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URGENT Syrie: Lakhdar Brahimi démissionne
le 13.05.14 | 17h25
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Le médiateur de l'ONU et de la Ligue arabe en Syrie Lakhdar Brahimi a démissionné et sa démission sera effective à compter de la fin mai, a annoncé mardi le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon.
M. Brahimi "quittera ses fonctions au 31 mai", a déclaré M. Ban à la presse en présence de M. Brahimi.
AFP
Un ambassadeur français d'origine algérienne démissionne, se disant victime de discriminations raciales
le 13.05.14 | 12h38
3 réactions
L'ambassadeur de France en principauté d'Andorre, Zair Kedadouche, a démissionné de son poste en se disant victime de discriminations raciales au sein du ministère des Affaires étrangères, des accusations rejetées mardi par le Quai d'Orsay, rapporte l'AFP.
"C'est au ministère des Affaires étrangères que j'ai rencontré le
racisme le plus abject et ressenti l'humiliation de ne pas faire
partie de la même classe sociale", écrit l'ex-ambassadeur et ancien
footballeur dans une lettre de démission adressée au président
François Hollande, datée du 5 mars 2014 et rendue publique mardi.
L'ancien diplomate y explique s'être vu refuser des affectations en raison de son nom, avoir subi des humiliations de ses collègues et avoir dû supporter des différences de traitement. "Certains dirigeants du Quai d'Orsay considèrent mon origine et mon nom comme un handicap", affirme-t-il.
Lors de son point de presse quotidien, le porte-parole du ministère, Romain Nadal, a jugé "inacceptables" les attaques de l'ancien diplomate. "Les accusations graves de racisme et de discrimination portées par M. Kedadouche à l'encontre du ministère n'ont aucun fondement et sont inacceptables. Les inspections et évaluations menées régulièrement ne les ont jamais étayées", a-t-il dit. Selon lui, dans son dialogue régulier avec l'administration lors des diverses inspections, M. Kedadouche n'a jamais fait état de ces discriminations.
Dans sa lettre, Zair Kedadouche, qui avait été nommé en 2008 consul général de France en Belgique, affirme avoir saisi le Défenseur des droits et déposé plainte auprès du procureur de la République "pour comportements racistes et discriminations sociales de l'administration du Quai". Il précise dans sa missive avoir demandé à revenir à l'Inspection générale de l'éducation nationale, où il avait été intégré sous la présidence de Jacques Chirac.
Zair Kedadouche est aussi directeur des relations internationales au sein du haut conseil à l'intégration et est un des fondateurs de la Cité nationale de l'histoire de l'immigration. Il préside également l’association Intégration France dont l’objet est de favoriser l’intégration économique, sociale et culturelle des jeunes d’origine étrangère.
Zaïr Kédadouche est issu d'une famille algérienne kabyle de 6 enfants arrivée en France dans les années 1950.
Voici la lettre de M Kedadouche
L'ancien diplomate y explique s'être vu refuser des affectations en raison de son nom, avoir subi des humiliations de ses collègues et avoir dû supporter des différences de traitement. "Certains dirigeants du Quai d'Orsay considèrent mon origine et mon nom comme un handicap", affirme-t-il.
Lors de son point de presse quotidien, le porte-parole du ministère, Romain Nadal, a jugé "inacceptables" les attaques de l'ancien diplomate. "Les accusations graves de racisme et de discrimination portées par M. Kedadouche à l'encontre du ministère n'ont aucun fondement et sont inacceptables. Les inspections et évaluations menées régulièrement ne les ont jamais étayées", a-t-il dit. Selon lui, dans son dialogue régulier avec l'administration lors des diverses inspections, M. Kedadouche n'a jamais fait état de ces discriminations.
Dans sa lettre, Zair Kedadouche, qui avait été nommé en 2008 consul général de France en Belgique, affirme avoir saisi le Défenseur des droits et déposé plainte auprès du procureur de la République "pour comportements racistes et discriminations sociales de l'administration du Quai". Il précise dans sa missive avoir demandé à revenir à l'Inspection générale de l'éducation nationale, où il avait été intégré sous la présidence de Jacques Chirac.
Zair Kedadouche est aussi directeur des relations internationales au sein du haut conseil à l'intégration et est un des fondateurs de la Cité nationale de l'histoire de l'immigration. Il préside également l’association Intégration France dont l’objet est de favoriser l’intégration économique, sociale et culturelle des jeunes d’origine étrangère.
Zaïr Kédadouche est issu d'une famille algérienne kabyle de 6 enfants arrivée en France dans les années 1950.
