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ليبقي بوتفليقة رفيق امه منصورية في حمام وجدة ويدكر ان بوتفليقة تزوج امال تريكي ابنة دبلوماسي الجزائري يحي تريكي وتعيش حاليا بفرنسا بدون اطفال ويدكر انه تزوج بامال تريكي في اوت 1990ولعلا بطاقات امال الصدارة عن اتصالات الجزائر دليل على ان بوتفليقة ضحية طلاق وزواج سياسي والاسباب مجهولة
Abd El-Aziz Bouteflika est un homme d'État algérien qui exerce les fonctions de président de la république d'Algérie depuis le 15 avril 1999.
Le père de Abdelaziz Bouteflika, Ahmed, est né à Tlemcen. Il émigre très jeune au Maroc. Ahmed Bouteflika était marié à deux femmes : Belkaïd Rabia et Ghezlaoui Mansouriah, qui est la mère d'Abdelaziz. Elle était gérante d'un hammam. Ahmed Bouteflika est mort en 1958.
Abdelaziz Bouteflika naît le 2 mars 1937 à Oujda (Maroc). Il est le premier enfant de sa mère et le deuxième de son père, Fatima étant sa sœur aînée. Il a quatre frères (Abdelghani, Mustapha, Abderahim et Saïd), une sœur (Latifa) et trois demi-sœurs (Fatima, Yamina et Aïcha).
Abdelaziz Bouteflika vécut et étudia à Oujda (Maroc) puis quitta l'école en 1950 pour rejoindre l'école Hassania de Scout, créée par le prince héritier Moulay El Hassan (devenu plus tard le roi Hassan II) avant de devenir moniteur. En 1956, il rejoint l'ALN à Oujda, mais Abdelaziz Bouteflika n'a alors jamais porté d'arme ni combattu en Algérie.[réf. nécessaire] Il ne rentre en Algérie qu'après le cessez-le-feu de 1962. Il se marie en août 1990 avec Amal Triki, fille d'un ancien diplomate, Yahia Triki. Le couple n'a pas d'enfant et Mme Bouteflika vit à Paris.
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Sa%C3%AFd_Bouteflika
Saïd Bouteflika, né en 1957 à Oujda (Maroc), est un universitaire et homme politique algérien. Il est le frère et conseiller spécial d'Abdelaziz Bouteflika, actuel président de la République algérienne démocratique et populaire, sur qui il aurait « une influence considérable »1.
Il arrive à Paris en 1983. Son frère, évincé de la succession de Boumédiène, le rejoint, persécuté par ses opposants1.
Saïd Bouteflika est titulaire d'un doctorat de troisième cycle de l'Université Pierre-et-Marie-Curie (Université Paris VI) avec pour spécialité l'intelligence artificielle. Son principal centre d'intérêt est la reconnaissance des formes3.
En 1987, les Bouteflika peuvent retourner en Algérie, et Saïd suit son frère1. Il devient enseignant et militant syndicaliste universitaire. Il épouse une biologiste. À El Biar, il vit à un étage de son frère2.
En 1999, alors que son frère Abdelaziz est élu président, il est nommé conseiller spécial par un décret non publiable ; il s'occupe officiellement du service informatique1. Effacé jusque-là face à d'autres membres du cabinet comme Ali Benflis ou Larbi Belkheir, Saïd Bouteflika évince le premier en 2003 et le second en 20051. Il gère les campagnes de réélection de son frère en 2004 et 2008, et commence à être présenté comme un successeur potentiel ; il échoue à se faire nommer vice-président4.
En 2005, Abdelaziz Bouteflika est hospitalisé à Paris pour un ulcère, qui le contraint à ralentir ses activités ; l'importance de Saïd croît. D'après un habitué d'El Mouradia interrogé par Jeune Afrique, « il tient l´agenda du chef de l´État, intervient dans les nominations de ministres, de diplomates, de walis [préfets], de patrons d´organismes publics, et influe sur la vie interne du FLN. Devenu incontournable pour accéder au président, le conseiller spécial prend de facto la direction des affaires à El-Mouradia. »1
En 2008, il participe à la réélection de son frère, faisant pression sur des hommes d'affaires pour qu'ils financent la campagne, et fait en sorte que des marchés publics soient confiés à des proches2. Un câble américain de cette année-là, révélé par Wikileaks, indique que pour Bernard Bajolet, « La corruption, qui remonte jusqu’aux frères de Bouteflika [Saïd et Abdallah], a atteint un nouveau sommet et interfère dans le développement économique »5. Peu de temps après, plusieurs scandales de corruption éclatent, où son nom est cité, peut-être à l'instigation du DRS6.
En 2010, il crée le Rassemblement pour la concorde nationale (RCN), présidé par Sid Ahmed Layachi, que plusieurs observateurs voient comme une préparation de la succession de son frère[réf. nécessaire]. Toutefois, l'avènement des révoltes dans le monde arabe depuis 2011 a vite fait de refroidir ses ambitions à succéder à son frère Abdelaziz.
En 2013, Abdelaziz Bouteflika est hospitalisé au Val-de-Grace, à Paris. Pour Jeune Afrique, Saïd Bouteflika reste seul au chevet de son frère, filtrant les accès, donnant des instructions sur la gestion de la crise au premier ministre Abdelmalek Sellal, qui doit attendre 46 jours pour voir le président7,2. Le Matin affirme même que Saïd Bouteflika a signé lui-même sept décrets de nomination en lieu et place de son frère, et qu'il bloque les autres nominations8. Dans le même temps, il intervient dans la crise qui secoue le FLN afin d'imposer un proche comme secrétaire général, puis dans le remaniement ministériel consécutif9,10. Le journaliste Hichem Aboud, qui révèle la gravité de l'état du président, accuse Saïd Bouteflika de « dirige[r] le pays par procuration », d'avoir « trempé dans beaucoup d’affaires de corruption » et de l'avoir fait persécuter pour le faire taire11.
En octobre de la même année, les rumeurs de succession entre les frères reprennent12, alors que les manœuvres qui l'opposent au DRS et à son chef, le général Toufik, se poursuivent13,14. Diminué et paralysé, Abdelaziz Bouteflika se porte finalement candidat à un quatrième mandat lors de l'élection présidentielle algérienne de 2014 et l’emporte, dès le premier tour.
Biographie de
Abd El-Aziz Bouteflika est un homme d'État algérien qui exerce les
fonctions de président de la république d'Algérie depuis le 15 avril
1999.
Le père de Abdelaziz Bouteflika, Ahmed, est né à Tlemcen. Il émigre très jeune au Maroc. Ahmed Bouteflika était marié à deux femmes : Belkaïd Rabia et Ghezlaoui Mansouriah, qui est la mère d'Abdelaziz. Elle était gérante d'un hammam. Ahmed Bouteflika est mort en 1958.
Abdelaziz Bouteflika naît le 2 mars 1937 à Oujda (Maroc). Il est le premier enfant de sa mère et le deuxième de son père, Fatima étant sa sœur aînée. Il a quatre frères (Abdelghani, Mustapha, Abderahim et Saïd), une sœur (Latifa) et trois demi-sœurs (Fatima, Yamina et Aïcha).
Abdelaziz Bouteflika vécut et étudia à Oujda (Maroc) puis quitta l'école en 1950 pour rejoindre l'école Hassania de Scout, créée par le prince héritier Moulay El Hassan (devenu plus tard le roi Hassan II) avant de devenir moniteur. En 1956, il rejoint l'ALN à Oujda, mais Abdelaziz Bouteflika n'a alors jamais porté d'arme ni combattu en Algérie.[réf. nécessaire] Il ne rentre en Algérie qu'après le cessez-le-feu de 1962. Il se marie en août 1990 avec Amal Triki, fille d'un ancien diplomate, Yahia Triki. Le couple n'a pas d'enfant et Mme Bouteflika vit à Paris.
En 1956, l'ALN ordonne à tous les étudiants algériens de rejoindre ses rangs, sous peine d’être poursuivis pour désertion. Abdelaziz Bouteflika rejoint l'Armée des frontières au Maroc à l'âge de 19 ans.
Il fit son instruction militaire à l’École des cadres de l’ALN de Dar El Kebdani (Maroc, Ville de Nador), puis il devint "contrôleur" pour la direction de la Wilaya V (au Maroc), sa tâche consistait "à plaider la cause de l’ALN" auprès des populations rurales algériennes pour en obtenir le ralliement. Il se consacrera à cette fonction de contrôleur durant dix mois, entre 1957 et 1958.
En 1958 il fut promu par Houari Boumédiène et devint secrétaire administratif au sein du poste de commandement de la Wilaya V (au Maroc) puis secrétaire particulier de Boumédiène au PC de la Wilaya V, mais aussi au PC de l'état-major Ouest et au PC de l'état-major général (1960).
En 2002 et 2005, l'homme politique français Pierre Messmer, ancien ministre des armées de Charles de Gaulle, l'accuse d'avoir planifié en 1962 le massacre des Harkis.
En septembre 1962, il devient, à 25 ans, ministre de la jeunesse et du tourisme dans le gouvernement du président Ahmed Ben Bella. Membre de la première Assemblée constitutionnelle, il est élu député de Tlemcen aux première et deuxième Assemblées législatives. Après le congrès du FLN d'avril, il est nommé membre du Comité central et du bureau politique du FLN.
À partir de l'année 1963 il est appelé à effectuer de nombreuses missions à l'étranger comme ministre des Affaires étrangères par intérim. En juin 1963, il est confirmé dans ses fonctions. Dès lors il s'en suit une période durant laquelle le jeune ministre des Affaires étrangères (à l'époque plus jeune ministre de ce département au monde) dirigera la diplomatie algérienne, une diplomatie qui faisait de l'Algérie un pays porte-parole du tiers monde et l'interlocuteur privilégié dans les rapports entre le Nord et le Sud, au cours de la même période il obtiendra sa plus grande consécration en présidant la 23e session de l'Assemblée générale de l'ONU. Il conclura à ce titre avec la France, au nom de la République algérienne (démocratique et populaire), l'accord du 27 décembre 1968 relatif à la circulation, à l'emploi et au séjour en France des ressortissants algériens et de leurs familles, pierre angulaire de la politique de grande émigration algérienne. Il gardera son poste jusqu'à la mort du président Houari Boumédiène.
Le président Chadli Bendjedid le nomme ministre d'État en 1979. Bouteflika est néanmoins peu à peu écarté de la scène politique qu'il quitte en 1981. Il est traduit devant le conseil de discipline du FLN. Il choisit de s'exiler pendant 6 ans dans un contexte politique hostile et d'incrimination par la Cour des comptes de sa gestion du ministère des Affaires étrangères.
Le 22 décembre 1981, Bouteflika est poursuivi pour « gestion occulte de devises au niveau du ministère des Affaires étrangères» (entre 1965 et 1978) par la Cour des comptes.
Dans son arrêt définitif du 8 août 1983, la Cour des comptes donnait son verdict : « M. Abdelaziz Bouteflika a pratiqué à des fins frauduleuses une opération non conforme aux dispositions légales et réglementaires, commettant de ce fait des infractions prévues et punies par l’ordonnance n° 66-10 du 21 juin 1966 et les articles 424 et 425 du Code pénal. » (El Moudjahid du 9 août 1983.)
La Cour des comptes évaluait à « plus de 6 milliards de centimes » (l'équivalent de 100 milliards de centimes actuels) le montant dont Bouteflika restait redevable auprès du Trésor.
«Agissant alors en qualité de ministre des Affaires étrangères, M. Abdelaziz Bouteflika avait successivement ordonné aux chefs de missions diplomatiques et consulaires, par instructions n° 20 du 14 février 1966, n° 33 du 1er décembre 1966, n° 36 du 1er mai 1967, n° 68 du 1er octobre 1969 :
en 1966, de conserver au niveau des postes les soldes disponibles qui devront faire l’objet d’instructions ultérieures particulières ;
en 1967, d’ouvrir des comptes particuliers devant abriter ces disponibilités ;
en 1969, enfin, de procéder au transfert des reliquats disponibles vers deux comptes bancaires ouverts auprès de la Société des banques suisses, les reliquats des exercices ultérieurs devant désormais avoir la même destination. » (El Moudjahid du 9 août 1983.)
La Cour observait que « le gel de cette importante trésorerie, qui a notamment profité à un établissement bancaire étranger, n’a donc obéi à aucun texte législatif ou réglementaire et sa gestion échappait totalement au contrôle du Trésor ».
Pour sa défense, Bouteflika invoquera aux magistrats de la Cour des comptes la construction d’un nouveau siège du ministère des Affaires étrangères pour laquelle il destinerait la trésorerie amassée sur les comptes suisses. la réponse de la cour : « Ce motif fallacieux ne peut être pris en considération sachant qu’une opération d’investissement obéit à des règles bien précises qu’aucun ordonnateur ne peut ignorer et que l’éventuelle construction d’un nouveau siège du ministère des Affaires étrangères doit être financée par des crédits normalement inscrits au budget de l’État.» (El Moudjahid du 9 août 1983.)
Bouteflika ne remboursera jamais ses dettes, il sera même acquitté, par contre ses collaborateur Senouci et Boudjakdji seront emprisonnés.
Il est de retour en Algérie en janvier 1987 et prend part au congrès du FLN de 1989 qui l'élit membre du Comité central.
Pressenti pour occuper des fonctions de ministre, il décline ces propositions, comme il ne donne pas suite, en 1994, aux sollicitations dont il est l'objet en vue de son accession aux fonctions de président.
En décembre 1998, il fait part de sa décision de se présenter, en qualité de candidat indépendant à l'élection présidentielle anticipée. Bouteflika est élu président le 15 avril 1999 lors d'un scrutin au cours duquel ses adversaires se retirent, dénonçant les conditions d'organisation du vote. Il est réélu président en 2004 au 1er tour de l'élection. En 2005, Bouteflika est nommé président du FLN au huitième congrès du parti.
Les deux mandats du président Bouteflika sont marqués par une ferme volonté de civiliser le régime. La professionnalisation de l'armée, la mise à la retraite de hauts gradés et la promotion d'hommes neufs, proches du chef de l'État, vont dans ce sens. Mais la répression des émeutes de Kabylie (Printemps noir) entre avril 2001 et 2002 discrédite l'image de l'État. En août 2005, la nomination au poste d'ambassadeur à Rabat du général Larbi Belkheir, ex-directeur de cabinet de Bouteflika, traduit également une reprise en main de l'armée par le pouvoir civil.
La presse écrite se trouve fragilisée avec l'arrestation de journalistes en 2004 : parmi eux Mohamed Benchicou, directeur du quotidien Le Matin, condamné en juin 2004 à une peine de prison. Quelques mois auparavant, ce dernier publie un livre dans lequel il dresse un portrait critique du président: "Bouteflika, une imposture algérienne".
Bouteflika a été vivement critiqué par l'association Reporters sans frontières qui l'accuse de tenter de mettre au pas la presse privée du pays. Bouteflika promettait en 1999 de respecter la liberté de la presse.
