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الرباط، المغرب (CNN)— أثار موضوع مثليي الجنس في المغرب، الثلاثاء، عددا من الانتقادات داخل البرلمان المغربي لما آل إليه الوضع من أن لهم مواقع إلكترونية مسموحة ينطلقون منها للعلن الأمر الذي يتنافى مع أسس المجتمع المغربي.
ونقلت صحيفة هيسبريس المغربية على لسان عضو بالبرلمان المغربي عن حزب الصباح حيث قالت: "المثليون بالمغرب باتت لهم مواقع إلكتروني، وصاروا يخرجون إلى العلن، ويروجون لخطابهم بكل حرية في مجتمع مغربي مسلم."
وبين التقرير أن هذه التصريحات تأتي الحملة التي أطلقها مثليي الجنس بالمغرب تحت اسم "أصوات للأقليات الجنسية"، يطالبون من خلالها الدفاع عن حقوقهم، ووسموا الحملة بشعار "الحب ليس جريمة"، ينادون عبرها بمواجهة "رهاب المثلية" ورفض مظاهرها في جل الدول، بمناسبة حلول 17 مايو/ أيار الجاري.
على الصعيد الآخر نقل التقرير على لسان وزير الأوقاف والشؤون الإسلامية المغربي أحمد التوفيق، قوله: "إن الأمور تدبر أساسا بالحكمة والموعظة الحسنة" مستدلا بالآية القرآنية "أدع إلى سبيل ربك بالحكمة والموعظة وجادلهم بالتي هي أحسن"، قبل أن يشدد على أن "إمارة المؤمنين تحمي الملة والدين."
L’EHU innove en matière de communication
C’est un fait établi depuis des années, les différents services de l’administration publique communiquent peu. Aux yeux des gestionnaires de ces entités et autres organismes d’utilité publique, la communication est reléguée au second plan où tout juste perçue comme une corvée. Toutefois, certains établissements ayant senti ce déficit tentent de rattraper le retard en plaçant la communication parmi les axes prioritaires.
Cela est notamment le cas de l’Etablissement hospitalier et universitaire d’Oran (EHU) qui est parmi les rares établissements publics de nos jours à communiquer avec la presse. En effet, cet établissement vient de rendre public son bilan relatif au premier trimestre de cette année, à travers lequel il est fait état des activités de ces 29 services. En effet, il est relevé selon le même document dont une copie a été transmise à notre rédaction que pas moins 32 274 consultations, 5961 hospitalisations, et 3070 actes opératoires ont eu lieu durant la période allant du 1er janvier jusqu’au le 31 mars de cette année. Le plus grand nombre des opérations chirurgicales a été enregistré au niveau du service des urgences médicochirurgicales (U.M.C) avec 934 opérations, alors qu’il a été enregistré au niveau du service de chirurgie cardiaque 64 opérations, précise le même document. Par ailleurs, le service de gynécologie obstétrique a enregistré le plus grand nombre de consultations avec 8377 cas. Concernant le nombre des malades, l’EHU a enregistré 17 285 malades en hôpital du jour et 5961 malades hospitalisés.
