الاثنين، مايو 19

الاخبار العاجلة لمطالبة رئيس بلدية حيدرة باضافة مادة قانونية في التعديل الدستوري تجيز لرئيس بلدية حيدرة الحيازة على منصب رئيس الجمهورية الجزائرية باعتباره حارس بلدي لمقر رئاسة الجمهورية الجزائرية في بلدية حيدرة الشعبية والاسباب مجهولة

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 الاخبار العاجلة لمطالبة رئيس بلدية المرادية باضافة مادة قانونية في التعديل الدستوري تجيز لرئيس بلديةالمرادية  الحيازة على منصب رئيس الجمهورية الجزائرية باعتباره حارس بلدي لمقر رئاسة الجمهورية الجزائرية في بلدية المرادية  الشعبية والاسباب مجهولة

 http://www.vitaminedz.com/l-eglise-saint-anne/Photos_14687_110287_16_1.html
 http://www.vitaminedz.com/fr/Algerie/El-mouradia/14687/Annuaire-entreprises/1.html


 http://www.vitaminedz.com/fr/Algerie/El-mouradia/14687/Annuaire-entreprises/1.html








































































































































































Annuaires des entreprises : El Mouradia



DZAIR TV

Directeur : .
Adresse : : Lotissement Sylvain Fourastier, Lot N° 08 - El Mouradia,
Alger - Algérie.
Activités : Dzair TV
Disponible depuis le 08 mai 2013, sur Nilesat :
Fréquence : 12418
Polarisation : Horizontal
Symbole rate : 27500


le traditionnel

Gérant : le traditionnel
Adresse : : 20, Rue Rachid Sadek El Mouradia, Alger
Activités : gateaux pour fete


cabinet médical

Docteur : touati widad
Adresse : : 14 rue des frères aoudia el mouradia
Activités : fibrscopie rectoscopie coloscopie echographie


DERIEX, AUTOS, sarl

Représentant : Représentant Peugeot à Alger
Adresse : : 13, Rue Abdel Krim El Agoune, El Mouradia, Alger
Activités : Concessionnaire Peugeot à Alger
Vente de véhicules
Véhicules Particuliers :
- Peugeot 107
- Peugeot 206
- Peugeot 207
- Peugeot 508
- Peugeot 3008
- Peugeot 5008
- Peugeot RCZ
- Peugeot Partner Origin
- Peugeot Partner Teepee
- Peugeot Bipper Teepee


Cabinet Privé

Docteur : BOUZID Karim
Adresse : : 14, rue des Cèdres Alger
Activités : Chirurgie Plastique et Esthétique

 http://fr.wikipedia.org/wiki/El_Mouradia
 http://apcelmouradia.blogspot.com/

 http://www.vitaminedz.com/fr/Alger/El-mouradia/14687/Photos/1.html


 http://www.vitaminedz.com/photos/110/110287-l-eglise-saint-anne.jpg

Photos du El Mouradia à Alger

Vua Hàm Nghi và Vợ tại Algeria "1898"
Vua Hàm Nghi và Vợ tại Algeria "1898"
Date : 30 Juillet 2007
Immeubles à Alger
Immeubles à Alger
Date : 12 Décembre 2009
Hotel Dar Diaf,  Boulevard des Martyrs
Hotel Dar Diaf, Boulevard des Martyrs
Date : 6 Décembre 2009
الجزائر
الجزائر
Date : 21 Mars 2013
Khalij center
Khalij center
Date : 31 Janvier 2011
Date : 27 Septembre 201

Hôtel dans le El Mouradia à Alger

Date d'arrivée
Date de départ
Hôtel: Hilton Alger
Hilton Alger
Adresse : Alger - Distance : 9.4 km - 410 Chambres
Situé à proximité en voiture de l'aéroport, cet hôtel de la banlieue d'Alger vous impressionnera par son emplacement en bord de mer, ses installations de première classe et son atmosphère relaxante.

 

  • Aziz Foudad · Lycée Hamia - Kouba
    bonjour a l'attention du president apc belouizdad, je me suis prensente le dimenche 05 janvier 2014 suite a l'annonce placarde au niveau de l'etat civil, concernant le recensemenr pour le service national ne en1996 avec les pieces mentionnes sur la fiche a savoir, 02 photos identite/extrait de naissance n12/ piece d'identite de l'interesse , meme le communique televisuel mentionnes les pieces afferantes, a ma grande surprise arrive sur les lieux l'agent m'exiga une certicat de residence au nom de mon fils, j'ai demande des explications puisque non mentionne sur la fiche , quelle a ete reponse surnoise de l'interesse ICI C'EST LA MAIRIE QUI DEMANDE LES PIECES QU'ELLE VEUT, j'ai demande a voir le chef de service n'a meme pas daigne me recevoir sauf de deleguee une propoqee aux guichet pour m'enqurir de mon sort et me repondit qu'en peut rien vous j'ai explique que je suis diabetique et j'habite au 9eme etage et que la faute vous incombe avec un mepris de la part du chef de service en me retroquant que tu n'a qu'a de te l'envoyer du 9eme etage il parle du recu d'electricite pour l'etblissemnt de la certicat de residence, cest honteux de la part d'un chef de service, apres j'ai demande a voir le secretaire general de l'apc helas abcent je remercie au passage les agent de securite qui ont ete polie comprehensif alors pourquoi ses desagrements pourquoi cette bureaucratie latente si pour envoyer mon fils pour faire son devoir national avec cette mepris de vos suborndonnes non merci mon fils sera insoumi a bon entendeur merci comme meme
  • Jose Barreiro · Paris
    bonjour je suis à la recherche d'un local à louer et je recherche les coordonnées du propriétaire des murs d'un local commercial avenue gambetta ancien magazin informatique à coté d'un marchand de légume proche commissariat...merci d'avance!!
  • Verte Verte
    Bonjour, je suis a la recherche d'une usine de cuir ou de peau dans le 16 ème qui est fermée au nom de KERMOUNE est ce que vous pouvez m'aider a avoir des renseignements
    Cordialement
  • Nicole Ferrand · Marseille
    Bonjour, des témoins habitants le Boulevard de TOGO à coté du parc de la Seignerie) dans le 9ème arr. pensent avoir vu et revu AÏNDY en bonne compagnie avec un autre chien, la semaine dernière. Nous y allons tous les jours, et espérons pouvoir le retrouver. Avec nous et les voisins il est très gentil, et D'après les témoins, il n'est pas agressif, marche suit son chemin, mange dans les poubelles et repart dans le parc. Merci à toutes les personnes qui ont pris nos coordonées, et nous ont promis que dès localisé ils nous contacterons. au 06 69 02 95 15 ou au 06 98 90 72 45 - Habitant nous même le 9ème nous nous déplacerons immédiatement.
  • Pierrot Fadda · Lycée Giocante de Casabianca, Bastia
    Bonjour oui le 4ème arrondissement est des plus beau de paris et gens suis très fière, Avec Mme Christine Albanel est une personne redoutable et qui à des qualités et des capacités de très bien faire les choses car j'ai travaillé sous ses ordre au Château de Versailles et il me reste de très bon souvenir de cette grande dame, Amicalement M. Pierre Pierrot Fadda
  • Marcel Bonfils · Faculte avignon
    Doit-on parler de 5° arrondissement ou 5° Secteur en relation avec 9° & 10° Arrondissement ?













































































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Saturday 07 September 2013, a 12:25
Moselle (France) : " Les plus beaux villages."
 
