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à L’occasion du Grand tour d’Algérie cycliste
Mouzaïa fait peau neuve
le 27.03.14 | 10h00
1 réaction
|
© El Watan
Les cyclistes sillonneront les artères de Mouzaïa sur une...
L’itinéraire a été complètement réhabilité par souci de sécurité, la ville sera fermée à toute circulation.
La ville de Mouzaïa s’apprête à accueillir, ce samedi, dans une
ambiance de ferveur et de grande fête sportive, la caravane du Grand
Tour d’Algérie cycliste pour une ultime épreuve avant le baisser de
rideau. En effet, les participants au Tour, cuvée 2014, se donneront la
réplique à l’occasion du Critérium de la ville de Mouzaïa, qui se
disputera sur un circuit fermé de 3,3 km au centre-ville avec 40 tours,
soit une distance totale de 132 km. Toutes les dispositions ont été
prises pour la réussite de cet événement sportif international, que la
population locale attend avec impatience.
Forts d’une expérience appréciable malgré quelques carences après l’organisation de deux étapes du Tour international de Blida (Mouzaïa-Tipasa-Mouzaïa) puis (Mouzaïa-Djerarba-Mouzaïa), les organisateurs du Tour, en partenariat avec les autorités locales de la ville des Eaux minérales et l’aide d’industriels, entre autres le groupe Ameur, s’affairent à apporter les ultimes retouches avant le grand jour, le samedi 29 mars. Le choix de la ville de Mouzaïa pour l’organisation du Critérium de la wilaya de Blida n’est pas fortuit, puisque les coureurs eux-mêmes ont été émerveillés par la qualité de l’accueil qui leur a été réservé lors de deux étapes par les Mouzéens.
Cette fois-ci, la salle des fêtes a été aménagée pour permettre aux coureurs de prendre leur douche et se changer dans l’intimité. L’itinéraire qu’emprunteront les cyclistes a été retapé à neuf, ce qui leur permettra d’entreprendre la compétition avec une chaussée de qualité. Le départ de l’épreuve sera donné à la mairie vers 14h. Les Erythréens, Néerlandais, Japonais, Russes, Algériens, Marocains et autres participants sillonneront la ville à travers la rue Rabah Mebsout, passant devant le siège de la daïra avant de tourner à gauche, longeant le canal Bou Roumi, les 280 Logements, puis la cité CNEP, pour entamer la distance entre le lycée Malek Benabi et la caserne militaire, avant d’attaquer la grande artère du 1er Novembre, 40 fois de suite.
Quand sport rime avec culture
Un riche programme culturel et sportif a été concocté par les associations locales. C’est ainsi que dès 10h, des enfants issus des différentes écoles sportives, comme celles de judo, taekwondo, karaté, volley-ball… animeront des exhibitions au niveau de la placette du centre-ville. Les enfants des différentes fermes de la commune seront acheminés par bus pour admirer de près, eux aussi, l’impressionnante caravane du Tour d’Algérie. Des troupes musicales de zorna, accompagnées de cavaliers seront sollicitées pour donner un air de fête à cette journée en attendant le Critérium. Des personnalités sportives connues mondialement, comme l’ancien coureur cycliste Français Bernard Thévenet, seront les hôtes de la ville de Mouzaïa. L’on annonce même la présence probable du ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Tahmi.
Des mises en garde pour les automobilistes
Signalons enfin que la ville sera entièrement fermée à la circulation routière, avec toutefois des déviations selon un plan arrêté par les services de la police et de la gendarmerie. Dans ce sens, les autorités locales lancent un appel aux propriétaires de véhicules pour éviter de circuler ce jour-là pour une meilleure fluidité des personnes et des accompagnateurs du Tour. Des remises de prix et des cadeaux seront organisées à la fin de l’épreuve du Critérium pour les vainqueurs.Un hommage sera rendu à H’midat Bouzar, ancien coureur cycliste de Mouzaïa, ainsi qu’à la famille du défunt Zerrouk, ancien boxeur. La population locale aura aussi une pensée pour le P/APC, Mohamed Achour, qui sera le grand absent à ce Critérium en raison de sa maladie.