En 2005, Bouteflika convoque pour le mois de septembre un référendum pour faire adopter un ensemble de mesures dont le but est de restaurer la paix civile en Algérie. Il propose ainsi de reconnaître le droit à des réparations aux familles de disparus, d'accorder une forme d'amnistie pour les membres de groupes armés non coupables de massacres et de créer une aide pour les veuves et orphelins de membres de groupes armés tués. Durant la campagne pour le référendum, menée tambour battant, l'opposition et les familles des victimes ainsi que les associations des droits de l'Homme sont écartées du débat. Les média restent hermétiques à toute contestation et entretiennent une confusion entre le droit de refuser et la trahison du pays. L'État utilise dans cette campagne tous les moyens matériels y compris les fonds publics pour le seul bénéfice des partisans du président.
Ce référendum pose tout de même le problème des personnes disparues, dont le sort ne peut pas faire l'objet d'une enquête indépendante ou internationale. L'opposition critique une mascarade électorale où, selon elle, les résultats sont connus d'avance (97,36% de oui et 79,76% de participation, sauf en Kabylie avec seulement 12% de participation).
Le 2 mars 2006, il fait fermer les 42 établissements francophones afin de lutter contre la « déviation linguistique ».
En juillet 2006 Abdelaziz Bouteflika signe un décret pour gracier les journalistes poursuivis pour diffamation.
Le Parlement algérien vote à main levée, le 12 novembre 2008, la modification de la Constitution (500 oui, 21 non, 8 abstentions). Parmi les changements figure le retrait de la limite de deux mandats consécutifs qu'un président peut exercer.
Abdelaziz Bouteflika annonce lors d'un rassemblement à Alger, le 12 février 2009, qu'il est candidat à sa succession lors de la prochaine élection présidentielle. Il est réélu pour un troisième mandat dès le premier tour, le 9 avril 2009, avec 90,24 % des voix.
Le 15 avril 2011, alors que des émeutes et manifestations ont lieu depuis plusieurs mois en Algérie dans un contexte de protestations et révolutions dans le monde arabe, il annonce la mise en place d'une commission chargée de modifier la Constitution, une révision de la loi électorale, de la loi sur les partis politiques et du code de l'information. Ces annonces jugées tardives et peu novatrices ne convainquent pas la presse indépendante et la société civile.
Le 14 septembre 2011, il est de nouveau hospitalisé à Paris et le 27 avril 2013, il est de nouveau admis à Paris à Val-de-Grâce, à la suite d’un AIT (accident ischémique transitoire, c'est-à-dire une petite attaque cérébrale). Le 19 mai 2013, les quotidiens algériens Mon journal et Djaridati qui affirmaient que Bouteflika est dans un état comateux ont été saisis à l'imprimerie et interdits de parution, ce qui n'était plus arrivé depuis les années 1990. Le 21 mai 2013, Bouteflika est transféré dans un autre hôpital militaire français situé à l'hôtel des Invalides. L'opacité autour de cette hospitalisation est dénoncée par la presse algérienne.
Le 12 juin 2013, après 47 jours d'absence, les premières images de Bouteflika sont diffusées sur la chaîne d'État ENTV recevant le Premier ministre et le chef d'état-major, Ahmed Gaïd Salah.
Le 15 juin 2013, le quotidien arabophone El Khabar révèle que Bouteflika aurait subit un second AVC aux Invalides, le 31 mai et qui lui aurait paralysé le coté gauche.
Le 16 juillet 2013, Bouteflika rentre à Alger en fauteuil roulant après 80 jours d'absence, où il est reçu par son Premier ministre, l’état-major des armées, les présidents de l'assemblée, du Sénat et du Conseil constitutionnel.
Abdelaziz Bouteflika, âgé de 76 ans et au pouvoir en Algérie depuis 1999, est désigné samedi par le Front de libération nationale candidat à la présidentielle de 2014 pour un 4e mandat à la tête de l'Etat.
Le mardi 14 janvier 2014, Abdelaziz Bouteflika, ayant été victime d'une attaque cérébrale en 2013, est a nouveau admis à l'hôpital du Val-de-Grâce, à Paris. Il doit y rester jusqu'au vendredi 17 janvier 2014.
Le jeudi 16 janvier 2014, Abdelaziz Bouteflika rentre dans l'après-midi à Alger.
Samedi 22 février 2014, le premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, annonce la candidature du président sortant, Abdelaziz Bouteflika, à l'élection présidentielle prévue le 17 avril 2014 (information rapportée par la télévision nationale algérienne).
Le samedi 22 mars 2014, Abdelaziz Bouteflika diffuse une lettre par la voix de l'agence de presse algérienne APS pour annoncer que sa santé fragile n'est pas un obstacle à sa réélection, et qu'il promet des réformes constitutionnelles s'il l'emporte le 17 avril 2014.
Le jeudi 17 avril 2014, après le vote anticipé de leurs compatriotes résidant en France, les algériens sont appelés aux urnes pour élire leur président au cours d'un scrutin a priori sans surprise. Le président sortant, Abdelaziz Bouteflika, soutenu par le Front de libération nationale (FLN), apparaît comme le grand favori de l'élection malgré des ennuis de santé qui l'ont empêché de mener lui-même campagne, ou même d'apparaître lors de ses meetings. Sans surprise, Abdelaziz Bouteflika est réélu pour un 4ème mandat consécutif avec le score écrasant de 81,53 % des voix (selon les résultats officiels diffusés vendredi 18 avril par le ministère de l'intérieur). Son principal adversaire, l'ex-premier ministre Ali Benflis, est arrivé deuxième avec 12,18 % des voix. Le plus jeune candidat, Abdelaziz Belaïd, est arrivé en troisième position avec 3,03 %, suivi de la députée trotskiste Louisa Hanoune avec 1,37 % des voix, puis de Ali Fawzi Rebaïne avec 0,99 % et Moussa Touati avec 0,56 %.
Le 28 avril 2014, Abdelaziz Bouteflika (arrivant en fauteuil roulant, une voix faible, une allocution abrégée) prête serment et reprend Abdelmalek Sellal pour Premier ministre.
Source : fr.wikipedia.org/.../dia.org/wiki/Abd_El-Aziz_Bouteflika
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Le père de Abdelaziz Bouteflika, Ahmed, est né à Tlemcen. Il émigre très jeune au Maroc. Ahmed Bouteflika était marié à deux femmes : Belkaïd Rabia et Ghezlaoui Mansouriah, qui est la mère d'Abdelaziz. Elle était gérante d'un hammam. Ahmed Bouteflika est mort en 1958.
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Sa%C3%AFd_Bouteflika
Saïd Bouteflika, né en 1957 à Oujda (Maroc), est un universitaire et homme politique algérien. Il est le frère et conseiller spécial d'Abdelaziz Bouteflika, actuel président de la République algérienne démocratique et populaire, sur qui il aurait « une influence considérable »1.
Biographie
Saïd Bouteflika nait en 1957 à Oujda, alors base de la Wilaya V au Maroc, au début de l’ascension de son frère Abdelaziz, alors âgé de vingt ans, auprès de Houari Boumédiène, qui atteint au même moment la tête de la wilaya. Il est le dernier d'une fratrie de neuf2.
Article détaillé : Clan d'Oujda.
Son père Ahmed meurt alors qu'il a un an ; il est donc élevé par sa mère, sous la tutelle de son frère Abdelaziz, et par là de Houari Boumédiène qui prend le pouvoir par un coup d'État
en 1965. Il est élève à l'école Saint-Joseph des pères blancs, puis au
lycée tenu par les jésuites, comme de nombreux proches de dirigeants1.Il arrive à Paris en 1983. Son frère, évincé de la succession de Boumédiène, le rejoint, persécuté par ses opposants1.
Saïd Bouteflika est titulaire d'un doctorat de troisième cycle de l'Université Pierre-et-Marie-Curie (Université Paris VI) avec pour spécialité l'intelligence artificielle. Son principal centre d'intérêt est la reconnaissance des formes3.
En 1987, les Bouteflika peuvent retourner en Algérie, et Saïd suit son frère1. Il devient enseignant et militant syndicaliste universitaire. Il épouse une biologiste. À El Biar, il vit à un étage de son frère2.
En 1999, alors que son frère Abdelaziz est élu président, il est nommé conseiller spécial par un décret non publiable ; il s'occupe officiellement du service informatique1. Effacé jusque-là face à d'autres membres du cabinet comme Ali Benflis ou Larbi Belkheir, Saïd Bouteflika évince le premier en 2003 et le second en 20051. Il gère les campagnes de réélection de son frère en 2004 et 2008, et commence à être présenté comme un successeur potentiel ; il échoue à se faire nommer vice-président4.
En 2005, Abdelaziz Bouteflika est hospitalisé à Paris pour un ulcère, qui le contraint à ralentir ses activités ; l'importance de Saïd croît. D'après un habitué d'El Mouradia interrogé par Jeune Afrique, « il tient l´agenda du chef de l´État, intervient dans les nominations de ministres, de diplomates, de walis [préfets], de patrons d´organismes publics, et influe sur la vie interne du FLN. Devenu incontournable pour accéder au président, le conseiller spécial prend de facto la direction des affaires à El-Mouradia. »1
En 2008, il participe à la réélection de son frère, faisant pression sur des hommes d'affaires pour qu'ils financent la campagne, et fait en sorte que des marchés publics soient confiés à des proches2. Un câble américain de cette année-là, révélé par Wikileaks, indique que pour Bernard Bajolet, « La corruption, qui remonte jusqu’aux frères de Bouteflika [Saïd et Abdallah], a atteint un nouveau sommet et interfère dans le développement économique »5. Peu de temps après, plusieurs scandales de corruption éclatent, où son nom est cité, peut-être à l'instigation du DRS6.
En 2010, il crée le Rassemblement pour la concorde nationale (RCN), présidé par Sid Ahmed Layachi, que plusieurs observateurs voient comme une préparation de la succession de son frère[réf. nécessaire]. Toutefois, l'avènement des révoltes dans le monde arabe depuis 2011 a vite fait de refroidir ses ambitions à succéder à son frère Abdelaziz.
En 2013, Abdelaziz Bouteflika est hospitalisé au Val-de-Grace, à Paris. Pour Jeune Afrique, Saïd Bouteflika reste seul au chevet de son frère, filtrant les accès, donnant des instructions sur la gestion de la crise au premier ministre Abdelmalek Sellal, qui doit attendre 46 jours pour voir le président7,2. Le Matin affirme même que Saïd Bouteflika a signé lui-même sept décrets de nomination en lieu et place de son frère, et qu'il bloque les autres nominations8. Dans le même temps, il intervient dans la crise qui secoue le FLN afin d'imposer un proche comme secrétaire général, puis dans le remaniement ministériel consécutif9,10. Le journaliste Hichem Aboud, qui révèle la gravité de l'état du président, accuse Saïd Bouteflika de « dirige[r] le pays par procuration », d'avoir « trempé dans beaucoup d’affaires de corruption » et de l'avoir fait persécuter pour le faire taire11.
En octobre de la même année, les rumeurs de succession entre les frères reprennent12, alors que les manœuvres qui l'opposent au DRS et à son chef, le général Toufik, se poursuivent13,14. Diminué et paralysé, Abdelaziz Bouteflika se porte finalement candidat à un quatrième mandat lors de l'élection présidentielle algérienne de 2014 et l’emporte, dès le premier tour.
Notes et références
- Farid Alilat, « Saïd Bouteflika : Mister mystère » [archive], sur jeuneafrique.com, 8 mai 2013 (consulté le 21 octobre 2013)
- Mireille Duteil, « Saïd Bouteflika, l'énigme algérienne [archive] », Le Point, 28 mars 2014
- http://www.theses.fr/1986PA066546 [archive]
- Farid Alilat, « Algérie : la diplomatie américaine s'intéresse au frère de Bouteflika [archive] », Dernières nouvelles d'Algérie repris par Rue89, 05/09/2011
- WikiLeaks. Les frères Bouteflika sont des «rapaces», Gaïd Salah «corrompu» et le Général Toufik qui sait tout [archive] sur algerie-focus.com
- Marie Verdier, « Mohammed Hachemaoui: «Le service de renseignement détient tous les leviers du pouvoir en Algérie» [archive] », La Croix, 01/10/2013
- « Algérie : quand Saïd Bouteflika orchestre le silence présidentiel [archive] », Jeune Afrique, 20/05/2013
- Abubakr Diallo, « Algérie : le frère de Bouteflika soupçonné de signer des décrets [archive] », Afrik.com, 08/06/2013
- Farid Aillat, Algérie : Bouteflika forever... [archive], Afrik.com, 07/10/2013
- « Fin d’un règne mouvementé et incertitudes sur l’avenir politique [archive] », challenge.ma, 27 septembre 2013
- Alain Jourdan, «Saïd Bouteflika veut me faire taire. Il n’y arrivera pas» [archive], La Tribune de Genève, 19/09/2013
- Kamel Daoud, « Comment l’Algérie a-t-elle pu devenir une monarchie ? [archive] », Algérie-Focus, 19/10/2013
- Ihsane El Kadi, « Présidentielle : l’armée algérienne divisée, Bouteflika veut peser sur les choix [archive] », Algérie Focus, 28/07/2013
- Mohamed-Chérif Lachichi, « Le DRS avait prévenu Bouteflika [archive] », Liberté, 04/06/2013
Sources
http://www.monsieur-biographie.com/celebrite/biographie/abdelaziz_bouteflika-5929.php
Biographie de
Abdelaziz BOUTEFLIKA
Nom : BOUTEFLIKA
Prénom : Abdelaziz
Age : 77 ans
Sexe : Homme
Nationalité : Algerien
Type :
Thème :
Naissance : Né le
02 mars 1937
02 mars 1937
Mort : --
Statut : Homme vivant
Le père de Abdelaziz Bouteflika, Ahmed, est né à Tlemcen. Il émigre très jeune au Maroc. Ahmed Bouteflika était marié à deux femmes : Belkaïd Rabia et Ghezlaoui Mansouriah, qui est la mère d'Abdelaziz. Elle était gérante d'un hammam. Ahmed Bouteflika est mort en 1958.
Abdelaziz Bouteflika naît le 2 mars 1937 à Oujda (Maroc). Il est le premier enfant de sa mère et le deuxième de son père, Fatima étant sa sœur aînée. Il a quatre frères (Abdelghani, Mustapha, Abderahim et Saïd), une sœur (Latifa) et trois demi-sœurs (Fatima, Yamina et Aïcha).
Abdelaziz Bouteflika vécut et étudia à Oujda (Maroc) puis quitta l'école en 1950 pour rejoindre l'école Hassania de Scout, créée par le prince héritier Moulay El Hassan (devenu plus tard le roi Hassan II) avant de devenir moniteur. En 1956, il rejoint l'ALN à Oujda, mais Abdelaziz Bouteflika n'a alors jamais porté d'arme ni combattu en Algérie.[réf. nécessaire] Il ne rentre en Algérie qu'après le cessez-le-feu de 1962. Il se marie en août 1990 avec Amal Triki, fille d'un ancien diplomate, Yahia Triki. Le couple n'a pas d'enfant et Mme Bouteflika vit à Paris.
En 1956, l'ALN ordonne à tous les étudiants algériens de rejoindre ses rangs, sous peine d’être poursuivis pour désertion. Abdelaziz Bouteflika rejoint l'Armée des frontières au Maroc à l'âge de 19 ans.