Villages des Pays de la Moselle - Moselle

    Le nord du département est dominé par le Thionvillois et le Pays Messin. C'est une région dont la sidérurgie a fait sa réputation.
    A l'est, le Pays de Bitche et le Warndt sont un trait d'union entre l'Alsace et la Lorraine. Ce pays au patois germanophone offre deux aspects contrastés : la partie occidentale est calcaire et cultivée, la partie orientale est moins agricole et parsemée de forêts et d'étangs.
    Enfin le sud est la région du Saulnois et du Pays de Sarrebourg. Le Saulnois doit son origine à l'antique exploitation du sel gemme. Le Pays de Sarrebourg ouvert sur l'Alsace rassemble trois unités physiques contrastées : une région d'étangs, un paysage vallonné et la plaine de la Sarre.
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En savoir plus sur ce village
Rodemack (Photo Herman Oosterlynck): le village médiéval classé aujourd'hui parmi les plus beaux villages de France fut autrefois le domaine de l'abbaye de Fulda du IXe siècle puis domaine seigneurial au XIIe siècle. De ce glorieux passé, il reste une forteresse du XIVe siècle et des murs d'enceinte de 860 mètres de long. On peut pénétrer dans le village par la porte de Sierck, passer entre les deux tours rondes pour découvrir les ruelles pittoresques qui ont conservé en partie leur cachet ancien. Il faut ensuite visiter l'église St Nicolas, édifice néo baroque, construite au XVIIe siècle à l'emplacement d'une église romane. Place des Baillis, on peut admirer le "petit château" du XVIe siècle remanié plus tard, autrefois résidence des margraves de Bade. En flânant le long des rues, on découvrira l'ancien lavoir puis la forteresse, imposante avec ses tours, sa barbacane. Il faut voir la petite chapelle datant du XVIIe siècle et profiter du calme du jardin médiéval. http://www.mairie-rodemack.fr
St Quirin (Photo Christian Girault sur http://www.pbase.com/frenchkriss) : sur les hauteurs, un site archéologique a permis de mettre au jour d'importants vestiges gallo-romains des Ie, IIe et IIIe siècles, témoins de l'ancienne culture des sommets. Dans le village classé parmi les plus beaux villages de France, le prieuré et l'église priorale aux deux clochers à trois bulbes superposés sont typiques du XVIIIe siècle, tout comme leur mobilier et leur statuaire baroques. Les orgues sont classées monument historique. La fontaine miraculeuse du village aurait le pouvoir de guérir les maladies de peau. St Quirin est d'ailleurs depuis de nombreux siècles, un lieu de pèlerinage et de culte à son saint patron guérisseur. A l'écart du bourg, la chapelle des Verriers possède des vitraux d'art populaire qui rappellent l'activité traditionnelle du lieu au XVe siècle.http://saint.quirin.free.fr
En savoir plus sur ce village 
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Fénétrange (Photo Anthony Koenig) : comme à l'étroit dans ses fortifications, le bourg offre l'image séduisant et paisible de son fier château en balcon sur la Sarre qui cascade au milieu des grands arbres. Construit à la renaissance puis transformé , il possède un bel escalier hélicoïdal dans l'une de ses tourelles. Passé la porte de France, les modestes maisons urbaines de la rue des Juifs se serrent les unes contre les autres, les fermes ouvrent leurs grandes portes charretières. Puis leur succède l'étonnant fouillis architectural de la place de l'ancienne collégiale St Rémi. Là se côtoient de fragiles demeures à colombages rappelant la proche Alsace bossue et de grandes bâtisses d'un luxe presque incongru.http://fenetrange.info
Marsal : ce village au coeur du Saulnois connut une longue prospérité grâce à la production du sel, exploité ici depuis la préhistoire. En témoigne la fastueuse porte de France de l'enceinte fortifiée par Vauban, qui ouvre sur un horizon de prés souvent envahis par les eaux. Situé dans la vallée de la Seille, ce village tire son nom du latin marsallum qui signifie marais. C'est en effet sur un sol marécageux que fut bâti le village. Aujourd'hui, les remparts sont matérialisés par des fossés, des talus d'escarpe et de contrescarpe qui sont envahis par la végétation. Un tronçon de rempart miraculeusement indemne est tout de même ouvert au public.
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Guermange (Photo Anthony Koenig) : dans ce paysage doucement vallonné, domaine de la prairie et des immenses forêts, le bourg est niché dans un creux, au bord d'un très bel étang du Lindre, voué à la nature et aux oiseaux. Au détour d'une petite route sinueuse jalonnée d'arbres fruitiers, le village apparaît dissimulé par les vergers qui le ceinturent. Les maisons profondes couvertes de tuiles, s'alignent le long des larges usoirs des deux rues parallèles. Des passages mènent à des cours intérieures utilisées pour le matériel agricole. Parmi les maisons à façades enduites, certaines laissent apparaître des colombages sur le pignon.
Sierck les Bains (Photo Moselle Tourisme) : niché dans une boucle de la Moselle, le village égrène ses maisons à flanc de coteau, face aux pentes impressionnantes du Stromberg qu'escalade la vigne. Dans l'impossibilité de s'étendre en largeur, la ville s'est construite à la verticale. Le bourg a conservé son atmosphère médiévale avec ses vieilles maisons à façades percées de fenêtres à meneaux, ses porches renaissance, ses vieux ponts et ses étroites ruelles pavées. La tour des Sorcières, la tour de l'Horloge qui abrite aujourd'hui un musée et l'office de tourisme, ainsi que la porte Neuve sont tout ce qui subsiste de l'enceinte du XIIIe siècle, rappelant que le bourg fut autrefois une ville fortifiée.http://www.otsierck.com
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Hombourg Haut (Photo Claire Leber) : suspendu entre ciel et terre sur une crête rocheuse, le village domine la vallée de la Rosselle. Ses petites maisons sagement alignées semblent faire cortège à la collégiale St Etienne qui se dresse non loin du site où s'élevait le château détruit sur ordre de Richelieu. En jalonnant la rue Ste Catherine, au delà de l'église collégiale, le visiteur remarquera que s'éparpillent de curieuses statues, retaillées pour certaines vers 1900 par des artisans du cru au style fruste. Seules des fragments de remparts et la vieille porte, ancienne entrée fortifiée, rappellent le passé militaire de ce qui fut autrefois une ville. Devenu un village, Hombourg affiche désormais un visage paisible, accueillant et serein. http://www.hombourg-haut.net
Gorze (Photo Francis Lafontaine) :dans ce vallon ombragé et retiré du monde où Chrodegang, évêque de Metz, choisit de fonder une abbaye bénédictine au VIIIe siècle, se cachent en réalité deux bourgs. S'ouvrant sur la verdure des collines, le premier affiche un visage campagnard, avec son église juchée sur une éminence qu'encadrent des maisons anciennes coiffées de grosses tuiles. L'ancien palais abbatial de la fin du XVIIe siècle, dont la cour d'honneur est agrémentée d'un superbe escalier baroque, forme une sorte de trait d'union avec un autre Gorze, résolument urbain. Le long de la rue principale s'égrènent des demeures de hauteurs différentes, au dernier étage percé de petites ouvertures rectangulaires, à la manière typiquement lorraine. http://bienvenueagorze.free.fr
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Lixheim(Photo L. Hérodote) :dissimulé au creux des vallons herbus, au bord d'un étang, cette petite cité fondée en 1608 par l'électeur palatin Frédéric IV pour servir de refuge aux protestants de France et de Lorraine, semble aujourd'hui oubliée. Malgré un passé tourmenté lié aux guerres de religion et à sa position frontalière, elle a conservé les caractéristiques de ce que fut la ville vers 1630. Petite ville fortifiée, on y retrouve encore les levées de terre et les fossés qui la fermaient. Dans cette enceinte, une large rue qui traverse le village, encore fermée à l'une de ses extrémités par une porte, sert de trame au tracé orthogonal des rues secondaires. A noter devant la mairie, une très belle fontaine de 1627 marquant le centre du village, ainsi que l'église du XVIIIe siècle, le tempe protestant, ancien couvent des Tiercelins fondé en 1657.