Forts d’une expérience appréciable malgré quelques carences après l’organisation de deux étapes du Tour international de Blida (Mouzaïa-Tipasa-Mouzaïa) puis (Mouzaïa-Djerarba-Mouzaïa), les organisateurs du Tour, en partenariat avec les autorités locales de la ville des Eaux minérales et l’aide d’industriels, entre autres le groupe Ameur, s’affairent à apporter les ultimes retouches avant le grand jour, le samedi 29 mars. Le choix de la ville de Mouzaïa pour l’organisation du Critérium de la wilaya de Blida n’est pas fortuit, puisque les coureurs eux-mêmes ont été émerveillés par la qualité de l’accueil qui leur a été réservé lors de deux étapes par les Mouzéens.
Cette fois-ci, la salle des fêtes a été aménagée pour permettre aux coureurs de prendre leur douche et se changer dans l’intimité. L’itinéraire qu’emprunteront les cyclistes a été retapé à neuf, ce qui leur permettra d’entreprendre la compétition avec une chaussée de qualité. Le départ de l’épreuve sera donné à la mairie vers 14h. Les Erythréens, Néerlandais, Japonais, Russes, Algériens, Marocains et autres participants sillonneront la ville à travers la rue Rabah Mebsout, passant devant le siège de la daïra avant de tourner à gauche, longeant le canal Bou Roumi, les 280 Logements, puis la cité CNEP, pour entamer la distance entre le lycée Malek Benabi et la caserne militaire, avant d’attaquer la grande artère du 1er Novembre, 40 fois de suite.
Quand sport rime avec culture
Un riche programme culturel et sportif a été concocté par les associations locales. C’est ainsi que dès 10h, des enfants issus des différentes écoles sportives, comme celles de judo, taekwondo, karaté, volley-ball… animeront des exhibitions au niveau de la placette du centre-ville. Les enfants des différentes fermes de la commune seront acheminés par bus pour admirer de près, eux aussi, l’impressionnante caravane du Tour d’Algérie. Des troupes musicales de zorna, accompagnées de cavaliers seront sollicitées pour donner un air de fête à cette journée en attendant le Critérium. Des personnalités sportives connues mondialement, comme l’ancien coureur cycliste Français Bernard Thévenet, seront les hôtes de la ville de Mouzaïa. L’on annonce même la présence probable du ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Tahmi.
Des mises en garde pour les automobilistes
Signalons enfin que la ville sera entièrement fermée à la circulation routière, avec toutefois des déviations selon un plan arrêté par les services de la police et de la gendarmerie. Dans ce sens, les autorités locales lancent un appel aux propriétaires de véhicules pour éviter de circuler ce jour-là pour une meilleure fluidité des personnes et des accompagnateurs du Tour. Des remises de prix et des cadeaux seront organisées à la fin de l’épreuve du Critérium pour les vainqueurs.Un hommage sera rendu à H’midat Bouzar, ancien coureur cycliste de Mouzaïa, ainsi qu’à la famille du défunt Zerrouk, ancien boxeur. La population locale aura aussi une pensée pour le P/APC, Mohamed Achour, qui sera le grand absent à ce Critérium en raison de sa maladie.
Abdelkader L.
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ta3adoudia
le 28.03.14 | 07h23
Mouzaia en exergue
Les citoyens de notre commune Mouzaia ont été honorés par
Monsieur le Wali pour leur avoir offert ce plateau sportif du grand tour
cycliste Algérien, ceci dénote de la crédibilité de l’APC dans l'action
tant développement, culturel et sportif en faveur de ses citoyens,
afin, que notre commune sorte de la léthargie et de l’hibernation, notre
commune dispose de sites touristique merveilleux à l’image (mont
TAMEZGUIDA et son environnement, et des plaines de la Mitidja d’une rare
beauté), nous remercions notre quotidien EL WATAN de son apport en
terme de communication sur ce projet sportif et son contours qui va
permettre à notre commune d’être connue et plébiscité aussi pour son
état d’esprit de ville accueillante à l’échelle nationale et
Internationale.
