Ennnahar a reçu plusieurs appels téléphoniques émanent de
Batna, Khenchela, Tébessa, Aris et Oum El-Bouagui. Ces derniers n’ont
pas manqué de fustiger ceux qui appellent à manifester, indiquant qu’ils
ne représentent nullement la région des Aurès.
Dans une déclaration à La Nouvelle République, le docteur Abdelwaheb
Djébaili a indiqué que cette polémique n’est pas la priorité des
Algériens. «Je trouve qu’il faudrait élever le niveau car les Algériens
savent faire la différence entre une plaisanterie et une déclaration
officielle. Même chez nous, les Chaouis d’une même tribu s’échangent
parfois de moqueries et de plaisanteries mais sans que le ciel ne tombe
sur la tête.».
Nous avons appris que le Premier ministre par intérim, Youcef Yousfi,
s’est rendu à Batna afin de calmer les esprits. En somme, malgré les
excuses des uns et les explications des autres, plusieurs parties
soufflent toujours sur les flammes et appellent les citoyens des Aurès à
manifester. A qui profite cette polémique ?
Moncef Rédha
سليني يستنجد بنعيمة الدزيرية
الثلاثاء 18 مارس 2014 elkhabar
أقام عبد المجيد سليني، نقيب محامي العاصمة، السبت الماضي، احتفالا متأخرا بمناسبة اليوم العالمي للمرأة، على شرف صاحبات الجبة السوداء، بفندق السفير في العاصمة، أحيته الفنانة نعيمة الدزيرية، وهي المبادرة التي أرجعها زملاء المهنة إلى نية الرجل في ضمان وكسب أصوات ”كوطة” النساء لتجديد الثقة في شخصه في الانتخابات المزمع تنظيمها في 22 مارس الجاري، علما أن مشادات بالأيدي كانت قد حدثت بين سليني والمحامي ”ع” المودع رهن الحبس المؤقت بالمؤسسة العقابية لسركاجي في العاصمة، الذي أثار غضب النقيب بعد رفضه دعوة المحاميات إلى الحفل، ملمحا له أن في الأمر إن وأخواتها.
Rassemblement des rappelés du service national à Draa Ben Khedda / « Nous voulons une réponse à notre combat avant le lancement de la campagne électorale »
Ils
sont très nombreux ces rappelés du service national (1995-1999), de
toutes les Daïras de la Wilaya de Tizi-Ouzou, à se fixer rendez-vous à
Draâ Ben Khedda, face au stade Kaci Ali, au cours de la matinée du
Samedi 15 Mars 2014 pour dénoncer haut et fort les lenteurs des
autorités algériennes aux revendications du mouvement de leur
corporation. Ils sont des centaines à se rassembler, encore une fois,
pour crier leur mécontentement quant à la non prise en charge de
l’ensemble des revendications. Le S G du mouvement dénommé MOB, M. Ali
Babaci nous relate, une fois de plus les différentes actions initiés par
le MOB tant au niveau de la Wilaya qu’à travers le pays :« Aujourd’hui,
nous sommes ici pour faire un bilan de nos actions et Il est de notre
devoir de rendre des comptes à nos adhérents et les mettre au courant
des résultats que nous avions eus lors des dernières rencontres avec le
premier ministre M. A. Sellal ». A Aïn Delfa, le premier ministre a
avoué qu’il n’avait pas reçu le dossier des rappelés. « Ce que nous
avons fait sur le champ. A Tipaza, il nous a confirmé que nos
revendications allaient être prises en charge graduellement ! » Cela
veut dire que des contacts sont nécessaires avec les autres
départements. : tels l’intérieur et le MDN… » (…) « En priorité, nous
exigeons la reconnaissance de notre combat. Ce que le premier ministre a
confirmé : L’Etat Algérien reconnaîtra votre action et sera catégorique
sur ce point là ! »Interrogé sur les autres points de la plateforme, le
SG dira : « le premier ministre nous a avancés que les cas sociaux
seront étudiés avec les autres ministères. Quant à la prime mensuelle
revendiquée par les rappelés, le premier ministre nous dira qu’il lui
faut un peu de temps pour étudier cette formule ». Le premier ministre
leur aurait promis une rencontre au niveau de son ministère. Une
rencontre qui interviendrait avant le 23 Mars, c’est-à-dire avant le
début de la campagne électorale. « Les rappelés exigent du ministre le
respect des promesses avancées car c’est ce non respect qui élargit le
fossé entre nos dirigeants ! « Au cas où cela ne serait pas fait, les
rappelés sont prêts à occuper la rue le premier jour du lancement de la
campagne. Une occupation suivie d’autres
actions !» Des actions que le S G du MOB ne dit pas aujourd’hui. Les
nombreux intervenants ont été tous à l’unanimité pour ces actions
envisagées par le mouvement et « qui seraient mises en branle tant au
niveau Wilaya que national ». Les rappelés sont déterminés à aller de
l’avant dans leur mouvement car ils estiment que leur combat est
légitime et que les autorités ont mis du temps pour jeter un coup d’œil
sur ce dossier qu’il faut prendre en charge de manière sérieuse et
définitive. Le S G conclut par exhorter les rappelés à la mobilisation
de tous aujourd’hui plus que jamais !
M.A.Tadjer
http://lecitoyendz.com/?cat=3
CS Constantine
Retour sur une soirée cauchemardesque
le 17.03.14 | 10h00
Réagissez
Le derby entre voisins Tortues du CRBAF et Clubistes du CSC a viré au rouge, samedi soir, et la fête a été gâchée.
Un match où l'on retiendra de positif que l’excellente performance du
CS Constantine qui a coupé court à la rumeur faisant état que les
Sanafir allaient "vendre" le match au CRBAF. C’est peut-être la première
raison qui a poussé les fans de Aïn Fakroun à réagir violemment en
voyant leur team mené au score. Il faut dire que la rencontre a été
marquée par de nombreux incidents. L’arbitre Halalechi et ses deux
assistants, Azerine et Badache, ont passé une sale soirée. Les nombreux
dirigeants du CRBAF qui se trouvaient sur la main courante n’ont pas
facilité la tâche aux hommes en noir. Et avec une telle désorganisation
au stade Demane Debih, on peut dire que le pire a été évité de justesse.
C’est à la mi-temps que les choses ont pris une mauvaise tournure, avec les provocations à l'encontre du président du CSC, Bentobal, et ses collaborateurs sous une pluie des pierres et divers projectiles que les joueurs constantinois ont reçus. Le constat est là, le stade de Aïn M’lila est un vrai danger pour les équipes visiteuses, l’USMH et le MCA ont vécu une situation similaire. Même les journalistes ont fait face à des moments pénibles. Pour éviter le pire, ils ont quitté pour la plupart le stade à la fin du premier half. Le deuxième but de Boulemdaïs en début de seconde période n’a fait que compliquer les choses.
Frustrés par ce scénario et la défaite certaine de leur équipe, les Fakrounis ont déversé leur colère sur tout ce qui est constantinois. Ils ont envahi le terrain et obligé l’arbitre à arrêter la partie durant près d’une demi-heure. Boulemdaïs, Sameur ainsi que deux autres supporters ont payé le prix fort de la colère des Tortues, en quittant le stade avec de graves blessures. Selon les dernières informations, le referee Halalechi ainsi que la direction du CSC ont établi des rapports accablant le CRBAF, un récidiviste, qui risque de très lourdes sanctions à la mesure des graves incidents ayant émaillé le derby de l’Est.
C’est à la mi-temps que les choses ont pris une mauvaise tournure, avec les provocations à l'encontre du président du CSC, Bentobal, et ses collaborateurs sous une pluie des pierres et divers projectiles que les joueurs constantinois ont reçus. Le constat est là, le stade de Aïn M’lila est un vrai danger pour les équipes visiteuses, l’USMH et le MCA ont vécu une situation similaire. Même les journalistes ont fait face à des moments pénibles. Pour éviter le pire, ils ont quitté pour la plupart le stade à la fin du premier half. Le deuxième but de Boulemdaïs en début de seconde période n’a fait que compliquer les choses.
Frustrés par ce scénario et la défaite certaine de leur équipe, les Fakrounis ont déversé leur colère sur tout ce qui est constantinois. Ils ont envahi le terrain et obligé l’arbitre à arrêter la partie durant près d’une demi-heure. Boulemdaïs, Sameur ainsi que deux autres supporters ont payé le prix fort de la colère des Tortues, en quittant le stade avec de graves blessures. Selon les dernières informations, le referee Halalechi ainsi que la direction du CSC ont établi des rapports accablant le CRBAF, un récidiviste, qui risque de très lourdes sanctions à la mesure des graves incidents ayant émaillé le derby de l’Est.
Abderrahmane H.
يوسفي والما، جايبو من عند سيدي ربي |
الاثنين, 17 مارس 2014 19:01 |
وقال بحليطو
“تلفن
يوسفي لجدتي عندما كان عائدا من غرداية، طبعا، لم يكن وحده، كان معه وزير
الداخلية وبوسطيلة، واستنجد بها قائلا، تعالي يا جدة، تعالي باعتبار أصولك
شاوية فقالت له جدتي، “ولماذا؟! ولماذا؟!” فقال لها يوسفي “سلال،
سلال” فقالت له جدتي “واش دار تاني” فقال يوسفي “خلطها يا جدة، خلطها، فبعد
تخليطة قول أعوذ، جاءت تخليطة الشاوي حاشا رزق ربي” فقالت جدتي “اشتروا
كادنة وزموا بها فمو” فقال يوسفي “والعهدة الرابعة، والعهدة الرابعة؟!”
فقالت جدتي اتركوه يتكلم بالإشارات فقط، ففمه ليس له” فقال يوسفي “لا
علينا، يا جدتي، تعالي وساعدينا” لكن جدتي قالت له “دارها بفمه يسلكها
بيديه وأنا لست من نساء الإطفاء” وعندئذ قال يوسفي “شكرا، شكرا يا جدة،
اعطيني فكرة.. سأقول لهم أنا جئت لباتنة ولأهل الشاوية لا لأعتذر عن تخليطة
سلال، ولا لأعتذر عن فضيحته، بل سأقول لهم جئت لأحل مشكلة الماء بباتنة،
فربما يساعدنا في المستقبل على إطفاء نار سلال.. “وفرح يوسفي فرحا شديدا
وما إن دخل باتنة، حتى راح يغني “يا الما، يالما، جايبو من عند سيدي
العقبي، يا الما، يا الما انتاع سيدي ربي”.
|
سلطاني يحذر من 4 سيناريوهات خطيرة |
الاثنين, 17 مارس 2014 19:12 |
حذر
الرئيس السابق لحركة مجتمع السلم، الشيخ أبو جرة سلطاني، من حدوث انزلاقات
محتملة جراء الوضع السياسي الراهن و«شحن الساحة الوطنية بجميع أنواع
الذخائر القابلة للاشتعال”، إلى 4 سيناريوهات خطيرة، داعيا السلطة القائمة
لـ “مد يدها لضمائر المجموعة الوطنية وعناصر الوحدة الاساسية لتستدرك الفرص
الضائعة وتجمع الطاقات المهدورة وتدفع باتجاه الخلاص الوطني”.
أصدر
أبو جرة سلطاني، أمس، بيانا “قبل انطلاق الحملة الانتخابية”، بعد رسالته
الاولى “الجزائر فوق الرئاسة والرؤساء”، التي توجه بها للرأي العام نهاية
الشهر الماضي، وتحت عنوان “لن يتوقف قطار الوطن في محطة 17 أبريل”، قسم أبو
جرة، هذه المرة، المشهد السياسي الراهن إلى 5 تيارات “تتجاذب الثوب الوطني
المهدد بالتمزق”، وهي حسبه “تيار المساندة بذريعة الاستقرار والاستمرارية،
وتيار المقاطعة بحجة أن اللعبة مغلقة وقواعدها غير محترمة، وتيار البدائل
المحتملة لترجيح كفة مرجوحة، وتيار دعاة المرحلة الانتقالية لإطالة عمر
الأزمة، وتيار أصحاب فكرة توقيف المسار الانتخابي لتوريط النظام”، هذه
التيارات التي أفرزتها “البدايات الديمقراطية”، لا تقابل -حسبه- اليوم
بـ “إرادة سياسية عازمة على فتح اللعبة الديمقراطية بسلاسة، دون اللجوء إلى
تكتيك لي الذراع”، مركزا في نتائج ذلك على “التداول السلمي على السلطة
-على المدى المنظور-”. ويؤكد سلطاني في بيانه، أن هذه الأزمة السياسية التي
ترافق الانتخابات الرئاسية، بدأت إرهاصاتها منذ أكثر من عامين، حيث يذكر
في موضعين مختلفين بخطاب 15 أفريل والإصلاحات “هناك إرادة خفية ولكنها
فاعلة ومؤثرة تعمل دون هوادة على تمييع الإصلاحات وتحزيبها وتسطيحها
لمقاومة التغيير”، أما الموضع الثاني فكان في الإشارة إلى نتائج تشريعيات
2012 والتي خلالها “بدأ الدوس على كل ما هو جميل، وتقديم كل ما كان كبيرا
واختزال الوطنية في موعد انتخابي وتلوين الولاء بالأسود والأبيض (ضد من)
و(مع من)، واختصار نضالات ربع قرن بين 88 - 2012 في محطة 17 أفريل”.
وفق
هذا التحليل و”تسارع الأحداث وتعقبها، في أكثر من منطقة وعلى أكثر من
صعيد، في مواجهة الإصرار على الاستخفاف بالطبقة السياسية وبالمجتمع المدني
وبمن ساهموا في حماية الدولة من السقوط، بالتوازي مع اتساع دائرة
الاحتجاجات وتعفنها”، أكد الشيخ أبو جرة سلطاني -عشية الذكرى 52 لعيد
النصر- أنه يحذر من الانزلاقات التي قد تنتهي إليها الأمور وفق 4
سيناريوهات خطيرة حددها في:“1- قمع الحريات سوف ينقل -الفعل المعزول-
للوقفات الاحتجاجية إلى تيار شعبي عارم. 2- سقوط أول ضحية برصاص طائش - لا
قدر الله- سوف يستدعي ما حصل في الجوار ويقفز بالجميع فوق كوابح المأساة
الوطنية. 3- فرز المواطنين إداريا على أساس “الولاء الانتخابي” سوف يؤسس
لسابقة خطيرة على الوحدة الوطنية وعلى مستقبل الأجيال. 4- اتساع دائرة
العزوف واليأس من الفعل الانتخابي يتحمل صناع القرار تبعاتها، لأنهم
مازالوا ممعنين في تفريغ صناديق الاقتراع من جميع محتوياتها التنافسية”.
ولم
يفوت الحليف القوي السابق في “التحالف الرئاسي”، الرئيس السابق لحركة
مجتمع السلم، فرصة البيان، لإطلاق النار على حليفي الماضي “ان حزبين
متحالفين لا يبنيان وطنا بحجم الجزائر، مهما برع المادحون لأنفسهم
والقادحون لخصومهم في تبييض هذا اللوح أو تسويد ذاك”، مبررا الماضي بأن
“تحالف المتناقضات، اذا لم تكن وراءه إرادة سياسية عازمة على احترام إرادة
الجماهير، لن يذهب بعيدا”.
زهور شنوف
|
ميلاد حركة جديدة مناهضة للعهدة الرابعة.. “حركة أحرار الأوراس” تدعو لاحتجاج سلمي يوم الخميس |
الاثنين, 17 مارس 2014 19:11 |
تعتزم
حركة “أحرار الأوراس” المناهضة للعهدة الرابعة، بمدينة باتنة، تنظيم مسيرة
سلمية، يوم الخميس القادم، تجوب مختلف الأحياء، انطلاقا من شارع الاستقلال
-المعروف محلياً بطريق بسكرة- وصولا إلى تمثال الشهيد مصطفى بن بولعيد.