Il fit son instruction militaire à l’École des cadres de l’ALN de Dar El Kebdani (Maroc, Ville de Nador), puis il devint "contrôleur" pour la direction de la Wilaya V (au Maroc), sa tâche consistait "à plaider la cause de l’ALN" auprès des populations rurales algériennes pour en obtenir le ralliement. Il se consacrera à cette fonction de contrôleur durant dix mois, entre 1957 et 1958.
En 1958 il fut promu par Houari Boumédiène et devint secrétaire administratif au sein du poste de commandement de la Wilaya V (au Maroc) puis secrétaire particulier de Boumédiène au PC de la Wilaya V, mais aussi au PC de l'état-major Ouest et au PC de l'état-major général (1960).
En 2002 et 2005, l'homme politique français Pierre Messmer, ancien ministre des armées de Charles de Gaulle, l'accuse d'avoir planifié en 1962 le massacre des Harkis.
En septembre 1962, il devient, à 25 ans, ministre de la jeunesse et du tourisme dans le gouvernement du président Ahmed Ben Bella. Membre de la première Assemblée constitutionnelle, il est élu député de Tlemcen aux première et deuxième Assemblées législatives. Après le congrès du FLN d'avril, il est nommé membre du Comité central et du bureau politique du FLN.
À partir de l'année 1963 il est appelé à effectuer de nombreuses missions à l'étranger comme ministre des Affaires étrangères par intérim. En juin 1963, il est confirmé dans ses fonctions. Dès lors il s'en suit une période durant laquelle le jeune ministre des Affaires étrangères (à l'époque plus jeune ministre de ce département au monde) dirigera la diplomatie algérienne, une diplomatie qui faisait de l'Algérie un pays porte-parole du tiers monde et l'interlocuteur privilégié dans les rapports entre le Nord et le Sud, au cours de la même période il obtiendra sa plus grande consécration en présidant la 23e session de l'Assemblée générale de l'ONU. Il conclura à ce titre avec la France, au nom de la République algérienne (démocratique et populaire), l'accord du 27 décembre 1968 relatif à la circulation, à l'emploi et au séjour en France des ressortissants algériens et de leurs familles, pierre angulaire de la politique de grande émigration algérienne. Il gardera son poste jusqu'à la mort du président Houari Boumédiène.
Le président Chadli Bendjedid le nomme ministre d'État en 1979. Bouteflika est néanmoins peu à peu écarté de la scène politique qu'il quitte en 1981. Il est traduit devant le conseil de discipline du FLN. Il choisit de s'exiler pendant 6 ans dans un contexte politique hostile et d'incrimination par la Cour des comptes de sa gestion du ministère des Affaires étrangères.
Le 22 décembre 1981, Bouteflika est poursuivi pour « gestion occulte de devises au niveau du ministère des Affaires étrangères» (entre 1965 et 1978) par la Cour des comptes.
Dans son arrêt définitif du 8 août 1983, la Cour des comptes donnait son verdict : « M. Abdelaziz Bouteflika a pratiqué à des fins frauduleuses une opération non conforme aux dispositions légales et réglementaires, commettant de ce fait des infractions prévues et punies par l’ordonnance n° 66-10 du 21 juin 1966 et les articles 424 et 425 du Code pénal. » (El Moudjahid du 9 août 1983.)
La Cour des comptes évaluait à « plus de 6 milliards de centimes » (l'équivalent de 100 milliards de centimes actuels) le montant dont Bouteflika restait redevable auprès du Trésor.
«Agissant alors en qualité de ministre des Affaires étrangères, M. Abdelaziz Bouteflika avait successivement ordonné aux chefs de missions diplomatiques et consulaires, par instructions n° 20 du 14 février 1966, n° 33 du 1er décembre 1966, n° 36 du 1er mai 1967, n° 68 du 1er octobre 1969 :
en 1966, de conserver au niveau des postes les soldes disponibles qui devront faire l’objet d’instructions ultérieures particulières ;
en 1967, d’ouvrir des comptes particuliers devant abriter ces disponibilités ;
en 1969, enfin, de procéder au transfert des reliquats disponibles vers deux comptes bancaires ouverts auprès de la Société des banques suisses, les reliquats des exercices ultérieurs devant désormais avoir la même destination. » (El Moudjahid du 9 août 1983.)
La Cour observait que « le gel de cette importante trésorerie, qui a notamment profité à un établissement bancaire étranger, n’a donc obéi à aucun texte législatif ou réglementaire et sa gestion échappait totalement au contrôle du Trésor ».
Pour sa défense, Bouteflika invoquera aux magistrats de la Cour des comptes la construction d’un nouveau siège du ministère des Affaires étrangères pour laquelle il destinerait la trésorerie amassée sur les comptes suisses. la réponse de la cour : « Ce motif fallacieux ne peut être pris en considération sachant qu’une opération d’investissement obéit à des règles bien précises qu’aucun ordonnateur ne peut ignorer et que l’éventuelle construction d’un nouveau siège du ministère des Affaires étrangères doit être financée par des crédits normalement inscrits au budget de l’État.» (El Moudjahid du 9 août 1983.)
Bouteflika ne remboursera jamais ses dettes, il sera même acquitté, par contre ses collaborateur Senouci et Boudjakdji seront emprisonnés.
Il est de retour en Algérie en janvier 1987 et prend part au congrès du FLN de 1989 qui l'élit membre du Comité central.
Pressenti pour occuper des fonctions de ministre, il décline ces propositions, comme il ne donne pas suite, en 1994, aux sollicitations dont il est l'objet en vue de son accession aux fonctions de président.
En décembre 1998, il fait part de sa décision de se présenter, en qualité de candidat indépendant à l'élection présidentielle anticipée. Bouteflika est élu président le 15 avril 1999 lors d'un scrutin au cours duquel ses adversaires se retirent, dénonçant les conditions d'organisation du vote. Il est réélu président en 2004 au 1er tour de l'élection. En 2005, Bouteflika est nommé président du FLN au huitième congrès du parti.
Les deux mandats du président Bouteflika sont marqués par une ferme volonté de civiliser le régime. La professionnalisation de l'armée, la mise à la retraite de hauts gradés et la promotion d'hommes neufs, proches du chef de l'État, vont dans ce sens. Mais la répression des émeutes de Kabylie (Printemps noir) entre avril 2001 et 2002 discrédite l'image de l'État. En août 2005, la nomination au poste d'ambassadeur à Rabat du général Larbi Belkheir, ex-directeur de cabinet de Bouteflika, traduit également une reprise en main de l'armée par le pouvoir civil.
La presse écrite se trouve fragilisée avec l'arrestation de journalistes en 2004 : parmi eux Mohamed Benchicou, directeur du quotidien Le Matin, condamné en juin 2004 à une peine de prison. Quelques mois auparavant, ce dernier publie un livre dans lequel il dresse un portrait critique du président: "Bouteflika, une imposture algérienne".
Bouteflika a été vivement critiqué par l'association Reporters sans frontières qui l'accuse de tenter de mettre au pas la presse privée du pays. Bouteflika promettait en 1999 de respecter la liberté de la presse.
En 2005, Bouteflika convoque pour le mois de septembre un référendum pour faire adopter un ensemble de mesures dont le but est de restaurer la paix civile en Algérie. Il propose ainsi de reconnaître le droit à des réparations aux familles de disparus, d'accorder une forme d'amnistie pour les membres de groupes armés non coupables de massacres et de créer une aide pour les veuves et orphelins de membres de groupes armés tués. Durant la campagne pour le référendum, menée tambour battant, l'opposition et les familles des victimes ainsi que les associations des droits de l'Homme sont écartées du débat. Les média restent hermétiques à toute contestation et entretiennent une confusion entre le droit de refuser et la trahison du pays. L'État utilise dans cette campagne tous les moyens matériels y compris les fonds publics pour le seul bénéfice des partisans du président.
Ce référendum pose tout de même le problème des personnes disparues, dont le sort ne peut pas faire l'objet d'une enquête indépendante ou internationale. L'opposition critique une mascarade électorale où, selon elle, les résultats sont connus d'avance (97,36% de oui et 79,76% de participation, sauf en Kabylie avec seulement 12% de participation).
Le 2 mars 2006, il fait fermer les 42 établissements francophones afin de lutter contre la « déviation linguistique ».
En juillet 2006 Abdelaziz Bouteflika signe un décret pour gracier les journalistes poursuivis pour diffamation.
Le Parlement algérien vote à main levée, le 12 novembre 2008, la modification de la Constitution (500 oui, 21 non, 8 abstentions). Parmi les changements figure le retrait de la limite de deux mandats consécutifs qu'un président peut exercer.
Abdelaziz Bouteflika annonce lors d'un rassemblement à Alger, le 12 février 2009, qu'il est candidat à sa succession lors de la prochaine élection présidentielle. Il est réélu pour un troisième mandat dès le premier tour, le 9 avril 2009, avec 90,24 % des voix.
Le 15 avril 2011, alors que des émeutes et manifestations ont lieu depuis plusieurs mois en Algérie dans un contexte de protestations et révolutions dans le monde arabe, il annonce la mise en place d'une commission chargée de modifier la Constitution, une révision de la loi électorale, de la loi sur les partis politiques et du code de l'information. Ces annonces jugées tardives et peu novatrices ne convainquent pas la presse indépendante et la société civile.
Le 14 septembre 2011, il est de nouveau hospitalisé à Paris et le 27 avril 2013, il est de nouveau admis à Paris à Val-de-Grâce, à la suite d’un AIT (accident ischémique transitoire, c'est-à-dire une petite attaque cérébrale). Le 19 mai 2013, les quotidiens algériens Mon journal et Djaridati qui affirmaient que Bouteflika est dans un état comateux ont été saisis à l'imprimerie et interdits de parution, ce qui n'était plus arrivé depuis les années 1990. Le 21 mai 2013, Bouteflika est transféré dans un autre hôpital militaire français situé à l'hôtel des Invalides. L'opacité autour de cette hospitalisation est dénoncée par la presse algérienne.
Le 12 juin 2013, après 47 jours d'absence, les premières images de Bouteflika sont diffusées sur la chaîne d'État ENTV recevant le Premier ministre et le chef d'état-major, Ahmed Gaïd Salah.
Le 15 juin 2013, le quotidien arabophone El Khabar révèle que Bouteflika aurait subit un second AVC aux Invalides, le 31 mai et qui lui aurait paralysé le coté gauche.
Le 16 juillet 2013, Bouteflika rentre à Alger en fauteuil roulant après 80 jours d'absence, où il est reçu par son Premier ministre, l’état-major des armées, les présidents de l'assemblée, du Sénat et du Conseil constitutionnel.
Abdelaziz Bouteflika, âgé de 76 ans et au pouvoir en Algérie depuis 1999, est désigné samedi par le Front de libération nationale candidat à la présidentielle de 2014 pour un 4e mandat à la tête de l'Etat.
Le mardi 14 janvier 2014, Abdelaziz Bouteflika, ayant été victime d'une attaque cérébrale en 2013, est a nouveau admis à l'hôpital du Val-de-Grâce, à Paris. Il doit y rester jusqu'au vendredi 17 janvier 2014.
Le jeudi 16 janvier 2014, Abdelaziz Bouteflika rentre dans l'après-midi à Alger.
Samedi 22 février 2014, le premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, annonce la candidature du président sortant, Abdelaziz Bouteflika, à l'élection présidentielle prévue le 17 avril 2014 (information rapportée par la télévision nationale algérienne).
Le samedi 22 mars 2014, Abdelaziz Bouteflika diffuse une lettre par la voix de l'agence de presse algérienne APS pour annoncer que sa santé fragile n'est pas un obstacle à sa réélection, et qu'il promet des réformes constitutionnelles s'il l'emporte le 17 avril 2014.
Le jeudi 17 avril 2014, après le vote anticipé de leurs compatriotes résidant en France, les algériens sont appelés aux urnes pour élire leur président au cours d'un scrutin a priori sans surprise. Le président sortant, Abdelaziz Bouteflika, soutenu par le Front de libération nationale (FLN), apparaît comme le grand favori de l'élection malgré des ennuis de santé qui l'ont empêché de mener lui-même campagne, ou même d'apparaître lors de ses meetings. Sans surprise, Abdelaziz Bouteflika est réélu pour un 4ème mandat consécutif avec le score écrasant de 81,53 % des voix (selon les résultats officiels diffusés vendredi 18 avril par le ministère de l'intérieur). Son principal adversaire, l'ex-premier ministre Ali Benflis, est arrivé deuxième avec 12,18 % des voix. Le plus jeune candidat, Abdelaziz Belaïd, est arrivé en troisième position avec 3,03 %, suivi de la députée trotskiste Louisa Hanoune avec 1,37 % des voix, puis de Ali Fawzi Rebaïne avec 0,99 % et Moussa Touati avec 0,56 %.
Le 28 avril 2014, Abdelaziz Bouteflika (arrivant en fauteuil roulant, une voix faible, une allocution abrégée) prête serment et reprend Abdelmalek Sellal pour Premier ministre.
Source : fr.wikipedia.org/.../dia.org/wiki/Abd_El-Aziz_Bouteflika
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Abdelaziz BOUTEFLIKA
dernière mise à jour le 20/04/2014
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Abdelaziz Bouteflika est né en 1937 au Maroc. Très tôt
impliqué dans le monde de la politique, il participe aux conflits contre
la France en intégrant le FLN (Front ...
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Prononciation ) est un homme d'État algérien qui exerce les
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1999. Le père de Abdelaziz ...
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ضربت كفي لكفي وشفت في الارض ساعة لقيت قلة الشيء ترشي وتنوض من الجماعة.
الكف بالكف ورايت الارض ساعة وجدت الفقر يربكك ويبعد عن الجماعة
*مخالطة بوجعران توصلك لمباتو.
مصاحبة الحشرات توصلك الى مسكنهم.
*ما تحل للميت عينو ما توحل في تقماضها.
لا تفتح عين الميت لكي لا تتورط في غلقها.
*الي ما شتاني هناني.
من لا يحبني هنأ بالي.
*الي ما وصلش للعنقود يقول عليه حامض.
من لو يذق العنب يقول عنه حامض
*العرضة سنة والمهبول يدنى.
*الي ما عندو الزهر في الكبدة يلقى العضم.
فاقد الحظ لا يعطيه
*الي في حجرو البيض ما يصارعش.
من يحمل البيض يجتنب الشجار.
*على حبيبي نصبر وللصبر حدود.
الصبر على الحبيب لازم ولكن له حدود.
*خص العريان غير المحزمة.
ما يلزم العريان غير حزام الخصر
*المكسي بقش الناس عريان.
من يلبس لباس الغير عريان
*يعرف الاوقات كي الفروج وما يصليش.
يعرف مواقيت الصلاة ولا يصلي
*كلام الليل مدهون بالزبدة كي يطلع عليه النهار يسيح.
كلام الليل كالزبدة ولكن عند طلوع النهار يذوب
*الي ما عندو كبيرو الهم تدبيرو.
من فقد كبيره فقد رأي
*جاء التالي قال امالي.
الكف بالكف ورايت الارض ساعة وجدت الفقر يربكك ويبعد عن الجماعة
*مخالطة بوجعران توصلك لمباتو.
مصاحبة الحشرات توصلك الى مسكنهم.
*ما تحل للميت عينو ما توحل في تقماضها.
لا تفتح عين الميت لكي لا تتورط في غلقها.
*الي ما شتاني هناني.
من لا يحبني هنأ بالي.