Mohamed Hamza
Par Nasser Hannachi
Le plan d’urgence et l’expertise destinés au réaménagement adéquat de la nouvelle ville Ali-Mendjelli somnolent. Les tares cumulées depuis des années au niveau de ce qu’aurait été cette cité annexe de Constantine n’ont pas été traitées malgré les multiples promesses et visites effectuées sur place par les ministres qui se sont succédé à la tête des secteurs de l’aménagement du territoire et de l’habitat. Tous les responsables sont unanimes pour reconnaître les tares urbanistiques au niveau de cette localité qui s’apprête à atteindre en 2015 les 400 000 habitants. Il y a une disproportion entre l’outil urbanistique et celui de l’accompagnement en ce qui concerne les infrastructures toutes
catégories confondues, y compris les espaces dédiés à la verdure. «C’est la bêtise urbanistique jamais commise auparavant au niveau de cette wilaya. Aucune perspective de départ n’a été établie selon les bonnes règles en matière d’habitat. L’urgence aura généré une cité décousue et dépourvue d’un cadre de vie adéquat qui aurait donné à Ali-Mendjeli sa juste valeur», souligne un architecte, qui n’a pas pris part à cette urbanisation empressée. Le constat est consigné et est même sur la table du ministre de l’Habitat, M. Tebboune, qui a certifié lors de son dernier passage à Constantine que son département prévoit de faire appel à des experts étrangers aux côtés de ceux nationaux pour apporter des solutions aux défaillances de la nouvelle ville. Néanmoins, une question reste posée sur l’avancement du premier plan d’urgence arrêté pour cette localité, pour lequel les responsables ont fixé un budget colossal de 38 milliards de dinars et dont les premières livraisons devaient avoir lieu la fin de l’année écoulée. Les équipements de proximité ont été implantés sans réflexion et dispatchés loin des unités de voisinage, rendant la tâche difficile aux riverains. «On a mis la charrue avant les bœufs. C’est après des milliers de réalisations (habitat notamment) que les gestionnaires, devant la démographie galopante, se sont rendus à l’évidence de leur bévue de départ. La planification était caduque, ce qui a donné à cette nouvelle ville une configuration sans âme et sans commodité. La course des opérateurs vers la construction des bâtiments de peur de rater le coche a prédominé les outils urbanistiques», témoigne un habitant. Soucieux des imperfections urbanistiques, le ministère a amorcé autant de chantiers dont la mission est de contrecarrer toute anarchie aux abords des cités nouvelles. Du moins pour le cas de Constantine, les appels d’offres pour enclencher le plan d’urgence ne se sont pas encore manifestés en leur totalité pour réparer «cette catastrophe urbanistique», comme l’a qualifiée M. Amara Benyounès lorsqu’il détenait en 2012 le département de l’aménagement du territoire, de l’environnement et de la ville. Une mise à niveau qui n’est pas perceptible pour la majorité des citoyens. «On voit des constructions, des chantiers, mais le vrai visage de la nouvelle ville censé jouer le reflet de Constantine ou de la ville moderne n’est pas manifeste après plusieurs promesses assorties de mannes importantes», estiment quelques citoyens. La mise à niveau demeure une tâche ardue devant le flux incessant des relogements pressants. Les injonctions émises sur des livraisons justifiées par des mesures d’accompagnements se sont parfois heurtées à des «exigences» et mesures d’exception. Autrement dit, les listes interminables des demandeurs de
logement et leur inquiétude de se caser sans trop de retard ont fait que les
responsables parent au plus pressé pour éviter la cohue au détriment du cadre de vie et des équipements réalisés souvent en décalage. Il faut rappeler que la seconde tranche de mise à niveau de la nouvelle ville a nécessité une coquette somme de 26 milliards de dinars. Un budget énorme pour des résultats toujours pas toujours heureux aux quatre coins de ce nouveau Constantine qui accueille le plus grand pôle universitaire d’Afrique. À vrai dire, la première mise à niveau n’a pas échappé à la précipitation. Et cette seconde phase presque terminale pour assurer de bonnes connexions infrastructurelles et de proximité risque de ne pas déroger à la règle : accélérer la cadence au prix fort, mais à la piètre qualité des œuvres. Ayant bénéficié d’une latitude exemplaire, dès lors que ces opérations ne sont astreintes à aucune réévaluation car entrant dans un cadre complémentaire, la nouvelle ville Ali-Mendjeli espère redorer son image toujours terne. Les experts pourront-ils incessamment consigner la nouvelle feuille de route afin de permettre à cette ville de répondre du moins à la moitié des normes urbanistiques ?