حركة
“أحرار الأوراس” التي تأسست، أول أمس، كانت في أول بيان أصدرته، قد نددت
بتصريحات مدير الحملة الانتخابية للمترشح الحر، عبد العزيز بوتفليقة
لإنتخابات 17 أفريل، عبد المالك سلال، الذي حسبهم، “أهان واستهزأ
بالشاوية”، وكذا بتصريحات وزير الصناعة، عمارة بن يونس، الذي “لعن كل
المواطنين الذين لا يحبون الرئيس بوتفليقة”، حسب البيان الذي أضاف أنه “من
المؤسف أن تصدر تصرفات وأقوال من أشخاص يمثلون السلطة، تدعو إلى بت نار
الفتنة من أجل البقاء في مناصبهم والحفاظ على مصالحهم”. كما دعت الحركة في
السياق ذاته، إلى “استقالة الحكومة التي صادرت أصوات الشعب في جمع
الاستمارات لمرشحها”.
وفي
اتصال “الجزائر نيوز” بالناطق الرسمي “لحركة أحرار الأوراس”، بن مزيان
أحمد، أكد أن المطلب الأساسي لهذه الحركة هو “معارضة العهدة الرابعة لأن
الرئيس المنتهية عهدته مريض ولا يستطيع تسيير شؤون بلد بحجم الجزائر،
والقيام بمهامه الدستورية”، مؤكدا على ضرورة “إقالة الحكومة غير الشرعية،
لأنها هي التي ستشرف على الانتخابات الرئاسية القادمة، وتقف بجانب مرشح
معين”، مضيفا أنه على اتصال بـ “مواطنين من ولايتي خنشلة وأم البواقي من
أجل التنسيق والتعاون لنشر أهداف الحركة، والتنديد بتصريحات عبد المالك
سلال”.
ويذكر
أن الحركة نظمت أول تظاهرة احتجاجية، أول أمس، شارك فيها عدد كبير من
الطلبة الجامعيين والأساتذة ومختلف شرائح المجتمع بباتنة، حيث اتجهوا إلى
مسكن الرئيس السابق اليامين زروال، وسلموا بيان تنديد لنجله.
فريد .ب
|
قال إن زيارته إلى باتنة للاستفسار عن إشكالية مياه الشرب.. يوسفي: سلال يكن احتراما لأبناء الأوراس ولا يجب تضخيم الأمور |
الاثنين, 17 مارس 2014 19:11 | ||||||
قال
أمس الوزير الأول بالنيابة يوسف يوسفي من ولاية باتنة الذي كان مرفوقا
بوزير الدولة وزير الداخلية والجماعات المحلية وقائد الدرك الوطني أن
زيارته “لا تعتبر فجائية”.
وقال يوسفي للصحافة “لقد جئنا من غرداية مباشرة للاستفسار عن إشكالية مياه
الشرب بباتنة التي تعرضت للجفاف طيلة سنتين وكذا للإطلاع على أثر نظام
تحويل مياه بني هارون من حيث تحسين الوضعية في مجال الموارد المائية. وفي
رده على سؤال يتعلق بالتصريحات الأخيرة للوزير الأول الأسبق عبد المالك
سلال والتي أثارت موجة انتقادات واحتجاجات بباتنة، قال يوسفي بأنه “نظرا
لمعرفتي بهذا الرجل وهو صديق يمكن أن أؤكد أنه لايجب تضخيم الأمور خاصة وأن
سلال يكن احتراما كبيرا لسكان هذه المنطقة من البلاد” (الأوراس). وأضاف
“لسنا اليوم بباتنة من أجل تهدئة الأوضاع أو لحل مشكل لأننا نعتبر أنه لا
يوجد مشكل”. من جهة أخرى وفي رده عن سؤال آخر يتعلق بالوضع في غرداية دعا يوسفي سكان هذه المنطقة من جنوب البلاد إلى “الحوار والتفاهم والتعايش في سلم وطمأنينة”.
ي.ر
|
http://www.entv.dz/tvar/video/index.php?t=JT20H_17-03-2014
http://www.entv.dz/tvar/video/index.php?t=JT20H_16-03-2014
Actualités : Boutade de Sellal contre les Chaouis
Aurès El Kahina saisit la justice
L’Aurès El Kahina, l’une des plus anciennes
associations des Aurès, a décidé de porter plainte contre Abdelmalek
Sellal pour «graves propos injurieux, blessants, avilissants et
diffamatoires» contre une partie des Algériens.
Cette plainte intervient alors que les Aurès n’ont pas cessé de manifester pour dénoncer l’atteinte à la dignité des Chaouis. «En raison des très graves propos injurieux, blessants, avilissants et diffamatoires portés par l’ex-Premier ministre Abdelmalek Sellal contre une partie des Algériens que sont les Chaouis, l’association nationale, Aurès El Kahina, pour la promotion et la sauvegarde du patrimoine, porte à la connaissance de tous qu’elle a décidé de porter plainte auprès des tribunaux algériens contre les propos gravement outrageants de la personne publique citée ci-dessus», a informé l’association dans un communiqué.
L’association dit, par ailleurs, s’insurger contre ce type d’atteinte à l’intégrité morale d’une partie de la population algérienne et une région qui ont tant sacrifié de martyrs pour la libération du pays.
S. A. I.
Cette plainte intervient alors que les Aurès n’ont pas cessé de manifester pour dénoncer l’atteinte à la dignité des Chaouis. «En raison des très graves propos injurieux, blessants, avilissants et diffamatoires portés par l’ex-Premier ministre Abdelmalek Sellal contre une partie des Algériens que sont les Chaouis, l’association nationale, Aurès El Kahina, pour la promotion et la sauvegarde du patrimoine, porte à la connaissance de tous qu’elle a décidé de porter plainte auprès des tribunaux algériens contre les propos gravement outrageants de la personne publique citée ci-dessus», a informé l’association dans un communiqué.
L’association dit, par ailleurs, s’insurger contre ce type d’atteinte à l’intégrité morale d’une partie de la population algérienne et une région qui ont tant sacrifié de martyrs pour la libération du pays.
S. A. I.
نددوا بـ “غلق العملية الانتخابية وتخويف المواطن”.. الأساتذة الجامعيون يصدرون “بيانهم الثاني” ويحتجون مجددا ببوزريعة |
الاثنين, 17 مارس 2014 19:23 |
ينتظر
أن ينظم أساتذة جامعات الجزائر، غدا، تزامنا مع عيد النصر، وقفة احتجاجية،
بجامعة بوزريعة، عقب انتهائهم من أشغال “نصف اليوم الدراسي” الذي قرروا
تنظيمه ابتداء من الساعة 9.30 بمدرج الانتفاضة، بجامعة بوزريعة، حول
“القضايا السياسية التي تطرحها الساحة الوطنية”، من تنشيط أساتذة جامعيين
متخصصين في العلوم السياسية والاجتماعية.
بعد
نجاح الوقفة الاحتجاجية التي نظمها أساتذة جامعيون بجامعة الجزائر 2،
بوزريعة، يوم الخميس المنصرم، ينتظر أن تتجدد هذه الحركة الاحتجاجية
بالمكان نفسه، غدا، مع انضمام عدد جديد من الأساتذة من مختلف جامعات
العاصمة. كما صدر، أمس، بيان الجامعيين الثاني “من أجل جزائر المستقبل”،
والذي تضمن هذه المرة عددا أكبر من توقيعات الأساتذة من جامعات العاصمة،
وهران، مستغانم، قسنطينة، عنابة وتيزي وزو، مراعاة -حسب البيان- لـ “حالة
القلق التي يعيشها هؤلاء المثقفون”، وتوصيفا لـ “الحالة الحرجة التي صارت
عليها بلادنا”، ويستند التوصيف -حسب الجامعيين- على “الإقرار بفشل تامّ
لنظام الحكم الحالي في تسيير البلاد”، وذلك “انطلاقا من الوضعية العامة
التي توجد عليها الجامعة الجزائرية”، والتي يؤكد الأساتذة حولها بأنهم “لم
يعودوا قادرين على توصيل المعرفة وإنتاج النخب في فضاء مطبوع بغياب
استقلالية التسيير وعدم مراعاة الحصانة الجامعيّة وتكميم الأفواه باشتراء
الأمن الاجتماعي ومنح شهادات جامعية مُفْرَغَة من قيمتها”، بالنظر لأنه “لا
يمكن أن تُصْلَحَ الجامعة لوحدها. خاصة، وأنّها أصبحت اليوم تستقبل أولاد
الشعب الأكثر فقرا، في حين أنّ إعادة إنتاج النخب يتمّ بعيدا عنها. لقد
فقدت الجامعة مصداقيتها وفاعليتها، وهي نتيجة سببها نظام الحكم”.
وأكد
بيان الجامعيين في تحليله لحالة الانسداد السياسي والاجتماعي التي يعرفها
البلد، على “النضج الكبير الذي أبداه الشعب الجزائري أثناء أحداث 2011”،
لكنّه مقابل ذلك “وُوجِهَ بالعنف المادي والمعنوي والرمزيّ.. وها هو اليوم
يعاني من الإحباط والمرارة والاستياء والغضب الذي تملّكه جرّاء هذه
الوضعيّة”، التي “أصبح فيها تسيير البلاد تحت رحمة أيّ كان من القوى
المتواجدة على الساحة. في هذا السياق الجيوسياسي، الحالي، وفي الوضعية
الراهنة للبلاد، في غياب برنامج اقتصاديّ، وانعدام لإصلاح عميق للمؤسسات”،
مضيفا أن “جميع المناورات لا تهدف إلا لتكريس الجمود والمحافظة على مجموعة
من الأشخاص دلَّلوا بصفة واضحة على ضعف فعاليتهم، وعلى عدم نزاهتهم على
جميع الأصعدة الخارجية والوطنية”.
كما
ندد بيان الجامعيين بـ “الظروف المزرية التي يحياها الجزائريون بالخصوص
فئة الشباب المدفوعين إلى الحصول على المال المتّسِخ، حيث فقدت الجامعة
وظائفها، وأصبحت الشهادة لا تسمح بالتدرج الاجتماعي، ناهيك عن تحصيل
المعرفة”، مجددين رفضهم لابتزاز المواطن في ظل “تسيير مجتمعنا عن طريق
التخويف والانحراف، بما في ذلك تقديم شهادات مفرغة من المحتوى، فاقدة شيئا
فشيئا لقيمتها في السوق الوطنية للشغل”، وكذا “تغييب الاقتراحات المؤسَّسَة
على استرجاع كرامتنا كمنتِجين ومنتِجات وكمواطِنين ومواطِنات”... هذه
الأمور وغيرها، دفعت أصحاب البيان إلى التأكيد على أنهم لم يرضوا بالسكوت
أمام الخطر “لم نرغب في إنتاج تحليلات بارعة، بل ارتأينا أن نحذر زملاءنا،
الطلبة ومدرسي وباحثي المستقبل والرأي العام من الخطر الذي يتهدد البلاد،
من فرض عملية غلق اللعبة الانتخابيّة، عن طريق المزايدة بالتلويح بحدوث
الفوضى. مع أنّ مسألة العهدة الرابعة لا تعدو أن تكون سوى النتيجة الواضحة،
لفشل نظام الحكم الذي أُخْضِعْنا له منذ خمسة عشرة سنة على الأقلّ”،
مضيفين أن رهان اليوم لا يتمثل فقط في “عدد العهدات... مثل هذا المطلب لن
يهدف سوى إلى تغيير وجه من يمثِّل النظام القائم، دون أن يُخْضِعَ للمساءلة
تسيير البلاد ويسهم في منح صورة خاطئة عن نقاش ديمقراطي حول هذه
الانتخابات. لقد تمّ إفراغ هذه الانتخابات من محتواها، فهي ليست سببا بقدر
ما هي نتيجة لوضعية معاشة من قبل الجزائريين والجزائريات”.
زهور شنوف
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Sid Ahmed Ghozali au forum de Liberté : le retour de Ouyahia et de Belkhadem, «c'est du théâtre»
le 17.03.14 | 13h21
30 réactions
Sid Ahmed Ghozali, ancien chef de gouvernement qui a succédé à Hamrouche, ancien patron de Sonatrach, est l'invité du Forum de Liberté, ce lundi 17 mars. Il a fondé le Front démocratique, « interdit d'activité ».
«Je viens m'acquitter d'un devoir de vérité, même si je suis interdit d'activité politique depuis 15 ans dans le cadre du Front démocratique. Je n'entends rien demander à personne. On joue depuis des mois, voire des années, de la santé d'un homme pour se jouer de tout un peuple, sans craindre de donner au monde l'Algérie en spectacle, pour s'apprêter à organiser des présidentielles préfabriquées.»
«Je mets solennellement en garde le pouvoir, on aura le pire des changements en continuant ainsi, le changement dans le désordre. On se te trompe lourdement en croyant qu'on peut faire marcher la société en la bernant et en lui donnant des ordres. Le pouvoir se rapproche de l'implosion et nous emmène dans son sillage dans le chaos. Quand il n'y aura plus d'argent à jeter par la fenêtre, le pire viendra.»
«Il faut laisser l'Algérie aux jeunes générations. Car le 4e mandat est une fumisterie. Je ne suis pas là pour tirer sur une ambulance. Je suis le premier à avoir récusé et le 1er et le 2e et le 3e mandat, le Président m'a d'ailleurs accusé d'« ennemi du peuple ». Le débat autour du 4e mandat nous éloigne des vraies problématiques. L'oligarchie ne cèdera pas d'un pouce. Bien naïf celui qui croit à des garanties dans ces élections, c'est antinomique avec la nature du pouvoir.»
«C’est le système qui désigne «l’heureux élu». Et celui qui décide n’est pas sur la place publique, il décide via des intermédiaires. Qui vous dit que c’est Bouteflika qui sera le Président ? L’important n’est pas qui est le candidat agréé, mais de savoir est-ce qu’on pourra changer ce système.»
M. Ghozali répond aux questions de la presse :
«Que faut-il faire pour s’en sortir ? La démocratie ne se décide pas, c’est une accumulation. Je ne demande pas au pouvoir de partir, mais la vie des nations est rythmée par des négociations entre la société et le pouvoir politique. Or le peuple est coupé du pouvoir, et ce dernier lui dénie son rôle. On peut envisager de mener le système graduellement vers le mieux : commençons par appliquer la loi, laisser une place à la société et instaurer le principe de la responsabilité. Un système qui refuse de rendre compte ne peut que produire de mauvaises décisions. Jamais une loi ne peut être rétroactive dans les droits élémentaires, la loi sur les partis est une violation. Une loi qui permet légalement ceux qui ne peuvent interdire illégalement. Celui qui peut changer ça devra être un président élu légitimement.»
«Qui tient le pouvoir ? On nous oblige à nous enliser dans cette question. Le plus important est de dire ce pouvoir a réussi ou pas, pas de dire le pouvoir c’est untel ou l’autre. Il y a eu deux régimes dans ce pays, celui de Boumediene et l’actuel. Celui de Boumediene était officiellement autoritaire, un dictateur. Mais c’était transparent, Boumediene n’a pas promis la démocratie. Tous les Algériens étaient convaincus que c’était un Monsieur qui s’occupait de leurs affaires. C’est ça, la légitimité.
A la mort de Boumediene, on a basculé vers un régime autoritaire mais opaque, ceux qui ont la décision, on ne les voit pas. On est passé de la légitimité historique à la légitimité militaire, puis à la légitimité sécuritaire. Mais il y a DRS et DRS, certains ne sont pas dans la décision politique, il y en a qui ont sacrifié leur vie pour le pays. Le pouvoir regarde les autres militaires comme il nous regarde : des gens qui doivent obéir. Et c’est un parti clandestin de deux millions de militants qui gouverne avec les moyens de coercition de l’Etat.
Ce qui se passe à Ghardaïa ? La raison principale : la gestion de l'économie. Boumediene avait raison de faire attention à l'équilibre régional. Et cette crise se produira dans le Sud. Lors de la marche de 2001 des arouch, 300 000 marcheurs de la Kabylie vers Alger, le régime a dit « la main de l'étranger ». Puis, le Président est parti à Ghardaïa et Tamanrasset pour leur dire « vous êtes les vrais berbères ». Le Président a divisé les Algériens.
Le retour de Ouyahia et de Belkhadem ? C'est du théâtre, le gentil, le méchant... Le vrai pouvoir n'est pas apparent. Il s'agit d'un casting (nationaliste, islamiste, trotskyste...). C'est une mascarade.
Un scénario 1992 ? Ce qui va se passer ensuite sera le résultat de ce régime, pas le fait d'une seule personne.