Voici la lettre de M Kedadouche
El Watan avec AFP
http://www.youscribe.com/catalogue/tous/actualite-et-debat-de-societe/politique/discrimination-au-quai-d-orsay-la-lettre-envoyee-a-laurent-fabius-2281812
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tarek-to-verso
le 13.05.14 | 13h35
Rien de nouveau à l'horizon...
Pour le français on restera toujours le bougnoule de service.
La France a beau se gargariser de discours nobles et moralisateur à
l'intention du tiers monde, la réalité amère la rattrape.
Avons-nous déjà oublié le dérapage honteux de Hollande lorsqu'il a voulu tancer son Ministre des affaires étrangères venu en visite à Alger ?
Mais le grand coupable n'est pas l'Etat Français ni ses commis nourris au sein de l'Etat colonial, mais plutôt nos pseudo dirigeants, vils serviteurs de l'occident et suceurs de sang qui ont tout fait pour que cette image de peuple attardé et incapable se perpétue dans les esprits de leur maitres.
Avons-nous déjà oublié le dérapage honteux de Hollande lorsqu'il a voulu tancer son Ministre des affaires étrangères venu en visite à Alger ?
Mais le grand coupable n'est pas l'Etat Français ni ses commis nourris au sein de l'Etat colonial, mais plutôt nos pseudo dirigeants, vils serviteurs de l'occident et suceurs de sang qui ont tout fait pour que cette image de peuple attardé et incapable se perpétue dans les esprits de leur maitres.
ce n'est pas le seul
En France, la discrimination de poste ou de salaire est
monnaie courante pas seulement vis à vis des étrangers mais également à
l'égard des français d'origine étrangère et les femmes ajouter à cela le
racisme anti maghrébin.
On est loin de la notion de république française, il suffit pour cela de voir dans les banlieues la jeunesse française d'origine maghrébine et croyez moi ce n'est pas de la victimisation.
On est loin de la notion de république française, il suffit pour cela de voir dans les banlieues la jeunesse française d'origine maghrébine et croyez moi ce n'est pas de la victimisation.
fallait réfléchir avant ...
ça leur apprendra a servir un pays qui les deteste.
souvenez vous de l'histoire avec l'ambassadeur français a l'ONU sur le Maroc lorsqu'il disait que : " Le Maroc est une maîtresse avec laquelle on dort toutes les nuits, dont on n'est pas particulièrement amoureux mais qu'on doit défendre"
je sais pas ce qui leur faut a ses enfants de l'immigration pour enfin comprendre que la France n'aime pas les Noirs et les Arabes et qu'on ne sera jamais assez français pour eux.
souvenez vous de l'histoire avec l'ambassadeur français a l'ONU sur le Maroc lorsqu'il disait que : " Le Maroc est une maîtresse avec laquelle on dort toutes les nuits, dont on n'est pas particulièrement amoureux mais qu'on doit défendre"
je sais pas ce qui leur faut a ses enfants de l'immigration pour enfin comprendre que la France n'aime pas les Noirs et les Arabes et qu'on ne sera jamais assez français pour eux.
Les commentaires
(1)
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C'est peut-être "rare & peut-être inopportun" pour les "têtes" de la République des droits de l'homme et du citoyen.
Pour le commun des mortels et même pour le commun des bougnoules, cet Excellence est en train de découvrir la roue !...Et ses effets sur une solide personnalité qui a été jusqu'à commettre l'inopportun.
jeudi 15 août 2013 - 13:45 Pour le commun des mortels et même pour le commun des bougnoules, cet Excellence est en train de découvrir la roue !...Et ses effets sur une solide personnalité qui a été jusqu'à commettre l'inopportun.
Projet des 30 logements socio-participatifs à l’UV 5 de Ali Mendjeli
Une attente qui dure depuis 2001
le 13.05.14 | 10h00
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|
© el watan/archives
Un chantier à la Nouvelle Ville
En dépit du fait que la justice ait tranché en faveur des souscripteurs pour l’obtention des actes de vente sur plan, sa décision demeure non exécutée.
Depuis 2001, les souscripteurs au projet des 30 logements de type LSP
de l’UV 5 à Ali Mendjeli, endurent un calvaire indescriptible, résultat
d’une série de pratiques obscures entre différentes parties, dont le
seul but est de s’accaparer une manne financière importante sur le dos
de pauvres citoyens en quête d’un logement. Selon les représentants des
concernés, leur histoire a commencé en 2001, quand ils ont postulé pour
un projet de 130 logements de type F3, dans la formule LSP, répartis sur
trois coopératives immobilières, avec respectivement 48,52 et 30
logements socio-participatifs.