Scy Chazelles (Photo Francis Lafontaine) : ces deux villages minuscules sont édifiés sur les saillies du Mont St Quentin. D'imposantes maisons de vignerons peuplent les étroites rues en pente. Leurs façades dénuées de sophistication sont rehaussées çà et là de motifs ornementaux évoquant le commerce du vin. Deux églises fortifiées dominent ces villages. Celle de Chazelles abrite la tombe du père de l'Union Européenne, Robert Schuman. Sa maison est aujourd'hui un musée commémorant sa vie et son oeuvre. http://www.mairie-scy-chazelles.fr
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Boust : sur les coteaux de la rive gauche de la Moselle, le village s'étire tout en longueur entre la voie romaine et l'ancienne ligne Maginot. La tour romane solitaire est le dernier vestige d'une belle église détruite lors de la seconde guerre mondiale, comme la plus grande partie du village. Il faut partir à la découverte du village par les étangs du Weiherchen, puis continuer par la grange église, l'église moderne St Maximin, puis la tour Usselskirch et son beau chemin de croix. A voir encore l'ancien lavoir de Haute Parthe. http://www.boust.org
Norroy le Veneur : au coeur du pays messin, ce village apparaît comme un îlot de verdure. Dans ce site baigné par un petit ruisseau, plusieurs sources issues des coteaux alimentent encore quelques fontaines-lavoirs. Non loin d'une placette à l'ombre des tilleuls, la fontaine de Godier ressemble à un petit temple néoclassique. Le bel enduit de chaux qui recouvre les murs met en valeur ses quatre colonnes taillées dans la pierre jaune de Jaumont : à découvrir aussi la fontaine de Domdémé construite en 1791 qui servait d'abreuvoir. L'église paroissiale a conservé une allure massive avec ses deux tours fortifiées : elle abrite une vierge en pierre datant du XVe siècle. Sur les plaques de rues et dans le hall de la mairie, figure le blason du village, décoré d'un noyer entouré de douze grappes de raisin, à l'époque les noyers et les vignes représentaient la richesse du village.
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Dabo (Photo Miguel Bravo) : le bourg est caractérisé par sa forme en croix, avec au centre, l'église St Blaise. Le village est dominé par un rocher haut de de 30 mètres. Soixante dix huit marches dont certaines sont taillées dans le roc, permettent d'accéder à la plate-forme longue de 80 mètres et large de 30. Un des panoramas les plus grandioses des Hautes Vosges Gréseuses s'offre au visiteur. L'église St Blaise est située au milieu du bourg à l'intersection des bras de la croix de St André qu'il forme. Le titulaire en est St Blaise depuis des siècles, alors que le pape St Léon IX est patron de la commune de Dabo et de ses paroisses. http://www.ot-dabo.fr
Vic s/Seille (Photo Anthony Koenig) : berceau du peintre Georges de la Tour, la bourgade se situe à proximité de Château Salins. Peu épargnée par les guerres, son patrimoine demeure malgré tout très riche et la maison de la Monnaie en est l'exemple le plus brillant. Construite vers 1456, elle fut restaurée sur ordre des autorités allemandes. Il faut voir aussi les vieilles maisons à colombage du XVe siècle, la porte de l'ancien château des évêques de Metz, l'église St Marien des XVe - XVIe siècles avec ses sculptures et ses intéressantes boiseries de choeur.http://www.vic-sur-seille.fr
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Phalsbourg (Photo Fredy Thomas, Texte Miguel Bravo) : aux confins de l'Alsace et de la Lorraine, entre la Porte d'Allemagne, à l'est, et la Porte de France, à l'ouest (monuments historiques), la cité de Phalsbourg s'étale tout autour de sa jolie Place d'Armes, avec ses belles maisons et son église Notre-Dame, néogothique, de 1876. Au milieu trône un bronze d'un enfant de la ville, Georges Mouton, maréchal comte de Lobau, présent aux côtés de Napoléon lors de ses principales campagnes. Créé par Maximilian II en 1570, puis fortifié par Vauban, deuxième ville de Moselle en termes de monuments classés ou inscrits, voici un site de tradition arborant la double identité lorraine et alsacienne. Cité au passé militaire, mais aussi littéraire, patrie de Emile Erckmann et de Edmond Chatrian, qui ont composé ensemble nombre d'ouvrages pour la jeunesse. Un musée leur est consacré.http://www.phalsbourg.com
Henridorff : c'est Henri II alors duc de Lorraine en 1614 qui est à l'origine de ce village : en cette époque agitée entre catholiques et protestants, le duc, soucieux de promouvoir la mise en valeur agricole de cette vallée de la Zorn, autorisa la fondation de ce village. Celui-ci a conservé sa disposition géométrique d'origine avec une rue principale bordée par des jardins puis d'anciennes fermes. Au centre du bourg, sur la petite place s'élève l'église paroissiale construite en grès des Vosges puis rebâtie à l'identique en 1883 après un incendie. Entouré de forêts et bordé par l'ancien canal de la Marne au Rhin, le village avec ses belles maisons lorraines dispose d'atouts touristiques indiscutables.
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Sarralbe : situé au confluent de l'Albe et de la Sarre, ce discret village a longtemps été associé au sel qui fit sa richesse. Malgré un intéressant patrimoine comme la porte d'Albe qui constitue le dernier vestige des fortifications du village, il reste en marge des circuits touristiques. Bien que les nouveaux quartiers nés depuis le XIXe siècle témoignent de son passé industriel, la commune garde un caractère presque villageois. Autour de l'église St Martin, le centre compte quelques belles demeures anciennes dont la maison des Têtes qui doit son nom aux mascarons surmontant le linteau des fenêtres. Les rives de la Sarre bordées d'arbres offrent un charme campagnard. Elle abrite le moulin neuf construit au XVIIIe siècle. Celui-ci occupe l'emplacement d'un premier moulin, cité au XIVe siècle comme possession des évêques de Metz.http://www.sarralbe.net
Lessy (Photo Francis Lafontaine) :situé sur le flanc oriental du mont St Quentin, le village conserve de nombreux témoignages de son passé viticole, en voie de renaissance. Ce petit bourg lorrain a su préserver son identité en conservant son centre bourg qui, avec sa vénérable église fortifiée, constitue une atmosphère villageoise. L'église paroissiale est placée sous le vocable de St Gorgon. Son clocher fortifié du XIIe siècle n'est autre que l'ancien donjon d'une maison forte qui s'élevait à l'emplacement du sanctuaire. Sa facture gothique contraste avec le style roman du bâtiment. A proximité, le cimetière est entouré d'un mur de défense avec créneaux et meurtrières.
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Dornot(Photo et Texte Francis Lafontaine) :l'occupation humaine de cet ancien village viticole des côtes de Moselle est très ancienne. Il fut en effet mis à jour sur le territoire de cette commune des haches, l'une de type armoricain et l'autre de l'âge du Bronze. La rue centrale du village qui s'élance par la pente la plus abrupte à l'assaut de la côte de Moselle vaut à elle seule le détour. La place de l'église restaurée et la fontaine sont à voir ainsi qu'un magnifique if rose d'une circonférence de trois mètres soixante à la base au cœur du cimetière.
Vaux (Photo et Texte Francis Lafontaine) :c'est dans une charte de 875 qu'il est fait mention pour la première fois de ce petit village. Consacré à la culture de la vigne il a été longtemps possession des abbayes messines. L'église fortifiée de style gothique date du XIVe siècle et conserve encore des meurtrières, le clocher ressemblant d'ailleurs plus à une tour ou un donjon. Une promenade dans ce village fera découvrir son pittoresque en admirant les cintres des portes qui en fermaient l'entrée, l'ancienne halle restaurée et le lavoir avec sa magnifique charpente.
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A voir encore les villages de Maizery et de Baerenthal.
Présentation
ALAS : je suis déjà membre chez vous sous le titre de :"actuart," et comme j' ai oublié mon login et mot de passe, je suis contraint par la force des choses de rouvrir ce nouveau compte. Donc, je suis la même personne que celle précédemment évoquée et ma photo le prouve.
Commune El-Maïn
Présentation :