N. H.
Par notre correspondant à Constantine
Abdelhamid Lemili
«Les créateurs de jardins sont des médecins autant que des artistes», soutenait un illustre botaniste. Il est de notoriété publique que sur le plan de la mémoire, la ville de Constantine n’arrête pas de vivre depuis l’indépendance sur une série de directives officielles visant la systématique lobotomisation de la population, notamment celle qui n’a pas eu l’âge de construire et s’approprier définitivement des souvenirs au lendemain de l’évènement historique évoqué. Bien des pans de cette mémoire sont tombés au gré des élucubrations de quelques responsables qui, au lendemain de la libération du pays, ont imputé aux colonisateurs leur omniprésence mémorielle via des monuments, d’espaces, de représentations d’art (statues) considérant impérative la nécessité, voire le devoir de faire disparaître des vestiges de nature à rappeler les douleurs et raviver les blessures. Les
jardins publics, havres de sérénité dans une ville encore très aérée, ont fait les frais de cette impulsive démolition mnémonique massive. Il faut souligner et concéder la justesse de vision à long terme des urbanistes de l’époque coloniale et la nécessité de donner à chaque faubourg situé dans les hauteurs de la ville un réservoir d’oxygène doté de toutes les commodités et aussi sommaires le seraient-elles : kiosque à musique, jeu de boules, guinguette… Ces espaces ont, au fur et à mesure, commencé à dépérir faute d’entretien, de prise en charge
graduellement et ensuite définitivement phagocytés par le béton et les réalisations hideuses, fruits des élucubrations du moment des responsables des pouvoirs publics locaux. Et depuis, malgré la présence d’un ou de deux parcs moribonds toujours sur les hauteurs de la ville, seul celui (Bennacer) implanté au centre-ville tient encore debout et pour cause
forcément les séculaires et merveilleux massifs arbres qui en font la texture. Si ce dernier n’a pas été victime de grandes actions prédatrices, il n’en demeure pas qu’il est continuellement l’objet
d’interventions faites, est-il assuré par leurs promoteurs, d’opérations d’aménagement, réhabilitation, lesquelles toutefois réalisées par de pseudos promoteurs environnementaux n’arrêtent pas de le dénaturer. Quoiqu’il en soit et c’est évidemment en raison de lieu de retraite pour quelques personnes âgées, quelques autres nostalgiques et plus récemment pour des grappes de personnes venues des communes et wilayas limitrophes un lieu d’arrêt réparateur, mais aussi de jeunes couples à la rechercher d’un endroit discret pour se retrouver, parler et tracer des plans sur la comète. Et si l’écologie dans sa basique acception existe depuis la nuit des temps et que l’écologie politique a quand même plus de quarante ans d’existence, ce n’est que depuis moins d’une dizaine d’années qu’en Algérie les responsables politiques au niveau central et ensuite ceux (responsables) locaux se sont ouverts, compte tenu des dommages constatés sur le cadre de vie, à la nécessité de revenir aux fondamentaux de la nature. Autrement dit, envisager très sérieusement de restituer à cette dernière ses droits et surtout garantir ceux des habitants…dont celui de respirer un air sain. Sauf que pour réussir le minimum d’un tel projet, il faut aussi un minimum de compétences en la matière, les réalisations directement ou indirectement liées à tous types de viviers naturels ne pouvant se faire sans spécialistes, à savoir des ingénieurs environnementalistes, des paysagistes, des urbanistes spécialisés… Or, dans cette sorte de frénésie qui est leur seconde «nature», les responsables locaux des pouvoirs publics désignent d’autorité des espaces, confient au choix à n’importe quel quidam le profil de l’espace vert à créer avec la seule et indécrottable idée que tout ce qui est vert est naturel et peu importe alors les moyens de le garder en l’état, de veiller à sa pérennité, ses conditions de survie. C’est-à-dire tout ce qui fait sa nature même. C’est d’ailleurs pour cette raison, qu’en dehors des vestiges verts du passé, tout ce qui a pu être réalisé ces dix dernières années s’est rapidement dégradé pour rendre les lieux encore plus hideux avec des herbes folles, des bancs publics blanchis par le soleil et bouffés par les microbes, des détritus sur les carrés ayant jusque-là eu la réputation de receler du gazon, des aménagements conviviaux (cafétéria, kiosque, WC) abandonnés. Une sorte d’abomination légitimée, toujours, par les pouvoirs publics locaux, à travers une fumeuse carambouille consistant à coupler la réalisation de ces espaces aux fumeux dispositifs sociaux, dont l’Ansej et l’Angem, à de jeunes promoteurs,
lesquels à l’aide de moyens et équipements dérisoires, sans connaissance aucune, s’en viennent retourner la terre, semer quelques graines et peu importe
lesquelles, planter une plaque vantant l’enseigne de l’entreprise réalisatrice, récupérer un pactole et repartir les doigts dans le nez en laissant leur reste de gloire aux différents responsables de l’exécutif. Notamment celui de renseigner les rapports mensuels et autres bilans annuels de leur activité. Il faudrait ajouter à cet aspect négatif de la situation, les descentes sporadiques arbitraires des policiers dans certains parcs pour y interpeller des couples dans le seul tort est de se dénicher un endroit loin des regards pour couler, par ailleurs face au regard de tout le monde, un brin de temps ensemble. Pour les policiers, lesquels, sans doute, agissent à titre personnel et encore une fois sans doute loin de toute instruction officielle, juste pour le plaisir de contrarier des gens ordinaires dans une société qui ne l’est plus à mesure que passe les années.