Ingérence ? C'est nous qui avions permis au Quai d'Orsay de réagir. Quand on demande la protection à des étrangers, c'est ça le résultat. Lors des élections de mai, c'est l'ambassade US qui a appelé les Algériens à voter ! Quand le pouvoir est protégé par le peuple, ce pouvoir est fort, mais quand il demande à l'étranger de le défendre, il est faible.
Barakat ? Je vois des jeunes qui manifestent contre le 4e mandat, ils insistent sur leur démarche pacifique. C'est criminel de les empêcher de manifester. Bien qu'eux-mêmes tombent dans le piège du 4e mandat. Ils doivent élargir leurs champs de revendications. Maintenant, qui me dit d'où viennent les mouvements de rue ? Des acteurs d'Octobre 88 disent que c'est de l'intérieur du pouvoir. Parfois des forces étrangères, comme ce fut le cas de Mossadegh en Iran.
Sellal et les chaouias ? C’est affligeant. Je ne lui en veux même pas. Un homme équilibré, raisonnable, responsable, doit connaître sa langue. On ne désigne jamais une entité ou une minorité d’un doigt. Son chef est allé pleurer sur la tombe de Hassan II, puis il insulte le peuple marocain à la télé. C’est une non maîtrise des nerfs, de la langue, de la pensée. Quand le chef de l’Etat dit « je ne fais confiance à personne », ça veut dire qu’il n’est pas à sa place.
Corruption ? Le kilomètres d’autoroute coûte 4 ou 5 fois plus qu’ailleurs ! En plus, l’autoroute est loin d’être terminée et se détériore déjà. Les fondations s’écroulent car on l’a construit vite, pour l’effet d’annonce. Un comptable du temps de Boumediène a été tué pour 10 millions de centimes… Et là, on parle d’affaire Sonatrach avec 280 millions de dollars, avec en plus un haut responsable (allusion à Saadani) qui dénonce la justice
Mediene autant responsable que Bouteflika ? Notre système est mauvais. Quand on cherche à braquer la lumière sur des personnes données, c’est pour ne pas parler de la conformité d’un système avec les normes.
Période de transition ? Une transition est un processus entre une situation à une autre ? Or, cela fait des décennies qu’on est dans une période de transition. Il faut, pour en parler, en diagnostiquant la situation. L’Algérie est riche avec un peuple pauvre.
Vous faisiez partie du régime ? Le peuple ne fait pas de différence entre les pouvoirs publics et le pouvoir politique. On le pousse à confondre à mélanger entre les gens qui travaille dans un domaine technique (même un Premier ministre), qui peut même travailler pour le régime, et ceux qui sont le pouvoir politique. Le pouvoir dit « on nous critique car ils ont été exclu du régime », c’est leur argument.
Boumaârafi a-t-il agi seul ? Il est impossible de dire qu’il y a complot ou de dire le contraire. Par contre, quand on met à la tête de la protection de Boudiaf quelqu’un qu’on disait islamiste, quand on met un loup dans la bergerie, on n’a pas besoin de lui donner des instructions. Pourquoi avoir fait rentrer le loup dans la bergerie. Mais est-ce que ca suffit pour parler de complot ? J’ai démissionné en 1992 parce que j’étais chef d’un gouvernement qui n’a pas pu protéger le président Boudiaf.
Les réformes de Hamrouche ? Je n’ai pas arrêté les réformes, d’ailleurs il n’y en avait pas beaucoup.
L’opposition fait-elle partie de la pièce de théâtre ? Il n’y a pas d’opposition, à part le FFS, le RCD qui à partir à un certain moment a pris son rôle au sérieux, et le FD. Le reste c’est des machineries appartenant au pouvoir. Pour Aït Ahmed, c’est un chef historique, qui a eu le courage de dire non en 1963. Mais pour voir la perversité de ce système : aux législatives de 1997, où le RND devient majoritaire après deux mois de création, Aït Ahmed a déclaré que les élections sont truqués et nous avons participé au trucage. Il a dit « le président nous a promis 20%, les « services » nous ont ramené à 9% ».
Consigne de vote ? On voulait faire des législatives de 2012 un plébiscite. Nos élections sont comme un terrain sportif : l’arbitre, le terrain, la fédération, les équipes… tous appartiennent au même H’mida. J’ai dit aux Algériens que le vote ne signifie plus rien. On veut faire croire à un vote mais ce vote est réduit à zéro. Un ancien chef de gouvernement en poste durant le 3e mandat : « votez ou non, c’est le Président qui sera élu » !
In Elwatan2014.com
Adlène Meddi
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froro_42
le 17.03.14 | 20h01
Monsieur pap......
Vous accusez les islamistes d'avoir assassinés le président
BOUDIAF que dieu le reçoit dans son paradis et de la vous traitez une
large frange de notre peuple de loups et une autre de moutons et de
cette façon on comprend que vous étiez le berger . NOS PREMIERS
MINISTRES ONT CHAQUN SA STRATEGIE POUR NOUS DIRIGER 1°SOIT DIVISER POUR
REGNER COMME DIT PAPILLION LES MOUTONS D'UNE PART ET LES LOUPS DE
L'AUTRE OU 2° AFFAMER SON CHIEN POUR QU'IL VOUS SUIVE COMME NOUS A DIT
OUYAHIA L'HOMME DES MISSIONS......OU 3°COMME A DIT HAMROUCHE A UN
GENERAL A VOUS DE JOUER MONSIEUR KHALED.OU 4°MARCHE OU CREVE COMME NOUS
LIMPOSE SELLAL. Si vous nous considérés comme des animeaux laissez nous
la possibilité de choisir nous même le roi que nous voulons un lion de
l'atlas algérien par exemple.
Une analyse pragmatique ,
Le présent compte rendu de l'intervention de Sid Ahmed
Ghozali au forum de liberté a le merite d’être clair et édifiant et
tranché.
Il est rendu d'autant plus crédible que l'ex Chef du Gouvernement et fin analyste n'est pas candidat et se tient a egale distance de chacun des candidats en ne prenant position ni en soutenant l'un d'entre eux
Il est rendu d'autant plus crédible que l'ex Chef du Gouvernement et fin analyste n'est pas candidat et se tient a egale distance de chacun des candidats en ne prenant position ni en soutenant l'un d'entre eux
Rendons à César
Accusé l'un pour encensé l'autre, alors qu'ils sont tous les
deux du même acabit. Boumédienne n'a pas de mérite il a mis un système
dictatorial en place, alors que nous avions l'espace (et l'argent) pour
construire démocratiquement. Boumédienne a éliminé systématiquement tous
ceux qui osaient dénoncer les dérives de son pouvoir absolu. Alors
Boumédienne ou Bouteflika c'est le renard et sa queue. Monsieur GHOZALI
vous les avez cotoyé tous les deux et vous savez qu'à l'instar de bon
nombre de nos compatriotes ils sont des "jusqu'au boutistes" et jamais
ils n'ont fait la moindre tentative de reconnaître leurs erreurs. Et
cela perdure.
Sich Fragen stellen!
La doctrine révolutionnaire propagée depuis l´indépendance du
pays a contribué pleinement à mettre la confrontation au dessus de
toute forme de communication. Les arguments et les visions à long terme
se noient très tôt dans cette confrontation, très souvent destructive.
On veut parcourir 10000 mètres et on se donne tellement à fond déjà dans
les premiers 100 mètres qu´on se demande dans quel état seront ces
«coureurs» après 2000 mètres et qui va les remplacer pour la suite du
parcours.
En essayant de récapituler un peu, on constatera que les gouvernements depuis les années 2000 ont essayé d´intégrer toutes sortes d´oppositions dans la gestion du pays. Beaucoup de ces ex-gestionnaires, souvent sous formes de ministres et de premiers ministres sont mécontents du système de gestion actuel du pays. Cela rappelle des entraineurs qu´on engage pour une courte durée et qu´on renvoi, car les résultats ne sont pas de manière suffisamment rapide au rendez vous.
On arrive ensuite à se poser la question, pourquoi il n´y a pratiquement pas d´opposition?
Le système? Le problème pourrait-il être, qu´il n´y ait pas de système du tout? Beaucoup sont à la recherche de visages qui représentent le système. Mais même ces visages changent lorsqu´on arrive à les définir.
Se pourrait –il qu´il n´y ait pas de hiérarchie au sommet de l´état, que personne ne peut décider tout seul? Une sorte de démocratie «arbitraire» au sommet?
Est-il possible que ce système manque d´efficience, car il n´y a jamais eu (ou pas depuis très longtemps), entre autres, de hiérarchie claire ? Et les responsabilités de chacun de ces gestionnaires au sommet, sont ils définies de manières claires? De manière à ce qu´ils puissent prendre des décisions et changer ce qui ne fonctionne pas (plus).
J´aurais toujours beaucoup de mal à imaginer un groupe homogène au sommet de l´état en Algérie, même avec toutes sortes d´intérêts communs. Et j´ai la même difficulté à imaginer une quelconque opposition ou organisation homogène chez nous.
Le seul moment où il y a un semblant d´homogénéité, c´est lorsqu´un groupe de personnes a momentanément un ennemi commun. Ce comportement frôle la pathologie «Bordeline» et pourrait trouver une partie de ses origines dans la doctrine révolutionnaire tant idéalisée et instrumentalisée depuis très longtemps. Changer des hommes ou les écarter est une chose, changer une culture est tout autre chose. La confusion parait flagrante.
Auf Wiedersehen!
En essayant de récapituler un peu, on constatera que les gouvernements depuis les années 2000 ont essayé d´intégrer toutes sortes d´oppositions dans la gestion du pays. Beaucoup de ces ex-gestionnaires, souvent sous formes de ministres et de premiers ministres sont mécontents du système de gestion actuel du pays. Cela rappelle des entraineurs qu´on engage pour une courte durée et qu´on renvoi, car les résultats ne sont pas de manière suffisamment rapide au rendez vous.
On arrive ensuite à se poser la question, pourquoi il n´y a pratiquement pas d´opposition?
Le système? Le problème pourrait-il être, qu´il n´y ait pas de système du tout? Beaucoup sont à la recherche de visages qui représentent le système. Mais même ces visages changent lorsqu´on arrive à les définir.
Se pourrait –il qu´il n´y ait pas de hiérarchie au sommet de l´état, que personne ne peut décider tout seul? Une sorte de démocratie «arbitraire» au sommet?
Est-il possible que ce système manque d´efficience, car il n´y a jamais eu (ou pas depuis très longtemps), entre autres, de hiérarchie claire ? Et les responsabilités de chacun de ces gestionnaires au sommet, sont ils définies de manières claires? De manière à ce qu´ils puissent prendre des décisions et changer ce qui ne fonctionne pas (plus).
J´aurais toujours beaucoup de mal à imaginer un groupe homogène au sommet de l´état en Algérie, même avec toutes sortes d´intérêts communs. Et j´ai la même difficulté à imaginer une quelconque opposition ou organisation homogène chez nous.
Le seul moment où il y a un semblant d´homogénéité, c´est lorsqu´un groupe de personnes a momentanément un ennemi commun. Ce comportement frôle la pathologie «Bordeline» et pourrait trouver une partie de ses origines dans la doctrine révolutionnaire tant idéalisée et instrumentalisée depuis très longtemps. Changer des hommes ou les écarter est une chose, changer une culture est tout autre chose. La confusion parait flagrante.
Auf Wiedersehen!
Boumédienne UN DEMOCRATE ????
Mr.Ghozali dit çà parceque c'est Boumédienne qui l'a installé à la
tête de la Sonatrach qu'il a transformé en un état dans l'état et encore,grâce à lui qu'il a accedé au poste de baron de l'économie de l'industrie et de l'énergie tout comme son père spirituel Belaid Abdeslam.
Boumediene chouchouter les 2 car ils lui faisaient de la bonne finance avec laquelle il nous faisait de la bonne dictature.
Maintenant il nous fait des visites de courtoisie Helas !!I il est venu les mains vides et retournera les mains vides.
Un des rares étudiants qui n ont pas repondu a l appel de la greve de 1956.
tête de la Sonatrach qu'il a transformé en un état dans l'état et encore,grâce à lui qu'il a accedé au poste de baron de l'économie de l'industrie et de l'énergie tout comme son père spirituel Belaid Abdeslam.
Boumediene chouchouter les 2 car ils lui faisaient de la bonne finance avec laquelle il nous faisait de la bonne dictature.
Maintenant il nous fait des visites de courtoisie Helas !!I il est venu les mains vides et retournera les mains vides.
Un des rares étudiants qui n ont pas repondu a l appel de la greve de 1956.
Votons quand même Benflis!
La politique ce n'est pas seulement les bilans, les idées et
les confrontations des thèses et des projets de sociétés. C'est aussi
l'art de rassembler les alliés, de contrer les adversaires, celui de la
recherche du consensus ou à défaut du compromis. La politique c'est
aussi un combat intelligent; j'entends par là élaborer les meilleurs
scénarios et les meilleurs stratégies d'approche afin de peser de tout
son poids sur l'échiquier politique car il n'est jamais conseillé de
perdre plusieurs batailles à la fois. Contrairement à ce que vous venez
de dire monsieur Ghozali, le FFS et le RCD ne sont plus que l'ombre
d'eux même. Et c'est à cause de leurs boycotts effrénés et systématique
qu'ils sont devenus ce qu'ils sont aujourd'hui, à savoir, le néant! La
politique c'est bel et bien la recherche de l'équilibre des forces.
C'est un rapport de force! Barakat, les 20 partis du boycott dont le RCD
etc; ont-ils les moyens politiques de leur ambition? C'est tout à fait
honorable ce qu'ils revendiquent et je dirai même que c'est noble. Mais
y'a t-il une moindre chance pour eux pour que cela aboutisse? Ils savent
très bien que le pouvoir est très déloyale, violent et sectaire,
pourquoi donc ne pas le pousser jusqu'à ses derniers retranchements en
le tuant avec sa propre arme. La compagne électorale. Allons tous au
terrain avec le mieux placé Ali Benflis,exigeons de lui de
promettre,lors de la compagne, solennellement et sans ambages la réforme
systématique et systémique de notre régime politique à travers une
démocratisation franche des institutions et des mœurs de la république
et démontons pièce par pièce la grosse dérive de la caste et du régime.
Sans cette tribune tout le monde pourra rêver! Je préfère de loin perdre
tout en critiquant, en dénonçant, en prenant à témoins les algériens,
en leur dessinant de quoi sera fait demain avec le grand espoir de leur
offrir le bon cadre de rassemblement et la bonne cause qui forgera la
conscience démocratique collective commune que de perdre dans le noir et
rentrer bredouille une fois le mort vivant sorti vainqueur avec un
score à la soviétique. Dans l'immédiat il faut coûte que coûte
encourager Rebaine, Belaid et Touati de laisser seul Ali Benflis écraser
et de lmaminer le fantôme du pouvoir car s'en est vraiment un.
Bouteflika ne pourra en aucune manière s'adresser au peuple durant cette
compagne et c'est là qui doit permettre à tous les algériens et les
républicains de forcer le changement avec Benflis!
MEGALO !!!!
Alors que vous azviz tout le loisir d’écrire des livres
entiers, vous vous cachiez derrière le devoir de réserve, voilà que
vient cette période charnière, vous vous retrouvez recale par le
système, vous venez polluer le débat. je ne comprends Pas.
vous nous faites l’apologie du crime politique sous boumedienne? L’apologie de l'affairisme sous chadli?
Que vaut votre témoignage sur l'assassinat de feu boudhiaf?
Mais ou va l’Algérie?????????
vous nous faites l’apologie du crime politique sous boumedienne? L’apologie de l'affairisme sous chadli?
Que vaut votre témoignage sur l'assassinat de feu boudhiaf?
Mais ou va l’Algérie?????????
Avenir incertain et dangereux
Comment un pays aussi riche en hommes (et femmes) de valeur peut-il être tenu par une poignée de vauriens.
Comment ne peut-on leur donner un coup de pied au cul sans casser ni détruire ni livrer le pays aux islamistes fous?
Comment ne peut-on leur donner un coup de pied au cul sans casser ni détruire ni livrer le pays aux islamistes fous?