Historiquement douar rattaché à la commune mixte des Bibans ayant le siège social à Bordj Medjana - Canton judiciaire de Mansourah - Arrondissement de Sétif - Département de Constantine.

Du fait des événements commencés à la fin de l'année 1955 dans la région après le déclenchement de la révolution du premier Novembre 1954, la localité redevient une zone interdite fief du F.L.N/A.L.N qui lance de nouvelles structures organiques de types révolutionnaire en remplacement des anciennes djemaâs traditionnelles dissoutes et ce, jusqu'au 06 Avril 1957.

Le 07 Avril 1957 un poste militaire s'installe dans ce coin isolé au terrain extrêmement difficile dont la seule piste d'accès traversant une zone montagneuse et forestière le reliant avec Bordj Bou-Arréridj était coupée puis endommagée.

Les autorités militaires et administratives françaises avaient fait transformé ce douar en Commune El-Maïn après le rajout de quatre villages : Thaourmith, Boufenzar, Aourir et Takrombalt du douar Djaâfra pour redevenir un véritable camp de concentration hautement surveillé et quadrillé en le faisant découper de Bordj Medjana et la rattacher à l'arrondissement de Lafayette, département de Sétif nouvellement créé dont le génie militaire installé au village d'Ouled Halla ex : Janet ouvre une piste d'accès avec Guenzet en traversant la rivière de Lokhnak dont l'eau coule par dessus le pont en béton.

Cette commune avait été héritée à l'indépendance nationale de l'Algérie le 05 Juillet 1962.

Lors de la promulgation de la loi sur la réorganisation des communes, elle fût dissoute et se rattache avec la commune de Guenzet en même temps que Tittest.

Le 02 Janvier 1964 elle était découpée de la daïra de Bougaâ pour être rattachée à nouveau avec la commune de l'ex : Merdj Medjana prenant le nom d'El Khadra avec Teffreg et prête le nom du douar Djaâfra par la suite.

Le 02 Janvier 1984, El-Maïn redevient à nouveau une commune en perdant les trois villages Aourir, Boufenzar, Thaourmith de l'ancien douar Djaâfra.
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Wednesday 16 January 2013, a 07:53
Rochefort-en-Terre Magnifique village fleuri par Léon.
 

Rochefort-en-Terre

Magnifique village fleuri
Photo 1 Rochefort-en-TerrePhoto 2 Rochefort-en-TerrePhoto 3 Rochefort-en-TerrePhoto 4 Rochefort-en-TerrePhoto 5 Rochefort-en-Terre
Rochefort-en-terre - © Yannick Le Gal







Sans doute l'une des plus belles "Petites cités de caractère" de Bretagne, Rochefort-en-Terre invite à un voyage dans le temps. Contemplez ses remparts, son château et ses demeures anciennes ! Admirablement fleurie, la ville s'anime toute l'année de jolies boutiques, de galeries et d'échoppes d'artisans d'art.
Au milieu des landes et des bois, Rochefort-en-Terre, dressée sur un éperon rocheux, compte parmi les plus beaux villages de France. Partout, géraniums et lierres soulignent la pierre de leurs fleurs colorées. Ici, chaque détail est soigné. Ruelles pavées, enseignes stylisées, la ville semble un petit bijou niché au cœur du Morbihan. Levez les yeux vers les maisons à encorbellement de la charmante place du Puits et de la rue Saint-Michel et profitez du lieu. L'été, la vieille ville est entièrement piétonne. Un vrai bonheur...

Curieux château !

Fondé au 12e siècle, le château de Rochefort-en-Terre est reconstruit au 17e. Mais c'est au début du 20e siècle, qu'il retrouve un second souffle sous l'impulsion du peintre américain Alfred Klots. Rachetant les communs, il les transforme en manoir et ne tarde pas à faire du village le rendez-vous des artistes.

Hors des sentiers battus

Pour apprécier pleinement les lieux, le mieux est de venir y flâner le matin. L'après-midi, pour échapper à la foule, les berges de l'étang du Moulin Neuf constituent le point de départ idéal d'une belle randonnée qui fait le tour de Rochefort-en-Terre. Comptez deux heures pour effectuer les 6 kilomètres du parcours bleu.

Le saviez-vous ?

 Dans les traces de l'homme de Cro-Magnon

Les plus jeunes vont adorer ce saut dans le temps ! L'espace d'un après-midi, revivez l'époque des dinosaures grâce au Parc de la Préhistoire. 25 hectares et une trentaine de scènes reconstituées entre lacs et falaises.
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Parc de Préhistoire de Bretagne - Bretagne

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Baladez-vous sur un parcours balisé, et découvrez 30 scènes avec des animaux et des personnages grandeur réelle de l'époque préhistorique !