Une opération parrainée par l’association des coopératives immobilières des travailleurs de Constantine (ACITC). Toutefois, et avec la promulgation d’une nouvelle loi en 2001, interdisant le lancement de ce type de projets par les coopératives immobilières, les souscripteurs seront contraints de traiter avec un promoteur immobilier. «Pour cela nous avons opté en 2002 pour la société de promotion immobilière Saben, avec paiement par chaque souscripteur de la première tranche de 370 000 DA, soit 40 % du montant global du logement évalué à 1 400 000 DA, alors qu’un accord a été conclu entre la Saben et les présidents des coopératives immobilières pour le transfert de propriété avec signature de contrats notariés», précisera l’un des représentants des souscripteurs au projet des 30 logements.
Ces derniers ne se doutaient guère qu’ils allaient vivre un vrai cauchemar, avec toutes les longues péripéties d’une opération qui ne connaîtra pas son épilogue à ce jour. «D’abord, nous avons été surpris d’apprendre que le président de la coopérative En-Nadjah, devenue ensuite Al Moustakbal, dans des circonstances non encore révélées, a refusé d’opérer le transfert de propriété au profit de la Saben pour que cette dernière puisse reprendre le chantier», note notre interlocuteur.
Ce dernier ajoute qu’il s’agit en fait d’un litige non encore réglé au sujet des locaux commerciaux se trouvant au bas de l’immeuble et objet d’appétences voraces. Ainsi rien ne marchera comme prévu pour des demandeurs de logements, dont on a abusé de la bonne foi, car ils seront même privés de leur droit le plus élémentaire, l’obtention du précieux document de l’acte de vente sur plan, conformément à l’article 9 de la loi 93/03. «Nous avons été les otages d’un conflit autour des locaux commerciaux entre la coopérative et la Saben qui a demandé à maintes fois leur régularisation», s’indigent les souscripteurs qui seront contraints de porter l’affaire devant la justice en 2010.
Après une longue bataille judiciaire, ils finiront par avoir gain de cause, avec des jugements à caractère exécutif obligeant la Saben à leur délivrer l’acte de vente sur plan. Mais ces jugements demeurent encore non exécutés. Après 13 ans d’attente, le projet des 30 logements de l’UV 5 traîne encore, comme de nombreux autres projets LSP à Constantine, alors qu’il a été prévu pour être réalisé en 18 mois. Les pauvres souscripteurs attendent encore de voir le bout du tunnel, tout en espérant une intervention vigoureuse et salutaire des autorités de la wilaya.
Une opération parrainée par l’association des coopératives immobilières des travailleurs de Constantine (ACITC). Toutefois, et avec la promulgation d’une nouvelle loi en 2001, interdisant le lancement de ce type de projets par les coopératives immobilières, les souscripteurs seront contraints de traiter avec un promoteur immobilier. «Pour cela nous avons opté en 2002 pour la société de promotion immobilière Saben, avec paiement par chaque souscripteur de la première tranche de 370 000 DA, soit 40 % du montant global du logement évalué à 1 400 000 DA, alors qu’un accord a été conclu entre la Saben et les présidents des coopératives immobilières pour le transfert de propriété avec signature de contrats notariés», précisera l’un des représentants des souscripteurs au projet des 30 logements.
Ces derniers ne se doutaient guère qu’ils allaient vivre un vrai cauchemar, avec toutes les longues péripéties d’une opération qui ne connaîtra pas son épilogue à ce jour. «D’abord, nous avons été surpris d’apprendre que le président de la coopérative En-Nadjah, devenue ensuite Al Moustakbal, dans des circonstances non encore révélées, a refusé d’opérer le transfert de propriété au profit de la Saben pour que cette dernière puisse reprendre le chantier», note notre interlocuteur.
Ce dernier ajoute qu’il s’agit en fait d’un litige non encore réglé au sujet des locaux commerciaux se trouvant au bas de l’immeuble et objet d’appétences voraces. Ainsi rien ne marchera comme prévu pour des demandeurs de logements, dont on a abusé de la bonne foi, car ils seront même privés de leur droit le plus élémentaire, l’obtention du précieux document de l’acte de vente sur plan, conformément à l’article 9 de la loi 93/03. «Nous avons été les otages d’un conflit autour des locaux commerciaux entre la coopérative et la Saben qui a demandé à maintes fois leur régularisation», s’indigent les souscripteurs qui seront contraints de porter l’affaire devant la justice en 2010.