A. L.
الاخبار العاجلة لالغاء صندوق الطلاق الجزائرياثناء حملة بوتفليقة وتعويضه بصندوق قفة رمضان بسبب المجاعة الغدائية للجزائرين في شهر المجاعة الجزائرية المباركة ونساء الجزائر المطلقات ينخرطن في قفة رمضان لضمان اجرة 10الاف دينار في شهر المجاعات الغدائية رمضان 2014والاسباب مجهولة
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الاخبار العاجلة لاكتشاف حصة ماسي قسنطينة ان فن المالوف بقسنطينة نشا بين الحشاشين ومروجي المخدرات ايام بايات قسنطينة ويدكر ان اغنية البوغي الفت في مقهي بجسر الشيطان بقسنطينة وللعلم فان مغني المالوف يدكرون كلمة الحشايشية علانية في الحفلات فهل سكان قسنطينة نائمون على حشيشة المالوف بقسنطينة والاسباب مجهولة
مثليو الجنس بالمغرب.. بين "الحب ليس جريمة" والانتقادات البرلمانية
الثلاثاء 13 مايو 2014 10:43:42 م - عدد القراء 268
الرباط، المغرب (CNN)— أثار موضوع مثليي الجنس في المغرب، الثلاثاء، عددا من الانتقادات داخل البرلمان المغربي لما آل إليه الوضع من أن لهم مواقع إلكترونية مسموحة ينطلقون منها للعلن الأمر الذي يتنافى مع أسس المجتمع المغربي.
ونقلت صحيفة هيسبريس المغربية على لسان عضو بالبرلمان المغربي عن حزب الصباح حيث قالت: "المثليون بالمغرب باتت لهم مواقع إلكتروني، وصاروا يخرجون إلى العلن، ويروجون لخطابهم بكل حرية في مجتمع مغربي مسلم."
وبين التقرير أن هذه التصريحات تأتي الحملة التي أطلقها مثليي الجنس بالمغرب تحت اسم "أصوات للأقليات الجنسية"، يطالبون من خلالها الدفاع عن حقوقهم، ووسموا الحملة بشعار "الحب ليس جريمة"، ينادون عبرها بمواجهة "رهاب المثلية" ورفض مظاهرها في جل الدول، بمناسبة حلول 17 مايو/ أيار الجاري.
على الصعيد الآخر نقل التقرير على لسان وزير الأوقاف والشؤون الإسلامية المغربي أحمد التوفيق، قوله: "إن الأمور تدبر أساسا بالحكمة والموعظة الحسنة" مستدلا بالآية القرآنية "أدع إلى سبيل ربك بالحكمة والموعظة وجادلهم بالتي هي أحسن"، قبل أن يشدد على أن "إمارة المؤمنين تحمي الملة والدين."
Boutlélis
Ils dénoncent les agissements du maire
et sollicitent l’ouverture d’une enquête
Quatre élus interpellent le wali
Dans une lettre adressée au wali, dont nous détenons une
copie, quatre élus de l’Assemblée populaire communale de
Boutlélis demandent l’ouverture d’une enquête sur la gestion de cette commune.
Dans cette lettre, les élus signataires reprochent au maire la prise de décisions illégales, et signalent des infractions aux lois de la République, notamment celles ayant trait au code des marchés. Ils demandent également la vérification des procès-verbaux de l’ensemble des délibérations, et ce, depuis l’installation du maire à la tête de cette commune. Les élus signataires de cette correspondance estiment qu’il y a surfacturation dans l’achat des pièces détachées et dans la maintenance des engins, ils demandent au wali de dépêcher une commission pour enquêter également sur l’aménagement du siège de la mairie et l’achat de ses équipements, ainsi que sur le montant réservé à l’achat des antennes administratives de cette commune. Dans cette lettre, ces élus évoquent le non-respect de l’article relatif à la mise à prix des biens communaux pour l’adjudication de la crèche, de l’abattoir, de la gare routière et du marché hebdomadaire.