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BIRMANDREIS (ou Bir Mourad Raïs)
La naissance du village français ne doit rien au plan Guyot de 1842. Elle lui est d'ailleurs bien antérieure. Il est né spontanément, en 1831, autour d'un fortin français surveillant la vallée de l'oued Kniss et protégeant Alger, qui était alors éloigné de 10km
Les premiers Européens établis là furent des Mahonnais et des Allemands du sud. Ces derniers sont arrivés à Birmandreis, Kouba ou Dély Ibrahim sans l’avoir vraiment souhaité ; pour l’explication de cette étrangeté  se reporter au chapitre Dély Ibrahim.
Seuls les Mahonnais possédaient les connaissances horticoles adaptées au climat  qui leur permirent de s’implanter durablement. Ils savaient creuser des puits, construire des norias, et pratiquer des cultures de légumes avec irrigation. Ils étaient assez proches d’Alger pour écouler leurs surplus sans difficulté. Pour réussir ces cultures d’huerta, ils creusèrent de nombreux puits équipés de norias à godets, comme à Mahon, que des mulets faisaient tourner. Pour protéger leurs bêtes du soleil africain ; ils leur mettaient des chapeaux kabyles améliorés avec deux trous pour laisser passer les oreilles.
Bien sûr, dans les années 1950 au plus tard, les mulets furent remplacés par des pompes électriques ; et l'on cessa d'entendre le léger cliquetis des chaînes à godets métalliques.

Quelques dates

1831 - premier peuplement européen toléré par l'armée.
1834 - Ouverture de la route descendant de la Colonne Voirol par la vallée de l'oued Kniss.
Cette route fut appelée par la suite, avenue du Général Reibell. Mais malgré ce nom d'avenue, il n'y eut jamais de maisons construites en bordure de cette voie trop encaissée.
1835 - Reconnaissance officielle de ce centre de peuplement européen.
Et rattachement de Birmandreis à la commune créée à Birkhadem.
1836 - Première naissance européenne enregistrée.
1941 - Création du Centre d'El Riath.
1947 - Arrivée de la ligne de trolleybus venant de la Grande poste, par La Redoute ; ligne I (lire i).
1951 - Installation du Service de l'Hydraulique.
1959 - Intégration de Birmandreis au 8è arrondissement du Grand Alger
Le  territoire communal

plan territoire communal
Le plan - 120 ko -
La géographie de la commune de Birmandreis est complexe. Si le site originel du village est un élargissement de la vallée de l’oued Kniss, le reste de la commune recouvre tout un ensemble de collines qui furent peu à peu grignotées par les lotissements de villas jusqu’aux années 1950, et par des immeubles ensuite. Seule la vallée de l’oued Kniss, trop encaissée à l’amont du village, n’a pas été occupée par des maisons.
Du côté d’Alger, le quartier de la Redoute fait la liaison avec la grande ville qu’il domine ; du côté de Draria et de Birkhadem il restait encore quelques fermes viticoles et quelques colons stricto sensu, en 1962.

Le village centre


centre de birmandreis
De quelque direction que l’on arrive il fallait contourner, sur deux côtés, cette fausse place « centrale » dont on ne pouvait pas faire le tour. A gauche de la photo, coincées contre un escarpement abrupt l’école, l’église, la mairie et la poste. On reconnaît avec difficulté le monument aux morts (vers la gauche) et le dôme en forme de kouba qui recouvre un puits fermé. On voit nettement la station du trolleybus des TA, ligne I, sur la place ; et sur la route à droite un autocar blidéen à l’arrêt en face d’un café et d’un marchand de f’taïrs (beignets arabes) servis tout brûlants et bien huileux, salés ou sucrés au choix : un vrai délice. Tous les bus allant au-delà vers Birkhadem, Blida, Djelfa ou Aïn Boucif s’arrêtaient à cet endroit.
Pas de grands immeubles au centre, des villas sur les collines  mais pas sur toutes : c’est un bon résumé des aspects de la commune avant la construction des HLM de la cité de la Concorde.
Birmandreis associe des quartiers disjoints  d’âge, d’aspects et de populations si différentes qu’il est indispensable de les survoler l’un après l’autre.

Les principaux quartiers

·         La Redoute  (ou El Mouradia) est sans doute le plus ancien. Rien ne distinguait, dans le paysage le passage de la commune de Birmandreis à celle d’Alger. La limite communale passait au milieu du chemin des crêtes et de la rue Abd el-Kader de telle sorte que le lycée Fromentin (voir) et l’église Sainte Anne (voir) se trouvaient à Alger. Par contre le bois de Boulogne était sur le territoire de Birmandreis.
La Redoute et le quartier contigu dit du Golf étaient des quartiers de rues étroites et sinueuses où les trolleybus de la ligne J avaient parfois du mal à se faufiler. Ce sont des maisons modestes du début du siècle, et des immeubles bas.
Pour rejoindre la place du village, en bas, il y avait une rue en pente très forte de 14% accessible aux voitures, aux trolleybus et aux cyclistes aux mollets bien musclés ; mais inaccessible aux cars.
·         La Colonne Voirol
C’est un carrefour, une petit place, une clinique et une modeste colonne commémorative qui rend hommage aux soldats du Génie Militaire qui ont travaillé là en 1833/1834.
la colonne voirol
Le toponyme Voirol perpétue le souvenir de Théophile Voirol, Lieutenant-général et Gouverneur intérimaire en 1833 et 1834. La colonne éponyme est à la gloire des régiments qui ont construit la route vers Birmandreis et Birkhadem.  Il n’y a même pas le nom de Voirol !. Elle fut élevée dès 1834, à l’achèvement des travaux.
Elle y était encore en 1962.
C’est Voirol qui avait décidé la construction de cette route vers Birkhadem où avait été établie, dès 1830, une assez grosse garnison pour protéger les abords d’Alger et éviter les mauvaises surprises
tableau de distances
Beaucoup plus tard, après 1900, on ajouta, presque en face de la colonne, un tableau des distances sur la route du sud, à partir de ce point zéro de nos pistes impériales vers le Sahara et le Soudan français.
Tamanrasset est encore en Algérie. Gao est au Soudan, sur le fleuve Niger qui est atteint par la piste, un peu avant, à Bourem.
.La clinique est celle des Orangers, installée dans un ancien hôtel appelé Villa des Orangers (voir). Elle se trouvait chemin Beaurepaire, à droite, en montant vers El Biar.
Il y avait aussi, presque en face de la colonne, une école primaire avec écrit en très grosses lettres « Commune de Birmandreis  Groupe scolaire ». Son dernier Directeur français fut Louis Cazayous, déjà rencontré à Bouzaréa.