Mahmoud KHEMICI
VICE PRÉSIDENT APC
Mahmoud KHEMICI
VICE PRÉSIDENT APC
Après de violents accrochages, la tension persiste à Ali Mendjeli (Constantine)
« Nous préférons retourner dans nos bidonvilles »
le 27.03.14 | 10h00
1 réaction
|
© El Watan
Des canalisations de gaz de ville ont été...
Les affrontements ont causé des blessures à cinq agents de l’ordre.
Nuit d’horreur pour les habitants de l’unité de voisinage n°14, à Ali
Mendjeli. En effet, les violences ont repris dans la nuit de lundi à
mardi et se sont poursuivies pendant la journée d’hier entre les
habitants issus des bidonvilles de Oued El Had et ceux de Fedj Errih.
Hier, nous avons constaté sur place les dégâts occasionnés sur plusieurs
bâtiments au vu des traces de cocktails Molotov. Les pierres et autre
ferraille qui jonchent la chaussée sont là pour témoigner d’une nuit
d’horreur où la sécurité a pris un sérieux coup, malgré la présence des
éléments des services de sécurité, qui ne font que constater les dégâts.
Pis encore, ce sont eux qui ont eu à déplorer plusieurs blessés dans leurs rangs. Sur place, les habitants que nous avons rencontrés sont unanimes: «Nous étions certes contents d’avoir acquis un logement décent, mais sans une sécurité minimale, nous préférons retourner dans nos bidonvilles, au moins, nous avions la vie sauve !» Et un riverain d’ajouter : «Nous ne pouvons même plus travailler, car nous sommes obligés de surveiller nos habitations. Nous avons été obligés d’évacuer nos familles ailleurs et nous sommes là à faire le guet.» A l’entrée d’un bâtiment, les traces d’incendie sont encore là. Une femme nous raconte cette nuit qu’elle a dû passer avec son mari grabataire : «Nous avons vécu le martyre; le feu, les cris et les projectiles qui n’ont pas cessé de 18 h ‘à minuit. Pire, nous avons subi la fumée des bombes lacrymogènes des policiers qui ont dû en utiliser pour disperser cette horde, composée de centaines d’individus.»
Un autre citoyen, plus au fait de tout ce qui se passe dans ces lieux, tente de nous expliquer les raisons de cette violence récurrente: «Ces accrochages ne sont pas le fruit du hasard, mais bien le fait de personnes décidées à s’accaparer ces territoires. Il y a là beaucoup de trafic et à grande échelle, de drogue, de psychotropes et de grands réseaux de prostitution. Ce qui se passe la nuit est digne des grands films hollywoodiens.»
Un jeune enfant nous raconte un fait insolite, mais révélateur d’une extrême insécurité : «J’ai perdu mon père la semaine passée et nous avons éprouvé toutes les difficultés du monde à procéder à son enterrement, parce que ces gens nous ont interdit de sortir sa dépouille, et c’est grâce à plusieurs interventions que nous avons pu le faire. Je garderai toujours ce souvenir douloureux.» A l’extérieur, des canalisations de gaz de ville ont été vandalisées ; d’ailleurs, les services de la SDE ont dû procéder à la coupure de cette énergie pour éviter le pire. Sur la chaussée, des pierres et des petits morceaux de ferraille qui ont servi de projectiles la veille, jonchent le sol. Ces images sont édifiantes sur une situation cauchemardesque. Plus bas, les deux établissements scolaires ont fait l’objet d’un saccage en règle, avec d’importants dégâts. Durant notre parcours dans ces lieux, nous avons aperçu des gamins qui s’attaquaient mutuellement avec des lance-pierres, à partir des terrasses de bâtiments.
«Ça commence ainsi. Les jeunes ouvrent les hostilités durant le jour avant d’être rejoints, au crépuscule, par leurs aînés qui prennent la relève mais avec plus de rage et des moyens plus conséquents», relève encore un riverain. Les attaques durent toute la nuit et les belligérants tentent par tous les moyens de s’introduire dans les immeubles. Leurs menaces sont terrifiantes, témoigne-t-il encore. «Ils veulent nous inciter à renoncer à nos logements pour fuir un territoire qu’ils veulent pour eux seuls», soulignent, à l’unisson, des témoins qui pointent du doigt les services de police qu’ils accusent de passivité. Les violences qui secouent l’UV14, s’inscrivent en effet dans la durée, ce qui légitime des interrogations sur la capacité et la volonté des pouvoirs publics à y mettre fin.