Les copies de cette lettre ont été adressées également au DRAG, à l’inspecteur général de la wilaya, ainsi qu’au président de l’APW.
A. Bekhaitia
L’hôpital dresse son bilan trimestriel et le communique à la presse Ils dénoncent les agissements du maire
et sollicitent l’ouverture d’une enquête
Quatre élus interpellent le wali
Dans une lettre adressée au wali, dont nous détenons une
copie, quatre élus de l’Assemblée populaire communale de
Boutlélis demandent l’ouverture d’une enquête sur la gestion de cette commune.
Dans cette lettre, les élus signataires reprochent au maire la prise de décisions illégales, et signalent des infractions aux lois de la République, notamment celles ayant trait au code des marchés. Ils demandent également la vérification des procès-verbaux de l’ensemble des délibérations, et ce, depuis l’installation du maire à la tête de cette commune. Les élus signataires de cette correspondance estiment qu’il y a surfacturation dans l’achat des pièces détachées et dans la maintenance des engins, ils demandent au wali de dépêcher une commission pour enquêter également sur l’aménagement du siège de la mairie et l’achat de ses équipements, ainsi que sur le montant réservé à l’achat des antennes administratives de cette commune. Dans cette lettre, ces élus évoquent le non-respect de l’article relatif à la mise à prix des biens communaux pour l’adjudication de la crèche, de l’abattoir, de la gare routière et du marché hebdomadaire.
Les copies de cette lettre ont été adressées également au DRAG, à l’inspecteur général de la wilaya, ainsi qu’au président de l’APW.
A. Bekhaitia
L’EHU innove en matière de communication
C’est un fait établi depuis des années, les différents services de l’administration publique communiquent peu. Aux yeux des gestionnaires de ces entités et autres organismes d’utilité publique, la communication est reléguée au second plan où tout juste perçue comme une corvée. Toutefois, certains établissements ayant senti ce déficit tentent de rattraper le retard en plaçant la communication parmi les axes prioritaires.
Cela est notamment le cas de l’Etablissement hospitalier et universitaire d’Oran (EHU) qui est parmi les rares établissements publics de nos jours à communiquer avec la presse. En effet, cet établissement vient de rendre public son bilan relatif au premier trimestre de cette année, à travers lequel il est fait état des activités de ces 29 services. En effet, il est relevé selon le même document dont une copie a été transmise à notre rédaction que pas moins 32 274 consultations, 5961 hospitalisations, et 3070 actes opératoires ont eu lieu durant la période allant du 1er janvier jusqu’au le 31 mars de cette année. Le plus grand nombre des opérations chirurgicales a été enregistré au niveau du service des urgences médicochirurgicales (U.M.C) avec 934 opérations, alors qu’il a été enregistré au niveau du service de chirurgie cardiaque 64 opérations, précise le même document. Par ailleurs, le service de gynécologie obstétrique a enregistré le plus grand nombre de consultations avec 8377 cas. Concernant le nombre des malades, l’EHU a enregistré 17 285 malades en hôpital du jour et 5961 malades hospitalisés.
Mohamed Hamza
La nouvelle ville Ali-Mendjeli - Constantine
Une cité qui cherche son attribut urbanistique et sa verdure
- Publié le 14.05.2014 à 00:00, Par :
Le plan d’urgence et l’expertise destinés au réaménagement adéquat de la nouvelle ville Ali-Mendjelli somnolent. Les tares cumulées depuis des années au niveau de ce qu’aurait été cette cité annexe de Constantine n’ont pas été traitées malgré les multiples promesses et visites effectuées sur place par les ministres qui se sont succédé à la tête des secteurs de l’aménagement du territoire et de l’habitat. Tous les responsables sont unanimes pour reconnaître les tares urbanistiques au niveau de cette localité qui s’apprête à atteindre en 2015 les 400 000 habitants. Il y a une disproportion entre l’outil urbanistique et celui de l’accompagnement en ce qui concerne les infrastructures toutes