Le lieu Colonne Voirol fut desservi par une ligne de tramway en 1903. Cette ligne fut supprimée sans être remplacée, car le trolleybus d’Hydra, ligne A, passa par là quand  le plateau d’Hydra fut assez bâti et peuplé, dans les années 1930. Pour atteindre Hydra il fallait traverser le talweg encaissé de l’oued Kniss, sur un pont en courbe. Suivons le trolleybus jusqu’à la place centrale d’Hydra.
·         Hydra
pont d'd'Hydra
Ci-dessus, le pont d’Hydra.
Ci-contre la place centrale d’Hydra avec
des immeubles bien blancs et à deux étages seulement.
Le terminus du trolleybus,  ligne A, venant de la Grande Poste, était sur cette place.
centre de Hydra
Sur le plateau d’Hydra il y avait, en 1830, un palais mauresque à un étage qui avait été la résidence du chef de la cavalerie du Dey. Ce « château d’Hydra » devint alors la résidence, pour quelques années du consulat de Suède. Il fut racheté par l’Etat à une date que j’ignore. En 1955/1958 il abrita l’Etat-Major de la 10è division parachutiste, celle de Massu et de la « bataille d ‘Alger ».
Le plateau d’Hydra devint, dans les années 1930 un quartier résidentiel très coté avec quelques immeubles bas et surtout de belles villas. C’était un quartier peuplé presque uniquement d’Européens, du moins jusqu’aux années 1950.
On se mit alors à construire, pour faire face à la demande de logements de grands immeubles tel l’immeuble « Shell » (15 étages) sur le chemin de Kaddous, ou la cité de la concorde du côté de Sidi Yahia. Ce dernier chantier est de 1958.
·         Le Mont Riant et Les Sources sont également des quartiers apparus dans les années 1930, mais de l’autre côté du village. Le Mont Riant se trouvait au-dessus de l’escarpement quasi vertical qui domine le ravin de la femme sauvage. Certaines maisons, ou du moins leur jardin, étaient au bord de l’abîme. Le lotissement des Sources était plus étendu et plus éloigné de la place centrale.
Ces deux quartiers étaient plus modestes que celui d’Hydra : des maisons sans recherche architecturale, des jardins plus petits, des rues plus étroites. Ces quartiers avaient une population mixte, européenne et musulmane.
Le Mont Riant n’a jamais bénéficié d’une ligne de bus ou de trolleybus. Pour les Sources il est possible que vers 1960 les bus de la ligne 14 qui reliaient la place du Gouvernement à Birkhadem, aient évité le centre de Birmandreis et fait un détour par les Sources. Cette ligne est indiquée sur une carte de cette époque ; elle rattrapait la route de Birkhadem au lotissement tout neuf dit des Castors.
·         Les Castors et les Anassers sont les derniers endroits de la commune bâtis du temps de la France. Les maisons des castors étaient ainsi appelées car c’étaient leurs futurs occupants qui les construisaient eux-mêmes, en s’aidant les uns les autres, et en ne faisant appel que le moins possible à des artisans. Ce lotissement se trouvait sur la route de Birkhadem.
Le plateau des Anassers était du côté de Kouba ; en 1962 il n’y avait encore que très peu de maisons. Je me souviens tout de même d’avoir acheté tout un service de table à un artisan céramiste qui s’était établi là, au sortir du service militaire, en bénéficiant des aides offertes par le Gouvernement Général aux soldats qui décidaient de rester  et de travailler en Algérie. Etrange paradoxe que ces aides à un moment où les autorités de Paris avaient  déjà programmé le « désengagement ».
Un coin de la commune restait encore agricole en 1962, avec des fermes et des plantations de vigne, de part et d’autre de la petite route qui menait à Kaddous et à Draria. Il apparaît nettement sur la carte.

Deux sites particuliers

·         Le Bois de Boulogne  est une forêt bien aménagée sur le mamelon qui sépare la Redoute et la Colonne Voirol. Il couvre 23ha et est planté surtout  de pins et d’eucalyptus Le guide bleu de 1950 recommandait la promenade dans les allées piétonnes qui traversaient ce bois. Il y avait aussi une piste carrossable.
·         El Riath est en bordure de la vallée de l’oued Kerma, dans le coin sud-ouest de la commune, tout près de Tixeraïne qui est un hameau de Birkhadem.
Ce lieu-dit est entré dans notre histoire sous Vichy, en 1941, avec la création d’une Ecole des Cadres. Le but était de former des personnels capables de diriger et occuper les « Chantiers de jeunesse » où étaient envoyés les jeunes que les accords d’armistice avec l’Allemagne ne permettaient pas d’enrôler dans l’armée. Ce substitut de service militaire a disparu après le débarquement américain du 8/11/1942.
Mais les locaux n’ont reçu une nouvelle affectation qu’en 1944 en devenant Centre Educatif ; le but étant désormais de former des animateurs culturels et d’accueillir des rencontres d’hommes de lettre ou d’artistes, ou bien encore de recevoir pour quelques jours des stagiaires.
Il y eut sûrement des activités de ce type ; j’ai trouvé la trace de stages de fin d’année offerts aux élèves-maîtres de Bouzaréa. Mais je suppose que les activités principales furent de servir de centre de vacances pour des enfants louveteaux ou scouts, et de centre de formation  de moniteurs de scoutisme et de colonies de vacances.
Je choisis, pour illustrer mon propos, la tenue à El Riath en 1954, de l’assemblée annuelle  des scouts de France du district d’Alger. Cette réunion fut clôturée  par un discours de l’Archevêque d’Alger Léon Etienne Duval.
Les dessertes des quartiers de Birmandreis par les transports en commun sont une chose assez compliquée : j’essaye de résumer, tout en complétant, ce qui a été déjà dit. Et tout ceci pour 1960/1962.
o Au village centre : deux terminus : celui du trolleybus I venu de la Grande Poste et celui d'une ------navette des cars blidéens vers Birkhadem
En face de la place s'arrêtent tous les cars blidéens allant vers le sud ou vers Saoula.
Ce sont des cars de marque Chausson et de couleur rouge
Il est possible que s'arrêtent encore quelques cars de la ligne 14 de la RSTA vers Birkhadem
o A Hydra se trouve le terminus du trolleybus A venu de la Grande Poste.
o A la Redoute le trolleybus J décrit une boucle dans la partie dépendant de Birmandreis
et le trolleybus I coupe au plus court pour atteindre le village d'origine par une rampe à 14%
o A la Colonne Voirol passent le trolleybus A et les bus de la toute nouvelle ligne 19 d'El Biar à
Kouba. Ces bus relient donc la Colonne au village et au plateau des Anassers
o Aux lotissements des Sources et des Castors passent sans doute les bus (ou quelques uns
des bus) 14 venus de la Place du Gouvernement et allant à Birkhadem.