UN REPENTI
tres courageux de votre part MGHOZALI
l'heure et grave pour la nation,c'est le moment ou jamais a se mobilisé pour défendre cette belle nation,les opportunistes et les trafiquants de tout genres inondent la pays;et ils veulent le réduire a néant pour faire plaisir a leurs supérieurs de l'autre rive,ou est tu l'enfant du pays qui aime autant avec amour ce beau pays;ils ton fait fuire ailleurs;car tu n'acceptés pas l'humiliation et le mépris
l'heure et grave pour la nation,c'est le moment ou jamais a se mobilisé pour défendre cette belle nation,les opportunistes et les trafiquants de tout genres inondent la pays;et ils veulent le réduire a néant pour faire plaisir a leurs supérieurs de l'autre rive,ou est tu l'enfant du pays qui aime autant avec amour ce beau pays;ils ton fait fuire ailleurs;car tu n'acceptés pas l'humiliation et le mépris
Les loups qui crient "Au Loup!"
Mais Mr Ghozali, vous parlez comme si vous étiez un simple
citoyen qui a souffert de ce régime alors que vous êtes membre a part
entière de ce régime horrible fait de discours fleuves unidirectionnels
pour endormir le peuple et permettre la perpétuation de l'illégalité du
pouvoir personnel ou des valises de cash peuvent quitter le territoire
sans inquiétude, ou Sonatrach a failli être vendue, ou la souveraineté
nationale est dangereusement mise en péril, ou l'injustice a gagné du
terrain depuis même Chadli et Zeroual. Vous étiez PDG de Sonatrach,
ministre et premier ministre de ce régime qui a de tout temps poussé le
pays vers le bas. Pendant que vous y êtes, pourquoi ne pas donner plutôt
votre lecture de l'assassinat de Boudiaf alors que vous étiez premier
ministre. Le retour de ces charlots que sont Ouyahia et Belkhadem est en
effet une "Mahzalla" qui ne doit étonner personne. Ce régime n'a aucun
respect pour le peuple. Il ne lui doit d'ailleurs même pas son élection
hors électeurs. Quelles institutions valides auraient choisi un candidat
mis en accusation par la cour des comptes et condamné, pour être
président? Depuis votre sortie des ponts et chaussées, vous avez
accommodé de ce régime même du temps ou le "marquis" de Djelfa alias
Bencherif colonisait la gendarmerie nationale pour casser du Moudjahid
membres de l'ALN. Vous auriez pu utilisez votre intelligence pour
l’intérêt du pays. Vous ne l'avez pas fait, la jeunesse a besoin de
passer a autre chose.
Vos réactions 30
raouni
le 17.03.14 | 14h45
Le changement est impératif
Notre pays est au bord de l'implosion, si des changements
profonds et radicaux ne sont pas initiés de façon pacifique dans les
jours qui viennent, j'ai trés sérieusement peur d'une exploision
générale qui aboutira que Dieu nous garde à une grande éffusion de sang
et dont on ne connait pas la fin. Les responsables politiques de notre
pays sont arrivés à leur plus haut niveau d'incompétence, ils doivent
comprendre, être sages et partir sans plus de dégats car ils en ont fait
suffisamment.
pouquoi aver vous atandu tout ce temps
j'ai vote l’orque le Pays avais le mal
pour nous sous lors ordre les patriote on fais ce qu'il falais mal grais tous les martir j'ai voter pour le president ZEOUAL j'ai atentendu plus de dix heure
pour voter pooiquoi tous ce temps.GUERDAIA BATAGNA ET APRAIS QUI IL EST TEMPS DE DIR NON CE PAYS EST A TOUS LES VRAIS ALGERIEN
pour nous sous lors ordre les patriote on fais ce qu'il falais mal grais tous les martir j'ai voter pour le president ZEOUAL j'ai atentendu plus de dix heure
pour voter pooiquoi tous ce temps.GUERDAIA BATAGNA ET APRAIS QUI IL EST TEMPS DE DIR NON CE PAYS EST A TOUS LES VRAIS ALGERIEN
Marche arriere a grande vitesse !
En ramenant deux servants tetus au serail, ce regime pourri a
enclenche la mache arriere a grande vitesse vers le ravin et la
catastrophe !! Implosion-Autodestruction ? On l'espere bien car
l'histoire nous abien appris que Neron ne dura pas longtemps et Cesar au
moins a su garder sa dignite. La question que se posent les Algeriens
est :Comment a pu ce president -marionette accepte de PRETER SERMON
TROIS FOIS SUR LE CORAN ET NE PAS TENIR SA PAROLE ? ET COMMENT POURRA T
IL PRETER UN 4eme et apres faire face a son Seigneur Allah devant les
Chouhadas qui ont sacrifie leur vie pour que l'Algerie devient la
propriete de tout un peuple et non pas une poignee de salopards sans
scrupules!!!! ??? Et nous voila face a face avec un regime dictateur qui
cree des problemes aussi compliques que lui meme !!!
taisez vous SVP
C’est trop tard ya si El Mokhtar. Qu’avez-vous fait lorsque
vous étiez plus utile !!! Présentement vous nous avez éparpillé un peu
partout dans le monde avec cet immense fardeau " de gros larme de nos
chères mères".
Actuellement vos confrères ne récolte que ce que vous avez semé !!!
je ne vous pardonnerai jamais devant dieu . heureux celui qui ne connait pas l’exil forcé.
Actuellement vos confrères ne récolte que ce que vous avez semé !!!
je ne vous pardonnerai jamais devant dieu . heureux celui qui ne connait pas l’exil forcé.
Le quotient et le reste
Ghozali a raison. Depuis sa venue en 1999, Bouteflika
n'arrête pas de diviser les algériens, les partis, les associations, les
sociétés, les groupes,.......il divise même l'indivisible. En cette
période cruciale ou tout est déjà divisé, il est a craindre sérieusement
pour l'unité et la stabilité.
le pire dans la boule de cristal
Churchill disait,vaut mieux accompagner le changement par la
main,avant qu'il ne nous prenne par la gorge.il semble que le pays soit
au bout du rouleau,tout porte à croire que le changement est imminent
,je ne sais pas exactement quand ,mais tous les ingrédients sont là.LE
prophète disait dans un hadith "si Dieu voudrait un changement ,il
réeuinira toutes les causes de ce changement sadaka rassoul
ellah.il'n'y' a que les aveugles qui ne peuvent voir la vérité en face.
Ennemi invisible !
Comment pourrait on se battre avec un ennemi invisible qui
joue a cache-cache avec le peuple et se moque de lui en rappellant deux
charlatans-servants du regime ? Comment distinguer entre les tetes dures
d'un regime dont la seule communication avec le peuple est a travers la
matrsque ! Le groupuscule mafieux qui tient le gouvernail du pays d'une
main de fer a un masque noir et il se cache derriere un rideau opaque
surveille par une armee de policiers enrages et psychopathes qui
n'obeissent qu'a un seul appel : Celui du dictateur en chef , un certain
parrain deguise et camoufle, inconnu,invisible,sans scrupules, sans foi
ni loi . Ce parrain fait des marchandages directes avec les etrangers
et en dollars . Pour lui le peuple algerien n'existe pas et la
constitution est un simple cahier duquel il peut dechirer ou remplacer
autant de feuilles qu'il veut et les elections sont une simple formalite
pour les yeux du monde car pour cette bande de mafieux ce sera toujours
"Business as usual " !!!
ANCIENNES CARCASSES TOUS
Le peuple Algérien est victime du dénigrement des anciennes carcasses ;;
j'adhère
enfin quelqu'un qui partage une idée que j'ai déjà exposé
sans qu'elle ne retienne l'attention des lecteurs. Ghozali dit : qui dit
que Bouteflika sera président? moi, j'ai toujours déclaré que
Bouteflika n'est qu'une pièce du décor dans le spectacle mascarade
d'avril 2014 "ou théâtre comme cela plait à Ghozali de le qualifier"
Benflis est belle et bien le candidat du système et preuve en est dans
la peur affichée par Medelci au CC le jour de la candidature officielle
de Benflis. encore le système et que dieu sauvegarde l'Algérie.
Vous commencez à comprendre Mr. Ghozali.
Tout ce que vous avancez est partagé peu ou prou par la majorité du peuple algérien.
J'aurai toutefois aimé vous entendre le clamer haut et fort lorsque vous aviez constaté que les dés étaient pipées. Pourquoi attendre l'agonie du Tsar ?
Devoir de réserve ? Ou lâcheté intellectuelle ?
Mr. Benflis, qui a lui aussi vécu les même déboires avec les cerbères du régime, a fait de même. Ce n'est que maintenant qu'il ose ouvrir les placards où sont stockés les squelettes.
Je ne vous juge pas Mr. Ghozali. Mais l'histoire, elle, le fera.
A moins que vous ne fassiez acte de repentance, pour vous racheter auprès de ce peuple maltraité.
J'aurai toutefois aimé vous entendre le clamer haut et fort lorsque vous aviez constaté que les dés étaient pipées. Pourquoi attendre l'agonie du Tsar ?
Devoir de réserve ? Ou lâcheté intellectuelle ?
Mr. Benflis, qui a lui aussi vécu les même déboires avec les cerbères du régime, a fait de même. Ce n'est que maintenant qu'il ose ouvrir les placards où sont stockés les squelettes.
Je ne vous juge pas Mr. Ghozali. Mais l'histoire, elle, le fera.
A moins que vous ne fassiez acte de repentance, pour vous racheter auprès de ce peuple maltraité.
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tigremalin
le 17.03.14 | 16h40
Ma pauvre Algerie tu me fais de la peine
moi personnellement j'attends rien de la majorité de ce
peuple il vont rester comme ça jusqu'a la chute des prix du petrole
c.a.d il n'y aura plus a boire et a manger ce peuple va sortir ds la rue
pour( re détruire)leur ce pauvre bled,voila en résumé ce que veut ce
peuple.
Les zombies nous gouvernent !
La trêve électorale délie bien des langues.C'est une période faste pour dire ce que l'on a vu, ce que l'on pense
et ce que nous voudrions que l'Algérie soit.C'est aussi un moment de liberté et de revanche.Seule lemilitantisme continu et acharné paie.
L'Algérie depuis 1962 a été dirigée par des bandes de voleurs et de voyous, sans foi ni loi et le peuple a été mené avec la carotte et le bâton.
Un clan remplace un autre tel que le cite Ibn Khaldoun et la loi du plus fort est toujours la meilleure.
Tous les ingrédients de la Libye et de la Syrie sont réunis actuellement en Algérie et le terrorisme reviendra
bientôt non islamiste mais généralisé ,tribal et racial en force et qui viendra à bout du vert et de l'asséché.
Nous reviendrons aux régences et tribus du moyen âge et nous éclaterons comme a éclaté en son temps l'Andalousie.
L'Algérie oublie très vite: regardez le feu président Boudiaf ramené par l'armée , sauvagement assassiné et le dossier a été clos et sans suite ! c'est presque un fait divers.
Peut on croire à ces handicapés mentaux qui nous gouvernent ?
Pour les élections du 17 avril, je conseille aux maigres espoirs de candidats autres que le principal de
-dormir in situ à côté des urnes comme l'a fait le FIS en 1992.
-de vérifier les votants un par un et de bien savoir compter in situ lors du dépouillement des urnes
-de savoir comment sommer les chiffres à l'échelle nationale (consolidation avec un logiciel de préférence).
Peut être éviteront ils les scénarios catastrophes tels que l'ont annoncé successivement les conseils inconstitutionnels à toutes les élections.
et ce que nous voudrions que l'Algérie soit.C'est aussi un moment de liberté et de revanche.Seule lemilitantisme continu et acharné paie.
L'Algérie depuis 1962 a été dirigée par des bandes de voleurs et de voyous, sans foi ni loi et le peuple a été mené avec la carotte et le bâton.
Un clan remplace un autre tel que le cite Ibn Khaldoun et la loi du plus fort est toujours la meilleure.
Tous les ingrédients de la Libye et de la Syrie sont réunis actuellement en Algérie et le terrorisme reviendra
bientôt non islamiste mais généralisé ,tribal et racial en force et qui viendra à bout du vert et de l'asséché.
Nous reviendrons aux régences et tribus du moyen âge et nous éclaterons comme a éclaté en son temps l'Andalousie.
L'Algérie oublie très vite: regardez le feu président Boudiaf ramené par l'armée , sauvagement assassiné et le dossier a été clos et sans suite ! c'est presque un fait divers.
Peut on croire à ces handicapés mentaux qui nous gouvernent ?
Pour les élections du 17 avril, je conseille aux maigres espoirs de candidats autres que le principal de
-dormir in situ à côté des urnes comme l'a fait le FIS en 1992.
-de vérifier les votants un par un et de bien savoir compter in situ lors du dépouillement des urnes
-de savoir comment sommer les chiffres à l'échelle nationale (consolidation avec un logiciel de préférence).
Peut être éviteront ils les scénarios catastrophes tels que l'ont annoncé successivement les conseils inconstitutionnels à toutes les élections.
Un grand homme
La mise à l'écart de Ghozali fait partie de cet immense
gâchis algérien. Le père de Sonatrach, le visionnaire compétent et
patriote souffre de ses qualités dans un pays soumis à la prédation,
l'incompétence et la trahison.
HANDICAPE
dimanche 16 Mars 2014 a la salle des fetes ( ZHOR )a ain
naaddja a l'occasion de la selebration journee des handicapes qui a
debutes vers 14H03 chant dance gazouz et gateau bref les handicapes on
oublier un tant soit peu leurs infirmites quand tout-a-coup vers 16H35
des individus sorti de nulle-part se sont empares du microphone pour
faire un discours PRO BOUTEFLIKA et inciter tous le personnels presents a
voter pour LUI bon maintenant qu'il est handicaper il se tourne vers
cette frange de la societe alors les decrets de 2003 en faveur des
handicapes ne sont toujours pas signer et appliquer
votez ou non, c’est le Président qui ...
l"Algerie va bientot rejoindre le reste du monde arabe. la guerre civile n'est pas loin.
démocrate+islamiste=FLN
EN ALGERIE IL EXISTE DEUX BRANCHE POLITIQUE UNE ISLAMISTE
REPRÉSENTE PAR MR BEN KHADEM,ET L AUTRE DÉMOCRATE REPRÉSENTE PAR MR
OUYAHIA.ET C EST DEUX HOMME SORTE D UNE MÊME ARBRE,ET CETTE ARBRE S
APPELLE(FLN).C EST LE SEUL SYSTÈME SUPRÊME QUI DÉCIDE DU SORT DES 40
MILLION D ALGERIEN.EN FRANCE Y A LA GAUCHE ET LA DROIT,USA Y A LES
DÉMOCRATES ET LES RÉPUBLICAINS.POUR SAID SAIDI,AIT HEMED,LALA
LEWIZA,DJABELLAH,ET D AUTRE SONT DES PARTIS A FAIRE MARCHÉ LA MACHINE
ELECTORAL.
Le périmé est nuisible pour la santé
un médicament périmé dans emballage beau et neuf ne sera
jamais efficace pour la santé. Honte à vous de vous montrer au peuple.Il
ne veut pas de vous
C'est du blabla
Mr Ghozali,vos propos sont abstraits ! Nous, on veut du concrêt,
avec des solutions, pour sortir de l'impasse. Belkhadem,c'est l'islamiste profiteur et incompétent;
Ouyahia c'est l'opportuniste. De toutes façons, on ne fait pas du neuf
avec du vieux!.. Dire que c'est Saïd,
avocat de cours du soir et par piston
qui tire les ficelles. Où va-t-on? Pleure,pleure, ô pays bien aimé!...
avec des solutions, pour sortir de l'impasse. Belkhadem,c'est l'islamiste profiteur et incompétent;
Ouyahia c'est l'opportuniste. De toutes façons, on ne fait pas du neuf
avec du vieux!.. Dire que c'est Saïd,
avocat de cours du soir et par piston
qui tire les ficelles. Où va-t-on? Pleure,pleure, ô pays bien aimé!...
Halte à la falsification de l'Histoire !
C'est un capharnaüm que vous nous livrez là ! un tissu d'inepties !