*الي ما وصلش للعنقود يقول عليه حامض.
من لو يذق العنب يقول عنه حامض
*العرضة سنة والمهبول يدنى.
*الي ما عندو الزهر في الكبدة يلقى العضم.
فاقد الحظ لا يعطيه
*الي في حجرو البيض ما يصارعش.
من يحمل البيض يجتنب الشجار.
*على حبيبي نصبر وللصبر حدود.
الصبر على الحبيب لازم ولكن له حدود.
*خص العريان غير المحزمة.
ما يلزم العريان غير حزام الخصر
*المكسي بقش الناس عريان.
من يلبس لباس الغير عريان
*يعرف الاوقات كي الفروج وما يصليش.
يعرف مواقيت الصلاة ولا يصلي
*كلام الليل مدهون بالزبدة كي يطلع عليه النهار يسيح.
كلام الليل كالزبدة ولكن عند طلوع النهار يذوب
*الي ما عندو كبيرو الهم تدبيرو.
من فقد كبيره فقد رأي
*جاء التالي قال امالي.
جاء متأخر وقال لي هذا.
*الحمية تقلب السبع.
التعاون يغلب الاسد
*برارج جاء يحب في ابنو عورو.
طائر الرخ يقبل ابنه ففقع عينه
*الدراهم كي الريش والدورو ما يعشيش.
كثرة الدراهم بدون قيمة
*خربها وقعد على تلها.
افسد كل شيء وجلس عليه
*تخلطت وما بات تصفى،وطلع خزها فوق ماها،رياس على غير مرتبة هوما سباب خلاها.
فساد الرعية من فساد الراعي
*الحمية تقلب السبع.
التعاون يغلب الاسد
*برارج جاء يحب في ابنو عورو.
طائر الرخ يقبل ابنه ففقع عينه
*الدراهم كي الريش والدورو ما يعشيش.
كثرة الدراهم بدون قيمة
*خربها وقعد على تلها.
افسد كل شيء وجلس عليه
*تخلطت وما بات تصفى،وطلع خزها فوق ماها،رياس على غير مرتبة هوما سباب خلاها.
فساد الرعية من فساد الراعي
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Coup de gueule : Le complexe du colonisé
Par Abdelkrim Badjadja
Lu dans « Le Soir d’Algérie » du 28 décembre 2011 :
Rubrique : « LE BONJOUR DU SOIR : Têtes de Turc».
« La France parle de génocide en Arménie. La Turquie n’est pas contente et réplique : «Le véritable génocide a eu lieu en Algérie !» Nous, on n’a rien demandé à personne !
Nous sommes assez grands pour régler nos comptes avec l’ancienne puissance coloniale sans l’aide de personne ! Et surtout pas de la Turquie , elle-même… ancienne puissance coloniale de l’Algérie ! ».
La Turquie ancienne puissance coloniale ?
Parlons histoire sans chercher à polémiquer avec personne, surtout pas avec ceux qui vivent encore à l’ère du complexe du colonisé :
- Doit-on considérer comme « colonisation » toutes les dynasties musulmanes auxquelles avait adhéré l’Algérie de 647 à 1574 ? Il s’agit des Omeyyade, abbasside, Fatimide, Idrisside, Almohade, Almoravide, Hafside.
- La présence ottomane en Algérie, dans le cadre du Khalifat ottoman, a duré trois siècles. Et c’est vraiment faire injure au peuple algérien que de croire qu’il aurait pu supporter durant trois cents ans cette prétendue « colonisation turque » sans réagir ou se révolter.
- En juin 1830, les effectifs des Janissaires ne dépassaient pas le chiffre de 4.000, alors que la population algérienne était estimée à plus de trois millions d’habitants : soit un Janissaire face à 750 Algériens ! Si le peuple algérien considérait vraiment les Ottomans comme des colons, il les aurait exterminés dès leur arrivée au début du 16ème siècle.
- Par contre, lorsque les troupes françaises avaient débarqué sur les plages de Sidi Fredj, le 27 juin 1830, c’est bien à coup de canons et de fusils qu’elles avaient été accueillies, alors que les effectifs français s’élevaient à 27.000 soldats, sept fois plus que les Janissaires.
Résistance anti-coloniale de 1830 à 1962
La résistance à la colonisation française a duré de 1830 à 1962, sans interruption :
- Hadj Ahmed Bey de Constantine de 1830 à 1848.
- Emir Abdelkader de 1832 à 1847.
- Révolte de Benacer Ben Chohra au Centre et Sud-Est en 1846.
- Révolte des Zaatcha menée par Cheikh Bouziane de 1845 à 1850.
- Révolte de Chérif Boubeghla et Fatma N’soumer au Djurdura et en Kabylie entre 1851 et 1860.
- Insurrection des Ouled Sidi-Cheikh de 1864 à 1884.
- Révolte de Cheikh Bouâmama de 1881 à 1908.
- Révolte de Hadj Mohamed El Mokrani Boumezrag en 1871-1872.
- Révolte des Touaregs du Hoggar avec Cheikh Amoud Ben Mokhtar de 1877 à 1912.
- L’insurrection de l’Aurès en 1916.
- Manifestations populaires du 8 mai 1945 qui s’étaient soldées par les Massacres de Sétif, Guelma et Kherrata, faisant près de 45.000 morts.
- Guerre d’Algérie 1954-1962 qui se solde par un million et demi de morts coté algérien, et 27.000 morts coté français. (1)
- Notons qu’en 1962, l’Algérie comptait 11 millions d’habitants : 9 millions d’Algériens musulmans, un million d’Européens la plupart étant armés, et un million de soldats français surarmés et appuyés par la logistique de l’Otan.
Arrêtons d’entretenir de faux débats
- Aujourd’hui, doit-on parler de colonisation arabe puis turque ?
- En reprenant les arguments des colonisateurs cherchant à diviser Arabes et Berbères pour régner ?
- Qui est en mesure de prouver aujourd’hui que sa famille d’origine était berbère ou arabe au 7ème siècle ?
- Qui est en mesure d’exhiber un arbre généalogique qui remonterait à 14 siècles ?
- Lors de mes recherches sur les anciennes tribus de l’Est algérien (au nombre de 264 tribus) en 1863-1887, basées sur les archives du cadastre, j’ai constaté qu’il y a eu de nombreux déplacements de tribus, d’où brassage des populations par voie de conséquence, si bien que si l’on peut cerner des zones linguistiques –de parler arabe ou berbère– il est impossible de différencier les Algériens entre eux.(2)
- Aujourd’hui, doit-on parler d’un génocide en Algérie ou d’une série de génocides ?
Arrêtons de nous insulter !
Notes :
1- http://www.el-mouradia.dz/francais/algerie/histoire/algeriefr.htm
2- Abdelkrim Badjadja , DEA géographie historique, Université de Constantine, octobre 1974.
http://badjadja.e-monsite.com/album/cirta-constantine/carte-des-anciennes-tribus-de-l-est-algerien-1863-1887.html
Abdelkrim Badjadja
Consultant en Archivistique
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Lu dans « Le Soir d’Algérie » du 28 décembre 2011 :
Rubrique : « LE BONJOUR DU SOIR : Têtes de Turc».
« La France parle de génocide en Arménie. La Turquie n’est pas contente et réplique : «Le véritable génocide a eu lieu en Algérie !» Nous, on n’a rien demandé à personne !
Nous sommes assez grands pour régler nos comptes avec l’ancienne puissance coloniale sans l’aide de personne ! Et surtout pas de la Turquie , elle-même… ancienne puissance coloniale de l’Algérie ! ».
La Turquie ancienne puissance coloniale ?
Parlons histoire sans chercher à polémiquer avec personne, surtout pas avec ceux qui vivent encore à l’ère du complexe du colonisé :
- Doit-on considérer comme « colonisation » toutes les dynasties musulmanes auxquelles avait adhéré l’Algérie de 647 à 1574 ? Il s’agit des Omeyyade, abbasside, Fatimide, Idrisside, Almohade, Almoravide, Hafside.
- La présence ottomane en Algérie, dans le cadre du Khalifat ottoman, a duré trois siècles. Et c’est vraiment faire injure au peuple algérien que de croire qu’il aurait pu supporter durant trois cents ans cette prétendue « colonisation turque » sans réagir ou se révolter.
- En juin 1830, les effectifs des Janissaires ne dépassaient pas le chiffre de 4.000, alors que la population algérienne était estimée à plus de trois millions d’habitants : soit un Janissaire face à 750 Algériens ! Si le peuple algérien considérait vraiment les Ottomans comme des colons, il les aurait exterminés dès leur arrivée au début du 16ème siècle.
- Par contre, lorsque les troupes françaises avaient débarqué sur les plages de Sidi Fredj, le 27 juin 1830, c’est bien à coup de canons et de fusils qu’elles avaient été accueillies, alors que les effectifs français s’élevaient à 27.000 soldats, sept fois plus que les Janissaires.
Résistance anti-coloniale de 1830 à 1962
La résistance à la colonisation française a duré de 1830 à 1962, sans interruption :
- Hadj Ahmed Bey de Constantine de 1830 à 1848.
- Emir Abdelkader de 1832 à 1847.
- Révolte de Benacer Ben Chohra au Centre et Sud-Est en 1846.
- Révolte des Zaatcha menée par Cheikh Bouziane de 1845 à 1850.
- Révolte de Chérif Boubeghla et Fatma N’soumer au Djurdura et en Kabylie entre 1851 et 1860.
- Insurrection des Ouled Sidi-Cheikh de 1864 à 1884.
- Révolte de Cheikh Bouâmama de 1881 à 1908.
- Révolte de Hadj Mohamed El Mokrani Boumezrag en 1871-1872.
- Révolte des Touaregs du Hoggar avec Cheikh Amoud Ben Mokhtar de 1877 à 1912.
- L’insurrection de l’Aurès en 1916.
- Manifestations populaires du 8 mai 1945 qui s’étaient soldées par les Massacres de Sétif, Guelma et Kherrata, faisant près de 45.000 morts.
- Guerre d’Algérie 1954-1962 qui se solde par un million et demi de morts coté algérien, et 27.000 morts coté français. (1)
- Notons qu’en 1962, l’Algérie comptait 11 millions d’habitants : 9 millions d’Algériens musulmans, un million d’Européens la plupart étant armés, et un million de soldats français surarmés et appuyés par la logistique de l’Otan.
Arrêtons d’entretenir de faux débats
- Aujourd’hui, doit-on parler de colonisation arabe puis turque ?
- En reprenant les arguments des colonisateurs cherchant à diviser Arabes et Berbères pour régner ?
- Qui est en mesure de prouver aujourd’hui que sa famille d’origine était berbère ou arabe au 7ème siècle ?
- Qui est en mesure d’exhiber un arbre généalogique qui remonterait à 14 siècles ?
- Lors de mes recherches sur les anciennes tribus de l’Est algérien (au nombre de 264 tribus) en 1863-1887, basées sur les archives du cadastre, j’ai constaté qu’il y a eu de nombreux déplacements de tribus, d’où brassage des populations par voie de conséquence, si bien que si l’on peut cerner des zones linguistiques –de parler arabe ou berbère– il est impossible de différencier les Algériens entre eux.(2)
- Aujourd’hui, doit-on parler d’un génocide en Algérie ou d’une série de génocides ?
Arrêtons de nous insulter !
Notes :
1- http://www.el-mouradia.dz/francais/algerie/histoire/algeriefr.htm
2- Abdelkrim Badjadja , DEA géographie historique, Université de Constantine, octobre 1974.
http://badjadja.e-monsite.com/album/cirta-constantine/carte-des-anciennes-tribus-de-l-est-algerien-1863-1887.html
Abdelkrim Badjadja
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Notre probléme ,n’est pas de savoir si on est de telle ou telle éthnie . Notre probléme,est qu’on arrive pas à se donner une identité propre à nous :une identité algérienne . Certains,regardent vers le nord et considére Paris comme le centre du monde . D’autres,regardent vers l’orient et se comportent comme si nous étions à l’âge d’or de Baghdad des Abbassides ou de Damas des ouméyades . Il est temps qu’on se fasse un peu confiance et qu’on se regarde un peu . Jusqu’ici nous nous comportons comme une personne adultére,nous vivons en Algérie,nous profitons de ses richesses,alors qu’on a le regard ailleurs . L’Algérie a d’énormes capacités,sa superficie fait la moitié de tout le moyen orient,ses reserves en énergie sont grandioses . Grand nombre de nos cadres sont formés dans les plus grandes universités européennes et américaines . Il suffit de réformer le systéme politique et apprendre à se faire confiance .
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Mr.Badjaja aborde la question de la présence turque en Algérie:Dans la foulée de son développement, il mentionne la question de l’identité algérienne:Berbères ou arabes? et dit aux lecteurs.Ne vous posez pas la question de savoir si vous êtes berbères ou non, car il est impossible, étant donné, le brassage vécu,loin dans le passé(7ème siècle)de le savoir:De fait, acceptez l’idée que les Algériens sont des Arabes.Cette thèse de Mr.Badjaja revient fréquemment dans ses publications.Elle est évidemment incorrecte, voire fausse, car l’expansion des tribus arabes au 7ème siècle,et au 10ème siècle(Béni-hillals)toucha essentiellement la Libye et la Tunisie.Les Arabes n’ont ni occupé, ni colonisé, ni peuplé l’Algérie:Il n’y pas d’Arabes en Algérie.Il n’y a que des berbères islamisés qui ont perdu la langue berbère et sont devenus arabophones,sans pour autant acquérir le même parler que l’ arabe parlé par les tribus:En effet, le parler algérien est loin d’être un parler arabe:Il est un mélange de l’arabe acquis à travers les mosquées et de la langue berbère.Mr,Badjaja mène un combat d’arrière-garde en refusant ce que tout le monde admet aujourd’hui:Les Algériens ne sont pas des Arabes, ceux sont des Amazighs(Berbères).Plus encore, aucun historien algérien n’a jamais affirmé que les Algériens sont des Arabes.
aristote(y.s)
Voir mon site:aristote-algeria.com
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Etre un homme au sens positif du terme et ce qu’en dit la plus haute valeur morale de l’humanite n’est pas donne a tout le monde. Je voudrai tout d’abord deposer une gerbe a defaut d’un crachat a la maniere de Boris Vian sur la moralite de ce torchon le Soir d’Algérie qui par sa propagande nauseabonde enfante le mal dans un langage pueril et stupide.Je voudrai aussi lancer une gerbe a tous ces penseurs occidentaux sans exception racistes eugenistes, arrogant et orgueulleux,de darwin,renan malthus en passant par tous les philosophes tueurs de DIEU et les dictateurs du 20eme siecle qui ont commis les plus grands crimes contre l’humanite que la terre n’a jamais connue et qui sont une resultante de cette crasse intellectuelle qui nous conduit a ce chaos du 21 eme siecle. Et comme un pied de nez a tous ces maudits racistes je voudrai rendre hommage a cinq veritables grands hommes, liste non exhaustives, mais qui pour moi ont une grande valeur dans leurs combats a liberer l’homme a leur maniere de toutes les formes d’esclavages: Aime Cesaire, Muhammed Ali, MalcomX, Frantz Fanon et enfin Dieudonné. Oui Dieudonné, le plus grand revolutionaire de tous les temps qu’aucun humouriste ne peut egaler, seule goute d’espoir et de bonne humeur dans ce monde de misere.