Supplément sur un enfant du pays : Louis Althusser (1918-1990)        
Ce nom figure dans touts les encyclopédies et est apparu à la une de tous les journaux en novembre 1980. Selon vos préférences personnelles vous pouvez relever tel ou tel de ses mérites. Vous avez le choix entre les « mérites » que voici.
·         Le natif de Birmandreis. Louis y est né le 16 octobre 1918 dans une famille alsacienne et catholique. Le père était employé à la Compagnie algérienne de banque et a pas mal bourlingué en A.F.N. au gré des mutations. Il a fini sa carrière à Marseille. Autant que je puisse le deviner le fils ne s’est jamais intéressé à l’Algérie, et moins encore aux Français d’Algérie.
·         Le brillant élève du lycée du parc à Lyon. Il y  est élève en khâgne et est reçu au concours de Normal Sup. de la rue d’Ulm. Mais la mobilisation et son internement dans un stalag allemand l’écartent des études. Il retourne à L’ENS  en 1945 au sortir de la guerre et du stalag.
·         Le brillant étudiant. Il présente l’agrégation de philosophie et est reçu numéro 2 au concours de 1948.
·         Le professeur de Normale Sup. Reçu au concours en juin, il est nommé dès la rentrée d’octobre assistant à  l’ENS. Il passe ainsi en 3 mois du statut d’élève à celui d’enseignant. Son engagement politique du « bon côté » pour l’époque a dû, pour cette nomination hors norme, être aussi important que son excellent rang au concours. On lui attribue bientôt un appartement à l’ENS même, au rez-de-chaussée. Il y passa toute sa vie, jusqu’à son internement (provisoire) à l’hôpital, Sainte Anne.
·         Le marxiste. Il adhère à l’ENS dès 1948 et n’a jamais renié cet engagement de jeunesse
·         Le philosophe. On le considère comme l’un des maîtres du Structuralisme. Pour ceux qui, comme moi, n’ont pas d’idées bien structurées sur le Structuralisme, je recopie ces quelques lignes : est structuraliste toute pensée qui considère que le sujet humain est second par rapport aux structures économiques, ou ethnologiques, ou linguistiques, ou psychanalytiques.
·         L’étrangleur de son épouse qu’il tue ainsi le 16 novembre 1980 dans leur appartement de l’ENS, et dans un accès de folie passagère. On l’interna, mais on ne le jugea pas car, en vertu de l’article 64 du code pénal de l’époque, il fut déclaré irresponsable. Il bénéficia d’un non-lieu en février 1981 et quitta l’hôpital en 1983.
·         Le malade mental. Il aurait souffert de « trouble bipolaire ». Toute sa vie il alterna une vie normale de professeur avec des séjours dans divers établissements psychiatriques ; avant et après 1983. C’est d’ailleurs dans un tel établissement de soins qu’il mourut le 22 octobre 1990.
 http://alger-roi.fr/Alger/alger_son_histoire/communes_villages_sahel/textes/5_trois_communes_proche_banlieue_birmandreis_bouchet.htm
 http://www.apc-algercentre.dz/decouvrir-alger-centre.php?titre=hebergement-alger-centre&langue=Fr
 
République Algérienne Démocratique et Populaire
Wilaya d'Alger
Circonscription Administrative de Sidi M'HAMED
Site Officiel de la Mairie d'Alger Centre
HÉBERGEMENT À ALGER-CENTRE

La commune d'Alger-Centre offre plusieur solution d'hbergement varié et de qualité diverse : 22 Hôtels dont 04 de haut standing:

Hôtel El Djazaïr (Ex Saint-George) 5 étoiles:


L'hôtel El Djazaïr est un hôtel 5 étoiles situé au coeur de la ville d'Alger dans un écrin de verdure. Ancien palais du Dey d'Alger, l'édifice a été transformé en hôtel en 1889 par des architectes britanniques. Anciennement connu comme le St-George, l'hôtel El Djazaïr est un hôtel de Prestige, d'architecture mauresque, véritable joyau de l'hôtellerie algérienne, l'hôtel est surtout chargé d'histoire du siècle passé, le Saint-George a reçu en son sein nombres de personnalités comme Winston Churchill, Eisenhower, Che Guevara et bien d'autres. L'hôtel dispose de 180 chambres équipées de toutes les commodités modernes. Pour les gourmands l'hôtel El Djazaïr propose un large choix gastronomique avec ses deux restaurants gastronomiques : Le Saint-George (cuisine française et algérienne) et La Pagode de Jade (cuisine chinoise). Détendez vous dans le bar lounge Le Dey ou le snack-bar El Yasmine et exaltez vous dans la discothèque de l'hôtel St-George : Le Pacha Club. Pour votre relaxation l'hôtel dispose d'une salle de remise en forme, une piscine extérieure et d'un terrain de tennis. L'autre atout de l'hôtel est son immense jardin botanique très riche en flore. Le prix d'une chambre standard commence à partir de 22 000 DA. Hôtel El Djazaïr (Ex Saint-George) Adresse : 24, Avenue Souidani Boudjemaâ, 16000, Alger, Algérie. Téléphone : +213 021 69 21 21 Téléphone : +213 021 23 09 33 Téléphone : +213 021 23 09 34 Téléphone : +213 021 23 09 35 Téléphone : +213 021 23 09 33 Téléphone : +213 021 23 09 37 Fax : +213 021 69 35 08 Fax : +213 021 69 11 56 Fax : +213 021 69 27 00 Email : hotel_dz@yahoo.fr Email : contact@chaineeldjazair.com

Hôtel Es-Safir (Ex Aletti) Alger 4 étoiles:


L'hôtel Es-Safir (Ex Aletti) est un hôtel 4 étoiles situé au centre ville d'Alger au niveau du front de mer. Inauguré en 1930 par Charlie Chaplin en personne l'hôtel est un hôtel palace de prestige chargé d'histoire. Les chambres sont spacieuses et dispose de tout l'équipement moderne. L'hôtel propose à sa clientèle un restaurant gastronomique et un bar-salon de thé "Le Cintra". Depuis les chambres la vue sur le port et la mer méditerranée est magnifique. Le prix d'une chambre commence à partir de 9000 DA. Hôtel Es Safir Adresse : 2 rue Asselah Hocine, Alger-Centre, 16000, Alger, Algérie. Téléphone : +213 021 73 50 40 Fax : +213 021 73 65 87 Email : safirhot@yahoo.fr

Hôtel Albert 1er Alger 2 étoiles:


L'hôtel Albert 1er est situé en plein centre ville d'Alger à deux pas de la Grande Poste et du Palais du Gouvernement. L'immeuble de type coloniale avec une architecture haussmannienne a été édifié en 1907 par les Français. Disposant de 63 chambres et de 2 suites l'hôtel Albert 1er dispose d'un nombre conséquent de chambres modernes dont une partie a été récemment rénovée. A votre disposition un restaurant et un bar d'une capacité de 30 places. Le prix d'une chambre commence à partir de 6000 DA. Hôtel Albert 1er Adresse : 5, avenue Pasteur, Alger-Centre, 16000, Alger, Algérie. Téléphone : +213 021 73 65 06 Téléphone : +213 021 73 74 41 Fax : +213 021 73 80 34

Hôtel SUISSE Alger 3 étoiles:


Inauguré en 1914, l'Hôtel Suisse, vous accueille dans un décor classique et chaleureux avec un ameublement de bois. Les couleurs sobres et le mobilier neuf viennent agrémenter les chambres. Avec ses 42 chambres réparties sur six étages, l'établissement a une capacité d'accueil de 60 lits en plus de deux suites. Quatre chambres doubles et autant de chambres single par étage. Toutes les commodités afférentes sont assurées : Eau courante 24/24, réfrigérateur, téléphone, climatisation, salle de bain ou douche, wifi, téléviseur, réception satellite, ... Hôtel Suisse Que ce soit en famille, en groupe, pour affaires ou pour toutes autres occasions, Hôtel Suisse, c'est votre hotel à Alger. Profitez de notre accueil chaleureux et personnalisé selon vos besoins. Notre personnel courtois et efficace s'empressera de répondre à vos attentes en ce qui concerne votre séjour parmi nous. Le sourire et la bonne humeur sont au rendez-vous afin de vous faire vivre un sejour inoubliable à l'image d'Alger la Blanche. Adresse : 06, Rue Lieutenant Boulhart, (Ex Rue Drouillet, près du commissariat du 6º arrondissement) Alger Centre Tel : 0557 56 87 23 / 021 63 10 09 / 21 65 / 12 75 / 22 14

St Hôtel Alger 2 étoiles:


Le St Hôtel est situé dans le centre historique d'Alger au niveau de la fameuse rue Didouche Mourad. L'hôtel d'architecture haussmannienne a été ouvert récemment. Les chambres de l'hôtel disposent de toutes les commodités modernes comme la TV, le wifi, la climatisation et bien d'autres. Le prix d'une chambre simple commence à partir de 6200 DA. St Hôtel Adresse : 04, Rue Mikideche Mouloud (Ex Semar Pierre), Alger-Centre, 16000, Alger, Algérie. Téléphone : +213 021 63 80 65 Fax : +213 021 63 39 72
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 http://www.apc-algercentre.dz/index.php
 
 



















































































La mairie du El Mouradia à Alger

Adresse de la mairie du El MouradiaMairie d'El Mouradia
 
 http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-el-mouradia.html
 

L'équipe administrative du El Mouradia à Alger

Président de l'APC d'El Mouradia (Maire)

Numéro administratif de l'arrondissement

Code ONS de mairie1627
Numéro SIREN de la mairieNon disponible
Code postal du El Mouradia à Alger16070

Cartes et plans du El Mouradia à Alger

Photos satellites et aériennesPhoto satellite El Mouradia : El Mouradia vu du ciel !
Cartes et plans de la mairieTrouver une rue d'El Mouradia avec le plan El Mouradia.
Nom des rues de la commune d'El MouradiaNom des rues d'El Mouradia.

Population et Habitants du El Mouradia à Alger

Gentilé des habitants
Nombre d'habitants sur l'arrondissement22 813 habitants
Densité sur l'arrondissement11 406,5 hab/km² (soit 29 542,7 hab/sq mi)

Information géographique du El Mouradia à Alger

Superficie du El Mouradia200 hectares
2,00 km² ou 0,77 sq mi
Altitude minimaleNon disponible
Altitude maximaleNon disponible
Altitude moyenne sur la communeNon disponible
Altitude de la mairie du El Mouradia176 mètres
Coordonnées géographiques décimalesLatitude: 36.7479
Longitude: 3.05103
Coordonnées géographiques sexagésimalesLatitude : 36° 44' 52'' Nord
Longitude : 3° 3' 4'' Est
Fuseau horaire
UTC +1:00 (Africa/Algiers)
L'heure d'été et l'heure d'hiver ne diffèrent pas de l'heure standard.
Heure locale
Il est 12:03:40 le 19 Mai 2014

Aux alentours de l'arrondissement

Voici une liste de points d'intérêts situés sur le El Mouradia à Alger et sur ses environs.
gare ferroviaireStation de Husseïn Dey 4.4kmpresque-îleAmirauté 4.6kmpointeEl Kettani 6km
pointePointe des Consuls 7.8kmcentre religieuxMonastère Saint-Joseph 8.9kmbase militaireCamp Militaire du Lido 10.3km
capCap Caxine 11.8kmfermeEt Tordjmann 14.9kmcapRas Acras 15.2km
capCape Matifu 16.9kmbase navaleCentre Siroco de la Marine Nationale 17.3kmplagePlage des Pins 18.5km
domaineDomaine de Ben Daly Bey 19.4kmpointePointe Saint-Janvier 19.5kmîlesÎles Sandja 20.2km

Météo du El Mouradia à Alger

 

Information géographique du El Mouradia à Alger

Superficie du El Mouradia200 hectares
2,00 km² ou 0,77 sq mi
Altitude minimaleNon disponible
Altitude maximaleNon disponible
Altitude moyenne sur la communeNon disponible
Altitude de la mairie du El Mouradia176 mètres
Coordonnées géographiques décimalesLatitude: 36.7479
Longitude: 3.05103
Coordonnées géographiques sexagésimalesLatitude : 36° 44' 52'' Nord
Longitude : 3° 3' 4'' Est
Fuseau horaire
UTC +1:00 (Africa/Algiers)
L'heure d'été et l'heure d'hiver ne diffèrent pas de l'heure standard.
Heure locale
Il est 12:04:48 le 19 Mai 2014

 

Population et Habitants du El Mouradia à Alger

Gentilé des habitants
Nombre d'habitants sur l'arrondissement22 813 habitants
Densité sur l'arrondissement11 406,5 hab/km² (soit 29 542,7 hab/sq mi)
   http://fr.wikipedia.org/wiki/El_Mouradia 

El Mouradia

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Mouradia.
El Mouradia
Noms
Nom algérien المرادية
Nom amazigh ⵍⵎⵓⵔⴰⴷⵢⴰ
Administration
Pays Drapeau de l'Algérie Algérie
Wilaya Alger
Daïra Sidi M'Hamed
Président de l'APC Ali Djareche
2012-2017
Code postal 16070
Code ONS 1627
Démographie
Population 22 813 hab. (20081)
Densité 11 407 hab./km2
Géographie
Coordonnées 36° 44′ 53″ Nord 3° 03′ 04″ Est  
Superficie 2 km2

Localisation
Localisation de la commune dans la wilaya d'Alger
Localisation de la commune dans la wilaya d'Alger

Géolocalisation sur la carte : Algérie
Voir la carte topographique d'Algérie
City locator 14.svg
El Mouradia
El Mouradia est une commune de la wilaya d'Alger en Algérie, faisant partie de la ville d'Alger.

Géographie

El Mouradia est située sur les hauteurs d'Alger, à environ 4 km au sud du centre-ville2. On surnomme cette partie de la ville « le Golf ».

Histoire

Démographie

Évolution démographique
1987 1998 2008
30 260 29 503 22 813
(Source : ONS)

Gouvernement

Le Ministère de l'Éducation nationale a son siège à El Mouradia3.
Le Ministère des Affaires étrangères avait aussi son siège à El Mouradia4, avant d'être transféré nouvellement à la commune de Kouba5.

Économie

Sport

L'histoire du club sportif amateur -RAMA (Riadh Amal el Mouradia Alger) est intimement liée à l'histoire du mouvement de libération nationale, car il fut créé par l'un des plus illustres investigateurs, le chahid DIDOUCHE Mourad, en 1947.

Notes et références

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