Comment oser faire l'éloge d'un dictateur alors que c'est bien le premier à avoir trahi la révolution et à avoir usé et abusé du régionalisme et de la liquidation des adversaires ?il y a eu deux régimes? ...fadaises ! Il n y a eu qu'un seul régime en Algérie, celui imposé par Boumediene en 1962 d'abord en intronisant Ben Bella grâce à son armée puis en s'installant lui même ouvertement à la tête de la mutinerie ! L'actuel régime n'est qu'une métastase du système mis en place par Boumédiene . Ceux qui "savaient entendre l'herbe pousser" avaient prévenu bien avant l'indépendance contre les dangers du militaire mais c'était aussi de vrais soldats et ils n'ont malheureusement pas survécu à la guerre. Il est vrai que nos "élites" ne sont pas en mesure de reconnaître l'arbre dans la graine !
Comment oser faire l'éloge d'un dictateur alors que c'est bien le premier à avoir trahi la révolution et à avoir usé et abusé du régionalisme et de la liquidation des adversaires ?il y a eu deux régimes? ...fadaises ! Il n y a eu qu'un seul régime en Algérie, celui imposé par Boumediene en 1962 d'abord en intronisant Ben Bella grâce à son armée puis en s'installant lui même ouvertement à la tête de la mutinerie ! L'actuel régime n'est qu'une métastase du système mis en place par Boumédiene . Ceux qui "savaient entendre l'herbe pousser" avaient prévenu bien avant l'indépendance contre les dangers du militaire mais c'était aussi de vrais soldats et ils n'ont malheureusement pas survécu à la guerre. Il est vrai que nos "élites" ne sont pas en mesure de reconnaître l'arbre dans la graine !
A l'attention du Mouvement Barakat
Quand on est dans un mouvement sensé apporter le changement
et fermer la porte aux éventuels Leaders –l’Algérie à énormément besoin
de Leaders, tous secteurs confondus- c’est qu’on est sur la voie du
despotisme.
Cela a toujours fait partie de la stratégie de division des Algérien : éviter l’émergence des Leaders.
De quelle légitimité avez-vous puisé cette autorité afin d’exclure du mouvement les partis politiques, les personnalités politiques, les intellectuels etc. ?
De quelle légitimité avez-vous acquit cette autorité pour fixer, à huis clos, les membres de la coordination nationale du mouvement, façon de dire que les ‘jeux’ sont déjà faits ?
Ce qui arrive chez nous n’est pas un jeu…
Mes amis du mouvement Barakat, il est de mon devoir de vous dire que non seulement vous faites fausse route, mais votre façon de faire risque bel et bien de compromettre le changement. A ce sujet, j’en ai longuement parlé avec Monsieur Yala… avec toute l’augmentation que requiert la gravité de ce que je dis.
Ce n’est pas un hasard si le pouvoir à laissé faire la manifestation de samedi.
Cela a toujours fait partie de la stratégie de division des Algérien : éviter l’émergence des Leaders.
De quelle légitimité avez-vous puisé cette autorité afin d’exclure du mouvement les partis politiques, les personnalités politiques, les intellectuels etc. ?
De quelle légitimité avez-vous acquit cette autorité pour fixer, à huis clos, les membres de la coordination nationale du mouvement, façon de dire que les ‘jeux’ sont déjà faits ?
Ce qui arrive chez nous n’est pas un jeu…
Mes amis du mouvement Barakat, il est de mon devoir de vous dire que non seulement vous faites fausse route, mais votre façon de faire risque bel et bien de compromettre le changement. A ce sujet, j’en ai longuement parlé avec Monsieur Yala… avec toute l’augmentation que requiert la gravité de ce que je dis.
Ce n’est pas un hasard si le pouvoir à laissé faire la manifestation de samedi.
L’intrigante absence de Abdelghani Hamel
le 17.03.14 | 10h00
4 réactions
L’escalade de la violence à Ghardaïa a suscité le déplacement inopiné, dans la nuit de samedi à dimanche, du Premier ministre par intérim, Youcef Yousfi, en compagnie du ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaïz, et du commandant de la Gendarmerie nationale, le général de corps d’armée, Ahmed Bousteila.
Officiellement, l’objectif de cette mission est de «s’enquérir» de la
situation et «prendre les mesures nécessaires pour mettre un terme aux
douloureux événements» qui perdurent depuis des mois, en dépit des
renforts dépêchés par la police pour sécuriser les biens et les
personnes. Cette délégation a cependant suscité de lourdes
interrogations, en raison de l’absence remarquée du directeur général de
la Sûreté nationale, Abdelghani Hamel, qui s’est contenté d’envoyer un
«représentant». Contacté, le directeur de la communication de la DGSN a
expliqué que le patron de la police était «en mission», pas à
l’étranger, mais à l’intérieur du pays. «Son agenda était programmé
depuis mercredi, il ne pouvait pas annuler à la dernière minute son
programme», a affirmé le porte-parole du DGSN. Quelle mission peut être
plus importante que les graves événements qui endeuillent depuis des
semaines les habitants de Ghardaïa ? La réponse est impossible à obtenir
auprès de la DGSN, dont les éléments ont du mal à instaurer la sécurité
dans les quartiers de la ville de Ghardaïa.
Depuis vendredi dernier, ils sont devenus les principales cibles des attaques à coups de jets de ferrailles et de cocktails Molotov, faisant des dizaines de blessés, dont quatre uniquement durant la matinée d’hier. Parmi eux, certains sont grièvement atteints, comme ce jeune qui a perdu un œil, après avoir reçu un bout de fer. L’absence injustifiée du patron de la police, en ces moments très difficiles, n’a aucune justification si ce n’est cette mésentente dont parlent certains milieux entre lui et le ministre de l’Intérieur, Tayeb Belaïz, ou encore entre lui, et le tout nouveau chef de cabinet de la Présidence, Ahmed Ouyahia. Dans la crise que traverse Ghardaïa, les services de police sont les plus visés et surtout les plus accusés pour leur incapacité à rétablir l’ordre. La présence de leur premier responsable sur les lieux, non seulement pour soutenir ses équipes sur le terrain, mais aussi pour rassurer les populations, était plus qu’urgente. Les priorités de Abdelghani Hamel seraient-elles ailleurs qu’à Ghardaïa ?
Depuis vendredi dernier, ils sont devenus les principales cibles des attaques à coups de jets de ferrailles et de cocktails Molotov, faisant des dizaines de blessés, dont quatre uniquement durant la matinée d’hier. Parmi eux, certains sont grièvement atteints, comme ce jeune qui a perdu un œil, après avoir reçu un bout de fer. L’absence injustifiée du patron de la police, en ces moments très difficiles, n’a aucune justification si ce n’est cette mésentente dont parlent certains milieux entre lui et le ministre de l’Intérieur, Tayeb Belaïz, ou encore entre lui, et le tout nouveau chef de cabinet de la Présidence, Ahmed Ouyahia. Dans la crise que traverse Ghardaïa, les services de police sont les plus visés et surtout les plus accusés pour leur incapacité à rétablir l’ordre. La présence de leur premier responsable sur les lieux, non seulement pour soutenir ses équipes sur le terrain, mais aussi pour rassurer les populations, était plus qu’urgente. Les priorités de Abdelghani Hamel seraient-elles ailleurs qu’à Ghardaïa ?
Salima Tlemçani
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SHARMAN
le 17.03.14 | 14h58
Yousfi, un incompétent au commande
Déjà que Yousfi n'a aucune compétence à dirriger un secteur
comme l'énergie, on le propulse au sommet du gouvernement ! Quelle
tragédie algérienns !!! Qu'a-t-on fait à Dieu! Un jour (c'est
authentique)j'ai un camarade d'enfance et de quartier qui est un
islamiste fervent qui m'a avoué à l'oreille :
" on prie 5 fois par jour pour lui, on se rassemble tous les Vendredis pour lui, mais même Dieu ne veut plus de nous, ....et c'est officiel ce que je te dis" !
Ce sont ces propres termes !
" on prie 5 fois par jour pour lui, on se rassemble tous les Vendredis pour lui, mais même Dieu ne veut plus de nous, ....et c'est officiel ce que je te dis" !
Ce sont ces propres termes !
LES PROBLEMES SONT POLITIQUES
Que peuvent faire les institutions sécuritaires quand les
problèmes sont chroniques et d'origine politico-administrative,
c'est-à-dire de système de gouvernance ? Exemples:
1)- les dégâts des inondations à Ghardaïa il y a deux ans ; c'est parce-qu'on a autorisé la construction sauvage sur les terres basses et le passage des eaux .Au nom de quoi? de la corruption et la stabilité de l’incompétence et de l'inconscience quant aux conséquences durables sur les harmonies urbaines.
2)-Le chômage endémique des jeunes face à des dépenses colossales mais économiquement inefficientes ; parfois irrationnelles (à Constantine la trémie ré-enfouie ,deux ans seulement après son achèvement );toujours inappropriées quand non-concertées ( le projet de palace international obstruant le complexe universitaire Mentouri de Constantine ; les constructions précipitamment concoctées face au centre universitaire de Souk-Ahras et la liquidation du transport ferroviaire sur la ligne électrifiée Annaba-S/A-Ghardimaou ...etc )
4-la disparition systématique des espaces verts et terrains de sports.L'étranglement administrative des activités culturelles.L'absence de politiques d'urbanisme général et de maîtrise démographique.
5-la new-délinquance (drogue,pédophilie,enlèvements,raket ,viols et agressions...)laissée au seul TRAITEMENT SIMPLISTE D'AVAL: détentions confortables souvent écourtées en des occasions politiciennes .
Cette liste peut être développée à l'infini . Alors quoi de plus normal lorsqu'un haut fonctionnaire discipliné, de plus universitaire ,montre quelque réserve quand les questions de fond posées sortent de son champ professionnel de compétence.
1)- les dégâts des inondations à Ghardaïa il y a deux ans ; c'est parce-qu'on a autorisé la construction sauvage sur les terres basses et le passage des eaux .Au nom de quoi? de la corruption et la stabilité de l’incompétence et de l'inconscience quant aux conséquences durables sur les harmonies urbaines.
2)-Le chômage endémique des jeunes face à des dépenses colossales mais économiquement inefficientes ; parfois irrationnelles (à Constantine la trémie ré-enfouie ,deux ans seulement après son achèvement );toujours inappropriées quand non-concertées ( le projet de palace international obstruant le complexe universitaire Mentouri de Constantine ; les constructions précipitamment concoctées face au centre universitaire de Souk-Ahras et la liquidation du transport ferroviaire sur la ligne électrifiée Annaba-S/A-Ghardimaou ...etc )
4-la disparition systématique des espaces verts et terrains de sports.L'étranglement administrative des activités culturelles.L'absence de politiques d'urbanisme général et de maîtrise démographique.
5-la new-délinquance (drogue,pédophilie,enlèvements,raket ,viols et agressions...)laissée au seul TRAITEMENT SIMPLISTE D'AVAL: détentions confortables souvent écourtées en des occasions politiciennes .
Cette liste peut être développée à l'infini . Alors quoi de plus normal lorsqu'un haut fonctionnaire discipliné, de plus universitaire ,montre quelque réserve quand les questions de fond posées sortent de son champ professionnel de compétence.
Et qui va faire la campagne électorale?
Pour les yeux de nos responsables ,la compagne de Mr Bouteflika est primordiale.
l'art de la police
Napoléon 1er disait à Joseph fouché son ministre de la Police
"L'art de la police c'est aussi de ne pas voir ce qui est inutile
qu'elle voit"
بلخادم ينفي خلاف الرئيس مع الجيش ويعترف
بوتفليقة بحاجة لإعادة تأهيل عضلات الأرجل
الثلاثاء 18 مارس 2014 الجزائر: ح. سليمان
نفى عبد العزيز بلخادم وجود خلافات بين الرئيس بوتفليقة والجيش، ولا بين الرئيس وقائد جهاز الاستعلامات والأمن، وهو نفس ما ذهب إليه في وقت سابق الوزير الأول السابق أحمد أويحيى. وانتقد بلخادم الذين يقولون من جهة إن بوتفليقة عاجز عن الحركة، ومن جهة أخرى يتهمونه بإحداث تغييرات مهمة في الجيش والتي يعتبرونها سببا في الخلاف بين الرئاسة كمؤسسة ووزارة الدفاع، هذا كله مجرد ”افتراء وتضخيم”، برأي بلخادم.
قال بلخادم في مقابلة خاصة مع قناة العربية، مساء أول أمس الأحد، بخصوص مرض الرئيس وترشحه للرئاسيات إن ”بوتفليقة قادر على القيام بمهامه وصحته لن تعيقه عن أداء مهامه”. وأوضح بلخادم ردا على من يتساءلون عن ترشح بوتفليقة وهو غير قادر على الحركة، بالقول ”من منا لا يتعرض للمرض وبالتالي عندما أصيب الرئيس بوعكة صحية استدعت علاجا مكثفا والرئيس تعافى من هذه الوعكة، بقي إعادة تأهيل وظيفي لعضلات الأرجل فقط التي تأتي بالعلاج”، وهو ما يفسر عدم ظهور الرئيس واقفا على رجليه وبقائه مقعدا منذ عودته من مستشفى ”فال دوغراس”. لكن هذه الوضعية، حسب بلخادم ”لا تعيق الرئيس في ممارسة مهامه”، مشيرا في هذا الصدد إلى أن ”الرئيس بمجرد خروجه من فترة العلاج المكثف ودخوله فترة النقاهة بدأ في ممارسة مهامه ويستقبل الوفود ويشرف على تسيير شؤون الدولة ولم يفقد قدرته على التحليل والتفكير”. من جانب آخر وردا على انتقادات بشأن حسم السلطة للانتخابات، قال بلخادم إن ”الجيش مؤسسة دستورية تأتمر بأوامر القيادة السياسية، والرئيس هو القائد الأعلى للقوات المسلحة، مثلما ينص عليه الدستور، الجيش يقوم بمهامه الدستورية، وقد أكدت مجلة الجيش عن وقوفها على مسافة واحدة من كل المرشحين”، في إشارة منه إلى التزام الجيش الحياد في الانتخابات، منتقدا ضمنيا خصوم الرئيس من أحزاب المعارضة ”ماذا تنتظرون من المعارض سوى الدفاع عن وجهة نظره وأن يبرر نتيجة لاحقة”.
وردا على قمع الشرطة للمتظاهرين من حركة ”بركات” ضد العهدة الرابعة، اعتبر بلخادم ”أن قوات الأمن فرقت المتظاهرين تطبيقاً للقانون الذي وقع عليه مترشح يعارض بوتفليقة”، والمقصود هو علي بن فليس، دون أن يسميه بالاسم، الذي كان وراء مرسوم حظر المسيرات في العاصمة سنة 2001، وهو ما يعني أن بلخادم يحمّل مسؤولية ذلك لبن فليس وحده. وحول تغيير طريقة تعامل السلطات الأمنية مع المحتجين ضد العهدة الرابعة، مع موقف الخارجية الفرنسية التي دعمت الحق في التظاهر السلمي، أجاب بلخادم بأن ”الجزائر بلد سيد واسترجع سيادته بمليون ونصف مليون شهيد، وينبغي على فرنسا التعامل مع الجزائر كدولة ذات سيادة وعلى الندية”، مستطردا بأن ”هناك في فرنسا من لا يزال يحن للفردوس المفقود”، في إشارة إلى محاولات تدخل مسؤوليها في الشأن الجزائري. وانتقد بلخادم ضمنيا موقف حركة ”بركات” وقال ”الممارسة الديمقراطية أساسها إعطاء الاختيار للشعب، فإذا أراد أن يجدد ثقته في الرئيس بوتفليقة فله ذلك، وإن اختار غيره فله ذلك”.
وبالنسبة لأحداث غرداية، قال بلخادم إن اشتباكات غرداية بدأت بتراشق في الحجارة قبل أن تتسع، متهماً جهات إعلامية خارجية، دون أن يسميها، باستغلال ما جرى في غرداية لمصالح أطراف بعينها، مشيرا ”أكيد أن الذي يحدث نتيجة تراكمات سابقة وهي التي نتج عنها هذا الشحن”. وعن تعيينه كمستشار خاص للرئيس بوتفليقة، وما أشيع حول تحفظه عن ذلك، أوضح بلخادم أنه ”يتردد الإنسان في مثل هذه الأمور، لأن المسؤولية ليست بالأمر الهين، لأن نهايتها قد تكون ندامة إذا لم يوفق الإنسان في مهمته”، مؤكدا في هذا الصدد ”أنا من المؤمنين بأن الجزائر بحاجة إلى استكمال مسيرة المصالحة الوطنية”.