catégories confondues, y compris les espaces dédiés à la verdure. «C’est la bêtise urbanistique jamais commise auparavant au niveau de cette wilaya. Aucune perspective de départ n’a été établie selon les bonnes règles en matière d’habitat. L’urgence aura généré une cité décousue et dépourvue d’un cadre de vie adéquat qui aurait donné à Ali-Mendjeli sa juste valeur», souligne un architecte, qui n’a pas pris part à cette urbanisation empressée. Le constat est consigné et est même sur la table du ministre de l’Habitat, M. Tebboune, qui a certifié lors de son dernier passage à Constantine que son département prévoit de faire appel à des experts étrangers aux côtés de ceux nationaux pour apporter des solutions aux défaillances de la nouvelle ville. Néanmoins, une question reste posée sur l’avancement du premier plan d’urgence arrêté pour cette localité, pour lequel les responsables ont fixé un budget colossal de 38 milliards de dinars et dont les premières livraisons devaient avoir lieu la fin de l’année écoulée. Les équipements de proximité ont été implantés sans réflexion et dispatchés loin des unités de voisinage, rendant la tâche difficile aux riverains. «On a mis la charrue avant les bœufs. C’est après des milliers de réalisations (habitat notamment) que les gestionnaires, devant la démographie galopante, se sont rendus à l’évidence de leur bévue de départ. La planification était caduque, ce qui a donné à cette nouvelle ville une configuration sans âme et sans commodité. La course des opérateurs vers la construction des bâtiments de peur de rater le coche a prédominé les outils urbanistiques», témoigne un habitant. Soucieux des imperfections urbanistiques, le ministère a amorcé autant de chantiers dont la mission est de contrecarrer toute anarchie aux abords des cités nouvelles. Du moins pour le cas de Constantine, les appels d’offres pour enclencher le plan d’urgence ne se sont pas encore manifestés en leur totalité pour réparer «cette catastrophe urbanistique», comme l’a qualifiée M. Amara Benyounès lorsqu’il détenait en 2012 le département de l’aménagement du territoire, de l’environnement et de la ville. Une mise à niveau qui n’est pas perceptible pour la majorité des citoyens. «On voit des constructions, des chantiers, mais le vrai visage de la nouvelle ville censé jouer le reflet de Constantine ou de la ville moderne n’est pas manifeste après plusieurs promesses assorties de mannes importantes», estiment quelques citoyens. La mise à niveau demeure une tâche ardue devant le flux incessant des relogements pressants. Les injonctions émises sur des livraisons justifiées par des mesures d’accompagnements se sont parfois heurtées à des «exigences» et mesures d’exception. Autrement dit, les listes interminables des demandeurs de
logement et leur inquiétude de se caser sans trop de retard ont fait que les
responsables parent au plus pressé pour éviter la cohue au détriment du cadre de vie et des équipements réalisés souvent en décalage. Il faut rappeler que la seconde tranche de mise à niveau de la nouvelle ville a nécessité une coquette somme de 26 milliards de dinars. Un budget énorme pour des résultats toujours pas toujours heureux aux quatre coins de ce nouveau Constantine qui accueille le plus grand pôle universitaire d’Afrique. À vrai dire, la première mise à niveau n’a pas échappé à la précipitation. Et cette seconde phase presque terminale pour assurer de bonnes connexions infrastructurelles et de proximité risque de ne pas déroger à la règle : accélérer la cadence au prix fort, mais à la piètre qualité des œuvres. Ayant bénéficié d’une latitude exemplaire, dès lors que ces opérations ne sont astreintes à aucune réévaluation car entrant dans un cadre complémentaire, la nouvelle ville Ali-Mendjeli espère redorer son image toujours terne. Les experts pourront-ils incessamment consigner la nouvelle feuille de route afin de permettre à cette ville de répondre du moins à la moitié des normes urbanistiques ?