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KATEB YACINE
Pourquoi cacher des faits historiques? le peuple Algerien a soufer de la presence turque, il s’est aussi revolté. ça ne vous dit rien SID AHMED OUELKADI?
Le filme « la montagne de baya » montre tout le repect que les bachaghas avaient pour les Algerien
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« Et surtout pas de la Turquie , elle-même… ancienne puissance coloniale de l’Algérie ! ». » !!!!
La Turquie ancienne puissance coloniale ?? Mais monsieur Bouteflika, même si la Turquie était une ancienne puissance coloniale, ça n’absout pas les crimes commis par tes frères colons français, bien sûr que tu nous dira que ce n’est pas vrai et que tu n’a rien vu…..tu étais à la frontière!!!!
Lorsque ça vient d’un torchon comme le soir comme si cela venait de Boutef, et si cela venait de Boutef, c’est comme cela venait des Dafs et si cela venait des Dafs, si comme cela venait de Bigeard, Lacoste etc… etc..et meme de Natanyahu…donc c’est un peu très normal !
Il y a une question que j’aimerai poser aux historiens : Tous ceux qui étaient aux frontières sont vivants jusqu’à nos jours et ceux qui étaient au maquis , il n’en reste qu’une poignée (et dans quel état!) !!! les raisons de cette longévité ? l’air pur ? la tranquillité, loin du bruit ? la bonne nourriture ?
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Avant les Amazighs, il y avait les Captiens, et puis apres et a travers les siecles on trouve les pheniciens, les romains, les arabes, les turcs, bosniaques, francais, espagnols, maltais…
Parler de colonisation turque est en effet une insulte a l’histoire, et une insulte aux milliers et milliers de turcs morts a travers les ages pour défendre (oui defendre) des algeriens aux forces insignificantes qui etaient attaqués de tous cotés par les europeens. Bien entendu, cela ne signifie pas du tout, que le gouvernement turc d’Alger etait au dessus de tout soupcon.
لعمرك ما المرؤ إلا ابن دينه فلا تترك التقوى اتكالا على النسب
فقد رفع الإسلام سلمان فارس و حط بالشرك الحسيب أبو لهب
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L’episode de la crise entre les officiels francais
et la turquie montre avec une facilité deconcertante que le regime n’a rien d’algerien et qu’il est qu’une sucursale de l’expuissance coloniale.Je suis surpris à l’égard de certaines reactions de bonne volonté et qui donnent aux declarations de erdogan une dimension qui n’est pas la sienne.Erdogan n’a pas voulu defendre les algeriens , mais, il a voulu dire simplement que la france est mal placée pour parler de genocide .Il aurait evoqué l’irak l’afghanistan, ou le vietnam si les USA aurait voté de son côté la loi francaise. Mais ce qui attire l’attention c’est la reaction et la gêne des harkis de club des pins. Deux reactions meritent d’être soulgnées. La premiere est celle du roi des roi de la chitta ahmed fattani avec le titre de son torhon: Erdogan se fait l’avocat des algeriens.il est parfois difficile de cacher sa gêne devant les reactions des hommes veritablement elus par leur propre peuple.La deuxème est celle du FLN qui dit que erdogan n’est pas tuteur de l’algerie. La difference entre les années 50 et aujourd’hui c’est que à l’époque l’algerie avait son FLN maintenant c’est la france qui a son FLN.En réalité erdogan vient de gener brutalement le sommeil de leur harkisme et vient de reveler que ce regime, c’est la france. Aprés avoir ecouter la réaction d’erdogan, avec un reflexe pavlovien, je me suis directement dirigé vers les sites de l’exteme droite francaise. Ce qui etonnant c’est qu’il ont eu la même réaction que les colons de club des pins. oscillant entre silence gêné et attaque contre la turquie où ils reprochent à la turquie exactement ce que reproche le papier-toilette le soir d’algerie.La réalité aussi c’est que erdogan a montré aux algeriens sans volonté de sa part , ce que l’algerie d’el izza wal karama de fakhamatouhou est incapable de faire.
Mais quant il s’agit des djordanes il peut faire beaucoup de chose…. vraiment beaucoup. Comme par exemple de signer un decret pour l’installation de l’un des plus grand criminels depuis la creation de la numidie.En voyant une société qui commence à se construire et à se revitaliser,l’impossibilité aux années 90 de s’effacer des memoires des algeriens, et l’invité surprise en l’occurence le printemps arabe, le regime a fait le choix de la REDECAPITATION de la société.Trois questions à tertag et mediene.
1) Sommes nous en 2012 ou en 1992 où la populatio n’a pas pu venir le coup et le complot que vous avez organisé
2)La société va t-elle supporter encore une fois une autre vague de terrorisme pedagogique cher à smain lamari
3)Le bresil devient la 6 eme economie du monde et talonne votre mere patrie ce qui augure un monde eclaté pour demain. Pensez que vous serez defendable avec vos massacres au moment où les peuples arabes se debarassent des etres de votre espece.
Le jour où il y aurait 20 millions de personnes dans la rue (pour reprendre mohamed samraoui) il serait inutile de se bunkeriser et de jouer au BOUROUROU, même si tous les sites de tortures marcheront à plein regime, car le peuple saura qu’il est en face de moudjrimine qui veulent absolument sa peau et celui du pays. Sans cela l’espoir dans ce pays n’est pas permis.Et ca doit commencer par la prochaine mascarade du regime, où il faudrait boycotter massivement ce regime. Il est impensable que pendant que les peuple arabes se debarassent de leurs mafias, nous on se dirigent docilement aux bureaux de vote pour legitimer nos criminels.
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Je tiens d’abord à vous remercier pour vos informations, c’est la première fois qu’une liste exhaustive de la longue résistance du peuple algérien est mise à la disposition des lecteurs.
J’ai remarqué que vous avez donné les pertes subies par le peuple algérien pour ses combats les plus récents (Mai 1945 et 1954/1962). Serait-il possible de compléter votre liste en donnant les pertes approximatives subies lors des autres périodes. D’après les informations dont nous disposons actuellement, les régions ouest et centre ont perdu la moitié de leur population lors de la guerre de résistance menée par l’Emir Abdelkader qui a dû cesser la lutte sur la demande pressante des tribus à bout de forces et à la merci d’un génocide semblable à celui des autochtones des USA.
Deuxièmement, il me semble que le peuple algérien ne doit pas pardonner aux turcs d’avoir avoir abandonné la lutte en 1830 et livré l’Algérie à la France aussi facilement, sachant qu’il n’y avait pas d’autre état que celui dirigé par les turcs et que par conséquent, les turcs ont laissé un boulevard à la France, un peuple désarmé et non organisé pour se défendre.
Troisièmement et à contrario, le Bey de Constantine s’est bien comporté, cependant, s’il était populaire et s’il avait la confiance des tribus de l’Est algérien, comment se fait-il que l’Armée française soit parvenue à Constantine sans coup férir à partir d’Alger, en passant par les Bibans, les bien nommées « Portes de fer » et en traversant la plaine de Sétif sans rencontrer aucune résistance ? Par ailleurs, il faut préciser aux lecteurs qu’Ahmed Bey n’a pas résisté au nom du peuple algérien, mais au nom de la Sublime Porte (Bab Al Ali), c’est-à-dire sa mère-patrie la Turquie. Ensuite, il me semble que votre affirmation sur la durée de la résistance d’Ahmed Bey est sujette à caution « Hadj Ahmed Bey de Constantine de 1830 à 1848 ».
Enfin, ma dernière remarque concerne Mr Maamar Farah du Soir d’Algérie, à propos de sa péremptoire détermination « Nous sommes assez grands pour régler nos comptes avec l’ancienne puissance coloniale sans l’aide de personne ! » Est-ce qu’il peut nous affirmer qu’en 50 années d’indépendance, l’enfumade du Dahra qui a lieu le 19 juin 1845, a été commémorée officiellement une seule fois ? Est-ce que cette enfumade est enseignée dans les écoles ? Et ce, à titre d’exemple car, il y en a des dizaines d’autres. Enfin, si Erdogan ou même Obama condamne les massacres perpétrés par l’Armée française en Algérie, en quoi cela le dérange ? Quelle suffisance, il ne bouge pas et il ne veut que les autres bougent.
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La fameuse Khilafa ottomane,n’existe que dans l’esprit de certains Maghrebins . Notre spontanéité et générosité ,ainsi que notre foi islamique,nous rendent vulnérables face à tout slogan religieux. Pour revenir à l’histoire,je rappelle mes compatriotes,que les premiers à avoir persécuté l’Emir Abdelkader sont les turques qui l’ont arrêté bien avant les français pour le mettre en prison alors qu’il se déplaçait à travers tout le territoire pour mobiliser les algériens contre les troupes françaises . La deuxième donnée ,est la nature de la relation qu’entretenaient les ottomans avec les algériens . En trois siècles de présence,les ottomans ne parlaient ni arabe ni berbère,ils ne se mélangeaient pas aux locaux . L’administration ottomane, ne s’intéressait aux algériens qu’aux moments des collectes d’ impôts.Pour pousser justement les algériens à verser leurs impôts ,les ottomans déplaçaient les populations algériennes d’une région à l’autre créant des conflits entre tribus algériennes ce qui poussaient les uns à dénoncer ceux qui ne payaient pas leurs impôts aux autorités ottomanes . Dans une khilafa islamique réelle,le Califat est désigné par les fidèles selon ses compétences .Or dans le cas des ottomans,le Califat est toujours turque et ne défend que les intérêts turcs puisque à l’arrivée des troupes françaises,c’est l’Emir Abdelkader avec les algériens qui se sont chargés de défendre le pays après le départ des ottomans .Ces données laisseront juger nos compatriotes de la nature de la présence ottomane en Algérie.
Par contre,nous devons apprendre à analyser un évènement politique loin des paramètres dogmatiques ou des considérations pationnelles . Le premier ministre turc, en évoquant la guerre d’Algerie,joue son rôle d’homme politique èlu par les turcs pour défendre leurs intérêts . Les algériens,n’ont pas élu Erdogan et de ce fait,il n’a rien à gagner en dèfendant notre pays.Le premier ministre turc,a soulevé le génocide commis par les français chez nous par pragmatisme politique pour répondre à Sarkozy qui ne s’intéresse pas aux arméniens mais aux élections présidentielles de Mai 2012 en France . Au fait la Turquie et Israël étant en conflit diplomatique et en rupture d’échanges commerciaux depuis l’assassinat de nombreux humanitaires turcs par l’armée israélienne,Sarkozy par son hostilité aux turcs,vise l’électorat juif français et ses relais médiatiques . Au fait, l’algèrie, pays sans vie politique,se retrouve entre deux bêtes politiques,manipulateurs et pragmatiques,capables de tout pour se faire rèelir l’un en Turquie l’autre en France .
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Il est vrai, d’autre part, que le pays connut une certaine stabilité, bien qu’il y eut régulièrement des révoltes de tribus dans toutes les régions du pays. C’était en quelque sorte un équilibre de la médiocrité, en tous points semblable à celui que nous connaissons depuis 1962. Cette situation – mainmise des militaires sur le pouvoir – devint cependant la règle dans le monde musulman à partir du 13ème siècle. Un peu partout, les mercenaires étrangers – généralement d’anciens esclaves – recrutés par les chefs des dynasties régnantes s’emparèrent du pouvoir pour leur propre compte et l’un des leurs devint sultan, le calife n’étant maintenu qu’à titre symbolique et pour la forme. Ainsi en fut-il, par exemple, des Bouyides et des Seldjoukides en Irak et en Perse (10ème-13ème siècle) et des Mamelouks en Égypte (1250-1517).
Il faut se rendre à l’évidence : la domination turque et la colonisation française qui prit sa suite ne furent que la conséquence de la lente mais inexorable décadence du Maghreb, décadence qui commença au lendemain de la chute de l’empire almohade. Au moment où les souverains espagnols, ayant pris le dernier bastion musulman – Grenade – en 1492, s’apprêtaient à poursuivre leur progression sur la rive sud de la Méditerranée, le Maghreb Central n’était plus qu’un vaste territoire dominé par des tribus qui n’étaient soumises à aucune des deux dynasties qui tentaient tant bien que mal de se maintenir au pouvoir : les Hafcides de Bedjaya et les Zayanides de Tlemcen. Plusieurs villes – telle Al-Djazaïr, dirigée par le Thaalibi Salem Ettoumi – étaient autonomes, à l’instar de nombreuses régions dominées par de puissants chefs tribaux. C’est cela que Malek Bennabi a appelé la « colonisabilité ».
Rappelons que Baba Aroudj et Kheir-Eddine, appelés à la rescousse par les notables d’El-Djazaïr et Bedjaya, une fois sur la place, firent assassiner Salem Ettoumi et tous les princes Zayyanides. Ils installèrent leur domination sur les grandes villes par la force des armes. Les équipes de janissaires qui dirigèrent la Régence furent toutefois bien obligées de trouver un arrangement avec les tribus. Ces dernières gardèrent une certaine autonomie, l’armée truque assurant la protection du territoire contre les Espagnols. Il est certain que ces derniers constituaient depuis plusieurs siècles déjà l’ennemi numéro un des Maghrébins. Les récits des exactions subies par les réfugiés Andalous qui se déversaient dans les villes maghrébines circulaient dans tout le pays. Rappelons qu’à la différence des dynasties du Maghreb Central et Oriental, le royaume du Maroc résista aussi bien aux Turcs qu’aux Espagnols.
Ce que nous devons retenir c’est que les populations de ces deux contrées ne furent pas en mesure de se défendre contre les Espagnols et qu’après avoir appelé les frères Barberousse à leur secours, elles perdirent du même coup tout contrôle sur l’État central, qui devint un État turc, et non un État national. Si nous comparons cette période à celles qui l’ont précédée, force est de constater que la régression est considérable. On est bien loin de la brillante époque des Zirides, Hammadides, Almoravides et Almohades, toutes ces dynasties ayant été purement magrébines (arabo-berbères). Quand, pendant trois siècles, un peuple voit succéder à la tête de l’État sensé être le sien, sans réagir, des cohortes de janissaires turcs, n’ayant aucune attache dans le pays, c’est que la décadence est grande. Les Turcs ont eu l’intelligence de laisser ces populations dans leur médiocrité et leur manque d’ambition – il faut bien le dire – jusqu’à ce que les Français viennent rompre ce précaire équilibre de la médiocrité.
Il faut croire, hélas, que cet équilibre de la médiocrité a été rétabli après l’indépendance par une nouvelle caste militaire qui n’a rien à envier aux janissaires turcs. Finalement, les 132 années de la colonisation française auront été les années les plus glorieuses du peuple algérien depuis l’arrivée des Barberousse dans notre région. La longue liste des insurrections que M. Badjadja a dressée en fait foi. Le fameux nif de nos ancêtres avait alors un sens.