نددوا بـ “غلق العملية الانتخابية وتخويف المواطن”.. الأساتذة الجامعيون يصدرون “بيانهم الثاني” ويحتجون مجددا ببوزريعة |
الاثنين, 17 مارس 2014 19:23 |
ينتظر
أن ينظم أساتذة جامعات الجزائر، غدا، تزامنا مع عيد النصر، وقفة احتجاجية،
بجامعة بوزريعة، عقب انتهائهم من أشغال “نصف اليوم الدراسي” الذي قرروا
تنظيمه ابتداء من الساعة 9.30 بمدرج الانتفاضة، بجامعة بوزريعة، حول
“القضايا السياسية التي تطرحها الساحة الوطنية”، من تنشيط أساتذة جامعيين
متخصصين في العلوم السياسية والاجتماعية.
بعد
نجاح الوقفة الاحتجاجية التي نظمها أساتذة جامعيون بجامعة الجزائر 2،
بوزريعة، يوم الخميس المنصرم، ينتظر أن تتجدد هذه الحركة الاحتجاجية
بالمكان نفسه، غدا، مع انضمام عدد جديد من الأساتذة من مختلف جامعات
العاصمة. كما صدر، أمس، بيان الجامعيين الثاني “من أجل جزائر المستقبل”،
والذي تضمن هذه المرة عددا أكبر من توقيعات الأساتذة من جامعات العاصمة،
وهران، مستغانم، قسنطينة، عنابة وتيزي وزو، مراعاة -حسب البيان- لـ “حالة
القلق التي يعيشها هؤلاء المثقفون”، وتوصيفا لـ “الحالة الحرجة التي صارت
عليها بلادنا”، ويستند التوصيف -حسب الجامعيين- على “الإقرار بفشل تامّ
لنظام الحكم الحالي في تسيير البلاد”، وذلك “انطلاقا من الوضعية العامة
التي توجد عليها الجامعة الجزائرية”، والتي يؤكد الأساتذة حولها بأنهم “لم
يعودوا قادرين على توصيل المعرفة وإنتاج النخب في فضاء مطبوع بغياب
استقلالية التسيير وعدم مراعاة الحصانة الجامعيّة وتكميم الأفواه باشتراء
الأمن الاجتماعي ومنح شهادات جامعية مُفْرَغَة من قيمتها”، بالنظر لأنه “لا
يمكن أن تُصْلَحَ الجامعة لوحدها. خاصة، وأنّها أصبحت اليوم تستقبل أولاد
الشعب الأكثر فقرا، في حين أنّ إعادة إنتاج النخب يتمّ بعيدا عنها. لقد
فقدت الجامعة مصداقيتها وفاعليتها، وهي نتيجة سببها نظام الحكم”.
وأكد
بيان الجامعيين في تحليله لحالة الانسداد السياسي والاجتماعي التي يعرفها
البلد، على “النضج الكبير الذي أبداه الشعب الجزائري أثناء أحداث 2011”،
لكنّه مقابل ذلك “وُوجِهَ بالعنف المادي والمعنوي والرمزيّ.. وها هو اليوم
يعاني من الإحباط والمرارة والاستياء والغضب الذي تملّكه جرّاء هذه
الوضعيّة”، التي “أصبح فيها تسيير البلاد تحت رحمة أيّ كان من القوى
المتواجدة على الساحة. في هذا السياق الجيوسياسي، الحالي، وفي الوضعية
الراهنة للبلاد، في غياب برنامج اقتصاديّ، وانعدام لإصلاح عميق للمؤسسات”،
مضيفا أن “جميع المناورات لا تهدف إلا لتكريس الجمود والمحافظة على مجموعة
من الأشخاص دلَّلوا بصفة واضحة على ضعف فعاليتهم، وعلى عدم نزاهتهم على
جميع الأصعدة الخارجية والوطنية”.
كما
ندد بيان الجامعيين بـ “الظروف المزرية التي يحياها الجزائريون بالخصوص
فئة الشباب المدفوعين إلى الحصول على المال المتّسِخ، حيث فقدت الجامعة
وظائفها، وأصبحت الشهادة لا تسمح بالتدرج الاجتماعي، ناهيك عن تحصيل
المعرفة”، مجددين رفضهم لابتزاز المواطن في ظل “تسيير مجتمعنا عن طريق
التخويف والانحراف، بما في ذلك تقديم شهادات مفرغة من المحتوى، فاقدة شيئا
فشيئا لقيمتها في السوق الوطنية للشغل”، وكذا “تغييب الاقتراحات المؤسَّسَة
على استرجاع كرامتنا كمنتِجين ومنتِجات وكمواطِنين ومواطِنات”... هذه
الأمور وغيرها، دفعت أصحاب البيان إلى التأكيد على أنهم لم يرضوا بالسكوت
أمام الخطر “لم نرغب في إنتاج تحليلات بارعة، بل ارتأينا أن نحذر زملاءنا،
الطلبة ومدرسي وباحثي المستقبل والرأي العام من الخطر الذي يتهدد البلاد،
من فرض عملية غلق اللعبة الانتخابيّة، عن طريق المزايدة بالتلويح بحدوث
الفوضى. مع أنّ مسألة العهدة الرابعة لا تعدو أن تكون سوى النتيجة الواضحة،
لفشل نظام الحكم الذي أُخْضِعْنا له منذ خمسة عشرة سنة على الأقلّ”،
مضيفين أن رهان اليوم لا يتمثل فقط في “عدد العهدات... مثل هذا المطلب لن
يهدف سوى إلى تغيير وجه من يمثِّل النظام القائم، دون أن يُخْضِعَ للمساءلة
تسيير البلاد ويسهم في منح صورة خاطئة عن نقاش ديمقراطي حول هذه
الانتخابات. لقد تمّ إفراغ هذه الانتخابات من محتواها، فهي ليست سببا بقدر
ما هي نتيجة لوضعية معاشة من قبل الجزائريين والجزائريات”.
زهور شنوف
|
Incarcération d’un avocat
Me Aït Larbi appelle ses confrères à une large mobilisation
le 17.03.14 | 10h00
2 réactions
L’affaire de l’avocat du barreau d’Alger, Me Mohcine Amara, fait l’effet d’un séisme dans la corporation des robes noires.
En détention provisoire depuis jeudi dernier, il est poursuivi pour
injure contre la personne du bâtonnier d’Alger, à la suite d’une
altercation, dans la matinée de mardi dernier. Dans une déclaration
rendue publique, son avocat maître Mokrane Aït Larbi a dénoncé, avec
virulence, «les violations» de la procédure en matière d’arrestation, de
présentation et mise sous mandat de dépôt par le parquet de Sidi
M’hamed près la cour d’Alger. L’avocat commence par planter le décor en
revenant sur les circonstances de cette affaire. Il déclare : «Pour
‘‘injures’’ contre la personne de Monsieur le bâtonnier, maître Amara
Mohcine a été arrêté, sur instruction du parquet, à son domicile, à
Alger, le 11 mars à 22h, placé en garde à vue au commissariat puis
présenté devant le parquet d’Alger le lendemain à 9h.
L’avocat a passé toute la journée dans une cellule au palais de justice avec les détenus de droit commun et en fin d’après-midi, il a été placé en détention à la prison de Serkadji.» Me Aït Larbi ajoute : «Sans aborder le fond, car les faits sont internes à la profession, l’intéressé doit répondre devant le conseil de discipline et c’est ma position, et dans le pire des cas devant la justice par citation directe.» L’avocat souligne que «l’arrestation d’une personne à son domicile à 22h est une violation de la loi, que dire s’il s’agit d’un avocat ? Et le placement d’un avocat dans une cellule au palais de justice avec les droits communs est une atteinte à l’honneur et la considération de la profession». Pour cela, Me Aït Larbi estime que «la question ne concerne pas un avocat mais la profession». Devant cette situation, il lance un appel «urgent à tous les avocats et militants des droits de l’homme ainsi que les ONG nationales et internationales à se mobiliser pour la libération de notre confrère dans les plus brefs délais», précisant que les faits reprochés à Me Amara restent du ressort de la commission de discipline du barreau d’Alger, dont les membres sont les seuls habilités à trancher selon la loi et les règles de déontologie.
Réagissant aux propos de Me Mokrane Ait Larbi, le bâtonnier d’Alger, Me Abdelmadjid Sellini, déclare que l’avocat Amara Mohcine, «a commis non pas des erreurs passibles de la commission de discipline, mais plutôt une agression et des propos délictuels, contre le bâtonnier en tant qu’institution et non pas en tant que personne. C’est d’ailleurs pour cela que j’ai déposé contre lui une plainte pour outrage et violence physique auprès du parquet d'Alger. Ces actes sont répréhensibles au même titre que ceux commis contre un magistrat en fonction…».
L’avocat a passé toute la journée dans une cellule au palais de justice avec les détenus de droit commun et en fin d’après-midi, il a été placé en détention à la prison de Serkadji.» Me Aït Larbi ajoute : «Sans aborder le fond, car les faits sont internes à la profession, l’intéressé doit répondre devant le conseil de discipline et c’est ma position, et dans le pire des cas devant la justice par citation directe.» L’avocat souligne que «l’arrestation d’une personne à son domicile à 22h est une violation de la loi, que dire s’il s’agit d’un avocat ? Et le placement d’un avocat dans une cellule au palais de justice avec les droits communs est une atteinte à l’honneur et la considération de la profession». Pour cela, Me Aït Larbi estime que «la question ne concerne pas un avocat mais la profession». Devant cette situation, il lance un appel «urgent à tous les avocats et militants des droits de l’homme ainsi que les ONG nationales et internationales à se mobiliser pour la libération de notre confrère dans les plus brefs délais», précisant que les faits reprochés à Me Amara restent du ressort de la commission de discipline du barreau d’Alger, dont les membres sont les seuls habilités à trancher selon la loi et les règles de déontologie.
Réagissant aux propos de Me Mokrane Ait Larbi, le bâtonnier d’Alger, Me Abdelmadjid Sellini, déclare que l’avocat Amara Mohcine, «a commis non pas des erreurs passibles de la commission de discipline, mais plutôt une agression et des propos délictuels, contre le bâtonnier en tant qu’institution et non pas en tant que personne. C’est d’ailleurs pour cela que j’ai déposé contre lui une plainte pour outrage et violence physique auprès du parquet d'Alger. Ces actes sont répréhensibles au même titre que ceux commis contre un magistrat en fonction…».
Salima Tlemçani
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tarek-to-verso
le 17.03.14 | 19h59
Le bâtonnier Sellini
ça sonne comme un titre de Western: Règlement de compte à bâton Rouge.
Monsieur Sellini ( êtes-vous italien d'ascendance ?), ces agissements ne démontrent qu'une chose: qu'il vaut mieux avoir notre justice dans la main que l'avoir dans la gueule.
Monsieur Sellini ( êtes-vous italien d'ascendance ?), ces agissements ne démontrent qu'une chose: qu'il vaut mieux avoir notre justice dans la main que l'avoir dans la gueule.
L'AVOCAT: UN CITOYEN CAPORALISE
En Algérie comme en France, l'avocat est soumis à la loi
comme tous ses concitoyens. C'est le principe de l'égalité des citoyens
devant la loi. Obéir à la loi, à l'avocat n'est pas suffisant, il lui
faut en outre satisfaire aux règles déontologiques.Sont littéralement
science des devoirs, pur produit des cogitations bâtonnales et
oligarchiques. Ces nobles cogitations échappent à la connaissance de
l'avocat lambda, sans doute de complexion trop grossière. L'avocat peut
n'avoir enfreint aucune loi, quoique prévenu disciplinaire. L'autorité
de poursuite, le bâtonnier, en définissant lui-même le "délit" à partir
des faits qu'il veut voir sanctionnés, joue au législateur occasionnel.
Ensuite il choisit un mot valise pour emballer le "délit" tel le défaut
de délicatesse, de courtoisie ou de modération ect...En France, le
saint-crépin ordinal se compose d' une douzaine de coquecigrues de cet
acabit! Le conseil de discipline est une juridiction répressive, non
liée par le principe de la légalité des délits et des peines. C'est une
Section spéciale interdisant au justiciable avocat de se prévaloir des
garanties processuelles reconnues par le droit pénal. Le traitement
infligé à maître Mohcine AMARA caractérise à l'évidence l'excès de
pouvoir. En France un avocat, pas même mis en examen, est écouté depuis
un an par un juge. Quatre cents avocats sur cinquante six mille signent
une pétition. C'est un scandale du siècle, personne ne bouge. La
profession formatée par deux siècles de culture de la soumission, est
littéralement en état d'anabiose! Maître AIT LARBI a raison de
s'indigner, sans doute se retrouvera-t-il tout seul à devoir crier dans
le désert.
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Il a été assassiné par les terroristes il y a 21 ans
Hafid Senhadri, un homme engagé pour la République
le 17.03.14 | 10h00
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© D. R.
Le défunt Hafid Senhadri.
Porte-parole du Conseil national de sauvegarde de l’Algérie (CNSA), Hafid Senhadri fait partie d’une longue liste d’intellectuels assassinés par les terroristes durant la décennie noire.
Il a été victime d’un attentat terroriste le 14 mars 1993. L’attentat a
été perpétré dans la cage d’escalier de l’immeuble où il habitait à
Kouba et devait décéder 4 jours plus tard. Aujourd’hui, sa famille veut
juste entretenir la mémoire d’«un homme engagé pour la sauvegarde de la
République». C’était effectivement lui qui, le 26 décembre 1991, a
annoncé en direct à la télévision la naissance du fameux Comité dont
faisaient partie Abdelhak Benhamouda et tant d’autres figures opposées à
la poursuite du processus électoral car représentant une menace pour la
liberté.
«Cela fait 21 ans qu’il nous a quitté mais son image reste vivace dans mes souvenirs», indique sa sœur, Samira Senhadri, médecin du secteur de la santé publique à Oran. Natif de Sidi Bel Abbès, c’est à Oran qu’il fait sa scolarité avant de s’installer à Alger d’abord pour poursuivre des études en sciences politiques entre 1973 et 1977. S’ensuit un passage à la radio chaîne III, quelques postes au sein d’entreprises publiques et une carrière dans la Fonction publique où il termine directeur de cabinet au ministère de la Formation professionnelle. D’ailleurs, un centre de formation porte aujourd’hui son nom à Bouira.
Hafid Senhadri a été aussi le premier responsable de l’Association nationale des cadres de l’administration publique (ANCAP), une organisation née dans le sillage de l’ouverture du champ politique opéré en 1989 mais dont la mission a été justement de «baliser les missions du service public et préserver les droits des citoyens contre le risque d’une utilisation partisane des pouvoirs administratifs», note A. Benfodda, ancien journaliste à Alger Républicain. Avec la venue de Mohamed Boudiaf et sa vision favorable à un rajeunissement qualitatif de la classe politique, Hafid Senhadri s’impliquera totalement dans le projet inabouti du rassemblement patriotique national (RPN).
Membre du Conseil Consultatif (Parlement provisoire) durant cette période, il a eu à représenter l’Algérie dans une rencontre de parlementaires arabes en Jordanie. Attaché au quartier où il a grandi à Oran, nombre de ses anciens voisins ont assisté à son enterrement le 19 mars 1993. Il avait à peine 37 ans.
«Cela fait 21 ans qu’il nous a quitté mais son image reste vivace dans mes souvenirs», indique sa sœur, Samira Senhadri, médecin du secteur de la santé publique à Oran. Natif de Sidi Bel Abbès, c’est à Oran qu’il fait sa scolarité avant de s’installer à Alger d’abord pour poursuivre des études en sciences politiques entre 1973 et 1977. S’ensuit un passage à la radio chaîne III, quelques postes au sein d’entreprises publiques et une carrière dans la Fonction publique où il termine directeur de cabinet au ministère de la Formation professionnelle. D’ailleurs, un centre de formation porte aujourd’hui son nom à Bouira.