Après une longue bataille judiciaire, ils finiront par avoir gain de cause, avec des jugements à caractère exécutif obligeant la Saben à leur délivrer l’acte de vente sur plan. Mais ces jugements demeurent encore non exécutés. Après 13 ans d’attente, le projet des 30 logements de l’UV 5 traîne encore, comme de nombreux autres projets LSP à Constantine, alors qu’il a été prévu pour être réalisé en 18 mois. Les pauvres souscripteurs attendent encore de voir le bout du tunnel, tout en espérant une intervention vigoureuse et salutaire des autorités de la wilaya.
Arslan Selmane
Sidi Mabrouk Supérieur
Un terrain de sport fermé et un square à l’abandon
le 13.05.14 | 10h00
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Des habitants de Sidi Mabrouk supérieur déplorent l’absence dans leur quartier de terrains de jeux ou d’espaces de loisirs pour les jeunes.
L’unique terrain de foot de Stah El Mansourah qui servait de défouloir
aux jeunes du quartier et ceux des cités limitrophes, notamment de Oued
El Had ou Sakiet Sidi-Youcef (connue par La Bum), a été fermé en effet
il y a plus d’une année par la municipalité et sera affecté à des
associations sportives de la ville. «C’était l’unique endroit où l’on
pouvait courir ou jouer au foot pendant nos week-ends. Cette fermeture a
pénalisé des centaines de jeunes du quartier. Ils auraient pu penser à
une solution alternative avant de nous chasser comme des malpropres de
ce terrain qui nous appartient depuis trente ans, quand il n’était
encore qu’un terrain vague.
Les espaces existent pourtant à Constantine pour construire des stades et les donner à qui bon leur semble au lieu de nous priver du seul lieu de détente qui existe à proximité de chez nous. C’est tout simplement de la hogra», nous diront avec dépit des jeunes du quartier. Ces derniers évoquent également le cas du square Beyrouth, lieu de détente jadis privilégié des habitants de Sidi Mabrouk supérieur et qui est fermé depuis plusieurs années.
Les travaux qui ont été engagés en 2011 sont à l’arrêt pour des raisons liées à un conflit, selon des sources proches de la mairie de Constantine, entre les services de l’APC et de la DUC autour de la nature des travaux qui devaient y être réalisés. En attendant, ce square est à l’abandon et s’est transformé en repaire pour les délinquants du quartier et ceux limitrophes. Les riverains indiquent qu’ils n’ont eu de cesse de dénoncer les scènes contraires à la morale qui s’y déroulent chaque soir. Ils affirment que sous l’effet de l’alcool et autres substances prohibées des rixes éclatent souvent entre bandes rivales à l’intérieur du square d’où fusent propos obscènes et vociférations. Des faits qui ont été signalés, précisent les habitants, à plusieurs occasions à la brigade de recherche de la gendarmerie, située pourtant à quelques dizaines de mètres des lieux, mais sans que les responsables de cette brigade jugent utile d’y intervenir.
Les espaces existent pourtant à Constantine pour construire des stades et les donner à qui bon leur semble au lieu de nous priver du seul lieu de détente qui existe à proximité de chez nous. C’est tout simplement de la hogra», nous diront avec dépit des jeunes du quartier. Ces derniers évoquent également le cas du square Beyrouth, lieu de détente jadis privilégié des habitants de Sidi Mabrouk supérieur et qui est fermé depuis plusieurs années.
Les travaux qui ont été engagés en 2011 sont à l’arrêt pour des raisons liées à un conflit, selon des sources proches de la mairie de Constantine, entre les services de l’APC et de la DUC autour de la nature des travaux qui devaient y être réalisés. En attendant, ce square est à l’abandon et s’est transformé en repaire pour les délinquants du quartier et ceux limitrophes. Les riverains indiquent qu’ils n’ont eu de cesse de dénoncer les scènes contraires à la morale qui s’y déroulent chaque soir. Ils affirment que sous l’effet de l’alcool et autres substances prohibées des rixes éclatent souvent entre bandes rivales à l’intérieur du square d’où fusent propos obscènes et vociférations. Des faits qui ont été signalés, précisent les habitants, à plusieurs occasions à la brigade de recherche de la gendarmerie, située pourtant à quelques dizaines de mètres des lieux, mais sans que les responsables de cette brigade jugent utile d’y intervenir.