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je voudrais demander à badjadja (nom d’origine turque?) qu’il nous explique pourquoi il ya le tombeau de sidi okba près de biskra et comment est-il mort. Qu’il nous explique qui est dihya injustement appelée kahina (socière) par les arabes envahisseurs car elle les a battus à 2 reprises à plate couture dans la region de khenchela.Hanibal etait-il arabe ? turc? tarek ben zyad était il arabe lui l’enfant des oulhaça? et jugurtha et koceila et massinissa et juba … et j’en passe. Qu’il nous explique où est parti le dey hussein avec le tresor d’alger le lendemain du débarquement de sisi ferruch, où est passée cette marine qui cntrôlait la mediterranée et que faisait elle en grèce ? abandonnant alger à son sort. Qu’il nous expique pourquoi belkaid à affronté et battu kheir eddine lors de la batie des issers. Je l’invite à se rendre dans la region de boukhalfa à tizi-ouzou et de la route, apres tadmait, de la route il pourra admirer la potence encore presente sur une des collines (bordj sebaou) et où les turcs executaient les patriotes et les laissaient des jours durant pendus à la vue de tout le monde de façn à decourager toute velléité de resistance. Expliquez nous pourquoi sidi m’hamed boukabrine etait appelé ainsi.
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Pourquoi ne pas sortir manifester ? ça donnera l’occasion aux authentiques algeriens, de jauger leur capacité de mobilisation, et voir l’importance qualitative et quantitative de leur force !
Cette occasion , Est un cadeau divin, à vous de l’exploiter , des occasions pareilles ne se renouvelles pas à l’avenir.
Aux élites de choisir le jour et je suis sûr que de milliers d’algériens sortiront manifester pour laver l’affront !
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Arabe, berbères ou chinois , notre problème n’est pas là et n’essaye pas de détourner le problème, le veritable problème des algeriens (et personne ne connait ses origines)et comment faire pour se débarrasser des voleurs mafieux et traitres d’en haut et mettre à leur place des personnes honnêtes,librement choisi qui œuvreront pour le bien être de tous….nous sommes tous des frères…les origines on s’en fout : le chinois est mon FRÈRE s’il est HONNÊTE et mon frère biologique est mon ENNEMI s’il est MALHONNÊTE !
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Bonjour,
Dominer ou occuper ,je ne vois pas la différence . Les turcs ont arrêté et emprisonné l’Emir Abdelkader alors qu’il se rendait à la Mecque,sous prétexte que les populations algériennes ,sont venues le saluer et donc le reconnaître comme chef .Un Etat national,ne ferait pas un tel acte .Au fait,les turcs se méfiaient aussi bien des français que des algériens.
Aujourd’hui,le pays est dominé par une caste d’officiers du renseignement,pour moi ,le pays est occupé et il faut le libérer .
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Mr Ahmed vous dites: »Au fait la Turquie et Israël étant en conflit diplomatique et en rupture d’échanges commerciaux depuis l’assassinat de nombreux humanitaires turcs par l’armée israélienne,Sarkozy par son hostilité aux turcs,vise l’électorat juif français et ses relais médiatiques. » Mais l’electorat juif et les mass medias lui sont entierement acquis depuis fort longtemps, c’est meme eux qui l’ont installes au pouvoir. Sarkozy est d’essence juive, sa communaute ne se privera jamais de perpetrer sa longetivite, et il feront tout sans exception pour qu’il soit reelu pour un second mandat.Pour ce qui se passe a l’heure actuelle entre l’Algerie, la France, et la Turquie c’est de la cuisine interne. C’est des reglements de comptes, des coups bas. Chacun pousse ses pions hormis l’Algerie qui est totalement out avec un president moribond. Le president Turc est extrement fache contre israel apres la tournure du massacre de leur ferry pour Ghaza. Le principal relais d’israel en Europe c’est la France de sarkozy. Tout les coups sont donc bons pour sarkozi afin de desserer cette hostilite ou cette etreinte a l’egard de la mere patrie spirituelle.Il faut vous dire aussi que les juifs a l’instar des musulmans sont aussi dans une vision « califale » en ce qui concerne la gouvernance mondiale. Ils veulent a tout prix un gouernement mondial qu’ils repetent sans arret depuis l’investiture des bush. Mais cette gouvernance mondiale donne plus l’impression d’un accouchement douleureux du dajjal qu’autre chose. Ces millions de morts ce retrouvent plus chez les musulmans que chez les juifs ou les chretiens. Notre prophete priere et paix sur lui nous disait que son avenement sera le plus doulereux que la terre n’a jamais enfante! Il est donc sur que la nation musulmane va encore enormement souffrir avant que le sauveur vienne par la grace de notre seigneur apporter son salut.
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Il est impensable et impossible que des élections auront lieu avec un gouvernement et un parlement de la junte, la junte militaire n’a aucune legitimité sur le GRAND PEUPLE D’ALGERIE depuis 1988.
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Vous m’excusez mon frère, j’étais un peu brutal dans ma réponse à votre post.
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et en admettant qu’on puisse faire un tel exercice, quelle en serait l’utilité? et si tous les peuples de la terre faisaient la même chose quel en serait le résultat?
Pour être un vrai algérien en 2012 faut-il être un islamiste,un laique ou simplement un être humain avec ses qualités et ses défauts aspirant à un avenir meilleur pour soi-même et ses enfants?
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1- « Ahmed » et « Mourad » :
Je partage entièrement vos préoccupations, « reformer le système politique, et apprendre à se faire confiance », et « mettre un terme à la fitna entre berbères et arabes ».
2- « aristote-algeria.com » :
2.1- Pourquoi se cacher derrière « Aristote » qui n’est ni berbère, ni arabe ? Avez-vous honte de nos ancêtres de l’antiquité : Gaïa, Syphax, Vermina, Massinissa, Micipsa, Jugurtha… ?
2.2- « De fait, acceptez l’idée que les Algériens sont des Arabes. Cette thèse de Mr. Badjaja revient fréquemment dans ses publications » : Totalement faux, je n’ai jamais rien écrit de tel. Revoir mon papier : « Algérie : essai de synthèse » publié sur ce même journal électronique, où j’écris d’emblée que : « L’Algérie est un pays Amazigh, Arabe et Musulman ».
http://lequotidienalgerie.org/2011/06/07/l%e2%80%99algerie-essai-de-synthese/
2.3- C’est plutôt vous qui dites : « Il n’y pas d’Arabes en Algérie ». Avez-vous interrogé chacun des 36 millions d’Algériens, avant de lancer cette affirmation ? Croyez-vous qu’il soit nécessaire de nier l’arabité de l’Algérie pour confirmer son Amazighité ?
2.4- Je formule mes opinions dans le sens de rassembler les Algériens autour d’une identité commune, alors que de votre coté, vous faites l’inverse, cherchant à opposer les Algériens les uns aux autre, en courant le risque de voir un jour notre pays lancé dans une guerre ethnique ouvrant la porte à l’intervention de l’Otan pour imposer le régime qui lui convient le mieux.
3- « Si Salah »: Je soutiens tout à fait les termes de votre contribution :
« Il est illusoire de croire en une quelconque « pureté » de race au Maghreb. Bien que les anciens habitants soient Amazighs… », « Bien entendu, cela ne signifie pas du tout, que le gouvernement turc d’Alger était au dessus de tout soupçon ».
4- « Fouad » : Tout à faire d’accord avec votre proposition : « ajouter aussi les résistances des algériens à ce régime colonial qui prend en otage actuellement l’Algérie ».
Et dans tous mes écrits sur l’Algérie, je m’inquiète justement de l’avenir, et ce que vous pronostiquez est tout à fait juste : « Le jour où il y aurait 20 millions de personnes dans la rue (pour reprendre mohamed samraoui) il serait inutile de se bunkeriser et de jouer au BOUROUROU ».
J’avais publié cette inquiétude sous forme de récit fictif, dans ce même quotidien d’Algérie: « Manifestations populaires à travers toute l’Algérie Scénario envisagé voila deux ans déjà. Le pire est à venir ! »
http://lequotidienalgerie.org/2011/01/09/manifestations-populaires-a-travers-toute-l%e2%80%99algerie-scenario-envisage-voila-deux-ans-deja-le-pire-est-a-venir/
5- « Afif » :
5.1- « Serait-il possible de compléter votre liste en donnant les pertes approximatives subies lors des autres périodes ». Les seuls chiffres que je peux vous confirmer sont publiés dans mon livre la « Bataille de Constantine 1836-1837 ».
« En 1836, à la veille de la première expédition, la ville de Constantine comptait plus de 30.000 habitants. En 1843, un recensement avait donné le chiffre de 18.000 habitants dont 3.000 juifs (qui avaient beaucoup plus profité, par le pillage, que souffert de la bataille). Même si l’on tient compte du fait que beaucoup de Constantinois avaient quitté leur ville, il n’en demeure pas moins que le nombre de martyrs tombés lors de la bataille de Constantine se chiffre par milliers ».
5.2- « il me semble que le peuple algérien ne doit pas pardonner aux turcs d’avoir avoir abandonné la lutte en 1830 ».
En fait, il y a bien eu bataille à Sidi Fredj du 27 juin au 5 juillet 1830. Mais la stratégie adoptée, combattre l’ennemi sur les plages, a conduit à la défaite. Hadj Ahmed Bey, qui se trouvait sur le champ de bataille, avait proposé au Dey Hussein une autre stratégie : laisser les troupes françaises débarquer sur les plages, et avancer à l’intérieur du pays, pour ensuite les prendre en tenaille entre les forces algériennes déployées à l’intérieur du pays, et celles qui s’infiltreraient à l’arrière des soldats français, afin de couper leurs liaisons avec les bateaux de débarquement. Cette stratégie visait à exterminer les troupes françaises débarquées sans possibilité pour les bateaux d’intervenir. Mais le Dey d’Alger avait préféré s’en tenir aux avis de son gendre l’Agha Ibrahim, et combattre sur les plages l’armée française mieux équipée et expérimentée, d’où une défaire cuisante en huit jours à peine. Plus tard, Hadj Ahmed Bey mettra en œuvre la stratégie proposée, et fera subir à l’armée française une lourde défaite devant Constantine en 1836.
5.3- « Comment se fait-il que l’Armée française soit parvenue à Constantine sans coup férir à partir d’Alger, en passant par les Bibans… ».
En fait, les troupes françaises avaient fait le voyage par mer, et avaient débarqué à Bône (Annaba) occupée par l’armée française depuis le 27 mars 1832. Lors de la première bataille de Constantine en 1836, les forces françaises s’étaient concentrées à Dréan, et en 1837 à Mejez Amar. Le plan de conquête de Constantine avait été mis en place par le ministre de la guerre, le Marquis de Clermont Tonnerre, en …1827 !
5.4- « il me semble que votre affirmation sur la durée de la résistance d’Ahmed Bey est sujette à caution « Hadj Ahmed Bey de Constantine de 1830 à 1848 ».
Non pas du tout, Hadj Ahmed Bey avait commencé à combattre l’armée française sur les plages de Sidi Fredj dès le 27 juin 1830. Après la chute de Constantine le vendredi 13 octobre 1837, il avait refusé de se rendre, et continua le combat avec l’appui des tribus qui lui étaient restées fidèles. En juin 1848, il s’est trouvé encerclé dans l’Aurès suite à une trahison. Il fut obligé de se rendre. Hadj Ahmed Bey mourut en captivité à Alger le 30 août 1850.
6- « Adel » : « si mes souvenirs sont bons, le bey Ahmed de Constantine lui-même était un Kouloughli, sa mère étant une Ben Gana ».
Tout à fait exact : Le grand-père d’Ahmed Bey, Ahmed Bey El Kolli, était un turc, il régna à Constantine de 1756 à 1771. Le père d’Ahmed Bey, Mohamed Chérif, était un kourougli, il fut Khalifa (lieutenant) du Bey Hossein de 1792 à 1795. De même que son père, Mohamed Chérif épousa une fille Bengana, Hadja Rokia, qui donna naissance à Ahmed Bey en 1787 à Constantine. D’où les liens très forts entre la famille Bengana et Hadj Ahmed Bey.
Biographie complète dans mon livre : « La bataille de Constantine 1836-1837 ».
7- « Fatah » :
7.1- « je voudrais demander à badjadja (nom d’origine turque?)… ». En voilà une question sournoise. Selon vous, on écrit l’histoire en fonction de ses origines supposées, et non avec une méthode scientifique. Désolé de vous décevoir : je suis né à Constantine en 1945, mon père Mohamed est né dans cette même ville en 1901, mon grand père Abdallah Badjadja, décédé à Constantine en 1909, est né à Taroudant, sud du Maroc, en 1848. Taroudant fut la première capitale de la Dynastie des Saadiens (1509-1659). Mon arrière grand père Mohamed, ainsi que mon arrière arrière grand père Abdallah, sont également de Taroudant. Les archives du Cadastre d’Agadir conservent toujours le dossier d’un jardin dénommé officiellement « Jenane Abdallah Bajaja » nationalisé suite à l’émigration en Algérie de mon grand père. Vous savez parfaitement que les Turcs n’ont jamais mis les pieds au Maroc. Quant à ma mère, elle porte le nom de « Bentalha » qui n’a rien de turc non plus.
7.2- « Qu’il nous explique qui est dihya injustement appelée kahina (socière) par les arabes envahisseurs car elle les a battus à 2 reprises à plate couture dans la region de khenchela. Hanibal etait-il arabe ? turc? tarek ben zyad était il arabe lui l’enfant des oulhaça? et jugurtha et koceila et massinissa et juba … et j’en passe ».
Vous faites de manière maladroite dans l’amalgame, alors que nous savons tous que l’Algérie dans l’antiquité était uniquement amazigh, et que les Arabes n’ont fait irruption au Maghreb qu’à partir de l’an 642, lors de l’expansion de l’Islam. Par ailleurs, pourquoi inclure dans votre liste de personnages historiques berbères le général carthaginois Hannibal ?
7.3- « Qu’il nous explique où est parti le dey hussein avec le tresor d’alger le lendemain du débarquement de sidi ferruch… ».
Savez-vous d’abord à combien était estimé le trésor d’Alger ? Le dey Hussein n’a rien emporté avec lui, le trésor qui s’élevait à 50 millions de francs or avait été saisi par l’armée française. Par contre la France n’a rien laissé dans les caisses du trésor algérien au lendemain de l’Indépendance, et le gouvernement algérien avait commencé à exercer avec une avance du trésor français !
7.4- « Où est passée cette marine qui cntrôlait la mediterranée… ».
Savez-vous d’abord que le port d’Alger était soumis au blocus par la marine française depuis 1827, date de préparation de la conquête de l’Algérie ? En fait, la marine d’Alger, et l’Algérie avec elle, était entrée dans sa phase de déclin depuis le début du 19ème siècle.
8- « elforkan » : « …le véritable problème des algériens … est comment faire pour se débarrasser des voleurs mafieux et traîtres d’en haut… ». Vous avez tout à fait raison.
9- « NassroAllah» : « La junte militaire en Algérie doit partir radicalement de la scène politique, elle doit savoir qu’elle n’a plus de place pour nous diriger docilement comme des moutons… ».
Oui, je partage entièrement votre opinion.
10- « djeha» : « Pour être un vrai algérien en 2012 faut-il être un islamiste, un laïque, ou simplement un être humain avec ses qualités et ses défauts aspirant à un avenir meilleur pour soi-même et ses enfants? ».
Excellente question qui devait rassembler les Algériens au-delà de leur origine ethnique réelle ou supposée.