Hafid Senhadri a été aussi le premier responsable de l’Association nationale des cadres de l’administration publique (ANCAP), une organisation née dans le sillage de l’ouverture du champ politique opéré en 1989 mais dont la mission a été justement de «baliser les missions du service public et préserver les droits des citoyens contre le risque d’une utilisation partisane des pouvoirs administratifs», note A. Benfodda, ancien journaliste à Alger Républicain. Avec la venue de Mohamed Boudiaf et sa vision favorable à un rajeunissement qualitatif de la classe politique, Hafid Senhadri s’impliquera totalement dans le projet inabouti du rassemblement patriotique national (RPN).
Membre du Conseil Consultatif (Parlement provisoire) durant cette période, il a eu à représenter l’Algérie dans une rencontre de parlementaires arabes en Jordanie. Attaché au quartier où il a grandi à Oran, nombre de ses anciens voisins ont assisté à son enterrement le 19 mars 1993. Il avait à peine 37 ans.
Djamel Benachour
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tarek-to-verso
le 17.03.14 | 18h51
Le jour où on saura qui a tué Benhamouda
On saura qui a tué ( ou commandité) Hafid Senhadri, et bien d'autres intellectuels et empêcheurs de voler en rond.
Les masques tomberont un jour ou l'autre...
Les masques tomberont un jour ou l'autre...
Hommage
Un homme cultivé et un homme de bien tombé sous les balles
assassines de terroristes que Bouteflika a amnistié.
Tramway : Les fraudeurs seront verbalisés
le 16.03.14 | 10h00
Réagissez
La vente ne se fera plus au niveau du tramway. Tout usager dépourvu de titre de transport sera soumis à un bulletin de régularisation de voyage et ce, à compter du 15 mars 2014, est-il écrit sur des panneaux affichés sur l’ensemble des stations de tramway.
Une mesure qui a cependant été ajournée à aujourd’hui 16 mars, comme l’a indiqué un contrôleur rencontré sur les lieux.
La Société du Tramway d’Oran compte mettre un terme à la fraude en supprimant la vente des tickets au niveau du tramway et surtout soumettre toute personne dépourvue de titre transport à un bulletin de régularisation, soit une expression édulcorée qui signifie sans plus une amende.
La Société du Tramway d’Oran compte mettre un terme à la fraude en supprimant la vente des tickets au niveau du tramway et surtout soumettre toute personne dépourvue de titre transport à un bulletin de régularisation, soit une expression édulcorée qui signifie sans plus une amende.
Hadj Sahraoui
Le caricaturiste Djamel Ghanem relaxé
La mobilisation citoyenne a payé
le 12.03.14 | 10h00
2 réactions
Le tribunal de première instance de la cité Djamel d’Oran a opté pour la relaxe du caricaturiste Djamel Ghanem.
L’énoncé de ce verdict a été reçu avec une grande joie non seulement
par le principal intéressé et ses avocats mais encore par toute la
corporation journalistique qui a vu en cette relaxe une victoire pour la
liberté d’expression. «Je suis extrêmement satisfait du jugement, dira
son avocat, maître Abdelrezak Fodil. Aujourd’hui, c’est la victoire de
la justice. Mon client peut désormais se reposer, prendre du recul et
penser à son avenir en toute quiétude.» Djamel Ghanem, ex-caricaturiste
du journal francophone La Voix de l’Oranie, risquait 18 mois de prison
ferme assortie d’une amende de 200 000 DA pour une caricature, jamais
publiée, qui tourne en dérision la volonté du président Bouteflika de
briguer un 4e mandat malgré la maladie qui le rend inapte à diriger le
pays.
Fait inédit, c’était son propre journal, en l’occurrence La Voix de l’Oranie, qui avait déposé une plainte à son encontre au début du mois d’octobre dernier. Djamel Ghanem était alors poursuivi pour «outrage au Président», «abus de confiance» et «accès frauduleux à un système de réseau automatisé». Il a été placé sous mandat de dépôt le 13 novembre dernier, l’obligeant à se présenter chaque mercredi au tribunal de la cité Djamel pour «prouver» qu’il n’avait pas quitté le territoire national. Dès l’annonce du verdict, hier matin aux premières heures, les réseaux sociaux se sont déchaînés, exprimant leur soulagement après la décision de justice d’opter pour la relaxe. «Si Djamel Ghanem a été innocenté, on doit cela avant tout à la mobilisation citoyenne», dira un internaute. «Comme quoi, la mobilisation paye en Algérie, et c’est tant mieux !» renchérit un autre. «Il est inadmissible qu’en 2014, un journaliste ou un caricaturiste soit mis en prison pour ses opinions.
La liberté d’expression, a fortiori dans le domaine de la caricature, doit être totale, d’où l’importance de rester vigilant et d’être toujours à l’affût du moindre dépassement pour se mobiliser», conclut, un troisième facebookeur. Pour rappel, dès que le parquet eut requis de lourdes peines à l’encontre de Ghanem, le 11 février dernier, une campagne de mobilisation sans précédent vit le jour sur la Toile. Cela s’est traduit notamment par le lancement d’une pétition, le 14 février dernier, qui a récolté quelque 1500 signatures en à peine quelques jours.
Fait inédit, c’était son propre journal, en l’occurrence La Voix de l’Oranie, qui avait déposé une plainte à son encontre au début du mois d’octobre dernier. Djamel Ghanem était alors poursuivi pour «outrage au Président», «abus de confiance» et «accès frauduleux à un système de réseau automatisé». Il a été placé sous mandat de dépôt le 13 novembre dernier, l’obligeant à se présenter chaque mercredi au tribunal de la cité Djamel pour «prouver» qu’il n’avait pas quitté le territoire national. Dès l’annonce du verdict, hier matin aux premières heures, les réseaux sociaux se sont déchaînés, exprimant leur soulagement après la décision de justice d’opter pour la relaxe. «Si Djamel Ghanem a été innocenté, on doit cela avant tout à la mobilisation citoyenne», dira un internaute. «Comme quoi, la mobilisation paye en Algérie, et c’est tant mieux !» renchérit un autre. «Il est inadmissible qu’en 2014, un journaliste ou un caricaturiste soit mis en prison pour ses opinions.
La liberté d’expression, a fortiori dans le domaine de la caricature, doit être totale, d’où l’importance de rester vigilant et d’être toujours à l’affût du moindre dépassement pour se mobiliser», conclut, un troisième facebookeur. Pour rappel, dès que le parquet eut requis de lourdes peines à l’encontre de Ghanem, le 11 février dernier, une campagne de mobilisation sans précédent vit le jour sur la Toile. Cela s’est traduit notamment par le lancement d’une pétition, le 14 février dernier, qui a récolté quelque 1500 signatures en à peine quelques jours.
Akram El Kébir
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hichem
le 13.03.14 | 01h29
Bravo et Courage
Bravo et courage pour Djamel Ghanem!!
Une démocratie ne se mesure qu'à la qualité de ses contre-pouvoirs...
IL n'y a pas d'exception à cette regle!
Toutes les formes de lutte sont bonnes si elles vont dans le sens du bien commun.
La caricature est l'une de ces formes, saisissante, percutante, nécessaire...
La liberté ne se donne pas, elle se prend.
Une démocratie ne se mesure qu'à la qualité de ses contre-pouvoirs...
IL n'y a pas d'exception à cette regle!
Toutes les formes de lutte sont bonnes si elles vont dans le sens du bien commun.
La caricature est l'une de ces formes, saisissante, percutante, nécessaire...
La liberté ne se donne pas, elle se prend.
Ça paie toujours!!!
La mobilisation,la solidarité avec ceux qui sont dans leur
droit,mahgourines est toujours payante!!! Il est réconfortant et temps
que cette solidarité soit manifestée à chaque occasion!! Sinon les
courageux,temereres qui osent braver la peur pour arracher des droits à
tous que nous sommes seront isolés comme d'hab. Et capturés ,persécutés,
et finirons par se dire: après tout,chacun pour soi,moi je vais au
Canada et vous vous démerdez!!
Boustila TV
le 13.03.14 | 10h00
4 réactions
Alors que le dessinateur Djamel Ghanem était acquitté à Oran,
probablement grâce à la présence d'une chaîne de télévision française,
c'est à Alger que des gendarmes en civil ont fait une descente dans les
locaux d'une télévision algérienne, Al Atlas TV, ramassant tout le
personnel, saisissant toutes les caméras et suspendant le signal
satellite de la chaîne. Selon les premières informations, cette nouvelle
attaque, du côté obscur de la force, est liée au ton de la chaîne et à
la personnalité de son directeur de l'information, Hafnaoui Ghoul, à ne
pas confondre avec Amar, connu pour être membre de la Ligue des droits
de l'homme, journaliste, militant des mouvements du Sud et du groupe
Barakat, et qui a déjà fait de la prison, victime de harcèlements et
même d'agressions physiques sous le même régime policier et
«gendarmier».
Faut-il encore s'offusquer, pendant que les autres télévisions, qui activent sans agrément, mais font l'éloge de Bouteflika, ne sont pas inquiétées, Al Atlas TV est simplement fermée car jugée incompatible avec les valeurs culturelles des familles Bouteflika et Darkvador ? Non, mais à quelques semaines de son auto-reconduction par le pouvoir de la force et de l'argent, le régime montre son vrai visage après avoir fait quelques tentatives ratées de maquillage. D'ailleurs, c'est l'information du jour, on ne savait même pas qu'il y avait des gendarmes en civil envoyés sous les ordres du procureur de Sidi M’hamed, semant la confusion chez les téléspectateurs de la chaîne entre mandat de perquisition et 4e mandat. C'est surtout que les gendarmes ont tenu à filmer leur opération, filmant aussi les caméras de Al Atlas TV, certainement pour le compte de Boustila TV, du nom du patron de la gendarmerie. Ne reste plus qu'à filmer les gendarmes qui filment les télévisions qui filment les manifestations et la boucle sera bouclée. On pourra même en faire une télévision. Un jour.
Faut-il encore s'offusquer, pendant que les autres télévisions, qui activent sans agrément, mais font l'éloge de Bouteflika, ne sont pas inquiétées, Al Atlas TV est simplement fermée car jugée incompatible avec les valeurs culturelles des familles Bouteflika et Darkvador ? Non, mais à quelques semaines de son auto-reconduction par le pouvoir de la force et de l'argent, le régime montre son vrai visage après avoir fait quelques tentatives ratées de maquillage. D'ailleurs, c'est l'information du jour, on ne savait même pas qu'il y avait des gendarmes en civil envoyés sous les ordres du procureur de Sidi M’hamed, semant la confusion chez les téléspectateurs de la chaîne entre mandat de perquisition et 4e mandat. C'est surtout que les gendarmes ont tenu à filmer leur opération, filmant aussi les caméras de Al Atlas TV, certainement pour le compte de Boustila TV, du nom du patron de la gendarmerie. Ne reste plus qu'à filmer les gendarmes qui filment les télévisions qui filment les manifestations et la boucle sera bouclée. On pourra même en faire une télévision. Un jour.
Chawki Amari
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seebasse
le 16.03.14 | 02h08
j ai la solution
il y a les eaux internatineaux . juste a 25 km d alger vous
avez le droit a la transmission il pouirons maite leur chiffons de
papier la ou tu pense . vous aurez a acheter un bateau je n est pas les
moyens si non je vous l offre .et je ne vous demanderai qu a enquetter
pour nous découvrir c est qui est le pere de boutef as t il fait la
guerre d algerie ou il a ete dans les camps des allemands. et bouyahia
et belchitane .
La raison du plus fort est .... .
Boustila TV vient d'inaugurer la démocratie musclée gérée par
le ministère des gros bras .Ghoul Atlas qui devait supporter la voûte
des turpitudes subit l'ire d'Abdelaziz Dzeus !
je ne réagis plus!
vieux...dépassé..malade..la tension..la
glycémie(sucre)...les nerfs....et à chaque article je vois plus
pire qu'il ya 45 ans...si nos concitoyens journalistes continuent
à nous donner des informations justes et crédibles je les
poursuivrai et demanderai 1 dinar symbolique...des gendarmes issus
des universités faisant du cinéma.....algériewood...
la boule de crystal
Comment savoir les resultats des elections presidentiel? Dans
la plupart des republiques democratique et populaire, on fait un
sondage. Si ce sondage est fait d'une maniere scientifique, c.a.d. en
respectant les lois des statistiques, on peut predire les resultats des
elections d'une maniere tres precise. J'aimerais bien qu'el watan
conduise des sondages pour savoir ce que le peuple pense de cet
presidentiel. Si c'est une question de moyens, vous pouvez toujour creer
un consortium de journeaux/media pour faire ca. Dans d'autres pays, on a
toujour des dizaines de sondages avant une election importante. Bien
sure vous pouvez tjr dire que les results sont connus d'avance, mais je
suis plus interesse a savoir l'avis du peuple que les results de
l'election. On sait l'avis de la plupart des lecteurs d'el watan et de
nos amis, etc. Mais on n'a aucune idee des statistiques globales dans le
pays. Sahitou et merci.
هذا هو الفرق بيننا وبينكم
قسنطينة/بسبب عدم وصول المواد الكيميائية العازلة من الخارج
احتمال تأجيل تسليم المقطع الرئيسي للجسر العملاق إلى إشعار أخر
مديرية الأشغال العمومية ترجع الانهيار الأول إلى التضاريس و الأمطار و الحفريات |
عدد القراءات: 104
تعرض الطريق الولائي 27 بقالمة أول أمس
إلى انهيار أرضي جديد يبعد مسافة 4 كلم تقريبا عن الانهيار الأول الذي وقع
الأسبوع الماضي قرب منجم الآجر على الحدود الفاصلة بين بلديتي بوحمدان و
برج صباط.
و قد أتى الانهيار الجديد على جزء هام من سطح الطريق المعبد منذ سنة و يوشك
على قطع الطريق في وجه حركة السير ،كما وقفنا عليه عند انتقالنا إلى هناك
في ساعة متأخرة من مساء الأحد. و قد سارعت مديرية الأشغال العمومية إلى
وضع الإشارات لتحذير مستعملي الطريق و خاصة خلال ساعات الليل. الانهيار
الجديد الذي وقع قرب المنطقة المسماة "الماجن" جنوب بلدية بوحمدان نجم عن
تحرك كتلة طينية متشبعة بمياه الأمطار الغزيرة التي تساقطت على المنطقة عدة
أيام بدون انقطاع و أدت إلى تشبع الطبقات الطينية الهشة و تحركها باتجاه
المنحدر المجاور. و مقارنة بالانهيار الأول فإن الانهيار الجديد يبدو
أكثر خطورة و من الصعب التحكم فيه و ردم الانخساف العميق الذي أحدثه. و من
جهته أوضح مدير الأشغال العمومية بقالمة بأن أسباب الانهيار الأول قرب
منجم الآجر تعود إلى "خصوصية و تضاريس المنطقة التي تعرف عدم توازن و
انزلاقات منذ مدة ، الأمطار الغزيرة التي تهاطلت في الآونة الأخيرة على هذه
المنطقة ، استمرار الحفريات بمنجم الطين المتواجد في أسفل نقطة الانزلاق
بالرغم من تحذير لجنة مختصة من عواقب مواصلة استغلال هذا المنجم". و نفى
مدير الأشغال العمومية أن تكون نوعية الأشغال هي المتسبب في حدوث الانهيار
،موضحا بأن "الأشغال أنجزت وفقا للدراسة الشاملة للمناطق الغير مستقرة. و
لتفادي أي انزلاق بهذه المنطقة غير المستقرة بهذا المقطع فإن مديرية
الأشغال العمومية لولاية قالمة ، بصدد تحضير مشروع تغيير المسار بهذا الجزء
و ذلك بإنجاز طريق اجتنابي جديد على طول 700 متر طولي لتفادي بصفة نهائية
هذه الانزلاقات". و أضاف مدير الأشغال العمومية بخصوص الانهيار الأول
دائما " الواقعة لا تعدو إلا أن تكون ظاهرة طبيعية تحدث على مستوى كل شبكة
الطرقات المعروفة بالتضاريس الصعبة غير المستقرة". و بخصوص الانهيار
الجديد، قال مدير الأشغال العمومية في اتصال مع مكتب النصر أمس "لقد علمنا
بالانهيار الجديد و اتخذنا كل الإجراءات لضمان الحركة و سلامة المواطنين".