F. Raoui
Un éboulement fait Deux morts à massinissa
le 13.05.14 | 10h00
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Deux ouvriers ont trouvé la mort, hier vers 16h, dans le chantier d’un
projet de logements initié par l’OPGI et une entreprise turque, à
proximité du site du tombeau de Massinissa, dans la commune d’El Khroub.
Les victimes, des ouvriers algériens, étaient en train de nettoyer une
tranchée, avant d’être ensevelis sous des tonnes de terre suite à un
éboulement. Ils ont péri sur le coup par asphyxie.
L’on ignore encore les causes exactes de cet éboulement. Ce drame pose encore une fois le problème de la sécurité des ouvriers dans les chantiers lancés un peu partout dans la wilaya. Ces travailleurs exposés souvent aux accidents de travail, exercent sans la moindre protection.
L’on ignore encore les causes exactes de cet éboulement. Ce drame pose encore une fois le problème de la sécurité des ouvriers dans les chantiers lancés un peu partout dans la wilaya. Ces travailleurs exposés souvent aux accidents de travail, exercent sans la moindre protection.
Y. S.
Réhabilitation de la place Ahmed Bey
Micmac à Dounia Ettaraëf
le 11.05.14 | 10h00
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|
© El Watan
273 millions de dinars ont été alloués à ce...
L’absence de coordination entre les différents services frôle l’absurde.
Grande cacophonie à la place Ahmed Bey, plus connue sous le nom de
Dounia Ettaraëf. Dans l’équation qui comprend l’entreprise en charge du
projet, la direction de l’urbanisme, maître d’ouvrage, la société de
distribution de l’électricité (SDE) et l’APC de Constantine, tout va de
travers. En effet, malgré la relance des travaux après plus de quinze
mois d’arrêt pour des raisons encore inconnues, rien ne semble avoir été
fait d’un point de vue administratif, notamment la délivrance de
l’ordre de service (ODS).
Il faut savoir que le contrat a été signé en 2012, selon les dires de l’architecte de l’entreprise, Mohamed Remalah, confirmés par la représentante de la DUC, mais cet arrêt des travaux n’a pas permis aux différentes institutions concernées de procéder à la déviation des câbles d’électricité, de démanteler les commerces existants au niveau de la placette, mais surtout de peaufiner les plans initiaux qui présentaient des insuffisances. Parmi ces insuffisances, le revêtement du sol qui va être fait avec du béton impacté.
Un choix très contesté par les autorités. D’ailleurs, Mohamed Remalah se plaint de visibilité, évoquant le montant de l’opération qui se chiffre à 273 millions de dinars. Selon lui, la pierre noble, exigée par les autorités pour le revêtement du sol, va démultiplier et le coût et le temps qui va déborder sur les délais. Sur un autre registre, l’entrepreneur s’inquiète de l’obstacle du réseau des câbles électriques souterrains, qui l’empêche de procéder aux travaux de terrassement. «D’ailleurs, il y a deux jours, nous avons échappé à une catastrophe quand l’un de nos engins à touché un câble de haute tension (10000 volts), alors qu’on nous a assuré que les travaux de déviation ont été faits», relève-t-il.
Sur place, nous avons rencontré le représentant de la SDE, qui établissait le constat de sinistre dû à la détérioration du câble. Selon lui, aucune déviation n’est prévue dans leurs programmes. Et de préciser : «Dans ce cas de figure, le maître de l’ouvrage doit nous saisir pour dévier ces câbles et pour cela, c’est toute une étude qui doit se faire, puisqu’il sera question de traverser la chaussée attenante et de concertation avec les deux grands hôtels (Ibis et Novotel) car, c’est leur alimentation qui est concernée, en plus de leur accès.»
Impuissance
Interrogé sur la responsabilité de la DUC en pareilles circonstances, la représentante de la DUC, qui n’a pas décliné son identité, dit le contraire et affirme que la DUC a saisi la SDE voilà 15 mois ! «Pour nous, le travail est fait et ce qui m’étonne le plus, c’est que nous tenons des réunions hebdomadaires avec l’ensemble des intervenants et ce problème n’a jamais été posé.» Faux, répond le représentant de la SDE. «Certes, nous avons votre correspondance, sauf qu’elle n’a pas été honorée et avec l’arrêt des travaux de ce projet, nous ne pouvions décider ou non de l’entame des travaux de déviation.» Médusé devant tant de contradictions et de blocage, le représentant de l’entreprise déclare : «Je ne sais si je dois continuer ou arrêter en l’absence des responsables qui sont supposés s’inquiéter de la bonne marche des travaux !» Sur un autre registre, il renchérit: «Ce sont les commerçants qui nous empêchent de travailler et c’est leur droit que je me dois de respecter, car je n’ai aucune autorité pour les contraindre.»