Pis encore, ce sont eux qui ont eu à déplorer plusieurs blessés dans leurs rangs. Sur place, les habitants que nous avons rencontrés sont unanimes: «Nous étions certes contents d’avoir acquis un logement décent, mais sans une sécurité minimale, nous préférons retourner dans nos bidonvilles, au moins, nous avions la vie sauve !» Et un riverain d’ajouter : «Nous ne pouvons même plus travailler, car nous sommes obligés de surveiller nos habitations. Nous avons été obligés d’évacuer nos familles ailleurs et nous sommes là à faire le guet.» A l’entrée d’un bâtiment, les traces d’incendie sont encore là. Une femme nous raconte cette nuit qu’elle a dû passer avec son mari grabataire : «Nous avons vécu le martyre; le feu, les cris et les projectiles qui n’ont pas cessé de 18 h ‘à minuit. Pire, nous avons subi la fumée des bombes lacrymogènes des policiers qui ont dû en utiliser pour disperser cette horde, composée de centaines d’individus.»
Un autre citoyen, plus au fait de tout ce qui se passe dans ces lieux, tente de nous expliquer les raisons de cette violence récurrente: «Ces accrochages ne sont pas le fruit du hasard, mais bien le fait de personnes décidées à s’accaparer ces territoires. Il y a là beaucoup de trafic et à grande échelle, de drogue, de psychotropes et de grands réseaux de prostitution. Ce qui se passe la nuit est digne des grands films hollywoodiens.»
Un jeune enfant nous raconte un fait insolite, mais révélateur d’une extrême insécurité : «J’ai perdu mon père la semaine passée et nous avons éprouvé toutes les difficultés du monde à procéder à son enterrement, parce que ces gens nous ont interdit de sortir sa dépouille, et c’est grâce à plusieurs interventions que nous avons pu le faire. Je garderai toujours ce souvenir douloureux.» A l’extérieur, des canalisations de gaz de ville ont été vandalisées ; d’ailleurs, les services de la SDE ont dû procéder à la coupure de cette énergie pour éviter le pire. Sur la chaussée, des pierres et des petits morceaux de ferraille qui ont servi de projectiles la veille, jonchent le sol. Ces images sont édifiantes sur une situation cauchemardesque. Plus bas, les deux établissements scolaires ont fait l’objet d’un saccage en règle, avec d’importants dégâts. Durant notre parcours dans ces lieux, nous avons aperçu des gamins qui s’attaquaient mutuellement avec des lance-pierres, à partir des terrasses de bâtiments.
«Ça commence ainsi. Les jeunes ouvrent les hostilités durant le jour avant d’être rejoints, au crépuscule, par leurs aînés qui prennent la relève mais avec plus de rage et des moyens plus conséquents», relève encore un riverain. Les attaques durent toute la nuit et les belligérants tentent par tous les moyens de s’introduire dans les immeubles. Leurs menaces sont terrifiantes, témoigne-t-il encore. «Ils veulent nous inciter à renoncer à nos logements pour fuir un territoire qu’ils veulent pour eux seuls», soulignent, à l’unisson, des témoins qui pointent du doigt les services de police qu’ils accusent de passivité. Les violences qui secouent l’UV14, s’inscrivent en effet dans la durée, ce qui légitime des interrogations sur la capacité et la volonté des pouvoirs publics à y mettre fin.
N. Benouar
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Cirta25
le 28.03.14 | 08h24
Triste et honte a ce lecteur 'patinga'!
D'abord honte à vous 'patinga' de parler en ces termes des
femmes et durant des moments aussi douloureux car il y a eu des morts.