N. H.
Constantine
Disparition des squares, une systématique opération d’effacement de la
- Publié le 14.05.2014 à 00:00, Par :
Abdelhamid Lemili
«Les créateurs de jardins sont des médecins autant que des artistes», soutenait un illustre botaniste. Il est de notoriété publique que sur le plan de la mémoire, la ville de Constantine n’arrête pas de vivre depuis l’indépendance sur une série de directives officielles visant la systématique lobotomisation de la population, notamment celle qui n’a pas eu l’âge de construire et s’approprier définitivement des souvenirs au lendemain de l’évènement historique évoqué. Bien des pans de cette mémoire sont tombés au gré des élucubrations de quelques responsables qui, au lendemain de la libération du pays, ont imputé aux colonisateurs leur omniprésence mémorielle via des monuments, d’espaces, de représentations d’art (statues) considérant impérative la nécessité, voire le devoir de faire disparaître des vestiges de nature à rappeler les douleurs et raviver les blessures. Les
jardins publics, havres de sérénité dans une ville encore très aérée, ont fait les frais de cette impulsive démolition mnémonique massive. Il faut souligner et concéder la justesse de vision à long terme des urbanistes de l’époque coloniale et la nécessité de donner à chaque faubourg situé dans les hauteurs de la ville un réservoir d’oxygène doté de toutes les commodités et aussi sommaires le seraient-elles : kiosque à musique, jeu de boules, guinguette… Ces espaces ont, au fur et à mesure, commencé à dépérir faute d’entretien, de prise en charge
graduellement et ensuite définitivement phagocytés par le béton et les réalisations hideuses, fruits des élucubrations du moment des responsables des pouvoirs publics locaux. Et depuis, malgré la présence d’un ou de deux parcs moribonds toujours sur les hauteurs de la ville, seul celui (Bennacer) implanté au centre-ville tient encore debout et pour cause
forcément les séculaires et merveilleux massifs arbres qui en font la texture. Si ce dernier n’a pas été victime de grandes actions prédatrices, il n’en demeure pas qu’il est continuellement l’objet
d’interventions faites, est-il assuré par leurs promoteurs, d’opérations d’aménagement, réhabilitation, lesquelles toutefois réalisées par de pseudos promoteurs environnementaux n’arrêtent pas de le dénaturer. Quoiqu’il en soit et c’est évidemment en raison de lieu de retraite pour quelques personnes âgées, quelques autres nostalgiques et plus récemment pour des grappes de personnes venues des communes et wilayas limitrophes un lieu d’arrêt réparateur, mais aussi de jeunes couples à la rechercher d’un endroit discret pour se retrouver, parler et tracer des plans sur la comète. Et si l’écologie dans sa basique acception existe depuis la nuit des temps et que l’écologie politique a quand même plus de quarante ans d’existence, ce n’est que depuis moins d’une dizaine d’années qu’en Algérie les responsables politiques au niveau central et ensuite ceux (responsables) locaux se sont ouverts, compte tenu des dommages constatés sur le cadre de vie, à la nécessité de revenir aux fondamentaux de la nature. Autrement dit, envisager très sérieusement de restituer à cette dernière ses droits et surtout garantir ceux des habitants…dont celui de respirer un air sain. Sauf que pour réussir le minimum d’un tel projet, il faut aussi un minimum de compétences en la matière, les réalisations directement ou indirectement liées à tous types de viviers naturels ne pouvant se faire sans spécialistes, à savoir des ingénieurs environnementalistes, des paysagistes, des urbanistes spécialisés… Or, dans cette sorte de frénésie qui est leur seconde «nature», les responsables locaux des pouvoirs publics désignent d’autorité des espaces, confient au choix à n’importe quel quidam le profil de l’espace vert à créer avec la seule et indécrottable idée que tout ce qui est vert est naturel et peu importe alors les moyens de le garder en l’état, de veiller à sa pérennité, ses conditions de survie. C’est-à-dire tout ce qui fait sa nature même. C’est d’ailleurs pour cette raison, qu’en dehors des vestiges verts du passé, tout ce qui a pu être réalisé ces dix dernières années s’est rapidement dégradé pour rendre les lieux encore plus hideux avec des herbes folles, des bancs publics blanchis par le soleil et bouffés par les microbes, des détritus sur les carrés ayant jusque-là eu la réputation de receler du gazon, des aménagements conviviaux (cafétéria, kiosque, WC) abandonnés. Une sorte d’abomination légitimée, toujours, par les pouvoirs publics locaux, à travers une fumeuse carambouille consistant à coupler la réalisation de ces espaces aux fumeux dispositifs sociaux, dont l’Ansej et l’Angem, à de jeunes promoteurs,
lesquels à l’aide de moyens et équipements dérisoires, sans connaissance aucune, s’en viennent retourner la terre, semer quelques graines et peu importe
lesquelles, planter une plaque vantant l’enseigne de l’entreprise réalisatrice, récupérer un pactole et repartir les doigts dans le nez en laissant leur reste de gloire aux différents responsables de l’exécutif. Notamment celui de renseigner les rapports mensuels et autres bilans annuels de leur activité. Il faudrait ajouter à cet aspect négatif de la situation, les descentes sporadiques arbitraires des policiers dans certains parcs pour y interpeller des couples dans le seul tort est de se dénicher un endroit loin des regards pour couler, par ailleurs face au regard de tout le monde, un brin de temps ensemble. Pour les policiers, lesquels, sans doute, agissent à titre personnel et encore une fois sans doute loin de toute instruction officielle, juste pour le plaisir de contrarier des gens ordinaires dans une société qui ne l’est plus à mesure que passe les années.