Un commerçant, tenancier d’une latrine, nous dit, pour sa part : «Aucune proposition concrète ne nous a été faite quant à l’issue de ce projet et de nos indemnisations ; nous attendons que les choses soient plus claires pour décider des suites à donner, car il s’agit avant tout de notre gagne-pain.» Cependant, le problème crucial réside dans les commerces. Interrogé à ce sujet le P/APC de Constantine, Seïf-Eddine Rihani, nous dira sans ambages : «A mon niveau, nous avons recensé 15 commerces, dont la plupart jouissent du fonds de commerce qu’ils ont acheté ; la logique voudrait qu’il y ait autant de kiosques installés, mais le projet tel qu’il a été initié par la direction de l’urbanisme, l’aménagement et la construction n’en a prévu que huit, un non-sens ! C’est pourquoi j’ai demandé officiellement un rajout de commerces pour contenter le nombre prévu de commerçants, mais à ce jour, aucune action concrète n’a vu le jour.»
Concernant les travaux de déviation de l’alimentation électrique, il ajoutera : «Nous connaissons énormément de problèmes avec cette société qui agit de façon unilatérale ; d’ailleurs le fait qu’elle n’ait pas pu procéder à cette déviation prouve la légèreté et l’absence d’esprit de responsabilité, ne serait-ce que par rapport aux accidents mortels qui peuvent survenir. La SDE évoque le problème de paiement, mais c’est une manière de fuir ses obligations ! Il faut voir tous les désagréments des creusements anarchiques qu’elle occasionne à la ville, sans compter les dépenses faramineuses pour de piètres résultats.»
Il faut savoir que le contrat a été signé en 2012, selon les dires de l’architecte de l’entreprise, Mohamed Remalah, confirmés par la représentante de la DUC, mais cet arrêt des travaux n’a pas permis aux différentes institutions concernées de procéder à la déviation des câbles d’électricité, de démanteler les commerces existants au niveau de la placette, mais surtout de peaufiner les plans initiaux qui présentaient des insuffisances. Parmi ces insuffisances, le revêtement du sol qui va être fait avec du béton impacté.
Un choix très contesté par les autorités. D’ailleurs, Mohamed Remalah se plaint de visibilité, évoquant le montant de l’opération qui se chiffre à 273 millions de dinars. Selon lui, la pierre noble, exigée par les autorités pour le revêtement du sol, va démultiplier et le coût et le temps qui va déborder sur les délais. Sur un autre registre, l’entrepreneur s’inquiète de l’obstacle du réseau des câbles électriques souterrains, qui l’empêche de procéder aux travaux de terrassement. «D’ailleurs, il y a deux jours, nous avons échappé à une catastrophe quand l’un de nos engins à touché un câble de haute tension (10000 volts), alors qu’on nous a assuré que les travaux de déviation ont été faits», relève-t-il.
Sur place, nous avons rencontré le représentant de la SDE, qui établissait le constat de sinistre dû à la détérioration du câble. Selon lui, aucune déviation n’est prévue dans leurs programmes. Et de préciser : «Dans ce cas de figure, le maître de l’ouvrage doit nous saisir pour dévier ces câbles et pour cela, c’est toute une étude qui doit se faire, puisqu’il sera question de traverser la chaussée attenante et de concertation avec les deux grands hôtels (Ibis et Novotel) car, c’est leur alimentation qui est concernée, en plus de leur accès.»
Impuissance
Interrogé sur la responsabilité de la DUC en pareilles circonstances, la représentante de la DUC, qui n’a pas décliné son identité, dit le contraire et affirme que la DUC a saisi la SDE voilà 15 mois ! «Pour nous, le travail est fait et ce qui m’étonne le plus, c’est que nous tenons des réunions hebdomadaires avec l’ensemble des intervenants et ce problème n’a jamais été posé.» Faux, répond le représentant de la SDE. «Certes, nous avons votre correspondance, sauf qu’elle n’a pas été honorée et avec l’arrêt des travaux de ce projet, nous ne pouvions décider ou non de l’entame des travaux de déviation.» Médusé devant tant de contradictions et de blocage, le représentant de l’entreprise déclare : «Je ne sais si je dois continuer ou arrêter en l’absence des responsables qui sont supposés s’inquiéter de la bonne marche des travaux !» Sur un autre registre, il renchérit: «Ce sont les commerçants qui nous empêchent de travailler et c’est leur droit que je me dois de respecter, car je n’ai aucune autorité pour les contraindre.»