Conclusion : Dans tous mes écrits sur l’histoire de l’Algérie, je m’efforce toujours de suivre une méthode scientifique appuyée sur des sources vérifiées, pour mettre en valeur la richesse de notre histoire, et avec le souci permanent de rassembler les Algériens, dans toutes leurs composantes, autour de repères communs : Amazighité, Arabité, et par-dessus tout, Islamité.
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Je voudrai grandement vous remercier mr BADJADJA pour nous avoir expose ces faits historiques sur notre belle Algerie qui a tant souffert de cette barbarie Francaise.En plus du role extrement nocif qu’avait exerce les freres bacri et brusnach(boujenah) sur le Dey d’alger et qui a conduit a cette malheureuse colonisation vous m’apprenez dans une phrase: » En 1843, un recensement avait donné le chiffre de 18.000 habitants dont 3.000 juifs (qui avaient beaucoup plus profité, par le pillage, que souffert de la bataille). » Je me pose la question d’une maniere franche. Est ce que les juifs sont a l’origine de notre genocide par leur trahison averee? Cela pourrait aussi faire un joli sujet de these. Autre chose, pour ce qui concerne notre langue, je voudrai aussi ajouter que je me sens profondement berbere, kabyle, chaoui, mozabite, chenoui, chleuh,touareg par mes origines historiques. Mais mes plus belles amours sont l’arabe et l’islam. Comme disaient les compagnons du prophete Prieres et benedictions sur lui, je tuerai peres et meres pour toi. Le prophete leur repondait vous pouvez aimer cette langue(Arabe) pour trois raisons: Le Coran est en arabe, votre prophete est un arabe, et enfin au paradis les gens parlent l’arabe. L’arabe est indissociable de l’Algerie c’est son essence(dans les deux sens) qui lui a permis de sortir des tenebres de la jahilia et des guerres ethniques vers la science et la raison. Toutes les langues berberes d’algerie sont profondement impregnee de l’arabe qu’on peut apparenter a une fusion ou une etreinte resultat d’un amour. Alors, « Les Algéries:Berbères ou Arabes? » La question ne se pose meme pas mr aristote.
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Merci pour les précisions disponibles.
En ce qui concerne votre conclusion, extrait : « le souci permanent de rassembler les Algériens, dans toutes leurs composantes, autour de repères communs : Amazighité, Arabité, et par-dessus tout, Islamité », tout à fait d’accord avec vous sauf qu’il faut insister, et c’est la vérité, que les algériens sont en très grande majorité des berbères, premier facteur d’unité (Yanayer et noms géographiques berbères sur tout le territoire national), qu’ils sont dans la même proportion musulmans, deuxième facteur d’unité et qu’ils ont adopté volontairement dans la même proportion la culture arabe, soit les noms et l’écriture arabes, et dans une proportion moindre mais importante (deux tiers) la langue arabe.
Celui qui renie l’une des trois composantes ne peut être qu’un rénégat qui s’oppose au choix et au passé de ses ancêtres. Mais il reste libre de ne pas suivre ses ancêtres, c’est son problème, ce n’est pas le problème des algériens.
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»
Autant dire que la République turque dont Erdogan est aujourd’hui un dirigeant A PARTICIPE AUX MASSACRES DES ALGÉRIENS DURANT NOTRE GUERRE DE LIBÉRATION ! J’estime qu’il faut constituer tout un dossier, dans lequel il y a lieu de démontrer que le pouvoir des Turcomans-Seljukides a été pour TROIS SIÈCLES DE RETARD ET DE RÉGRESSION DANS NOTRE PAYS.
»
D’abord,quand un intellectuel algerien ecrit, la plupart du temps il ecrit en tant qu’algerien, en non en tant qu’intellectuel. En d’autres termes: il « crie » ce qu’il croit etre des « arguments » au lieu de les formuler, et il n’hesite pas a faire dans l’outrance la plus grotesque(notez la surabondance de mots en majuscules censés apporter du poids a l’agumentaire….).
C’est bien la premiere fois que j’entends, de la part d’un « histoirien », que la Turquie a participé aux massacres d’algeriens durant la guerre de liberation. On n’arrrete pas le progrés « historique », comme dirait l’autre…
Autre remarque: Notre historien parle de Seljukides qui nous auraient dominés…Oops, l’empire Seljukide eclate 200 ans avant l’arrivée des turcs a Alger. C’est un comble pour un « historien » que de commetre ce genre d’anachronisme…
Remarque finale: M. Dahmani veut « prouver » que la Turquie est responsables de 3 siecles de regression dans notre pays. Un conseil: qu’il aille denicher dans quelque musée les plans de Navette Spatiale sur lesquels travaillaient les algériens vers 1500 quand les turcs sont venus tout ravager…
Mon Dieu quelle indigence!
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L’exception qui confirme la règle : Khadafi, un franco-juif.
Site : http://www.bakchich.info/…/aicha-kadhafi-veut-faire-son-aliyah-59900
« Aicha Kadhafi aurait émis le souhait de s’installer en Israel.
La fille du colonel, réfugiée en Algérie, souhaite s’installer en Israël au nom de la loi du retour. Et met en avant la judéité de son arrière grand-mère. Casse-tête généalogique et géopolitique à venir… Sacré Colonel ! D’outre tombe, l’ex Guide de feu la République des Masses, tué sans honneur le 20 octobre 2011 sous les coups de son peuple après avoir été « lâché » par ses parrains occidentaux, continue encore de brouiller les jeux géopolitiques, rien qu’avec son arbre généalogique….
Il y avait déjà sa filiation paternelle. De son vivant, il avait occulté tout au long de ses 42 ans de règne sans partage et tenté de verrouiller un « secret » jamais avoué et pourtant largement connu de ses voisins africains comme des officiers de l’armée française. C’est Bakchich qui l’avait exhumé en février 2008 : avant de devenir officiellement Kadhafi, issu de la tribu Senoussi, Mouammar était né Préziosi, du nom d’un aviateur corse du bataillon Normandie-Niemen envoyé dans les années 40 au-dessous de la Libye pour combattre les forces allemandes alliées aux Italiens ; selon les témoignages, il avait été recueilli et protégé par une tribu bédouine après avoir été abattu. Sur l’ile, on espérait qu’un jour, avec l’âge, le colonel reconnaitrait enfin ses ancêtres « maures »…. Las, le colonel est mort, avec son secret resté légende.
C’en est une autre que sa fille Aicha vient aujourd’hui réactiver. Une bombe au compteur jusque là bloqué. D’Algérie, où elle s’est réfugiée depuis le 29 aout avec d’autres membres de la famille, dont sa mère Safia, l’unique fille du colonel a fait discrètement savoir qu’elle souhaitait s’exiler en Israël, en vertu de la loi du retour…. ! Depuis deux générations, les opposants libyens tentaient en vain de répandre cette vieille histoire pour mieux nuire au Guide : selon elle, la grande mère du colonel était de confession juive, puis se serait convertie à l’islam après avoir fui son premier mari, en épousant un cheikh libyen ; de cette union d’amour, était née la maman du petit Mouammar. »
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« Gêne algérienne, indisposition israélienne
Pour y parvenir, Aïcha s’est attaché les services d’un avocat israélien, Nick Kaufman, choisi pour la double mission de la représenter dans sa bataille pour défendre la mémoire de son père et lui trouver un pays d’asile. Cet ancien procureur de Jérusalem et du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie a donc saisi à sa demande la Cour pénale internationale (CPI) de la Haye pour enquêter sur les conditions de la mort de son père et de son frère Mouatassim, invoquant la charge de « crime de guerre ». En parallèle, l’avocat œuvre à établir auprès des autorités israéliennes qu’Aïcha et sa tribu sont bien des enfants de la Torah. Selon la loi juive, c’est la mère qui transmet la religion à ses enfants, et même converti à une autre, le Juif reste « ethniquement » juif. Un argument qui pourrait faire mouche en Israël. D’autant que la descendance Kadhafi y retrouverait des membres de sa famille, qui ont récemment fait leur coming out. Interrogées par une chaîne israélienne l’année dernière, avant le déclenchement de l’insurrection à Benghazi, deux Israéliennes d’origine libyenne ont ainsi affirmé être des parentes du colonel : accompagnée de sa petite fille Rachel, Guita Brown, dont la grand-mère était la sœur de celle de Mouammar, a témoigné être sa cousine au deuxième degré et confirmé la vieille histoire. »
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Les ottomans,n’ont pas uniquement retardé l’Algérie de trois siècles . L’empire ottoman,a régné sur notre pays et ailleurs,en se basant uniquement sur la force militaire . Après trois siècle de présence en Algérie,rares sont les sites ou les traces d’urbanisme ottoman . Contrairement à l’Andalousie islamique,où nos ancêtres ont laissé les traces d’une grande civilisation avec beaucoup de savoir et de savoir faire . Une culture très raffinée qui continue à attirer vers l’Espagne,prés de 70 millions de touristes par an,les ottomans se distinguent par leur force de combat et surtout pas par une quelconque culture . Très vite,la révolution industrielle,conduira les européens vers le canon . Souffrant d’immobilisme,les ottomans constatèrent rapidement les limites de leur cavalerie d’où la chute . En plus des limites de l’armement ottoman,l’avènement de systèmes démocratiques en Europe,faisant suite aux siècles des lumières ,dépassera rapidement les ottomans qui se retrouvèrent loin derrière.
Des conclusions s’imposent quand on aborde l’occupation algérienne par les Ottomans . L’Algérien,doit rompre avec les situations d’urgence . Nous manquons depuis des siècles de stratégies définies nous permettant de nous organiser pour maitriser notre présent et notre futur . L’arrivée des frères Khireddine et Bouaroudj,s’est faite dans un contexte de menace d’occupation du pays par les occidentaux(Espagne,France) . Un pays qui se respecte,s’organise,planifie et prévoit . L’Algérie a tout le temps souffert du manque de ces trois critères(organisation,planification et prévention).Les ottomans,ont le mérite d’avoir retardé l’occupation européenne de l’Algérie, Cependant,notre pays fut occupé par nos protégés turcs et par les occidentaux .
Les algériens sont les seuls musulmans occupés par les turcs qui refusent d’étiqueter les ottomans d’occupants contrairement aux tunisiens et autres pays du moyen orient . Ce problème est lié à la nature de notre régime politique . L’élite qui a pris le pouvoir en Algérie dés 62, a oublié de donner une identité algérienne aux algériens . Une personne née en Tunisie,se dit tunisienne,celle née en Turquie se dit turque,alors que celui qui est né en Italie se dit italien . Chez nous les gens se disent arabes,musulmans ou kabyles,mais ils ne se disent algériens que rarement . L’Algérie post DRS,aura de nombreux chantiers à lancer . Donner aux enfants de ce pays,une identité algérienne,fera partie de ces chantiers .
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« historien », peut etre pour impressionner le commun des lecteurs suite a ses arguments un peu « legers »…
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2012/01/03/article.php?sid=128177&cid=2
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Salut
http://lequotidienalgerie.org/2011/12/30/coup-de-gueule-le-complexe-du-colonise/
http://www.4algeria.com/vb/4algeria.306802/
مثال شعبية جزائرية
امال شعبية جزائرية 1-إذا تخلطت الأديان شد في دينك : يضرب هذا المثل عندما تختلط الأمور على شخص و ينصح له بالتثبت على مبادئه و أفكاره 2-الصيف قاطو و الشتا بوقاطو .( في الصيف حلويات و في الشتاء المحامي )
1-إذا تخلطت الأديان شد في دينك : يضرب هذا المثل عندما تختلط الأمور على شخص و ينصح له بالتثبت على مبادئه و أفكاره
2-الصيف قاطو و الشتا بوقاطو .( في الصيف حلويات و في الشتاء المحامي ) : يضرب هذا المثل عندما لا تلبث العروس في بيت زوجها إلا قليلا .
-3 -اللي يحب شباح ما يقول آح.: (الذي يحب عمل شيء ما يحتمل المعاناة في الحصول عليه و لا يشتكي فيقول آح .
4-كي طارت لطيور جات الهامة تدور: يضرب هذا المثل عندما تسند الأمور إلى غير أهلهـــا .
5-طريق السد لي تدي ما ترد : نوع من الدعاء على الآخرين بعدم الرجوع أي أن الطريق التي يأخذهـــا لا يمكنه الرجوع منها
6-طوال الخيط ما هو خياط : يضرب هذا المثل في نعت من يتباهى بمعرفة الشيء و هو له جاهل
7-دير الخير و انساه و دير الشر واتفكرو : إذا أسديت معروفا فلا تذكره حتى لنفسك و إن أخطأت فتذكر دائما حتى تعتبر .
8-اللي باعك بالفول بيعه بقشوره: يضرب هذا المثل في مقابلة الإساءة و الغدر بما هو شر منهما.
9-المحبة تجي بالكيف ماشي بالسيف: معنى ذالك أن المحبة ليست إرغاما إنما تأتي من القلب
10-واش جابك للواد يا الزيتونة: نوع من الندم على التدخل في أمر كان من الممكن تفاديه
11-يرقد بعين واحدة كي الذيب: يضرب للشخص الفطن جدا لا يأمن غره و لو لحظة
12-الشركة هلكة لو كان في طريق مكة : لا يجب الشراكة بين شخصين في لأأمر ما لأنها حتما تؤدي إلى هلاك أحدهما.
13-قعدو يا حمير حتى يوصلكم الشعير:يضرب في التهكم على التكاسل
14-مول التاج ويحتاج: إن كل شخص يحتاج إلى غيره حتى أكثرهم غنى
15-اللي عجبك في السوم رخصو في الطريق تقيس نصو: إن السلعة الرخيصة لا تدوم
16-يا قاتل الروح وين تروح : لا يمكن للقاتل أن يفلت من عذاب الله
17-كول أللي يعجبك و إلبس للي يعجب الناس : على الشخص أن يهتم بالعلاقات الاجتماعية
19-من عندي ومن عندك تنطبع و من عندي وحدي تنقطع : يجب أن يكون تبادل بين الناس و إلا تنقطع العلاقات
20-زوج رياس يغرقو بابور: لا يقود جماعة أو يقرر أمرا إلا شخص واحد (البابور: السفينة- رياس :ربان )
21-واش يدير الميت في يد غسالو:يضرب لمن لا يجد بدا من قصد شخص في أمر مهم و يتصرف ذالك المقصود كما يشاء.
22-سعد الزينة في الحما و سعد الشينة في السما: ليست للجميلة حظ في الزواج إنما هو للقبيحة !
23-اللي بارت على سعدها دارت :التي لا تتزوج باكرا تكون سعيدة مع زوجها (؟!!)
25-زواج ليلة تدبيرتو عام: قبل القيام بأمر ما يجب التفكير فيه مليا .