Je ne comprends pas non plus comment le modérateur d'El Watan n'a pas
bloqué de telles paroles car elles ne sont pas exprimées au nom de la
liberté de paroles, mais c'est un misogyne comme le sont beaucoup
beaucoup d'Algériens, dommage. Pour revenir à cette situation
dramatique, que fait l'Etat? Il est du devoir de la police et de la
gendarmerie de protéger ses citoyens, c'est leur devoir.
Immobilisme
Ça doit donner un avant goût au petit peuple content dans son
petit confort (petit job petit logis) et préférant le Khti Rassi à
Barakat.
il faut steriliser les femmes .
Nos femmes pondent comme des lapins. la demographie effrenee est la cause de tous les malheurs du pays .
رغم قساوة الظروف:
أمهات عازبات يغامرن لاستعادة أبنائهن من مراكز الطفولة
سمية سعادة
2014/03/27
صورة: ح/م
- 4886
- 23
محاولة فاشلة
من بين هذه الحالات، حالة فتاة جاءت من
ولاية بعيدة لتضع مولودها في سطيف، وبما أنها لم تتنازل عنه بشكل نهائي،
وهو الأمر الذي يسمح لها باستعادته خلال ثلاثة أشهر، استطاعت في هذه المدة
أن تؤجر مسكنا دفعت ثمنه من عملها في مجال الخياطة، واستعادت ابنها، ولكن
سعادتها لم تدم طويلا لأن إخوتها اكتشفوا أمرها واستطاعوا الوصول إليها،
فادّعت أنها تكفلت بالطفل. وفي الصباح ذهبوا بها إلى مديرية النشاط
الاجتماعي بسطيف للتأكد من حقيقة الأمر رغم الشكوك التي كانت تراودهم من أن
الطفل لأختهم، وطلبوا منها التنازل عنه للمركز لأنهم يرفضون فكرة أن تكون
أختهم كافلة لطفل لا تعرفه، ثم عادوا بها إلى ولايتهم، ولكن الفتاة رغم
مرور نحو 5 سنوات لم تنس ابنها وظلّت تسأل عنه بالهاتف في كل المناسبات،
وترجّت المساعدة الاجتماعية أن تقنع الأسرة التي تكفلت به أن تعطيها صورته،
وربما السماح لها برؤيته في يوم من الأيام لأن بعض الأسر الكافلة، حسب
السيدة "نظيرة. خ"، المساعدة الاجتماعية بمديرية النشاط الاجتماعي بسطيف،
لا تمانع في منح الأم البيولوجية فرصة الالتقاء بابنها إذا لم تكن امرأة
منحرفة. نفس الأمر حدث مع أم عازبة أخرى، تسلمت ابنتها من المركز بعد
ثلاثة أشهر وتركتها عند أسرة تقوم على رعايتها مقابل مبلغ من المال، ولكن
إخوتها تتبعوا طريقها عندما شكوا أنها تكون قد تورطت في علاقة غير شرعية
واكتشفوا الحقيقة، لذلك أخذوا الطفلة من الأسرة التي تتواجد عندها وأجبروا
أختهم على التنازل عنها للمركز بشكل نهائي.