Un commerçant, tenancier d’une latrine, nous dit, pour sa part : «Aucune proposition concrète ne nous a été faite quant à l’issue de ce projet et de nos indemnisations ; nous attendons que les choses soient plus claires pour décider des suites à donner, car il s’agit avant tout de notre gagne-pain.» Cependant, le problème crucial réside dans les commerces. Interrogé à ce sujet le P/APC de Constantine, Seïf-Eddine Rihani, nous dira sans ambages : «A mon niveau, nous avons recensé 15 commerces, dont la plupart jouissent du fonds de commerce qu’ils ont acheté ; la logique voudrait qu’il y ait autant de kiosques installés, mais le projet tel qu’il a été initié par la direction de l’urbanisme, l’aménagement et la construction n’en a prévu que huit, un non-sens ! C’est pourquoi j’ai demandé officiellement un rajout de commerces pour contenter le nombre prévu de commerçants, mais à ce jour, aucune action concrète n’a vu le jour.»
Concernant les travaux de déviation de l’alimentation électrique, il ajoutera : «Nous connaissons énormément de problèmes avec cette société qui agit de façon unilatérale ; d’ailleurs le fait qu’elle n’ait pas pu procéder à cette déviation prouve la légèreté et l’absence d’esprit de responsabilité, ne serait-ce que par rapport aux accidents mortels qui peuvent survenir. La SDE évoque le problème de paiement, mais c’est une manière de fuir ses obligations ! Il faut voir tous les désagréments des creusements anarchiques qu’elle occasionne à la ville, sans compter les dépenses faramineuses pour de piètres résultats.»
Des blocs de pierre volés :
Ne se limitant pas à la place Ahmed Bey, le maire nous parle des interventions intempestives de la SDE concernant une déviation que nous avons constatée sur place. Il nous dit, à ce sujet : «Quand les travailleurs de cette société ont creusé une tranchée pour installer un poteau, ils ont enlevé des blocs de pierre qui constituent un des murs de soutènement de la mairie de Constantine ; je leur ai ordonné de restituer ces blocs, mais apparemment ils ont été volés, d’ailleurs j’en ai fait part au wali, qui prendra les mesures qui s’imposent. » Pour rappel, l’affaissement du boulevard Zighoud Youcef est dû en partie à l’enlèvement des blocs de pierre qui préservaient les constructions attenantes. (N. B.)N. Benouar
Vos réactions 1
lunettrie
le 11.05.14 | 11h16
danger de mort, 3000volts sur nos têtes
Bof cette racaille!, et ce fil électrique de gros calibre a
peux près 3000volts passé sur nos tête dans ce fameux boulvard zighout
youcef il y a trois jours, d'une part c'est trop moche, juste a côté de
la mairie, il a défiguré le paysage de cette avenue principale, a deux
pas du bureau du Maire c'est fou, ils se la tape pas ces criminels,
leurs fin arrive jour après jour..
Des quartiers du centre-ville sans gaz naturel
Les victimes collatérales des glissements de terrain
le 11.05.14 | 10h00
Réagissez
Le raccordement au gaz naturel a été largement «démocratisé» ces dernières années pour toucher même des contrées lointaines excentrées.
A Constantine, il reste toutefois des quartiers, situés au cœur même du
Vieux rocher, qui sont toujours privés de ce précieux combustible.
Un paradoxe induit par les caprices de Dame nature. Insoluble et pernicieux, le phénomène des glissements de terrain à Constantine est, en effet, fortement préjudiciable aux habitants des zones affectées, qualifiées de zones rouges. Outre le fait de vivre quotidiennement avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête, craignant qu’un jour les habitations les plus fragilisées par les mouvements du sol s’écroulent comme un château de cartes, la population concernée subit également d’autres corollaires inhérents à l’instabilité du terrain.
C’est notamment le cas des résidents de la rue des Maquisards, communément appelée Ouled Braham, située entre Aouinet El Foul et la rue Abdelmalek Kitouni, trois quartiers réputés pour être parmi les principaux «fiefs» des glissements de terrain à Constantine.Près de 400 foyers de la rue des Maquisards et plus d’une centaine à Aouinet El Foul sont toujours en attente d’un hypothétique raccordement au gaz naturel, malheureusement sérieusement compromis par le problème des glissements de terrain.