A. L.
وزيرة الثقافة الجديدة مدعوة لحضور أكبر موعد ثقافي بمستغانم
المهرجان الوطني لمسرح الهواة من 24 إلى 31 ماي
يأمل فنانون ومثقفون من وزيرة الثقافة
الجديدة حضور أكبر موعد ثقافي بمستغانم المتمثل في المهرجان الوطني لمسرح
الهواة المزمع تنظيمه في الفترة من 24 إلى 31 ماي الجاري.
رغم تربع خليدة تومي على مقعد وزارة الثقافة
لمدة 12 سنة، إلا أنها لم تشرف على أكبر موعد ثقافي بمدينة مستغانم، ونعني
به المهرجان الوطني لمسرح الهواة الذي تأسس على يد المرحوم الجيلالي بن
عبد الحليم، إذ اتجه مجموعة المنظمين سنة 1967 بفضل حسهم الثوري الذي
يستمد قوته من الحركة الوطنية إلى تبني مشروع ثقافي لجزائر ما بعد
الاستقلال، أين تم اتخاذ من ملتقى مستغانم السنوي للمسرح أحد أبرز روافد
سياسة الثورة الثقافية، ولهذا يأمل فنانو ومثقفو الولاية حضور الوزيرة
الجديدة نادية شيرابي للإشراف على التظاهرة التي ستقام ابتداء من 24 الى
31 ماي، وذلك بغية الوقوف عن كثب على مشاكل القطاع، خاصة بعد أن هزته بعض
العواصف في الآونة الأخيرة، في ظل احتجاجات الفنانين والمثقفين التي
إستغلتها أطراف إستطاعت أن تفرض منطقها بهز إستقرار القطاع وزرع الفوضى
والبلبلة وسط الفنانين والمثقفين وحتى العمال والموظفين الذين هددوا
بالإحتجاجات والإعتصامات خاصة في إنعدام لغة الحوار مع الجهات المعنية
بالقطاع، وهذه الظروف إستغلتها أطراف إنتهازية لصالحها، مما تم إلغاء عدة
تظاهرات كانت مبرمجة، وحسبهم، فإنه حان الوقت لتطهير الحقل الفني والثقافي
من المناوئين والانتهازيين قصد رسم استراتيجية ثقافية وفنية محكمة، خاصة أن
مستغانم بامكانها أن تكون عاصمة ثقافية، إذ يبحث قطاع الثقافة بولاية
مستغانم عن استقرار وهدوء، خاصة أن عاصمة المسرح مقبلة على أكبر موعد
ثقافي، لهذا يطالب فنانو الولاية حضور الوزيرة لطرح انشغالاتهم
واقتراحاتهم، خاصة أن هناك منشآت وهياكل ثقافية تدخل في إطار برنامج الرئيس
بوتفليقة كالمسرح الجهوي، مدرسة الفنون الجميلة والمدرسة العصرية للموسيقى
تستحق التفقد، خاصة أن الأشغال لم تنته بها مند أزيد من 7 سنوات.تجدر
الاشارة إلى أن التظاهرة ستشارك فيها حوالي 47 فرقة من مختلف الولايات،
وسيرأس لجنة التحكيم المخرج سيد أحمد قارة وتضم الممثل المسرحي سبات محمد
والناقد المسرحي هوادف رابح، وستوزع النشاطات على مجموعة من بلديات ولاية
مستغانم، ومن المرتقب أن يشارك في التظاهرة فنانين وأساتذة ومجموعة من
الشباب الهواة من مختلف ربوع الوطن، أين سيفتح باب المناقشة حول تقنيات
الإخراج، التمثيل والكتابة ومختلف فنون العرض، وحسب محافظ المهرجان، فإن
الأعمال ستكون بمثابة محاكاة لواقع المجتمع الجزائري عن طريق طرح ومعالجة
مواضيع ذات صلة بهموم الشعب.
أمينة. ز
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