رغم الظروف
ولكن إحدى الفتيات أجبرت والدتها التي هي
في الحقيقة كافلتها باستعادة ابنها الذي أنجبته بطريقة غير شرعية من
المركز، واضطرت الأم إلى تلبية طلبها خاصة وأنها تعيش رفقة زوجها في فرنسا
بعد أن مات زوجها. ودفعت فتاة أخرى ثمن استعادة ابنها عندما طردتها عائلتها
التي رفضت الاعتراف بالطفل. أما الفتاة التي وجدناها في مديرية النشاط
الاجتماعي والتي تبلغ من العمر 28 سنة، فلم تكن تنوي أن تستعيد ابنها في
الوقت الحالي لأن كل الظروف المحيطة لا تسمح لها بذلك، سيّما وأن أسرتها لا
تعلم حتى اليوم بأن ابنتها أنجبت طفلا بعملية قيصرية بإحدى العيادات
الخاصة بسطيف، حيث مكثت 24 ساعة فقط في العيادة لتعود إلى بيتهم وهي تحمل
جسدا مريضا، وقلبا يتقطع ألما وحزنا على طفلها الذي تنازلت عنه لمركز
الطفولة، ولكن الطفل مات بعد أيام قليلة، وهذا ما أكدّته شهادة الوفاة التي
سلّمتها لها المساعدة الاجتماعية. ورغم الحسرة التي بدت واضحة في عينيها
والتي ترجمتها الدموع وهي تقرأ الشهادة، إلاّ أنها قالت لنا إنها كانت تخشى
عليه من المصير المجهول سيّما وأنها لا تستطيع أن توفر له مكانا تعيش فيه
معه، ولو تيّسر لها ذلك ما كانت لتتخلى عنه. وعن هذا الموضوع قالت السيدة
نظيرة لـ "الشروق"، إن الأم العازبة تفقد أمومتها إذا وقعت على التنازل عن
طفلها بشكل نهائي، لذلك لا يمنحها المركز أي مدة لتستعيده، بل يسلمه لأي
أسرة تطلب كفالته، ولكن يحق لها أن تستعيده في حال إذا لم تأخذه أي أسرة،
على عكس الأم التي تتنازل عن طفلها بشكل مؤقت، حيث "نمنحها- تقول المساعدة
الاجتماعية- ثلاثة أشهر وقد نمهلها مدة أخرى إذا طلبت ذلك إلى أن تتحسن
ظروفها". تضيف: "ولكن بعض الأمهات يحاولن التحايل علينا عندما يتنازلن عن
أولادهن بشكل مؤقت، ولكن ليس في نيتهن استعادتهم خلال هذا المدة، بل يتركن
هذا الأمر للظروف وهو ما لا نتقبله، لأن الأفضل للطفل أن يترعرع وسط أسرة
تمنحنه الحنان، لذلك نسلمه لأي أسرة ترغب في كفالته بعد أن نتأكد أن أمه
البيولوجية لا تفكر في استعادته على المدى القريب".
حنين بعد الجريمة
أما عن الاطفال الذين تورّط آباؤهم في
جرائم قتل، بحيث يقتل الزوج زوجته أو العكس، ويرفض أهل الزوجين أو أقاربهما
التكفل بهم، يقوم مركز الطفولة المسعفة بتسليمهم تحت إشراف القاضي، ولا
يتم منحهم لعائلة أخرى إلا بعد موافقة المحكمة، ولكن في بعض الأحيان يحاول
الآباء استعادة أبنائهم بعد انقضاء مدة السجن والتي تكون عادة طويلة، ومن
بين هؤلاء امرأة قتلت زوجها. وبعد أن تم الحكم عليها بالسجن، أودع ابناها
الصغيران، 3 و5 سنوات، مركز الطفولة. وبينما تكفلت إحدى الأسر بالأول، رفض
الثاني أن يعود معها عندما خرجت من السجن وطلبت أن يرافقها، حيث كان قد بلغ
مرحلة الشباب، فشق طريقه بنفسه وتزوج وكوّن أسرة بعيدا عن والدته التي
تسبّبت في تشتيت شملهم.
تبســة |
عدد القراءات: 305
من جهتها عبرت جمعيات عن بالغ استيائها لما قام به الأمين العام لدائرة الكويف نحو العضوة المنتخبة بالبلدية ، ويؤكدون وقوفهم التام مع الضحية ومطالبين برحيله الفوري من الدائرة حفاظا على استقرار البلدية وتفاديا لانزلاقات أخرى ، وقد عززت المصالح الأمنية تواجدها بمقر الدائرة وفتحت ممرا آمنا تم من خلاله إخراج الأمين العام للدائرة من مكتبه ، كما تم تحويل رئيس الدائرة من طرف أعوان الحماية المدنية إلى مستشفى بكارية القريب بعد أن أصيب بحالة إغماء ، وقد تدخل عدد من أعيان المنطقة وفعاليات المجتمع المدني لإنهاء هذه الأزمة التي أحدثها الأمين العام للدائرة ،الذي حاولنا الاتصال به لمعرفة رده حول الاتهامات الموجهة إليه ،غير أننا لم نفلح في ذلك .
ع/نصيب
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