Partant, ces quartiers, dont la population attend d’être relogée depuis plusieurs années, constituent ainsi les rares poches urbaines du chef-lieu de wilaya non encore raccordées au gaz de ville. Les habitants concernés sont ainsi durement pénalisés, contrairement à la population des chefs-lieux de communes lesquels sont tous alimentés en gaz naturel. A cet effet, il est à noter que le taux de raccordement au niveau de la wilaya, au 31 décembre 2013, est de l’ordre de 86,70 %, correspondant à 179 698 foyers alimentés en gaz de ville.
Il reste encore environ 10 000 autres foyers à raccorder pour atteindre en 2014 un taux de raccordement de 90 %. En attendant leur transfert dans le cadre du programme de relogement de la population des sites menacés par les glissements de terrain, les résidents de la rue des Maquisards et ceux de Aouinet El Foul risquent fort de ne pas bénéficier du gaz naturel en raison de la difficulté des responsables du secteur à stabiliser le sol.
Un paradoxe induit par les caprices de Dame nature. Insoluble et pernicieux, le phénomène des glissements de terrain à Constantine est, en effet, fortement préjudiciable aux habitants des zones affectées, qualifiées de zones rouges. Outre le fait de vivre quotidiennement avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête, craignant qu’un jour les habitations les plus fragilisées par les mouvements du sol s’écroulent comme un château de cartes, la population concernée subit également d’autres corollaires inhérents à l’instabilité du terrain.
C’est notamment le cas des résidents de la rue des Maquisards, communément appelée Ouled Braham, située entre Aouinet El Foul et la rue Abdelmalek Kitouni, trois quartiers réputés pour être parmi les principaux «fiefs» des glissements de terrain à Constantine.Près de 400 foyers de la rue des Maquisards et plus d’une centaine à Aouinet El Foul sont toujours en attente d’un hypothétique raccordement au gaz naturel, malheureusement sérieusement compromis par le problème des glissements de terrain.
Partant, ces quartiers, dont la population attend d’être relogée depuis plusieurs années, constituent ainsi les rares poches urbaines du chef-lieu de wilaya non encore raccordées au gaz de ville. Les habitants concernés sont ainsi durement pénalisés, contrairement à la population des chefs-lieux de communes lesquels sont tous alimentés en gaz naturel. A cet effet, il est à noter que le taux de raccordement au niveau de la wilaya, au 31 décembre 2013, est de l’ordre de 86,70 %, correspondant à 179 698 foyers alimentés en gaz de ville.
Il reste encore environ 10 000 autres foyers à raccorder pour atteindre en 2014 un taux de raccordement de 90 %. En attendant leur transfert dans le cadre du programme de relogement de la population des sites menacés par les glissements de terrain, les résidents de la rue des Maquisards et ceux de Aouinet El Foul risquent fort de ne pas bénéficier du gaz naturel en raison de la difficulté des responsables du secteur à stabiliser le sol.
Lydia R.
Cyrille Robin expose à l’IFC
le 11.05.14 | 10h00
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Dix-huit (18) photographies d’accessoires de mode et de vêtements, dont la plupart sont aussi une sorte de jeu entre les bijoux et la nature sur fond blanc, sont exposées, depuis le 4 et jusqu’au 15 mai courant, à l’institut culturel français, par Cyrille Robin, un photographe spécialisé dans le design et l’accessoire de mode.
L’exposition a lieu dans le cadre des journées de la mode organisées
par l’IFC, en collaboration avec l’hôtel Novotel, TV5, France 24 et
d’autres sponsors. «Je suis invité à venir présenter ici mes travaux, de
nature morte et de bijoux, que je réalise toute l’année à Paris. Ces
images je les ai réalisées pour des marques, de luxe, parisiennes pour
la plupart. Mon travail de spécialiste des logiciels de traitement de
l’image consiste à mettre en valeur le bijou pour lui donner un aspect
attractif» a-t-il expliqué.
Notons que Cyrille Robin, qui fait partie de la nouvelle génération de photographes de mode français, a été formé en France, à l’Ecole nationale supérieure Louis Lumière. Avec un parcours très riche, il collabore régulièrement avec les maisons Pierre Balmain, Aurélie Bidermann, Cire Trudon et le directeur artistique Franck Durand, et ce depuis 2008.
Notons que Cyrille Robin, qui fait partie de la nouvelle génération de photographes de mode français, a été formé en France, à l’Ecole nationale supérieure Louis Lumière. Avec un parcours très riche, il collabore régulièrement avec les maisons Pierre Balmain, Aurélie Bidermann, Cire Trudon et le directeur artistique Franck Durand, et ce depuis 2008.