27-اللي فاتو زمانو ما يطمع في زمان الناس: إذا كبر شخص فعليه ألا يقوم بأشياء يقوم بها من هم اصغر منه سنا
شكرا اخي امثال روعة
أمثال شعبية جزائرية
*التسرحين من كثرة الطحين *قول أحمد ولا تقصد *اللي يدخل بين البصلة وقشرتها ما يشم غير ريحتها *الجديد حبو والقديم لا تفرط فيه *ما تتكبر غير الزبالة-اكرمكم الله-وما يطوط غير البوجعران *جامي لا تعلى العين على الحاجب *زهر السمراء في
التسرحين من كثرة الطحين
*قول أحمد ولا تقصد
*اللي يدخل بين البصلة وقشرتها ما يشم غير ريحتها
*الجديد حبو والقديم لا تفرط فيه
*ما تتكبر غير الزبالة-اكرمكم الله-وما يطوط غير البوجعران
*جامي لا تعلى العين على الحاجب
*زهر السمراء في السماء وزهر البيضاء في الحمى
*الطول للشجر والعرض للبقر والقصر للحجر وابن آدم للقدر
*البيوضة بسماطة كي قشور البطاطا والسمورة بحلاوة كي عسل البقلاوة
*عقرب سامة تقرص بالعسل وتقتل بالغقل
*لا تكثر على الملوك لا يملوك
*لا لقيت صاحبك عسل ما تلحسوش ولا لقيتو داب ما تركبوش
*حماري ولا عود الناس
*اللي فاتو الكلام يقول سمعت واللي فاتو الطعام يقول شبغت
*المكسي بقش الناس عريان
-إذا تخلطت الأديان شد في دينك : يضرب هذا المثل عندما تختلط الأمور على شخص و ينصح له بالتثبت على مبادئه و أفكاره
-الصيف قاطو و الشتا بوقاضو .( في الصيف حلويات و في الشتاء المحامي ) : يضرب هذا المثل عندما لا تلبث العروس في بيت زوجها إلا قليلا .
--لي يحب شباح ما يقول آح.: (الذي يحب عمل شيء ما يحتمل المعاناة في الحصول عليه و لا يشتكي فيقول آح .
-كي طارت لطيور جات الهامة تدور: يضرب هذا المثل عندما تسند الأمور إلى غير أهلهـــا .
-طريق السد لي تدي ما ترد : نوع من الدعاء على الآخرين بعدم الرجوع أي أن الطريق التي يأخذهـــا لا يمكنه الرجوع منها
-طوال الخيط ما هو خياط : يضرب هذا المثل في نعت من يتباهى بمعرفة الشيء و هو له جاهل
-دير الخير و انساه و دير الشر و اتفكرو : إذا أسديت معروفا فلا تذكره حتى لنفسك و إن أخطأت فتذكر دائما حتى تعتبر .
-الي باعك بالفول بيعه بقشوره: يضرب هذا المثل في مقابلة الإساءة و الغدر بما هو شر منهما.
-المحبة تجي بالكيف ماشي بالسيف: معنى ذالك أن المحبة ليست إرغاما إنما تأتي من القلب
-واش جابك للواد يا الزيتونة: نوع من الندم على التدخل في أمر كان من الممكن تفاديه
-يرقد بعين واحدة كي الذيب: يضرب للشخص الفطن جدا لا يأمن غره و لو لحظة
-الشركة هلكة لو كان في طريق مكة : لا يجب الشراكة بين شخصين في لأأمر ما لأنها حتما تؤدي إلى هلاك أحدهما.
-قعدو يا حمير حتى يوصلكم الشعير:يضرب في التهكم على التكاسل
+مول التاج ويحتاج: إن كل شخص يحتاج إلى غيره حتى أكثرهم غنى
-الي عجبك في السوم رخصو في الطريق تقيس نصو: إن السلعة الرخيصة لا تدوم
-يا قاتل الروح وين تروح : لا يمكن للقاتل أن يفلت من عذاب الله
-كول ألي يعجبك و البس لي يعجب الناس : على الشخص أن يهتم بالعلاقات الاجتماعية
-مول الفول يقول طياب : كل شخص يفتخر بما يمكنه عمله
-الي فاتو زمانو ما يطمع في زمان الناس: إذا كبر شخص فعليه ألا يقوم بأشياء يقوم بها من هم اصغر منه سنا
-وين يبان خيطك في البردعة: للاستهزاء و احتقار عمل شخص أو حالته أمام الآخرين (البردعة هي الجبة )
-من عندي ومن عندك تنطبع و من عندي وحدي تنقطع : يجب أن يكون تبادل بين الناس و إلا تنقطع العلاقات
-زوج رياس يغرقو بابور: لا يقود جماعة أو يقرر أمرا إلا شخص واحد (البابور: السفينة- رياس :ربان )
-شتا يدير الميت في يد غسالو:يضرب لمن لا يجد بدا من قصد شخص في أمر مهم و يتصرف ذالك المقصود كما يشاء.
-سعد الزينة في الحما و سعد الشينة في السما: ليست للجميلة حظ في الزواج إنما هو للقبيحة !
-الي بارت على سعدها دارت :التي لا تتزوج باكرا تكون سعيدة مع زوجها (؟!!)
-زواج ليلة تدبيرو عام: قبل القيام بأمر ما يجب التفكير فيه مليا
أمثال شعبية جزائرية
الطماع ايبات ساري ألي راح أولى واش من بنى خلى أزهر لمعوج لنخطبها تتزوج لي ايحب شبح ما يقول آح فوت على الواد الهايج وماتفوتش على الواد الساكت لي في كرشه التبن يخاف من النار كول مايعجبك و البس ما
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أمثال شعبية جزائرية
الطماع ايبات ساري ألي راح أولى واش من بنى خلى أزهر لمعوج لنخطبها تتزوج لي ايحب شبح ما يقول آح فوت على الواد الهايج وماتفوتش على الواد الساكت لي في كرشه التبن يخاف من النار كول مايعجبك و البس ما
ألي راح أولى واش من بنى خلى
أزهر لمعوج لنخطبها تتزوج
لي ايحب شبح ما يقول آح
فوت على الواد الهايج وماتفوتش على الواد الساكت
لي في كرشه التبن يخاف من النار
كول مايعجبك و البس ما يعجب الناس
ما يبقى في الواد غير حجارو
لي يفهـم بزاف أيموت بزعـاف
اللي ما عندو مال ديما وجهو مذبال
قعدو يا حمير حتى يوصلكم الشعير
أخسر وفارق
البلاء اذا جاك من جناحك قصو
حمارنا ولا عود الناس
دير الخير و انساه و دير الشر و اتفكره
ادهن السير أيسير
زواج ليلة تدبيرتو عام
يحمر وجهك
اسمع للكلام الي بكيك ومتسمعش للكلام الي ضحكك
جاي كاري أ صبح شاري
ألي يتبع الأولاد أداه الواد
لي ما يحشم من ربي ما يحشم من العبد
أضحك يا فمي على همي
اللعاب أحميدة والرشام أحميدة
واش جابك للواد يا الزيتونة
اللي فاتك بليلة فاتك بحيلة
خصك السواك يا معوجة الحناك
الدنيا بالوجوه و الآخرة بالفعايل
خنفوسة أتلهيني ولا غزالة تشقيني
المندبة كبيرة و الميت فار
انا أنقولك سيدي و انت اعرف قدرك
اللسان طويل و الذراع قصير
الي ما رضى والديه لا خير فيه
سال مجرب و لاتسال طبيب
يزين سعدك
يصفر وجهك
يسود سعدك
ازرع ينبت
صاحبك هو جيبك
هو في الموت وعينيه في الحوت
اللي يزرع الريح يحصد غبارو
ربي جعلني غابة و كل الناس حطابة
الحنين يورث
الرجال والزمان ما فيهم آمان
الفاهم يفهم بالغمزة والحمر يفهم بالدبزة
الزعاف يخرج السر
ابكي يا قلبي على الي ماتو و متبكيش علي فارقك في حياتو
الرابح في الكونترا هو الخاسر الكبير
صباح الخير ياجـاري دارك هي داري ..روح لشغلك هاني
ومتهني
كول وأوكل
مول التاج ويحتاج
يا قاتل الروح وين تروح
بن عمك هو همك
عاش ما كسب مات ما خلى
عندما تشبع الكرش تقول للراس غني
اعدووك هو صاحب صنعتك
قهوى و قارو خير من السلطان في دارو
عند الشده والضيق يظهر العدو من الصديق
العود لي تحقره يعميك
اللي ما يشقى ما يلقى
اهدر على السبع يهدف
الحاجة لي تحسد عليها خوك ربي يحرمك منها
واللي فاتو الطعام يقول شبعت
لا دين لا مله
علمناه الصلاه سبقونا الي السجاد
غطي الشمس بالغربال
اللحم يجىء الي ما عندوش اسنان
يخاف من خياله
يد واحده ما تصفق
لا سلام لا كلام
المكسي بمتاع الغير عريان
الي فاتو الحديث يقول سمعت
عاش ما كسب مات ما خلى
ضربني وبكى سبقني واشتكى
الخبزوالما والراس في السما
كل خنفوس في عين امه غزال
عينك هي ميزانك
جاء يسعى ودر تسعة
مخمور ويعرف باب بيته
سيدي مليح خصو الهوى و الريح
اللي باعك بالفول بيعه بقشوره
الحمار حماري و أنا راكب من اللور
اللي بدلك بالفول بدلو بقشوره
اللي فاتو وقتو مايطمع في وقتا لناس
انسا الهم ينساك
طريق السد لي تدي ما ترد
يرقد بعين واحدة كي الذيب
الخُوَّافْ مَا تْخَاف عْلِيهْ أمّه
أخطب لبنتك ولا تخطب لابنك
شكراا الموضوع راااائع....
ونزيدك مثل:اللي جاء وجاب يستاهل الفراش والوجاب .واللي جاء وماجاب نحرشوا عليه الكلاب.
أمثال شعبية جزائرية
أمثال شعبية جزائرية 1 صاحبك الا صاحبك في الشدة اما الناس الاخرى كلهم بعروضهم 2 الي عفس على جناحك قصهجناحك قصو 3 الي ما رضى والديه لا خير فيه 4ابكي يا قلبي على الي ماتو و متبكيش علي فارقك في
أمثال شعبية جزائرية1 صاحبك الا صاحبك في الشدة اما الناس الاخرى كلهم بعروضهم
2 الي عفس على جناحك قصهجناحك قصو
3 الي ما رضى والديه لا خير فيه
4ابكي يا قلبي على الي ماتو و متبكيش علي فارقك في حياتو
5 كل خنفوس في عين امه غزال
6 العمشاء وسط العميان هي مكجولة الانظار
7 كبر الراس للدبارة وكبر الساقين للخسارة
8 خنفساء تلهيني ولا غزالة تشقيني
9 كان حي مشتاق تمرة عندما مات علقول عرجون
10 لسانك صنتو صانك خنتو خانك
11 الي لسعه حنش يتخايل الحبل
12 الي مافي بطنو التبن ما يخاف من النار
13 عندما تشبع الكرش تقول للراس غني
14 اسمع للكلام الي بكيك ومتسمعش للكلام الي ضحكك
15 فرط في كل اصحابك الا صاحب ابوك متفرطش فيه
16 ما يبقى في الواد الا حجارو
17 اشري الجار قبل الدار
18 الي ما ذاق المر لا يعرف قيمة الحلو
19 الزين ما اعمر البيت
20 الي ماهو ليكك غير اعييك
21 الي خلص دينو شبع
22 تبع الكذاب الى باب الدار
23 خوك يمضغك لاكن ميبلعكش
24 جاك لبلاء ياغافل
25 ساعة القضاء ليه غفلة
26 حوت ياكل حوت وقليل الجهد اموت
27 ربي يخلف على الغابة و لايخلف على الحطابة
28الحمام المكسر الجناح ينزل على البر الخالي
29 حل الصرة(الكيس الصغير) تلقى خيط
30 الكلب اذى نبح ماعض ما جرح
31 كدس( كومة)حجار ولا سوء جار
32 الطعام لمليح يستاهلو النفاع
33 الطماع ابات اساري (يمشي ليلا )
34 الفاهم يفهم بالغمزة والحمر يفهم بالدبزة(اللكمة )
35 اللي يزرع الريح يحصد غبارو
اسمع للكلام الي بكيك ومتسمعش للكلام الي ضحكك
الزين ما اعمر البيت
عجبني هذا المثل بزاف
أمثال شعبية جزائرية
17 اشري الجار قبل الدار
امال شعبية جزائرية
1-إذا تخلطت الأديان شد في دينك : يضرب هذا المثل عندما تختلط الأمور على شخص و ينصح له بالتثبت على مبادئه و أفكاره
2-الصيف قاطو و الشتا بوقاطو .( في الصيف حلويات و في الشتاء المحامي ) : يضرب هذا المثل عندما لا تلبث العروس في بيت زوجها إلا قليلا .
-3 -اللي يحب شباح ما يقول آح.: (الذي يحب عمل شيء ما يحتمل المعاناة في الحصول عليه و لا يشتكي فيقول آح .
4-كي طارت لطيور جات الهامة تدور: يضرب هذا المثل عندما تسند الأمور إلى غير أهلهـــا .
5-طريق السد لي تدي ما ترد : نوع من الدعاء على الآخرين بعدم الرجوع أي أن الطريق التي يأخذهـــا لا يمكنه الرجوع منها
6-طوال الخيط ما هو خياط : يضرب هذا المثل في نعت من يتباهى بمعرفة الشيء و هو له جاهل
7-دير الخير و انساه و دير الشر واتفكرو : إذا أسديت معروفا فلا تذكره حتى لنفسك و إن أخطأت فتذكر دائما حتى تعتبر .
8-اللي باعك بالفول بيعه بقشوره: يضرب هذا المثل في مقابلة الإساءة و الغدر بما هو شر منهما.
9-المحبة تجي بالكيف ماشي بالسيف: معنى ذالك أن المحبة ليست إرغاما إنما تأتي من القلب
10-واش جابك للواد يا الزيتونة: نوع من الندم على التدخل في أمر كان من الممكن تفاديه
11-يرقد بعين واحدة كي الذيب: يضرب للشخص الفطن جدا لا يأمن غره و لو لحظة
12-الشركة هلكة لو كان في طريق مكة : لا يجب الشراكة بين شخصين في لأأمر ما لأنها حتما تؤدي إلى هلاك أحدهما.
13-قعدو يا حمير حتى يوصلكم الشعير:يضرب في التهكم على التكاسل
14-مول التاج ويحتاج: إن كل شخص يحتاج إلى غيره حتى أكثرهم غنى
15-اللي عجبك في السوم رخصو في الطريق تقيس نصو: إن السلعة الرخيصة لا تدوم
16-يا قاتل الروح وين تروح : لا يمكن للقاتل أن يفلت من عذاب الله
17-كول أللي يعجبك و إلبس للي يعجب الناس : على الشخص أن يهتم بالعلاقات الاجتماعية
19-من عندي ومن عندك تنطبع و من عندي وحدي تنقطع : يجب أن يكون تبادل بين الناس و إلا تنقطع العلاقات
20-زوج رياس يغرقو بابور: لا يقود جماعة أو يقرر أمرا إلا شخص واحد (البابور: السفينة- رياس :ربان )
21-واش يدير الميت في يد غسالو:يضرب لمن لا يجد بدا من قصد شخص في أمر مهم و يتصرف ذالك المقصود كما يشاء.
22-سعد الزينة في الحما و سعد الشينة في السما: ليست للجميلة حظ في الزواج إنما هو للقبيحة !
23-اللي بارت على سعدها دارت :التي لا تتزوج باكرا تكون سعيدة مع زوجها (؟!!)
25-زواج ليلة تدبيرتو عام: قبل القيام بأمر ما يجب التفكير فيه مليا .
27-اللي فاتو زمانو ما يطمع في زمان الناس: إذا كبر شخص فعليه ألا يقوم بأشياء يقوم بها من هم اصغر منه سنا