فريد.غ
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وصف فترة بوتفليقة بالكارثية
سيدأحمد غزالي يدعو رئيس الجمهورية للإعتذار من الشاوية
عدد القراءات: 142
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على خلفية الاعتقالات التي طالت نشطاء حركة ”بركات”
”هيومن رايت” تنتقد التضييق على معارضي الرابعة وتدعو لوضع شروط النزاهة الانتخابية
انتقدت منظمة هيومن رايت واتش، سلسلة الاعتقالات التي طالت نشطاء حركة ”بركات” المعارضة للعهدة الرابعة، وطالبت السلطات الجزائرية بالالتزام بضمان حق التظاهر، ”لأنه مشروع في العهد الدولي”، واعتبرت أنه انتهك من خلال اعتقال المتظاهرين، داعية إلى وضع وتوفير شروط النزاهة الانتخابية، ”لأن الأمر ضروري”، ووصفت الاعتقالات التي مست العديد من المتظاهرين ضد العهدة الرابعة، بأنه نوع من التضييق على حرية التعبير والرأي. هيومن رايت واتش، وفي بيان إعلامي تلقت ”الفجر” نسخة منه، قالت إن ”السلطة في الجزائر جندت العديد من عناصر الأمن بالعاصمة، لتطويق الوقفة الاحتجاجية ضد العهدة الرابعة للرئيس بوتفليقة”، وأوضحت أنه من غير الصحيح ممارسة التضييق على المتظاهرين، و”يتحتم على السلطات الجزائرية سحب المرسوم الذي يحظر حق التجمهر بالعاصمة الذي وضعته سنة 2001”، وتابعت بأن الجزائر ملزمة بوضع الشروط المناسبة لتأمين فتح نقاش حر تزامنا مع تنظيم انتخابات نزيهة من خلال الصيانة لحق التجمهر السلمي. وساق تقرير المنظمة الخرجات الثلاث لحركة ”بركات” والاعتقالات التي طالت عناصرها، واستنكرت اقتيادهم لمراكز الشرطة وبقائهم بها لمدة أربع ساعات، غير أن المنظمة لم تسجل أي انتهاكات أو اعتداءات على المتظاهرين، واكتفت بانتقاد حملة الاعتقالات فقط.
ودعت منظمة هيومن رايت واتش، السلطات الجزائرية إلى الرفع الفعلي لحالة الطوارئ التي فرضت بعد أربعة أيام من مسيرة العروش بالعاصمة في 18 جوان 2001، ليتم رفعها في إطار الإصلاحات الرئاسية سنة 2011، لكن في العاصمة، الحظر لا يزال ساري المفعول، وتمنع المسيرات والمظاهرات ذات الطابع السياسي باستثناء الحركات النقابية والاحتجاجات العمالية.
شريفة عابد
حركة ”بركات” تنظم صفوفها
أصدرت حركة ”بركات” بيانا تسلمت ”الفجر” نسخة منه، رسمت فيه خريطة عمل تهدف اٍلى تنظيم العمل لتحقيق التعبئة المنشودة، حيث تدعمت بتنسيقية وطنية مؤقتة تضم 15 عضوا مكلفة ”بتتبع وتحليل التحولات السياسية ورسم السبل، وتحديد النشاطات اللازمة”، ونصبت 6 لجان عمل ”مكلفة بالإعلام والاتصال، الأنترنت وشبكات التواصل الاجتماعي، السكرتارية والتحرير، القضائية القانونية وحقوق الإنسان، التمديد والوسائل العامة”. وركزت الحركة في بيانها على طابعها السلمي والحضاري الذي تسعى من خلاله اٍلى اٍحداث تغيير مشروع ومنتظر.
اتهموا سلال بإشعال نار الفتنة الجهوية وطالبوا بوتفليقة بتنحيته
أعراش الأوراس في مسيرة مليونية الخميس القادم بباتنة
يوسفي يفشل في إصلاح ذات البين بين سلال والشاوية
رجال قانون يرفعون دعوى قضائية ضد سلال بأم البواقي
استمرت أمس الوقفات المناهضة لما قاله مدير حملة المترشح عبد العزيز بوتفليقة، في حق الشاوية. ودعا ناشطون ومواطنون وطلبة، إلى اعتصامات سلمية للتعبير عن الغضب من هذه التصريحات ”غير المسؤولة”، حسب المواطنين الغاضبين.وشهدت كل من بلديتي أولاد سي سليمان، وآريس، وقفتين سلميتين رفعت خلالهما لافتات تمجد المنطقة وتاريخ أبنائها الثوري، والاعتزاز بانتمائهم الأمازيغي الشاوي، حيث خرج المواطنون بالمئات في الوقفة التي تمت ببلدية أولاد سي سليمان، معبرين عن غضبهم من تصريحات سلال، وداعين إلى تحميله مسؤولية ما قال أمام العدالة. وبدائرة نڤاوس، كشف لنا أحد المواطنين أن هناك تحضيرات لمسيرة سلمية من المرجح أن تتم اليوم، انطلاقا من وسط المدينة، مرورا بأكبر الشوارع والأحياء، واجتمعت عروش ولايات خنشلة، أم البواقي، تبسة، وسوق أهراس، أمس، بباتنة، لمناقشة الأمور التنظيمية الخاصة بالمسيرة المقرر تنظيمها يوم الخميس، على الساعة الحادية عشرة صباحا، تحت شعار ”آخنفوف” بمعنى ”النيف” بالشاوية، حيث اختير لهذه المسيرة مسار رمزي يبدأ من تمثال الحاج لخضر، وصولا إلى تمثال مصطفى بن بولعيد بوسط مدينة باتنة.
وخلص الاجتماع الذي تم بولاية باتنة بين جمعيات وممثلي عروش الشاوية إلى ميلاد حركة ”أعراش الأوراس” وهي الحركة التي خرجت بعدد من المطالب في بيانها الأول، ومن هذه المطالب حسبما أفاد به نفس المصادر الدعوة بتنحية سلال من على رأس مديرية الحملة الانتخابية للرئيس المترشح عبد العزيز بوتفليقة، مؤكدة أنه في حال ما لم يتم الاستجابة لهذا المطلب فإن سكان الشاوية لن يسمحوا بفتح مداومات المترشح عبد العزيز بوتفليقة في ولايات الشاوية لاسيما وأن المنطقة تعتبر أكبر وعاء انتخابي في الوطن مقارنة بولايات أخرى. وقررت نفس الحركة تنظيم مسيرة مليونية يوم الخميس القادم انطلاقا من مقام المرحوم الحاج لخضر بولاية باتنة وصولا إلى مقام الشهيد الرمز مصطفى بن بوليعد.
ن. ف /طارق. ر
أعيان الأوراس رفضوا استقباله رفقة بلعيز وبوسطيلة
يوسفي يفشل في إصلاح ذات البين بين سلال والشاوية
علمت ”الفجر” من مصادر مطلعة من عاصمة الأوراس باتنة، بأن أعيان الولاية وشيوخ قبائل اعراش الشاوية رفضوا أمس، استقبال مبعوثي سلال إليهم، وهم الوزير الأول بالنيابة يوسفي، ووزير الدولة وزير الداخلية وكذا قائد جهاز الدرك الوطني اللواء بوسطيلة، وذلك تعبيرا منهم على حماقة تصريحات سلال تجاه المواطنين الشاوية.
لم يفلح عبد المالك سلال، مدير الحملة الانتخابية للرئيس المترشح عبد العزيز بوتفليقة أمس من محو آثار حماقاته بحق المواطنين من ذوي الأصول الشاوية، حيث رفض أمس، أعيان قبائل ومشايخ الأوراس، استقبال الوفد الذي أرسله بهدف الاعتذار عما بدر منه من عبارات مشينة للشاوية عشية الانتخابات الرئاسية المقررة في يوم 17 أفريل القادم. ويتشكل الوفد الذي كلفه سلال بهذه المهمة، من كل من الوزير الأول بالنيابة يوسف يوسفي، الذي ينحدر من ولاية باتنة، إلى جانب وزير الدولة وزير الداخلية والجماعات المحلية الطيب بلعيز، وكذا قائد جهاز الدرك الوطني اللواء أحمد بوسطيلة.
وكان الوزير الأول بالنيابة يوسف يوسفي قد أنهى أمس الأول، زيارة إلى ولاية غرداية، التي تعرف مأساة حقيقية وحالة من اللاأمن واللااستقرار، قبل أن يكلفه الوزير الأول السابق عبد المالك سلال، بالتوجه إلى ولاية باتنة، لإصلاح هفواته في حق الشاوية، خاصة وأن تصريحاته لقيت موجة غضب كبيرة في أوساط المواطنين، وأثارت موجة رد عنيفة على مواقع صفحات التواصل الاجتماعي، في مقدمتها فايسبوك.
فارس. ن
المحتجون اتهموا سلال بإشعال نار الفتنة الجهوية وطالبوا بوتفليقة بتنحيته:
رجال قانون يرفعون دعوى قضائية ضد سلال بأم البواقي
اتهم مواطنو ولايات أم البواقي، خنشلة، وباتنة، عبد المالك سلال، بإشعال نار الفتنة الجهوية بعد استعماله لعبارة ”الشاوية حاشا رزق ربي”، وأنه وجه بذلك اهانة لكل الجزائريين، وأكدوا أن الحملة الانتخابية للرئاسيات المقبلة بدأت تأخذ أبعادا غير مسبوقة وجدا خطيرة.
احتج، أمس، المئات من سكان ولاية أم البواقي، من خلال تنظيمهم لوقفة احتجاجية أمام مقر الولاية، تنديدا بإساءة عبد المالك سلال لأهل الشّاويّة، وتقدم موعد هذه الحركة الاحتجاجية عن موعده المحدد سابقًا بحوالي ساعة ونصف، حيث شل المحتجون الذين توافدوا بأعداد غفيرة مدينة أم البواقي، لعدة ساعات، ورفعوا شعارات ضد سلال وضد بوتفليقة وضد العهدة الرابعة، وقد حاولت مصالح الأمن تفريق جموع المحتجين، خاصة بعد ترديدهم لشعارات مناوئة لبوتفليقة ورافضة للعهدة الرابعة، وتم توقيف عدد من المحتجين لعدة لحظات قبل إخلاء سبيلهم.
المحتجون طالبوا الرئيس المنتهية عهدته عبد العزيز بوتفليقة، باتخاذ موقف قوي من سلال، وأن يبادر إلى إقالته، عقابا على إهانته غير المقبولة لأهل الشّاويّة، وإلا فإنهم لن ينتخبوا لصالح عهدة رابعة طالما أنه لا يستجيب لانشغالاتهم، وهددوا بالتصويت ضده خلال الانتخابات الرئاسية المزمع إجراؤها بتاريخ 17 أفريل المقبل.
وعلمت ”الفجر” أن عددا من الطلبة والشباب ورجال القانون، قرروا بصفة رسمية، رفع دعوى قضائية ضد الوزير الأول السابق عبد المالك سلال، على خلفية التصريحات اللامسؤولة التي صدرت منه في حق أهل الشّاويّة.
... مواطنو أولاد رشاش يغلقون الطريق المؤدي إلى تونس
من جهة أخرى، شهدت مدينة أولاد أرشاش، بولاية خنشلة، مسيرة سلمية جابت الشوارع والأحياء، أقدم على تنظيمها عشرات المواطنين الذين رفعوا لافتات تندد بتصريحات مدير الحملة الانتخابية للمترشح الحر عبد العزيز بوتفليقة، الذي أطلق تصريحات على سبيل التنكيت مهينة لسكان الشّاويّة.
وأقدم المحتجون على شل حركة المرور على مستوى الطريق الوطني نحو ولاية تبسة، ومنها نحو تونس، بالحجارة والمتاريس، وإضرام النيران في العجلات المطاطية، فيما اعتصم آخرون أمام المرافق العمومية، وأصبحت البلدية مشلولة بعد غلق كل المحلات التجارية وإعلانهم الإضراب، معتبرين تصريحات سلال، عنصرية بحتة، الهدف منها المساس بمنطقة الشّاويّة ومنها خلق الفتنة بين المجتمع الجزائري الذي يعتبر شعبا واحدا متماسكا.
ونددت مختلف شرائح المجتمع بهذه التصريحات الخطيرة التي خيبت أمل سكان الولاية، بمن فيهم الذين يدعمون الرئيس عبد العزيز بوتفليقة لعهدة رابعة، وطالب الشباب بتنظيم مسيرة ومطالبة بوتفليقة بتنحية سلال من إدارة حملته الانتخابية.
عمار قردود
احتجاجا على الانهيارات المتكررة لسكناتهم وسط صمت السلطات
سكان بني محافر ينتفضون بغلق الطريق ويطالبون بالسكن
رسم صورة سوداوية عن الوضع السياسي
غزالي: “أنا بريء من هذا النظام“
الأمور تسير اٍلى ما لا تحمد عقباه
انتقد رئيس الحكومة الأسبق، سيد أحمد غزالي، السلطة الحالية بشدة، وربط بقاءها كواقع قائم، بمداخيل المحروقات التي سمحت للسلطة بشراء سلم اجتماعي مؤقت، معبرا عن قناعته أن الأمور تسير اٍلى ما لا تحمد عقباه، في حال عدم بروز حل في أقرب الآجال.استضاف أمس، فوروم ”ليبرتي” رئيس الحكومة الأسبق، سيد أحمد غزالي، الذي استهل مداخلته بتوجيه رسالة لمحيط بوتفليقة، الذين ”يلعبون بصحة رجل رغبة منهم في اللعب بشعب بأكمله”، واصفا الوضع الحالي بمسرحية هزلية سيئة الإخراج يشارك في فصولها الجميع، بمن فيهم من ينتقدون العهدة الرابعة، مشيرا إلى أن السلطة تعتمد على سياسة الترهيب والترغيب، فمن جهة هناك اٍرادة مبيتة لدفع الشعب إلى اليأس من أي تغيير سياسي هادئ، ما قد يؤدي إلى تغيير مضطرب، ومن جهة أخرى تصرف 800 مليار دولار في 15 سنة، لاعتقادها الراسخ بأن المشاكل السياسية تحل بتبذير أمول الأجيال اللاحقة. وقال غزالي إن ”مؤسسات الدولة تعاني عجزا تاما على كل المستويات”.
وفي رد على سؤال لـ”الفجر” حول مدى تحمله لمسؤولياته كرمز من رموز النظام في ما آلت اٍليه الأوضاع، رفض غزالي وصفه بابن النظام، مرددا ”أنا بريء من هذا النظام”، وأضاف أنه ”حقيقة الناس ليست لديهم المعطيات الكافية للتفريق بين من كان يخدم النظام ومن كان يخدم الشعب”، وواصل بأن الفرق يكمن في أن السلطات العمومية كانت في خدمة الشعب، في حين السلطة السياسية كانت وما زالت في خدمة زمرة معينة، رافضا الدخول في منطق القطبية الثنائية لتحديد هوية هذه الزمرة، مؤكدا أن الجزائر شهدت نظامين، نظام بومدين من 1965 إلى 1978، والنظام الحالي الذي يسير بخطى ثابتة نحو نهايته لكن سيكافح حتى الرمق الأخير للحفاظ على امتيازاته. وفي ما يخص الحلول التي يكمن اعتمادها لتفادي الغد المجهول، طالب غزالي، الجميع بالعودة إلى برنامج حزبه الجبهة الديمقراطية الذي يقدم بداية حل حسبه، مذكرا أنه منع من ممارسة حقه في الترشح والتجمع والتعبير.
وحول الوضع المتأزم في غرداية، حمل المتحدث السلطات المسؤولية الكاملة، معتبرا أن سياسة التفريق بين أبناء الوطن ليست وليدة اليوم، حيث حاولت السلطة تأزيم الوضع بمنطقة القبائل في 2001 معتمدا على أسلوب تخوين الأصوات المعارضة. ورفض المتحدث التعليق على الخرجة الأخيرة لسلال، التي أثارت ردود فعل قوية، وقال إن ”عبد المالك سلال لا يعرف المبادئ الأساسية لتسيير دولة”.
جعفر خلوفي
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